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  1. LE NEZ COLLÉ SUR LES CHANTIERS… Édition du 5 juin 2016, FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE On a le nez collé sur les grilles de chantier depuis, quoi ? Le tournant du millénaire ? Ça fait une quinzaine d’années qu’on se plaint du barda et du bordel, qu’on se désole des cônes et du trafic, qu’on peste contre les détours et la poussière. Il y a tellement de chantiers à Montréal qu’à la seconde où l’un disparaît, on en trouve 10 autres contre lesquels se plaindre, se désoler, pester… Du coup, on ne voit que ça. Et on perd de vue une chose toute bête : chaque chantier est un projet en devenir. Fou de même ! Chaque chantier qui nous a dérangés depuis 2000 est devenu une construction, un édifice, un gratte-ciel, un équipement sportif, une bibliothèque, une infrastructure nouvelle, un aménagement urbain, une piste cyclable… On se croit encore à l’ère de l’immobilisme, alors que la cadence des chantiers nous prouve très exactement le contraire. Comme si on voyait le verre au tiers vide plutôt qu’aux deux tiers plein. On voit les pancartes « À louer », mais pas les artères qui ont réussi à s’adapter à la nouvelle réalité. Comme si Masson, Beaubien et Fleury étaient dans notre angle mort. On se désole du taux de chômage, sans voir l’attrait qu’a retrouvé la métropole auprès des jeunes, des familles et des travailleurs de la nouvelle économie. Comme si le Mile End, Griffintown et le Quartier des spectacles n’existaient pas. On remarque tous les détours, mais pas l’incroyable dynamisme qui se cache derrière : le CHUM, Bonaventure, Turcot, Champlain. Comme si on tenait pour acquis ce qui se fait… dès que ça se fait. Prenez l’exemple des gratte-ciel. Pendant 22 longues années, aucune tour ne s’est construite au centre-ville. Aucune. Zéro. Nada. On a érigé la magnifique Tour IBM Marathon en 1992, puis… plus rien jusqu’en 2014 ! Or, avez-vous entendu beaucoup de monde se féliciter de cette renaissance du centre-ville, devenu l’un des plus habités du continent ? Pas moi. Mais des critiques contre les chantiers, par contre… *** Vous me trouvez jovialiste ? Je m’en doutais. Je suis donc retourné lire les textes que j’ai signés il y a un peu plus de 15 ans, quand j’étais journaliste municipal, pour voir si, comme de fait, le Montréal d’aujourd’hui est bien mieux que le Montréal d’alors. Pas sorcier, j’ai eu l’impression de lire un journal vieux de 100 ans ! Rappelez-vous cette époque où le 11 septembre était une date comme une autre. Les Expos perdaient au Stade. L’énigmatique Pierre Bourque était maire. La démocratie municipale était une abstraction. Et les fusions municipales étaient l’unique projet d’avenir… Montréal, on l’oublie, était alors un champ de ruines. J’exagère à peine. Le centre-ville avait l’air bombardé, et pas à cause des nids-de-poule, parce qu’il y avait un nombre incroyable de terrains vagues et de stationnements sauvages. Il y avait tellement d’espaces vides, en fait, qu’on pensait construire sans problème un stade de baseball en plein quartier des affaires ! À côté, on espérait le Quartier international sans même s’imaginer qu’une aussi belle réussite était possible. L’idée d’un Quartier des spectacles n’existait pas, une poignée de fous se contentait de rêver à un « Quartier des théâtres ». Juste au nord, telle une forteresse de béton, l’horrible échangeur routier au coin des avenues du Parc et des Pins bloquait la vue et l’accès au mont Royal, qui n’était d’ailleurs toujours pas protégé. Au contraire, même… Pas de Grande Bibliothèque pour rapiécer le Quartier latin, à l’est. Pas d’agrandissement du Palais des congrès, ni de recouvrement d’autoroute. Et pas de CHUM non plus, qu’on prévoyait plutôt construire en plein quartier résidentiel, dans la Petite-Patrie. Oui, oui. Au sud du centre-ville, guère mieux… Le Vieux-Montréal était à ce point abandonné que le gouvernement avait mis sur pied un programme généreux en subventions pour attirer des hôtels. À un jet de pierre, le Vieux-Port se cherchait. Il n’y avait pas encore de Centre des sciences. Pas de condos dans les entrepôts frigorifiques. Pas de véritable vision, en fait, sinon celle de permettre aux promoteurs de faire n’importe quoi, n’importe où. Un aquarium Ripley’s ? Une maison de l’OSM sur le quai Bickerdike ? Un « technodôme » à la Disney World ? Ou, tant qu’à y être, le siège social de l’ONU ? Autant d’idées qui ont été détaillées et même présentées. Oui, oui… Vers l’ouest, la Cité du multimédia venait tout juste d’être annoncée. Pas aménagée, juste annoncée, comme un autre de ces projets auxquels on ne croit pas tant qu’on ne le voit pas. On réfléchissait à une cité du commerce électronique un peu plus loin. On envisageait d’aménager des cinémas dans l’ancien Forum vide. Et le quartier Griffintown ? Aussi inconnu que son nom. Oui, oui. *** Pour apprécier le chemin