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  1. Voici un exemple de modèle alternatif que j'aime bien: on voit au-delà du capitalisme primaire "profit-only", sans non plus tomber dans l'ANTI-capitalisme primaire, tout en améliorant la société, et en participant à l'économie active. C'est ce type de choses originales, plus "sociales", qui fait l'originalité de notre système québécois. Malgré ses défaillances, ça me persuade qu'il y a du bon à conserver là-dedans. Yeah. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201012/28/01-4355805-un-modele-unique-en-amerique-du-nord.php
  2. I wonder if there should be a new Sub-forum for the aviation industry here. It is a hugely significant industry for Montreal and it seems as if many of the participants here are interested in it. However, it doesn't very well into news and views on airlines and YUL.
  3. http://journalmetro.com/dossiers/galeries-de-photos/911031/le-lancer-du-sapin-une-competition-epineuse/ 30/01/2016 Mise à jour : 30 janvier 2016 | 19:54 En photos: Le lancer du sapin, une compétition épineuse! Par Rédaction Métro C’est samedi après-midi à la Place Jacques-Cartier qu’a eu lieu la première compétition panaméricaine de lancer du sapin. Présenté par Igloofest et Sapin MTL en collaboration avec la Société de développement commercial du Vieux-Montréal, l’événement est inspiré d’une vieille tradition allemande. Pour cette première édition, la compétition a opposé quelques dizaines de participants. Les profits iront au programme 375 000 arbres du Jour de la Terre Québec, qui a pour objectif de planter 375 000 arbres dans la région de Montréal pour son 375e anniversaire.
  4. Nous aimerions présenter notre projet Imaginons Bellechasse. Imaginons Bellechasse est un projet de recherche-action basé à l’Université McGill. Nous invitons la population à participer à notre forum en ligne, qui sera en ligne jusqu'au 15 juillet. Il offre l'opportunité de se prononcer sur plusieurs propositions d'aménagement urbain du secteur Bellechasse, situé dans le sud-ouest de l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie. Pour en apprendre plus et participer: http://imaginonsbellechasse.com/. Des propositions concrètes pour le secteur Bellechasse Ce forum est l’aboutissement d’une année de travail collaboratif entre le Comité Logement de la Petite-Patrie et des chercheurs et étudiants en urbanisme, architecture et droit de l’Université McGill. Il présente des idées basées sur des consultations auprès de la communauté pour améliorer le Programme particulier d'urbanisme (PPU) existant. Par exemple, comment verdir le secteur tout en favorisant sa sécurité alimentaire? Pourquoi ne pas créer des liens piétons sécuritaires vers le métro Rosemont? Comment créer une nouvelle vie de quartier? Cette semaine, notre plus récente proposition invite la population à se prononcer sur la manière d’intégrer du logement abordable dans le quartier. Nous voulons votre avis Le forum cherche à appuyer le processus de consultation publique afin de faire valoir une diversité de visions citoyennes pour le développement futur du site Bellechasse. En ligne depuis quelques semaines, plusieurs participants ont déjà échangé entre eux pour donner leur avis sur différentes propositions. Nous invitons le plus grand nombre de résident-e-s, travailleurs et commerces à participer à cette démarche de démocratie participative. C’est pourquoi nous avons ouvert le forum à tous: les participants n’ont plus besoin de s’inscrire pour commenter. Une nouvelle manière de consulter le public À terme, Imaginons Bellechasse présentera les résultats de cette démarche aux élus municipaux. Dans une optique de développement durable, le projet explore le potentiel d’un outil interactif de promouvoir une participation citoyenne riche et diversifiée afin de favoriser un aménagement urbain sensible aux enjeux sociaux, environnementaux et économiques d’aujourd’hui. Vous pouvez nous suivre sur Facebook et Twitter!
