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  1. Selon les données les plus récentes, le capital de risque investi au Québec représente une part de 0,21% du produit intérieur brut (PIB), ce qui place la province au cinquième rang mondial. Pour en lire plus...
  2. http://designmontreal.com/commerce-design/a-propos-de-commerce-design-montreal Commerce Design Montréal Toggle navigation À propos de Commerce Design Montréal La Ville de Montréal célèbre cette année le 20e anniversaire de la création des Prix Commerce Design Montréal, une initiative montréalaise dont le succès fait écho depuis plus de dix ans dans plusieurs villes d’Europe, du Canada et des États-Unis. Les efforts soutenus dans ce programme ont contribué à sensibiliser les commerçants et le public à la valeur ajoutée du design. Ils ont insufflé une remarquable progression dans la qualité des lieux que l’on fréquente et l’expérience qu’ils nous procurent. C’est sur cette lancée que la Ville de Montréal poursuit son action et récompense celles et ceux à qui l’on doit cette heureuse transformation. Les lauréats se retrouvent au cœur d’une campagne de promotion et de relations de presse d’envergure qui vise à les faire connaître auprès du grand public, contribuant à leur notoriété et à l’accroissement de leur volume d’affaires. Cette récompense confère aux Prix Commerce Design Montréal toute leur originalité. Un trophée, création du designer industriel Claude Maufette, est attribué aux lauréats (commerçants et designers) qui sont aussi pourvus d’autres outils promotionnels visibles signalisant leur distinction. Historique Commerce Design Montréal a été créé en 1995 dans le but de faire valoir auprès des commerçants montréalais les bénéfices d’investir dans la qualité de l’aménagement de leur établissement avec l’aide de professionnels qualifiés. La raison d’être de cette activité est encore et toujours de développer le marché du design commercial à Montréal pour : améliorer la qualité du cadre de vie et rendre la Métropole plus attrayante; augmenter la compétitivité des commerces; accroître la demande locale pour les services professionnels en aménagement commercial. Les objectifs visent à créer un effet d’entraînement auprès d’autres commerçants, de convaincre ces derniers du bien-fondé du design pour leur succès en affaires et d’avoir un effet structurant sur la revitalisation et la dynamisation des rues commerciales. L’effort public et parapublic pour sensibiliser les commerçants montréalais au design a été sans relâche de 1995 à 2004. L’étude d’impacts alors réalisée avait démontré que le programme a concrètement développé, en dix ans, le marché en design de commerces et induit l’effet d’entraînement recherché. La qualité promue par les Prix Commerce Design Montréal s’est avéré un axe de communication très porteur pour la candidature de Montréal Ville UNESCO de design dont la désignation a été obtenue en 2006. Après dix ans de succès, un élargissement et un repositionnement vers d’autres secteurs d’activités étaient nécessaires. Il s’imposait alors de sensibiliser de nouveaux acteurs à l’amélioration de la qualité du design dans la ville. En 2005, le prolongement de l’action de Commerce Design Montréal fut confié à Créativité Montréal qui réalisa, de 2006 à 2008, trois éditions des Prix Créativité Montréal. De son côté, la Ville de Montréal continua de transférer son expertise et céder des licences à d’autres villes qui reprisent le concept original. « Commerce Design » est devenu une marque de commerce officielle de la Ville de Montréal en 2014. En relançant le programme en 2015, Montréal souhaite continuer à inspirer d’autres villes, à faire grandir le réseau et voir évoluer son concept puis, engendrer des retombées probantes sur son territoire grâce au partage d’expériences. Les grandes étapes de Commerce Design Montréal Appel de candidature : l’objectif est de recruter une centaine de participants d’une grande diversité ; des commerces de tous types et envergure, répartis sur le territoire de l’île de Montréal, récemment aménagés avec l’aide d’un professionnel en design ou en architecture. Jury : le jury retient, suivant l’analyse des dossiers et le visionnement des photos, une quarantaine de commerces finalistes qu’il visite lors d’une tournée d’observation. Il sélectionne 20 commerces et concepteurs lauréats, ex aequo. Parmi les critères qui guident les jurés, la mise en contexte est cruciale, car la sélection vise à refléter plusieurs réalités commerciales à Montréal, afin que les commerçants qui songent à investir dans le design de leur