parcouru, c’est bien connu, il faut se rappeler d’où on part. D’une ville morose, donc, où le problème était justement l’absence de chantiers. Bien sûr, tout ne s’est pas métamorphosé comme par magie. On n’a pas réussi à tout faire ce qu’on aurait dû faire. Et bien des projets ont été abandonnés (la « modernisation » de la rue Notre-Dame Est), balayés (le prolongement de la ligne jaune, des deux côtés) ou se sont enrayés (le rond-point Dorval, dont on parlait déjà en 2000). N’empêche que Montréal est aujourd’hui une ville autrement plus dynamique que la métropole qu’elle était, malgré son incapacité à améliorer la mobilité. C’est une ville que je préfère nettement à sa version d’il y a 15 ans, malgré ses cônes orange. C’est un milieu de vie infiniment plus grouillant qu’au tournant du millénaire, malgré ses défauts, ses laideurs et ses errements. On peut bien rouspéter en empruntant tous ces détours continuellement, mais prenons quelques minutes lorsque nous sommes coincés dans le trafic pour rêver à ce qui s’en vient. Cet échangeur Turcot qui s’annonce plus fluide et ancré dans les quartiers qu’il traverse. Ce CHUM noir autrement plus réussi que son pendant anglophone. Cette autoroute Bonaventure qui disparaîtra au profit d’une majestueuse entrée de ville. Et ce futur pont Champlain, avec ses haubans élancés, à la fois sobre et élégant. Donc oui, quand on se regarde, quand on s’attarde à tout ce qui va tout croche aujourd’hui, on se désole. Mais quand on se compare, quand on regarde le chemin parcouru et celui qui s’en vient, on se console. À condition, bien sûr, de se décoller le nez des grilles de chantier. http://plus.lapresse.ca/screens/df6be48e-9f7e-48a7-b08b-6487909e4368%7C_0.html
  2. J'ai vu le chantier en passant par là à plusieurs reprises. Rien ne m'aurait fait croire que ça puisse avoir 8 étages de bureaux. L'environnement immédiat m'apparaissait assez poche au premier coup d'oeil. J'aurais cru à l'érection d'une boîte de tôle pour classer des courroies de cuir. Prestige Prestige, quand tu nous dis que tu es Prestige, oui oui... Miam.
  3. Montréal vient d'annoncer l'achat de nouvelles stations Bixi (http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/13874-Bixi?p=165052#post165052). Êtes-vous d'accord à ce que la ville de Montréal continue à investir dans le Bixi et le développement du réseau cyclable?
  4. C’est une disgrâce architecturale, Saint-Henri mérite mieux, tous les autres quartiers aussi. Ce projet n’a aucun sens, on parle d’architecture ou de développement à tout prix? Ce que je vois là c’est un hangar cheap de trois étages déposé sur une petite usine préexistante pour faire du cash vite fait. Oui au développement, oui au développement bien fait! SVP, ne pas confondre la qualité de l'illustration avec la qualité du projet
  5. Un auteur dénonce l’«apartheid» universitaire au Québec. Même si le poids démographique des anglophones est inférieur à 6% au Québec, les universités anglophones s’y partagent près de 30% du budget. Aux yeux de l’auteur Louis Préfontaine, c’est à ce problème que devrait répondre le gouvernement lorsqu’il est question du sous financement des universités du Québec. À l’occasion de la sortie du livre Apartheid universitaire, Métro s’est entretenu avec l’auteur. Vous dénoncez le surfinancement des universités anglophones. Le titre de votre livre, Apartheid universitaire, est-il volontairement provocateur? C’est pour faire prendre conscience qu’il y a deux réseaux parallèles d’éducation. On a un réseau francophone qui a une très faible vitalité avec des revenus moindres. La minorité anglophone du Québec jouit d’un réseau d’éducation largement mieux financé per capita que celui de la majorité francophone. On peut donc considérer qu’il y a une forme d’apartheid entre les réseaux. C’est une forme de discrimination à l’égard du Québec. On a qu’à regarder notre réseau pitoyable d’universités francophones. Mais oui, il y a une composante de provocation dans mon titre, mais il est assumé. Selon vous, la solution est de financer les universités anglophones selon le poids démographique des cette communauté au Québec? On ne prend pas les moyens d’assurer la vitalité de notre langue. Ce que je propose dans mon livre est de régler une injustice et de financer les universités anglophones en fonction de leur poids démographique. Et même en faisant cela, on leur donnerait plus que ce que les minorités des autres pays reçoivent. À ce sujet: McGill et Concordia blâmées par les étudiants Les étudiants s’inquiètent du taux d’emploi Des Belges se disent intimidés pour avoir porté le carré rouge Si on finançait de manière équitable les universités au Québec, il faudrait franciser les Universités Bishop, McGill et la moitié de Concordia. Ça vous donne une idée de l’ampleur du surfinancement. -Louis Préfontaine, auteur d’Arpatheid universitaire Mais il n’y a pas que des anglophones