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  1. Malheureusement... À Montréal Église complètement ravagée Agence QMI 06/02/2010 13h27 Une église vacante appartenant à la communauté franciscaine a été complètement ravagée par les flammes, samedi matin, sur le boulevard René-Lévesque entre les rues Hope et Lambert-Closse. Les pompiers ont finalement dû démolir la structure, celle-ci étant devenue trop dangereuse. Le lieu saint a pris feu à environ 5h, samedi matin. Après avoir déclenché l’alerte générale, 150 pompiers ont dû s’affairer jusqu'à midi pour combattre les flammes. Aucune évacuation n’a été nécessaire, l’église en question et le presbytère étant vacants depuis 2007. L’incendie a également lourdement endommagé un presbytère qui se trouvait à proximité. Après avoir examiné la scène, les pompiers n’ont pas été en mesure de déterminer les circonstances du feu. Les enquêteurs du Service de police de la ville de Montréal (SPVM) se rendront sur les lieux dans les prochaines heures pour ce faire. Ce malheureux incident est non seulement une perte religieuse pour Montréal, mais aussi une perte historique considérable, car le bâtiment avait été construit en 1892 par la Communauté des Frères Franciscains.
  2. Bravo au Maire Coderre!! Il était temps que quelqu'un prenne le taureau par les cornes! Il faut amincir la taille de nos bureaucraties! Montréal veut abolir 2700 postes d'ici cinq ans http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201404/03/01-4754115-montreal-veut-abolir-2700-postes-dici-cinq-ans.php Karim Benessaieh La Presse Aux prises avec une masse salariale en explosion depuis dix ans, qui gruge plus de 52% de ses revenus, la Ville de Montréal aura droit à un remède de cheval. L'administration Coderre a annoncé ce matin l'abolition d'un poste sur dix d'ici cinq ans, soit 2700 postes, une économie annuelle de près de 240 millions. En point de presse à l'hôtel de ville, le maire Denis Coderre estime que ce plan lui permettra de «reprendre le contrôle des ressources humaines de la Ville, freiner la croissance démesurée qu'on a connue au cours des dix dernières années.» À titre de comparaison, les deux dernières grandes opérations de rationalisation depuis 2006 visaient chaque fois l'abolition d'un millier de postes. Elles ont eu des résultats mitigés, puisque le nombre global d'employés n'a cessé d'augmenter. Cette fois, pour contrer la tendance, on ne remplacera qu'un poste sur deux laissé vacant, soit par un départ à la retraite «ou autre motif» d'ici 2018, chez tous les groupes à l'exception des policiers et des pompiers. La Ville prévoit que 1589 cols bleus, 843 cols blancs et 471 cadres, notamment, seront admissibles à une retraite sans réduction d'ici 2018. «Ça ne peut plus continuer comme ça. On ne peut plus laisser les effectifs de la Ville croître suite à la prise de décisions en silo. L'improvisation, c'est fini.» Denis Coderre, Maire de Montréal Révision à la sécurité publique Même les pompiers et les policiers, les seuls groupes d'employés qui avaient été épargnés par les compressions dans le budget 2014, devront subir une «révision des processus des services de la sécurité publique et une rationalisation du personnel en conséquence», peut-on lire dans un document explicatif remis aux journalistes. On prévoit qu'un millier de pompiers et 876 policiers seront admissibles à une retraite sans pénalité d'ici 2018. Selon les projections de la Ville, on s'attend à ce que 2150 autres personnes vont quitter pour «d'autres motifs» d'ici 2018. Ce «plan quinquennal de la main-d'oeuvre 2014-2018» prévoit en outre l'embauche de 100 personnes par année «pour répondre aux priorités de la Ville». On prévoit qu'il s'appliquera autant aux services centraux qu'aux arrondissements. Ceux-ci, de qui relèvent 30% des effectifs, seront toutefois libres de s'y soustraire. «C'est un projet non seulement ambitieux, mais réaliste et nécessaire pour sortir Montréal de l'impasse financière», estime le maire Coderre. Il a tenu à rassurer les employés de la Ville, qu'il a décrits comme «excessivement compétents». «Ces mesures ne sont pas dirigées contre vous, nous ne procédons pas à des coupures sauvages ni à des mises à pied massives. Tout cela va se faire dans le respect des conventions collectives.» 