commerce puissent s’identifier et s’inspirer de l’un ou l’autre des établissements primés. Les Prix du jury sont annoncés lors d’une soirée festive qui réunit des centaines d’invités. Rencontres avec les designers : le public est invité à découvrir, lors du weekend « Venez, voyez, votez! » les 13 et 14 juin 2015, les 20 commerces lauréats sous l’angle du design, alors que les concepteurs sont sur place pour accueillir visiteurs et clients et expliquer leur démarche créative. Prix du public : du 11 mai au 31 août 2015, le public peut voter en ligne ou à l’aide d’un bulletin de vote pour son commerce préféré parmi les 20 lauréats. Au terme de la campagne « Votez avec vos yeux!», le commerce qui récolte le plus grand nombre de votes est proclamé « Prix du public » lors d’un événement de presse. Des cartes et chèques-cadeaux échangeables dans les commerces primés sont tirés au hasard parmi les votants, bouclant ainsi la boucle. Voir les partenaires et collaborateurs Prix Frédéric-Metz En août 2014, le milieu du design a perdu un grand pédagogue, un communicateur exceptionnel, un militant en faveur de la qualité en design : Frédéric Metz (1944-2014). Professeur associé à l’École de design, membre fondateur du Centre de design et de l’École supérieure de mode de l’UQAM, il est une figure marquante du design au Québec. Pour perpétuer sa pensée, la Société des designers graphiques du Québec (SDGQ), l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et le Bureau du design de la Ville de Montréal lui rendent hommage en créant le Prix Frédéric-Metz dans le cadre des Prix Commerce Design Montréal 2015, un programme qu’il affectionnait tout particulièrement et auquel il a collaboré pendant plusieurs années. Le Prix Frédéric-Metz récompensera un établissement primé parmi les 20 Prix du jury dont le design (intérieur, graphique) parfaitement intégré, inspirant et efficace « facilite la vie, élève la beauté, la fonction et le sens, adoucit l’expérience, et constitue une valeur ajoutée à la vie quotidienne ». Un trophée, aux couleurs du personnage Metz, sera attribué aux lauréats lors d’une cérémonie spéciale le 14 septembre prochain. Une vidéo produite par deux étudiants en communications de l’UQAM, Gabriel Lajournade et Amélia Blondin, sous la direction artistique de Philippe Lamarre, président sortant de la Société des designers graphiques du Québec, a été réalisée pour l’occasion. Les plus proches collaborateurs et amis de Frédéric Metz témoignent de leur amitié et de leur admiration pour son travail et son legs pour les générations futures. sent via Tapatalk
  3. http://journalmetro.com/opinions/bouffe-et-compagnie/754430/montreal-parmi-les-villes-gastronomiques-du-monde/ 09/04/2015 Mise à jour : 9 avril 2015 | 15:46 Montréal parmi les villes gastronomiques du monde Par Audrey Lavoie Métro Condé Nast Traveler a publié jeudi sa liste de villes les plus gourmandes: The World’s Best Food Cities. Choisi par ses lecteurs, ce palmarès sélectionne les villes où il fait bon manger autour du monde. En 2014, les lecteurs ont couronné la ville espagnole de San Sebastian. Paris et Cape Town arrivent respectivement en deuxième et troisième position, alors que les villes italiennes de Florence et Rome terminent le top 5. La ville de Québec figure dans le top 10, en dixième position. On y parle notamment du Marché du Vieux-Port et des restaurants Panache et l’Auberge Saint-Antoine. Montréal n’est pas en reste puisqu’elle figure au 13e rang du palmarès grâce à sa poutine, ses bagels et ses institutions comme le Pied de Cochon et le Joe Beef.
  4. Un article du week-end dans La Presse titre: Le Québec à la traîne, Montréal près de la tête Très intéressant. Je l'ai lu en version papier. Malheureusement pas dispo en ligne, sauf pour La Presse +. Si qq y a accès... On y dit que si le Québec en tant que Province fait pâle figure en terme d'investissements étrangers, Montréal par contre est parmi les meilleures en Amérique. Donc quand on investit au Qc, c'est à Mtl, et en quantité importante, selon le document. Question de nuancer les propos de certains...... http://lapresse.newspaperdirect.com/epaper/viewer.aspx
