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  1. http://www.projetsverts.voirvert.ca/ À propos Une vitrine unique pour les architectes Projets verts – La vitrine de l’architecture durable au Québec met en lumière le design de bâtiments écologiques portant la signature des membres de l’Ordre des architectes du Québec (OAQ), qui peuvent y publier eux-mêmes l’information sur leurs concepts ainsi que leurs images. Développée en collaboration avec le Comité des techniques et bâtiments durables de l’OAQ, la plate-forme Projets verts est exploitée par Groupe Constructo, unité d’affaires de TC Media dont le portefeuille de médias dédiés au bâtiment écologique inclut également le magazine Voir vert. La vitrine Projets verts est liée à voirvert.ca, portail qui rejoint tous les acteurs du bâtiment durable au Québec : propriétaires et gestionnaires d’immeubles, développeurs immobiliers, architectes, ingénieurs, entrepreneurs généraux et spécialisés, fournisseurs de produits et services… Partager la connaissance Le partage de la connaissance est essentiel à l’avancement de l’architecture durable en sol québécois. Car c’est en les diffusant que les meilleures pratiques et les solutions novatrices préconisées par les uns pourront être adoptées ou appliquées par les autres. Tout comme pour les expériences qu’il vaut mieux éviter de répéter, évidemment. C’est dans cet esprit que nous avons développé Projets verts – La vitrine de l’architecture durable au Québec. Une idée qui a fait son chemin après que le Comité des techniques et bâtiments durables de l’Ordre des architectes du Québec nous eut approchés pour examiner la possibilité d’offrir à ses membres une plate-forme web leur permettant de constituer une vaste banque de projets verts. Liée à voirvert.ca, notre portail entièrement dédié au bâtiment durable, cette plate-forme permet désormais aux membres de l’Ordre de publier eux-mêmes leurs concepts et réalisations écologiques. Et, ainsi, d’exposer aux différents acteurs du milieu du bâtiment les stratégies et les mesures durables intégrées au design de leurs projets. En plus de contribuer à la diffusion de la connaissance, cette vitrine permet en outre de mettre en valeur les réalisations d’architectes qui auront plus souvent qu’autrement à sortir des sentiers battus. Car bâtir vert, c’est aussi innover. Le site Projets verts se pose comme une référence incontournable pour quiconque s’intéresse de près ou de loin au bâtiment durable. Merci à l’Ordre des architectes de nous avoir appuyés dans le développement et la mise en ligne de cet outil qui contribuera à pousser encore plus avant le verdissement de notre environnement bâti. Anik Girard Directrice générale et éditrice Groupe Constructo, division de TC Média Vue d’ensemble Comme son nom l'indique, Projets verts – La vitrine de l’architecture durable au Québec rassemble des projets réalisés avec le souci de produire un impact minimum sur la planète. Voilà une excellente initiative puisqu'au Québec, bien que de nombreux organismes publient des guides de bonnes pratiques pour inciter les professionnels à bâtir mieux et de façon plus durable, chacun a pris l'habitude de travailler dans son coin. Judicieusement liée au portail voirvert.ca, cette plate-forme vient corriger cette lacune. Sans prétendre à l’exhaustivité, elle met en lumière de petites et grandes innovations face aux mille et un aspects de la construction durable, facilitant ainsi le partage d’idées et de ressources et, espérons-le, la transmission des connaissances à grande échelle. Cette adresse est d'autant plus précieuse que la durabilité d'un bâtiment reste un concept abstrait, particulièrement en Amérique du Nord, où les certifications demeurent trop souvent le critère selon lequel on jugera sa qualité. Mais il ne faut pas oublier que la construction durable est beaucoup plus qu'une juxtaposition de techniques. Les multiples réalisations recensées par Projets verts en font d'ailleurs la démonstration par l'exemple. Souhaitons que le site profite non seulement aux architectes et aux professionnels du bâtiment, mais inspire leurs clients et en bout de ligne, la collectivité dans son ensemble. Longue vie à Projets verts ! André Bourassa Président Ordre des architectes du Québec
