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  1. Myriam Chauvot / Journaliste | Le 13/10 à 12:51, mis à jour le 14/10 à 06:48 Colas, la filiale routière de Bouygues, a conçu un revêtement pour routes et parkings avec des cellules photovoltaïques. En couvrir 2,5% des surfaces routières assurerait 10% des besoins énergétiques de la France. On connaissait l’autoroute du soleil, voici maintenant la route solaire. Ou plutôt la route (ou le parking) photovoltaïque, véritable centrale qui produira de l’électricité par la simple exposition de son revêtement au soleil. Colas, la filiale de travaux routiers du groupe Bouygues, a procédé ce mardi au lancement commercial de cette première mondiale, sous le nom de « Wattway ». En phase d’industrialisation, le revêtement composé de cellules photovoltaïques sera vendu à compter de janvier, au terme de cinq ans de recherche avec l’Institut national de l’énergie solaire (Ines). « Il n’y a pas besoin de refaire les infrastructures, explique le PDG de Colas, Hervé Le Bouc. Il s’agit d’un revêtement routier commercialisé sous forme de dalles qui s’appliquent sur les routes ou parkings ». Ces dalles* (comprenant chacune une cellule photovoltaïque classique de 15 centimètres de côté) sont collées à la route existante et recouvertes d’un substrat de résines supportant la circulation des véhicules, y compris les poids lourds. Un véritable millefeuille, étanche et conçu pour ne pas être plus abrasif ou glissant qu’un revêtement routier normal. « A Chambéry et Grenoble, on a testé Wattway avec succès sur un cycle d’un million de véhicules, soit vingt ans de trafic normal d’une route, et la surface ne bouge pas », assure Hervé Le Bouc. C’est un tour de force car, précise t-il, « les panneaux photovoltaïques, en tant que tels, sont fragiles et s’écraseraient comme des biscottes. Tout le savoir-faire de Colas, protégé par deux brevets, réside dans la nature du revêtement transparent qui les protège ». La zone équipée est reliée par une connectique souterraine à un système qui récupère l’énergie produite par l’exposition au soleil de ces panneaux. « Des onduleurs renvoient l’énergie sur le réseau ERDF. Ou alors les logements peuvent y être directement branchés », précise le PDG de Colas. Un kilomètre de route peut éclairer une ville de 5.000 habitants Les applications sont multiples : éclairage public, alimentation des affichages lumineux des abribus ou des feux rouges en zone urbaine, ou encore besoins des habitations en zones peu peuplées. Les dalles Wattway, dont le rendement énergétique est proche des panneaux photovoltaïques des fermes solaires, ont été testées avec succès par trois démonstrateurs, dont des entrées de parking, notamment. D’après les estimations de l’ADEME, 4 mètres linéaires de chaussée équipée (soit 20 m²) suffisent aux besoins d’un foyer en électricité (hors chauffage), 15 m2 alimentent les feux d’un carrefour et un kilomètre de route peut éclairer une ville de 5.000 habitants. Wattway peut aussi recharger les véhicules électriques par induction : 100 m2 fournit l’énergie pour rouler 100.000 kilomètres par an, selon l’INES. « Si on recouvrait un quart des routes, on assurerait l’indépendance énergétique de la France, souligne Hervé Le Bouc. En dotant 2,5% des surfaces d’un tel revêtement solaire, on couvrirait déjà 10% des besoins. Cela montre l’enjeu derrière ce projet ». Wattway va monter en puissance progressivement sur trois ou quatre ans. « Nous proposons dans un premier temps à des clients d’en équiper de petites surfaces : des parkings d’hypermarchés ou des tronçons de voies, par exemple sur une zone d’une centaine de m2, pour tester en conditions réelles le produit, ajoute-il. D’ici à quatre ans, en rythme de croisière, on pourra équiper des tronçons de plusieurs kilomètres». Visite