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  1. Miska

    L'Arsenal

    La galerie René Blouin songe à s'y établir Jérôme Delgado 16 décembre 2010 Arts visuels Un complexe d'art contemporain verra le jour au printemps sur le bord du canal de Lachine, dans Griffintown. Le projet du 2000, rue William, à l'est du marché Atwater, n'est pour l'instant qu'à l'étape de chantier de sa première phase. Mais déjà les rêves les plus fous parlent de cette ancienne usine comme de la première pierre du Chelsea montréalais. Si l'ensemble se concrétise, le lieu serait le plus vaste en ville, cinq fois plus grand que la Parisian Laundry ou la Fonderie Darling. Piloté par un collectionneur averti, l'homme d'affaires et avocat de formation Pierre Trahan, le projet aurait conquis René Blouin, qui gère depuis presque un quart de siècle une des galeries les plus réputées au Canada. Le milieu de l'art contemporain aurait été emballé et a séduit des diffuseurs comme le centre Optica. «À un moment, on disait que tout le 5e étage du Belgo s'en allait là», dit Pierre-François Ouellette, qui, lui, assure que sa galerie restera rue Sainte-Catherine. Bien sûr, on n'en est pas là, voir disparaître le Belgo. Dans cette première phase de 36 000 pieds carrés qui comprend un hangar multifonctionnel, seules les galeries Division (propriété de Trahan) et René Blouin ont une place assurée. Optica n'est plus dans les plans. La deuxième phase, qui dépend de l'achat du reste du bâtiment couvrant 45 000 pieds carrés, pourrait néanmoins les inclure, lui et d'autres. D'abord réticent à parler à un journaliste, Pierre Trahan reconnaît vouloir réunir galeries et centre d'artistes. Il investit «des millions» de dollars à rénover cette «carcasse» avec la contribution «d'architectes et d'ingénieurs de réputation», dont il n'a pas voulu révéler les noms. «C'est un projet personnel, dit-il. Je l'ai d'abord pensé pour montrer des collections privées. Puis pour propulser l'art contemporain à Montréal. L'endroit pourrait devenir le Petit Chelsea de Montréal. Ce serait le point central en ville.» Le lieu servira autant à la diffusion qu'à la tenue d'événements ponctuels. Pierre Trahan exposera sa propre collection, qui se nourrit autant dans les galeries québécoises qu'étrangères. Mais il veut aussi inviter ses similaires à le faire. «On pourrait organiser une rotation de collections privées. Les montrer au public, c'est mieux que de les cacher dans des "lockers". Pour moi, c'est un coup de pouce pour le milieu.» Il dit agir selon des intérêts nobles, pour «jouer un rôle éducatif et non pas pour faire de l'argent». Le financement viendra de la location des espaces. Il espère inaugurer le 1er mai 2011. René Blouin s'enthousiasme à l'idée de quitter le centre-ville et le Quartier des spectacles, où «on occulte le Musée d'art contemporain à chaque festival». Il demeure néanmoins sur ses gardes, tant qu'il n'a pas vu les plans finaux, attendus pour janvier. «Prudence, avertit-il. C'est un bijou qu'on a entre les mains. Il ne faut pas faire quelque chose de moche.» La hauteur des plafonds, le double de celle du Belgo, imposera d'autres manières de faire. On lui parle aussi d'espaces ouverts, qui lui font croire que la vieille formule du cube blanc ne s'appliquera plus. «Il faudra créer un nouveau genre de galerie. Mais il faut y aller avec finesse, pour que les artistes soient stimulés.» *** Collaborateur du Devoir
  2. Repairs to Hélène de Champlain building force eatery to shut Restaurant's owner plans to close it down when lease expires at end of 2009 ALAN HUSTAK, The Gazette Published: 8 hours ago The building that houses the Hélène de Champlain restaurant on Île Ste. Hélène needs massive repairs, and the restaurant will close for good in 16 months when its lease expires. Pierre Marcotte, the French- language television personality who has leased the red sandstone building from the city since 1983, says the property needs between $3 million and $5 million in repairs. "We have no choice but to close," he said. "The city has decided not to renew its lease after 2009 in order to undertake the repairs. That could take a year or more to complete. The electrical and heating systems are outdated, and major repairs to the building itself are necessary." Initially meant to be a sports pavilion, the island chalet was built during the Depression as a Quebec government make-work project. It was designed by Émile Daoust to resemble a Norman château, and the grounds were landscaped by Frederick Todd. It was turned over to the city in 1942 and in 1955 became a municipal restaurant, but didn't get a liquor licence until 1960. In 1966, Mayor Jean Drapeau had the building redone as the official residence for Expo 67's Commissioner-General, Pierre Dupuy. It also had a hall of honour next to the main dining room that was used by Drapeau as a reception centre for visiting dignitaries and heads of state. The reception for French President Charles de Gaulle was held in the chalet after he delivered his controversial "Vive le Québec libre" speech. Even though the restaurant proved to be a money-loser, Drapeau kept its five dining rooms open until 1977, when they were closed because of a labour dispute. They reopened in 1981. Marcotte said he does not plan to renew his lease, and no one is certain what will happen to the building once the repair work is done. In the past, there has been talk of converting the site into a hotel for high rollers at the Montreal Casino. ahustak@ thegazette.canwest.com
  3. via Architectural Digest : True North With its magnetic mix of rugged individualism and European flair, Montreal exudes an irresistible French-Canadian joie de vivre Text by Mitchell Owens Tourists and travel guides often tout Montreal asa North American version of Paris. Pas vrai. Though the two cities’ abundant historic façades are predominantly limestone, Montreal’s are ash-gray, a rough-hewn contrast to Paris’s soufflé-gold luminosity. As for their all-important food scenes, Montreal’s muscular, hearty cuisine offers a robust counterpoint to the French capital’s refined traditions. And while the Québécois vernacular may have a sharper twang than what is spoken in France today, it’s actually more closely connected to French’s roots. Melissa Auf der Maur, the Montreal-born former guitarist for Hole and Smashing Pumpkins, once dismissed the provincial tongue as “hillbilly French”—only to have her mother, literary translator Linda Gaboriau, defend it as “the original French, the French of the kings.” In an increasingly globalized world, Montreal venerates its deep-seated local culture. French colonists settled Quebec in the early 1600s, and their descendants have never forgotten that intrepid foray, hence the province’s enduring separatist movement and its motto, Je me souviens—“I remember,” rendered pointedly en français. As Los Angeles–based AD100 architect Richard Landry, a University of Montreal alumnus, explains, “When you see those words on every license plate, it’s hard not to think about the patrimoine all the time.” Indeed, this city of 1.7 million, set on an island at the confluence of the St. Lawrence and Ottawa rivers, is infused with a pioneer spirit and an unpretentious pride in the homegrown. Cuisine is integral to this rich heritage—and a major reason Montreal remains a compelling destination long after summer’s festivals (most famously the International Jazz Festival) and carnivals have ended. “Montrealers reportedly spend more of their disposable income on eating out than on anything else,” says Andrew Torriani, the CEO and co-owner of the Ritz-Carlton Montréal hotel, a 1912 Beaux Arts landmark graced by the impeccable Maison Boulud restaurant, where executive chef Riccardo Bertolino plates suave international fare. The city is well-known for poutine, a tangle of frîtes topped with cheese curds and gravy. Auf der Maur swears by the version at Patati Patata (514-844-0216), a microscopic café close to Mount Royal Park, a 494-acre oasis designed by Frederick Law Olmsted. Diners