800 millions comptant À terme, on espère simplement revenir aux effectifs de la Ville de Montréal au moment des fusions, en 2002, qui était de 20 000 employés à temps plein et représentaient alors 42,5% des dépenses. Ils ont graduellement monté pour s'établir à 22 423 en 2013, pour 51,9% du budget, soit une hausse de 9,4%. L'objectif principal de l'administration Coderre est de hausser les investissements dans les infrastructures, bâtiments et équipements de toutes sortes. Alors que les besoins sont évalués à 2,1 milliards annuellement, on ne prévoit y consacrer que 1,3 milliard. Cet écart annuel de 800 millions, on veut essentiellement le combler graduellement d'ici 2024 en augmentant la part payée comptant des immobilisations, qui passerait de 80 millions cette année à 800 millions. Cette décision de recourir moins souvent aux emprunts est «une question d'équité intergénérationnelle, pour ne plus pelleter vers l'avant», estime le président du comité exécutif, Pierre Desrochers.
  3. La ville vient de s'entendre avec les cols bleus mais il reste aux cols bleus à entériner l'entente. Pour l'Instant il n'y a pas grand détail mais à croire M. Applebaum ce serait une bonne chose pour la ville. J'espère qu'il a raison parce qu'on sait bien que les syndiqués obtiennent toujours la grosse part su gâteau et que les citoyens finissent par payer avec des hausses de taxes. Maintenant il reste à négocier avec les pompiers et les policiers. J'espère que la ville va tenir sont bouts et forcer les pompiers/policiers à faire des concessions importantes. Mais j'en doute malheureusement !!! http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201210/11/01-4582343-entente-historique-avec-les-cols-bleus-de-montreal-.php
  4. On parle de Sherbrooke est, entre PLessis et Amherst, mais je n'en sais pas plus...... Triste triste..... http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/09/27/003-edifice-sherbrooke.shtml
  5. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/03/29/008-Outremont-rite-juifs.shtml Il y a un vidéo sur le site... franchement je ne sais pas quoi en penser. Les policiers sont intervenus pour mettre un terme à un rite des juifs hassidiques organisé sur les terrains de l'arrondissement d'Outremont, lundi matin. La cérémonie de crémation du pain a débuté calmement dans une cours de voirie. Mais vers 11 h, elle a dégénéré et les feux ont pris de l'ampleur car ses participants affirmaient devoir tout brûler avant 11 h 40. Les autorités de l'arrondissement n'ont pas compris l'empressement des hassidiques, croyant qu'ils avaient en fait jusqu'à 13 h. Certains des participants ont perdu patience et un certain chaos s'est installé. Une quinzaine de policiers sont arrivés sur place. Le service des incendies a appelé deux camions de pompiers supplémentaires qui ont rapidement éteint les deux petits feux. Les pompiers et les autorités de l'arrondissement d'Outremont attribuent ce geste à l'agitation des juifs et au fait que certain d'entre eux ont brûlé du plastique ce qui contrevenait à l'entente entre les deux parties. Certains non-juifs pensent que, de toute façon, l'arrondissement n'a pas à organiser des cérémonies religieuses. C'est le cas de la conseillère municipale, Céline Forget, qui affirme que l'affaire pose un problème de principe. « Sur le principe c'est une activité privée. [...] Je ne vois pas pourquoi cette activité-là se fait sur un terrain public », dit-elle. Mais l'arrondissement rétorque que sa décision était basée sur un avis du contentieux de la ville de Montréal. « L'avis juridique dit : "La pratique de l'arrondissement répond à votre obligation d'accommodement raisonnable et ne cause pas de contrainte excessive" », plaide Marie Cinq-Mars, la mairesse de l'arrondissement d'Outremont. Malgré tout, l'arrondissement appuie l'intervention des policiers et des pompiers. La majorité des juifs qui étaient sur place étaient furieux. Certains ont affirmé que l'intervention des policiers et des pompiers va à l'encontre de leurs droit religieux. D'autres affirment que les autorités ont ruiné cette fête juive. La mairesse Cinq-Mars affirme que les deux partis devront discuter avant que l'arrondissement autorise à nouveau ce genre de fête. « Si c'est juste de venir brûler quelques petites tranches de pain, ça va. mais s'il y a des débordements, il va falloir qu'on s'assoie avec eux. Un accommodement raisonnable, il ne faut pas que ça dérange les autres », dit-elle. Certains juifs hassidiques ont indiqué qu'en raison de la pagaille de cette année ils pourraient, à l'avenir, faire ces feux sur leur propriété privée, ce qui présenterait un risque pour la sécurité publique.