de François Hollande Suite à la visite par François Hollande du troisième démonstrateur, fin août, « nous avons reçu des dizaines d’appels téléphoniques de collectivités locales, de gestionnaires de lignes de bus pour l’alimentation d’abribus, d’acteurs de la grande distribution pour leurs parkings, se félicite le PDG. Nous avons 1.000 agences commerciales dans 50 pays. D’ici fin juin nous aurons achevé la formation d’un commercial par agence. Nous allons commencer la commercialisation par nos 400 agences françaises, qui vendront Wattway à partir de janvier et nous n'aborderons les marchés étrangers, à commencer par l’Amérique du Nord, que dans un second temps. Mais des pays comme le Danemark, par exemple, ont aussi montré un intérêt fort ». Evidemment, reste la question du coût. « Nous serons au même prix qu’une ferme solaire, de manière à constituer une alternative à ce mode de production d’électricité photovoltaïque », explique t-il. Ensuite, tout dépend de la réglementation fixant le tarif réglementé de rachat de cette énergie verte, qui déterminera l’envie des clients de s’en équiper car ils opteront probablement pour la revente sur le réseau d’ERDF, plus rentable que l’auto-consommation. Mais, note Hervé Le Bouc, « dans l’immédiat, la motivation des clients est ailleurs. Elle réside dans l’image du produit, le fait de faire passer un message vert ». En savoir plus sur : Les Echos (avec vidéoreportage et diaporama)
  2. Verdissement - Agrandissement du parc Baldwin Date de début : 24 juillet 2012 Date de fin : 30 novembre 2012 Localisation : Marie-Anne Est, entre les rues Fullum et Chapleau Type d'entrave : Complète Description : Larrondissement du Plateau-Mont-Royal agrandit le parc Baldwin de 2415 m² en procédant à la fermeture permanente de la rue Marie-Anne Est, entre les rues Fullum et Chapleau. Ce projet permettra de relier les parties nord et sud du parc Baldwin. Par conséquent, la terrasse Guindon est maintenant un sens unique vers louest alors que les deux sens de circulation de la terrasse Mercure ont finalement été maintenus. De plus, les feux de circulation à l'intersection des rues Marie-Anne et Fullum ont été remplacés par des panneaux d'arrêt et on y construira une saillie de trottoir pour apaiser la circulation et sécuriser laccès au parc. De plus, en réponse aux préoccupations des résidants de la rue Chapleau qui craignaient une augmentation de la circulation dans leur rue, le conseil d'arrondissement a adopté à la séance extraordinaire du 19 juillet la mise à sens unique vers l'est de la rue Marie-Anne Est, entre les rues Chapleau et D'Iberville. Ce changement sera en vigueur deux semaines après la mise en place de panneaux à cet effet. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7297,79463572&_dad=portal&_schema=PORTAL
  3. http://plus.lapresse.ca/screens/7992de4d-86f0-4616-a516-01b02755de55%7C071LNV8SZNGj.html Envoyer par Courriel ACTUALITÉS FINIE LA PUBLICITÉ AUTOUR DES PONTS JACQUES-CARTIER ET CHAMPLAIN BRUNO BISSON LA PRESSE La vue offerte aux automobilistes sur les berges du fleuve Saint-Laurent va s’embellir, au cours des prochains mois, avec la disparition des 29 immenses panneaux publicitaires bordant le pont Jacques-Cartier, l’autoroute Bonaventure et l’ensemble du corridor fédéral du pont Champlain. La société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain (PJCCI), qui gère les infrastructures fédérales de transport dans la grande région de Montréal, a décidé de ne pas renouveler son contrat d’affichage de 15 ans avec la firme CBS Affichage (aujourd’hui Outfront Media) et de faire démanteler ces « super-panneaux » qui gâchent la vue, qui enfreignent la loi québécoise sur la publicité le long des routes, et dont la présence devenait de plus en plus encombrante pour les chantiers