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  1. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=19271&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques Dévoilement des finalistes du concours visant l'intégration d'une œuvre d'art public sur la promenade Jeanne-Mance 16 juillet 2012 Montréal, le 16 juillet 2012 -La responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, a le plaisir d'annoncer le nom des six finalistes du concours en art public qui a été lancé afin d'intégrer une œuvre en cinq temps à la future promenade Jeanne-Mance, au cœur du Quartier des spectacles. Il s'agit de David Armstrong-Six, Valérie Blass, Michel de Broin, Valérie Kolakis, Stephen Schofield et Louise Viger. « Les travaux d'aménagement des espaces publics dans cette partie du Quartier des spectacles représentent une belle occasion de faire une place importante à l'art public. L'intégration d'une œuvre fragmentée en cinq éléments distincts permettra aux passants d'en faire une lecture séquentielle et ce parcours véhiculera très certainement l'identité unique de cet espace qui constitue le cœur culturel de la métropole. En tenant un concours visant l'intégration d'une nouvelle œuvre d'envergure, nous réaffirmons notre engagement à favoriser l'accès à l'art public aux quatre coins de la ville et je tiens à féliciter les six finalistes qui, par leur parcours et leur créativité, ont su se démarquer auprès des membres du jury », a déclaré Mme Fotopulos. L'œuvre fragmentée qui découlera de ce concours s'intégrera aux cinq plateformes qui seront aménagées prochainement sur le côté est de la rue Jeanne-Mance, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard René-Lévesque. Les cinq éléments qui constitueront l'œuvre permettront aux passants de faire une lecture narrative de l'œuvre ainsi que de l'espace qui l'accueille et contribueront grandement à mettre en valeur l'art public dans le Quartier des spectacles. Clin d'œil à ce haut-lieu du divertissement culturel, l'œuvre devra témoigner de la nouvelle identité de ce secteur, véritable témoin de la créativité et de la diversité culturelle montréalaise. Rappelons que ce projet sera réalisé dans le cadre de la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux publics du gouvernement du Québec. En outre, dans son cadre d'intervention en art public adopté en juin 2010, la Ville s'est engagée à intégrer l'art public dans tous les grands projets d'aménagement urbain sous sa responsabilité et à inciter chacun des arrondissements à se doter d'un plan d'intervention dans ce domaine. À propos des finalistes David Armstrong-Six est représenté à Montréal par la Parisian Laundry. Ses œuvres ont été présentées notamment à la Kunstlerhaus Bethanien à Berlin (2012), à la Biennale de Montréal (2011) et au Musée d'art contemporain de Montréal (2008). Valérie Blass est représentée à Montréal par la Parisian Laundry. Elle a remporté le Prix Louis-Comptois de la Ville de Montréal en 2010 et le Musée d'art contemporain de Montréal lui a consacré une exposition solo en 2012. Michel de Broin est représenté à Barcelone par la Galerie Toni Tàpies. Il a réalisé plusieurs œuvres d'art public tant au pays qu'à l'étranger, notamment Révolutions et L'arc qui font partie de la collection municipale. Il présentera une rétrospective de son travail au Musée d'art contemporain de Montréal en 2013. Valérie Kolakis est représentée à Montréal par la Galerie Donald Browne. Récemment, ses œuvres ont été présentées à l'Œil de poisson à Québec (2012), à Plein Sud (2011) et à la Triennale québécoise au Musée d'art contemporain de Montréal (2011). Stephen Schofield est représenté à Montréal par la Galerie Joyce Yahouda. Ses sculptures ont fait l'objet d'une exposition à la New-Jersey City University (2011) et au Textile Museum of Canada à Toronto (2010). Il est récipiendaire du Prix Louis-Comptois de la Ville de Montréal (2005) et a réalisé deux œuvres d'art intégrées à l'architecture en 2012. Louise Viger a présenté ses œuvres au Musée national des beaux-arts de Québec (2010 et 2011) et au Musée d'art contemporain de Montréal (2000). Elle a réalisé plusieurs œuvres d'art public dont Des lauriers pour mémoire-Jean-Duceppe (1923-1990) qui fait partie de la collection municipale.