  6. Charest patrouille le ciel de L.A. Nicolas Bérubé La Presse Publié le 05 octobre 2009 à 07h18 | Mis à jour le 05 octobre 2009 à 07h21 (Los Angeles) Jean Charest enlève son veston beige et grimpe à bord de l'hélicoptère Black Hawk du comté de Los Angeles. Le capitaine Tony Marrone, un homme solide à la mâchoire carrée, lui montre son siège. «Vous avez la meilleure place à bord, M. le premier ministre!» dit-il. Il montre du doigt le siège qui fait face à une grande ouverture dans le côté droit de l'appareil. En vol, il offre une vue non obstruée du ciel californien - et du sol, à plusieurs centaines de mètres. Le premier ministre prend place, un sourire accroché aux lèvres. Le capitaine Marrone l'aide à boucler sa ceinture, sorte de pieuvre noire aux multiples tentacules. Les autres passagers montent à bord, et quelqu'un referme les portes coulissantes. Le moteur démarre. Une vague odeur de kérosène remplit l'appareil. But du voyage: observer les avions-citernes Bombardier CL-415 en action. Pilotés par des Québécois, deux de ces avions sont loués au Québec chaque automne depuis 16 ans par le comté de Los Angeles, où les feux de broussailles sont de plus en plus fréquents et dévastateurs. Les Américains paient trois millions de dollars pour louer les CL-415 et leur équipage de 11 Québécois, experts dans l'entretien et le pilotage de ces bimoteurs uniques qui valent près de 30 millions pièce. «Aujourd'hui, nous considérons que les pompiers québécois font partie de notre famille, note le capitaine Marrone. C'est vous dire à quel point leur travail est apprécié par les pompiers d'ici.» Attention aux motomarines À travers les fenêtres du Black Hawk, les bâtiments de Los Angeles sont si petits qu'ils ressemblent aux circuits imprimés d'un ordinateur. Le pilote fonce vers le nord, vers les montagnes de Santa Clarita. Au bout de 10 minutes, un immense lac apparaît au milieu des montagnes arides. C'est l'un des 12 points d'eau utilisés par les pompiers pour ravitailler les CL-415. «Ces lacs sont populaires auprès des plaisanciers, explique le capitaine Marrone. Avant d'aller faire le plein, les CL-415 doivent communiquer avec les gardiens, qui font évacuer le lac. Il ne faut pas que des motomarines soient dans le chemin quand l'avion arrive.» À notre droite, un avion jaune et rouge apparaît à l'horizon. Il file vers le lac de ravitaillement. L'avion ralentit. Bientôt, sa carlingue effleure le dessus des flots à une vitesse de 130 km/h, laissant une longue traînée blanche. Après 12 secondes, l'avion reprend de l'altitude. Les pilotes pompiers sont prêts à relâcher 6000 litres d'eau. L'avion décrit un arc au-dessus de la région. Au-dessus d'une crête, les réservoirs s'ouvrent. Un nuage blanc prend naissance sous l'avion. Des trombes d'eau frappent le paysage sec et mouillent une route désertée en contrebas. Les passagers de l'hélicoptère regardent la scène, médusés. En route vers Hollywood Le pilote de l'hélicoptère met le cap vers le sud. On survole bientôt les gratte-ciel du centre-ville de Los Angeles. L'appareil s'approche ensuite des lettres «Hollywood», si hautes qu'elles remplissent notre champ de vision. «Incroyable. C'est à couper le souffle», murmure M. Charest, alors que le Black Hawk survole les vertes collines de Beverly Hills et les immenses villas qui y sont juchées. «Il y a plus d'habitants à Los Angeles qu'au Québec au complet, dit-il, sondant le paysage du regard. C'est quand même quelque chose.» De retour à la base de Van Nuys, M. Charest sert la main de l'équipage québécois, et pose pour une photo de groupe. «S'il y en a qui ont des casiers judiciaires, c'est le temps de le