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  1. http://www.bbc.com/news/world-us-canada-29724907 Ottawa 3 tireurs impliqués, dont 2 au Parlement. (on avait rehaussé la sécurité à mon bureau - Gvt fédéral) Plus de détails à la radio/télévision.
  2. Québec - Un grand chantier en vue autour du parlement Le Devoir Isabelle Porter Édition du jeudi 14 mai 2009 Mots clés : Colline parlementaire, Régis Labeaume, Projet d'urbanisme, Construction, Municipalité, Québec (province), Québec (ville) Des voix s'élèvent déjà contre le projet d'urbanisme Québec -- L'administration Labeaume ne caresse pas seulement de grands projets pour le quartier Saint-Roch, mais entend aussi lancer un vaste chantier autour de la colline parlementaire. «Les événements de l'été dernier ont confirmé la portée nationale de la colline parlementaire et son rôle d'accueil des grands événements», a expliqué hier le conseiller François Picard, qui présentait hier ce programme particulier d'urbanisme en l'absence du maire. Le document soumis hier doit faire l'objet d'un forum public samedi prochain en attendant la tenue d'une seconde consultation au début de l'année 2010. «Le maire Labeaume dit aux citoyens et aux promoteurs d'oser. Oser nous dire comment vous voyez ces espaces-là dans les 50, voire dans les 100 prochaines années.» M. Picard ne s'en cache pas, cette zone est très convoitée et les projets d'aménagement la concernant sont nombreux (réaménagement des vestiges du Manège militaire et de l'église Saint-Vincent-de-Paul, agrandissement du Musée national des beaux-arts du Québec, projet du Diamant de Robert Lepage, projet d'agrandissement du centre Place Québec à proximité du Centre des congrès, etc.). D'où la nécessité de définir une «vision d'ensemble» pour ce secteur qui requiert des «aménagements de grande qualité». Mais au-delà des grands énoncés, l'équipe de Régis Labeaume semble avoir des idées bien précises. Elle propose notamment que la scène des Plaines devienne permanente et qu'une nouvelle scène soit aménagée à même les vestiges du Manège militaire. On voudrait en outre améliorer les liens piétons entre ces sites très achalandés durant le Festival d'été, et d'autres carrefours culturels comme la place D'Youville et le quartier Saint-Roch. Déjà très courus, les environs du parlement devront s'émanciper le plus possible des voitures, précise M. Picard. «On veut continuer à faire la promotion du transport en commun. [...] Il faut éviter dans l'avenir que les gens viennent travailler en automobile sur la colline parlementaire», a précisé le membre du comité exécutif, en rappelant que son équipe avait un projet de piste cyclable le long du boulevard René-Lévesque, qui relie le parlement aux banlieues de l'ouest. Par ailleurs, la mairie a déjà créé en janvier dernier un groupe de travail sur les transports et l'aménagement. Finis les stationnements extérieurs, bienvenue aux immeubles en hauteur La Ville compte en outre tirer profit des rares espaces vacants qui subsistent autour de la colline parlementaire et aux abords de la Grande Allée en se débarrassant des stationnements extérieurs et envoyer les voitures dans de nouveaux espaces souterrains. On souhaite également densifier le secteur en construisant en hauteur. Un projet d'immeuble de 12 étages est d'ailleurs à l'étude à Place Québec et l'administration Labeaume vise la construction de tours à bureaux et de nouveaux immeubles résidentiels. Or, tout cela s'inscrit dans le long terme, insiste M. Picard, et il n'est pas question d'en faire un enjeu électoral lors du scrutin de l'automne prochain. «C'est une vision pour 30, 40 ans. Ce n'est pas une campagne de 30 jours qui va statuer pour tout ça.» Déjà, des voix s'élèvent contre le processus. «De toute évidence, il y a un travail qui a été fait, notamment avec certains promoteurs immobiliers», a fait valoir le porte-parole du comité populaire Saint-Jean-Baptise, Mathieu Houle-Courcelles, qui plaide plutôt pour de nouveaux projets de logements sociaux au centre-ville. «C'est une affaire de gros sous, ce secteur-là. Nous, on ne veut pas que le résidentiel ne s'adresse qu'aux députés et aux sous-ministres qui se cherchent un endroit où vivre à Québec. [...] Si c'est le genre de développement qu'on veut faire, on va s'y opposer vivement.» Conseiller de l'opposition dans une partie du district concerné, Pierre Maheux n'est pas non plus convaincu de la nécessité de densifier le secteur. «C'est déjà l'arrondissement le plus dense de la ville. Avec 3 % de la superficie de la ville, il compte déjà pour 18 % de la population.» http://www.ledevoir.com/2009/05/14/250288.html (14/5/2009 8H12)