  2. <header id="page-header"> 24/10/2016 Mise à jour : 24 octobre 2016 | 19:48 Ajuster la taille du texte [h=1]KM3: un parcours d’une vingtaine d’œuvres d’art public pour le 375e[/h] Par Laurence Houde-Roy Métro </header> <figure> <figcaption> Paquet de lumière, de Gilles Mihalcean, est l'une des deux œuvres d'art permanentes du parcours KM3. Elle sera installée en face de la Maison symphonique de Montréal au coût de 672 603$. </figcaption> </figure> Un parcours d’une vingtaine d’œuvres d’art public temporaires et permanentes intitulé KM3 sera créé à l’automne prochain et installé sur l’ensemble du territoire du Quartier des spectacles, à l’occasion du 375e anniversaire de Montréal. Ces créations, principalement installées autour de l’axe de la rue Sainte-Catherine, seront sur la place publique du 31 août au 15 octobre 2017. Décrit comme le «plus important événement d’art public temporaire extérieur à Montréal», le projet orchestré par le Partenariat du Quartier des spectacles invitera des créateurs québécois «reconnus pour leur contribution dans le domaine de l’art public, mais aussi des créateurs qui auront la possibilité de s’exprimer pour la première fois dans l’espace public» à créer ces oeuvres. L’appel à ces créateurs et les commandes seront passés au courant de la prochaine année. <aside class="related-articles"> </aside> «L’événement mettra en valeur les arts visuels, l’art urbain, l’art numérique, le design et l’architecture en occupant des murs d’édifices, des places publiques et des lieux inusités», indique le Partenariat du Quartier des spectacles. Paquet de lumière, de Gilles Mihalcean, sera installée en face de la Maison symphonique de Montréal Seulement deux oeuvres de ce parcours ont été dévoilées lundi. Contrairement au reste des oeuvres, celles-ci seront permanentes et seront acquises par la Ville de Montréal. Elles seront situées sur la rue Émery, en face du cinéma Quartier Latin, et sur le Parterre, en face de la Maison symphonique de Montréal. Une troisième oeuvre permanente sera dévoilée. À la fin de cette édition, les installations artistiques iront rejoindre la collection permanente du Partenariat du Quartier des spectacles et pourront être présentées ailleurs dans le monde. Lux Obscura, de Jonathan Villeneuve, sera installée sur la rue Emery, en face du cinéma Quartier Latin Le Quartier des spectacles souhaite faire de KM3 un événement bisannuel et en faire une offre touristique importante. La scénographie de cette première édition a été confiée à Melissa Mongiat et Mouna Andraos, à qui l’on doit notamment les fameuses 21 Balançoires. <aside class="stat-highlight"> 2,5M$ L’aide financière de 2,5 M$ provenant de la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec permettra la réalisation de plusieurs oeuvres temporaires (1,5 M$), puis la création de deux nouvelles oeuvres d’art public permanentes (1 M$) acquises par la Ville de Montréal. </aside> KM3: un parcours d’une vingtaine d’œuvres d’art public pour le 375e | Metro