  5. Hausse des exportations du Québec en septembre. Bonne nouvelle économique pour le Québec: les exportations y ont crû, en septembre 2013, tant à l'international que vers les États-Unis, vers l'Europe et vers l'Asie, a fait savoir mercredi l'Institut de la statistique du Québec. Ainsi, les exportations vers les États-Unis ont crû de 7% en septembre dernier - celles-ci représentent près de 71% de l'ensemble des exportations du Québec. Parmi les produits en forte croissance, on retrouve les aéronefs. Les exportations internationales du Québec ont augmenté de 3,9% en septembre, comparativement à seulement 1,7% pour le Canada. Pour les neuf premiers mois de 2013, le volume cumulatif de ces exportations est plus élevé de 4,5% qu'à la période correspondante de 2012. Les exportations vers l'Europe ont crû de 9,3% - celles-ci représentent 11% de l'ensemble des exportations. Encore là, les aéronefs arrivent en tête de liste, suivis des moteurs d'aéronefs et du matériel de transport autre. Les exportations vers l'Asie ont connu une hausse de 24,6% -elles comptent pour près de 9% des exportations du Québec. Parmi les produits les plus exportés, on retrouve les aéronefs, les machines destinées au commerce. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201311/20/01-4712713-hausse-des-exportations-du-quebec-en-septembre.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS4
  6. http://tourismexpress.com/nouvelles/haute-distinction-pour-le-w-montreal?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter-2013-07-17&utm_content=haute-distinction-pour-le-w-montreal
  7. Le groupe international de services conseils en technologies de l’information et en management Amaris, dont le siège social se trouve à Genève, s’implante à Montréal. Amaris dit viser la création d’une cinquantaine d’emplois dans la métropole au cours des trois prochaines années afin de «renforcer le développement de ses activités en Amérique du Nord». L’entreprise, présente dans plus de 40 villes (surtout en Europe et dans les Balkans), a ses locaux rue Saint-Sacrement, dans le Vieux-Montréal. Amaris possède également des bureaux à New York, Mexico et Sao Paulo. «Le Grand Montréal se positionne comme un relais stratégique pour notre entreprise. Cette ouverture sur le continent nord-américain nous rapproche de nouveaux centres de décision et renforce notre présence auprès de nos clients internationaux», a déclaré le directeur du développement Amérique du Nord d'Amaris, Jean-François Thunet, dans un communiqué. «Le Grand Montréal se différencie par un environnement des plus compétitifs, avec un bassin de recherche R&D parmi les plus dynamiques au monde et de réelles opportunités dans le domaine des technologies de pointe», a-t-il ajouté. Amaris souhaite que son équipe montréalaise contribue au développement de projets en technologies de l’information, en télécommunications et en biotechnologie et pharmaceutique. Montréal International, qui a notamment le mandat d'attirer des investissements directs étrangers dans la région, a accompagné l'entreprise dans son projet d'implantation au Québec. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/amaris-s-implante-a-montreal/558759#.Ubo4vdjDXe6
  8. La Place Longueuil dans un projet de rajeunissement de 100 M$ 9 mai 2013 - Elie Despins En vue d’accueillir le détaillant américain Target dans ses centres commerciaux en novembre 2013, le Fonds de placement immobilier Cominar a mis sur la table un projet de rajeunissement de 100 M$. Ce sont La Place Longueuil, la Place Alexis Nihon à Montréal, et le Centre Laval qui en seront bénéficiaire, rapporte La Presse Affaires. La Place Longueuil, dont les besoins de renouveau sont pour le moins criants, aura droit à une véritable cure de rajeunissement d’ici la fin de l’automne. Parmi les travaux qui débuteront en juin; la réfection des corridors et de la foire alimentaire, ainsi que l’ajout de puits de lumière. Les travaux d’agrandissement sont déjà entâmés à l’emplacement de l’ancien magasin à grande surface Zellers, où Target s’y installera dès le mois novembre. Un projet de rénovation et d’agrandissement d'une telle envergure a pour objectif primo d’augmenter les ventes totales « de façon très appréciable », explique Guy Charron, vice-président directeur, exploitation – commerce de détail de Cominar. « Toutes les études prévoient que Target performera mieux que Zellers ». Cominar désire faire bondir l’achalandage dans ces centres commerciaux, qui font face, entre autres, à la popularité croissante du magasinage en ligne. « Pour contrebalancer l’internet, affirme Guy Charron, il faut offrir du nouveau et surprendre les clients. Il faut investir pour que nos centres commerciaux soient des milieux de vie, pas uniquement des lieux de passage. […] On investit pour améliorer la performance de nos centres commerciaux et pour la maintenir. » Cominar n’a pas voulu dévoiler de quelle façon sera réparti les 100 millions parmi les trois centres commerciaux visés, ni la proportion à payée par ses locataires.