craving more sophisticated menus can head to chef Normand Laprise’s hushed Toqué!, opposite the glittering business district’s colorful Palais des Congrès convention center and around the corner from the sleek W Montréal hotel. Chef-owners Hubert Marsolais and Claude Pelletier’s surf-and-turf mecca, Le Club Chasse et Pêche, on the other hand, is set amid the colonial gray-stone buildings of Old Montreal. Marsolais and Pelletier also collaborate with chef Michele Mercuri on the Italian-inflected brasserie Le Serpent, at the Ville-Marie arrondissement’s visual-arts center Fonderie Darling. Last year in the working-class Little Burgundy section—not far from the Old Port, where warehouses have been turned into cafés and inns, like the lofty Auberge du Vieux-Port hotel—chef-restaurateurs David McMillan and Frédéric Morin opened Le Vin Papillon, a charming wine bar. The new boîte is on the same block as the celebrated pair’s Liverpool House, a bistro with antler-bedecked walls, and Joe Beef, a tchotchke-filled gastropub that was recently ranked as Canada’s top restaurant, thanks to its lively confections like parfait of foie gras with Madeira jelly. Other daring chefs invigorating the city’s scene include François Nadon of the Latin Quarter’s Bouillon Bilk and Guillaume Cantin at Old Montreal’s Les 400 Coups. The city has a riveting collection of locally designed architecture as well. Starting with Moshe Safdie and his 1967 Habitat housing complex, a number of Canadian and Québécois talents have produced notable contemporary projects, including those in the Quartier des Spectacles, a network of performance halls, restaurants, galleries, fountains, and squares in the Latin Quarter. One of the district’s stars is the Grande Bibliothèque, a joint venture between Croft-Pelletier Architectes and Gilles Guité, both of Quebec City, and Vancouver’s Patkau Architects. The green-glass behemoth, containing multistory rooms walled with yellow-birch louvers, was hailed as “simple but wonderful” by Phyllis Lambert, Montreal’s architecture doyenne. The same could be said of Lambert’s own Canadian Centre for Architecture, which occupies an elegant 1989 building attached to a historic mansion in the Shaughnessy Village neighborhood. (The city does have a few outsider icons, namely Ludwig Mies van der Rohe’s 1967 Westmount Square mixed-used complex, I. M. Pei’s 1962 Place Ville Marie skyscraper, and Roger Taillibert’s futuristic Olympic Stadium, a 1976 structure Landry calls “a very, very cool white elephant.”) Québécois art offers major-league delights, too. The works of powerhouse midcentury geometric painters Claude Tousignant and Guido Molinari are highlighted at the multivenue Montreal Museum of Fine Arts. And things are only looking up for current local talents, according to Lesley Johnstone, a curator at the Musée d’Art Contemporain de Montréal, which hosts the Montreal Biennial from October 22, 2014, to January 4, 2015. “Today the wealthy younger crowd whose families supported hospitals and the symphony are focusing on Canadian artists,” she observes. Among this new generation are Anne-Marie and Pierre Trahan, the maestros behind the two-year-old Arsenal Montréal, a contemporary art complex housed in a former shipyard in the Griffintown neighborhood. The 83,000-square-foot space is also home to the couple’s Division Gallery, which focuses on domestic talents such as multidisciplinary artists Nicolas Baier and Bonnie Baxter. After taking in Arsenal’s exhibitions, one can visit another Griffin-town magnet, a stretch of rue Notre-Dame Ouest known as Antiques Alley, where cafés alternate with treasure troves like Milord Antiquités and Antiquités L’Ecuyer (514-932-8461). Stylish Montrealers also dress Canadian, heading to Boutique Unicorn and Philippe Dubuc for fashions by their compatriots, while apparel star Marie Saint Pierre operates an eponymous flagship in downtown’s Golden Square Mile area. Boho-chic women—including Sharon Johnston, the wife of Canada’s governor general—step out in fascinatingly funky jewelry that designer Charlotte Hosten makes in her tiny appointment-only Mile End atelier. And at nearby Clark Street Mercantile, the brands primarily come from far beyond the province but share an earthy authenticity that feels absolutely Canadian. It’s a quality worth keeping in mind when exploring a city where roots and remembrance are everything. See more of Montreal's can't-miss destinations.
  4. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201310/04/01-4696394-genivar-et-wsp-une-acquisition-enorme-deja-digeree.php
  5. Pas que j'ai un intérêt pour la chose, mais du moment que le Québec rayonne, ça vaut la peine de le souligner *** Collier de haute joaillerie dévoilé à Montréal MONTRÉAL – Le petit monde de la joaillerie montréalaise était en ébullition vendredi soir, lors du dévoilement d’un collier de haute joaillerie comprenant une pierre faisant partie du Guinness des records. La fameuse pierre, une tourmaline «paraiba» ovale de 192 carats, est la plus grosse des «paraiba» découvertes à ce jour. Elle figure parmi les pierres précieuses les plus célèbres du monde. Le collier «Paraiba Star of the Ocean Jewels» a nécessité plusieurs mois de travail. C’est le maître joaillier Patrick Gravelle, de la bijouterie montréalaise Kaufmann de Suisse, qui a donné vie au bijou. «Le dévoilement de cette œuvre est une formidable occasion de faire rayonner le savoir-faire québécois à travers le monde», a souligné Vincent Boucher, homme d’affaires montréalais propriétaire de la pierre. En 2009, la valeur de la pierre seule était estimée à plus de 125 millions $. La tourmaline «Paraiba» Découverte à la fin des années 80, la tourmaline «Paraiba» est considérée comme étant la plus précieuse des pierres fines rares. C’est dans la petite ville de Sao Jose da Batalha, au Brésil, qu’un mineur a découvert les premiers échantillons d’une tourmaline de couleur «bleu vert turquoise», en 1989. http://fr.canoe.ca/artdevivre/mode-beaute/article1/2013/10/21/21210261-ca.html
  6. SASH condo, NOUVEAU projet 15 condos à vendre, Marché Atwater, Canal Lachine, Montreal SASH projet immobilier de qualité supérieure au design spectaculaire: condos, lofts, maisons de villes , maisons aériennes & penthouses dans le secteur du Marché Atwater et Canal Lachine. Comptoirs de pierre, bois franc, lockers, terrasses privées, garages intérieur. SASH condo à vendre Marché Atwater, McGill immobilier, courtier immobilier Montréal. http://www.mcgillimmobilier.com/lang/fr/2008/12/30/sash-condo-project-atwater-market-lachine-canal-montreal-sash-projet-condo-marche-atwater-canal-lachine-montreal/
  7. Un mariage de passion pour Genivar. (Montréal) «Lorsque tu tombes amoureux et que tu sais que c'est exactement la bonne personne qu'il te faut, tu n'attends pas des années avant de proposer le mariage. Tu te maries», me confiait hier Pierre Shoiry, PDG de Genivar, pour expliquer l'empressement avec lequel son groupe a décidé de lancer une offre publique d'achat (OPA) de la société de génie-conseil britannique WSF. C'est que le PDG de Genivar m'avait rappelé en octobre dernier que son prochain gros objectif - après avoir réalisé pas moins de 76 acquisitions en 16 ans - était de réaliser d'ici 2015 une grosse transaction à l'international qui allait permettre à son groupe de réaliser 50% de ses revenus à l'extérieur du Canada. Huit mois plus tard, cette mégatransaction attendue d'ici trois ans est donc non seulement annoncée, mais sa réalisation dépassera de beaucoup les attentes qu'avait formulées Genivar. Avec ses 9000 professionnels de l'ingénierie répartis dans 200 bureaux dans une trentaine de pays, le groupe WSP de Londres ajoutera 1,1 milliard de dollars de revenus aux 700 millions que réalisait déjà Genivar. La proportion des revenus que tirera Genivar de ses activités internationales représentera donc 61% de ses revenus totaux, surpassant ainsi les 50% espérés. Le groupe montréalais de génie-conseil, qui a affiché la plus forte croissance du Canada au cours des cinq