  3. J'ai copié le texte de l'article, mais il y a beaucoup de photos dans le lien, allez-voir le lien si ça vous intéresse! C'est moins pertinent sans les photos. C'est le genre d'intervention citoyenne qui donne une vraie personnalité à des quartiers, j'adore ça. Les rues Mentana et Waverly valent le détour si vous êtes dans le coin (Mile-End/Nord du Plateau). Pas nécessairement besoin de grands événements ou de subventions de nos gouvernements pour créer de vrais corridors d'art (même si c'est bienvenu), il faut juste des artistes impliqués dans leur quartier. Il y a aussi un terrain vague aménagé en champ d'œuvres à la sortie ouest du viaduc Van Horne, par l'artiste Glen LeMesurier, qui mérite qu'on s'y attarde. http://journalmetro.com/actualites/montreal/985512/un-quartier-soude-par-lart/ Plateau-Mont-Royal: Un quartier soudé par l’art Par Josie Desmarais Texte et photos En vous baladant dans les rues du Plateau, avez-vous déjà remarqué des œuvres d’art disposées devant des résidences privées? Métro vous propose une excursion dans ce quartier foisonnant d’artistes. Waverly Dans cette rue du Mile-End, on trouve plus d’une dizaine d’œuvres sises dans les cours avant des maisons. C’est le soudeur-sculpteur Glen LeMesurier qui est derrière ces installations, qui intriguent et égaient les passants. L’artiste s’inspire des lieux et de l’architecture pour créer ses pièces, faites de morceaux de métal recyclés. Son projet artistique, Bloom (fleurir), s’étale depuis trois ans dans le quadrilatère formé par les rues Van Horne, Saint-Urbain, Fairmount et Parc. C’est l’artiste lui-même qui propose ses œuvres aux propriétaires, qui peuvent les garder aussi longtemps qu’ils le désirent ou même les acheter. C’est ce qu’a fait Richard Ryan, conseiller de Projet Montréal. «Glen marque le territoire. C’est un quartier ouvert à l’art, et les gens embarquent facilement». Une des plus récentes œuvres de Glen LeMesurier a été installée devant les bureaux d’un acuponcteur. La pièce, discrète, évoque une colonne vertébrale surmontée d’une fleur. Mentana Des résidants de la rue Mentana affichent pour leur part des sculptures de bois devant chez eux. Elles sont l’œuvre de Jacques Huet, un artiste-menuisier qui habitait la rue. À l’instar de Glen LeMesurier, il a demandé à ses voisins s’il pouvait installer ses œuvres de bois devant leurs demeures. En 2008, Jacques Huet commence un corridor d’art en disposant 13 œuvres rue Mentana. Il meurt le printemps suivant, mais les installations restent en place tout l’été. On peut présentement en observer cinq, les autres étant entreposées ou en processus de restauration. Satellite diffuseur de l’art dans l’espace a été restaurée l’été dernier par la fille de M. Huet, Christiane Dinelle. «Depuis, des voisins m’ont demandé : “En as-tu une de trop?” Alors j’en ai placé trois autres.» On peut les admirer entre les rues Mont-Royal et Gilford. Une sculpture de Glen LeMesurier a été ajouté samedi dernier sur la rue de l’Esplanade. Voyez son installation ici: (voir le vidéo dans le lien)
  4. http://www.lapresse.ca/arts/arts-visuels/201501/31/01-4840166-musee-mccord-2015-lannee-photographique.php Publié le 31 janvier 2015 à 14h00 | Mis à jour le 31 janvier 2015 à 14h00 Musée McCord: 2015, l'année photographique ÉRIC CLÉMENT La Presse Le musée McCord honorera de belle façon la photographie en 2015 avec, en point d'orgue, une rétrospective des oeuvres de Horst P. Horst et un hommage au photographe montréalais David Wallace Marvin. L'affichiste Vittorio et les céramiques queer de Léopold L. Foulem, Paul Mathieu et Richard Milette complètent la programmation. Feux de camp : le baroque dit Queer de Léopold L. Foulem, Paul Mathieu et Richard Milette Du 9 avril au 16 août Le musée d'histoire sociale de la rue Sherbrooke amorcera sa nouvelle saison avec une exposition de 70 pièces de trois céramistes qui exploitent la culture homosexuelle, l'identité et la sexualité