  5. Via Les Affaires : L'incubateur Founder Institute s'établit à Montréal Offert par Les Affaires Publié à 06:00 Édition du 08 Février 2014 PAR JULIEN BRAULT Le Founder Institute accueillera sa première cohorte d'entrepreneurs à Montréal le 29 avril prochain. Fondé dans la Silicon Valley en 2009, l'incubateur est déjà implanté dans quelque 70 villes, mais Montréal représentera sa première incursion au Canada. Son ambition ? Amener des employés à créer des entreprises qui dureront. «Mon but est d'inverser le taux d'échec des start-ups, dont 90 % ferment leurs portes avant d'avoir atteint 24 mois», explique Adeo Ressi, pdg du Founder Institute. L'incubateur affiche des résultats qui semblent probants. Des 1 034 entreprises issues de l'incubateur, 89 % seraient toujours actives. Dans chaque ville où s'implante le Founder Institute, des directeurs locaux s'occupent de mettre en place le programme. À Montréal, c'est Sergio Escobar, organisateur de Startup Weekend à Montréal, et Louis-Philippe Maurice, pdg de Busbud, qui font office de codirecteurs. Contrairement aux incubateurs comme FounderFuel, le Founder Institute n'investit pas dans les entreprises qu'il incube. En fait, il faut débourser 750 $ pour y être admis à Montréal, en plus de céder 3,5 % des parts de toute entreprise créée durant le programme. Ces parts sont ensuite partagées entre le Founder Institute et les mentors. D'une durée de quatre mois, le programme requiert des poulains un investissement en temps d'au moins 15 heures par semaine, mais leur permet de garder leur emploi. «Le but est d'attirer des jeunes professionnels qui ont peut-être une idée, mais qui ne savent pas quel chemin emprunter pour la concrétiser», explique Louis-Philippe Maurice. Conseils d'entrepreneurs à succès L'incubateur, qui accepte les candidats individuellement, favorise ainsi la formation d'équipes, mais surtout, il permet à ses participants de bénéficier des conseils d'entrepreneurs à succès. Hicham Ratnani, cofondateur de Frank & Oak, Ian Jeffrey, directeur général de FounderFuel, Martin-Luc Archambault, pdg de Wajam et Alexandre Taillefer, associé principal de XPND Capital, seront du nombre. «Ce programme permet aux entrepreneurs d'éviter de faire des erreurs ; si on en avait fait partie, on aurait pu aboutir plus vite», soutient Hicham Ratnani, de Frank & Oak. Le Founder Institute n'est pas aussi sélectif qu'un incubateur traditionnel, mais n'y est pas admis qui veut. Le processus d'admission repose en grande partie sur un test de personnalité en ligne, qui permettrait de retenir les candidats ayant ce qu'il faut pour devenir des entrepreneurs à succès. Un second tri est effectué durant le programme. En règle générale, entre 20 et 30 % des participants partent en cours de route. Un devoir non rendu ou une absence peuvent entraîner l'exclusion. «C'est dans le contrat de chaque participant», explique Sergio Escobar, codirecteur du Founder Institute à Montréal. Ceux qui souhaitent faire partie de la première cohorte montréalaise de l'incubateur ont jusqu'à la mi-avril pour poser leur candidature. Entre 20 et 25 participants devraient être retenus.
  6. http://forum-ameriques.org/montreal Du beau monde:http://forum-ameriques.org/montreal/2013/conferenciers MONTRÉAL – Le secrétaire général de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a appelé les pays membres et leurs acteurs économiques à se préoccuper davantage des populations, en leur reprochant du même souffle d’avoir négligé celles-ci au cours des dernières années. «Ce que nous avons, c’est un nouveau paradigme, une nouvelle situation économique à la suite de la crise, où nous devons placer les populations avant tout», a lancé Angel Gurria devant les participants du Forum économique de Montréal, lundi... http://journalmetro.com/actualites/montreal/325833/le-secretaire-general-de-locde-sonne-lalarme/
  7. http://toughmudder.com/events/montreal-sat-july-6-sun-july-7-2013/?language=fr Tough Mudder: Fancy an obstacle course on steroids? Tough Mudder brings its bruising brand of insanely popular obstacle-course challenges to Quebec in July By René Bruemmer, THE GAZETTE May 31, 2013 Tough Mudder: Fancy an obstacle course on steroids? Tough Mudder brings its bruising brand of insanely popular obstacle-course challenges to Quebec in July By René Bruemmer, THE GAZETTE May 31, 2013 ason Ostroff ran competitively as a kid. He remembers it being a trying experience, with much training and gasping and worrying about best times. He doesn’t run much anymore, but one childhood activity he does miss is the jump and tumble fun of navigating obstacles, revelling in the elemental joy of getting over, under