dans ces universités… C’est vrai et c’est correct. Mais ce serait bien aussi qu’il y ait des anglophones dans les universités francophones. Il y a aussi beaucoup d’étudiants étrangers dans ces universités qui sont financés avec nos impôts. On attire des gens (et notamment des Français) qui ne souhaitent pas de participer à la culture québécoise mais plutôt à la culture majoritaire anglophone nord-américaine. En soit, ce n’est pas un problème. Le problème c’est que nous payons pour ça. S’il y avait une université privée, elle pourrait faire ce qu’elle veut. Mais en ce moment, 50% des étudiants de McGill ne viennent pas du Québec. Et nous, nous payons pour ces gens-là. Sans McGill, le Québec ne se classerait pas dans les meilleurs palmarès d’universités… Oui McGill est une très bonne université, mais c’est une université qui ne favorise pas l’ouverture à la culture québécoise. Et si on donnait à l’UQAM les sommes que l’on donne à McGill ou si on donnait une faculté de médecine à l’UQAM on améliorait sa réputation et sa qualité. McGill, historiquement, est un symbole de la domination de la minorité de langue anglaise au Québec et ils n’ont jamais accepté le fait qu’ils ne sont plus une minorité canadienne, mais une minorité québécoise. Et c’est la clé pour comprendre le problème actuel. Votre livre sort dans un contexte propice où le financement universitaire est dans l’actualité. Oui. Je n’en parle pas directement dans le livre, mais c’est aussi un argument aux étudiants pour le dire regardez il y a moyen de réaménager les choses pour aller chercher les sommes dont le gouvernement a besoin. Le cas McGill L’université McGill reçoit 1,2 G$ du 1,7 G$ que les universités anglophone reçoivent (71%) du Québec. En prenant le financement de chaque institution séparément (et non pas en réseau comme le réseau de l’Université de Montréal qui comprend HEC et Polytechnique), McGill est l’université la plus financée au Québec. Et un étudiant sur deux à McGill vient de l’extérieur du Québec. M. Préfontaine se demande donc pourquoi ce serait au Québec de financer cette situation. http://journalmetro.com/actualites/national/65422/un-auteur-denonce-lapartheid-universitaire-au-quebec/
  6. Bonjour tous! je voulais juste vous dire que j'ai découvert El Dorado ce midi.. et j'ai été charmée! Je n'y avait jamais mangé, mais plusieurs de mes amis me l'ont conseillé. J'ai mangé un quesedillas thai (oui oui, quel mélange) et c'était divin! Un super mélange de textures et de goûts. Et vraiment, le point fort... leur café! Ils le torréfient sur place, et laissez-moi vous dire que ça fait tout la différence. Ne me parlez pas d'un resto ou l'on sert de l'eau de vaisselle, je suis pas capable. En grande amateure de café, laissez-moi vous dire que c'est un le meilleur café filtre que j'aie bu dans un restaurant! Bref, c'est à voir et goûter!
  7. Et oui, un ''nouveau'' quartier qui se défini peu à peu. C'est un endroit bien situé qui mérite de se développer alors j'espère que cela va continuer afin de densifier davantage. http://www.orbitat.ca/index.php
  8. Moi certainement que oui !
  9. Je ne sais pas si nous avons un fil sur ce projet là mais si oui je ne le trouve nulle part. http://villamontroyal.ca/ Donc, 6 étages sur la rue Bates dans un secteur qui se développe grandement. Et celui-ci est bien avancé.
  10. Bizarre qu'il n'y a eu aucun fil de discussion la dessus. Je ne savais même pas que s'était en construction. Peut importe, la construction est terminé et le cetre sportif ouvre dans 2 semaines. Source: Radio-Canada Un nouveau centre sportif construit au coût de 15 millions de dollars dans le quartier Notre-Dame-de-Grâce a été inauguré vendredi. Après la revitalisation des logements sociaux de Benny Farm, l'arrondissement Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce se dote ainsi d'un centre sportif haut de gamme avec piscine. Seule ombre au tableau, le centre a été construit dans le parc Benny, ce qui ne faisait pas l'affaire d'une poignée de résidents opposés au projet. Pour les faire taire, l'administration municipale s'était engagée à ce que le nouveau centre sportif obtienne la plus haute certification environnementale internationale, la certification LEED. « Lorsque le gouvernement du Québec dit oui, lorsque l'arrondissement dit oui, lorsque la ville centre dit oui, on est capable de réaliser dans des cours délais des projets qui sont importants », a commenté le maire Gérald Tremblay. L'imposante toiture verte du centre, accessible aux citoyens, permet une intégration visuellement harmonieuse. Mais cela n'est pas suffisant pour Diane Chambers, qui s'opposait au changement de zonage du parc. « Le projet est beau, mais moi-même j'étais avec un comité de citoyen pour sauver le parc Benny, parce qu'on a voulu que le parc reste vert », a expliqué Mme Chambers. Le nouveau centre sportif ouvrira ses portes le 24 janvier.
