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  1. Ville de Montréal - Portail officiel - Détail du communiqué Réaménagement de la rue Saint-Hubert et remplacement de la marquise - La Ville investit 50 M$ pour redynamiser la Plaza Saint-Hubert 5 février 2017 Montréal, le 5 février 2017 – Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, accompagné de M. Marc-André Gadoury, responsable du dossier vélo au sein de l'Administration Coderre et de Mme Érika Duchesne, conseillère de la Ville pour l'arrondissement Rosemont–La Petite-Patrie, a annoncé aujourd'hui les grands principes du projet de réaménagement de la Plaza Saint-Hubert, située sur la rue Saint-Hubert, entre les rues de Bellechasse et Jean-Talon. « Je suis heureux de vous annoncer que mon Administration investira environ 50 M$ pour refaire les infrastructures de la Plaza Saint-Hubert, réaménager la rue et remplacer la marquise, qui en avait bien besoin. Nous allons redonner à la Plaza Saint-Hubert ses lettres de noblesse, la propulser au 21e siècle et offrir aux Montréalais un espace de vie agréable et une expérience commerciale unique et attractive », a déclaré M. Coderre. Les travaux d'infrastructure et d'aménagement de surface visent à mettre à niveau les infrastructures souterraines, dont les conduites d'égout et d'aqueduc, à améliorer l'esthétisme et la convivialité de la rue et la visibilité des commerces. En accord avec les commerçants et la Société de développement commercial (SDC) de la Plaza Saint-Hubert, la marquise, installée en 1984 et qui constitue l'emblème de cette rue commerciale, sera démantelée. Une nouvelle marquise, plus légère, plus claire, n'obstruant pas les fenêtres du deuxième étage des bâtiments sera installée. À cette occasion, la Ville de Montréal mettra en place un programme, le PRAM-Artères en chantier, destiné notamment à offrir des subventions aux propriétaires des bâtiments pour leur permettre d'effectuer des rénovations sur leurs façades avant l'installation de la nouvelle marquise. « La nouvelle marquise, des places publiques pour mettre en valeur certains bâtiments, des trottoirs plus larges, du nouveau mobilier, un éclairage plus performant et des arbres qui ne seront plus, enfin, situés sous la marquise, feront de cette rue commerciale unique à Montréal un endroit où il fera bon se promener pour découvrir ou redécouvrir les commerces », a ajouté M. Lionel Perez, membre du comité exécutif responsable des infrastructures au comité exécutif. Démarche participative, chantier exemplaire Dans sa volonté affirmée de faire du projet de réaménagement de la rue Saint-Hubert un chantier exemplaire en matière de concertation, de consultation et de gestion de chantier, la Ville de Montréal a tenu, depuis 2012, diverses activités auxquelles la SDC de la Plaza Saint-Hubert, les commerçants, les usagers et les résidents ont pris part. Afin d'atténuer l'impact des travaux et pour augmenter l'attrait de la Plaza Saint-Hubert avant, pendant et après les travaux, la Ville de Montréal a fait appel à des firmes de concepteurs afin qu'elles développent, en concertation avec les citoyens, des pistes d'intervention permettant d'animer la rue et d'améliorer l'expérience des usagers. Les détails de ces mesures de mitigation seront dévoilés ultérieurement. Pour en apprendre davantage sur le projet, consulter le lien suivant : ici. [TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=width: 217][/TD] [TD=width: 555][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=width: 100%][h=1]Réaménagement de la rue Saint-Hubert[/h]La rue Saint-Hubert a plus de cent ans. Caractérisée par sa marquise de verre construite en 1984, elle est une artère commerciale majeure de la ville de Montréal. Mieux connue sous le nom de Plaza St-Hubert, cette portion de la rue, située entre les rues de Bellechasse et Jean-Talon, a connu certaines transformations au cours des dernières années. À la fin de 2018, la Ville de Montréal procédera à d’importants travaux dont : La mise à niveau des infrastructures souterraines (conduites d’égout et d’aqueduc); Le remplacement de la marquise par une installation plus légère et plus claire; L’élargissement des trottoirs; L’aménagement de places publiques et la mise en place de mobilier urbain distinctif; L’alignement d’arbres en bordure de la marquise. Ces travaux auront pour effet d’augmenter le confort et la convivialité de cette artère tout en améliorant son esthétisme et la visibilité de ses commerces. [h=2]Mise en valeur du chantier et de l’artère commerciale[/h]Dans le but d’augmenter l’attrait de la Plaza St-Hubert avant, pendant et après les travaux, la Ville de Montréal a fait appel à quatre firmes de concepteurs, Atomic 3, Daily tous les jours, la SHED, et Muhidin Kadric afin qu’elles développent des pistes d’intervention permettant d’animer la rue et d’améliorer l’expérience de ses usagers. Précisons que les idées retenues s’inspirent de