or through. Which is why he and three longtime friends will be taking part in the Tough Mudder event this summer near Montreal, a child’s obstacle course on steroids designed by military men that bills itself as “probably the toughest event on the planet.” “Honestly, it’s just that I like the idea of running an obstacle course — it’s just fun, and since I was a little kid, I kind of liked the idea of having to get through this stuff,” said Ostroff, a 26-year-old McGill medical student living in Notre-Dame-de-Grâce. “It feels like an army boot camp kind of thing. And an opportunity to be a kid again.” In July, about 8,000 people are expected to sign up to test their strength, stamina and perhaps sanity at the first Montreal Tough Mudder event, taking place at the Bromont airport, one hour’s drive east of the city. Participants will navigate an obstacle course 15 to 20 kilometres long and scale 25 challenges designed by British Special Forces, most often with the help of teammates — entrants are encouraged to enter as part of a team, and about 80 per cent do. They will climb wooden walls, jump fire, receive electric shocks, crawl through fields of mud and immerse themselves in freezing water in challenges with names like Arctic Enema, Fire Walker and Ball Shrinker. At the end, they will be handed an ice cold beer, but they will not be told how long it took them to complete the course, because providing a change from timed marathon-type races is at the heart of the Tough Mudder philosophy. It also was a key selling point Ostroff used to coerce his friends. “None of them wanted to do it, until I explained it wasn’t timed,” he said. “They liked the fact we could just take it easy and didn’t have to sprint the entire race.” The Tough Mudder events are part of a growing phenomenon of adventure-type races offered worldwide with names like Muddy Buddy, Spartan Race and Warrior Dash for those seeking a new brand of challenge. In its second year in 2011, Tough Mudder had 140,000 participants at 14 events. By 2012, it had grown to 35 events, bringing in almost 500,000 participants. This year, 53 events are planned worldwide. The Spartan Race, a similar challenge that has a 20-kilometre event this year at Mont Tremblant on June 30, had 300,000 participants globally last year. Of those, most are corporate types joining with colleagues and “70 per cent of our people just came off the couch,” Spartan co-founder Joe DeSena told The Wall Street Journal. (Doing some training, however, is highly recommended.) When Will Dean presented his idea for Tough Mudder as part of a Harvard Business School contest, he was hoping to attract 500 participants to his inaugural event in 2010, drawn mostly through advertising on Facebook and word of mouth through social media, he told The New York Times. His professors considered that optimistic. The first race drew 4,500 participants to Allentown, Pa., and Dean, a former counterterrorism agent from Britain doing his MBA, discovered a new calling at the age of 29. It has grown into a $70-million company based in Brooklyn, N.Y. Modelled largely on events held in Europe, Dean’s premise was to create a challenge that involved more camaraderie and teamwork than standard marathons, and where participants don’t have to train for months. Participants are also allowed to skip obstacles they find too challenging. The organization takes a certain glee in poking fun at marathon-type races (“Fact # 1,” its website reads: “Marathon running is boring. Fact #2 — Mudders do not take themselves too seriously. Triathlons, marathons, and other lame-ass mud runs are more stressful than fun. Not Tough Mudder.”) The organization has also raised more than $5 million for the Wounded Warrior foundation, which supports injured soldiers. That being said, one does have to be a tough mudder to complete the race, which is why only 78 per cent of participants do so. Given the nature of the event, participants have to pay an extra $15 for insurance on top of the $85 to $180 it costs to register, depending on how soon in advance participants sign up. Spartan Race estimates an average of three people are injured in each of their races, and seven per cent will suffer “light” injuries. A 28-year-old died in April at a Tough Mudder event in West Virginia after leaping into a mud pond and failing to resurface, the first fatality in Tough Mudder’s history. The organization notes it is its only fatality in its three years among 750,000 participants, and the West Virginia event was staffed with more than 75 first aid, ambulance and water-rescue technicians. Ostroff trains five to six times a week at the