dernières années et qui comptait 5500 professionnels, va dorénavant profiter d'une équipe de 14 500 spécialistes et se hisser parmi les 20 plus importantes firmes d'ingénierie au monde. Genivar aura maintenant des assises solides en Angleterre, en Suède et en Norvège, mais aussi des bureaux importants en Inde, en Chine, en Australie et aussi aux États-Unis où quelque 1000 ingénieurs sont à l'emploi du groupe WSP. Pierre Shoiry compte bien utiliser cette base d'activité nouvelle aux États-Unis comme tête de pont pour prendre de l'expansion rapidement dans ce marché que Genivar convoitait également. Voilà pourquoi on comprend mieux l'analogie du mariage de passion que nous a servi le PDG pour expliquer la vitesse avec laquelle il a scellé l'union avec WSP. Non seulement cette transaction remplit totalement les critères de diversification qu'avait identifiés Pierre Shoiry, mais cette acquisition se réalise à bon prix pour le groupe montréalais. Genivar va payer 442 millions pour acquérir la totalité des actions de WSP à un prix unitaire de 4,35 livres sterling par action, ce qui inclut une prime de 67% par rapport aux cours récents des actions du groupe britannique. Malgré cette forte prime, Genivar paie un multiple de 6,8 fois le bénéfice d'exploitation de WSP à son dernier exercice financier. À l'instar de CGI qui a profité d'une conjoncture extrêmement favorable pour lancer la semaine dernière son OPA de 3 milliards sur le groupe britannique Logica, Genivar profite de la faiblesse de la livre sterling et des cours boursiers britanniques pour réaliser une transaction à bon prix. Comme des centaines d'entreprises européennes, le groupe WSP souffre encore de la crise financière de 2008 lorsque la valeur de son action était à plus 8 livres sterling. À cette hauteur, Genivar n'aurait jamais été en mesure de faire une offre, me confirmait hier Alexandre L'Heureux, chef de la direction financière de Genivar. Genivar n'aura pas non plus à faire de contorsions financières pour payer au comptant cette acquisition de 442 millions. La Caisse de dépôt et l'Office d'investissement du régime de pensions du Canada ont chacun acheté pour 98,5 millions d'actions de Genivar et un placement public de 225 millions a été écoulé auprès de preneurs fermes. C'est ce qui s'appelle une belle opération. Mine de rien, en moins de 10 jours, deux entreprises québécoises viennent de faire un saut majeur en Europe avec une transaction qui les fera doubler de taille pour CGI et tripler pour Genivar. Est-on en train d'assister à une revanche moderne et réactualisée en mode financier de la défaite des plaines d'Abraham de 1759, lorsque les Britanniques ont déclassé à jamais les Français en Amérique du Nord? Peut-être pas, mais on assiste assurément à une belle offensive de nos entreprises dans leur «conquête tranquille» des marchés étrangers. La preuve que le monde leur est bien ouvert et qu'elles peuvent et doivent en conquérir une partie. http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/jean-philippe-decarie/201206/11/01-4533730-un-mariage-de-passion-pour-genivar.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS14
  8. http://www.radio-canada.ca/emissions/au_dela_des_murs/2011-2012/Chronique.asp?idDoc=224895&autoPlay= Au-delà des murs est une série de huit demi-heures documentaires qui porte un regard sur l'architecture à Québec en compagnie de Pierre Thibault, architecte québécois de réputation internationale, et de l'animatrice Catherine Lachaussée. Telle une balade vagabonde à Québec, ville de patrimoine par excellence en Amérique du Nord, chaque émission présente un thème qui a influencé et qui conditionne encore aujourd'hui notre architecture. Les animateurs vont ainsi à la rencontre d'architectes, d'urbanistes, de chercheurs, d'historiens et d'artisans qui livrent leurs réflexions et leur démarche. Par leurs regards sur des lieux et des édifices, nous découvrons ce qu'il y a « Au-delà des murs » pour apprécier l'impact de l'architecture dans nos vies. http://www.lapresse.ca/le-soleil/arts-et-spectacles/television-et-radio/201205/30/01-4530219-larchitecture-pourles-nuls-a-radio-canada.php Richard Therrien Le Soleil (Montréal) On finit par l'oublier, mais un seul regard autour de nous suffit pour se laisser imprégner d'un motif, d'une époque, d'une méchante bonne idée, de ce qui est magnifique pour les uns et affreux pour les autres. C'est probablement l'effet qu'aura sur vous la nouvelle série documentaire Au-delà des murs, diffusée dès le samedi 9 juin à 18h30 à Radio-Canada Québec. Parce que les murs n'ont pas seulement des oreilles, ils parlent. Pour leur tirer des confidences, Catherine Lachaussée assure l'animation de la série, secondée par l'architecte bien connu Pierre Thibault, «coolement philosophe», selon l'animatrice. Huit demi-heures à contempler, entièrement produites à Québec chez Productions VF, et diffusées localement dans la case occupée jusqu'ici par Vie de quartier. L'idée est venue de la réalisatrice Isabelle de Blois, fille de l'architecte Jacques de Blois, décédé en 2008. Initiée très tôt au monde de l'architecture, elle a eu envie de faire parler ces «créateurs de beauté», comme elle les appelle, qui forgent notre environnement. Québec restant un modèle au niveau architectural, on avait le terreau parfait pour convaincre la station de Radio-Canada à Québec d'embarquer dans l'aventure, de même que Canal Savoir. Isabelle de Blois a réalisé quatre épisodes, Émilie Baillargeon, les quatre autres. Thèmes Chaque émission aborde un thème, comme la lumière, l'hiver, le feu et l'architecture durable. Dans la cinquième émission montrée mercredi aux journalistes, à l'École d'architecture du Vieux-Séminaire, on tente de distinguer le vrai du faux. Le vrai passe le temps, le faux, beaucoup moins, fait-on remarquer. J'ai appris entre autres que certaines parties de la façade de la Caserne Dalhousie d'Ex Machina dans le Vieux-Port paraissent bien réelles, mais ne sont qu'imitation. Son concepteur, l'architecte Jacques Plante, n'est pas peu fier que son oeuvre ait remporté le Prix du public, elle qui en apeuré plusieurs par son côté moderne en milieu patrimonial. On lui doit aussi le Théâtre de la Bordée, de même que la Tohu à Montréal. Intéressante aussi cette incursion sur le chantier de l'agrandissement du Musée national des beaux-arts du Québec avec un ingénieur en structure, Martin Lemyre. Quand on regarde les plans de cette portion en grande partie vitrée, on saisit toute la complexité des travaux et comment on a poussé encore un peu plus les limites de la technologie. Bien qu'il parle peu - on ne le voit que dans les présentations avec Catherine Lachaussée -, Pierre Thibault sait communiquer sa passion pour l'architecture. Le tout est parfois aride, mais on apprend des choses, qui nous feront voir autrement le théâtre Impérial, la chapelle du Petit Séminaire et même les maisons de banlieue. Hélas, la génération actuelle d'architectes ne dispose pas de la marge de manoeuvre qu'avaient ceux qui les ont précédés. Faut pas que ça coûte cher, et faut surtout plaire au plus grand nombre. Aujourd'hui, on ne cherche plus d'architectes, on cherche des constructeurs, déplore Pierre Thibault. Le directeur de Radio-Canada Québec, Jean-François Rioux, a tenu à souligner qu'une telle série aurait été impossible sans le Fonds pour l'amélioration de la programmation locale du gouvernement fédéral, cette taxe de 1,5% qui apparaît sur votre relevé de câble, dont le renouvellement pour l'année qui vient n'a pas encore été annoncé, et dont Québecor a demandé l'abolition. Surtout présente à la radio depuis plusieurs années, Catherine Lachaussée semblait ravie mercredi de reprendre l'animation de l'émission du retour à la maison au 106,3 FM à l'automne. Ravie, entre autres, de pouvoir emmener le réalisateur André Chouinard, qui pilotait ses samedis matin à la Première Chaîne. Dès le 20 août, elle sera entourée de Suzie Pelletier à l'information, d'Anne-Josée Cameron au culturel, de Marc-André Boivin à la circulation et de Martine Côté à la météo.
