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  1. Publié le 17 novembre 2014 à 08h40 | Mis à jour à 08h40 La Presse Canadienne Montréal Les sociétés minières québécoises Redevances Aurifères Osisko (T.OR) et Mines Virginia (T.VGQ) ont annoncé lundi leur regroupement afin de créer une nouvelle société de redevances intermédiaire, détentrice de deux redevances situées au Québec. Chaque action de Virginia sera échangée pour 0,92 action d'Osisko. L'arrangement prévoit que les actionnaires de Virginia recevront une contrepartie de 14,19$ par action ordinaire de Virginia, calculée à partir du prix de clôture de l'action ordinaire d'Osisko de 15,42$ CAD à la Bourse de Toronto le 14 novembre 2014. L'offre représente une prime de 41% sur le prix de clôture de l'action de Virginia en date du 14 novembre 2014 ainsi qu'une prime de 27% pour Viriginia basé sur le prix moyen pondéré en fonction du volume sur 30 jours des actions des deux sociétés pour la période terminée le 14 novembre 2014. L'entente épingle la valeur de Virginia à 479 millions. Aux termes du regroupement, les actionnaires existants d'Osisko et Virginia détiendront respectivement environ 61% et 39% de la société combinée, suite aux placements privés parallèles de la Caisse de dépôt et placement du Québec et le Fonds de solidarité FTQ fondé sur une base ordinaire. La société combinée portera le nom de Redevances Aurifères Osisko Ltée, aura une capitalisation boursière estimée de 1,3 milliard et sera basée à Montréal. http://affaires.lapresse.ca/economie/energie-et-ressources/201411/17/01-4819622-osisko-achete-mines-virginia-pour-479-millions.php
  2. EXCELLENTE NOUVELLE ET UN SIEGE SOCIAL QUI RESTE A MONTREAL Publié le 02 avril 2014 à 10h17 | Mis à jour à 12h33 Osisko (T.OSK), qui fait l'objet d'une offre d'achat hostile du géant Goldcorp (T.G), a finalement trouvé son chevalier blanc. Avec l'aide de la Caisse de dépôt et placement du Québec et de l'Office d'investissement du Régime de pensions du Canada (OIRPC), l'entreprise torontoise Yamana Gold (T.YRI) propose d'acheter la moitié de la société aurifère québécoise pour 1,37 milliard. Si la proposition est acceptée, les actionnaires d'Osisko recevront l'équivalent de 7,60 $ par action (2,19 $ en argent comptant, 2,06 $ sous forme d'une participation dans Yamana et 3,35 $ sous la forme d'une action du nouvel Osisko). C'est environ 10 % de plus que le cours de clôture des actions d'Osisko hier et 22 % de plus que l'offre de Goldcorp, dont la valeur était de 6,21 $ hier soir. En fin d'avant-midi, mercredi, l'action d'Osisko s'échangeait à 7,45 $ à la Bourse de Toronto, une possible indication que tous les investisseurs ne sont pas convaincus que la transaction avec Yamana ira de l'avant. Dans le cadre de l'entente, la Caisse de dépôt et l'OIRPC injecteront chacun 275 millions dans Osisko. La Caisse investira dans un «contrat de fourniture d'or» alors que l'OIRPC accroîtra la facilité de crédit d'Osisko. De plus, la Caisse et Investissement Québec convertiront en actions leurs débentures d'Osiko, dont la valeur totalise 75 millions (partagé à parts égales). Selon Osisko, la transaction permettra de distribuer 1 milliard en tout aux actionnaires de l'entreprise. «L'annonce d'aujourd'hui procure une valeur beaucoup plus importante à nos actionnaires, a déclaré le PDG d'Osisko, Sean Roosen. Elle offre aussi aux actionnaires la certitude de pouvoir continuer à participer au potentiel de croissance futur de notre mine Canadian Malartic, qui génère des flux de trésorerie disponibles très solides, ainsi que la capacité de continuer à bénéficier de nos futurs travaux d'exploration et de développement.» «Cette transaction nous permet d'entrer dans une nouvelle juridiction nord-américaine de calibre mondial, a quant à lui commenté le grand patron de Yamana, Peter Marrone. Elle amène une augmentation immédiate de notre production et une amélioration de notre structure de coûts déjà avantageuse.» La transaction devra être approuvée par les actionnaires lors d'une assemblée qui aura lieu d'ici le 20 mai. Jusqu'ici, Goldcorp a assuré ne pas avoir l'intention de bonifier son offre pour Osisko, mais le géant vancouvérois a encore le temps de changer d'avis.