  11. Est-ce que vous croyez à l'évolution? Si oui, pourquoi, si non, pourquoi? Est-ce que vous croyez au créationnisme? Si oui, pourquoi, si non, pourquoi? Aux États-Unis c'est une question plutôt difficile qui divise bien des gens. Je suis curieux de savoir ce que vous en pensez. Un énorme pourcentage de la population ne crois pas à l'évolution! Je suis curieux de connaitre les avis des mtlurbeurs. -- I believe in (or should I say, accept as fact) evolution and reject creationism as foolishness. Though i reject creationism as pure fantasy, I do believe it's possible to believe in God and still accept evolution. It's the same with the big bang... all you have to do is believe that God started the big bang, and set evolution in motion. (I'm not saying I personally believe this either, but i'm just demonstrating how these two ideas aren't mutually exclusive, as many people propose.) I dislike young earth creationists... (people that believe the earth is 6000 years old and that it was literally created in 6 days... although if a day is defined as 1 rotation of the earth on its axis, and no earth yet, how could you........ ahh forget i brought it up.) One of my girlfriend's cousins is a young earth creationist and I recently had the misfortune of debating her for 30 minutes. The whole debate was basically like this: Me: facts, rational explanations, more facts Her: LA LA LA I CAN'T HEAR YOU --- A must-watch series on evolution vs. creationism. A 15-part youtube series that starts with this video:
  12. Dimanche le 3 Mai il va avoir un référendum surle nouveau plan d'urbanisme proposé par l'administration Finn à Saint-Lambert. Le plan le fait possible de construire des édifices de 6 à 8 étages dans certains secteurs ou on trouve des immeubles abandonnés. Le comité du OUI supporte le plan et le comité Vert/NON l'oppose. The Green committee is opposed to all new construction in St. Lambert. When I was a high school student at Chambly Academy a few years ago, the school was planning to expand (add on a new gym, library, etc). These people managed to block the construction of these facilities while I was there claiming that it intruded upon "their" greenspace (which belonged to the School Board, and they were technically trespassing on). They were also opposed to the construction of a CHSLD to serve the city's aging population. They managed to delay these things for 10 years, until last year when Mayor Finn gave the green light to school expansion (by purchasing the land behind the school), and then re-sold the land to Groupe Savoie to build the CHSLD at a profit for the city. The Green committee is looking for revenge against the city and is attempting to prevent further development (St. Lambert is entirely built up, but there are a few abandoned buildings that the city has zoned for some medium-density residential develipment). J'ai déja voté dans la vote avancé (OUI bien sur). J'ai mis les vidéos des deux cotés pour que vous pouvez tous voir quel coté est négatif et déraisonnable. Le vidéo en faveur d'un densification à Saint-Lambert: Français: <object width="400" height="300"><param name="allowfullscreen" value="true" /><param name="allowscriptaccess" value="always" /><param name="movie" value="http://vimeo.com/moogaloop.swf?clip_id=4282831&server=vimeo.com&show_title=1&show_byline=1&show_portrait=0&color=&fullscreen=1" /><embed src="http://vimeo.com/moogaloop.swf?clip_id=4282831&server=vimeo.com&show_title=1&show_byline=1&show_portrait=0&color=&fullscreen=1" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="true" allowscriptaccess="always" width="400" height="300"></embed></object><br /><a href="http://vimeo.com/4282831'>http://vimeo.com/4282831">OUI à l'avenir de Saint-Lambert</a> from <a href="http://vimeo.com/user1634290'>http://vimeo.com/user1634290">Oui Saint-Lambert 3 mai 2009</a> on <a href="http://vimeo.com">Vimeo</a>. English: <object width="400" height="300"><param name="allowfullscreen" value="true" /><param name="allowscriptaccess" value="always" /><param name="movie" value="http://vimeo.com/moogaloop.swf?clip_id=4294312&server=vimeo.com&show_title=1&show_byline=1&show_portrait=0&color=&fullscreen=1" /><embed src="http://vimeo.com/moogaloop.swf?clip_id=4294312&server=vimeo.com&show_title=1&show_byline=1&show_portrait=0&color=&fullscreen=1" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="true" allowscriptaccess="always" width="400" height="300"></embed></object><br /><a href="http://vimeo.com/4294312">Yes to Saint-Lambert's future</a> from <a href="http://vimeo.com/user1634290'>http://vimeo.com/user1634290">Oui Saint-Lambert 3 mai 2009</a> on <a href="http://vimeo.com">Vimeo</a>. http://oui-st-lambert.blogspot.com/ Le vidéo "fear-mongering" des NIMBYs: Français: <object width="425" height="350"><param name="movie" value="http://www.tagtele.com/v/36339"></param><param name="wmode" value="transparent"></param><embed src="http://www.tagtele.com/v/36339" type="application/x-shockwave-flash" wmode="transparent" width="425" height="350"></embed></object> English: <object width="425" height="350"><param name="movie" value="http://www.tagtele.com/v/36863"></param><param name="wmode" value="transparent"></param><embed src="http://www.tagtele.com/v/36863" type="application/x-shockwave-flash" wmode="transparent" width="425" height="350"></embed></object> http://www.nonle3mai.com/
  13. Serait-ce possible d'ajouter un bloc d'information en haut de chaque page, un peu comme sur ssp (voir l'image). De cette facon, on aurait pas a se tapper 50 pages pour trouver le rendu (oui, yara, un RENDU!) le plus recent pour un projet.