celles proposées par les citoyens lors d’une consultation publique ayant eu lien en 2016. Par ailleurs, afin de soutenir l’activité commerciale pendant les travaux, la Ville de Montréal lancera le PR@M Saint-Hubert qui comprend également un volet d’aide à la rénovation des commerces. [/TD] [TD=width: 15][/TD] [/TR] [TR] [TD=width: 100%, colspan: 3][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 100%] [/TABLE] [/TD] [TD=width: 217][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD][TABLE=class: RegionNoBorder, width: 100%] <tbody>[TR] [TD=class: RegionHeaderColor, width: 100%][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD][TABLE=class: RegionNoBorder, width: 100%] <tbody>[TR] [TD=class: RegionHeaderColor, width: 100%] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE]
  2. http://www.ledevoir.com/societe/education/454283/uqam-le-pavillon-judith-jasmin-sera-agrandi L’UQAM entend procéder à des travaux d’agrandissement du pavillon Judith-Jasmin afin d’offrir des espaces supplémentaires à la Faculté de communication. L’université a récemment approché la Ville de Montréal pour lui demander l’autorisation d’entreprendre, dès 2016, des travaux d’agrandissement pour son pavillon situé sur le boulevard De Maisonneuve. Cette autorisation est requise, car la Ville détient des droits sur l’immeuble en raison d’une entente d’acte emphytéotique d’une durée de 64 ans conclu en 1974 avec l’université. Le pavillon est situé dans le secteur de la station de métro Berri. Directrice des relations avec les médias de l’UQAM, Jenny Desrochers a confirmé mardi soir que l’université souhaitait agrandir le pavillon Judith-Jasmin « afin de répondre à un besoin d’espaces académiques destinés notamment à la Faculté de communication qui loge dans ce pavillon ». Mais elle n’a pas été en mesure de donner d’autres détails sur le projet. L’agrandissement du pavillon Judith-Jasmin figurait dans le Plan directeur immobilier (PDI) adopté en 2011 par l’UQAM à la suite du dérapage dans le dossier de l’îlot Voyageur. Il était notamment question d’ajouter deux étages au pavillon. Mercredi matin, les membres du comité exécutif de la Ville seront appelés à se prononcer sur la demande d’autorisation soumise par l’UQAM. La Ville devra par ailleurs régler la question du bail emphytéotique, puisqu’elle s’est rendu compte que le document en question n’avait jamais été signé par les parties même si, pendant toutes ces années, l’UQAM a versé à la Ville les rentes qu’elle lui devait. sent via Tapatalk
  3. On retourne à nos anciennes amours, du temps des années 60s où la PVM offrait sur le toit de l'édifice un observatoire et une grande terrasse extérieure pour admirer Montréal. C'est maintenant une version plus moderne et certainement plus percutante qu'on prévoit au sommet de la belle dame de Montréal. Voici le lien et le texte http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201403/21/01-4749884-place-ville-marie-un-observatoire-high-tech-au-sommet.php Publié le 21 mars 2014 à 06h25 | Mis à jour à 06h25 Place Ville Marie: un observatoire high-tech au sommet Été comme hiver, les clients de l'observatoire de... (Photo Graham Hughes, archives PC) Été comme hiver, les clients de l'observatoire de la Place Ville Marie auront de loisir de s'attabler à l'une des deux grandes terrasses extérieures chauffées au 44e étage et d'admirer des vues imprenables sur le centre-ville, le mont Royal et le fleuve Saint-Laurent. André Dubuc La Presse Montréal comptera bientôt sur une nouvelle attraction touristique de premier plan avec l'aménagement d'un observatoire multimédia interactif de plus de 10 millions de dollars en lieu et place du Club Lounge Altitude 737, fermé il y a plus d'un an. Aménagé aux trois derniers étages de l'immeuble cruciforme du centre-ville, le projet, qui occupera une superficie de 15 000 pieds carrés et obtenu par La Presse Affaires dans ses grandes lignes en exclusivité, comprend l'aménagement d'un restaurant de qualité de type brasserie. L'établissement de 120 places offrira aux visiteurs «les plats que les Montréalais aiment», nous dit-on. Vues imprenables Été comme hiver, ses clients auront de loisir de s'attabler à l'une des deux grandes terrasses extérieures chauffées au 44e étage et d'admirer des vues imprenables sur le centre-ville, le mont Royal et le fleuve Saint-Laurent. La future attraction touristique s'inspire de l'observatoire Top of the Rock du Rockefeller Center et de celui de l'Empire State Building, à New York. Outre la vue, les visiteurs seront conviés à vivre une expérience en haut de Place Ville Marie avec du contenu, des écrans et des interactions. On va être en mesure de comprendre tout ce que Montréal a à offrir en une seule visite, entend-on, en coulisses. Il est question, bien que rien ne soit arrêté pour le moment, d'une exposition permanente qui fera découvrir la ville et son passé par le regard de personnalités montréalaises. Le