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  1. Pour ceux qui ne veulent pas lire l'article : C'est Half-Life 1 (le jeux) en vrai. Et il y a aussi un article qui parle de ça dans La Presse ou l'on mentionne que les chances que des dragons ou des cyclopes sortent de ça ne sont pas de zéro. Bref, pour ceux qui s'intéressent à la physique et au monde scientifique, cette expérience est à la fois inquiétante et excitante. -------------------------------- http://www.24heures.ch/actu/suisse/2008/09/09/grand-collisionneur-particules-pret-traquer-secrets-univers Le grand collisionneur de particules prêt à traquer les secrets de l'univers CERN | Le "Grand collisionneur de Hadrons" (LHC), plus grand accélérateur de particules au monde au CERN, à la frontière franco-genevoise, va être mis en route ce mercredi pour traquer les ultimes briques de la matière et récréer les conditions du début de l'univers, il y a 13,7 milliards d'années. Le "Grand collisionneur de Hadrons" (LHC), plus grand accélérateur de particules au monde au CERN, à la frontière franco-genevoise, va être mis en route ce mercredi pour traquer les ultimes briques de la matière et récréer les conditions du début de l'univers, il y a 13,7 milliards d'années. Après le démarrage du deuxième faisceau, qui tourne en sens inverse du premier, des collisions seront provoquées à des énergies de plus en plus élevées, jusqu'à atteindre sept fois la puissance du Fermilab américain, qui était jusqu'à présent l'accélérateur le plus puissant. Le projet, auquel ont contribué les pays européens, mais aussi notamment les Etats-Unis, l'Inde, la Russie et le Japon, a coûté 3,76 milliards d'euros. "Cette machine donnera vraisemblablement des résultats inattendus. Ces données risquent de bouleverser la physique des particules élémentaires", a expliqué mardi le physicien français Hubert Reeves. "C'est vraiment un outil impressionnant. Les puits pour descendre le matériel ont une taille par laquelle il serait possible de faire passer une cathédrale", insiste-t-il. Le physicien britannique Stephen Hawking a pour sa part indiqué mardi avoir parié 100 dollars que le LHC ne trouverait pas le boson de Higgs. Ne pas le découvrir ne serait pas un échec, selon le scientifique britannique. "Ce que le LHC trouve, ou n'arrive pas à trouver, nous en dira long sur la structure de l'univers", a-t-il dit. Quant à Kate McAlpine, une thésarde de la Michigan State University détachée au Cern, elle a eu l'idée d'un clip vidéo qui fait un tabac sur YouTube : le "Large Hadron Rap" ( ). En vers et en anglais, des physiciens dansant le rap expliquent comment des protons vont entrer en collision dans le gigantesque anneau du LHC. Seule plainte de ses collègues: ils trouvent que "je sous-entends que le boson de Higgs va être trouvé très vite", a-t-elle avoué ------------------- Pour tout apprendre sur le projet : http://public.web.cern.ch/Public/fr/LHC/LHC-fr.html Le Grand collisionneur de hadrons (LHC) Notre compréhension de l’Univers est sur le point de changer… Le Grand collisionneur de hadrons (LHC) est un gigantesque instrument scientifique situé près de Genève, à cheval sur la frontière franco-suisse, à environ 100 mètres sous terre. C’est un accélérateur de particules, avec lequel les physiciens vont étudier les plus petites particules connues : les composants fondamentaux de la matière. Le LHC va révolutionner notre compréhension du monde, de l’infiniment petit, à l'intérieur des atomes, à l’infiniment grand de l’Univers. (...) ----------------- Les supposés risques : http://fr.wikipedia.org/wiki/Large_Hadron_Collider Médiatisation de craintes autour des conséquences de la mise en opération [modifier] Si la presse scientifique a surtout souligné les enjeux scientifiques de l'expérience, un des aspects les plus traités par la presse généraliste est la possibilité éventuelle de créer de micro trous noirs au LHC. En astrophysique, un trou noir est décrit comme un objet engloutissant tout sur son passage, mais les trous noirs microscopiques susceptibles d'être créés au LHC ne partageraient pas cette propriété. Dans le cas où ils seraient néanmoins produits, ils seraient, du fait de leur masse, soumis au phénomène d'évaporation des trous noirs prédit par Stephen Hawking en 1975 et disparaîtraient avant d'avoir eu le temps d'absorber la matière environnante. Le phénomène d'évaporation des trous noirs étant très peu connu du grand