dire», lance-t-il, pince-sans-rire. De son excursion dans le ciel de Los Angeles, M. Charest dit retenir que les pompiers québécois accomplissent un travail essentiel et remarquable. Et que Los Angeles n'est sans doute pas un modèle de croissance à imiter pour le Québec. «Comme Québécois, c'est impressionnant de voir la densité de population. C'est à l'opposé de nos grands espaces. Et la place qu'occupe l'automobile est tellement importante ici... Je crois qu'on est bien chez nous.» http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/200910/05/01-908403-charest-patrouille-le-ciel-de-la.php
  7. Entrepôt de mazout dévoré par les flammes Radio-Canada Mise à jour le jeudi 16 juillet 2009 à 13 h 31 Un incendie a éclaté mercredi matin à Montréal-Est dans un dépôt de mazout. Les pompiers font état d'un blessé. Selon la police, une fuite dans un tuyau de gaz naturel serait la source du feu. Les pompiers ont maintenant la situation bien en main, rapporte la télévision de Radio-Canada. La rue Notre-Dame est fermée sur un tronçon qui étend à l'est de la rue Georges-V. Les autorités recommandent aux automobilistes d'emprunter la rue Sherbrooke. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2009/07/16/003-incendie-montreal-est.shtml
  8. Quelqu'un a-t-il des photos de ce qu'avait l'air cet immeuble ? Je n'en trouve pas sur internet --------------- Montréal Un bâtiment patrimonial est la proie des flammes Agence QMI Maxime Deland 21/05/2009 13h20 - Mise à jour 21/05/2009 16h17 Un violent incendie a ravagé depuis l’ancien Consulat des États-Unis à Montréal, situé sur l’avenue Docteur-Penfield, dans l'Ouest de la métropole. Une alerte générale a été déclenchée par le Service des incendies de Montréal (SIM), aux environs de midi. C’est donc dire que plus de 125 sapeurs ont été appelés à circonscrire le feu. Une centaine de pompiers combattent toujours les flammes, qui auraient pris naissance au niveau du toit du bâtiment patrimonial. Fort heureusement, l’immeuble était vide lorsque l’incendie s’est déclaré. «Nous avons localisé l’origine de cet incendie au niveau du grenier, explique Aimé Charette, porte-parole du SIM. Il y a ensuite eu une explosion de fumée.» Pompiers blessés Au moins une dizaines de pompiers ont été incommodés par la fumée ou ont été victimes d’un coup de chaleur. Certains ont été traités sur place, tandis que d’autres ont été transportés à l’hôpital. En raison de la violence de l’incendie et des risques d’effondrement, les pompiers ont préféré adopter une stratégie défensive. Une lourde perte «C’est une grande perte patrimoniale. Ce bâtiment-là date de l’ancien temps de Montréal, mais il est maintenant perdu. On ne pourra plus jamais le rénover. C’est très dommage», laisse tomber Mirna Kruger, qui demeure dans l’édifice voisin de l’ancien consulat américain. «Ce matin, j’ai cru que quelqu’un faisait un barbecue et je me suis fâchée parce que je trouvais qu’ils exagéraient de faire ça aussi tôt en avant-midi. Finalement, je suis allée sur le balcon et j’ai vu que le feu était pris», raconte pour sa part Suzanne Danino, qui vit en face du lieu de l’incendie. Matinée occupée Les pompiers de Montréal ont eu un avant-midi fort chargé: en plus de l'incendie dans l'ancien consulat américain, ils ont dû en combattre un autre, qui s'est déclaré presque au même moment, cette fois sur la rue Monkland, dans l'arrondissement Notre-Dame-de-Grâce. Une soixantaine de pompiers ont combattu le brasier pendant quelques heures avant de finalement quitter les lieux quelques heures plus tard. Les flammes auraient pris naissance entre le 18e et le 20e étage. Des travaux de rénovation avaient lieu dans cette partie du bâtiment.