gym, doing cardio and working on upper body strength, which should help, as might his intended specialty of orthopaedics. He hasn’t done any specific training for Tough Mudder — one day a year of climbing ropes and walking slippery planks over ice pits is enough, he said. He trusts his teammates, some of whom he has known for 20 years, although he’s a little concerned about the one who weighs 240 pounds, since he will have to help boost and lift that mass over wooden walls. His greatest concern is the running aspect of the race. “Honestly, I just hope to have a completely awesome day, as injury-free as possible,” Ostroff said. “I just want to have a great memorable event.” rbruemmer@montrealgazette.com Read more: http://www.montrealgazette.com/sports/Tough+Mudder+Fancy+obstacle+course+steroids/8460617/story.html#ixzz2UziJ5r3o
  8. Un mot pour exprimer mon étonnement et une certaine colère à propos de la fermeture du dossier "le globe and mail détruit Montréal" par Malek. Je trouve ce geste tout à fait arbitraire, autoritaire et ridicule. Voilà le genre de choses qui explique pourquoi ce forum a du mal à attirer de nouveaux participants. Malek ne fournit aucun argument pour son geste. Tout ce qu'on devine, c'est que le sujet lui déplaît. D'ailleurs il a mal lu certains des messages, puisqu'il semble croire que des participants avaient défendu des régimes communistes, ce qui n'était absolument pas le cas. J'ajoute qu'il s'est comporté exactement de la manière autoritaire qu'il reproche aux régimes communistes. La liberté de parole, ça vous dit quelque chose ? Ce n'est certainement pas parce que les discussions avaient dérapé que ce dossier méritait d'être fermé, puisqu'elles n'avaient pas dérapé. Elles étaient civiles et même assez intéressantes à certains égards. De savoir que le sort de chaque discussion est ainsi suspendu aux humeurs de quelques individus est tout à fait détestable et indigne d'un forum sérieux.
  9. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/03/29/008-Outremont-rite-juifs.shtml Il y a un vidéo sur le site... franchement je ne sais pas quoi en penser. Les policiers sont intervenus pour mettre un terme à un rite des juifs hassidiques organisé sur les terrains de l'arrondissement d'Outremont, lundi matin. La cérémonie de crémation du pain a débuté calmement dans une cours de voirie. Mais vers 11 h, elle a dégénéré et les feux ont pris de l'ampleur car ses participants affirmaient devoir tout brûler avant 11 h 40. Les autorités de l'arrondissement n'ont pas compris l'empressement des hassidiques, croyant qu'ils avaient en fait jusqu'à 13 h. Certains des participants ont perdu patience et un certain chaos s'est installé. Une quinzaine de policiers sont arrivés sur place. Le service des incendies a appelé deux camions de pompiers supplémentaires qui ont rapidement éteint les deux petits feux. Les pompiers et les autorités de l'arrondissement d'Outremont attribuent ce geste à l'agitation des juifs et au fait que certain d'entre eux ont brûlé du plastique ce qui contrevenait à l'entente entre les deux parties. Certains non-juifs pensent que, de toute façon, l'arrondissement n'a pas à organiser des cérémonies religieuses. C'est le cas de la conseillère municipale, Céline Forget, qui affirme que l'affaire pose un problème de principe. « Sur le principe c'est une activité privée. [...] Je ne vois pas pourquoi cette activité-là se fait sur un terrain public », dit-elle. Mais l'arrondissement rétorque que sa décision était basée sur un avis du contentieux de la ville de Montréal. « L'avis juridique dit : "La pratique de l'arrondissement répond à votre obligation d'accommodement raisonnable et ne cause pas de contrainte excessive" », plaide Marie Cinq-Mars, la mairesse de l'arrondissement d'Outremont. Malgré tout, l'arrondissement appuie l'intervention des policiers et des pompiers. La majorité des juifs qui étaient sur place étaient furieux. Certains ont affirmé que l'intervention des policiers et des pompiers va à l'encontre de leurs droit religieux. D'autres affirment que les autorités ont ruiné cette fête juive. La mairesse Cinq-Mars affirme que les deux partis devront discuter avant que l'arrondissement autorise à nouveau ce genre de fête. « Si c'est juste de venir brûler quelques petites tranches de pain, ça va. mais s'il y a des débordements, il va falloir qu'on s'assoie avec eux. Un accommodement raisonnable, il ne faut pas que ça dérange les autres », dit-elle. Certains juifs hassidiques ont indiqué qu'en raison de la pagaille de cette année ils pourraient, à l'avenir, faire ces feux sur leur propriété privée, ce qui présenterait un risque pour la sécurité publique.