routiers. Ces panneaux rapportaient chaque mois plus de 280 000 $ à la société fédérale, selon la directrice des communications de PJCCI, Julie Paquet. Lorsque le contrat de 15 ans a expiré, le 31 mai dernier, la société a envisagé de lancer un appel d’offres, mais a estimé que le jeu n’en valait pas la chandelle, et ce, pour diverses raisons. La majorité des revenus publicitaires de ces panneaux provenait des 17 panneaux du corridor du pont Champlain qui rapportaient environ 200 000 $ par mois, selon Mme Paquet. Or la propriété de ce corridor fédéral a été récemment transférée à Infrastructure Canada, en vue de la construction du nouveau pont Champlain. Les 12 autres panneaux situés en bordure du pont Jacques-Cartier et de l’autoroute Bonaventure rapportaient quant à eux 83 771 $ par mois, lorsque le contrat a expiré, dit Mme Paquet. PANNEAUX DÉMOLIS Toutefois, en raison des importants chantiers de réfection déjà en cours, et qui vont durer plusieurs années, la présence des imposantes structures de soutien de ces panneaux posait de plus en plus souvent des problèmes. Enfin, souligne Mme Paquet, ces panneaux ne respectaient pas la Loi québécoise sur la publicité le long des routes, qui exige qu’ils soient situés à au moins 300 mètres du pont – ce qui est loin d’être le cas des deux côtés du pont Jacques-Cartier. Le 1er juin, toutes les publicités devaient être retirées des panneaux publicitaires du pont et de l’autoroute Bonaventure. Ils devront rester blancs jusqu’à leur démantèlement et à la démolition des structures de support, prévus d’ici un maximum de trois mois. sent via Tapatalk
  4. Votre opinion la dessus ? Est-ce qu'enlever les panneaux publicitaire rend la ville plus humaine ? Source: Ville de Montréal Retrait des panneaux-réclames sur Le Plateau Mont-Royal - Une première canadienne qui devrait être imitée Montréal, le 7 septembre 2010 - Les élus du Plateau-Mont-Royal seront appelés à voter ce soir une résolution visant l'enlèvement des enseignes publicitaires sur l'ensemble du territoire de l'arrondissement. « Nous voulons construire une ville à échelle humaine et cette décision nous permettra d'améliorer la qualité de vie de nos citoyens sans avoir d'incidence significative sur les revenus de la Ville », a déclaré le maire du Plateau-Mont-Royal, Luc Ferrandez. En effet, les 45 panneaux publicitaires géants sur Le Plateau ne rapportent que 40 000 $ par année en taxes à la Ville, ce qui est une somme risible en contrepartie des impacts de ces panneaux sur le territoire. Des peanuts « Chaque panneau rapporte moins de 1000 $ par année en taxes à la Ville centre. C'est des peanuts par rapport à l'importance qu'ils ont dans nos vies de tous les jours et par rapport aux profits que réalisent ces grandes entreprises », a dénoncé Alex Norris, conseiller du Mile End et responsable du dossier. « Les principaux bénéficiaires de cet arrangement sont une poignée de puissantes entreprises publicitaires. Les perdants, ce sont les citoyens qui doivent regarder ces laideurs au quotidien. C'est un très mauvais deal pour les Montréalais », a-t-il poursuivi. Advenant l'adoption du règlement, les 45 panneaux publicitaires sur le territoire du Plateau-Mont-Royal devront être démantelés, aux frais des exploitants, au cours des 12 mois suivant son entrée en vigueur, prévue pour novembre prochain. Embellissement du Plateau Mont-Royal « Nous avons toujours souhaité réduire la pollution visuelle; c'est un engagement que nous avons pris et nous allons le réaliser, a affirmé Richard Bergeron, conseiller de Jeanne-Mance et chef de la 2e opposition. Si nous voulons embellir notre ville, nous devons retirer les laideurs qui nous entourent et les panneaux publicitaires en font partie ». Le retrait des enseignes publicitaires permettra de réduire les nuisances