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  1. [en ces temps de grande incertitude face à la reprise économique...] Les six grandes banques déclareront des profits records Argent 21 mai 2010 | 15h33 Les analystes s'attendent à ce que les grandes banques canadiennes annonceront des résultats solides pour le dernier trimestre. La Banque de Montréal donnera le coup d'envoi, mercredi, de cette semaine d'annonce de résultats financiers pour le deuxième trimestre. Ils prévoient également qu'elles se tourneront davantage vers les activités de base tandis que la crise de la dette continue d'ébranler le système financier européen. Peter Rozenberg, analyste chez UBS Investment Research, prévoit un taux de croissance par action sur 12 mois de 9% imputable entre autres à l'actualisation des provisions pour les pertes sur créances ainsi qu'à la croissance de la valeur des prêts et des marges. La Banque de Montréal (BMO) donnera le coup d'envoi, mercredi, de cette semaine d'annonce de résultats financiers pour le deuxième trimestre. Lui emboîteront le pas la TD (TD), la CIBC (CM), la RBC (RY), Scotiabank (BNS) et la Banque Nationale (NA). Les banques se concentrent sur les activités de base et dégagent leurs profits d'un contrôle rigoureux des dépenses, expliquait encore M. Rozenberg dans un billet. Il croit toutefois que les profits sur le négoce seront stables. La Banque HSBC, la septième en importance au Canada, a quant à elle rapporté des profits en forte croissance, à une diminution des provisions pour les pertes sur créances ainsi qu'à la croissance des marges d'exploitation. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/canada/archives/2010/05/20100521-153330.html
  2. La presse, 7 aout 2009 Si le taux de chômage est resté stable au Canada en juillet, les pertes d'emplois au Québec ont connu une importante hausse durant la même période. Le taux de chômage était stable à 8,6 % en juillet au pays. Après avoir peu bougé en juin, l'emploi a toutefois diminué de 45 000 au cours du mois dernier. Statistique Canada souligne que les pertes d'emploi ont touché à la fois le travail à temps plein et le travail à temps partiel. L'emploi s'est replié principalement chez les jeunes de 15 à 24 ans et chez les femmes de 25 à 54 ans. La tendance à la baisse chez les employés du secteur privé a persisté mais on a noté une progression soutenue de l'emploi autonome. En juillet, l'emploi a diminué dans les services d'hébergement et de restauration, ainsi que dans la construction. Le commerce de détail et le commerce de gros ont pour leur part connu des augmentations. Au Québec Le taux de chômage a augmenté de deux dixièmes au Québec en juillet pour passer à neuf pour cent. C'est le plus élevé depuis janvier 2004. Après quatre mois sans enregistrer de pertes notables, l'emploi au Québec a reculé au total de près de 37 000. Au Nouveau-Brunswick, le taux de chômage est passé à 9,4 %, en hausse de deux dixièmes par rapport au mois précédent. En Ontario, il a baissé de trois dixièmes à 9,3%. Le mois de juillet a été difficile pour les étudiants canadiens. Leur taux de chômage a atteint 20,9%. Il s'agit du taux de chômage le plus élevé noté en juillet pour les étudiants depuis que des données comparables sont devenues disponibles en 1977. L'emploi a reculé de 10,9% chez les jeunes de 15 à 24 ans par rapport au même mois de l'année précédente.