queer. « C'est une expo conçue par le Gardiner Museum de Toronto qui montre des oeuvres d'art décoratif en lien avec la culture gaie, très importante à Montréal, de façon humoristique. C'est un corpus très audacieux de la part de ces trois artistes montréalais », dit Suzanne Sauvage, présidente et chef de la direction du musée. Horst - photographe de l'élégance Du 14 mai au 23 août Mise en circulation par le Victoria and Albert Museum de Londres et présentée en exclusivité nord-américaine, cette première grande rétrospective des oeuvres du photographe de mode Horst P. Horst (1906-1999) comprendra 250 clichés, dont ses photos de studio, ses travaux avec les surréalistes et ses clichés de voyages au Moyen-Orient. On pourra aussi voir ses carnets de croquis, des images d'archives (tournées notamment dans les studios de Vogue dans les années 40), des revues, des robes de haute couture signées Chanel ou Lanvin et des études de nus. Beaucoup de photos en noir et blanc, mais aussi en couleurs. L'expo évoquera ses sources d'inspiration, notamment son intérêt pour l'art gréco-romain. David Wallace Marvin Du 12 juin au 18 octobre Le musée présentera, à l'extérieur, avenue McGill College, 23 photos grand format de David Wallace Marvin (1930-1975) sur son quartier de Griffintown dans les années 60 et 70. Des photos de tavernes, de vieilles enseignes, d'épiceries placardées d'affiches publicitaires et de ruelles encombrées qui contrasteront avec l'allure actuelle du quartier. Des clichés d'un quartier ouvrier marqué alors par la pauvreté et un certain délabrement immobilier. « Ces photos font partie du fonds de 6000 négatifs 35 mm de David Wallace Marvin qui nous a été donné. Elles sont superbes », assure Suzanne Sauvage. Montréal dans l'oeil de Vittorio Du 25 septembre au 10 avril 2016 Le musée célébrera le travail de l'affichiste et designer montréalais Vittorio (de son vrai nom Vittorio Fiorucci) depuis les années 60 jusqu'à l'an 2000, alors qu'il témoigne, en dessinant, de l'histoire sociale et culturelle de Montréal. « Il a été le témoin de nombreux événements tels la libération des femmes, la renaissance de la rue Crescent, les expropriations à Mirabel ou les mouvements environnementaux », dit Suzanne Sauvage. Il s'agit de la première exposition d'envergure sur Vittorio depuis sa mort en 2008. Le musée présentera 60 affiches, des photos, des objets personnels, des extraits vidéo, des illustrations, des calendriers et des bandes dessinées.
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/548005/des-oeuvres-dart-que-vous-ne-verrez-jamais/
  6. http://journalmetro.com/actualites/montreal/169134/trois-idees-que-montreal-devrait-importer/ Montréal accueillera du 11 au 13 octobre un important sommet sur le patrimoine canadien. Si Montréal tire plutôt bien son épingle du jeu en termes de sauvegarde du patrimoine, elle pourrait quand même s’inspirer d’autres villes. Décryptage. Gérer le parc Jean-Drapeau à la vancouvéroise À Vancouver, l’équivalent du parc du Mont-Royal s’appelle le parc Stanley. Cette ancienne zone militaire de 400 hectares est le troisième plus grand parc urbain en Amérique du Nord, devant Central Park. Sa particularité? Comme les autres parcs de Vancouver, il est géré par sept administrateurs qui sont élus par les citoyens pour un mandat de trois ans. «Les candidats doivent notamment présenter leur vision de développement avant d’être élus et doivent ensuite rendre des comptes aux citoyens de façon