  9. ANDRÉ DUBUC La Presse Bien qu'elle ait fêté ses 50 ans l'an dernier, la Place Ville-Marie (PVM) demeure une adresse recherchée pour tout locataire d'envergure à Montréal, selon un vétéran de l'industrie du courtage immobilier. «La Place Ville-Marie, c'est un des édifices extraordinaires dans tout le Canada, dit Stephen Léopold, président et fondateur de Léopold Montréal immobilier. C'est une adresse internationale. C'est l'adresse internationale à Montréal, comme le Rockfeller Center l'est à New York.» On a appris, au début de la semaine, que le copropriétaire de la Place Ville-Marie AIMCO, caisse de retraite de l'Alberta, souhaitait se départir de la participation de 50% qu'elle possède dans la tour cruciforme. La Caisse de dépôt et placement du Québec, par l'entremise de sa filiale immobilière Ivanhoé Cambridge, détient l'autre tranche de 50%. Dans ce genre de partenariat immobilier, il est fréquent qu'un droit de premier refus soit accordé au partenaire en cas de vente. Ivanhoé Cambridge n'a pas voulu confirmer si c'était le cas. Le statut de la Place Ville-Marie dans le marché des adresses de bureaux de prestige est menacé avec la construction de tours arborant des certifications écoénergétiques comme LEED. «À New York, les quatre édifices qui se louent parmi les plus chers ont plus d'un demi-siècle en âge», fait remarquer M. Léopold, qui a travaillé longtemps dans la Grosse Pomme. Il nomme les GM Building, 9 West 57th, le Seagram Building et le Lever House. «Est-ce que ces édifices sont les plus modernes? Au contraire, répond-il. Parfois, il existe des attributs qui méritent d'être conservés, comme le système de lumières du Seagram Building, construit en 1958. C'est un édifice classé historique.» «Pourquoi ces édifices commandent-ils des loyers parmi les plus élevés de New York? Parce qu'ils parlent de New York. La Place Ville-Marie vieillit, tout comme le Rockfeller Center qui a été construit en 1932.» Quoi qu'il en soit, entre le patrimoine et la modernité, les comptables Deloitte ont choisi la seconde et déménageront dans la nouvelle tour de bureaux de Cadillac Fairview, à proximité de l'amphithéâtre du Canadien. De son côté, le transporteur ferroviaire Via a choisi de rester au 3, Place Ville-Marie, en renouvelant son bail en janvier 2013. Selon un rapport de marché de l'agence de courtage Colliers, PVM n'a pas encore trouvé de remplaçant pour Deloitte et doit en plus relouer les locaux que la Banque Royale prévoit libérer au quatrième trimestre. Par ailleurs, la Caisse continue ses achats dans les immeubles locatifs. Avec des partenaires, elle a acquis 8000 logements dans 27 immeubles, un portefeuille de 1,5 milliard de dollars. Elle a aussi vendu quatre hôtels à Paris, conformément à sa politique de se retirer du secteur hôtelier, à l'exception de quelques établissements à Montréal et à Québec. L'édifice Sun Life, 1155, rue Metcalfe Place Ville-Marie, 1-5, Place Ville-Marie Le 1000 de la Gauchetière, 1000, rue De La Gauchetière Ouest L'édifice de la Caisse de dépôt, le 1000, place Jean-Paul Riopelle La galerie marchande de la Place Montréal Trust, 1500, avenue McGill College Centre de commerce mondial Le complexe Les Ailes de la Mode L'hôtel Fairmont Le Reine Elizabeth
  10. Selon un sondage Léger pour le jdm. http://www.journaldemontreal.com/merveilles Les gagnants sont: Le fleuve St-Laurent Le fjord du Saguenay Le Jardin botanique de Montréal Les plaines d'Abraham Le Chateau Frontenac Les chutes Montmorency Le rocher Percé J'aurais aimé qu'ils fassent un vote séparé pour les sites naturels et les constructions. Note: parmi les nominés il y avait... le Carrefour Laval.
  11. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2012/03/20120323-133024.html
  12. Compétitivité des coûts dans les principales agglomérations nord-américaines : Montréal en tête Montréal, le 22 mars 2012 – Selon l’étude Choix concurrentiels 2012 de KPMG, publiée aujourd’hui, Montréal arrive en tête des 30 principales agglomérations canadiennes et américaines étudiées (deux millions d’habitants ou plus) sur le plan de la compétitivité des coûts. Montréal devance Toronto (qui arrive 2e), Cincinnati (3e), Vancouver (7e), Chicago (21e), Philadelphie (23e), Boston (27e) et New York (29e). L’enquête menée par KPMG fait état de 26 facteurs de coûts importants (main-d’œuvre, fardeau fiscal, immobilier, services publics) dans 16 villes canadiennes, et compare plus de 110 villes dans 14 pays. Soulignons que Montréal se classe au 10e rang du classement mondial pour la compétitivité des coûts, parmi les 103 villes des marchés arrivés à maturité, et qu’elle arrive au 7e rang des villes canadiennes. La ville de Québec se classe en 6e position, et Trois-Rivières, en 4e position, pour la compétitivité des coûts parmi les 16 villes canadiennes. « À Montréal, les coûts du transport sont relativement faibles; les loyers des locaux industriels sont modérés, et l’électricité ne revient pas très cher, ce qui attire de nombreuses entreprises », explique Denis Lacroix, associé, Fiscalité internationale, KPMG au Canada. « En outre, les