  10. Montréal - «Nous avons choisi Montréal en raison de votre charme européen» Claude Lafleur Édition du samedi 21 et du dimanche 22 février 2009 Le palais se trouve désavantagé par sa taille relativement modeste En plus de ses charmes culturels indéniables, sa gastronomie et ses festivals sont autant d'avantages en faveur de Montréal. Quiconque organise un congrès a une grande préoccupation: ceux à qui s'adresse ce congrès viendront-ils y assister? C'est en effet en rassemblant un nombre suffisant de participants que l'organisateur fera ses frais. C'est aussi en promettant une belle assistance qu'il convaincra des commanditaires d'y contribuer. Du nombre de participants dépend donc le succès (financier) de l'entreprise. Or l'un des grands avantages de tenir un congrès à Montréal serait que l'organisateur est pratiquement assuré que les participants viendront en nombre. La «qualité première de Montréal», indique Robert Cazelais, directeur des ventes du Palais des congrès, est qu'un congrès qui y est tenu connaîtra affluence. «Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les gens organisent un congrès à Montréal, dit-il, mais je dirais que la raison principale, c'est qu'ils savent dès le départ que l'affluence y sera.» Il est même très fréquent, ajoute-t-il, que les organisateurs «battent leur record». C'est ainsi que, lorsque les représentants de la Meeting Professionals International -- l'association des organisateurs de réunions et de congrès -- se sont rencontrés à Montréal en juillet 2007, ils ont brisé tous leurs records d'assistance. «Et pourtant, ce sont des gens habitués à voyager, des gens qui en ont vu d'autres!», de lancer fièrement M. Cazelais. Charme et efficacité Pourquoi vient-on en si grand nombre à Montréal? «Encore là, il y a plusieurs bonnes raisons, dont la sécurité, l'hospitalité et la propreté de la ville, d'indiquer Robert Cazelais, mais je dirais que la première raison est le fait que nous combinons à la fois le charme d'une ville européenne et l'efficacité de l'organisation à l'américaine.» C'est d'ailleurs ce que confirme Sherry Pagoto, responsable du programme du 30e congrès de la Société de médecine comportementale, qui aura lieu à la fin d'avril. «Nous avons choisi Montréal en raison de votre charme européen», dit-elle. Comme c'est la première fois que cette société américaine se réunit au Canada, pourquoi nous avoir préférés à Toronto ou à Vancouver? «Ce sont nos membres qui ont voté en faveur de Montréal, dit-elle. Ils nous ont dit qu'ils viendront à Montréal. Nous avons donc choisi Montréal et j'en suis ravie!» Résidante de Boston, Mme Pagoto raconte qu'elle nous a récemment visités et qu'elle a trouvé la ville «vraiment charmante». Montréal est perçue comme une ville européenne en raison de sa culture française, confirme-t-elle, «ce qui a beaucoup d'attrait pour nous. D'un point de vue américain, cela nous donne l'impression d'être un peu comme en Europe, ce qui nous semble être moins le cas pour les autres villes canadiennes.» Montréal, une ville propre «On retrouve à Montréal cette fameuse "joie de vivre" ou, je dirais plutôt, ce charme européen qui attire tant les Américains», d'enchaîner Robert Cazelais. Montréal est aussi une ville propre -- cleanliness, disent les anglophones. «"Propreté" dans notre façon de faire, dans notre accueil chaleureux et sincère envers tout le monde, dit-il. Nous sommes en fait considérés comme très ouverts envers les autres, quels qu'ils soient.» Même l'hiver et la neige seraient un attrait faisant partie de notre exotisme. «Nous faisons remarquer aux organisateurs de congrès que ce n'est pas parce qu'il y a de la neige en février que les participants ne viennent pas ici, relate le directeur des ventes du Palais des congrès. Ils viennent, je ne dirais pas "en dépit de la neige", mais grâce à la neige. En raison du froid, ils vivent quelque chose de différent, d'exotique...» Montréal est en outre une ville très sécuritaire qui, aux dires de M. Cazelais, «rassemble tous les avantages d'une grande ville et presque aucun inconvénient». Parmi les autres raisons de venir y tenir un congrès, il