  9. Un set de photo vraiment intéressant... http://www.flickr.com/photos/sirber/sets/72157607363541108/
  10. Grande nouvelle pour les amateurs de sport: la nouvelle chaîne de télévision sportive francophone de Quebecor verra le jour dès cet automne. Pierre Karl Péladeau, président et chef de la direction de Quebecor et de Quebecor Media, et Pierre Dion, président et chef de la direction du Groupe TVA, ont confirmé la nouvelle en conférence de presse, mardi matin, entourés de divers intervenants du domaine sportif. «Toutes les grandes villes d'Amérique du Nord et d'ailleurs au monde peuvent compter sur au moins deux réseaux de sports. Or, jusqu'à aujourd'hui, ce n'était pas le cas au Québec. C'est un grand jour pour les amateurs de sport, ce sont eux, les véritables gagnants de cette annonce», a déclaré Pierre Karl Péladeau. Des propriétés de prestige TVA Sports a conclu des ententes de diffusion à long terme avec bon nombre de propriétés de prestige parmi les plus populaires auprès des amateurs de sport. Les Sénateurs d'Ottawa: TVA Sports a signé une entente à long terme avec les Sénateurs d'Ottawa. TVA Sports présentera 25 rencontres de la formation dès la saison 2011-2012, pour le plus grand plaisir des amateurs de la LNH. Groupe Interbox: TVA Sports a conclu une entente avec le Groupe Interbox. La chaîne présentera certains combats en direct, mais aussi des combats souvenirs qui ont fait vibrer le Québec. Les amateurs auront aussi droit à du matériel exclusif, des entrevues, des rendez-vous en coulisse et des reportages sur la préparation des boxeurs tels que Lucian Bute. Ultimate Fighting championship (UFC): Forte d'une entente exclusive sur plusieurs années avec l'UFC, dont la popularité au Québec doit beaucoup au Québécois Georges St-Pierre, TVA Sports diffusera entre autres des galas en direct, des combats préliminaires lors des soirées de télé à la carte et la populaire téléréalité The Ultimate Fighter. Les Blue Jays de Toronto: TVA Sports devient le diffuseur officiel des Blue Jays de Toronto. En phase avec la popularité croissante du baseball amateur au Québec, TVA Sports présentera plus de 60 parties de la seule formation canadienne dès la saison 2012. La Ligue des Champions: TVA Sports présentera en exclusivité les rencontres de la Ligue des Champions mettant certaines des plus célèbres équipes de «foot» à l'avant-plan. Les amateurs de soccer pourront compter sur l'intensité des matchs de formations telles que le Manchester United et le FC Barcelone, du mois d'août au mois de mai, dès la saison 2011-2012. Championnat de Montréal: TVA Sports a conclu une entente à long terme avec Synchro Sports pour présenter le Championnat de Montréal, le plus prestigieux tournoi de golf professionnel à s'arrêter au Québec chaque année. Le tournoi qui se déroule depuis l'an dernier au Club de golf Le Fontainebleau, à Blainville, regroupe les meilleurs joueurs seniors au monde. Il est à noter que les Québécois Daniel Talbot et Yvan Beauchemin y ont participé l'an dernier. Le Vélirium de Québec: En partenariat avec Vidéotron, TVA Sports présentera cet événement, qui se tient au Mont-Sainte-Anne et qui se veut l'un des plus importants rendez-vous mondiaux de vélo de montagne, avec plus de 50 000 spectateurs! Le Québec Open de volleyball: TVA Sports diffusera le Québec Open de Volleyball, une autre compétition d'envergure internationale disputée par les plus grands joueurs de volleyball au monde dont Marie-Andrée Lessard et Annie Martin. D'autres annonces d'ententes sont également prévues au cours des prochains jours et des prochaines semaines. L'information sportive au premier plan Au-delà des événements sportifs d'envergure, TVA Sports compte aussi offrir, dès sa première année, les meilleurs bulletins de sports au Québec. L'équipe de nouvelles de TVA Sports, appuyée de TVA, LCN et de l'Agence QMI, mettra tout en œuvre pour livrer des nouvelles et des opinions sportives qui seront la marque de commerce du Groupe TVA et de TVA Sports pour plusieurs années. «Notre proximité, notre capacité d'être rassembleurs, nos opinions fortes et notre plaisir d'être les premiers sur la nouvelle permettront à TVA Sports de se démarquer. «J'ai la plus grande confiance que cette équipe de nouvelles sportives, qui sera dirigée par Serge Fortin, le grand patron de TVA Nouvelles et de l'Agence QMI, saura captiver les amateurs de sport, et ce, sur l'ensemble des plateformes de diffusion, que ce soit sur leur téléviseur, leur ordinateur, leur mobile ou leur tablette», d'ajouter Pierre Dion. Une invitation à ne pas rater Enfin, s'adressant directement aux amateurs de sports à l'occasion de l'annonce du lancement de la nouvelle chaîne spécialisée, Pierre Dion leur a lancé cette invitation: «C'est pour vous, les vrais connaisseurs, que nous avons conçu TVA Sports, une chaîne qui aura une programmation mariant diversité et qualité, une chaîne qui sera moderne, qui aura un look différent et qui n'aura pas peur de ses opinions. C'est un jour que j'attendais depuis très longtemps et je vous donne rendez-vous dès l'automne sur TVA Sports.» http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/archives/2011/05/20110531-114150.html
  11. 10 MINUTES FROM DOWNTOWN NEW PROJECT FEATURING OVER 200 TOWNHOUSE 3 BEDROOMS + BASEMENT, GARAGE, PRIVATE BACK YARD DELIVERY Summer 2010 STEPS FROM MONTREAL-WEST TRAIN BUSSE, SCHOOLS, SERVICES CHOICE OF COLORS, STYLES & OPTIONS NO CONDO FEES BASE PRICE: $ 339,900 (incl all taxes) http://www.lescourspominville.ca The reason why I chose to highlight this project is because of its location and that it lends itself to a much greater discussion. Firstly, it is an example of yet another quality project in an area that is known for being low-income and aesthetically sub-par. Secondly, this project is located in the section of Ville Saint Pierre that is very much ‘Montreal West Adjacent’. In fact if it wasn’t for municipal borders it would make a lot more sense for this area of Ville Saint Pierre in particular to be part of Montreal West as opposed to Lachine. That being said, Montreal West has actually closed off vehicular access to the area from Chemin Broughton making a neighbourhood that should be a theoretical extension of Montreal West into a neighbourhood closed off from it. It is now only accessible from Chemin Avon the street that leads into the rest of Ville Saint Pierre (west of the train tracks).