sociétés bénéficient d’un vaste éventail d’incitatifs – R. et D., commerce électronique, production de médias numériques, activités financières mondiales, fabrication – qui sont autant d’atouts pour la métropole montréalaise, car ils se traduisent par un allègement du fardeau fiscal. » Comparativement aux autres villes du Canada, au chapitre de la compétitivité sectorielle des coûts, Montréal se distingue dans les secteurs de la fabrication et de la production de jeux vidéo, avec une 6e et une 7e place au classement des 16 centres urbains canadiens étudiés. De plus, par rapport à l’ensemble des villes du monde intégrées à l’étude, le point fort de Montréal reste la production de jeux vidéo : la ville arrive 7e parmi les 103 agglomérations urbaines de 9 pays arrivés à maturité. Le Canada et le monde Parmi les neuf marchés à maturité étudiés, le Canada arrive au troisième rang pour les coûts d’exploitation, grâce à des coûts inférieurs de 5,0 % à ceux des États-Unis. Le Royaume-Uni et les Pays‑Bas dépassent le Canada, mais à peine (avance de 0,5 et de 0,3 point de pourcentage, respectivement). De plus, il faut savoir que les résultats favorables de ces pays sont le fruit de la dépréciation de l’euro et de la livre, par suite de la crise de la dette européenne. « En clair, le Canada reste un marché compétitif, poursuit Denis Lacroix. Même si les taux de productivité canadiens laissent à désirer, nous gardons le même rang au classement des coûts, comme dans l’étude précédente de 2010. J’en conclus qu’indépendamment des incertitudes économiques mondiales, et malgré la vigueur du huard, le Canada reste un choix à privilégier. » Étude Choix concurrentiels de KPMG L’étude Choix concurrentiels 2012 de KPMG propose une analyse comparative indépendante des coûts d’exploitation dans plus de 110 villes de 14 pays. Les auteurs se sont penchés sur un vaste éventail de facteurs pour évaluer la compétitivité des pays. Ils ont accordé la priorité aux coûts d’exploitation, mais ont aussi tenu compte d’autres facteurs, comme la population et ses caractéristiques démographiques, la formation et la main-d’œuvre qualifiée, l’innovation, les infrastructures, les conditions économiques, le cadre réglementaire, le coût de la vie et la qualité de vie. L’enquête s’intéresse également à la compétitivité des coûts pour divers secteurs économiques, en particulier la fabrication, le secteur numérique, la recherche et développement et, enfin, les services aux entreprises. Grâce à l’étude, les cadres auront un aperçu des coûts d’exploitation comparatifs dans diverses villes des grands pays du monde. De plus, elle aidera les professionnels de KPMG et les promoteurs dans leur travail auprès d’entreprises qui envisagent une relocalisation ou une expansion. Enfin, l’analyse facilitera la tâche des décideurs amenés à évaluer l’incidence sur la compétitivité de leur territoire d’une nouvelle taxe ou d’un changement de politique. Pour consulter la version intégrale du rapport, visitez le site http://www.choixconcurrentiel.com. Dans le cadre de l’étude Choix concurrentiels 2012, les taux de change s’établissent comme suit, pour un dollar américain : 0,99 AUD – 1,80 BRL – 1,02 CAD – 6,36 CNY – 0,74 EUR – 0,64 GBP – 50,75 INR – 77,33 JPY – 13,64 MXP – 31,07 RUB. KPMG au Canada http://www.kpmg.com/Ca/fr/IssuesAndInsights/ArticlesPublications/Press-Releases/Pages/Competitive-Alternatives-Release-Quebec.aspx
  13. (Montréal) La réputation de Montréal gagne des points parmi les principales villes financières du monde, selon un palmarès international établi par des firmes d'analyse établies à Londres et que La Presse Affaires a obtenu. Montréal se situe maintenant au 18e rang des principaux «centres financiers du monde», deux rangs de plus que sa 20e position de l'an dernier dans ce palmarès qui comprend 77 villes. Dans les Amériques, Montréal se maintient au huitième rang parmi les 13 principaux centres financiers, derrière ses plus proches voisines Toronto (3e continentale et 10e mondiale) et Boston (4e continentale et 11e mondiale). Montréal devance encore dans ce palmarès les métropoles latino-américaines São Paulo, Mexico et Rio de Janiero. Au niveau canadien, Montréal conserve aussi son troisième rang parmi quatre centres financiers; derrière Toronto et Vancouver (17e mondial), mais devant Calgary (28e mondial). Ce palmarès est compilé par deux firmes londoniennes d'analyse du secteur financier, Long Finance et Z/Yen Group. Il est établi avec le soutien financier du Qatar Financial Center, un organisme de promotion économique qui relève du gouvernement du Qatar. Selon ce palmarès, Londres peut encore prétendre au premier rang mondial des centres financiers, devant New York, Hong Kong et Singapour. Mais à l'avantage du Canada, la présence de trois villes dont Montréal parmi le top-20 mondial représente une bonne note qui excède le poids relatif de l'économie canadienne sur l'échiquier mondial. Cette prestance du Canada parmi les centres financiers du monde a d'ailleurs valu à Gordon Campbell, haut-commissaire (ambassadeur) du Canada à Londres, de rédiger le préambule de l'édition 2012 du palmarès. Après avoir vanté la tenue avantageuse du Canada lors des années de crise financière et de récession, M. Campbell souligne à propos de Montréal sa «forte expertise» en gestion de caisses de retraite, ainsi que sa primauté dans le développement de logiciels pour le secteur des services financiers. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/services-financiers/201203/21/01-4507746-palmares-des-villes-financieres-montreal-gagne-en-reputation.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS10
