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  1. Trois nouveaux projets de piétonnisation à Montréal La Presse | Publié le 17 janvier 2017 à 14h33 | Mis à jour à 14h33 Trois nouveaux projets de rues piétonnes feront leur apparition l'été prochain à Montréal. Les rues Saint-Ambroise et Atwater (Sud-Ouest), Roy (Plateau) et Wellington (Verdun) seront désormais dédiées aux piétons plutôt qu'aux voitures. Le projet du Sud-Ouest vise à aménager un espace de détente aux abords du Marché Atwater. Dans le Plateau, la rue Roy sera convertie entre Coloniale et de Bullion afin d'accueillir un marché public ainsi que des bacs pour effectuer de l'agriculture urbaine. Verdun misera quant à elle sur la thématique de la plage, rappel du projet de l'arrondissement qui aménagea un nouvel accès au fleuve non loin. Pour valider le choix de ces aménagements, ceux-ci seront implantés sur une base temporaire pour les deux premières années, puis permanente à partir de la troisième. Ces conversions s'inscrivent dans le cadre du programme de piétonnisation qui cherche à améliorer la vie de quartier, programme à travers lequel neuf rues ont déjà été transformées depuis 2015. À l'heure actuelle, Montréal compte un total de 45 rues piétonnes sur une base permanente ou saisonnière.
  2. 6 juin 2007 Une partie de la rue Sainte-Catherine deviendra piétonne, entre les rues Saint-Hubert et Papineau, durant six week-ends de l'été. Ce projet pilote, s'il est concluant, pourrait mener à donner accès aux piétons d'autres artères montréalaises. L'expérience avait été tentée avec succès lors des Outgames, l'an dernier. « Les gens aiment ça, prendre un verre et regarder passer les gens », explique le directeur général de la Société de développement commercial (SDC) du Village, Bernard Plante. « C'est une autre ambiance complètement. » L'objectif principal de l'arrondissement est d'attirer les touristes et les consommateurs pour contrecarrer la concurrence des commerces de banlieue. « Toutes les expériences européennes et nord-américaines en terme de piétonnisation ont toutes eu des impacts positifs en terme d'achalandage commercial », soutient le maire de l'arrondissement Benoît Labonté. Les rues transversales demeureront ouvertes durant ces week-ends pour piétons seulement. Résidents et passants accueillent le projet avec enthousiasme et si les réactions demeurent aussi positives à la fin de l'été l'arrondissement pourrait rendre la mesure permanente. « Non seulement sur la rue Sainte-Catherine, mais aussi ailleurs dans l'arrondissement », poursuit le maire Labonté. Le maire de l'arrondissement vise notamment la rue Saint-Paul. Benoît Labonté rappelle que les villes de Boston et Ottawa possèdent toutes des rues piétonnes. De plus, le plan de transport présenté par la Ville, il y a quelques semaines, recommande de diminuer la présence de l'automobile au profit d'autres modes de transport dans la métropole.
  3. Montréal Piétonnisation de la rue Masson: loin d’être chose faite Agence QMI Laurent Dionne 26/05/2011 17h59 MONTRÉAL - Dans la foulée d’artères commerciales devenues piétonnes à Montréal, comme les rues Sainte-Catherine et Saint-Paul, voilà que la rue Masson pourrait également faire de même dès l’été 2012, si les commerçants et résidants du secteur donnent leur aval. «Les commerçants vont être appelés à voter à la mi-juin. S’ils acceptent le projet, nous demanderons aux résidants s’ils sont du même avis. Ça prend l’accord de tout le monde», a indiqué Louis Tremblay, porte-parole de l’arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie. L’arrondissement avait initialement proposé la piétonnisation tout au long de la semaine, ce qui avait soulevé le mécontentement des occupants du quartier. Cette fois, le projet vise une fermeture à la circulation durant la fin de semaine seulement, soit du vendredi 16 h au dimanche 17 h, entre la 1ère avenue et le boulevard Saint-Michel. L’accès aux voitures serait interdit, mais la ligne d’autobus qui dessert l’artère resterait en service. Les propriétaires des établissements commerciaux seraient invités à installer des terrasses. Une partie des frais de ces travaux serait prise en charge par l’arrondissement. Des commerçants peu convaincus Si les commerçants doivent attendre à la mi-juin pour se prononcer, d’autres laissent déjà paraître leur désaccord. «Ça ne nous