montage financier n'a pas encore été dévoilé. Mais le projet réunit une poignée d'investisseurs à la feuille de route bien remplie: Claridge, la société d'investissement de la famille Bronfman, le propriétaire immobilier Ivanhoé Cambridge, filiale de la Caisse de dépôt et placement, et la firme de design montréalaise gsmprjct°. Cette dernière a réalisé les observatoires Ion Sky du complexe Ion Orchard à Singapour en 2010 et At the Top, Burj Khalifa à Dubaï au 124e étage de la tour du même nom. Il paraît plausible de penser que gsmprjct° installera à l'observatoire de PVM son TellscopeMC, un appareil qu'elle a créé en 2010 et qui permet aux visiteurs, selon leur bon vouloir, de contempler la ville le jour, la nuit, l'été, l'hiver et même à des époques différentes. Plus près de nous, on doit à gsmprjct° la réalisation du Temple de la renommée du Canadien au Centre Bell. Et si on recule dans le temps, c'est la firme de design fondée par Jacques Guillon qui a dessiné les wagons bleus et le logo du métro de Montréal. Il y aura un tarif d'entrée, mais des abonnements annuels seront disponibles. L'ouverture de l'observatoire est prévue en juin 2015.
  4. Quelqu'un sait si ce édifice est démolie pour le quartier des spectacles ? Ça va faire un beau lot. (D'ailleurs, les entrepreneurs en démolitions me semblent passablement occupé dans ce temps ci !)
  5. Réaménagement du Square Phillips Même s'il fait partie du Projet Sainte-Catherine Ouest, je propose un nouveau fil pour discuter du réaménagement du Square Philips et des rues le bordant (incluant la place du Frère‐André) qui va être effectué entre 2019-2021.
  6. Hopefully this is as a good beginning to make the square more inviting. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201506/05/01-4875580-montreal-va-demolir-lagora-du-square-viger.php Refuge pour des dizaines d'itinérants, l'agora du square Viger sera démolie dans le cadre d'un projet de 28,3 millions de la Ville de Montréal pour réaménager les abords du futur CHUM. La disparition de cette oeuvre d'art est décriée tant par la famille de l'artiste que par Héritage Montréal. Le projet de réaménagement du square Viger Principal élément de ce projet majeur, la Ville a décidé de détruire la structure de béton sous laquelle des itinérants campent depuis plusieurs années. Voilà, la structure en question est une oeuvre d'art de l'artiste Charles Daudelin, mort en 2001. L'élu Richard Bergeron ne cache pas que la démolition de l'oeuvre ne plait pas à la famille de l'artiste. Montréal dit ne pas avoir le choix de la faire disparaître, invoquant un «enjeu majeur de sécurité publique», cet endroit étant utilisé notamment par des consommateurs de drogue. Le maire Denis Coderre a d'ailleurs insisté sur le besoin d'améliorer la sécurité dans ce secteur. «C'est un îlot qui fait peur», dit Richard Bergeron, qui blâme son aménagement. Pour honorer le travail de Charles Daudelin, Montréal entend garder une autre oeuvre que l'artiste a aménagée sur ce site, Mastodo. Celle-ci n'a jamais été pleinement mise en valeur en raison de problèmes de conception que Montréal souhaite régler. Seul hic, la famille de Charles Daudelin n'a toutefois pas encore donné son autorisation. Si la famille refuse, c'est une autre fontaine qui sera aménagée. La disparition de l'agora indigne grandement Héritage Montréal qui avait classé cette oeuvre parmi les éléments patrimoniaux à risque depuis plusieurs années. «On est une métropole culturelle et on passe le bulldozer. Pour faire quoi? Pour faire un aménagement digne d'une banlieue», a déploré Dinu Bumbaru. Fermeture en novembre Le square Viger sera complètement fermé et clôturé en novembre prochain. La trentaine d'itinérants qui y campent perdra ainsi son toit. Montréal dit vouloir les aider à se déplacer. Cet espace public est un endroit central pour les itinérants en raison de sa proximité de plusieurs ressources, comme l'Accueil Bonneau ou la Mission Old Brewery. Paradoxalement, l'endroit est surtout fréquenté par ce que Montréal qualifie d'une trentaine d'«irréductibles», qui refusent les services. En témoigne souvent leur refus de quitter l'endroit l'hiver malgré les grands froids. Les itinérants reviendront-ils au square Viger une fois les travaux terminés? Celui-ci sera fermé pendant un an et demi et le nouvel aménagement ne sera plus autant accueillant pour eux. Le nouveau square n'aura en effet plus de structure sous laquelle les itinérants pourront camper. Des bancs de parcs seront installés dans le parc, mais ceux-ci seront conçus pour s'assoir. Des dispositifs rendront difficiles de s'y coucher. Plusieurs projets sont en cours dans le secteur entourant le CHUM. Une place publique sera aménagée autour de la station de métro Champ-de-Mars dans le cadre du projet de recouvrement de l'autoroute Ville-Marie. Montréal entreprendra sous peu aussi la réfection de l'hôtel de ville, ainsi que de la place Vauquelin, voisine.
