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  1. Un plan de stationnement avant-gardiste Nouvelles générales - Politique municipale Écrit par Charles Poulin Jeudi, 28 octobre 2010 15:38 Mise à jour le Jeudi, 28 octobre 2010 17:40 Projet Montréal a présenté son nouveau plan de stationnement sur le Plateau-Mont-Royal pour l’année 2011 et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il est avant-gardiste. Ayant comme buts avoués d’augmenter ses revenus tout en incitant les gens à ne plus utiliser leur voiture, le maire de l’arrondissement, Luc Ferrandez, et le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, ont dévoilé jeudi qu’ils allaient uniformiser le tarif des parcomètres à 3$ l’heure, ajouter 600 parcomètres et mettre sur pied un projet pilote qui, s’il fonctionne, éliminerait les vignettes de stationnement et obligerait les visiteurs à migrer vers le transport en commun. «Nous avions dit que nous irions jusqu’au bout, bien on y va, tranche M. Bergeron. Oui, ça va vite, mais nous avons des obligations de résultat. Nous voulons que les bénéfices qui découlent de ces mesures profitent aux résidants.» Le nouveau plan de stationnement veut réduire l'utilisation de la voiture dans l’arrondissement Plateau-Mont-Royal. Photo d'archives Chantal Poirier Ces 600 nouveaux parcomètres seront placés près des artères commerciales, dès janvier. L’uniformisation des tarifs se fera également au début de l’année. L’avenue du Parc sera épargnée pendant la durée des travaux sur l’artère. L’arrondissement estime que les revenus nets supplémentaires seront de 6M$ par an, en admettant qu’il n’y ait pas de baisse d’achalandage. De ce montant, 30% sera réinvesti directement à l’amélioration des rues commerciales. «Nos artères commerciales font face à la concurrence des power centres et des centres commerciaux sans moyens, avance M. Ferrandez. Nous voulons développer nos forces, et le commerce sur rue en fait partie.» Plusieurs commerçants se sont dit opposés à cette hausse de parcomètres et de tarifs par crainte que les visiteurs ne fuient leur commerce et n’y reviennent plus. «L’autre choix, c’était une taxe spéciale, fait remarquer le maire de l’arrondissement. Le Plateau-Mont-Royal est endetté, nous devions faire quelque chose.» Parcojour Le Plateau implantera également un projet pilote en mars ou avril, qui, s’il fonctionne, devrait éliminer les vignettes de stationnement telles qu’on les connaît. Les parcojours seront installés dans les secteurs de l’École des métiers de la construction et dans Milton Parc. Le principe est le suivant: tous les espaces de stationnement réservé aux résidants disparaissent. En contre-partie, tous les espaces du secteur visé deviennent payants, sans exception, 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Les résidants peuvent toujours se procurer une vignette anuelle au coût de 75$. Les visiteurs, eux, ont le choix entre acheter une vignette mensuelle, un coupon journalier ou encore payer à l’unité pour les trois premières heures, après quoi le tarif devient le même que pour un jour. Projet Montréal a même prévu le coup pour les amis et les familles des résidants. Ceux-ci pourront se procurer un livret de 15 coupons quotidiens au coût de 15$ (1$ l’unité), qu’ils pourront donner à leur visiteurs. Pour éviter les abus, le second livret coûtera plus cher et ainsi de suite. Les OBNL auront eux droit à des vignettes gratuites pour leurs bénévoles. «Nous avons 52 types d’interdiction de stationnement sur le Plateau, rappelle Luc Ferrandez. L’implantation des parcojours signifie une tarification plus conplexe, mais le stationnement devient beaucoup plus simple.» «Le but visé est de décourager l’utilisation de la voiture dans l’arrondissement, poursuit-il. Nous savons que 8% des automobilistes viennent ici faire des achats, et 37% sont des travailleurs. Ce sont les travailleurs que nous voulons aller chercher, parce qu’ils ont d’autres options comme le transport en commun.» Luc Ferrandez et Richard Bergeron disent ne pas savoir quels seront les résultats du projet pilote, mais si tout va bien, il pourrait être étendu. «C’est quelque chose d’intéressant, mais ça doit être testé», conclut M. Ferrandez. Les trois SDC d'accord Les trois sociétés de développement commercial (SDC) du Plateau se sont dites en accord avec les annonces faites par Luc Ferrandez et Richard Bergeron. «La difficulté qu’a la Ville de Montréal à investir dans son développement comme métropole, conjuguée à