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  1. La pétrolière française Total prédit que la situation géopolitique va limiter la production plus tôt que prévu. Pour en lire plus...
  2. http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/432936/fronde-municipale-contre-le-projet-energie-est Fronde municipale contre le projet Énergie Est Au moins 75 villes ont manifesté leur inquiétude au sujet du pipeline de la pétrolière TransCanada 26 février 2015 |Alexandre Shields | Actualités sur l'environnement Le pipeline doit passer par la réserve naturelle des battures de Saint-Augustin-de-Desmaures, une zone abritant une biodiversité unique au monde. Photo: FQPPN Le pipeline doit passer par la réserve naturelle des battures de Saint-Augustin-de-Desmaures, une zone abritant une biodiversité unique au monde. La Ville de Mascouche vient d’adopter une résolution afin de signifier son opposition au passage du pipeline de TransCanada sur son territoire. Elle n’est d’ailleurs pas la seule. Selon une recension non exhaustive du Devoir, des municipalités régionales de comté (MRC) représentant au moins 75 municipalités rejettent le projet Énergie Est ou exigent une évaluation environnementale du Québec. Le maire de Mascouche, Guillaume Tremblay, ne mâche pas ses mots quand vient le temps d’exprimer la position du conseil municipal de la Ville. « On ne veut pas de ce projet chez nous. C’est clair », lance-t-il en entrevue, au lendemain de l’adoption de la résolution d’opposition à Énergie Est. Pour lui, plusieurs éléments militent en faveur d’un rejet pur et simple du pipeline que la pétrolière souhaite faire passer sur le territoire de la municipalité située au nord-est de Montréal. M. Tremblay se dit notamment inquiet pour la protection de puits artésiens de nombreux citoyens, mais aussi pour la protection de milieux naturels. Qui plus est, souligne-t-il, les documents déposés à l’Office national de l’énergie indiquent qu’une station de pompage serait construite à Mascouche. Près de celle-ci, TransCanada ajouterait même un embranchement auquel serait raccordé un pipeline secondaire devant permettre de transporter du brut jusqu’à Montréal. Surtout, le maire redoute les impacts d’un éventuel déversement qui surviendrait sur des terres agricoles. Or, ces dernières ne constituent pas moins de 75 % du territoire de Mascouche. « Le secteur est un moteur économique essentiel à Mascouche. On veut donc s’assurer de le protéger. » En revanche, affirme-t-il, « on ne voit pas quelles pourraient être les retombées économiques » liées au pipeline de TransCanada. La Ville a certes eu des contacts avec l’entreprise albertaine, mais ceux-ci n’ont pas rassuré le maire. « La dernière fois qu’ils nous ont parlé, ils nous ont demandé de signer des ententes de confidentialité. Mais moi, je suis un élu, je ne commencerai pas à cacher de l’information. L’objectif, c’est d’être transparent dans ce dossier. » La Ville compte d’ailleurs demander à l’Office national de l’énergie le droit de participer aux audiences publiques sur le projet. Une lettre comportant une série de questions a aussi été envoyée à TransCanada en décembre. La réponse est parvenue à Mascouche le lendemain de l’adoption de la résolution d’opposition au projet, soit mardi. « Les réponses ne répondent absolument pas aux interrogations légitimes de notre population », estime toutefois le maire Tremblay. Vive opposition Mascouche n’est pas seule à manifester des inquiétudes par rapport au projet de pipeline, qui fera passer chaque jour 1,1 million de barils de pétrole des sables bitumineux sur le territoire de dizaines de municipalités du Québec. Plus tôt ce mois-ci, la MRC d’Autray, dans Lanaudière, a pris position « catégoriquement et énergiquement » contre le projet de transport de brut. La décision, qui concerne 15 municipalités, s’appuie sur les résultats de la première étude indépendante réalisée au Québec concernant les risques associés aux déversements. Selon cette étude, une fuite représentant moins de 1,5 % du pétrole transporté quotidiennement serait difficile à détecter. Or, ce taux équivaut à 2,5 millions de litres, ou 15 000 barils. La MRC de L’Islet, située dans le Bas-Saint-Laurent, a elle aussi signifié son refus de voir le pipeline passer sur son territoire, comme le prévoit le tracé présenté par TransCanada dans les documents déposés à l’Office national de l’énergie. Un total de sept autres municipalités ont formulé individuellement le même type de rejet définitif, dont Saint-Augustin-de-Desmaures. Or, ce secteur est particulièrement névralgique pour la réalisation d’Énergie Est. C’est en effet à cet endroit que le pipeline d’un mètre de diamètre doit traverser le fleuve Saint-Laurent. Le lieu de passage choisi se situe en plein coeur de la réserve naturelle des battures de Saint-Augustin-de-Desmaures, une zone abritant une biodiversité unique au monde et bénéficiant d’une protection reconnue par le gouvernement. Les craintes concernant la protection de l’eau potable, des terres agricoles et de divers milieux naturels sont aussi au coeur des motifs invoqués par les trois MRC qui exigent la tenue d’une étude placée sous l’égide du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE). Les MRC D’Argenteuil, de Portneuf et de Kamouraska représentent un total de 45 municipalités dans trois régions du Québec. Une dizaine d’autres municipalités se disent simplement inquiètes de la réalisation de ce projet de pipeline, le plus important en développement en Amérique du Nord. D’autres, qui ne sont pas touchées par le tracé désigné par TransCanada, ont manifesté leur appui aux municipalités qui s’opposent aux visées de la pétrolière. Pour le moment, aucune évaluation environnementale n’a été annoncée par le gouvernement Couillard, même si celle-ci est promise depuis mai 2014. Selon les dernières informations disponibles, TransCanada n’aurait toujours pas déposé son « avis de projet » auprès de Québec. Cela a pour effet de bloquer tout le processus d’étude environnementale, à quelques mois seulement des audiences fédérales sur Énergie Est. Selon la pétrolière, le dernier mot dans ce dossier appartient à Ottawa.