  14. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2010/04/12/004-bellemare-entrevue.shtml Financement politique douteux, échange d'argent comptant, nominations partisanes de juges, pressions politiques indues au sein du gouvernement. Marc Bellemare, ministre de la Justice pendant un an au sein du premier gouvernement de Jean Charest, en 2003 et 2004, revient hanter son ancien patron. Il y a un mois, il déclarait qu'il avait fait part à l'époque au premier ministre d'informations embarrassantes sur du financement au Parti libéral, ce qu'a nié par la suite M. Charest. Dans une entrevue téléphonique exclusive avec l'animateur de l'émission Enquête de Radio-Canada Alain Gravel, Marc Bellemare y va de révélations fracassantes en disant avoir été témoin d'échanges d'importantes sommes d'argent liquide à deux occasions en décembre 2003 et en janvier 2004. Dans un lieu public, dans un premier temps, et à la permanence du PLQ à Québec, par la suite. Extrait de l'entrevue : - [Marc Bellemare] Les échanges d'argent auxquels j'ai assisté, de façon très fortuite d'ailleurs, sont des échanges qui ont lieu entre un permanent du parti et un individu considéré comme étant un collecteur influent du parti. - [Alain Gravel] Est-ce que c'est quelqu'un qui est lié à l'industrie de la construction? - Oui. - Est-ce qu'on peut s'entendre pour dire que c'est un entrepreneur en construction? - Oui. [...] - Quand vous dites des sommes substantielles, c'était de l'argent comptant? - Oui [...] Il y avait des chèques et il y avait une liste aussi de noms tout près. - Donc, il y avait de l'argent comptant, des chèques et une liste? - Exact. - Beaucoup d'argent comptant? - Oui. - [Alain Gravel] Est-ce que vous avez parlé aux gens qui s'échangeaient de l'argent? - [Marc Bellemare] Oui, je les ai salués, mais manifestement, je n'avais pas d'affaires là. [...] J'en ai parlé au premier ministre, je m'en suis plaint au premier ministre et le lui ai dit que c'était irrégulier à mon avis et que c'était dangereux, et puis voilà. — Extrait de l'entrevue - [Alain Gravel] Est-ce que vous pouvez me dire ce que le premier ministre vous a répondu? - [Marc Bellemare] Non, mais je peux vous dire qu'il était très bien informé. Allégations de trafic d'influence Marc Bellemare y va de révélations encore plus spectaculaires concernant l'influence de ce collecteur de fonds. Il dit avoir été au centre d'un trafic d'influence pour la nomination de juges. Extrait de l'entrevue : - [Marc Bellemare]Les gens qui était considérés comme étant des collecteurs influents et significatifs du parti avaient leur mot à dire sur plusieurs nominations et ils ne se gênaient pas pour solliciter des nominations de ma part à l'époque, en 2003 et en 2004, en tenant compte du fait qu'il y avait des retours d'ascenseurs qui étaient exigés, qu'il fallait placer notre monde, comme on disait à l'époque. - [Alain Gravel] Alors vous avez été soumis à des pressions de collecteurs de fonds pour des nominations, vous-même, comme ministre de la Justice? - Tout à fait, oui. - Est-ce que vous avez été soumis à des pressions de l'individu que vous avez vu remettre l'argent? - Oui. - Donc, lui-même vous a fait des pressions? - Oui. - À de nombreuses reprises? - Oui. - Pour des nominations de... - Diverses nominations, et des nominations de juges également. - Votre souvenir... à combien de reprises? - Trois. - Trois reprises? - Oui. - Qu'il vous a demandé spécifiquement de nommer des juges? - Oui. - Avec des noms de juges? - Oui. - Est-ce que vous avez nommé ces juges? - Oui. - [Alain Gravel] Vous avez nommé ces juges parce que... - [Marc Bellemare] Parce que c'était une commande des grands collecteurs du parti et le premier ministre était d'accord avec ça. — Extrait de l'entrevue - [Alain Gravel] Vous en avez parlé au premier ministre? - [Marc Bellemare] Oui, je m'en suis plaint au premier ministre, mais c'était, semble-t-il, la façon de faire. [...] - Donc, vous avez informé le premier ministre là-dessus? - Oui, tout à fait, je m'en suis plaint à l'automne 2003 comme au printemps 2004. - En disant quoi? - En disant, je me demandait qui nommait les juges. Est-ce que c'était le ministre de la Justice ou c'était tel ou tel qui avait collecté significativement des fonds pour le parti qui avait à prendre la décision? Je m'en plaignais, mais ça ne changeait pas, parce qu'il fallait agir dans ce sens-là. De l'obstruction de collecteurs de fonds Il n'y avait pas que les nominations. Marc Bellemare souligne l'obstruction des collecteurs de fonds du parti sur des réformes pour rendre les juges des tribunaux administratifs plus indépendants. [Marc Bellemare] C'est certain que ces importants collecteurs-là avaient une influence sur l'agenda législatif du gouvernement. En tout cas, en ce qui me concernait, moi qui avait plusieurs projets de loi qui étaient en attente. C'était... on sentait qu'il y avait un veto financier sur certains projets de loi. - [Alain Gravel] Et ça aussi vous avez avisé le premier ministre là-dessus? - [M.B.] Hm-hm. — Extrait de l'entrevue - [Alain Gravel] Est-ce que votre démission a trait à toutes ces choses? Est-ce qu'il y a un événement particulier qui a fait qu'à un moment donné, vous en avez eu ras-le-bol? - [Marc Bellemare] Je trouvais que le dernier projet de loi, qui est le projet de loi 35, qui était une réforme ambitieuse de la justice administrative au Québec et que j'ai dû abandonner suivant les instructions