  7. Mario Cloutier La Presse Futur objet d'une cure de rajeunissement extérieure dans le cadre du Quartier des spectacles, la Place des Arts planifie une transformation extrême de son foyer intérieur, un projet de 12 millions. Le concept intitulé Grand foyer culturel de la Place des Arts prévoit une toute nouvelle façade dans la rue Sainte-Catherine, la création d'une immense verrière, d'aires d'animation et d'exposition, ainsi que le déménagement de la billetterie dans l'axe de la nouvelle salle de l'OSM. L'actuel hall des pas perdus menant au métro, où déambulent 35 000 personnes par jour, sera également complètement réaménagé pour permettre à la vidéo de remplacer les colonnes Morris. Ces changements intérieurs seront visibles de l'extérieur de la PdA et mis en lumière par un nouvel éclairage utilisant des tons de rouge qui sont la marque de commerce du Quartier des spectacles (QdS). «On réfléchit à cette conception depuis un certain temps, explique Marie Lavigne, directrice générale de la Société de la Place des Arts. L'idée était de transformer véritablement cet espace en place publique culturelle, en lieu d'animation continue. Ça fait partie de notre mandat de favoriser l'accès à la culture et de la promouvoir.» La Place des Arts compte préparer les plans et devis du projet en 2008 pour que les travaux puissent se terminer «le plus possible» avant le début de la construction de la nouvelle salle de concert de l'OSM, probablement à l'automne 2009. Chose certaine, ce réaménagement majeur ne devra pas affecter les activités culturelles. La PDA complète également en ce moment le montage financier de ce projet évalué à 12 millions. «On a eu un bon accueil au gouvernement, estime Mme Lavigne. Il faut comprendre que nous visons une place publique intérieure qui, grâce à son animation, s'inscrit tout à fait dans la dynamique du Quartier des spectacles. La salle des pas perdus était littéralement perdue pour la culture, alors nous procédons à la réappropriation culturelle des espaces.» Expositions, spectacles Sous l'esplanade de la PdA, de la rue Sainte-Catherine jusqu'au métro, le vaste espace disponible est de 43 000 pieds carrés. De plus en plus d'expositions étaient présentées dans le hall, mais la nouvelle aire d'exposition permanente prendra la place de la billetterie. Celle-ci sera rapprochée de la future salle de concert. Elle sera accessible et visible de l'extérieur. Le nouveau foyer se veut d'ailleurs un lieu beaucoup moins renfermé, plus ouvert à la lumière naturelle. «Le hall n'est pas si éloigné du sol, mais on a l'impression d'entrer dans un souterrain. La verrière permettra d'enlever cet effet sous-sol», explique la directrice. Le concept veut créer un «espace animé, convivial, souple et branché», explique un dépliant de huit pages. Fait inusité, il a d'ailleurs été développé par des artistes à la demande de la PdA: le scénographe Luc Plamondon, le vidéaste Érik Villeneuve, l'éclairagiste François Roupinian et le compositeur Michel Smith. Des spectacles pourront ainsi être présentés en récupérant des espaces qui servent, en ce moment, de halls d'entrée pour les différentes salles de la PdA. «Ce sera ouvert autant à la relève qu'à la diversité des genres musicaux», assure Mme Lavigne. Façade L'un des problèmes majeurs de la PDA est son entrée rue Sainte-Catherine, fort mal identifiée. Le nouveau concept fait littéralement exploser la façade avec divers panneaux animés de projections multimédias. Le plan lumière, quant à lui, est imposant puisqu'il inonde de lumière les cinq salles de l'endroit. «On travaille en collaboration avec le partenariat du Quartier des spectacles. Notre plan lumière peut être modulé selon les événements. Il y a moyen de tirer partie de l'architecture tout en faisant en sorte que ce soit vivant et intéressant», note Marie Lavigne.