  3. Maigre année 2008 pour l'emploi au Québec Mélissa Guillemette Édition du jeudi 18 juin 2009 «On n'a pas remarqué de pertes d'emploi liées à la crise» La croissance de l'emploi au Québec en 2008 a été la plus faible des huit dernières années. Pourtant, la crise économique n'y est pour rien. C'est ce que révèle la nouvelle édition de L'Annuaire québécois des statistiques du travail, publié hier. Quelque 30 000 emplois ont été créés en 2008, alors que 2007 -- année record -- avait connu la création de 86 300 nouveaux emplois. «On n'a pas remarqué de pertes d'emploi liées à la crise, indique l'analyste à l'Institut de la statistique du Québec qui a réalisé le rapport, Alexandre Gaudreault. C'est plutôt qu'il y a eu un essoufflement de la création d'emplois, suivi d'un regain au quatrième trimestre, où 20 200 emplois ont été créés. Pour les impacts de la crise, il faudra attendre les données de 2009.» Mais, bonne nouvelle: c'est l'emploi permanent qui a le plus augmenté dans la province, avec 1,8 % de croissance. L'emploi atypique (à temps partiel, temporaire et autonome), qui avait le vent dans les voiles ces dernières années, a quant à lui chuté de 0,7 % l'an dernier. «Ça va complètement à l'inverse de la tendance depuis 2000, ça nous a beaucoup étonnés, raconte M. Gaudreault. C'est la première fois que le travail atypique diminue en huit ans.» L'emploi syndiqué ne régresse pas, apprend-on dans le document de près de 300 pages. Son taux a augmenté de 13,2 % depuis 2000. «Les gens ont parfois l'impression qu'il diminue, mais en réalité, c'est que les emplois non syndiqués progressent plus rapidement», explique l'analyste. Les femmes, qui sont toujours de plus en plus actives, sont celles qui ont décroché le plus grand nombre des nouveaux emplois syndiqués. École, boulot, dodo L'emploi chez les étudiants poursuit sa progression et est de plus en plus marqué, surtout chez les femmes. La moitié des étudiantes de 15 à 24 ans ont un boulot après les classes, contre 41,5 % des hommes qui étudient. «Mais ce sont surtout des emplois à temps partiel pour leur apporter un revenu d'appoint», a remarqué Alexandre Gaudreault. En effet, seulement un étudiant sur 20 travaille à temps plein. En avril et en mai, le marché du travail québécois a gagné 28 100 emplois, selon le bulletin mensuel d'Emploi-Québec. Plus de 48 800 pertes d'emplois ont cependant été enregistrées de janvier à mars.
  4. À 8,4 %, le taux de chômage atteint un niveau inégalé en 11 ans. Les plus importantes pertes d'emplois ont été enregistrées dans le secteur manufacturier ontarien. Pour en lire plus...
  5. Québec Bachand prévoit 70 000 pertes d’emploi Agence QMI 01/06/2009 17h26 Le ministre des Finances du Québec, Raymond Bachand, estime que la crise économique entraînera la perte de 70 000 emplois dans la province. Rencontré lundi midi après s’être adressé à l’association des MBA du Québec, il a évalué à «32 000, et peut-être un peu plus» le nombre de mises à pied dans la province depuis octobre 2008. Selon lui, d’ici la fin de la crise, «près de 70 000 postes auront été perdus au total». C’est la première fois que le nouveau ministre des Finances, qui est en poste depuis le 8 avril, évoque de tels chiffres. Il a toutefois indiqué que celle qu’il remplace, Monique Jérôme-Forget, disposait des mêmes estimations lors de la présentation du dernier budget. «Plus ça dure, plus les entreprises sont forcées de faire des coupures », a-t-il observé, en s’empressant toutefois d’ajouter que « ce calcul n’est pas une science exacte » et que « le Québec s’en sort mieux que les autres provinces canadiennes». Chiffres conservateurs? Pour Carlos Leitao, économiste en chef à la Banque Laurentienne, les chiffres avancés par le ministre sont fort plausibles, et pourraient même être un peu conservateurs. «D’octobre 2008 à avril, nous avons évalué à 72 000 le nombre de pertes d’emploi. Sur une période d’un an, jusqu’en octobre 2009, on parle de 80 000 coupures», dit-il, joint au téléphone par 24 heures. Selon Raymond Bachand, la récente appréciation du dollar canadien, qui a clôturé lundi à 91,7 cents américains, peut expliquer les difficultés de l’économie québécoise. «Le protectionnisme d’Obama» Dans le secteur des infrastructures, le ministre blâme plutôt «le protectionnisme d’Obama» pour le ralentissement des exportations vers nos voisins du sud. «Plusieurs entrepreneurs que je rencontre ont des problèmes avec ça. On travaille activement avec le gouvernement du Canada, et aussi avec des délégations aux États-Unis», a-t-il indiqué. En avril, 22 000 nouveaux emplois ont été créés au Québec, mais le taux de chômage s’est accru pour atteindre 8,4% en raison de l’augmentation de la population active.