du premier ministre, suite à une rencontre au cabinet du premier ministre le 29 mars 2004. Et puis, ç'a été pour moi le dernier chantier. - Vous avez perçu que ce projet de loi-là, vous avez dû l'abandonner à la suite de pressions de ces collecteurs? - Notamment. Mauvais souvenir La carrière de Marc Bellemare en politique provinciale a été très courte. Il en garde un très mauvais souvenir. Extrait de l'entrevue : - [Alain Gravel] Ça vous inspire quoi, c'est quand même grave, vous étiez le ministre de la Justice à ce moment-là? - [Marc Bellemare] Ça m'inspire le dégoût, et c'est pour ça que je suis parti au printemps 2004. Pas de témoignage au DGE Pour l'instant, Marc Bellemare refuse de donner publiquement les noms des collecteurs de fonds. Il ne veut pas non plus les révéler au directeur général des élections, en qui il n'a pas confiance. Il conteste d'ailleurs la citation à comparaître qu'il lui a envoyée pour le forcer à témoigner. Extrait de l'entrevue : - [Alain Gravel] Est-ce que vous avez l'intention de contester la convocation du directeur général des élections? - [Marc Bellemare] C'est déjà fait. - Parce que vous ne faites pas confiance à l'institution? - Non, c'est parce que le directeur général des élections est une institution qui enquête privément et à mon avis, les informations de cette nature sont d'intérêt public, d'une part. D'autre part, le financement des partis politiques, ce n'est qu'un volet minime de ce que je viens de vous raconter. Je pense que le DGE dans ce dossier-là joue le rôle du premier ministre qui, en Chambre, décide que je devrais aller m'adresser au DGE et 30 minutes plus tard, le téléphone sonne au bureau pour que j'aille rencontrer le DGE. J'ai trouvé que ça manquait d'indépendance et d'impartialité. Je trouvais que le DGE agissait comme un homme de main du premier ministre, et ça m'agace. — Marc Bellemare en entrevue à Radio-Canada Marc Bellemare affirme qu'il a décidé de parler de ces choses parce qu'avec les allégations actuelles sur le milieu de la construction et le financement politique, il y a un intérêt public. M. Bellemare espère toujours témoigner devant une commission parlementaire, où il jouirait d'une immunité totale. D'après une entrevue d'Alain Gravel
  15. Essence Accepteriez-vous de payer plus pour financer la STM? Mise à jour : 10/02/2010 22h02 La Ville de Montréal et les municipalités de la banlieue s'apprêtent à demander au gouvernement une hausse de la taxe d'accise sur l'essence. Elles espèrent de cette façon éliminer le déficit du transport en commun. Depuis environ 15 ans, les automobilistes déboursent 1,5 cent par litre d'essence pour financer les transports publics. Les maires de Montréal et des banlieues veulent que Québec hausse de 2¢ cette taxe. Cette augmentation permettrait d'aller chercher 55 millions de dollars de plus par année. Accepteriez-vous de payer plus pour financer le transport en commun? Nos collègues de l'Agence QMI ont posé la question à quelques citoyens. Voici leurs réponses. VOXPOP Accepteriez-vous de payer 2¢ de plus sur le litre d’essence pour financer le transport en commun? 1. Oui. À Montréal, ça vaudrait la peine. Je suis un automobiliste, mais je n’utilise pas beaucoup mon véhicule en ville. Je n’ai déjà pas beaucoup de dépenses sur l’essence. - Romerik Rousseau, Montréal 2. Oui. Je prends déjà le transport en commun et c’est de plus en plus cher. Je ne crois pas que ce serait exagéré de toute façon. - Remi McGill, Montréal 3. Je suis tout à fait d’accord avec cette idée. J’utilise moi-même ma voiture énormément. Peut-être que ça m’inciterait à prendre le transport en commun. - François Jacques, LongueuiL 4. Oui. Je prends le transport en commun, car je n’aime pas les congestions. Je prends ma voiture seulement le week-end. Je paierais pour l’environnement. - André Foisy, Montréal 5. Non. C’est une mauvaise idée de financer le transport en commun comme ça. L’intention est bonne, mais il a d’autres solutions à envisager d’abord. - Éric Plante, Montréal 6. Oui et non. Je me dis que 2¢, ce n’est pas si mal, ce n’est pas la fin du monde. D’un autre côté, l’essence est déjà un produit surtaxé, mais pour la cause, je débourserais. - Christian Cadieux, Sainte-Julie (TVA Nouvelles et Agence QMI)
  16. Ignoré, Martin St-Louis est déçu RDS Publié mercredi 30 décembre 2009 15.47 ET Hockey Canada a fait connaître l'identité des joueurs qui représenteront le pays à Vancouver, mercredi midi. Parmi les oubliés se retrouvent les Québécois Vincent Lecavalier et Martin St-Louis. « C'est désappointant, a simplement mentionné St-Louis. Tu travailles fort pour rendre la tâche des décideurs encore plus difficile, mais les déceptions font parties de la vie. Tu te relèves et tu continues. » « C'est une question de fierté, a renchéri le petit attaquant. Tu veux être là sur le plus haut plateau, oui pour toi, mais aussi pour ta famille et pour tous les gens que tu connais. » Jusqu'ici cette saison, Lecavalier a marqué neuf buts et ajouté 28 passes en 39 rencontres avec le Lightning. Pour sa part, St-Louis cumule 43 points, dont 35 passes ce qui le place au 3e rang des passeurs de la LNH. I have the feeling Russia might beat them up!
  17. Du site de Lemay Michaud architectes. Est-ce à Montréal ? Aucune idée, mais je présume que oui étant donné que c'est Parasuco. Entk ça serait tout un choc pour l'architecture montréalaise ! Je verrais plus cet hôtel à San Francisco ou Milan.