  3. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/423699/perspectives-seul-avec-son-petrole PERSPECTIVES Seul avec son pétrole 13 novembre 2014 |Gérard Bérubé | Actualités économiques Le gouvernement fédéral est rattrapé par son obsession pétrolière. Il doit aujourd’hui composer avec une chute importante des cours et un accord sino-américain sur le climat l’isolant dans son aveuglement bitumineux. La mise à jour économique faite mercredi par le ministre des Finances Joe Oliver ramène à l’avant-scène ce déséquilibre fiscal avec des provinces qui, comme c’est le cas au Québec, peinent à dénicher les revenus salvateurs. Elle réveille également cette blessure, issue du « mal hollandais », ayant longtemps imposé aux provinces manufacturières le lourd tribut au développement des sables bitumineux dans l’Ouest. Pourtant, ils étaient nombreux et incessants ces appels dirigés au gouvernement Harper l’exhortant à tenir compte des « risques bitumineux » dans ses choix politiques. L’industrie pétrolière et gazière étant de nature spéculative et les cours, hautement volatils, le gouvernement fédéral a été plus d’une fois convié à bien mesurer l’ampleur des distorsions et la précarité d’une ruée des cours de l’or noir pouvant rapidement se transformer en bulle pétrolière. Au sommet d’avant la récession à 147,50 $US le baril, la coûteuse exploitation des sables bitumineux était financièrement rentable. À 95 $US, soit le cours d’équilibre retenu dans les divers scénarios, l’exploitation du pétrole de l’Ouest pouvait se poursuivre, mais au prix d’un contrôle rigoureux des coûts. Le cours de référence se situe désormais à 77 $US, son plus bas en trois ans. Il faut le rappeler. Nous sommes passés d’une pénurie appréhendée à un choc de l’offre en l’espace de six ans. Si la prophétie du « peak » hantait le marché pétrolier en 2007, les grandes agences ont annoncé que la grande révolution énergétique devient celle du schiste. Avec, aux premières loges, les États-Unis se hissant au premier rang des producteurs mondiaux. Les hydrocarbures non conventionnels ont littéralement changé la donne. Illusion bitumineuse Dans sa mise à jour économique, le ministre fédéral des Finances nous confirme donc que le gouvernement fédéral est revenu à l’ère des surplus budgétaires. Mais quant aux externalités de l’illusion bitumineuse… On le sait, le redressement des finances publiques fédérales s’est fait largement sur le dos des provinces. Réforme de l’assurance-emploi et de la Sécurité de la vieillesse, plafonnement des transferts en santé et en péréquation, et incursion dans le programme de formation de la main-d’oeuvre ont été autant d’initiatives ayant contribué au retour du déséquilibre fiscal. On oublie toutefois que s’ajoute ce clivage Est-Ouest, manufacturiers contre pétrolières, sans autre compensation, adoucisseur ou mécanisme de redistribution de la rente pétrolière, grossi par la fièvre fédérale des sables bitumineux. Le syndrome hollandais a été bien présent. Ce lien entre la flambée des cours pétroliers, la hausse du dollar canadien et le déclin du secteur manufacturier fut démontré dans nombre d’études. Selon l’opposition néodémocrate, près de 500 000 emplois manufacturiers, concentrés essentiellement dans les provinces de l’Ontario et du Québec, auraient été sacrifiés sur l’autel du boom pétrolier dans l’Ouest ayant poussé le dollar canadien à sa parité avec le dollar américain. Or cela, c’est du passé. Aujourd’hui, le gouvernement Harper est invité à sortir de son engouement pétrolier aveugle. La manne n’est plus ce qu’elle était, les revenus du fédéral étant désormais amputés par la chute des cours pétroliers. Il n’a également plus l’excuse de l’inaction des autres grands pollueurs de la planète. Les engagements de la Chine et des États-Unis à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre imposent un nouveau leadership mondial dans la lutte contre le réchauffement climatique. Certes, cet accord est surtout politique et les cibles retenues se veulent minimalistes. Mais s’y greffent les engagements récents de l’Europe. Les projecteurs sont désormais braqués sur des pays qui, comme le Canada — qualifié de plus grand émetteur de GES par habitant parmi les pays industrialisés —, ratent systématiquement leur cible. Le gouvernement fédéral peut toutefois se consoler. Le Conference Board a prédit que l’intensification de l’activité économique américaine et la dépréciation du huard appellent le secteur manufacturier à redevenir le principal moteur de la croissance de l’économie canadienne.