  3. Québec a tenté de récupérer sa colline Antoine Robitaille Édition du samedi 21 et du dimanche 22 février 2009 Le gouvernement fédéral est toujours propriétaire d'une partie des terrains devant l'Assemblée nationale Québec -- Le gouvernement Charest a formellement demandé à son vis-à-vis fédéral, en 2006, d'enfin devenir propriétaire de certains terrains qu'il lui loue devant le parlement à Québec. Mais Ottawa n'a jamais daigné répondre, a appris Le Devoir. Paradoxalement, les bronzes de René Lévesque, de Robert Bourassa, d'Honoré Mercier et de Louis-Hippolyte Lafontaine se retrouvent donc en terrain fédéral loué (voir la carte au http://www.ledevoir.com). Dans une lettre datée du 7 juillet 2006, le ministre des Affaires intergouvernementales, Benoît Pelletier, soumettait à son homologue fédéral du temps, Michael Chong, «cette problématique que l'Assemblée nationale du Québec souhaite corriger depuis longtemps». C'est pour des raisons historiques liées aux besoins du Canada «en matière de défense au XIXe siècle», expliquait-il, que plusieurs terrains en face du parlement sont restés «de propriété fédérale». Sur une carte en annexe à la lettre, on prend conscience qu'Ottawa possède le terrain qui va pratiquement de la borne du kilomètre zéro (devant la porte centrale) jusqu'aux fortifications, en passant évidemment par le rond-point où se trouve aujourd'hui la fontaine de Tourny. Lors du réaménagement de la colline parlementaire à la fin des années 1990, Québec avait dû avertir le gouvernement fédéral de ces travaux, a-t-on appris. Dans sa lettre de juillet 2006, Québec n'avait toutefois réclamé la propriété que d'un seul des quatre «lots» loués à Ottawa depuis 1881: celui le plus rapproché du parlement, à l'ouest de l'avenue Honoré-Mercier (autrefois Dufferin), numéroté 1 315 204 et faisant presque 10 000 mètres carrés. Benoît Pelletier, qui est redevenu professeur de droit constitutionnel la veille du déclenchement des élections, le 4 novembre -- après avoir détenu le portefeuille des Affaires intergouvernementales pendant cinq ans --, écrivait que cette propriété fédérale sur un terrain hautement symbolique pour la nation québécoise constituait un accroc aux principes mêmes du fédéralisme. Il soulignait qu'en 1867, l'Acte de l'Amérique du Nord britannique avait consacré l'intention des provinces fondatrices du Canada de «contracter une union fédérale» en vertu de laquelle chacune posséderait une assemblée législative indépendante du Parlement canadien et «souveraine» dans ses sphères de compétence. «Dans ces circonstances, poursuivait-il, il nous apparaît important que le "situ" sur lequel l'Assemblée nationale est érigée reflète cette caractéristique fondamentale de notre régime fédéral.» M. Pelletier énonce donc le principe selon lequel «les terrains qui entourent l'Assemblée nationale doivent lui appartenir». Il a été impossible de savoir de quel type de contrat de location il est question ici. Certaines sources parlent d'un bail «emphytéotique» (de très longue durée, maximum de 99 ans, selon le Code civil). Dans un document intitulé Rapport d'un comité de l'Honorable Conseil exécutif, en date du 16 novembre 1888, consulté par Le Devoir, on peut lire une description s'apparentant à cette partie de terrain. On dit que, «conformément à un ordre de Son Excellence le Gouverneur général en Conseil du 24 janvier 1881», cette portion de terrain «est maintenant laissée à l'usage du gouvernement de la province de Québec, moyennant un loyer ou rente annuelle de cinquante piastres». Personne n'était en mesure hier, dans les officines étatiques, de dire si Québec déboursait toujours ce montant annuellement. On a toutefois souligné avec ironie que lorsqu'un bail emphytéotique se termine, les «améliorations» qui ont été faites sur le terrain deviennent propriété du «bailleur emphytéotique». Pas que symbolique Aux yeux de Québec, le transfert de propriété de ce terrain «n'aurait pas que des conséquences symboliques». Dans sa lettre, M. Pelletier souligne qu'«au plan pratique, cela permettrait au président de l'Assemblée nationale d'exercer pleinement ses privilèges et