  9. Un stationnement s'effondre Radio-Canada Mise à jour le mercredi 26 novembre 2008 à 11 h 40 Un étage du stationnement sous-terrain de l'immeuble du 135 Deguire dans l'arrondissement Saint-Laurent à Montréal s'est effondré à 8 h 45 mercredi. Au moins un homme serait prisonnier de sa voiture sous les décombres. Une dalle de béton de quelque 30 mètres carrés s'est effondrée dans un grand fracas, selon des témoins qui empruntent le stationnement quotidiennement. La dalle de béton, qui constituait le plancher du premier niveau du stationnement souterrain, est tombée sur le niveau inférieur. Des employés d'une entreprise de courrier médical, dont les voitures sont garées dans le secteur, soutiennent qu'un de leurs collègues n'aurait pas eu le temps de s'enfuir. Ils sont pessimistes quant à son état de santé en raison de l'état de sa voiture après l'effondrement. Une partie de la dalle de béton se serait écroulée sur sa voiture. De nombreux pompiers ont été dépêchés sur les lieux pour sécuriser l'endroit. Ils ont procédé à l'évaluation de la structure afin de prévenir un nouvel effondrement en plus d'installer des poteaux de soutènement pour solidifier le reste de la structure. Les pompiers ont confirmé qu'une personne inconsciente était toujours coincée dans sa voiture et qu'ils tentaient de dégager les décombres à l'aide de marteau-piqueur pour lui porter secours. Une équipe tactique d'ambulanciers tentait aussi d'atteindre la victime à l'aide de câbles. Les services d'urgences procèdent également à un recensement téléphonique afin de vérifier s'il y a d'autres victimes coincées sous les décombres. Des témoins soutiennent avoir remarqué des fissures et des infiltrations d'eau. Sans être surpris qu'un incident survienne, ils sont surpris de l'ampleur de l'incident. Par mesure de précaution, un immeuble d'habitation d'une vingtaine d'étages, adjacent au stationnement, a été évacué. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/11/26/001-effondrement_deguire_n.shtml (26/11/2008 12H18) Vidéo: http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/11/26/001-effondrement_deguire_n.shtml#
  10. Le lundi 11 août 2008 Montréal-Nord s’embrase Philippe Orfali, Hugo Meunier, Patrick Lagacé et Martin Croteau La Presse Montréal-Nord s'est embrasé hier soir après avoir passé 24 heures sous tension. Samedi soir, Fredy Villanueva, 18 ans, a été tué par la police, et deux autres jeunes ont été blessés. Hier soir, le ressentiment d'une partie de la population a éclaté sous forme de brasiers, de voitures saccagées et de commerces pillés. Au plus fort des affrontements, peu avant minuit, des émeutiers ont échangé des coups de feu avec des policiers retranchés derrière leurs voitures de patrouille, sur le boulevard Maurice-Duplessis. Tous les abribus du secteur ont été fracassés. Des commerces ont été pillés et la marchandise volée a servi à allumer une quinzaine d'incendies un peu partout dans le secteur. À mesure que la soirée avançait, les émeutiers se sont déplacés vers l'est. Au coin du boulevard Langelier, ils ont mis le feu à des bonbonnes de propane, provoquant de violentes explosions. Des casseurs ont utilisé des scooters pour transporter du carburant et alimenter les dizaines de feux qui flambaient dans le secteur. Pendant ce temps, des curieux approchaient par centaines, prenaient des photos, filmaient la scène avec leurs téléphones cellulaires. «C'est bien fait, la police le méritait», a déclaré une spectatrice, croisée près du théâtre des