  12. (Courtesy of The Gazette) I left out the other part of the article, speaking about restaurants in Sherbrooke and Magog. Plus there is a map showing the locations of each one, that was in the article.
  13. (Courtesy of The Montreal Gazette) WOW I am happy I don`t live on St Pierre anymore. This city has gone to the dogs. I guess its time to really go out and buy a bulletproof vest and armour up my car.
  14. Saviez-vous cela que les prestations que les employés retirent de leur syndicats ne sont imposables !!?? Moi ça me met en tabarnak entendre des choses de même! Et aussi je me demande pourquoi La Presse titre que Pierre-Karl Péladeau s'attire des critiques, plutôt qu'elle aurait tout simplement affirmé que PKP a publié une lettre anti-syndicale... en tk! (Lévis) Pierre Karl Péladeau s'est attiré bien des critiques ce matin à la Rencontre économique de Lévis après avoir publié un texte dénonçant les «privilèges» des syndicats qui nuisent selon lui au développement économique. Les entrepreneurs québécois doivent dédier «trop de temps, d'énergie et d'argent à gérer leurs relations de travail», dit le patron de Quebecor, propriétaire du Journal de Montréal dont les employés sont en lock-out depuis près d'un an. Pierre Karl Péladeau n'a pas été invité à la Rencontre économique du gouvernement Charest, mais il a tout de même fait jaser à Lévis avec sa lettre publiée dans le Journal de Québec. Le banquier Jacques Ménard se demande quelle mouche a piqué M. Péladeau. «Il a un confit de travail. Il est aux prises avec un problème d'affaires spécifique qui est le sien. C'est possible qu'à cause de ça il extrapole... Je ne sais pas si dans son cas ses dires ont excédé sa pensée. Ça fait peut-être partie d'une stratégie qui m'échappe. Je ne suis pas psychologue, je ne peux en dire plus que ça», a affirmé le patron de BMO. Selon lui, les syndicats contribuent au développement du Québec, et «on ne peut parler de projet de société économique et social si les dirigeants syndicaux ne sont pas à la table». En 1989, alors qu'il était à la tête de la chambre de commerce, M. Ménard avait même demandé à un représentant syndical de siéger au conseil d'administration. «Parfois, on a des divergences d'opinion, mais ça ne nous empêche pas de travailler ensemble», a-t-il noté. Aucun décideur économique et financier présent à Lévis ne s'est manifesté cet avant-midi pour appuyer publiquement la sortie du patron de Quebecor. À son entrée à la Rencontre économique, le premier ministre Jean Charest a fait valoir que «les relations de travail au Québec somme toute sont bonnes». «Il y a des consensus sur plusieurs lois» syndicales, a-t-il ajouté. Le ministre des Finances, Raymond Bachand, estime que «les syndicats sont des grands partenaires du développement économique» et mettent l'épaule à la roue en vue, par exemple, d'augmenter la productivité. «M. Péladeau exprime son opinion. Il a le droit», a-t-il ajouté. Claudette Carbonneau, présidente de la CSN, qui représente les employés en lock-out du Journal de Montréal, trouve que M. Péladeau «est bien mal placé pour donner des leçons sur les relations de travail». «Je pense que M. Péladeau est préoccupé par le cash, et non les relations humaines, a affirmé de son côté Michel Arseneault, président de la FTQ. Vous savez, diriger une entreprise, c'est des relations humaines à tous les jours. Mais lui, ça le fatigue.» «L'attitude antisyndicale» de M. Péladeau n'est pas nouvelle, a-t-il fait valoir. «Un des beaux exemples, c'est qu'il a même refusé la publicité du Fonds de solidarité qu'on voulait à TVA et dans l'ensemble de Quebecor. Nous, on voulait annoncer partout, sauf dans le Journal de Montréal en lock-out. Et à ce moment-là, il a refusé la publicité.» Le président de la CSQ, Réjean Parent, a qualifié M. Péladeau d'«antisyndicaliste notoire». Dans une lettre publiée ce matin dans le Journal de Québec, Pierre Karl Péladeau dénonce les «privilèges aussi nombreux et de moins en moins justifiables» dont bénéficient selon lui les syndicats. Des lois adoptées au fil des ans ont provoqué un «déséquilibre des forces» entre employeurs et syndicats qui a eu pour conséquence «de défavoriser les entreprises québécoises dans le contexte économique mondialisé dorénavant largement répandu, de rendre plus difficile l'émergence de jeunes entrepreneurs, ainsi que de pénaliser notre désir collectif, voire notre obligation, d'accroître notre productivité». M. Péladeau s'en prend par exemple à la formule Rand. «N'est-il pas légitime de nous permettre, comme citoyens bénéficiant d'une maturité politique et démocratique, de décider si nous voulons ou non faire partie d'une organisation syndicale et d'en payer les cotisations ?» Il dénonce «la création d'une unité d'accréditation par la simple signature de cartes d'adhésion». Il condamne aussi le «privilège qui permet aux employés en conflit de travail de ne pas payer d'impôt sur les prestations monétaires qu'ils reçoivent de leurs syndicats, mesure exceptionnelle parce qu'elle fait financer les positions des organisations syndicales par l'ensemble des contribuables déjà assujettis à un fardeau fiscal que tous reconnaissent parmi les plus lourds du continent». «Il se trouvera certainement plusieurs membres de l'intelligentsia pour justifier l'action positive des syndicats au Québec», a-t-il ajouté, soulignant qu'il reconnaît le «rôle nécessaire» de ces organisations. Mais «tous ces beaux penseurs ont-ils déjà été confrontés à la réalité de dirigeants d'entreprises et d'entrepreneurs comme celle à laquelle mes collègues et moi faisons face de façon quotidienne, tant au Canada qu'à l'étranger, dans un contexte de concurrence mondiale?», se demande-t-il. «Au Québec, les dirigeants d'entreprise doivent dédier trop de temps, d'énergie et d'argent à gérer leurs « relations de travail » alors qu'ailleurs, les divers intervenants au sein des entreprises participent ensemble à assurer la poursuite du développement de leurs activités et l'accroissement de leur productivité afin de gagner sur les marchés mondiaux, tant dans les secteurs manufacturiers que dans les secteurs de l'économie du savoir et des technologies», ajoute M. Péladeau. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201001/21/01-941535-pierre-karl-peladeau-sattire-des-critiques.php
  15. PROPOSITION : HANGAR D'ENTRETIEN - AIR TRANSAT Montréal , Qc CLIENT : ADM - AIR TRANSAT COÛT : 18 000 000 $ SUPERFICIE : 160 000 PI2 Proposition pour la réalisation d’un nouveau hangar d’entretien d’aéronefs à l’aéroport Pierre Elliott Trudeau à Montréal. Description : un secteur administratif, un magasin des pièces et un hangard d’entretien. http://leclerc-architectes.com/projets_realises/transport/proposition_air_transat/