la faible dotation des arrondissements de Montréal comme le Plateau-Mont-Royal, entraîne des conséquences fâcheuses sur la qualité de vie des Montréalais et la vitalité de leurs artères commerciales, indiquent-elles dans un communiqué émis jeudi. Il nous faut inévitablement faire preuve d’imagination pour faire face aux défis et nous démarquer des grandes bannières et des joueurs tels que Devimco (Quartier DiIX30), lesquels sont toujours en mesure d’investir des sommes considérables en promotion et en aménagements pour rendre leur expérience d’achat encore plus unique. «La hausse du coût du stationnement préconisée par l’arrondissement Plateau-Mont-Royal représente un pari risqué, ajoutent les organismes. Elle peut devenir un outil de développement très efficace si elle est bien gérée. C’est pourquoi les SDC de l’avenue du Mont-Royal, de la rue Saint-Denis et du boulevard Saint-Laurent accueillent l’engagement de l’arrondissement de verser aux SDC de son territoire 30% des nouveaux revenus tirés de l’augmentation du coût du stationnement comme une nouvelle positive.» http://www.ruefrontenac.com/nouvelles-generales/politiquemunicipale/29511-un-plan-de-stationnement-avant-gardiste
  2. MONTREAL, le 9 mars 2007- M. Marvin Rotrand, conseiller de ville de l'arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce et vice-président de la Société de transport de Montréal, M. Michel Labrecque, conseiller de ville de l'arrondissement du Plateau Mont-Royal, et le directeur général du Conseil régional de l'environnement de Montréal ont affirmé publiquement leur soutien aux modifications apportées par la Ville de Montréal à la tarification et aux plages horaires des parcomètres. "Dans le contexte du Protocole de Kyoto et des efforts internationaux pour réduire les gaz à effet de serre et dans le contexte où la Ville de Montréal doit chercher et diversifier ses revenus pour faire face à ses obligations, les nouveaux tarifs des parcomètres sont pleinement justifiés. Cette décision aura des effets positifs, tant sur l'environnement que sur les finances de la Ville. C'est un choix écologique et économique qui est dans le meilleur intérêt des Montréalaises et des Montréalais", a déclaré M. Rotrand. "Il ne faut pas oublier que les parcomètres doivent être utilisés pour du stationnement de courte durée, et ce, de façon à favoriser l'accès aux commerces au plus grand nombre possible d'usagers. Or, la hausse des tarifs des parcomètres pourrait éventuellement décourager ceux qui veulent utiliser ces espaces tarifés pour du stationnement de longue durée. Ca va probablement inciter aussi un plus grand nombre de personnes à utiliser les transports collectifs", a ajouté M. Rotrand. Le conseiller Labrecque a rappelé pour sa part que les nouveaux tarifs des parcomètres à Montréal sont légèrement inférieurs ou similaires à ceux des autres grandes villes canadiennes, comme Québec, Ottawa, Toronto, Calgary et Vancouver où, dans ce dernier cas, les tarifs des parcomètres grimpent jusqu'à 4 $ de l'heure. M. Labrecque ajoute qu'une tarification des parcomètres est en vigueur le dimanche à Québec, Toronto et Vancouver, ainsi qu'à Ottawa, avec certaines exceptions. Il a aussi rappelé que les tarifs des parcomètres, n'eut été de la légère hausse qui avait été décrétée en 2006, n'avaient pas été augmentés depuis plus de dix ans à Montréal. "Nous sommes élus pour prendre des décisions et pour nous assurer que la Ville et les arrondissements aient les ressources financières nécessaires pour offrir des services de qualité aux Montréalaises et aux Montréalais. Les revenus additionnels que générera la hausse des tarifs des parcomètres sur les voies artérielles, comme l'avenue du Mont Royal, seront laissés et partagés entre les arrondissements de l'ancienne Ville de Montréal et une bonne partie de ces sommes seront réinvesties dans la propreté et dans l'embellissement des rues commerciales", a mentionné M. Labrecque. M. Robert Perreault, directeur général du Conseil régional de l'environnement de Montréal, s'est aussi dit favorable aux nouveaux tarifs des parcomètres. "Ca encourage l'utilisation d'autres moyens de transport que l'automobile. Un consensus est en train de se bâtir sur la nécessité d'un changement de culture afin de réduire l'utilisation de l'automobile, augmenter sensiblement l'offre de transport collectif et favoriser le transport actif. Les modifications des tarifs des parcomètres s'inscrivent dans cette optique", a plaidé M. Perreault.