  2. http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/04/28/les-etats-unis-tentent-par-tous-les-moyens-d-endiguer-la-maree-noire_1343766_3244.html 'espoir d'endiguer rapidement ce qui risque de devenir l'une des pires marées noires de l'histoire des Etats-Unis s'amenuisait, mercredi 28 avril, au large de la Louisiane. La nappe de pétrole de 1000 kilomètres de circonférence s'est rapprochée à une trentaine de kilomètres du littoral. Les gardes-côtes américains envisageaient d'incendier une partie de la nappe dès mercredi pour en limiter l'impact – au risque d'une sévère pollution atmosphérique. Ravagée, le 20 avril, par une explosion et un incendie qui ont fait onze disparus, la plate-forme d'exploration Deepwater Horizon, exploitée dans le golfe du Mexique, à 70 kilomètres des côtes américaines par la compagnie British Petroleum (BP), a sombré deux jours plus tard. L'épave repose désormais par 1500 mètres de fond, mais le puits continue de déverser 160000 litres de brut par jour. Un millier de personnes sont mobilisées pour des opérations de secours qui coûtent 6 millions de dollars (4,5 millions d'euros) par jour à BP, et mettent en œuvre une batterie de solutions expérimentées pour la première fois à cette échelle, et à cette profondeur. L'échec des robots. Quatre robots sous-marins baptisés ROV — pour "remotely operated vehicules" — tentent, depuis lundi 26 avril, de fermer "manuellement" les différentes vannes de sécurité qui auraient normalement dû se déclencher automatiquement lors de l'accident. Leur cible: une valve de 450 tonnes située à la sortie du puits, à 1,5 kilomètre de profondeur, seul espoir de stopper rapidement la marée noire en arrêtant l'écoulement. "Cela n'a jamais été fait auparavant, mais nous avons les meilleurs experts du monde pour faire en sorte que ça marche", assurait un responsable de BP, Doug Suttles, lundi. Un optimisme démenti pour l'instant, même si "les robots continueront leurs tentatives aussi longtemps que nécessaire", assure Robert Wine, un porte-parole de la compagnie. Un couvercle de métal. Les ingénieurs de BP préparent une solution alternative: un couvercle métallique en forme d'entonnoir viendrait coiffer le puits pour retenir le pétrole avant qu'il se disperse dans l'océan, et l'extraire vers des barges en surface. Une méthode sans garantie, testée uniquement en eaux peu profondes, après l'ouragan Katrina, en Louisiane, en 2004. "La structure, fabriquée sur mesure, est en cours de conception et de construction. Elle devrait être prête d'ici deux à quatre semaines", indique M.Wine. Une deuxième plate-forme. Parallèlement, BP a entrepris de forer un puits de secours pour court-circuiter le premier ou pour y injecter un enduit destiné à boucher la fuite. La plate-forme Development DrillerIII, arrivée sur place lundi, devrait commencer à forer d'ici quelques jours. Cette solution prendra "deux à trois mois", selon BP. Mais face au coût d'un forage supplémentaire — 100millions de dollars —, la compagnie ne perd pas son sens des affaires: "Une fois les opérations de secours terminées, puits et plate-forme serviront à la production de pétrole en remplacement des éléments détruits par l'explosion", explique Robert Wine. L'environnement menacé. Le fragile écosystème du golfe du Mexique est soumis à une intense activité pétrolière: plus de 3500 plates-formes y exploitent des nappes profondes au très fort potentiel, mais dont le forage représente un défi technique à haut risque. Située à deux ou trois jours des côtes seulement, la marée noire menace les zones humides, les réserves naturelles et les sites de nidification de Louisiane, du Mississippi, d'Alabama et de Floride. Sans oublier que 40 % des fruits de mer consommés aux Etats-Unis proviennent de Louisiane, où le commerce des huîtres, des crabes et des crevettes pourrait être fortement touché. D'ores et déjà, "le milieu marin est certainement affecté", estime Cynthia Sarthou, directrice de l'association de protection de l'environnement Gulf Restoration Network, à La Nouvelle-Orléans, inquiète pour les cachalots, les requins et les dauphins qui peuplent ces eaux. "La fine nappe que l'on observe ne montre que la part de pétrole qui remonte à la surface. On ne sait pas quelle quantité de pétrole reste en suspension dans l'océan et se disperse entre deux eaux, ou se dépose pour toujours sur le fond, deux cas de figure très nocifs pour les espèces marines et les écosystèmes", précise Mme Sarthou, selon qui l'impact de trois mois d'écoulement sous-marin de brut risque d'être catastrophique. Des enquêtes en cours. Inflammation du pétrole, explosion due au gaz, négligences? Une enquête sur les causes de la catastrophe a été confiée aux gardes-côtes des Etats-Unis et au Mineral Management Service (MMS), l'administration chargée de délivrer les permis de forer. BP et la société suisse Transocean, propriétaire de la plate-forme construite en 2001, vont diligenter leur propre enquête. BP avait rejeté, en septembre 2009, un renforcement des règles de sécurité demandé par le MMS. Un refus qui pourrait lui coûter cher si sa responsabilité était avérée: des entorses aux règles de sécurité par souci d'économie ont déjà entraîné deux accidents tragiques sur des sites de la compagnie aux Etats-Unis, l'explosion de la raffinerie de Texas City en 2005 et la pollution de Prudhoe Bay, en Alaska, en 2006.
  3. La compagnie aérienne a fait l'achat de Servair Private Charter SA et servira de plate-forme d'exploitation pour le parc aérien de Lufthansa Private Jet. Pour en lire plus...
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