  16. Publié le 26 septembre 2009 à 08h36 | Mis à jour à 10h55 | Pierre Falardeau est mort Daphné Cameron et Daniel Lemay La Presse Le cinéaste, auteur et polémiste québécois Pierre Falardeau est décédé d'un cancer à l'âge de 62 ans. Le décès du réalisateur reconnu pour ses prises de positions tranchées a suscité une véritable onde de choc ce matin, tant dans les milieux politique que culturel. «Je le rencontrais souvent et à chaque fois je lui disais qu'on pensait à peu près tout le temps la même chose, mais qu'on l'exprimait de façons complètement différentes. Cela nous faisait beaucoup rigoler!», se souvient-il. «Son cinéma était vivant et vigoureux. Son art a servi l'indépendance nationale de façon inoubliable et humoristique avec Elvis Gratton et de façon poignante et dramatique avec Février 1839, son film sur les Patriotes», a-t-il ajouté. «J'espère que son oeuvre va continuer de faire réfléchir et que lorsque l'on parlera d'indépendance, on aura une pensée pour lui.» «C'est la personne que j'ai rencontré qui était la plus attentive aux autres. Un personnage très sensible sous des dehors un peu rugueux», a confié son ami le journaliste Jean-François Nadeau. «C'est contradictoire par rapport au personnage public qui était demi-truand, très sûr de lui, il n'avait pas peur de la controverse. Mais en privé c'était quelqu'un qui écoutait beaucoup. Par ailleurs, il y avait une affection populaire autour de lui qui était inouïe. En son genre, c'était une sorte de Michel Chartrand de la fin du 20e siècle.» Pierre Falardeau est décédé hier soir à l'unité de soins palliatifs de l'Hôpital Notre-Dame du CHUM. Sa conjointe, Manon Leriche, et ses enfants, Jules, Hélène et Jérémie, souhaitent pour l'instant vivre leur deuil dans l'intimité et n'accorderont aucune entrevue aux médias aujourd'hui. Une carrière bien remplie Né à Montréal le 28 décembre 1946, Pierre Falardeau fréquente le Collège de Montréal, rue Sherbrooke. À la vieille maison des Sulpiciens, il fait la connaissance, entre autres, de Julien Poulin qui restera son ami et complice jusqu'à la fin. Sportif, le jeune Falardeau s'adonne à la pratique du football et s'initie brièvement à la boxe; lecteur avide, il préférera Hemingway à Musset et les muralistes mexicains aux naturalistes européens. L'art populaire, nous expliquera-t-il, n'est jamais bien loin du politique. Après son cours classique, il entreprend en 1967 des études d'anthropologie et d'ethnologie à l'Université de Montréal. Une formation qui, rappellera sa productrice Bernadette Payeur, amènera Falardeau le cinéaste à «scruter l'humain». Pierre Falardeau co-scénarise et co-réalise avec Julien Poulin un premier court-métrage en 1971 : Continuons le combat transpose le combat pour l'indépendance du Québec dans l'arène de lutte. Le tandem documentariste s'engage là dans une voie dont il ne s'éloignera plus beaucoup, sur le fond du moins: quête de liberté sous toutes ses formes. Suivent Les Canadiens sont là (1973) où les comparses font leurs choux gras d'une mission culturelle canadienne qui tourne mal à Paris; Le Magra, (1976) sur la formation des policiers, qu'il présentera à la Biennale de Venise; À force de courage (1977), tourné en Algérie, qui vit alors la deuxième décennie de son indépendance. Après six ans de tournage (à leurs frais), Falardeau et Poulin sortent leur premier long-métrage en 1978 : Pea Soup traite de l'aliénation du peuple québécois, de l'usine à la taverne, des ruelles de l'est aux avenues de Westmount. Deux ans plus tard, avec un titre sorti du même souffle, arrive Speak White, sur le célèbre poème de Michèle Lalonde: «Nous sommes un peuple inculte et bègue»... En 1981, Julien Poulin passe devant la caméra pour incarner Elvis Gratton dans un court-métrage du même nom. Avec Les vacances d'Elvis Gratton (1983) et Pas encore Elvis Gratton, le mythe explose dans toute son effrayante démesure dans Elvis Gratton, le King des Kings qui réunit les trois courts métrages. Le Québec a une nouvelle devise : « Pense big, s'tie! ». En 1989, Falardeau change de ton: Le party traite toujours de liberté, ou d'absence de, mais perçue, ici, du fond de la cellule d'une prison. L'ex-felquiste Francis Simard, qui a passé 11 ans en prison pour le meurtre du ministre Pierre Laporte en octobre 1970, a collaboré au scénario du film; son livre Pour en finir avec octobre servira de base à Octobre, que Falardeau sortira finalement en 1994 après dix ans de marchandage avec les instances subventionnaires. Outre son oeuvre cinématographique, il a publié quelques essais dont La liberté n'est pas une marque de yogourt, aux Éditions Stanké, en 1995, Les boeufs sont lents, mais la terre est patiente, chez VLB éditeur, en 1999. Pierre Falardeau animait son propre blogue.
  17. Le Québec a de moins en moins de pauvres Publié le 29 août 2009 à 05h30 | Mis à jour à 09h37 Hélène Baril La Presse La lutte à la pauvreté est un vieux combat dont les résultats sont souvent décourageants. Mais au cours de la dernière décennie, le nombre de personnes considérées comme pauvres a diminué de façon spectaculaire au Québec. De 1997 à 2008, la baisse atteint 40%. Le Québec compte moins de pauvres, moins de chômeurs et moins d'assistés sociaux, principalement en raison de la longue période de prospérité économique qu'il a connue depuis près de 15 ans. À l'exception de trois légers ralentissements, la croissance économique a été au rendez-vous chaque année entre 1992 et 2008. Les emplois aussi, ce qui ne va pas nécessairement de pair. Il y a des périodes de croissance qui s'accompagnent de très peu de création d'emplois. Mais en 2008, il y avait 20 % plus d'emplois au Québec que dix ans auparavant. La croissance économique a-t-elle fini par vaincre la pauvreté ? Les disciples d'Adam Smith et de la «main invisible» du marché le croient fermement. Selon la théorie développée par l'économiste anglais au 18e siècle, tout individu qui travaille à son enrichissement personnel finit par enrichir la collectivité. L'intervention de l'État n'est donc pas nécessaire puisque les forces du marché (la main invisible) se chargent de redistribuer la richesse. «Le marché a fait sa job», convient Pierre Fortin, économiste et professeur qui s'intéresse depuis longtemps aux moyens de vaincre la pauvreté. Le marché a fait sa part du chemin, selon lui, mais pas tout le chemin. «Lorsque l'économie croît, les Québécois partagent volontiers», constate-t-il. Ainsi, au cours des dernières années, la couverture sociale s'est épaissie et protège mieux les moins nantis. L'assurance-médicament, les garderies d'abord à 5$ par jour, puis à 7$, les congés parentaux, sont des exemples de mesures sociales qui ont contribué à réduire la pauvreté. L'impact de ces mesures a été particulièrement remarquable chez les femmes monoparentales, plus touchées par la pauvreté, qui ont pu intégrer le marché du travail. «Le taux d'emploi chez les femmes a beaucoup augmenté, et on a en sorti un paquet de la pauvreté», souligne Jean-Michel Cousineau, professeur à l'École des relations industrielles de l'Université de Montréal et spécialiste de la mesure de la pauvreté. Comme Pierre Fortin et Jean-Michel Cousineau, Joëlle Noreau, économiste principale chez Desjardins, croit que la croissance économique n'est pas la seule cause de la diminution de la pauvreté. «Le marché ne peut pas tout faire. Les congés parentaux, les garderies à 7$, pour des gens qui travaillent au