  8. Un groupe de travail formé de résidents et de représentants d'organismes du Plateau-Mont-Royal dévoile un projet rassembleur autour de la station de métro Mont-Royal. Cette proposition de nouvelle place publique, entourée d’équipements culturels de grande qualité, se veut une réponse : - à l’intention de la STM d’effectuer des travaux importants afin de donner un accès universel aux quais de la station de métro Mont-Royal; - à la détérioration avancée de la place Gérald-Godin. Rappelons que la Maison de la culture et la bibliothèque du Plateau-Mont-Royal, en raison de leur exiguïté et de leur désuétude, doivent impérativement être mises aux normes, comme le réclame la communauté du Plateau depuis plus de 15 ans. La nouvelle place Gérald-Godin serait entièrement dégagée sur ses façades nord et est, de l’édicule du métro jusqu'aux bâtiments patrimoniaux qui le bordent, facilitant ainsi les déplacements pour les personnes à mobilité réduite et la tenue d'évènements de quartier. Autre bénéfice, ce nouvel aménagement augmenterait les vues sans entrave vers des biens culturels de grande importance. De plus, une zone de rencontre s'étendrait autour de la place jusqu'à la rue St-Hubert afin de mettre en valeur, notamment, le sanctuaire du Très-Saint-Sacrement (bâtiment classé historique), lequel donne sur l'avenue du Mont-Royal. Un centre culturel, comprenant une nouvelle bibliothèque, la Maison de la culture et la Maison de la poésie, serait, par ailleurs, érigé dans un nouveau bâtiment sur l'actuel stationnement du Centre de services communautaires du monastère, le long de la rue Berri. Les espaces ainsi libérés (par le déménagement de la bibliothèque et de la maison de la culture) dans le bâtiment St-Basile pourraient accueillir la mairie d’arrondissement. En outre, le marché public emménagerait sous un nouveau toit, de l'autre côté de la station de métro (en bordure de la rue Rivard), et jouxterait le kiosque d'information touristique. Enfin, des aires de détente, de la végétation et du mobilier urbain permettraient d'assurer une plus grande quiétude aux abords des zones résidentielles. À la veille des élections municipales à Montréal, le Groupe de travail demande donc aux candidats aux élections sur le Plateau-Mont-Royal de s'engager fermement sur : 1) la construction d’un nouveau Centre culturel au cœur du Plateau-Mont-Royal; 2) le réaménagement de la place Gérald-Godin; 3) le recours à un tiers neutre tel l'Office de consultation publique de Montréal pour encadrer l’ensemble de la démarche. Le Groupe de travail sur le réaménagement de la place Gérald-Godin est formé de résidents des rues Berri et Rivard, de Plateau Arts et Culture, du Kiosque Mont-Royal, de Resto-Plato, du Centre de services communautaires du monastère, de la Corporation des marchés publics de Montréal et de la Société de développement de l'Avenue du Mont-Royal. Pour plus d’informations : http://plateauartsetculture.wordpress.com
  9. Place Fairmount Un autre projet pour le Mile-End, une place publique sera créée devant l'école Robert-Gravel sur la rue Fairmount, pas loin de Saint-Laurent. Le design semble assez poussé pour un petit projet, avec différentes surfaces pour le sol, etc... Le projet est dans la continuité d'autres corridors verts dans le secteur, il y a de plus en plus des parcours cohérents pour les piétons pour rejoindre le Mile-End à travers le secteur Saint-Viateur Est.