  3. Parcomètres: la solidarité pour économiser Tristan Péloquin La Presse Publié le 19 novembre 2009 à 19h11 | Mis à jour le 20 novembre 2009 à 10h28 Des automobilistes montréalais ont découvert comment contourner un des principaux irritants du système de parcomètres informatisés de la métropole. Grâce à une astuce extrêmement simple, ils arrivent à refiler leurs minutes de stationnement inutilisées au prochain automobiliste. Contrairement aux anciens parcomètres mécaniques, qui mettaient à la vue de tous le nombre de minutes restant au droit de stationnement, les nouvelles bornes informatisées ne permettent pas aux automobilistes de savoir si l'utilisateur précédent a quitté sa place avant l'échéance. Cette stratégie délibérée de Stationnement de Montréal a souvent fait l'objet de critiques, notamment de l'Association de Sociétés de développement, qui la qualifie de «double facturation» nuisant à l'achalandage des commerces. En 2005, un résident montréalais, Jean Piérard, a même tenté d'intenter un recours collectif contre la ville pour dénoncer cette pratique, mais sa requête a été rejetée en 2007 par la Cour supérieure. En coinçant tout simplement leur ticket entre l'espace bleu et la partie métallique de la borne de stationnement avant de quitter, les automobilistes contournent cependant le système et laissent savoir au prochain utilisateur qu'il peut se stationner gratuitement pendant un certain temps. Visiblement, la majorité des utilisateurs qui tombent sur ces billets les ramassent, puisque lors de notre tournée, jeudi, tous les billets trouvés dataient du jour même. Stationnement de Montréal, qui affirme que le phénomène est encore marginal, estime que cette pratique est parfaitement légale. La société en commandite enregistre des revenus d'environ 50 millions par année, et ses revenus ont connu une hausse de 65% en 2007 par rapport à 2006. Cette augmentation s'explique en partie à cause des nouvelles bornes, mais surtout à cause d'une augmentation de tarifs et de l'élargissement des plages horaires de tarification. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200911/19/01-923269-parcometres-la-solidarite-pour-economiser.php ^ il y a un vidéo
  4. Montréal Gestion des parcomètres: la Ville se prive de revenus, selon une étude Mise à jour : 26/05/2009 19h39 Les parcomètres poussent comme des champignons à Montréal. Si le système mis en place en 1994 coûte cher aux automobilistes, il l’est davantage pour la Ville. Il y a 15 ans, la Ville de Montréal a privatisé la gestion des parcomètres en la confiant à la Chambre de commerce. Chaque fois qu’un dollar est inséré dans un parcomètre, 20 sous tombent sur le comptoir de la Chambre de commerce. Selon les auteurs d’une étude, en délaissant la gestion des parcomètres depuis 15 ans, la Ville s'est privée de revenus de 16 millions et demi de dollars. Depuis que la Ville a confié la gestion des parcomètres, pour une période de 30 ans, à la Chambre de commerce, les revenus sont passés de 17 à 50 millions de dollars; une augmentation de 297%. Entre 2005 et 2006, ils ont grimpé de 36%; 52% entre 2006 et 2007.
  5. Quand les juges s'attaquent aux parcomètres Mathieu Perreault - La Presse 03 septembre 2008 | 08 h 24 Photo Reuters - Agrandir À Rome, un juge a statué au printemps dernier que le parcomètre n'est pas un instrument de taxation des rues, mais un mécanisme visant à assurer qu'il y a toujours un certain nombre de places de stationnement de courte durée dans les zones les plus fréquentées. D'où la nécessité d'imposer des tarifs plus élevés dans les zones les plus fréquentées. Les automobilistes romains ont eu droit à la fin du printemps à un répit inespéré. Un juge a déclaré invalides les parcomètres de la Ville éternelle. Dans toute l'Italie, l'avenir de ce système a semblé incertain pendant deux semaines. La raison de la sanction judiciaire est particulièrement intéressante pour les Montréalais: le tribunal de Rome considérait qu'un tarif unique pour toute la ville était contraire à l'objectif de la loi, qui visait à restaurer une certaine accessibilité à des places de stationnement de courte durée. Sans des tarifs plus élevés pour les zones les plus fréquentées, les parcomètres devenaient simplement une taxe sur le bitume. Le parcomètre ne coûte qu'un euro par heure à Rome, l'équivalent de 1,50$CAN. Donc deux fois moins qu'à Montréal, une ville beaucoup moins touchée par la pénurie de places de stationnement que la Ville éternelle, qui n'a pratiquement aucun stationnement privé comme il en existe beaucoup à Montréal. L'histoire est intéressante pour nous parce qu'elle illustre ce qui se passe quand on limite le prix maximal des parcomètres, comme le réclament plusieurs automobilistes et associations de commerçants. À Rome et ailleurs en Italie, les parcomètres sont en vigueur dans les zones à «lignes bleues», tracées sur les côtés des rues. Il s'agit d'une innovation récente dans la plupart des cas, dans un pays qui est génétiquement allergique aux restrictions. À Rome, l'introduction des parcomètres a été associée par la plupart à