visuelles dans l'arrondissement reliées à leur grande superficie, leur luminosité et l'encombrement du paysage urbain. « Avec cette décision, nous améliorerons les entrées et les sorties de notre arrondissement », a indiqué Richard Bergeron. Un défi aux autres arrondissements et aux autres villes Le Vermont, le Maine, Hawaï et l'Alaska ont banni depuis plusieurs années les affiches publicitaires. C'est le cas aussi de la ville de São Paulo, au Brésil, la septième plus grande ville du monde et la capitale commerciale de l'Amérique du Sud. Les avantages du retrait des panneaux-réclames sont nombreux : mise en valeur du patrimoine naturel et architectural, maintien du rythme du paysage urbain et rétablissement du prestige de certaines grandes avenues montréalaises, comme du Parc et Papineau. La Loi sur l'aménagement et l'urbanisme permet aux arrondissements et aux villes de retirer les panneaux publicitaires. « Nos recherches nous indiquent qu'aucune ville canadienne et aucun arrondissement montréalais n'ont encore agi de façon aussi complète pour bannir et faire enlever les panneaux-réclames de leur territoire. Je leur lance un défi aujourd'hui : imitez-nous et faisons de Montréal une ville sans panneaux-réclames », a conclu Alex Norris, fier d'améliorer la beauté du Plateau-Mont-Royal.
  5. Depuis 2011, beaucoup de panneaux de verres de fenêtres et balcons sont tombés à Toronto. Ce qui est le plus choquant, c'est la réaction du bonhomme à la fin de l'article. David House dit que c'est normal, que les techniques de bâtiment sont du "jetable", que ça se vend, le problême c'est que ça va coûter cher à réparer dans le temps. Duh. http://www.torontosun.com/2013/09/28/toronto-high-rise-hazards-of-falling-glass
  6. J'ai besoin de vos connaissances de Montréal. J'aimerais savoir s'il est légal à Montréal de faire l'installation de Panneaux photovoltaïques (solaire) ? Je lis à différent endroit que certain arrondissements l'acceptent, d'autres non, mais les sites des arrondissements n'en parlent pas énormément. Est-ce que vous connaissez des installations résidentielles sur de nouvelles tours ou de nouveaux condos ? N'importe quel info pourrait aider, j'ai fais des recherches Google mais l'information est quand même mince. Hydro Québec n'offre pas de subvention mais offre beaucoup d'information sur la légalité et la participation à la grille électrique. Je lis à plusieurs endroit que le Québec est quand même assez avancé sur la technologie et son intégration architecturale, mais offre quand même peux d'information sur les règles d'installation. Merci Mtlurb
  7. Ras-le-bol publicitaire - De plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer l'envahisseur Jeanne Corriveau 1 juin 2011 Actualités en société Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir Des militants du collectif Artung! remplaçant une affiche publicitaire par un dessin, hier, avenue du Parc, à Montréal. Elle est partout: en bordure d'autoroute, sur les toits des immeubles, sur les autobus, sur les Bixi et même dans les toilettes de bars. La publicité est tellement omniprésente dans l'espace public que des voix de plus en plus nombreuses s'élèvent pour dénoncer l'envahisseur. L'Alliance pour la valorisation des paysages au Québec qui vient de naître réclame des autorités municipales et gouvernementales qu'elles freinent la prolifération des panneaux publicitaires dans le paysage québécois. Quand un message publicitaire à la radio nous importune, il suffit de changer de poste pour ne plus l'entendre. Mais quand un panneau publicitaire en bordure d'autoroute nous déplaît, impossible de l'esquiver. C'est là le noeud du problème, estiment les membres de la nouvelle Alliance qui regroupe 17 organisations municipales et professionnelles dont Paysages estriens, l'Union des