  10. Île aux volcans Intersection des rues Marquette et de Drucourt
  11. Aménagement du parvis de Biencourt Un concours de design avait été lancé pour l'aménagement du parvis de Biencourt (sur Biencourt entre Monk et Briand) devant le théâtre Paradoxe dans Ville-Émard. Le projet gagnant a été annoncé aujourd'hui par l'arrondissement du Sud-Ouest
  12. La nouvelle avait été partagée par Scarlet dans les actualités, mais le contrat est maintenant accordé, et nous avons eu droit à un aperçu du résultat. Emplacement: Terrasse Mercure, entre les rues Fullum et Chapleau (Plateau-Mont-Royal)
  13. http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_rue.php?id=65[TABLE=width: 630, align: center] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] [TR] [TD=align: right][TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 630, align: center]FICHE D'UN ESPACE PUBLIC [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 60%, bgcolor: #C8B0B1]Place Vauquelin[/TD] [TD=width: 40%][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Photographie prise vers 1900 montrant la place depuis son côté nord-est en direction de la colonne Nelson; à gauche se trouve la fontaine à Neptune et à droite un kiosque à journaux en forme de bouteille. Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Albums de rues E.-Z. Massicotte, 3-128-b[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Photographie prise vers 1900 montrant la place depuis la rue Notre-Dame en regardant vers le nord; à l’arrière-plan se trouve le Drill Hall, rue Craig (rue Saint-Antoine actuelle). Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Albums de rues E.-Z. Massicotte, 3-170-b[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Photographie prise vers 1930 depuis l’édifice de La Sauvegarde allant vers l’Hôtel de Ville. A cette époque les voitures circulent de part et d'autre de la place, entre la rue Notre-Dame et le Champ-de-Mars. Ville de Montréal, Gestion de documents et archives, Z-21-1[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 50%, bgcolor: #C8B0B1]Histoire[/TD] [TD=width: 50%][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure_bas, bgcolor: #EDE8DE, align: left]Située entre la rue Notre-Dame et le Champ-de-Mars, entre l'Hôtel de Ville et l'ancien Palais de justice, la place Vauquelin occupe un site qui, pendant longtemps, était occupé ou limité par des institutions religieuses, puis civiles. Les Jésuites y ont établi leur résidence à partir de 1692, et, suite à la confiscation de leur propriété après la Conquête, l'immeuble est aménagé en prison vers 1768. En 1803, un incendie a endommagé le bâtiment et, bien qu'on y a fait des réparations temporaires, le gouvernement fait construire une nouvelle prison sur le site de 1808 à 1811. Trop petit face à une population qui croît rapidement, l'immeuble perd sa fonction de prison suite à la construction de la nouvelle prison du Pied-du-Courant en 1836. Pendant un an, le bâtiment abrite la « House of Industry » mais les Rébellions de 1837-1838 entraînent son réaménagement en caserne. Cette fonction est confirmée en 1840 lorsque le gouvernement cède l'immeuble aux principaux officiers de l'artillerie pour en faire les casernes Queen's. Cette nouvelle affectation ne durera que six ans, et en 1846 le gouvernement reprend l'immeuble et le démolit en vue de faire construire l'ancien Palais de justice en 1850. La démolition de l'ancienne prison libère un espace dont seulement la partie ouest est requise pour le nouveau palais de justice. Dès 1858, le reste de ce terrain (dont les limites latérales sont exactement alignées sur le prolongement des bornes de la place Jacques-Cartier) est aménagé en place publique nommée place Neptune. Au centre de la nouvelle place, une fontaine à vasques était surmontée par une petite statue du dieu de la mer. À partir de 1895, la place est dotée d'une autre structure tout à fait originale : un kiosque à journaux en forme de bouteille faisant l'annonce du cognac Jockey-Club V.S.O.P. La province conserve la propriété de la place, mais à partir de 1902, la Ville loue le terrain pour la somme d'un dollar par année, à la charge de l'entretenir. En 1924, suite à la reconstruction de la mairie, la place prend, pendant une courte période, le nom de place de l'Hôtel-de-Ville. Mais six ans plus tard, l'appellation change encore. En 1930, à la suite d'une souscription populaire, on érige une statue à la mémoire de Jean Vauquelin (1728-1772), oeuvre du sculpteur Paul-Eugène Benet. Vauquelin, capitaine de navire français, s'est illustré lors de la défense de Louisbourg pendant la guerre de la Conquête. Un mois après le dévoilement du monument, la Ville de Montréal renomme la place en hommage à ce héros. En 1966, la place est aménagée pour prendre la forme qu'on lui connaît aujourd'hui. Jusque là, les voitures circulaient de part et d'autre de la place, entre la rue Notre-Dame et le Champ-de-Mars. La statue de Vauquelin est alors déplacée, et prend plus de recul face au monument à l'amiral Nelson. D'autres travaux complémentaires seront réalisés en 1984.