salaire minimum, ça peut faire la différence et les faire passer au-dessus du seuil de faible revenu», dit-elle. L'augmentation du salaire minimum a aussi contribué à réduire la pauvreté. De 7$ l'heure en 2001, le salaire minimum a augmenté à 8 $ l'heure en 2007, et à 9$ l'heure en 2009. En même temps, le nombre d'employés qui doivent se contenter du salaire minimum a décru de 7% à 5,4% du nombre total de travailleurs. Selon Pierre Fortin, le pouvoir d'achat du salaire minimum québécois est maintenant un des plus élevés en Amérique du Nord. L'économiste de Desjardins est d'accord. «Le salaire minimum n'est pas une panacée à la pauvreté, mais dans certaines circonstances, elle peut, en conjonction avec des mesures d'appui comme les crédits d'impôt sur la TPS et la TVQ, le remboursement d'impôts fonciers et la prime au travail, faire la différence entre la dépendance et l'autonomie», affirme Joëlle Noreau. On a longtemps cru qu'il suffisait de créer de la richesse pour éliminer la pauvreté, rappelle Jean-Michel Cousineau. «Le temps où on croyait qu'il suffisait que la marée monte pour que tous les bateaux flottent est bel et bien révolu», dit-il. La croissance économique est un ingrédient indispensable de la recette anti-pauvreté, mais dans quelle mesure ? Jean-Michel Cousineau s'est penché sur cette question. Il a estimé que la croissance économique est responsable d'un peu moins de 60% de la diminution de la pauvreté et que l'autre partie, soit un peu plus de 40%, s'explique par les investissements sociaux. Le couple État-marché est peut-être bancal, mais il est devenu indissociable dans la lutte pour contrer la pauvreté. On devrait en avoir une autre preuve dans les statistiques à venir, qui refléteront la détérioration des conditions économiques. Le niveau de pauvreté des familles québécoises, qui avait atteint l'an dernier un bas historique, se mettront à remonter, prévoit Pierre Fortin. L'effet de la conjoncture se fera sentir et le nombre de pauvres devrait augmenter, croit lui aussi Jean-Michel Cousineau. Mais le spécialiste estime que la lutte à la pauvreté a donné des résultats permanents. «Il y a des gains réels qui devraient rester», avance-t-il.
  18. Publié le 09 août 2009 à 05h00 | Mis à jour à 10h38 La décontamination de l'ex-Technoparc retardée de deux ans Depuis qu'elle a acquis le terrain de l'ex-Technoparc à la fin des années 80, la Ville de Montréal a dépensé 5 millions pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, sans jamais réussir à décontaminer les sols une fois pour toutes. Martin Croteau Cyberpresse La restauration du Parc d'entreprises de la Pointe-Saint-Charles est retardée d'au moins deux ans. La Ville de Montréal souhaitait amorcer le nettoyage de ce vaste terrain contaminé situé au bord du Saint-Laurent cette année, mais les travaux ne commerceront pas avant 2011 ou 2012, a appris La Presse. La décontamination de l\'ex-Technoparc retardée de deux ans Daniel Green, co-président de la société pour vaincre la pollution, prend un échantillon d'eau polluée par les résidus de pétrole sur les berges du fleuve St-Laurent, tout près du pont Victoria. «Il y a déjà eu des études préliminaires et des essais faits au printemps, explique le directeur du ministère de l'Environnement pour la région de Montréal, Pierre Robert. Ça a mis en évidence une problématique environnementale plus complexe que celle qui était anticipée.»Aux abords du fleuve, à quelques mètres à peine du pont Victoria, un muret de plastique orange est tenu en place par des flotteurs noirs. Un fort débit coule d'un côté. De l'autre, à l'abri du courant, des boudins beiges flottent dans une eau stagnante. Ce sont des capteurs qui absorbent les hydrocarbures. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. On peut voir l'auréole des taches d'huile flottant sur l'eau. Ce dispositif de captage de la pollution est une «solution temporaire». En juin 2008, la Ville avait annoncé son intention de lancer dans l'année des travaux de nettoyage permanents, mais elle doit attendre encore. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. «Les travaux visant à implanter la solution permanente pourraient avoir lieu autour de 2011 ou 2012», affirme Pierre Robert. Autrefois appelé le Technoparc, le site a été une gare de triage ferroviaire, un stationnement pour Expo 67, un aéroport et un dépotoir. Il recèle entre 4 et 8 millions de litres de diesel, ainsi qu'une à deux tonnes de biphényles polychlorés (BPC). Ces substances s'écoulent dans le fleuve depuis le début des années 90, et leurs traces ont été retrouvées à plusieurs kilomètres en aval. En 2005, la Ville a bâti un mur de béton souterrain d'une longueur de 160 mètres afin d'empêcher les polluants de s'écouler dans le fleuve. Un système de flotteurs déployé à deux endroits sur la rive permet de capter des matières toxiques qui coulent dans le fleuve et de les éliminer. Mais cette méthode n'empêche pas les substances toxiques de se retrouver dans le fleuve, affirme l'écologiste Daniel Green. D'autant plus que les flotteurs sont retirés de l'eau en hiver pour éviter qu'ils soient broyés par la glace. «Tous les efforts que déploient la Ville de Montréal pour l'environnement - le Bixi, le transport en commun - sont annulés par cette pollution causée au fleuve», a indiqué le directeur de la Société pour vaincre la pollution. Pierre Robert, lui, prêche la patience. «Ce n'est pas comme mettre de l'asphalte sur une route, lorsque le risque de se tromper est faible, fait-il valoir. Dans ce cas-ci, on ne voit pas en-dessous de la terre. Alors il est très important de faire une analyse fine avant de procéder.» Montréal a acquis ce terrain lourdement pollué des gouvernements fédéral et provincial, dans les années 80. Depuis, elle a déjà dépensé entre 5 et 6 millions pour étudier le problème et contrôler les déversements toxiques. Et à maintes reprises, elle a indiqué qu'elle n'avait pas été avertie de l'ampleur des travaux de décontamination. Une étude de la Commission de coopération environnementale, l'organisme nord-américain de surveillance de l'environnement, a d'ailleurs souligné qu'Ottawa savait dès le début des années 80 que les terrains recelaient des substances toxiques. Mais Montréal a renoncé à toute réclamation auprès des vendeurs en les acquérant. Les autorités municipales ignorent toujours comment s'y prendre pour nettoyer le terrain une fois pour toutes. La Ville a commandé une étude de 1,5 million au Centre d'excellence de Montréal en réhabilitation des sites (CEMRS) pour qu'il lui propose des technologies. Mais elle n'a toujours pas reçu le rapport, qui devait pourtant lui être rendu en février. Le responsable du dossier à la Ville de Montréal, Alan Desousa, a refusé de commenter le dossier, hier.
  19. Petite visite de l'unité de Moshé Safdie (le 1011) Lundi soir. L'intérieur de cette unité est le même qu'en 67 (maintenant protégé par la loi sur les monuments), c'était la suite de Pierre Dupuis pendant l'Expo. Le général de Gaule y aurait logé le soir du fameux discours du balcon de l'hôtel-de-ville. Quelle vue...
