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  1. via la Voix Pop 15/01/2016 Mise à jour : 15 janvier 2016 | 13:06 Projet de 135 condos sur la rue Saint-Rémi Par André Desroches TC Media L'immeuble résidentiel de quatre étages serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l'on trouve présentement un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. André Desroches / TC Media Un projet résidentiel comptant 135 unités d’habitation, essentiellement des copropriétés et quelques logements sociaux, pourrait voir le jour sur la rue Saint-Rémi dans le quartier Saint-Henri. L’immeuble serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l’on trouve un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. Selon ce qu’a appris TC Media, il inclurait 14 logements sociaux et 14 logements abordables. Il s’agirait d’un bâtiment de quatre étages. Le règlement d’urbanisme de l’arrondissement du Sud-Ouest prévoit pour ce secteur des immeubles de 2 à 3 étages. Le projet, qui déroge à cette norme, pourrait faire l’objet d’un projet particulier de construction. La table de concertation Solidarité Saint-Henri a organisé deux rencontres en décembre et janvier pour présenter le projet aux résidents qui demeurent dans le Village des tanneries, là où le bâtiment serait érigé. Le Village des tanneries, cette petite enclave située à l’extrémité ouest de Saint-Henri, est délimité par les rues Cazelais, Saint-Rémi et Desnoyers et la voie ferrée. Opposition du POPIR Bien qu’il ne s’agisse pour le moment que d’une proposition préliminaire, le promoteur n’ayant déposé aucun projet formel à l’arrondissement, le POPIR-Comité Logement affiche d’emblée son opposition. «Notre mandat, c’est zéro condo», déclare Fred Burrill, organisateur communautaire au POPIR. C’est un non catégorique même si le projet prévoit l’inclusion de logements sociaux. «Nous ne sommes pas pour la construction de logements sociaux à n’importe quel prix», souligne M. Burrill. Selon le POPIR, ce type de développement résidentiel ne répond pas aux besoins des locataires de Saint-Henri, dont le revenu médian est de 25 395$. «Nous voulons le plus possible que le quartier demeure un quartier populaire», insiste Fred Burrill pour qui la multiplication de projets de condos ne fait qu’accélérer l’embourgeoisement du quartier. «Nous n’avons pas encore de position», indique pour sa part Shannon Franssen, coordonnatrice de Solidarité Saint-Henri. Le Comité aménagement de la table de concertation doit se réunir au début de février pour faire le point dans ce dossier.
  2. La rivalité Québec-Montréal, une affaire de francophones Pierre-André Normandin Le Soleil Québec La rivalité Québec-Montréal est une affaire de francophones. Anglophones et allophones québécois semblent divisés presque à parts égales sur l’existence ou non d’une tension entre les deux villes, selon un sondage Unimarketing. document.write(''); Ces données contrastent avec les réponses des Québécois francophones. Quatre sur cinq se disent convaincus de l’existence d’une telle opposition. Entretenue principalement par les médias de langue française, cette rivalité échapperait à une grande partie des anglophones et allophones, estime le président d’Unimarketing, Raynald Harvey. Bien qu’une tension existe depuis la fondation des deux villes, les passions semblent avoir été exacerbées par les affrontements sur les patinoires du Colisée et du Forum. En effet, même si les Nordiques sont disparus depuis 12 ans, 11 % des Québécois attribuent encore aujourd’hui au hockey l’origine de cette opposition. La proportion augmente significativement chez les hommes de 35 à 45 ans qui ont connu à l’adolescence les moments forts de cette rivalité sportive. Fait à noter, c’est à Québec que la tension semble la plus forte, 39 % de ses habitants montrant du doigt le complexe de supériorité des Montréalais pour expliquer cette situation. À l’inverse, les gens de la métropole sont peu nombreux (7 %) à attribuer la cause de cette tension au complexe d’infériorité de leurs vis-à-vis de l’autoroute 20. La moitié (46 %) partage plutôt la faute entre les gens des deux villes. Signe de cet amour-haine entretenu de longue date, 6 Montréalais sur 10 (59 %) disent pouvoir reconnaître les gens de Québec à leur accent. À l’inverse, la moitié de la province ne croit pas que les habitants de la capitale ont un accent. http://www.cyberpresse.ca/article/20080106/CPSOLEIL/80105073/6585/CPSOLEIL
  3. La ministre Monique Jérôme-Forget a réitéré mardi son opposition à l'établissement d'une commission pancanadienne des valeurs mobilières proposé la veille par un groupe de travail. Pour en lire plus...
  4. Pipeline : opposition à Enbridge * Presse Canadienne, * 08:18 Des groupes environnementaux veulent empêcher du pétrole issu des sables bitumineux de l'Alberta de faire son entrée au Québec. Les organisations Equiterre, ForestEthics et Environmental Defense lancent ce mercredi une pétition en ligne afin que les Québécois puissent exiger le rejet de ce projet. Chaque message signé sera acheminé directement à tous les chefs de partis fédéraux. Enbridge sollicite l'autorisation de l'Office national de l'Energie afin de pouvoir acheminer par pipeline du pétrole issu des sables bitumineux de l'Alberta vers Montréal, en passant par l'Ontario. Une partie de ce pétrole serait raffinée à Montréal pour usage au Québec et le reste serait envoyé par pipeline vers le Maine, pour ensuite être chargé sur des pétroliers en route vers le Golfe du Mexique, là où se trouve la plus importante capacité de raffinage des Etats-Unis. Les environnementalistes soutiennent que l'approbation de ce projet par le gouvernement du Canada générerait des émissions de gaz à effet de serre de 6,5 millions de tonnes par année.