[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: center][/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]La place Vauquelin, photo prise en 2002. © Denis Tremblay, 2002[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 550, bgcolor: #C8B0B1]Localisation[/TD] [TD=width: 80, align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure, bgcolor: #EDE8DE, align: left] Secteur de l'hôtel de ville [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 352, bgcolor: #C8B0B1]Pour plus d'informations...[/TD] [TD=width: 278, align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure, bgcolor: #EDE8DE, align: left]Pour plus d'information sur l'histoire de cet espace public, veuillez consulter les sources suivantes : Sources - Rues et places Ville de Montréal, Rues (1995), p. 485 [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: left]Droits réservés. Données mises à jour le 30 décembre 2005[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=class: bordure_bas, width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: left]| Accueil | Index | Contactez-nous |[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure_bas, width: 244, align: left] [/TD] [TD=class: bordure, width: 366][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE]
  14. Griffintown: Montréal lance un concours de design pour la rue Smith La petite artère deviendra un axe important de la première phase du projet Jeanne Corriveau Le Devoir 8 janvier 2011 Montréal La Ville de Montréal lancera un concours de design pour refaire une beauté à la rue Smith qui bordera le projet immobilier Griffintown. Cette petite rue qui, à l'heure actuelle, ne paie pas de mine, deviendra un axe important dans le cadre de la première phase du projet immobilier de 475 millions de dollars du promoteur Devimco. En attendant le début de la construction des premiers condos, la Ville prépare le terrain en vue du réaménagement de la rue Smith, entre la rue Ann et le canal de Lachine, qui sera rafraîchie dans la foulée du projet de revitalisation urbaine du secteur. Montréal souhaite recevoir des propositions d'aménagement par l'entremise d'un concours de design qu'elle lancera au printemps prochain. Outre la rue elle-même, la Ville entend réaménager la bande de terrain qui longe les voies ferroviaires du CN ainsi que le «square Gallery» situé à l'angle de la rue Murray. Comme la Ville souhaite accorder le contrat en fonction de la qualité du design des propositions et non uniquement du prix, elle devra demander l'autorisation du ministère des Affaires municipales pour être en mesure d'octroyer le contrat sans autre appel d'offres. Selon Liliane Cardinal, qui dirige la Division des grands projets à la Ville, il s'agirait d'une formalité. Le projet de réaménagement nécessitera des investissements de 10 millions, et les travaux s'échelonneront de 2012 à 2016. Pour sa part, le promoteur Devimco devrait donner le coup d'envoi aux travaux de construction de la première phase de son projet au cours des prochains mois. «District Griffin» comportera 1375 condos, un hôtel et des commerces dans des tours de 19 étages qui seront construites entre les rues Wellington et Smith. Rappelons que le 30 août dernier, le promoteur avait dévoilé la nouvelle mouture de son projet, plus modeste que celui envisagé quelques années auparavant. En raison de la récession, Devimco a préféré procéder par phases. Alors que le projet initial de 1,3 milliard prévoyait la construction de 4000 unités résidentielles, le promoteur a limité à 1375 le nombre de condos qui seront construits dans un premier temps. Un hôtel de 150 chambres est également prévu. «La première phase des travaux devrait débuter bientôt, a indiqué Liliane Cardinal. Le promoteur a quelques semaines de retard, mais rien d'inquiétant.»
  15. http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_rue.php?id=36 [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 630, align: center]FICHE D'UN ESPACE PUBLIC [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 60%, bgcolor: #C8B0B1]Place Jacques-Cartier[/TD] [TD=width: 40%][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]James Pattison Cockburn, Nelson's Monument and Market Place of Montreal, 1829. Des étals de bois du Marché neuf occupaient la place entre 1808 et 1847. Bibliothèque et Archives Canada, Collection de Canadiana Peter Winkworth, R9266-154[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right] [/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Jour de marché, place Jacques-Cartier, photographie de William Notman & Son vers 1890. Archives photographiques Notman, Musée McCord d’histoire canadienne, View-2421. Collaboration spéciale dans le cadre d'un partenariat.