affrontements. Boulevard Rolland, là où tout a commencé, des éclats de verre couvraient la chaussée, restes des bouteilles lancées vers les agents. Les policiers de l'escouade antiémeute, équipés de casques, de boucliers et de matraques, sillonnaient le quartier par groupes pour contenir les débordements. Et des dizaines de feux illuminaient les rues autour du parc Henri-Bourassa, au coin du boulevard Rolland et de la rue Pascal. Peu avant 22h, des voitures ont pris feu devant la caserne de pompiers située à cette intersection. C'est derrière ce bâtiment que, la veille, un policier du SPVM a abattu le jeune Fredy Villanueva. Les pompiers qui ont voulu éteindre le brasier se sont fait lancer des bouteilles, des pierres et des projectiles en tous genres. Lorsqu'ils ont battu en retraite, les feux allumés un peu partout dans le secteur ont brûlé librement. Et des pillards ont saccagé la caserne. Les voitures, poubelles, tables de pique-nique et bonbonnes de propane incendiées se sont multipliées dans les minutes suivantes. Peu après 23h, une fourgonnette garée devant un immeuble commercial au coin des rues Arthur-Chevrier et Rolland a pris feu à son tour. Les flammes ont effleuré l'immeuble, qui abrite un club vidéo, un restaurant, un magasin à 1$ et une douzaine d'appartements. Comme les pompiers étaient hors-jeu, les policiers se sont adressés aux citoyens. Ils ont demandé à quiconque possédait des boyaux d'arrosage de participer aux efforts pour combattre les flammes. Pendant quelques minutes, un policier de l'escouade antiémeute a été seul à tenter d'éteindre le feu. Ce n'est qu'à 23h45 qu'un camion de pompiers, escorté par des policiers, a pu se frayer un chemin jusqu'à l'immeuble. Au moment de mettre sous presse, vers 1h30, les policiers tentaient toujours de disperser les casseurs retranchés à l'intersection des boulevards Maurice-Duplessis et Langelier, le dernier foyer de résistance. Policiers blessés Deux policiers ont été blessés pendant les émeutes, a indiqué le porte-parole du SPVM, Raphaël Bergeron. Une agente a dû être évacuée de toute urgence après avoir reçu une balle dans la cuisse, mais sa vie ne serait pas en danger. Un autre agent a reçu un objet dans le pied. Un ambulancier qui travaillait sur les lieux a aussi été blessé lorsqu'il a reçu un projectile sur la tête. Les membres des médias n'ont pas été épargnés. Un caméraman de TVA a été pris à partie par des émeutiers. Et un photographe de La Presse, Robert Skinner, a été attaqué par des pillards. Trois jeunes hommes lui ont fracassé une bouteille sur la tête pour ensuite lui voler ses appareils photo. Une casse annoncée Samedi soir, un policier et une policière ont abordé un groupe de jeunes qui jouaient aux dés dans le stationnement du parc Henri-Bourassa. Ils ont interpellé Dany Villanueva, 22 ans, qui a refusé de coopérer. Selon des témoins, un membre de sa bande a sauté au cou d'un des agents. Dans la mêlée, celui-ci a dégainé son arme et a tiré quatre coups de feu. Le frère de Dany, Fredy Villanueva, est mort. Deux de ses amis ont été blessés. La nouvelle du drame s'est répandue comme une traînée de poudre à Montréal-Nord, un quartier notoirement fréquenté par les gangs de rue. Dans la journée d'hier, plusieurs habitants du secteur ont clamé leur ras-le-bol face à la «brutalité policière» dans leur quartier. D'autres promettaient déjà de venger la jeune victime. «J'ai entendu un jeune parler à des flics, raconte Mathieu, 28 ans, rencontré au plus fort des émeutes. Il leur disait que si ça