  14. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/services-financiers/201202/15/01-4496134-state-street-concentre-des-activites-a-montreal.php
  15. Le gouvernement du Québec a dévoilé le Plan Emploi Métropole qui vise à consolider la relance économique dans la région de Montréal. Doté d'un budget de 30 M$ sur deux ans, le Plan propose 10 actions, réparties selon deux axes, à savoir le développement des compétences de la main-d'œuvre et l'appui aux chercheurs d'emploi. On espère ainsi confirmer Montréal parmi les économies de classe mondiale. http://emploiquebec.net/publications/pdf/00_admin_Plan_emploi_metropole.pdf
  16. Étude KPMG "Choix concurrentiels" - Le Grand Montréal offre les coûts d'exploitation les plus concurrentiels des principales régions industrialisées du monde MONTRÉAL, le 1er avr. /CNW Telbec/ - Selon l'étude "Choix concurrentiels" de la firme KPMG, le Grand Montréal offre les coûts d'exploitation les plus concurrentiels des principales régions industrialisées du monde. Montréal se hisse en effet en première position parmi les 41 régions métropolitaines comptant deux millions d'habitants, à l'exclusion des villes du Mexique, seul pays émergent à figurer parmi les 10 pays considérés dans l'étude. Tous secteurs confondus, l'avantage-coût du Grand Montréal par rapport à la moyenne des villes américaines s'élève à 5,8 %. Cet avantage atteint notamment 22 % en essais cliniques, 18 % en mise à l'essai de systèmes électroniques, 14 % en conception de logiciels et en web/multimédia, et 12 % en biotechnologie. De façon générale, l'avantage-coût du Montréal métropolitain s'avère nettement plus marqué dans les secteurs non manufacturiers, tels que les services informatiques et ceux destinés à l'entreprise, ainsi que les services de R-D. "La performance supérieure de la région montréalaise au niveau des coûts dans les secteurs de haute technologie s'explique notamment par les avantageux incitatifs fiscaux à la R-D octroyés par les gouvernements du Québec et du Canada", souligne le président-directeur général par intérim de Montréal International, monsieur Luc Lacharité. L'étude de KPMG compare les coûts d'exploitation d'une entreprise dans plus de 100 villes situées dans 10 pays : l'Allemagne, l'Australie, le Canada, les États-Unis, la France, l'Italie, le Japon, le Mexique, les Pays-Bas et le Royaume-Uni. Cette analyse comparative mesure l'incidence conjuguée de 26 éléments de coûts particulièrement sensibles à la localisation géographique pour 17 types d'entreprises, sur une période de 10 ans. L'étude est disponible pour téléchargement sur le site http://www.competitivealternatives.com. http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/April2010/01/c7341.html
  17. Publié le 20 décembre 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Candidature au Forum universel des cultures: Québec affronterait Amman Ian Bussières Le Soleil (Québec) La Ville de Québec déposera cette semaine, avec l'appui des gouvernements du Québec et du Canada, sa candidature afin de présenter en 2016 le cinquième Forum universel des cultures, un événement de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO). Ce grand rendez-vous international comporte trois axes prioritaires, à savoir la diversité culturelle, le développement durable et le développement pour la paix qui sont mis en valeur grâce à des colloques, des séminaires, des congrès, des ateliers, des camps de la paix, des expositions, un spectacle permanent et une kyrielle d'activités culturelles. Le budget prévu pour la tenue du Forum à Québec est de 100 millions $, soit 90 millions $ en 2016 et 10 millions $ répartis sur la période de 2011 à 2015 pour les activités pré-Forum. C'est moins de la moitié des 230 millions $ prévus pour le quatrième Forum qui aura lieu à Naples en 2013. Le premier Forum universel des cultures, tenu à Barcelone en 2004, avait coûté 433 millions $. La part des gouvernements Si Québec obtient l'événement, les gouvernements provincial et fédéral assumeront chacun 40 % de la facture, alors que la Ville de Québec contribuera pour 8 %. Les commandites représenteront 9 % du budget, tandis que 2,5 % proviendra de la vente d'entrées et 0,5 % de la vente de produits dérivés. «Nous voulons y aller avec un budget plus modeste que Naples», a déclaré hier l'attaché de presse du maire Régis Labeaume, Paul-Christian Nolin, soulignant que plusieurs investissements majeurs avaient déjà été réalisés à Québec pour les festivités du 400e en 2008. Les villes intéressées ont jusqu'au 