  3. Malartic : 600 emplois dès l’été 2009 Dominique Lemoine, Lesaffaires.com 11:26 Osisko prévoit débuter la production commerciale en avril 2011. Photo Si elle obtient les permis nécessaires dans les temps prévus, la société aurifère Osisko prévoit commencer la construction de ses installations de la mine d’or à ciel ouvert Malartic à l’été 2009. Elle aura alors besoin d’entre 600 et 800 employés. Les études de faisabilité, des investissements sur des délais de longue livraison et la relocalisation d’une partie de la ville sont déjà complétés ou avancés, selon le vice-président aux finances d’Osisko, Brian Coates. Osisko prévoit débuter la production commerciale en avril 2011. L’exploitation nécessitera 465 emplois directs dans la région de Malartic. Il y actuellement une centaine d’employés sur la liste de paie, précise Brian Coates. La valeur des investissements pour le projet Malartic atteindra 789 millions de dollars américains, soit un milliard de dollars canadiens, dit M. Coates. Osisko a annoncé le 4 février la conclusion d’une prise ferme de plus 350 millions de dollars. Une partie de cette somme servira au projet de mine à ciel ouvert de Malartic. Des bons de souscription et des options pourraient encore faire augmenter le montant amassé à 600 millions de dollars, selon Brian Coates. Il précise que 38,5 millions bons de souscription ont été émis à 5,45 dollars chacun, ce qui pourrait rapporter 200 millions. Brian Coates soutient que l’entreprise est en discussion avec des institutions financières pour obtenir le reste du montant. «On parle à d’autres institutions financières, incluant celles du gouvernement provincial. On continue nos discussions», a-t-il dit en entrevue à LesAffaires.com. La population a été invitée le 5 février dernier par le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) à une séance d’information sur le projet minier. Les études environnementales ont été complétées en septembre et reçues par le BAPE en janvier.
  4. Le Québec agité par une nouvelle ruée vers l'or Ludovic Hirtzmann 21/07/2008 | Mise à jour : 07:49 | . Alors que l'once d'or vaut près de 1 000 dollars, l'Abitibi-Témiscamingue est en pleine effervescence. Les habitants de la ville de Malartic, située sur un gisement, déménagent. Montréal Le 9 juillet dernier, à cinq heures du matin, des camions de la compagnie minière canadienne Osisko ont déménagé les deux premières maisons d'un quartier résidentiel de Malartic, une bourgade de 4 000 habitants, située à 600 kilomètres au nord de Montréal. Osisko a découvert l'été dernier un gigantesque gisement de 8,4 millions d'onces d'or, précisément sous un quartier de Malartic. Les Québécois ont décidé de déplacer leurs habitations pour permettre à Osisko d'exploiter une mine à ciel ouvert dont la durée de vie est estimée à vingt ans. Près de 200 maisons seront déplacées au cours des dix-huit prochains mois. L'entreprise minière montréalaise devra de plus reconstruire une école, une maison de retraite et une garderie. Au Québec, les maisons sont en bois et une opération de déplacement d'un quartier entier est relativement facile. « C'est l'aboutissement d'une longue période de consultation avec les résidents et les élus », a déclaré le président et chef de la direction d'Osisko, Sean Rosen. Hausse de la valeur des maisons Le déménagement du quartier de Malartic coûtera 82 millions de dollars à Osisko. La société versera une petite prime de 5 000 dollars aux habitants qui ont accepté de déménager. Certains propriétaires ont préféré vendre leur demeure à Osisko. Si, selon la direction de la société minière, près de 95 % des expropriés ont approuvé l'entreprise, le projet ne fait pas