avait été quatre Blancs, ils n'auraient jamais fait ça.» À la fin de l'après-midi, des dizaines de personnes sont spontanément descendues dans la rue, certaines brandissant des photos du jeune homme de 18 ans. «C'est une manifestation pacifique qui a mal tourné», a résumé une dame qui a refusé de dévoiler son identité. Les casseurs n'étaient pas les seuls à en vouloir au SPVM. Des centaines de voisins, femmes, vieillards, enfants, ont voulu manifester leur colère. «Ce n'est pas un conflit entre Blancs et Noirs, a affirmé un manifestant. C'est un conflit entre les jeunes de Montréal-Nord et la police.» Vers 22h30, des policiers ont remonté la rue Rolland vers le nord en frappant leur bouclier de leur matraque. Ils ont pris position au coin des rues Arthur-Chevrier et Rolland, à quelques mètres d'un groupe de spectateurs qui ne participaient pas à la casse. Lorsque cinq policiers ont foncé vers la foule, une femme haute comme trois pommes n'a pu fuir. Elle a été matraquée et violemment projetée au sol. Un homme s'est alors avancé vers le cordon policier. «On est nés ici, on ne vient pas d'ailleurs! leur a-t-il scandé. Cette journée-ci, on va s'en rappeler. Nous sommes les otages de notre quartier.» Pour plusieurs habitants de Montréal-Nord, les événements d'hier sont le point culminant d'une série d'affrontements entre policiers et jeunes. Et plusieurs s'inquiètent de l'escalade qui échauffe leur quartier. «Ce n'est que le début», a prévenu une femme d'une quarantaine d'années qui observait la scène. Le secteur des émeutes Les rues situées dans ce secteur de Montréal-Nord ont été au coeur des émeutes d'hier soir. Ces événements sont survenus après la mort d'un jeune homme tué par la police samedi. Plusieurs incendies ont été allumés dans les rues et une caserne de pompiers a notamment été saccagée hier soir. http://www.cyberpresse.ca/article/20080811/CPACTUALITES/80810133/6488/CPACTUALITES
  11. Mise à jour : 11/07/2008 11:40 Holiday Inn de Montréal Les balcons de l'hôtel risquent de tomber LCN Les pompiers de Montréal ont été appelés d'urgence, ce matin, au Holiday Inn Sinomonde pour vérifier la solidité d'une vingtaine de balcons. Les pompiers ont été capables d'enlever des morceaux de brique. De la ficelle blanche est installée à certains endroits pour maintenir en place des parties des balcons. Un périmètre de sécurité a été érigé autour de l'hôtel du quartier chinois. La direction n'a pas voulu commenter. La présence des pompiers a perturbé la manifestation de certains employés de l'hôtel, en grève depuis jeudi.
  12. Une boîte de nuit est la proie des flammes Mise à jour : 03/07/2008 05h06 Imprimer Envoyer à un ami La nouvelle en vidéo Video 1 Écoutez les précisions de David Couturier. Un incendie a lourdement endommagé une boîte de nuit du centre-ville de Montréal. Les flammes ont pris naissance vers minuit, à l'intérieur de l'after-hour Le Stéréo, sur la rue Sainte-Catherine. Une centaine de pompiers ont combattu le brasier. Les pompiers ont remarqué à l'arrière du bar des traces d'effractions. Cet incendie est considéré d'origine suspecte. Il s'agit du deuxième incendie à survenir à cet endroit en l'espace d'un mois. Heureusement, il n'y avait personne à l'intérieur du commerce lorsque le feu s’est déclaré. Les dommages sont évalués à 500 000 dollars. Les bâtiments adjacents ont aussi été légèrement endommagés. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2008/07/20080703-050644.html
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