31 décembre pour poser leur candidature et, déjà, Paul-Christian Nolin a signalé qu'Amman, capitale et métropole de la Jordanie, figurait parmi les adversaires potentielles de Québec, de même qu'une ville de Belgique. «Nous avons fait beaucoup de travail dans ce dossier, mais on restera discret sur le thème que nous proposerons et les grands éléments de notre candidature d'ici le 31 décembre», a enchaîné M. Nolin. Dans un document de la Ville de Québec dont Le Soleil a obtenu copie, on apprend cependant qu'il a été décidé de ne pas ajouter un thème abstrait et général, comme la connaissance pour le Forum de Monterrey en 2007 ou la mémoire du futur pour celui de Naples. Dans sa candidature, Québec utilisera plutôt «un thème transversal qui soit aussi concret que significatif pour Québec et à partir duquel tous les axes et formats peuvent être abordés». Un comité directeur comptant parmi ses membres Patrick Caux d'Ex Machina, Lili-Anna Peresa de la Fondation One Drop, John R. Porter du Musée national des beaux-arts du Québec, le recteur de l'Université Laval, Denis Brière, Michel Venne de l'Institut du Nouveau Monde et Jean Morency de SSQ Groupe financier a aussi été mis en place pour établir les bases de la candidature. Il est appuyé par Marie Albertson, embauchée cet été comme secrétaire administrative de la mise en candidature, et Denis Ricard, secrétaire général de l'Organisation des villes du patrimoine mondial, qui consacre 15 % de son temps comme conseiller personnel du maire sur les questions de stratégie politique et internationale et sur la recherche d'appuis à la candidature de la ville. Québec a également réalisé des missions auprès des comités organisateurs de tous les forums passés et à venir afin de mieux cerner la teneur de l'événement et auprès de la Fondation du Forum, qui évaluera le dossier de mise en candidature. Annonce en 2011 Si Québec est retenue parmi les trois villes finalistes, une délégation du comité de sélection de la Fondation du Forum se rendra dans la capitale entre février et avril, et Québec saura si sa candidature est retenue entre septembre et décembre. L'annonce publique s'effectuera lors de la cérémonie de clôture du troisième Forum, qui aura lieu à Valparaiso, au Chili, le 7 janvier 2011.
  18. Le MBA de HEC Montréal au Top 10 de Forbes Publié le 06 août 2009 à 07h46 | Mis à jour à 08h01 Nadielle Kutlu lapresseaffaires.com Pour une quatrième fois d'affilée, le MBA intensif offert à HEC Montréal figure au palmarès biennal des meilleurs MBA, excluant les États-Unis, répertorié par le prestigieux magazine Forbes. Ce MBA, d'une durée d'un an, occupe le 10e rang du palmarès. Près de 170 étudiants s'insrivent chaque année au MBA intensif de HEC Montréal. Et parmi ceux-ci «45% sont des étudiants étrangers (hors Canada)», précise la relationniste médias du programme, Céline Poissant. Le classement a été réalisé en tenant compte du rendement de l'investissement des diplômés, cinq ans après l'obtention de leur diplôme, en considérants des droits de scolarité et des revenus non touchés pendant leur scolarité. «Nous sommes particulièrement fiers que notre MBA se classe à nouveau parmi les meilleurs programmes offerts en dehors des États-Unis», affirme Jacques Roy, directeur du programme, par voie de communiqué. Cette année, quelque 17 000 diplômés de 2004 issus de 103 établissement partout dans le monde ont reçu le questionnaire de Forbes en vue de la préparation du classement. Le classement des MBA selon Forbes ( excluant les États-Unis) 1. Insead - France 2. IMD - Suisse 3. Instituto de Empresa - Espagne 4. Cambridge (Judge) - Royaume-Uni 5. Oxford (Said) - Royaume-Uni 6. City University (Cass) - Royaume-Uni 7. Lancaster - Royaume-Uni 8. SDA Bocconi - Italie 9. Cranfield - Royaume Uni 10. HEC Montréal - Canada
  19. Montréal parmi les 25 villes ayant la meilleure qualité de vie Agence QMI Julie Charette 23/07/2009 16h11 - Mise à jour 23/07/2009 16h24 Palmarès - Montréal parmi les 25 villes ayant la meilleure qualité de vie Une vue de Montréal Archives En dépit de l'été maussade et de tous les scandales qui l'ont éclaboussé, Montréal se hisse au 19e rang mondial des villes ayant la meilleure qualité de vie. Le magazine londonien Monocle publie dans son édition de juillet une liste des 25 meilleures villes où vivre sur la planète. Deux seules villes canadiennes font partie de ce palmarès soit Vancouver en 14e place et Montréal au 19e rang. Le magazine souligne d'ailleurs l'ouverture d'esprit et la joie de vivre des Montréalais. Zurich au premier rang Parmi le top cinq des villes où il fait bon vivre, Zurich rafle le premier rang grâce à son excellent service de transport en commun et ses sévères mesures environnementales. Suivent dans l'ordre Copenhague, Tokyo, Munich et Helsinki. La seule ville américaine qui trouve grâce aux yeux de Monocle est Honolulu, au 11e rang. L'an dernier, Minneapolis et Portland avaient aussi une place dans ce club sélect. Monocle analyse des critères comme la vie culturelle, les transports publics, l'éducation et les politiques environnementales.