ses responsabilités quant à la sécurité de l'enceinte parlementaire». Une source bien au fait du dossier explique que lorsqu'il y a des manifestations, «on met des barrières»; or, «assurer votre sécurité sur un terrain qui n'est pas totalement le vôtre, mettons celui de votre voisin, c'est problématique, non?». La controverse autour de la commémoration de la bataille des plaines d'Abraham a ramené à l'avant-scène la présence très importante du gouvernement fédéral dans la capitale nationale québécoise. Celle-ci n'aurait pas d'équivalent dans les autres capitales de provinces au Canada. L'ancien président de la Commission de la capitale nationale, Pierre Boucher, faisait remarquer mercredi dans nos pages qu'au cours du XXe siècle, «la présence du gouvernement du Canada à Québec a pris une proportion stupéfiante». Il estimait la part de propriété fédérale à 40 % du territoire de la ville fortifiée et de ses alentours, «au point où même une portion de la place de l'Assemblée nationale est localisée en terre fédérale».
  4. Parlement fermé jusqu'au 26 janvier Source: Radio Canada La gouverneure générale du Canada, Michaëlle Jean, a accepté de proroger le Parlement à la demande du premier ministre Stephen Harper. La chef de l'État a donné son assentiment lors d'une rencontre de plus de deux heures tenue jeudi avant-midi à Rideau Hall. À sa sortie de la rencontre, le chef du gouvernement minoritaire conservateur a confirmé que les travaux à la Chambre des communes reprendront le 26 janvier, et que le premier dossier à l'ordre du jour sera le dépôt du budget. La prorogation du Parlement, qui met un terme à la session parlementaire et donc à tous les travaux en cours, permet au gouvernement Harper d'éviter un vote de confiance qu'il aurait selon toute vraisemblance perdu lundi prochain.
  5. Le Parlement japonais a approuvé jeudi une rallonge budgétaire de 1810 milliards de yens pour stimuler la deuxième économie de la planète. Pour en lire plus...
  6. Publié le 09 octobre 2008 à 10h59 | Mis à jour à 12h18 Mission en Afghanistan : jusqu'à 18,1 milliards André Duchesne La Presse La mission en Afghanistan aura coûté jusqu'à 18,1 milliards de dollars au moment du retrait prévu des troupes en 2011, a annoncé le directeur parlementaire du budget à Ottawa, Kevin Page. Le rapport Impact financier de la mission canadienne en Afghanistan présente une première évaluation complète du coût des opérations militaires, de l'aide au développement et à la reconstruction ainsi que le coût à long terme des soins aux anciens combattants. Pour la période 2001-2002 à 2010-2011, l'évaluation maximale de 18,1 milliards représente environ 1500$ dollars par foyer canadien. L'officier du Parlement, Kevin Page, jette son pavé dans la marre à quelques jours du vote. Plus que le chiffre qu'il présente, ce qui ressort de son rapport c'est son incapacité à obtenir des données pertinentes de la part des ministères pour faire son évaluation. Impossible, ainsi, d'obtenir le nombre de réservistes déployés chaque année ou les dépenses annuelles pour les projets réalisés par l'ACDI en Afghanistan. M. Page en conclut qu'il pourrait avoir sous-estimé le coût total de l'opération. Il croit même que les coûts réels pourraient dépasser les montants des crédits parlementaires. Il se demande alors quel impact cela aurait sur les excédents budgétaires prévus que le gouvernement Harper a présenté dans son budget de 2008. M. Page, qui a dû se prêter à cet exercice à la demande d'un député néo-démocrate, Paul Dewar, a pu rendre publique son rapport parce que tous les chefs des partis politiques, en campagne électorale, ont accepté qu'il le dépose même si le Parlement ne siège pas. Il souligne que la mission canadienne en Afghanistan en est à sa septième année et que le Parlement n'a obtenu aucune estimation relative aux coûts encourus par tous les ministères impliqués, et ce sous aucun gouvernement en place depuis 2001. Selon lui, le manque d'analyse, les renseignements incomplets et les anomalies au niveau des données financières provenant du gouvernement du Canada empêchent les parlementaires de surveiller efficacement cette mission. Son estimation, entre 14 et 18 milliards $, a dû se baser sur des hypothèses. Elle couvre la mission de 2001 à 2011, en supposant que le Canada maintient les mêmes effectifs, de 2500 militaires, en Afghanistan d'ici à son retrait en 2011.