producteurs agricoles-Estrie, l'Association des architectes paysagistes et Héritage Montréal. «Le paysage, c'est notre fonds de commerce et notre survie sur le plan touristique. C'est avec nos paysages qu'on attire les gens, explique Maurice Bernier, préfet de la MRC du Granit en Estrie. Les gens de Montréal qui veulent admirer des panneaux n'ont qu'à se promener sur le boulevard Taschereau. Mais s'ils veulent admirer la nature, il leur faut venir dans notre coin de pays.» Or, rares sont les coins de pays au Québec qui sont épargnés par la publicité. À titre d'exemple, il y aurait plus de 230 panneaux publicitaires de part et d'autre de l'autoroute 20 entre Montréal et Québec, selon un décompte réalisé en 2003. «On n'est pas contre l'affichage. Que le commerce s'affiche devant sa boutique, ça va. Mais que les entreprises utilisent les routes pour nous harceler avec la publicité, on dit que c'est assez», a indiqué Jacques Robidas, président de Paysages estriens. L'Alliance souhaite sensibiliser les municipalités et le gouvernement à ce problème, mais elle entend aussi profiter de la révision des lois québécoises sur l'affichage pour faire entendre son point de vue. L'exemple du Vermont Ailleurs dans le monde, plusieurs villes et États américains ont banni l'affichage extérieur. C'est le cas du Vermont, qui a légiféré en 1969 et qui aurait vu ses revenus touristiques bondir par la suite. «Est-ce que les paysages du Vermont sont plus beaux que les nôtres? Nous sommes convaincus que non, dit le conseiller municipal du Plateau-Mont-Royal Alex Norris. La différence, c'est que les autorités au Vermont [...] ont fait preuve de fermeté et de volonté politique pour protéger ce qui est un atout pour tout le monde plutôt que de céder aux pressions d'une poignée d'entreprises publicitaires.» L'industrie de l'affichage a fait valoir que ce sont les municipalités et le ministère des Transports qui autorisent l'affichage. «Notre industrie agit de façon très légale avec des permis en bonne et due forme», précise Jeannot Lefebvre, porte-parole du Regroupement de l'industrie de l'affichage extérieur au Québec, qui représente Astral Média, CBS Affichage et Jim Pattison Industries. «On n'ira pas s'installer devant un monument patrimonial de l'UNESCO. On est capables d'avoir un peu de jugement. Mais qu'est-ce qui est acceptable pour l'un et ne l'est pas pour l'autre? [...] Ce sera toujours difficile de plaire à tout le monde.» Même si elle est ouverte à certains compromis, l'industrie n'entend pas se laisser rayer du paysage. Le Regroupement a d'ailleurs l'intention de s'adresser bientôt à la Cour supérieure pour faire déclarer nul le règlement sur l'affichage adopté l'an dernier par l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal et qui les forcera à démanteler leurs panneaux géants d'ici la fin de l'année. M. Lefebvre affirme que la loi protège les droits acquis des entreprises d'affichage. «Le droit acquis à la pollution, ça n'existe pas. Il s'agit ici de pollution visuelle. C'est indéfendable devant un juge», réplique l'Alliance. Commandos antipub L'omniprésence de la publicité a également donné lieu hier matin à un geste d'éclat à Montréal lorsque des militants du collectif Artung! se sont déployés dans les rues de la métropole pour remplacer clandestinement les publicités sur les colonnes Morris par des oeuvres artistiques. Les commandos sont entrés en action vers 8h dans Villeray pour se disperser dans le Plateau et dans Rosemont-La Petite-Patrie pour apposer 200 affiches de création originale afin de remplacer les affiches publicitaires présentes. Artung! a été créé pour répliquer aux compagnies d'affichage qui contestent le règlement adopté par le Plateau. «De notre point de vue, ce n'est pas juste les immenses panneaux qui devraient disparaître, mais