l'unanimité. Une habitante, Rachel Rivard, a déploré que le processus d'expropriation ait déjà commencé alors que, s'est-elle plainte au quotidien montréalais La Presse, « les études d'impact ne sont pas encore terminées ». Ce n'est qu'à l'automne, après une série d'audiences publiques et un avis du ministère de l'Environnement, qu'Osisko saura si elle a le feu vert pour l'exploitation minière. Le maire de Malartic, Fernand Carpentier, confie au Figaro que « seuls huit citoyens n'ont pas accepté pour l'instant de déménager. Pourtant, les conditions sont avantageuses. Osisko paie 25 % de plus que le prix du marché à ceux qui veulent vendre. Pour les autres, les maisons sont placées sur des terrains plus grands ». Malartic est une ville minière, née d'un gisement découvert en 1935 et exploité jusqu'en 1985. *En Abitibi-Témiscamingue, une ré*gion* grande comme deux fois la Belgique, peuplée d'environ 150 000 personnes, la hausse des cours du métal jaune a mené de nombreuses compagnies minières à multiplier les prospections depuis deux ans. Fernand Carpentier ajoute que « 400 emplois seront créés, avec une priorité donnée aux gens de Malartic. C'est une bonne affaire pour notre ville. Depuis l'annonce du projet il y a deux ans, la valeur des maisons a augmenté de 35 % ». Dans les années trente, l'Abitibi-Témiscamingue avait déjà connu une fièvre de l'or. L'une des principales villes de la région s'appelle d'ailleurs Val d'Or. Le vice-président des finances d'Osisko, Bryan Coates, optimiste, conclut : « On espère faire couler l'or vers la fin de 2010. » http://www.lefigaro.fr/matieres-premieres/2008/07/21/04012-20080721ARTFIG00235-le-quebec-agite-par-une-nouvelle-ruee-vers-l-or-.php
  5. Une découverte qui vaut de l'or Plus d'info Nouvelles Osisko roule sur l'or Nouvelle du 5 juillet 2007 Audio et Vidéo Les explications de Francis Labbé Dernières nouvelles [ Politique ] – Parti conservateur du CanadaUn diplomate dans Outremont [ Science et santé ] – VIH/sidaUne nouvelle voie de recherche s'ouvre [ International ] – Inondations au Royaume-UniVaste opération d'urgence (archives) La petite ville de Malartic en Abitibi-Témiscamingue est assise sur un véritable gisement d'or. Une découverte tellement importante que la compagnie minière Osisko souhaite y exploiter la plus importante mine à ciel ouvert au Canada. Pour réaliser cet ambitieux projet, il faudra toutefois déménager tout un quartier, soit près de 180 maisons et cinq institutions. Même si le projet n'est pas officiel, plus de 40 millions de dollars ont déjà été investis par Osisko. La compagnie minière a dernièrement annoncé que les réserves d'or estimées sont plus importantes que prévu. Plusieurs étapes restent toutefois à franchir, dont la réalisation d'une étude de faisabilité, d'une étude des impacts d'environnementaux et un échantillonnage intensif. D'ici le début de l'exploitation, les citoyens touchés par le projet auront le choix de déménager leur résidence dans un tout nouveau quartier situé plus au nord ou encore d'accepter un dédommagement financier pour la destruction de leur propriété. Certains résidents de l'endroit croient cependant que le projet se fait au détriment des citoyens. Le maire de Malartic, Fernand Carpentier, se réjouit de cette importante découverte. « Ça va être le plus gros payeur de taxes de la municipalité. Ça pourrait jouer entre 250 000 $ et 400 0000 $ par année », affirme-t-il. Cette mine, qui serait un projet d'envergure mondiale aux dires d'Osisko, pourrait être exploitée durant 13 années. Si les procédures en vue de l'exploitation avancent comme prévu, la production débuterait en 2010.
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