y a le fait que Montréal est une capitale du savoir. «Les participants ne viennent pas juste pour le plaisir, ils viennent ici parce qu'ils savent qu'ils y ont des collègues et donc qu'ils seront en mesure de développer leur domaine d'affaires ou de science.» En perte de vitesse Enfin, l'un des grands avantages qu'offre Montréal est la localisation de son Palais des congrès en plein centre-ville, au coeur de la vie culturelle et nocturne. Or, rapporte Robert Cazelais, nombre de centres de congrès sont situés en périphérie de leur ville, souvent en bordure d'un aéroport. Montréal offre donc un avantage significatif, d'autant plus que, chose unique, il s'agit d'une ville extrêmement sécuritaire (l'une des plus sécuritaires au monde). Et, bien entendu, Montréal se distingue aussi au chapitre de ses restaurants, renommé pour sa gastronomie et ses festivals. Le Palais des congrès se trouve cependant désavantagé par sa taille relativement modeste. «Il y a deux ans, si je me rappelle bien, nous nous situions aux environs du 65e rang en matière de taille parmi les deux cents centres de congrès en Amérique du Nord, rapporte M. Cazelais. Et comme, chaque semaine, il se construit de nouveaux centres de congrès et que les centres existants s'agrandissent, notre situation, elle, ne s'améliore pas.» Il cite même un fait inusité: à la fin des années 1990, le Palais des congrès a entrepris de doubler sa taille. «Or, lorsque nous avons commencé les travaux, nous nous classions à peu près au vingtième rang pour la taille des centres de congrès en Amérique du Nord. Mais, une fois les travaux terminés, nous étions... au 65e rang! Nous sommes comme un coureur qui participe à une compétition... mais nous ne sommes pas les seuls à courir vite! On peut donc être assuré que, si nous disposions d'un palais plus grand, nous aurions la chance d'aller chercher de plus grands congrès.» Le plus difficile pour les dirigeants du palais est d'évaluer ce que feront leurs concurrents. Entre autres, Robert Cazelais souligne que beaucoup de pays émergents se rendent compte à quel point il est important d'accueillir des congrès, et ce, pour plusieurs raisons. «Le Mexique est un bel exemple, dit-il, comme les Émirats arabes unis ainsi que l'Inde. Et ces gens-là mettent le paquet et l'argent pour aller chercher des congrès.» «Je pense que nous, à Montréal, sommes un peu trop habitués à recevoir des congrès et qu'on oublie par conséquent jusqu'à quel point cela nous rapporte gros, dit-il, non seulement en matière de retombées économiques mais également beaucoup plus que cela, entre autres en matière de retombées intellectuelles et de prestige pour la ville et pour le Québec.»
  11. Les 18 594 régimes de pension d'employeur du Canada ont accueilli 77 700 nouveaux participants en 2006, en hausse de 1,4%. Pour en lire plus...
  12. Les Canadiens se disent fiers de leur pays Photo La Presse Presse Canadienne Ottawa La majorité des Canadiens ont une bonne estime de leur pays, plus de la moitié affirmant même qu'ils ne pourraient pas en être plus fiers, selon un nouveau sondage. Les Québécois sont ceux qui se sont dits les moins fiers du Canada. Le sondage La Presse Canadienne-Harris-Decima demandait aux Canadiens d'évaluer leur fierté envers leur pays sur une échelle de un à dix. Un total de 57 pour cent des participants ont donné à leur pays la note la plus haute, tandis que 25 pour cent lui ont donné un huit ou un neuf. Seuls 3 pour cent des participants ont évalué leur fierté à moins de cinq. La moyenne canadienne est de 8,85. Les femmes, avec une moyenne de 8,94, se sont montrées un peu plus fières de leur pays que les hommes, qui ont donné une note de 8,75 en moyenne. Les Albertains sont les plus fiers du Canada, avec une note moyenne de 9,43, tandis que les Québécois arrivent derniers avec une moyenne de 7,82. Toutefois, seul un petit pourcentage des Québécois a donné une note de moins de cinq. Dans toutes les autres provinces et territoires, une majorité des répondants ont donné la note de 10 au Canada. Selon le président de Harris-Decima, Brunce Anderson, le sondage démontre que bien que les Canadiens