tout l'affichage publicitaire dans l'espace public», a expliqué Pascale Brunet, porte-parole d'Artung! Les structures d'affichage n'ont pas été abîmées, a insisté Mme Brunet, qui a qualifié d'«action directe légitime» l'opération d'Artung!. Les afficheurs ne sont pas du même avis. «C'est du vandalisme. Enlever une publicité qui a été payée, c'est comme barbouiller une pancarte électorale, estime Jeannot Lefebvre. Ce n'est pas une bonne façon, en démocratie, de se faire entendre et de se faire voir.» Astral, qui détient les droits d'affichage pour les colonnes Morris, a dépêché des équipes, hier après-midi, pour remettre les publicités de ses clients. Artung! souhaite que son geste d'éclat et son site Internet (http://www.cecinestpasunepub.net) inspireront d'autres citoyens et les amèneront à réfléchir sur la place de la publicité dans l'espace public. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/324522/ras-le-bol-publicitaire-de-plus-en-plus-de-voix-s-elevent-pour-denoncer-l-envahisseur
  8. Limite à 40 km/h: les premiers panneaux installés en octobre Catherine Handfield La Presse Publié le 15 septembre 2009 à 18h27 | Mis à jour le 15 septembre 2009 à 18h34 L'implantation de la limite de vitesse de 40 km/h dans les rues résidentielles locales de Montréal débutera en octobre. Le projet sera d'abord testé dans cinq arrondissements: Pierrefonds-Roxboro, Saint-Laurent, Lachine et Rosemont-La Petite-Patrie, de même que dans deux secteurs de Ville-Marie. Le règlement sera soumis à la fin du mois de septembre aux conseils des arrondissements ciblés. Les panneaux y seront posés graduellement entre la fin d'octobre et le début de janvier, a indiqué André Lavallée, responsable du transport au comité exécutif de la Ville de Montréal. «Nous avons décidé de commencer avec ces cinq arrondissements parce qu'ils possèdent des caractéristiques qui vont nous permettre de rencontrer toutes les situations possibles à Montréal», a expliqué M. Lavallée. L'implantation sera par la suite complétée dans l'ensemble de la Ville de Montréal. D'ici la fin de 2010, la limite de vitesse sera abaissée de 50 à 40 km/h dans toutes les rues résidentielles locales de Montréal, prévoit André Lavallée. Le projet est lancé avec quelques semaines de retard sur l'échéancier annoncé cet été par M. Lavallée. En juillet, il avait indiqué que les premiers panneaux seraient posés «d'ici la fin de l'été». «La seule chose qui est en cause, c'est le temps nécessaire pour préparer le règlement, a expliqué M. Lavallée. Je m'attendais à ce que ça me soit présenté plus tôt. En fait, j'ai toujours eu l'objectif que ce soit déjà fait depuis deux ans...» La demande initiale de la Ville avait été déposée à l'automne 2006 en commission parlementaire. L'administration du maire Gérald Tremblay souhaitait alors que la limite de 40 km/h devienne la vitesse «par défaut» dans l'ensemble des rues résidentielles. Le ministère des Transports n'a pas donné suite à cette demande en raison de diverses considérations techniques. La solution de la signalisation par secteur a finalement été retenue. On trouvera des panneaux à l'entrée des secteurs où la limite de 40 km/h sera en vigueur. «L'affichage va être clair et je m'attends à ce que la réglementation soit respectée», a dit André Lavallée, précisant qu'une campagne de communication sera déployée pour informer les citoyens. Le budget est d'environ 2,75 millions. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200909/15/01-902092-limite-a-40-kmh-les-premiers-panneaux-installes-en-octobre.php
  9. Une entreprise norvégienne investira 600 millions de dollars dans l'ancienne papetière d'UPM Kymmene à Miramichi. Elle compte employer plus de 300 personnes d'ici trois ans afin de fabriquer des pièces de panneaux solaires. Pour en lire plus...