une plus grande facilité à se trouver une place. Seulement, la municipalité n'a pas osé hausser les tarifs au centre et a imposé les parcomètres partout, même dans les quartiers où il n'y avait pas vraiment de problèmes de stationnement. C'est cette dérive populiste que les juges ont voulu condamner. Le parcomètre n'est pas un instrument de taxation des rues, mais un mécanisme visant à assurer qu'il y a toujours un certain nombre de places de stationnement de courte durée dans les zones les plus fréquentées, a expliqué la cour. On pense immédiatement aux critiques des hausses récentes des parcomètres à Montréal, qui accusent la Ville d'imposer de nouvelles taxes déguisées. À la différence de Rome, à tout le moins, Montréal a des tarifs différents pour les zones les plus et les moins fréquentées. Mais comme on voit parfois des pans entiers de rues complètement vides parce que les parcomètres sont trop chers, on peut penser que l'argument de la taxation abusive du bitume pourrait tenir la route à Montréal. En théorie, les tarifs des parcomètres devraient être fixés de manière à ce que 15% des places d'un quartier donné soient libres en tout temps. À la mi-juin, Rome a finalement réinstauré les parcomètres, tout en promettant de faire varier les tarifs selon l'achalandage des quartiers. Les sacs de plastique qui recouvraient les bornes de paiement pour montrer qu'elles n'étaient plus actives ont été enlevés. Les autres villes italiennes ont poussé un soupir de soulagement, mais aucune d'entre elles n'a annoncé un plan de tarification graduelle. La contestation des contraventions en Italie a visiblement un grand avenir. À Rome, un juge a statué au printemps dernier que le parcomètre n'est pas un instrument de taxation des rues, mais un mécanisme visant à assurer qu'il y a toujours un certain nombre de places de stationnement de courte durée dans les zones les plus fréquentées. D'où la nécessité d'imposer des tarifs plus élevés dans les zones les plus fréquentées.
  6. Des milliers de commerçants du centre-ville montrent les dents et font front commun face à l'administration municipale. Fatigués du laxisme des élus municipaux qui font la sourde oreille face à leurs revendications, les membres de 13 sociétés de développement commercial de la ville unissent leurs forces pour former l'Association des SDC de Montréal. Cette nouvelle association regroupe près de 12 000 commerces qui consacrent chaque année 10 millions $ de fonds privés au succès des artères commerciales. Cette nouvelle association entend faire des représentations communes sur plusieurs dossiers comme la nouvelle tarification des parcomètres au centre-ville. Plusieurs prétendent que l'augmentation des coûts des parcomètres a eu un effet néfaste sur l'achalandage dans leur secteur et que les pertes de revenus sont considérables.
  7. Des parcomètres d’un vert vif ont fait leur entrée dans l’arrondissement Ville-Marie. C’est que l’organisme L’Itinéraire et le maire de l’arrondissement, Benoît Labonté, ont décidé de s’associer pour recueillir des fonds pour venir en aide aux sans-abri. Des parcomètres mécaniques rendus désuets par l’arrivée des parcomètres électroniques ont été transformés en tirelires où les passants pourront déposer des dons au profit de L'Itinéraire. L’Itinéraire est un groupe communautaire qui s’occupe de la réinsertion sociale des personnes itinérantes. Cette mission se réalise notamment à travers la production d’un magazine, L’Itinéraire, et un service de cafétéria pour personnes démunies.
  8. 02/03/2007 Alors que de nombreuses pétitions sont en marche contre les parcomètres, les marchands des rues commerciales de Montréal qui protestent contre les nouveaux tarifs ont reçu l'appui de l'opposition officielle à l'hôtel de ville. Noushig Eloyan apporte son aide politique, d'abord dans son arrondissement, aux commerçants de la rue Fleury qui ont organisé plusieurs pétitions parmi leur clientèle. «C'est une taxe cachée, a dénoncé Mme Eloyan, une taxe issue de la restructuration budgétaire de l'administration Tremblay.» Elle a rappelé que les deux arrondissements où les conseillers de Vision Montréal détiennent la majorité ont refusé de percevoir les tarifs les soirs de semaine ainsi que le dimanche. C'est le cas dans le Sud-Ouest et dans Mercier - Hochelaga-Maisonneuve. Cette perception le dimanche agace beaucoup les administrateurs des Sociétés de développement commercial (SDC) dans plusieurs quartiers. André Poulin, au centre-ville, et Claude Rainville, dans le Quartier latin, appréhendent un ralentissement des activités commerciales, surtout le dimanche. Le dimanche «Il en coûte maintenant 9 $ aux parcomètres, le dimanche, pour aller au cinéma, rue Saint-Denis», explique Claude Rainville, ajoutant que «le stationnement est gratuit au Marché central». André Poulin croit que la Ville de Montréal devra imiter New York, qui a éliminé les tarifs des parcomètres dans son centre-ville en 2005, «sans quoi de nouvelles habitudes vont se créer et le centre-ville va se vider».
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