  7. Ces deux types de fonds d'investissement sont en général sous contrôle privé, ce qui leur permet de prendre des risques élevés et de publier relativement peu d'information sur leurs activités. Pour en lire plus...
  8. Un milliard $ pour rénover le Parlement Le samedi 19 juillet 2008 Tim Naumetz Presse Canadienne Ottawa Les travaux de rénovation et de reconstruction au Parlement pourraient coûter un minimum de 1 milliard $, selon les prévisions du ministère des Travaux publics. Les plus récents estimés remis par le ministère à La Presse Canadienne n'incluent pas les coûts additionnels pour les réparations majeures qui devront être effectuées dans le bloc central, où des tours sont déjà retenues par des câbles en fer pour prévenir un possible effondrement. Des clôtures empêchent les piétons de s'aventurer trop près de l'édifice afin de les protéger de la chute inopinée de morceaux de pierre. Pour le deuxième été consécutif, des sangles transparentes enveloppent d'autres tours du côté ouest, également dans le but de protéger les passants. Le projet de rénovation du Parlement ne sera pas complété avant plus d'une décennie, selon les derniers échéanciers. L'ancien architecte et fonctionnaire à la retraite Ken Elder a blâmé la lenteur des travaux sur le fait que le Parlement et le gouvernement contrôlaient les cordons de la bourse et non le ministère des Travaux publics. «Les rénovations sont retardées par des considérations politiques, a-t-il soutenu. Le ministère des Travaux publics peut émettre autant de mises en garde qu'il veut, ultimement, c'est le Parlement qui décide.» M. Elder a souligné que la présence des câbles de fer et des sangles protectrices était cruciale pour éviter un effondrement, et que l'image du Parlement en pâlissait. Le député néo-démocrate Pat Martin a confié que la pluie et la moisissure s'infiltraient dans les murs de son bureau dans la partie ouest du Parlement. Il a déploré que les gouvernements successifs aient manqué de courage pour effectuer les réparations nécessaires. «Notre Parlement est un trésor national, mais il a souffert terriblement de décennies de négligence», a-t-il confié. Le ministère des Travaux publics a indiqué par courriel que «la sécurité est une priorité pour le gouvernement du Canada, pour la Chambre des communes et pour le Sénat, et que, dépendant des conditions spécifiques d'une structure, des câbles, des filets et d'autres mesures d'atténuation étaient installés». M. Elder a estimé que les rénovations du bloc central pourraient ajouter 500 millions $ au coût du projet. Le ministère des Travaux publics n'a rendu public qu'un budget préliminaire de 821,5 millions $, approuvé par le gouvernement pour la restauration du bloc ouest datant du XIXe siècle, soutenant qu'il était prématuré de spéculer sur les coûts des travaux pour les deux autres édifices. En 1998, le ministre des Travaux publics de l'époque, Alfonso Gagliano, avait estimé le coût des rénovations pour les trois édifices à 483 millions $ et avait évalué qu'elles pourraient être complétées... en 2008.
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