  10. Source: Cyberpresse Nouvelle signalisation dans le Vieux-Montréal Une nouvelle signalisation sera installée dans le Vieux-Montréal à l'intention des automobilistes. Plus de 80 panneaux d'affichage électronique seront progressivement installés pour faciliter le stationnement dans ce quartier très achalandé de la métropole.Ces panneaux indiqueront en temps réel le nombre de places disponibles ainsi que l'itinéraire pour s'y rendre. André Lavallée, qui est responsable de l'aménagement urbain à la Ville, estime que ce nouveau système permettra d'améliorer la qualité de vie des résidants tout en aidant les visiteurs à trouver une place de stationnement. Ce système de «jalonnement dynamique» est inspiré d'une technologie très utilisée en Europe, coûtera 1,5 million $ et sera pleinement opérationnel d'ici avril prochain.
  11. L'entreprise ontarienne renonce à l'idée d'installer une usine de fabrication de composantes de panneaux solaires dans l'ancienne usine Magnola. Pour en lire plus...
  12. Québec annonce qu'il aidera l'entreprise Xunlight à implanter une usine d'assemblage de panneaux solaires à Sainte-Anne-des-Monts, en Haute-Gaspésie. Pour en lire plus...
  13. L'entreprise de panneaux d'affichage publicitaire intérieur de Montréal, achète le grand concurrent américain ClubCom, de Pittsburgh, et devient le troisième acteur mondial de son secteur. Pour en lire plus...
  14. Le maire de Chambord a l'intention de mettre en place rapidement un comité de relance à la suite de la confirmation jeudi de la fermeture de l'usine Panneaux Chambord du Saguenay-Lac-Saint-Jean dès le mois d'octobre, une décision qui touchera 120 travailleurs. Pour en lire plus...
  15. L'usine fermera ses portes pour une période indéterminée, une décision qui touchera 120 travailleurs. Pour en lire plus...
  16. Le fabricant norvégien de panneaux solaires Renewable Energy Corporation implantera une nouvelle usine de production de silicium polycristallin dans la région. Pour en lire plus...
  17. L'entreprise ICP Solar capture depuis 20 ans les rayons du soleil... et les occasions d'affaires. La PME québécoise rayonne dans le monde en exportant des panneaux solaires destinés au grand public et à l'industrie automobile. Pour en lire plus...
  18. Le maire de Saguenay, Jean Tremblay, et le conseiller municipal Serge Simard s'opposent fermement à la démolition de l'usine de panneaux MDF de La Baie. Pour en lire plus...
  19. Le producteur de panneaux de bois Norbord a vu ses pertes augmenter et ses ventes diminuer au cours du deuxième trimestre. Pour en lire plus...
  20. le mardi 6 novembre 2007 En hommage au courage des anciens combattants, le gouvernement du Québec change le nom de l'autoroute 20, entre Rivière-Beaudette et Montréal, pour l'« Autoroute du Souvenir ». Le premier ministre du Québec, Jean Charest, en compagnie de la ministre des Transports, Julie Boulet, ont annoncé la modification du nom de l'autoroute, mardi à Sainte-Anne-de-Bellevue. Le tronçon choisi est symbolique - entre Rivière-Beaudette et l'échangeur Turcot - puisque l'hôpital des anciens combattants se trouve à Sainte-Anne-de-Bellevue sur cette portion de l'autoroute. Les panneaux de signalisation de l'Autoroute du Souvenir sont ornés du coquelicot, le symbole du Souvenir, pour rappeler aux automobilistes qui l'empruntent le sacrifice des soldats qui ont participé aux différents conflits et missions de paix du Canada. Le gouvernement a ainsi procédé à ce changement de nom à la demande de la direction québécoise de la Légion royale canadienne. La Commission de toponymie du Québec a entériné l'appellation de l'Autoroute du Souvenir.
  21. le mardi 14 août 2007 Les automobilistes pourront tourner à droite à de plus en plus d'endroits aux feux rouges à Laval. Le conseil municipal de la ville a décidé de retirer plus de la moitié de ses 227 panneaux d'interdiction de virage à droite sur feu rouge. Installés en avril 2003 lors de la légalisation du virage à droite sur les feux rouges, les panneaux maintenaient l'interdiction en plusieurs endroits par mesure préventive. L'usage à toutefois eu raison de la prudence de la ville qui retirera 120 de ces panneaux. La Ville de Longueuil, sur la Rive-Sud, a retiré une trentaine de ses panneaux d'interdiction il y a deux ans. Elle réévaluera la situation l'an prochain, elle dont le territoire compte 298 intersections où le virage à droite est toujours prohibé.