[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Lors du carnaval d’hiver en 1886, une énorme glissade en bois fut aménagée sur la place Jacques-Cartier, photographie prise en 1886 depuis la rue de la Commune. Archives du Port de Montréal, HT241 1886 326[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 50%, bgcolor: #C8B0B1]Histoire[/TD] [TD=width: 50%][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure_bas, bgcolor: #EDE8DE, align: left]À partir de 1701 et pendant vingt ans, Philippe de Rigaud de Vaudreuil, gouverneur de Montréal puis gouverneur de la Nouvelle-France, loue une maison et un terrain à l'angle des rues Saint-Paul et Saint-Charles. Après avoir acheté le tout en 1721, il commence la construction d'une résidence imposante en 1723, probablement selon les plans de l'ingénieur royal, Gaspard-Joseph Chaussegros de Léry. Vaudreuil et sa famille ne l'occupent que brièvement : il est décédé en 1725, et sa veuve, Louise-Elisabeth de Joybert, est passée en France la même année. Jusqu'à la fin du régime français les héritiers de Vaudreuil louent la propriété au Roi, notamment comme résidence du gouverneur à Montréal. Le dernier gouverneur français à occuper les lieux sera Pierre-François de Rigaud de Vaudreuil, fils de Philippe, qui rassemble quelques parcelles en achète d'autres, afin de créer un terrain s'étendant de la rue Saint-Paul à la rue Notre-Dame. Suite au départ définitif de la famille Vaudreuil en 1763, la propriété a changé de mains deux fois avant de passer à la fabrique de la paroisse Notre-Dame qui en fera un collège pour garçons. Le collège de Montréal (alors appelé collège Saint-Raphaël) s'est installé dans le château de Vaudreuil en 1773 et y reste jusqu'en 1803 lorsqu'un incendie détruit l'édifice. À la recherche d'un espace suffisamment vaste pour installer un nouveau marché public, les juges de paix ont demandé la cession d'une partie du lot désaffecté. Entre-temps la fabrique a cédé la propriété à deux marguilliers, Jean-Baptiste Périnault et Jean-Baptiste Durocher, qui veilleraient à la disposition du terrain. La ville recevra la moitié est pour ouvrir un marché, limité à l'est par la rue Saint-Charles (tracée en 1672), et à l'ouest par une rue qu'on nomme « de la Fabrique ». La moitié ouest est subdivisée par Périnault et Durocher. L'aménagement du site en marché prendra presque cinq ans pendant lesquels les magistrats doivent faire confirmer les titres de propriété et abandonner un projet ambitieux pour la construction d'un halle en pierre. Sur le terre-plein entre les deux rues, on érige des étals de bois pour le « Marché Neuf » en 1808. En 1809, une souscription permet l'érection de la colonne Nelson pour commémorer la victoire de l'amiral Horatio Nelson (1758-1805) à Trafalgar. Après l'ouverture du marché Bonsecours en 1847, les structures de bois sont démolies, les rues Saint-Charles et de la Fabrique disparaissent et la place Jacques-Cartier prend son nom actuel. Son nom rappelle le navigateur français Jacques Cartier, le premier européen à remonter le fleuve Saint-Laurent jusqu'à Montréal. Dans l'acte de cession de Jean-Baptiste Périnault et Jean-Baptiste Durocher, en 1803, il est spécifié que la place devra toujours garder sa fonction de marché public. Ainsi, bien que les étals du marché soient enlevés, la place sert de marché en plein air jusqu'au milieu du XXe siècle. Aujourd'hui encore, la ville est tenue de respecter cette clause : un petit kiosque à fleurs permet de nos jours à la ville de rester dans la légalité. Quant à l'ancien hôtel de Vaudreuil, des fouilles archéologiques pendant les années 1990 ont permis d'en cerner les contours exacts. Un pavage noir met en évidence l'emprise au sol de cette ancienne résidence des gouverneurs français. À l'automne 1997, la place Jacques-Cartier fait l'objet de grands travaux d'aménagement sous la responsabilité et la conception de Robert Desjardins du Service des parcs, jardins et espaces verts de la Ville de Montréal.[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Jour de marché, place Jacques-Cartier, carte postale vers 1930. Collection privée, Christian Paquin[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Photographie prise en 1956 depuis l’Hôtel de Ville en direction du port. Ville de Montréal, Gestion de documents et archives, Z-1466[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]La place Jacques-Cartier, en 2004. © Photographie de Normand Rajotte réalisée pour l'ouvrage L'histoire du Vieux-Montréal à travers son patrimoine, 2004[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 550, bgcolor: #C8B0B1]Localisation[/TD] [TD=width: 80, align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure, bgcolor: #EDE8DE, align: left] Secteur de l'hôtel de ville Secteur des marchés [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 352, bgcolor: #C8B0B1]Pour plus d'informations...[/TD] [TD=width: 278, align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure, bgcolor: #EDE8DE, align: left]Pour plus d'information sur l'histoire de cet espace public, veuillez consulter les sources suivantes : Lauzon, Forget, Histoire du Vieux-Montréal, 113, 115, 242, 249, 257, 265 Morin, Le Vieux Montréal (1884), p. 36-37 Poddubiuk, Place Jacques-Cartier, p. 15-23 Sources - Rues et places Trépanier, Rues du Vieux-Montréal, p. 63-65 Ville de Montréal, Rues (1995), p. 240-241 [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE]
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