mensuelle, dans le cadre d’assemblées publiques», explique Dinu Bumbaru, directeur des politiques d’Héritage Montréal. Selon lui, ce mode de gestion devrait être importé, notamment à la Société du parc Jean-Drapeau, qu’il qualifie de «baronnie». La Société du parc Jean-Drapeau a souvent fait les manchettes à cause des salaires mirobolants de ses dirigeants et de sa gestion opaque (l’ancien directeur général, qui fut un temps directeur d’Union Mont*réal, s’est fait mettre à la porte récemment). «Le parc Jean-Drapeau est un lieu d’histoire où s’est tenue l’Expo. Il mériterait qu’on lui donne une structure démocratique», clame M. Bumbaru. Malgré son mode de fonctionnement plus ouvert, le parc Stanley n’a pas été épargné par les politicailleries. En 2009, l’opposition dénonça ainsi les tentatives d’ingérence du maire Gregor Robertson dans les affaires du Board of Parks and Recreation. Promouvoir l’art public comme Calgary «L’art public, à Montréal, on en parle; à Calgary, on agit», lance Dinu Bumbaru qui cite en exemple la nouvelle promenade décorée d’œuvres récemment aménagée le long de la rivière Bow. Dans la métropole albertaine, pour chaque projet municipal qui dépasse le million de dollars, 1 % du projet va à la réalisation d’une œuvre d’art destinée à être exposée sur le site. De 2004 à 2011, 31 œuvres totalisant 10,2 M$ ont ainsi été créées et 17 pro*jets étaient en cours d’élaboration. Si la valeur artistique est inégale, M. Bumbaru pense que Montréal devrait quand même s’inspirer de ce programme. «J’ai d’ailleurs proposé aux membres d’Héritage Montréal qu’on aille voir ce qui se fait à Calgary pour y puiser des idées», rigole M. Bumbaru. Si la Ville de Montréal a adopté en 2010 un nouveau cadre d’intervention en art public qui contient plusieurs engagements, elle n’a toutefois fixé aucun échéancier pour l’intégration des œuvres aux futurs projets d’architecture. Calgary travaille, comme Montréal, à trouver une nouvelle vocation à son ancien Planétarium, mais a déjà réhabilité son square Viger, deux dossiers qui traînent à Montréal. Sauver les vieilles publicités murales comme à Lyon Montréal compterait encore plus d’une centaine de vieilles publicités peintes sur les murs à la gloire notamment des phonographes Lindsay, des fourrures John Henderson et des cigarettes Turrets. L’écrivaine Réjane Bougé a publié un livre sur le sujet qui sort en librairie cette semaine : Sur les murs d’un Montréal qui s’efface. Selon elle, il faudrait étudier la possibilité de sauvegarder certaines de ces réclames qui jouent encore un rôle, même si les marques qu’elles vantent ont aujourd’hui disparu. «Le passé et le présent se chevauchent dans un dialogue éloquent qui fait prendre conscience de l’usure du temps», écrit-elle à leur sujet. Pour les sauver, on pourrait, par exemple, faire parrainer la restauration d’une publicité murale par une entreprise appartenant au même secteur d’activité, suggère-t-elle. Du même souffle, elle se questionne. «L’émotion que suscitent ces vieilles publicités tient au fait qu’on voit l’usure du temps et qu’on se dit qu’elles vont finir par disparaître. Je me demande si elles dégageraient la même chose, une fois restaurées», a-t-elle déclaré. Montréal pourrait s’inspirer de Lyon, qui a reconnu les murs peints comme des œuvres d’art lorsqu’elle a établi sa politique municipale d’aménagement et de mise en lumière des espaces publics, favorisant ainsi par la bande la restauration de ses vieilles réclames.