  18. Pouce vert de Montréalais? J’ai pensé que nous avons pour la plupart un jardin avec des plans de légume ou de fleurs Alors voici les photos de mon jardin à auto arrosage avec réserve d’eau sur le toit mon de garage a l’arrière. Avez-vous un jardin, si oui montré le nous
  19. Bon bon, moi aussi je suis fatigué d'en entendre parlé même si c'est totalement mérité. Mais voici un article intéressant sur lequel je suis tombé aujourd'hui. Jackson considered moving to Montreal, according to new tell-all book Source: InMusic MONTREAL - A new book about pop icon Michael Jackson's final years says the singer once considered moving to Montreal because polls indicated Quebecers rejected child abuse allegations made against him. "Unmasked: The Final Years of Michael Jackson," says the megastar behind such hits as "Thriller" and "Bad" spurned the United States after surveys indicated many Americans still thought him guilty even though he was acquitted of child abuse charges in 2005. Author Ian Halperin, who oddly enough predicted in December 2008 that Jackson would be dead in six months, writes that Jackson's first choices for a new home were Britain and Berlin, followed by Montreal. Jackson died June 25. The cause of death has not yet been determined. "Quebec had always held a special affection for Jackson and it happened to be the only jurisdiction in North America where polls showed that the majority of residents firmly rejected the child abuse allegations against him," Halperin writes in the book, released Tuesday in English and French by Montreal's Transit Publishing. Halperin cites unidentified associates of people who dealt with Jackson as well as "one of the city's leading realtors" for his information on the possible Montreal move. The realtor told him and a group of people at a June 2007 cocktail party at the Montreal Grand Prix that she was in the process of selling Jackson a house and that he had already been to Montreal twice to look at potential properties. "He came incognito," Halperin quotes the realtor as saying. "He even attended a hockey game while he was here." Although Jackson was shown places in the upscale Westmount and Outremont districts, he didn't see anything that suited his needs. Privacy was paramount to him, the realtor said. Jackson did like a "swanky mansion once owned by the Bronfman family," although it wasn't for sale. Halperin also explored other Quebec connections, including negotiations between Jackson's Neverland Entertainment Group and a Montreal film company to start a new film production division. Despite announcements a deal had been struck, it eventually fell apart because of Jackson's financial problems, Halperin writes. He also recounts a conversation he had with now-deceased Montreal broadcaster Ted Blackman, who told him of a chat between the singer and a francophone journalist Blackman overheard in the mid-1980s. "They were discussing whether or not Quebec would be better off being separate from Canada," Halperin quotes Blackman as saying of the backstage encounter at a Jackson show in Montreal. "Jackson replied, 'Oui, oui.' I was amazed. Jackson said he thought Quebec could be another Paris and that Canada was too culturally lame to sustain Quebec." Blackman reportedly said Jackson ignored anglophone journalists and spoke to French-language media in broken French, accepting a fleur-de-lis key chain from one reporter. Halperin's book was literally on the printing presses when news of the pop star's sudden death was announced. It was pulled so a brief update could be included. Halperin says in his conclusion to the book that while he started his investigation believing that Jackson was guilty of child abuse, he couldn't find any evidence to support the allegation. While he criticizes sensationalist media, he also says Jackson also bears blame for his own misfortune because of behaviour that "bordered on criminal stupidity." The author, who says he got his information from friends and associates of Jackson, paints a disheartening picture of the pop star's declining years. He says ill health likely would have prevented Jackson from completing a comeback tour that was scheduled to start recently.
  20. Voici les photos du Yacht de Tony Accurso sur lequel est allé Frank Zampino pendant l'appel d'offre du contrat de 355 millions pour les compteur d'eau: Monarques et Figurines Patrick Lagacé, 4 Avril 2009 Comment se fait-il que je n'aie jamais été invité sur le yacht de Tony Accurso, moi? Non mais, on dirait que tout le monde, sa soeur et son caniche ont été invités à venir se faire bronzer sur le Touch, le bateau du discret mais prospère entrepreneur en construction québécois. Tout le monde, bon, j'exagère. Mais M. Accurso a accueilli Michel Arsenault, président de la FTQ, et Frank Zampino, alors président du comité exécutif de la Ville de Montréal. Mais pas moi. Je n'ai jamais été invité sur le yacht de M. Accurso. M. Accurso est riche et je n'ai rien contre les riches. Les riches ont le droit de l'être. Ils ont le droit de rénover à grands frais des yachts de 119 pieds pour fendre les flots des mers du Sud en tout confort. David Whissell, ministre du Travail de Jean Charest, n'a pas enfilé son Speedo sur le pont du Touch. Mais ce que M. Whissell partage avec Messieurs Arsenault et Zampino, des hommes de pouvoir qui ont des liens privilégiés avec M. Accurso, c'est... comment dire... euh... je cherche mes mots. C'est cette