arrangerait pas du tout. Ce serait un gros problème pour le stationnement, parce que la plupart de nos clients viennent en voiture. Ça ne serait pas bon pour les commerçants de la rue», a témoigné Dionisios Chronopoulos, propriétaire du buffet Casa Corfu. «Notre position reste la même, c’est-à-dire qu’on est contre. Nous avons trop de marchandises volumineuses qui nécessitent une voiture», a répondu Dominic Bélanger, propriétaire de la Quincaillerie Rona Bélanger, qui affirme qu’une grande partie de son chiffre d’affaires annuel provient des ventes effectuées durant les fins de semaine d’été. Du côté de la Société de développement commercial Promenade Masson, on souligne que le conseil d’administration a décidé de «soutenir le projet d’essai», a signifié son secrétaire, Michel Séguin. Selon ce dernier, «l’important est de garder les véhicules dans le secteur». Pour ce faire, un projet de construction d’un stationnement à étages est envisagé. Travaux d’embellissement Dans la même lignée de revitalisation, des travaux de réaménagement sont également prévus. «Nous croyons que la piétonnisation et les travaux d'embellissement que nous proposons auront un impact majeur sur la qualité de vie des résidants et sur la vitalité de l'ensemble de ce secteur, c'est pourquoi nous mettons tout en œuvre pour que ce projet aille de l'avant», a pour sa part soutenu le maire de l’arrondissement, François Croteau, par voie de communiqué.
  4. Rue Saint-Paul - Des commerçants veulent marchander leur appui au projet de piétonnisation Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du mardi 24 mars 2009 Mots clés : Rue Saint-Paul, piétonnisation, commerçants, Québec (province) La Ville de Montréal pensait pouvoir aller de l'avant avec son projet de piétonnisation de la rue Saint-Paul cet été, mais voilà que des commerçants s'y opposent. La Société de développement commercial (SDC) du Vieux-Montréal réclame l'abandon du nouveau circuit d'autobus 515 qui emprunte la rue de la Commune en échange de son appui à la piétonnisation d'un segment de la rue Saint-Paul, dans le Vieux-Montréal. Implanté en juin 2008, le circuit d'autobus 515 indispose les commerçants. L'aménagement d'une voie réservée dans la rue de la Commune a entraîné des bouchons de circulation importants dans cette artère ainsi que dans les rues environnantes, en plus d'éliminer plusieurs places de stationnement de courte durée, déplorent-ils. Le directeur général de la SDC, Daniel Soucy, estime qu'il faudra d'abord régler le problème de l'autobus 515 avant de songer à interdire la circulation dans un segment de la rue Saint-Paul. «Le Vieux-Montréal n'est pas fait pour les autobus. On veut que les gens marchent à pied», explique M. Soucy qui croit que le prolongement d'un circuit d'autobus existant dans l'axe nord-sud constituerait une meilleure solution. Après avoir consulté ses membres, la SDC s'était pourtant montrée favorable à la piétonnisation de la rue Saint-Paul, entre les rues du marché Bonsecours et Saint-Gabriel, du 19 juillet au 1er août. Mais si le circuit d'autobus est maintenu, la Ville n'aura pas l'appui des commerçants au sujet de la piétonnisation, a indiqué hier M. Soucy. Pour la conseillère du district Peter-McGill, Catherine Sévigny, il s'agit d'une volte-face difficile à comprendre. Il y a quelques mois, la Ville et la SDC s'étaient entendues sur les grandes lignes du projet, et les commerçants étaient majoritairement favorables, relate-t-elle. «Il va falloir qu'on évalue le tout, mais je pense que c'est important de piétonniser cette rue-là, a-t-elle indiqué au Devoir. Je ne peux pas comprendre que les commerçants ne veuillent pas au moins l'essayer.» Malgré le faible achalandage de la ligne 515, la Société de transport de Montréal (STM) estime que ce circuit a sa raison d'être, tout comme la voie réservée. Entre 1100 et 1200 personnes montent à bord de ces autobus chaque jour en semaine, ce qui n'est pas considéré comme une très bonne performance. En revanche, ce circuit a été implanté tardivement l'an dernier, signale la porte-parole de la STM, Marianne Rouette. L'administration Tremblay aurait voulu piétonniser la rue Saint-Paul dès l'an dernier, mais le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, avait bloqué le projet, estimant que le projet nécessitait une meilleure planification. L'arrondissement tiendra une soirée d'information au sujet de ce circuit d'autobus, ce soir à 18h, à la Basilique Notre-Dame. La firme Genivar présentera une série de mesures visant à réduire l'impact de la voie réservée sur la circulation. http://www.ledevoir.com/2009/03/24/241447.html (24/3/2009 9H00)