  20. Louise Harel songe à la mairie Radiocanada.ca Louise Harel a admis pour la première fois qu'elle réfléchit sérieusement à la possibilité de se présenter à la mairie de Montréal. Elle a fait cette déclaration lors de son passage hier à l'émission Bons baisers de France, à la télévision de Radio-Canada. Mme Harel avoué qu'elle s'en faisait énormément parler. « J'y réfléchis en sachant qu'il y a un compte à rebours », a-t-elle déclaré. L'ancienne ministre et députée péquiste a ajouté qu'elle devait se questionner sur la faisabilité de la chose. Dans un sondage Angus Reid publié dans Le Presse le 11 mai dernier, on demandait aux Montréalais pour qui ils voteraient parmi les candidats suivants: Martin Cauchon, Denis Coderre, Jacques Duchesneau, Liza Frulla, Louise Harel, Pierre Marc Johnson, Robert Laramée et Gilbert Rozon. Mme Harel était arrivée en tête, avec 17 % des intentions de vote. Elle était suivie de Pierre Marc Johnson, avec 11 % des suffrages, Liza Frulla (9 %) et Denis Coderre (9 %). Le sondage d'Angus Reid a été mené les 6 et 7 mai auprès de 805 personnes vivant sur l'île de Montréal. La marge d'erreur est de 3,5 points.
  21. Le président du Canadien de Montréal, Pierre Boivin, confirme à La Presse que la famille Gillett, propriétaire de l'équipe et du Centre Bell, réévalue sa stratégie financière. Pour en lire plus...
  22. Après 42 ans au service de la multinationale québécoise, dont 13 à titre de président et chef de la direction, Jacques Lamarre passe le flambeau à Pierre Duhaime, un vice-président de l'entreprise. Pour en lire plus...
  23. Tremblay seul dans la course Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 16/02/2009 05h17 - Mise à jour 16/02/2009 11h33 Gérald Tremblay semble bien en selle la mairie de Montréal. À l'aube d'une année électorale qui pourrait lui donner un troisième mandat à la mairie de Montréal, Gérald Tremblay semble complètement seul dans la course, selon un sondage Léger Marketing réalisé pour le compte du Journal de Montréal. Le maire de Montréal éclipse totalement ses deux adversaires déclarés, Benoît Labonté et Richard Bergeron. Les résultats du sondage sont particulièrement catastrophiques pour le chef de l'opposition et nouveau chef de Vision Montréal, Benoît Labonté. Avec seulement 4 % des intentions de vote, il se retrouve derrière le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. «Benoît Labonté doit démontrer qu'il est une alternative sérieuse au maire Tremblay. Mais actuellement, pour les Montréalais, il n'y a pas de réelle alternative», analyse le sondeur Jean-Marc Léger. Car la principale force du maire sortant, c'est sa popularité. «Il est très populaire. Les autres sont accueillis dans l'indifférence actuellement», ajoute-t-il. Des inconnus De fait, les deux adversaires de Tremblay sont totalement inconnus de la majorité de la population. Trois personnes sur cinq ne connaissent par Benoît Labonté et seulement une personne sur cinq dit connaître Richard Bergeron, qui était pourtant candidat à la mairie aux dernières élections de 2005. Il avait fini avec 9%des voix. Est-ce possible que l'un des deux réussissent à surprendre Gérard Tremblay au fil d'arrivée? «Rien n'est impossible. Il peut se passer bien des choses d'ici les élections. Mais si des élections avaient lieu maintenant, Gérald Tremblay l'emporterait haut la main», indique M. Léger. Vision Montréal en déroute Le sondage tombe bien mal pour Benoît Labonté qui essaie tant bien que mal de maintenir l'unité de son parti Vision Montréal. Depuis l'automne dernier, au moins quatre personnalités de premier plan du parti ont claqué la porte: Robert Laramée, Claire Saint-Arnaud, Pierre Minville et, plus récemment, Christine Hernandez. Élu maire de l'arrondissement Ville-Marie sous la bannière du parti de Gérald Tremblay en 2005, Benoît Labonté a claqué la porte en septembre 2007 et rejoint Vision Montréal, l'ancien parti de l'ex-maire Pierre Bourque. Il a été nommé chef de Vision Montréal en mai dernier. Si Gérald Tremblay est élu pour un troisième mandat, il sera le premier à réussir l'exploit de-puis Jean Drapeau. Ni Jean Doré ni Pierre Bourque n'ont réussi à se faire élire trois fois.
  24. Publié le 23 janvier 2009 à 09h15 | Mis à jour à 09h16 Bye bye les MAINEiacs? (Chicoutimi) Après les Fog Devils de Terre-Neuve, voilà maintenant que les MAINEiacs de Lewiston quitteraient le Maine la saison prochaine pour évoluer dans le secteur Blainville-Boisbriand, où un important centre d'excellence serait construit dans les prochains mois. Les gouverneurs de la LHJMQ, réunis à Montréal cette semaine, ont discuté de ce transfert possible. Gervais Munger des Sags s'est refusé à tout commentaire à ce sujet, n'ayant pas les permissions requises pour le faire. Ce qu'il a été possible d'apprendre, c'est que les gouverneurs doivent d'abord s'entendre sur une chose, le transfert ne peut se faire à l'intérieur d'un périmètre de 40 kilomètres d'une autre concession. Par exemple, Alma ne peut demander une franchise dans la LHJMQ selon cette clause. Par ailleurs, des investisseurs sérieux veulent obtenir cette franchise des MAINEiacs, dont Joël Bouchard et son partenaire Pierre Gendron. Munger, cependant, ne voit pas de problèmes à ce transfert pour quelques bonnes raisons. «J'ai toujours été en faveur d'une rivalité proche entre les villes. La venue d'une équipe à l'endroit que vous me citez créerait une bonne rivalité avec Montréal sans oublier que ça ferait une belle bagarre avec Shawinigan, Victoriaville et Drummondville», confie-t-il. Il y a quelques mois, dans le Courrier, un journal local, il était fait mention que Blainville et Boisbriand s'engagent dans le centre d'excellence sous forme de réservation d'heures de glace pour plusieurs années. Quant au financement du projet, en plus de la subvention gouvernementale de Québec de 7,1 M$ et d'une contribution non négligeable de la SODET-CLD de 500 000$, le journal ajoute les quelque douze autres millions nécessaires à la réalisation proviendront de prêts bancaires. La mairesse Sylvie St-Jean estime maintenant le coût du projet à 20 M$ et précise que ce prix n'inclut pas le coût du terrain nécessaire à l'implantation, un investissement de l'ordre de 1,8 M$ confirmé par la Ville de Boisbriand lors de la séance spéciale tenue quelques jours avant Noël seulement. Pour leur part, les promoteurs du projet, l'ex-hockeyeur de la LNH Joël Bouchard et son associé Pierre Gendron, ne voient pas de problème au virage actuel, affirmant que la dimension centre d'excellence en hockey peut très bien cohabiter avec une utilisation municipale des glaces par les associations sportives de Blainville et de Boisbriand. Pour obtenir une franchise dans la LHJMQ, il faut un centre sportif prêt à accueillir 3500 personnes et le nouveau centre de Boisbriand respecterait cette demande.
  25. Barack Obama s'est engagé à rendre les soins de santé accessibles à tous les Américains. Il veut améliorer le système de santé en investissant dans les technologies de l'information, dans la prévention et dans la coordination des soins. Cette cure de jouvence devrait coûter entre 50 et 65 milliards US, rapporte Pierre Lapointe, stratège de la Financière Banque Nationale. Pour en lire plus...
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