  20. 19 06 09 source: site Internet de la Ville de Montréal Montréal parmi les cinq villes les plus vertes au monde Montréal a été sélectionné parmi les cinq villes les plus vertes au monde selon Tree Hugger.com, un site internet reconnu comme étant une source d'information centrale et fiable relayant les nouvelles ‘vertes'. Classée au quatrième rang, Montréal partage les honneurs avec Portland en Oregon au premier rang, Fribourg en Allemagne, Zermatt en Suisse et Austin au Texas, qui se classe bon cinquième.Cette nouvelle vient renforcer l'annonce, en début de semaine, de l'arrivée de la carte Géotouristique de Montréal produite par Tourisme Montréal et la Ville de Montréal dans le cadre d'une entente avec la National Geography Society. Montréal est la première grande ville du monde à disposer d'une carte-guide géotouristique urbaine.
  21. Publié le 02 juin 2009 à 14h43 | Mis à jour à 14h50 Une boutique montréalaise parmi les meilleures au monde Nadielle Kutlu Cyberpresse Les Touilleurs a récemment été classé parmi les cinq meilleurs commerces de détails au monde, dans la catégorie des articles et accessoires de cuisine. La boutique de l'avenue Laurier, à Outremont, a reçu cette distinction lors du prestigieux concours international Global Innovator Award 2009 (GIA) qui s'est tenu à Chicago. Vingt-quatre pays répartis sur les cinq continents y ont participé.Les Touilleurs a d'abord remporté le concours au Canada pour ensuite représenter le pays sur la scène internationale. Comme une distinction ne vient jamais seule, les propriétaires sont aussi en discussion pour avoir leur propre émission de télévision auprès d'un grand diffuseur, a appris La Presse. C'est la première fois que la boutique, qui a souvent remporté des honneurs, se présentait au GIA. Les critères de sélection reposaient, entre autres, sur la stratégie de marque de l'établissement, le concept, l'expérience client et l'étendue de la gamme de produits. «C'est un prix important, on se retrouvait face à nos pairs et ça permet aussi de mettre Montréal sur la carte», souligne le copropriétaire Sylvain Côté. «On espère que ça va fidéliser encore plus la clientèle et attirer la curiosité de nouveaux clients.» Qu'est-ce qui a séduit le jury ? «On nous a dit que c'était notre unité, l'ensemble de ce que nous offrons. Que ce soit la présentation de notre vitrine, la recette sur le tableau à l'entrée, le personnel, le service à la clientèle, tous ces éléments forment une unité chez Les Touilleurs», explique-t-il. Lorsqu'on entre dans la boutique, on remarque rapidement le look épuré et soigné. « Il n'y pas de boites entassées comme on voit souvent dans d'autres magasins», souligne Sylvain Côté . Le tout reste simple afin de faire ressortir l'objet. Les articles de cuisine sont notamment importés d'Allemagne ou de France. Les propriétaires tentent d'ailleurs d'offrir une exclusivité dans la gamme de produit. Depuis son ouverture en 2002, l'entreprise, qui a atteint un chiffre d'affaires de 1, 1 million $, est devenue une véritable référence dans le milieu. En plus des articles de cuisine, la boutique offre divers cours de cuisine animés par des grands chefs ainsi que des voyages gastronomiques.
  22. Un sondage récent mené par la firme Environics montre que les Canadiens demeurent optimistes face à la crise, et ce, même si une majorité d'entre eux estiment que l'économie n'a pas encore touché le fond. Pour en lire plus...
  23. La crise financière fera des victimes parmi les sociétés d'exploration minière du Québec. Et seules les plus solides verront le bout de l'année 2009. Pour en lire plus...
  24. Aujourd'hui, les banques hongroises restreignent les prêts au moment où les investisseurs sortent leur argent des marchés en développement de l'Europe de l'Est et tandis que les devises de la région plongent. Pour en lire plus...
  25. L'annonce devancée de très mauvais résultats par la Sun Life a provoqué une grosse gifle boursière parmi ses pairs. Pour en lire plus...
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