  6. j'ai perdu mon emploi! ... Licencié avec une vingtaine d'autre personnes! Ils viennent de fermer l'équipe au complet. C'est la première fois que ça m'arrive et ce n'est pas très agréable. C'était prévisible par contre, la compagnie accumule des pertes énormes depuis que j'y travaille. Disons que je viens de prendre un bon coup. avez-vous des expériences à partager? des conseils ? des idées ?
  7. Une importante entreprise de la région spécialisée dans la culture hydroponique des tomates biologiques est ravagée par les flammes. Les pertes sont estimées à 2,5 millions de dollars. Pour en lire plus...
  8. Un autre mois terrible pour l'emploi au Canada Publié le 13 mars 2009 à 06h59 | Mis à jour à 10h04 Michel Munger lapresseaffaires.com (Montréal) Février a été un autre mois difficile pour l'économie canadienne. À preuve: environ 83 000 emplois ont été perdus, indique Statistique Canada. Il s'agit de la quatrième baisse consécutive. Surtout, c'est maintenant routinier de dire que les chiffres réels sont pires que les prévisions: les analystes consultés par Bloomberg tablaient sur 50 000 postes. Ainsi, le taux de chômage bondit d'un demi-point à 7,7%. L'agence fédérale souligne que c'est le travail à temps plein qui écope avec la perte de 110 000 postes. Les mises à pied massives annoncées ces dernières semaines ont donc un impact sur les statistiques officielles. La baisse de 83 000 du mois dernier porte à 295 000 le nombre d'emplois abolis depuis le sommet atteint en octobre dernier. Cela représente l'élimination de 1,7% des emplois qui existaient à l'époque. Selon les données publiées ce matin, il y a des visages identifiables derrière cette situation pénible. Par exemple, les Ontariens sont les plus pénalisés par la récession en février alors que 35 000 travailleurs ont perdu leur gagne-pain. Les deux autres provinces les plus touchées sont l'Alberta (24 000 postes disparus) et le Québec (18 000 postes). Ce dernier a maintenant un taux de chômage en hausse de 0,2 point à 7,9%. Ces visages sont surtout masculins: un recul de 66 000 emplois a été constaté chez les hommes âgés de 25 à 54 ans. Depuis que le marché du travail bat en retraite, ils ont perdu 170 000 emplois ou 2,7%. Le taux de chômage masculin était de 7,3% en février, contre 5,5% chez les femmes. Un autre visage se trouve sous un casque de protection: les travailleurs de la construction ont perdu 43 000 emplois en février. C'est donc un peu plus de la moitié du repli d'ensemble à travers le pays. Il s'agit d'un retour du balancier car en octobre 2008, la croissance s'était élevée à 4,9%, la plus importante parmi les industries canadiennes. Depuis ce temps, le recul se chiffre à 6,4%. Les secteurs des services professionnels, scientifiques et techniques (31 000 postes), les services d'enseignement (15 000) et les ressources naturelles (8000) accusent aussi des baisses. Surprise, la fabrication a gagné 25 000 travailleurs en raison des gains de l'industrie alimentaire. L'agriculture est le seul autre secteur gagnant. ____________________________________________________________________ Le marché du travail «entre dans une période de chute libre» Publié le 13 mars 2009 à 10h47 | Mis à jour à 10h51 Michel Munger lapresseaffaires.com (Montréal) «Le taux de chômage de l'Ontario devrait par ailleurs atteindre 10% d'ici 2010, même si le plan de restructuration du secteur de l'automobile fonctionne», dit Sébastien Lavoie. Ce n'est pas un message agréable à lancer au public mais les économistes le font d'une seule voix: les pertes d'emplois sont loin d'être terminées au Canada. Les pertes de 129 000 postes en janvier et de 83 000 en février devraient être suivies par des bilans peu reluisants au