  4. Mondev (David Owen ) doit être rendu à au moins 11 projets de condos en cours VENTES IMMOBILIÈRES COMMERCIALES Lot vacant 1566422, boul. de Maisonneuve est, Montréal 6727689 Canada inc. (investissement immobilier), 8300 boul. Pie-IX, Montréal, H1Z 4E8; David Owen, prés. Imperial Oil ltd / Compagnie Pétrolière Impériale ltée, 7100 Jean-Talon est, Anjou, H1M 3R8; Richard A. Mirota Jacques Dorais, Montréal 15555707 Montant enr.: 925 000 $ Acquéreur Adresse Vendeur Notaire No d'enr. Bureau enr. Montréal Date 2008-09-04
  5. Le géant pétrolier français réalise un profit de près de 23 milliards de dollars en 2008, soit le plus important bénéfice jamais réalisé par une société française. Pour en lire plus...
  6. Lockerbie Hole d'Edmonton, qui a annoncé récemment la perte d'importants contrats dans le secteur pétrolier, est vendue au géant Aecon de Toronto pour 220millions de dollars. Pour en lire plus...
  7. La pétrolière reporte d'au moins un an son projet d'exploration du bassin Orphan, au large de Terre-Neuve. Elle explique sa décision par des coûts plus élevés que prévu. Pour en lire plus...
  8. Les cours du pétrole baissaient pour une cinquième séance consécutive mardi matin avec un marché inquiet de l'état de la demande pétrolière et du niveau très élevé des stocks. Pour en lire plus...
  9. La pétrolière albertaine investira 2 milliards de moins en 2009, en raison de l'incertitude qui caractérise les marchés financier et pétrolier. Pour en lire plus...
  10. La demande mondiale d'or noir devrait reculer cette année pour la première fois depuis 25 ans, projette jeudi l'Agence internationale de l'Énergie. Pour en lire plus...
  11. L'action de la pétrolière de Calgary grimpait de 33%, mardi, à la Bourse de Toronto, dans un important volume d'échanges. Pour en lire plus...
  12. La demande mondiale de pétrole devrait se contracter en 2008, estime le cabinet CGES, pour qui dorénavant l'évolution des prix dépendra de la capacité concrète de l'OPEP à baisser son offre. Pour en lire plus...
  13. La chute brutale des prix de l'énergie ne menace pas la viabilité des projets d'exploitation gazière et pétrolière de Junex au Québec, ont assuré jeudi les dirigeants de l'entreprise. Pour en lire plus...
  14. La Russie pourrait connaître en 2008, pour la première fois depuis une décennie, une diminution de sa production pétrolière, a annoncé jeudi un responsable du gouvernement russe. Pour en lire plus...
  15. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole a fortement révisé à la baisse mercredi ses prévisions de hausse de la demande de brut en 2008. Pour en lire plus...
  16. La compagnie junior d'exploration pétrolière et gazière a notamment entrepris le forage d'un puits à Bécancour il y a un peu plus de deux semaines. Pour en lire plus...
  17. Quand on parle de découvrir du pétrole au Québec, il y a beaucoup de sceptiques. Mais chez Pétrolia, une «junior» québécoise d’exploration pétrolière et gazière, on est optimiste. Pour en lire plus...
  18. Les industries d'extraction minière, pétrolière et gazière, ainsi que le secteur de la construction, ont été principalement à l'origine du repli. Pour en lire plus...
  19. La baisse continue des cours du pétrole depuis la mi-juillet tire l'indice boursier canadien vers le bas. Pendant ce temps, les pays membres de l'OPEP annoncent une réduction de la production pétrolière. Pour en lire plus...
  20. Le marché pétrolier restait prudent lundi, malgré l'arrêt de la quasi totalité de la production pétrolière dans le Golfe du Mexique en prévision du passage de l'ouragan Gustav qui frappait lundi matin les côtes américaines. Pour en lire plus...
  21. Cette raffinerie contient quelque 450 000 barils de pétrole brut. La pétrolière affirme surveiller de près la situation, qui est pour l'instant limitée à un seul réservoir. Pour en lire plus...
  22. L'Irak reprend vendredi l'exploration de ses immenses réserves de pétrole après environ 20 ans d'interruption causée par l'embargo de l'ONU. Pour en lire plus...
  23. L'entreprise rimouskoise Petrolia vient de conclure une entente de 20 millions de dollars avec un partenaire, dont l'identité ne sera pas dévoilée, pour effectuer des travaux d'exploration au nord-ouest de Gaspé. Pour en lire plus...
  24. Le groupe pétrolier américain profite de la flambée pétrolière, mais ses activités de raffinage sont sous pression. La compagnie empoche un gain de 5,975 G$ US. Pour en lire plus...
  25. Les revenus de la pétrolière ont pour leur part progressé de 40% pour atteindre 8,86 G$. Pour en lire plus...
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