  5. discutez cette idée Sainte-Catherine piétonnière en permanence? Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du jeudi 23 octobre 2008 Mots clés : Benoit Labonté, administration Tremblay, Réseau routier, Municipalité, Montréal L'administration Tremblay examine la possibilité d'implanter un tramway dans la rue Sainte-Catherine, au centre-ville de Montréal, une mesure susceptible d'y éliminer toute circulation automobile de façon permanente. Cette initiative survient alors que le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, projette de piétonniser la rue Sainte-Catherine, de la rue Papineau jusqu'à la rue Jeanne-Mance, à compter de l'été prochain. Le comité exécutif de la Ville de Montréal a accordé hier un contrat au groupe Genisys, un consortium formé de la firme Genivar et du groupe Systra, afin qu'il réalise des études et des analyses en vue d'implanter un réseau initial de tramway au centre-ville. Dans le cadre de ce contrat de plus d'un demi-million de dollars, Genisys a pour mandat d'étudier le tracé du réseau de tramway de six kilomètres qui formera une boucle entre les grands pôles, tels que le Centre des affaires, le Vieux-Montréal, le futur CHUM, l'UQAM, le Quartier des spectacles, le Quartier international et Griffintown. Le projet, évalué à 260 millions de dollars, devrait voir le jour d'ici 2013. Dans son plan de transport présenté en juin dernier, la Ville avait prévu que le tramway emprunterait les rues Berri, de la Commune et Peel en passant par le boulevard René-Lévesque. Or l'administration Tremblay n'écarte pas la possibilité de faire rouler le tramway dans la rue Sainte-Catherine plutôt que sur le boulevard René-Lévesque. Elle a donc demandé au consortium d'examiner les deux options et de faire des prévisions d'achalandage. La rue Sainte-Catherine, qui compte deux voies de circulation automobile à l'heure actuelle, n'a pas le même gabarit que le boulevard René-Lévesque. Y implanter deux voies de tramway en site propre équivaut à piétonniser un tronçon de cette l'artère, car la circulation automobile y serait très limitée, reconnaît le responsable du transport au comité exécutif de la Ville, André Lavallée. «L'implantation du tramway sur Sainte-Catherine pourrait ressembler à certaines rues de Montpellier, de Strasbourg et de Houston, sur lesquelles la présence dominante est le tramway. Donc, l'accès automobile est toujours permis dans les rues transversales, mais la rue est piétonne, en définitive. Il y a cependant des allées de livraison de marchandise», a-t-il expliqué hier. Opter pour le boulevard René-Lévesque comporterait toutefois plusieurs avantages. Comme l'artère est plus éloignée de la ligne verte de métro, l'ajout d'un circuit de tramway augmenterait de façon plus significative l'offre de transport collectif. «Plein de gens dans le centre des affaires n'utilisent pas le métro parce que cinq minutes à pied, ils trouvent ça trop loin. Mais le tramway, ce n'est pas seulement du transport, c'est aussi de l'aménagement urbain, donc, on aura à prendre une décision sur le scénario optimum», ajoute-t-il. Le tronçon de la rue Sainte-Catherine susceptible d'être ainsi piétonnisé, si cette option est retenue, s'étendrait des rues Berri à Peel, selon le plan initial de la Ville. Si le circuit de tramway empruntant le chemin de la Côte-des-Neiges était ultérieurement réalisé, le segment entre les rues Peel et Guy serait également fermé à la circulation automobile. Pendant ce temps, le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, songe à étendre la piétonnisation estivale de la rue Sainte-Catherine vers l'ouest, jusqu'à la rue Jeanne-Mance, à compter de l'an prochain. Des discussions ont d'ailleurs été entreprises avec les regroupements de commerçants et les résidants du secteur afin de connaître leur opinion à ce sujet. Lors d'une réunion, mardi soir, une cinquantaine de membres de la Table de concertation du Faubourg Saint-Laurent et de la Corporation de développement urbain du Faubourg Saint-Laurent ont exprimé leurs inquiétudes. Des représentants de l'arrondissement, des