cours des prochains mois. C'est «le pire one-two punch de l'histoire moderne pour le marché du travail au pays, affirme Millan Mulraine, stratège de la firme TD Securities. Après avoir bien résisté lors du début de l'année dernière, il est maintenant clair que le marché canadien de l'emploi est entré dans une période de chute libre.» M. Mulraine trouve que les nouvelles récentes sont dramatiques. «De plus, alors que l'économie continue de se détériorer, nous ne nous attendons pas seulement à ce que le rythme des pertes demeure rapide, mais nous prévoyons que les rangs des chômeurs continueront à croître alors qu'il sera de plus en plus difficile de trouver du travail.» Les prévisions de Sébastien Lavoie, économiste chez Valeurs mobilières Banque Laurentienne, sont tout aussi inquiétantes. Ce spécialiste s'attend à ce que le taux de chômage grimpe à 9% tant au Canada qu'aux États-Unis d'ici la fin de 2009, mais il y a pire. «Selon nous, dit-il, les pertes d'emplois durant la récession actuelle seront plus importantes que lors des récessions des années 1980 et 1990. Le taux de chômage dans la plus grande province du pays (l'Ontario) devrait par ailleurs atteindre 10% d'ici 2010, même si le plan de restructuration du secteur de l'automobile fonctionne.» Selon Joëlle Noreau, économiste principale au Mouvement Desjardins, le marché québécois du travail ne peut plus résister à la tendance comme il le faisait jusqu'en décembre. «À la lumière des résultats des derniers mois, on peut comparer le marché du travail à un embâcle qui aurait cédé suite à une trop forte pression, illustre-t-elle. Ce sont près de 51 600 emplois qui ont été perdus au cours des trois derniers mois.» Mme Noreau conclut en lançant un petit message aux gouvernements. «Souhaitons que les plans de relance annoncés des deux côtés de la frontière prendront effet le plus rapidement possible pour limiter le glissement encore plus sévère de l'économie et du marché du travail.»
  9. Les retraités des secteurs publics et parapublics québécois veulent faire toute la lumière sur les pertes de plus de 21milliards de dollars enregistrées en 2008 par leurs régimes de retraite. Pour en lire plus...
  10. Le voyagiste suspend le versement de son dividende trimestriel après avoir enregistré des pertes de près de 30 millions de dollars au cours de son dernier trimestre. Pour en lire plus...
  11. L'ex-PDG de la Caisse présente actuellement ses «perspectives sur la Caisse et la crise financière», devant la Chambre de commerce de Montréal, à la suite de l'annonce des pertes colossales de l'institution en 2008. Pour en lire plus...
  12. L'ex-PDG de la Caisse offrira lundi midi ses «perspectives sur la Caisse et la crise financière», à la suite de l'annonce des pertes de 39,8milliards de dollars subies par l'institution en 2008. Pour en lire plus...
  13. La ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, annonce qu'il n'y aura pas de commission parlementaire sur les pertes de 40 milliards de dollars à la Caisse de dépôt et placement du Québec. Le Parti québécois juge cette décision irresponsable. Pour en lire plus...
  14. La Royal Bank of Scotland déclare une perte historique de 43 milliards de dollars pour l'année 2008, soit la plus importante perte nette jamais déclarée par une entreprise britannique. Pour en lire plus...
  15. La direction de la Caisse de dépôt et placement du Québec déposera mercredi ses résultats financiers très attendus et les Québécois connaîtront, du même coup, l'ampleur de pertes subies en 2008. Pour en lire plus...
  16. Le géant français qui accuse de lourdes pertes s'attend à 11000 départs en 2009 dans le cadre de son dispositif de départs volontaires. Pour en lire plus...