  22. MONTREAL, le 7 août / - Du 6 au 8 août, Tourisme Montréal invite les New-Yorkais à découvrir Montréal grâce à un tout nouveau "cube interactif" installé dans le hall Vanderbilt de Grand Central Station à New York. Plusieurs milliers de personnes parmi les quelque 700 000 usagers quotidiens de la gare auront droit à une visite virtuelle de Montréal leur donnant un aperçu du charme européen et de la vitalité qui font sa réputation. L'évènement a été mis sur pied dans le cadre de la campagne annuelle de Tourisme Montréal dans le marché américain du tourisme d'agrément destinée à inciter les résidants de la région new-yorkaise à traverser la frontière. Le concept du cube, dérivé interactif du nouveau site Web "Find Your Montréal" de Tourisme Montréal, invite les visiteurs à découvrir des images, des sons et des ambiances de Montréal regroupés en six thèmes : la cuisine, l'architecture, les boutiques, la vie nocturne, la scène culturelle, les festivals et le plein air. Une fois à l'intérieur de cet immense cube de 24 pi sur 24, les visiteurs peuvent voir et entendre Montréal - virtuellement, sinon littéralement, la vivre - en activant avec les pieds les panneaux interactifs du sol déclenchant des témoignages audiovisuels de Montréalais à propos des multiples facettes et attraits de leur ville. Le site comprend aussi une rangée de colonnes d'information colorées menant au cube afin de piquer la curiosité des usagers en soulignant le cachet unique de Montréal. L'expérience multisensorielle repose sur des écrans intérieurs géants disposés tout autour des écrans interactifs au sol. Cet événement de promotion à New-York est présenté en collaboration avec Air Canada, la Commission canadienne du tourisme et Tourisme Québec. Plus de 50 médias new-yorkais et nationaux ainsi qu'une douzaine de voyagistes ont accepté l'invitation de Tourisme Montréal à un cocktail spécial dans le hall Vanderbilt le mardi 7 août, ce qui leur a permettra de se familiariser à loisir avec le cube tout en appréciant la musique live d'un groupe de jazz montréalais. L'équipe de Tourisme Montréal a aussi été reçue à l'émission Early Show de CBS, qui touche près de trois millions de téléspectateurs par semaine. En mettant ainsi à profit certaines des technologies les plus avant-gardistes disponibles, Tourisme Montréal prouve une nouvelle fois qu'elle est à la pointe de l'innovation dans son domaine et profite des nouvelles technologies comme médium nous permettant de mieux faire vivre l'expérience Montréal. En plus du cube et du site Web associé, la campagne promotionnelle new-yorkaise de Tourisme Montréal comprenait des affiches dans les trains de banlieue, des annonces dans The New York Times, de l'affichage sauvage dans les rues, des panneaux rétroéclairés dans des cabines téléphoniques et une série de messages audio à télécharger (baladodiffusion) portant sur les évènements faisant l'actualité montréalaise. Tourisme Montréal a aussi organisé un tirage qui a permis à trois usagers de la gare de gagner un séjour à Montréal, un prix offert en partenariat avec Air Canada et le Casino de Montréal. De son côté, la Commission canadienne du tourisme a diffusé de l'information sur la grande variété d'attraits et d'expériences que le Canada offre à ses visiteurs. Tourisme Montréal est l'organisme responsable d'assumer le leadership de l'effort concerté de promotion et d'accueil pour le positionnement de la destination "Montréal" sur les marchés des voyages d'agrément et d'affaires et d'orienter le développement du produit touristique montréalais sur la base de l'évolution constante des marchés
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