Habitations Jeanne-Mance, du Festival international de jazz, de l'UQAM et de divers groupes ont également participé à cette rencontre. La piétonnisation de la rue Sainte-Catherine Est, l'été dernier, a beau être considérée comme une expérience positive, elle ne garantit pas que le succès sera au rendez-vous si la fermeture de l'artère est étendue jusqu'à la rue Jeanne-Mance. Le contexte est différent du Village, explique Agnès Connat, coordonnatrice de la Table de concertation. Il y a moins de bars et de restaurants qui, avec leurs terrasses, sont susceptibles d'animer la rue. Si jamais la rue devait être fermée à la circulation pendant plusieurs mois, il faudrait songer sérieusement à d'autres types d'animation dans ce secteur, dit-elle: «Pour qu'une rue soit vivante, il faut qu'il y ait un tissu urbain continu, ce qui n'est pas le cas dans cette partie de rue là, car il y a des terrains vagues. Il faut arriver à compenser d'une manière ou d'une autre. Comme il n'y aurait pas autant de terrasses que dans le Village, il faut trouver quelque chose d'autre.» Mme Connat constate toutefois qu'il n'y a pas de réelle opposition au projet mais que les préoccupations sont nombreuses. Ré Jean Séguin, directeur général de la Corporation de développement urbain du Faubourg Saint-Laurent, abonde dans ce sens. Il a indiqué que le conseil d'administration de la Corporation avait décidé hier de poursuivre les pourparlers avec l'arrondissement afin qu'une décision puisse être prise au mois de décembre, en prévision de la prochaine saison estivale. L'été dernier, la rue Sainte-Catherine Est, entre les rues Berri et Papineau, avait été fermée à la circulation entre le 17 juin et le 3 septembre. C'est donc dire que, compte tenu des festivals, le tronçon entre Berri et Jeanne-Mance avait été fermé pour une période de 51 jours sur les 77 jours de piétonnisation. Lors d'une conférence de presse prévue ce matin, Benoit Labonté fera le bilan de l'édition 2008 de la piétonnisation de la rue Sainte-Catherine Est et discutera de l'extension du projet vers l'ouest. http://www.ledevoir.com/2008/10/23/212109.html (23/10/2008 7H05)
  6. Piétonnisation de la rue Sainte-Catherine Est - Une expérience unique en ville MONTREAL, le 17 juin /CNW Telbec/ - "Aujourd'hui nous venons d'entreprendre la plus longue piétonisation d'une rue au Canada, une expérience urbaine unique, dont nous pouvons tous être fiers, à déclaré le maire Benoit Labonté et Chef de l'Opposition officielle de la Ville de Montréal." C'est depuis de ce matin que la rue Sainte-Catherine Est est fermée à la circulation, et ce jusqu'au 3 septembre prochain. Les livraisons locales pourront s'effectuer, tous les jours, entre 7 h 30 et 10 h 30. La Société de développement commerciale du Village (SDC du Village) aura deux jours pour mettre en place les installations extérieures comme les terrasses et les enjolivements divers et, vendredi le 20, le public montréalais pourra enfin envahir la nouvelle rue piétonne. Une signalisation proactive est en voie d'être mise en place, afin que les automobilistes soient prévenus, à distance, des déviations de la circulation. Rappelons que les rues Saint-Antoine, Notre-Dame et Sherbrooke offriront des alternatives aux automobilistes sans que des engorgements sérieux soient à craindre. La suppression du virage à gauche, vers le Pont Jacques-Cartier, sur la rue Ontario, en venant de l'Est, augmentera également la fluidité de la circulation pour les automobilistes arrivant du centre-ville et se dirigeant vers le pont. "Avec la SDC du Village et les associations de résidants, a expliqué le maire Benoit Labonté, nous avons mis sur pied un projet audacieux qui s'inscrit dans la convivialité et le développement durable. Il est aussi important de noter qu'un tel projet participe activement à la revitalisation de ce quartier." Au-delà de cinquante terrasses vont ouvrir, ce vendredi, sur la rue Sainte-Catherine; des animations spéciales vont se tenir tout au long de l'été sur des thématiques particulières; un décor spécifique et floral sera mis en place. Avec l'animation du Parc Emilie-Gamelin et cette piétonisation, l'Est du centre-ville de Montréal développera un nouveau visage que des milliers de Montréalais, ainsi que les touristes, pourront apprivoiser dans la bonne humeur.
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