  17. Janvier a été affreux pour l'emploi au Canada Publié le 06 février 2009 à 07h06 | Mis à jour à 09h42 (Montréal) Oubliez les comparaisons avec les années 1980 et 1990: l'emploi vient de reculer de façon plus importante en janvier au Canada. Selon Statistique Canada, environ 129 000 postes sont disparus essentiellement en raison du travail à temps plein qui connaît une déroute.Les pertes sont plus de trois fois plus importantes que les prévisions des analystes, qui tablaient plutôt sur un repli de 40 000. Cela a fait bondir le taux de chômage de 0,6 point à 7,2% alors que l'on s'attendait à un taux de 6,8%. Aucune baisse mensuelle connue lors des récessions des décennies 1980 et 1990 n'a été de cette ampleur. Statistique souligne que le secteur de la fabrication est le plus affecté car ce sont 101 000 postes qui se sont volatilisés. L'agence fédérale souligne que c'est le pire bilan mensuel qu'elle a comptabilisé depuis qu'elle compile les données comparables. L'industrie du transport et l'entreposage a retranché 30 000 emplois pendant le mois de janvier. Le seul secteur qui profite d'une hausse importante est celui des soins de santé et de l'assistance sociale avec une progression de 31 000. La totalité des pertes d'emplois en janvier a été constatée dans les trois plus grandes provinces du pays. L'Ontario déplore la perte de 71 000 postes, la Colombie-Britannique en perd 35 000 et le Québec 26 000. Dans la Belle Province, le taux de chômage s'élève à 7,7% et les emplois perdus proviennent du gouvernement qui avait embauché à temps partiel pour les élections provinciales. La récession actuelle a-t-elle un sexe ? Il faut peut-être poser la question en constatant que l'emploi a chuté de 111 000 chez les adultes de 25 à 54 ans... et que les hommes ont essuyé les deux tiers de ces pertes. Vers une autre baisse de taux Benjamin Reitzes, économiste de BMO Marchés des capitaux, conclut qu'il faudra encore un allégement de la politique monétaire pour réagir à cette situation. «La récession s'est approfondie au début de 2009 et nous verrons probablement le taux de chômage monter au-dessus de 8% d'ici la fin de l'année, écrit-il dans une note aux investisseurs. Ce rapport blême entraînera probablement une baisse de taux par la Banque du Canada.» Andrew Pyle, conseiller en gestion de patrimoine de ScotiaMcLoad, estime que cela prouve que les données circulent au gouvernement fédéral avant leur sortie. «Elles ont éclipsé les attentes du marché mais ont été complètement conformes aux commentaires du ministre des Finances Jim Flaherty, qui disait hier que les chiffres seraient regrettables», dit M. Pyle. «Clairement, ajoute le conseiller, ou bien le marché n'y portait pas trop d'attention ou il n'a pas cru le commentaires du ministre, même si nous avons vu le dollar canadien commencer à glisser lors des premières heures d'échanges en Europe. Depuis le rapport, la devise a tombé pour se trouver sous les 80 cents.»
  18. Lors de son premier trimestre, l'entreprise forestière Tembec a enregistré des pertes de la même ampleur qu'à la même période l'an dernier. Pour en lire plus...
  19. Malgré des pertes nettes de 5,9 milliards de dollars à son quatrième trimestre, en forte hausse par rapport à la même période il y a un an, le fabricant automobile n'a pas l'intention de demander l'aide de Washington. Pour en lire plus...
  20. Tandis que les entreprises annoncent des dizaines de milliers de mises à pied, le nouveau président, Barak Obama, a bien hâte qu'on son plan de relance soit adopté. Pour en lire plus...
  21. La banque américaine enregistre des pertes considérables au quatrième trimestre et sépare ses activités saines de ses actifs à risques. Pour en lire plus...
  22. Moody's estime que la possibilité que la banque américaine enregistre des pertes au cours des prochains trimestres ne pouvait pas être exclue. Pour en lire plus...
  23. Les bourses mondiales suivent la tendance à la baisse de mercredi, surtout en Asie, alors que la Banque centrale européenne doit se pencher sur ses taux directeurs. Pour en lire plus...
  24. Le ralentissement du marché publicitaire fait sombrer le diffuseur dans les pertes à son premier trimestre. Pour en lire plus...
  25. Le restaurant de la Rôtisserie St-Hubert à Drummondville sera transformé en St-Hubert Express au mois de mars et 57 des 120 employés devront être licenciés. Pour en lire plus...
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