ne montrent pas leur patriotisme comme le font leurs voisins du sud, il existe tout de même au pays un grand sentiment de fierté. Les partisans libéraux sont ceux qui ont donné l'évaluation la plus haute de leur fierté, avec 9,26. Suivent les conservateurs à 9,18, les verts à 8,94 et les néo-démocrates à 8,70. Une majorité des partisans du Bloc québécois se sont dits fiers de leur pays, le quart d'entre eux ayant donné une note de neuf ou dix, tandis que 31 pour cent ont évalué leur fierté à six, sept ou huit. Environ 20 pour cent des partisans du Bloc ont évalué leur fierté en dessous de cinq. Le sondage démontre également que la fierté canadienne n'a pas vacillé dans les dernières années, 68 pour cent des participants ayant déclaré que leur fierté est demeurée au même niveau. Quinze pour cent ont affirmé que leur fierté a diminué, mais le même pourcentage a vu sa fierté augmenter. Lorsqu'on leur a demandé la principale raison de leur fierté, 30 pour cent des participants ont répondu la liberté. Les soins de santé suivaient (9 pour cent), puis la diversité (7 pour cent), la beauté et l'environnement (6 pour cent) et le mode de vie (4 pour cent). Le sondage téléphonique a été effectué auprès de 1000 Canadiens entre les 26 et 29 juin. La marge d'erreur est de 3,1 points de pourcentage, 19 fois sur 20.
  13. Le salon aéronautique se tiendra à Montréal en 2008 Un biréacteur d'affaires Challenger 605 à large fuselage. Photo fournie par Bombardier Michel Dolbec Presse Canadienne Montréal Aeromart, un des principaux rendez-vous de l'industrie aéronautique mondiale, se tiendra à Montréal au printemps 2008. L'événement a été annoncé auourd'hui au salon du Bourget, près de Paris, par le ministre québécois du Développement économique, Raymond Bachand. «C'est une bonne nouvelle qui conforte la position de Montréal comme capitale aéronautique», a dit M. Bachand en entrevue. Aeromart n'est pas un salon traditionnel. C'est plutôt une convention d'affaires qui permet aux entreprises du secteur de se rencontrer dans le cadre de rendez-vous ciblés et «préprogrammés» en fonction des besoins des participants. «Nous sommes le numéro un du "B to B"», résume Stéphane-Pierre Castet, le directeur général de BCI Aerospace, organisateur d'Aeromart. L'événement se tient en alternance à Pékin et à Toulouse. En avril 2008, il se transportera pour la première fois en Amérique du Nord. «Après 10 ans d'existence, il nous semblait normal de créer une version américaine, a expliqué M. Castet au stand du Québec. Dès lors, Montréal nous est apparu comme un choix naturel et légitime.» Les raisons qui militaient en faveur de Montréal sont nombreuses: troisième capitale aéronautique mondiale, la région métropolitaine est un des seuls endroits sur la planète où on peut «construire un avion de A à Z». «On y trouve, a rappelé M. Castet, quatre grands donneurs d'ordre et un vivier de PME et de PMI qui ont besoin de se rencontrer. Pour nous et pour l'ensemble de la communauté aéronautique, c'est un bon moyen de pénétrer le marché nord-américain.» Avionneurs, motoristes, transporteurs, fabricants et «donneurs d'ordres»: plus de 440 entreprises sont attendues à cette première édition montréalaise. La dernière rencontre toulousaine a accueilli plus de 1 200 participants venus de 35 pays. Plus de 11 000 rendez-vous s'y sont tenus. «Cela s'inscrit dans le travail à long terme qui a été entrepris pour que les PME québécoises s'ouvrent davantage au marché international, a fait remarquer le ministre Bachand. Il ne faut pas qu'elles dépendent seulement de Bombardier. Bombardier aussi souhaite qu'elles aient d'autres clients.» À la tête d'une importante délégation (48 entreprises québécoises participent cette année au salon du Bourget), le ministre a profité de son passage pour dresser un bilan «positif» de la «Stratégie de développement de l'industrie aéronautique québécoise», lancée il y a un an au salon de Farnborough. Le ministre fédéral de ministre de l'Industrie, Maxime Bernier, se trouve également au Bourget pour soutenir les entreprises canadiennes.
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