réticence, oui, c'est le mot, cette réticence à parler de sa relation avec l'entrepreneur. Tous trois, lorsque questionnés sur M. Accurso, n'ont pas exactement fait preuve d'empressement pour confirmer ou expliquer la nature de cette relation. Je ne sais pas trop pourquoi. Tenez, ça peut en surprendre quelques-uns, mais j'ai moi aussi des amis. Disons que vous me demandez si Dominic Fugère (je le prends au hasard) est mon ami. Il me fait parfois un peu honte, surtout depuis qu'il porte la queue de cheval, mais je vais vous le confirmer. Je ne vais pas faire de cachettes. Oui, c'est mon ami. Oui, il m'a fait faire un tour de Volvo. Je ne vais pas d'abord vous dire que l'entretien ne porte pas sur ça (comme David Whissell à propos de M. Accurso), je ne vais pas d'abord vous donner du «no comment» (comme Michel Arsenault à propos de M. Accurso), je ne vais pas d'abord vous dire qu'il s'agit de «ma vie privée» (comme Frank Zampino à propos de M. Accurso). D'où cette question: pourquoi tous les hommes de pouvoir qui se retrouvent liés à M. Accurso par les caprices de l'actualité sont-ils si gênés de dire qu'ils sont amis avec lui, qu'ils ont des liens avec lui, qu'ils sont allés se faire bronzer sur son bateau? Frank Zampino a le droit d'être ami avec Tony Accurso. Il l'était, dit-il, depuis 25 ans, avant d'aller sur son bateau. Frank Zampino, alors numéro deux de la Ville de Montréal, a séjourné sur le Touch, dans les Caraïbes. Là, je dis: non, il n'avait pas le droit. Il y est allé PENDANT le processus d'appel d'offres du plus gros appel d'offres (350 millions de dollars) de l'histoire de la Ville (pour des compteurs d'eau); appel d'offres auquel M. Accurso participait, au sein d'un consortium. Appel d'offres finalement remporté par le consortium en question, GéniEAU, composé de la firme Simard-Beaudry (propriété de M. Accurso), de la firme de génie Dessau et du Fonds de solidarité de la FTQ. À propos du Touch: on ne parle pas ici d'une chaloupe. Ni d'un pédalo. On parle d'un bateau de 119 pieds. On parle de grand luxe. D'un bateau rénové et retapé pendant des années par M. Accurso. On parle d'un palace flottant. Qui se loue 60 000$US par semaine. Sauf erreur, c'est le genre de gâteries qui, au prix du marché, était difficilement à la portée d'un élu gagnant le salaire de M. Zampino. Peut-être que maintenant, M. Zampino peut se payer ce genre de luxe maritime. Il est après tout devenu, après son départ de la politique, vice-président de Dessau, une grande firme d'ingénierie, une firme qui doit bien payer ses chefs. Oui, oui, le Dessau de GéniEAU. Si au moins, dans le cas de dérives éthiques comme celle de M. Zampino, leurs collègues se taisaient. Mais non. Ils en remettent. Prenez Claude Dauphin. M. Dauphin, vice-président du comité exécutif de la Ville, a dit de la croisière de M. Zampino, avant que ce dernier ne se mette à table: «On ne peut pas vous garantir ce soir qu'il y est allé ou qu'il n'y est pas allé ou jamais allé ou qu'il n'ira jamais: c'est du domaine privé.» Il y a des blagues pour adultes de Mike Ward, l'humoriste, qui sont moins vulgaires que cette déclaration de M. Dauphin. D'autres exemples de gâteries acceptées par des gens de pouvoir? Tiens, trois ex-ministres libéraux. Allan Rock est allé pêcher au camp d'une riche famille du Nouveau-Brunswick. Claudette Bradshaw est montée dans le jet privé de la même famille pour retourner à Moncton. Martin Cauchon est allé à la pêche avec Jean Lafleur, désormais célèbre fournisseur de l'État... Ces jours-ci, j'écoute beaucoup Alain Bashung, le chanteur français récemment décédé. Je redécouvre Osez Joséphine. C'est une chanson coquine, mais c'est fou, je l'écoute et je pense à des compteurs d'eau et à des voyages de pêche. Extrait: À l'arrière des berlines on devine des monarques et leurs figurines juste une paire de demi-dieux livrés à eux ils font des petits ils font des envieux... C'est pour ça que des types comme Arsenault ou Zampino, élus ou hommes de pouvoir, devraient oser refuser les cadeaux des monarques. Parce qu'en les acceptant, on devient une figurine.
  21. Les deux plus grandes erreurs que l'on peut commettre comme parent sont de ne jamais aborder les questions d'argent avec les enfants, ou de toujours dire oui lorsqu'ils nous demandent d'acheter quelque chose. Pour en lire plus...
  22. En vertu de la transaction proposée, les actionnaires de Merrill Lynch recevront 0,8595 action ordinaire de Bank of America pour chacune de leur action de Merrill Lynch. Pour en lire plus...
  23. Le Québec doit-il retourner en déficit? Oui, disent les économistes à l'unisson. Même le grand responsable de l'atteinte du déficit zéro, l'ancien ministre des Finances Bernard Landry, plaide en faveur d'un retour au déficit si l'état de l'économie québécoise continue de se détériorer. Pour en lire plus...
  24. MexiQuebecois

    La Ronde!!

    Y'a rien dans ce forum sur le parc d'attractions le plus important de l'est du Canada!? Dommage! Je suis pas sûr si je devrais mettre ce thread ici ou non mais.... mettez vos images ou renseignements sur La Ronde ici voici une image que j'ai pris il y a longtemps et oui on a des araignées géantes à Montréal Beat that Australia! lol
  25. Les deux derniers syndicats encore réticents face au plan de sauvetage de la compagnie aérienne italienne ont annoncé à la presse lundi avoir finalement donné leur accord. Pour en lire plus...
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