  5. Do we dare think big again? After three decades of decline, stagnation and costly federalist-separatist battles, Montreal politicians have taken to looking in rear-view mirrors to the Drapeau era megaprojects, when the term 'Big O' could have stood for 'optimism' JAMES MENNIE, The Gazette Published: 10 hours ago "Of all the achievements of the Drapeau administration," says Paul-André Linteau, a professor of history at the Université du Québec à Montréal, "Expo 67 occupies a special place in our collective imagination. "When we marked the 40th anniversary of Expo last year, it was heavily covered by the media, and full of teary-eyed, nostalgic baby boomers recalling the extraordinary summer they spent at Expo 67. "But often we experience a kind of deformation of memory that sees an individual's recollection transformed into something the entire community believes it experienced. Not everybody had a great summer in 1967, but the boomers expressing themselves on TV or radio (create) a strong, positive perception of Expo 67." Nostalgia is a valuable commodity in politics. Candidates who campaign on a platform of change usually depict their promises through the prism of the past. U.S. presidential candidate Barack Obama hearkens to a day when the United States was economically strong and enjoyed the world's respect and opponent John McCain speaks of a simpler age when ordinary people had a role in determining what direction their country took. How much truth exists in either version of the past is debatable, but it makes for good oratory. Locally, where the political stakes may be less, the good old days aren't hard to locate. After 30 years of economic decline, an exodus of taxpayers to the suburbs and political trench warfare that pitted separatists against federalists, Montreal politicians in the here and now are hard pressed to rally the electorate to the promise of a better tomorrow. They've decided, instead, to stake their political futures on the memory of a better yesterday - in fact, a very specific collection of yesterdays from April 27 to Oct. 29, 1967, the golden days of Expo and a mayor named Jean Drapeau. The latest example occurred last week, when municipal opposition leader Benoit Labonté announced that he wanted Montrealers to work together to submit their city as a candidate to host the Universal Exposition for 2020. Brandishing a pair of passports from Expo 67, Labonté said the fair evokes memories of "the greatness of Montreal ... of a time when everything seemed possible. "The future seemed to belong to us, and it was probably the biggest moment of collective pride felt by Montrealers in the 20th century." Arguing that a second exposition could jump-start Montreal as a world class metropolis, Labonté invited all Montrealers - including Mayor Gérald Tremblay- to join in an effort to bring the show here. While some news organizations reported that Labonté's plan seemed to come out of the blue, the opposition leader had hinted broadly at it during an interview with The Gazette in May, saying that Montrealers needed a common cause they could focus their energies on and noting that the last time such a sentiment existed here was between Expo 67 and the 1976 summer Olympics. Whatever the genesis of Labonté's invitation, it was dismissed by city hall three hours after being made. "We like to dream with our eyes open," said Montreal executive committee member Alan De Sousa, describing Labonté's plan as "an electoral balloon." De Sousa's response wasn't totally unexpected, but it ignored the fact that pointing to the Drapeau-era as an inspiration for the future isn't a ploy invented by the municipal opposition. Tremblay has never spoken publicly about staging another world's fair here, but three years ago he did float the idea of luring another major event from the Drapeau-era back to Montreal. In August 2005 and flushed by the apparent success of the World Aquatics Championships, Tremblay mused that "Montreal will not wait another 30 years to renew acquaintances with the world," and that the city would "think" about bidding for the 2016 Olympic Games. Even though the idea went over like a lead balloon, the mayor's reverence for the Montreal of a generation ago came to the fore in speeches given during the 40th anniversary of Expo 67. "We owe to Jean Drapeau a great part of Montreal's recognition and international growth," Tremblay told a Board of Trade lunch as a slide show of Expo 67 pavilions flickered behind him. "Expo was a great project that marked our history and our imagination - an audacious project, the expression of an immense confidence in ourselves, in our capacity to create and invent." Even Projet Montréal, an opposition party holding one seat on city council and an equal amount of contempt for Tremblay and Labonté's policies, isn't immune from the lure of Expo. Party leader Richard Bergeron once observing that if Drapeau had dithered as much as the present administration, "the métro would never have been built." But while Linteau acknowledges that changes were afoot in Montreal and Quebec in 1967, it would be a mistake to think it was a magical time for Montreal. "The '60s were exceptional years," he says. "It was the Kennedy years in the United States. "We often look only at what Quebec was going through, but we were in the middle of a universe in transition." In fact, while the year may be remembered through rose-coloured mists, the reality was that the bloom was already leaving this city. Linteau acknowledges the optimism of the time - "when you consider all the projects that were being proposed, we thought there'd be 7 million people living in Montreal by 1980, that there would be 15 million visitors at Montreal airport by the end of the 1970s." But, he adds, "that optimism was quickly deflated because Expo occurred about the same time the decline of Montreal began. "Drapeau didn't care. Economic development and things of that nature were too trivial for him. He didn't notice our being overtaken by Toronto which, even by 1960, had passed Montreal as a major metropolis." Linteau notes that people usually like to be a part of something bigger than themselves. "A lot of humanity's monuments are the result of policies of grandeur and waste," he says. "Big projects are a bit megalomanical, but they get things moving, create change. "What's certain is that it's been a long while since we had that kind of project in Montreal. Just look at the bickering over the superhospitals." jmennie@thegazette.canwest.com
  6. Conformément à cette législation, le gouvernement aiderait des propriétaires à obtenir de nouveaux prêts plus avantageux et serait autorisé à proposer un soutien à Fannie Mae et Freddie Mac. Pour en lire plus...
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