public, les risques de l'expérience sont devenus un sujet populaire. Le 21 mars 2008, deux personnes, Walter L. Wagner et Luis Sancho ont cependant intenté un procès au CERN devant la cour d'Honolulu à Hawaï au motif que le collisionneur pourrait se révéler dommageable d'une manière ou d'une autre, par exemple en créant un trou noir. Leur plainte a été jugée recevable[6]. Une autre plainte a été déposée, fin août 2008, en Europe, devant la cour européenne des droits de l’homme de Strasbourg pour les mêmes raisons[7]. La plainte a finalement été rejetée quelques jours plus tard[8]. À la suite de ces affaires, plusieurs chercheurs, puis le CERN, ont publié divers documents[9],[10],[11] sur la sécurité du LHC, concluant que l'accélérateur est sûr[12]. Le principal argument mis en avant est que la haute atmosphère terrestre, et en fait tous les corps célestes, sont continuellement bombardés de particules très énergétiques, les rayons cosmiques. L'énergie dégagée par ces collisions peut parfois être bien supérieure à celle mise en jeu dans un accélérateur de particules sur Terre comme le LHC, aussi sont-ils certains que quels que soient les effets secondaires de ces réactions, ils ne seront pas dangereux pour la biosphère, sans quoi elle n'aurait pu se développer pendant plusieurs milliards d'années. La crainte que des collisions de particules élémentaire donne lieu à un événement catastrophique n'est pas nouvelle, elle remonte à près de dix ans. Lors de la mise en service du collisionneur d'ions lourds Relativistic Heavy Ion Collider (RHIC) du Laboratoire national de Brookhaven (État de New York), le physicien Alvaro de Rujula et deux collaborateurs avaient imaginé un scénario catastrophe susceptible, en principe, de provoquer la destruction de la Terre[13]. L'affaire avait à l'époque également suscité suffisamment d'intérêt pour nécessiter une analyse détaillée expliquant l'innocuité d'une telle expérience[14].
  2. Le chauffage au bois complice du smog à Montréal Canoë Virginie Roy 31/10/2007 14h22 L’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal (ASSS) offre maintenant un dépliant informatif concernant le chauffage au bois. Selon elle, le chauffage au bois résidentiel représenterait une des principales sources d’émission de particules fines qui contribuent à la formation du smog hivernal du Québec. «Sur l’île de Montréal, près de 100 000 ménages utilisent un système de combustion du bois pour chauffer leur résidence», déclare-t-elle. Rappelons qu’en 2005, Montréal a connu un épisode de smog hivernal d’une durée record de neuf jours lié, entre autre, au bois de chauffage. «Lorsqu’on brûle du bois, plus d’une centaine de composés toxiques sont libérés dans l’atmosphère et s’ajoutent à ceux émis lors de la combustion de l’essence, du diesel ou de l’huile à chauffage ainsi que ceux émis par de nombreuses industries», explique l’ASSS. Les principaux polluants qu’on y retrouve sont les particules fines, le monoxyde de carbone, des composés organiques volatils, des hydrocarbures aromatiques polycycliques, des oxyde d’azote et de nombreux produits irritants. Smog et maladies L’ASSS va encore plus loin en faisant un lien directe entre ce problème environnemental et certaine maladies. «Parmi les substances émises par la combustion du bois, certaines sont reconnus cancérigènes, et d’autres peuvent provoquer différents malaises comme l’irritation des yeux et des voies respiratoires, ainsi qu’aggraver l’état des personnes souffrant de maladies cardiaques ou respiratoires chroniques», explique Norman King, épidémiologiste à la Direction de santé publique. L’ASSS ajoute que plus de 95 % des particules émises par le chauffage au bois sont respirables, car leur petit diamètre leur permet de pénétrer profondément dans les poumons. Les personnes les plus sensibles à la pollution de l’air par les particules respirables seraient les très jeunes enfants, les personnes âgées et celles qui souffrent d’asthme, d’emphysème ou de problèmes cardiaques. L’ASSS recommande de se procurer un appareil certifié par l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA) si le chauffage au bois est nécessaire. Il est aussi demandé de ne pas utiliser son appareil de chauffage lorsqu’un avertissement de smog est émis. De plus amples renseignements sur le chauffage au bois sont disponibles sur le site Internet de la Ville de Montréal.
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