  7. Salut à tous, J'aimerais avoir votre opinion sur une idée que j'ai eu aujourd'hui. Outre vos commentaires sur l'idée elle-même, j'aimerais surtout avoir des suggestions quant à la stratégie à adopter afin de faire réaliser un tel projet (qui contacter, comment s'y prendre, etc.). Merci! --- Avec le développement du Quartier des Spectacles, et avec le Village gay et le secteur commercial le plus dense au Canada, la rue Ste-Catherine est certainement l'une des artères les plus intéressantes en Amérique du Nord. Elle pourrait peut-être même être considérée comme l'une des meilleures au monde... si ce n'était de ce no man's land, ce secteur dénué d'âme qui se siue entre Berri et St-Laurent, soit entre le Village et le Quartier des Spectacles. J'ai pensé à un concept de développement pour ce secteur, afin de le rendre attrayant. Il s'agirait d'un secteur de transition entre le Village et le QdS, qui aurait néanmoins une identité propre. Le concept que j'ai en tête est le suivant: le secteur serait divisé en trois zones/tronçons (voir le 2e fichier joint) ayant chacun un thème particulier. La première zone, qui ferait la transition avec le QdS, aurait pour thème l'ART; la deuxième, faisant échos aux édifices de l'UQÀM, aurait pour thème le SAVOIR; et la troisième, faisant la transition avec le Quartier Gai, aurait pour thème la DIVERSITÉ. Deux éléments permettraient de reconnaître l'identité de chaque zone. D'abord, la pièce maîtresse de mon concept: d'un bout à l'autre de ce secteur, il y aurait un mince ilôt au centre de la rue Ste-Catherine (entre les deux voies), où une structure permettrait d'afficher des oeuvres de grande taille (photos, tableaux, etc.). Les passants pourraient admirer les oeuvres des deux côtés de la rue. Dans la zone ART, on retrouverait sur l'îlot des oeuvres artistiques ; dans la zone DIVERSITÉ, on retrouverait des oeuvres illustrant la diversité humaine.... vous saisissez le concept. Les oeuvres présentées seraient des expositions temporaires, pouvant être renouvellées sur une base plus ou moins régulière. Bref, les touristes visiteraient ce secteur afin d'y découvrir les différentes expositions. En plus d'être un lieu de transition entre deux quartiers, ce secteur deviendrait une destination en elle-même. Le deuxième élément consisterait en la construction de grandes arches à l'entrée de chacune des trois zones. Ces arches seraient des portes d'entrée permettant d'identifer la saveur thématique de la zone dans laquelle le passant est sur le point de pénétrer. Outre ces deux éléments principaux, on pourrait réaménager le parterre à la manière du Quartier des Spectacles, planter des arbres, proposer un mobilier urbain audacieux, etc. Je crois que toutes ces modifications permettraient de transformer un secteur sans saveur en une destination touristique d'envergure, et de faire de la rue Ste-Catherine une artère capable de rivaliser avec la Rambla de Barcelone et les autres artères majestueuses à travers la planète. Qu'en pensez-vous? Le Philosophe
  8. En bref - L'architecte Arthur Erickson est mort La Presse canadienne Édition du vendredi 22 mai 2009 Mots clés : Arthur Erickson, architecte, Décès, Culture, Canada (Pays) Vancouver -- L'architecte canadien de renommée internationale Arthur Erickson est mort à l'âge de 84 ans. M. Erickson, qui avait été choisi personnellement par l'ancien premier ministre Pierre Trudeau pour concevoir l'ambassade du Canada à Washington, est mort mercredi à Vancouver entouré de sa famille et d'amis venus de partout dans le monde, a précisé son neveu. Le travail d'architecte de M. Erickson a d'abord été acclamé à l'étranger pour sa conception de l'Université Simon-Fraser, en Colombie-Britannique, pour laquelle il a d'ailleurs été récompensé. Ses oeuvres se sont par la suite rapidement répandues à l'échelle mondiale. Outre ce projet, M. Erickson a également imaginé la California Plaza à Los Angeles, le Napp Laboratories à Cambridge, le Kuwait Oil Sector Complex, etc. http://www.ledevoir.com/2009/05/22/251533.html (22/5/2009 8H50)
  9. Certains gestionnaires jouent au golf ou collectionnent les oeuvres d'art. C'est plutôt le judo qui inspire Bernard Letendre. Pour en lire plus...
  10. Les as en capital de risque ont davantage une réputation de requins que de bons samaritains. Ils sont pourtant nombreux à vouloir redonner aux oeuvres de charité, en autant que leur argent soit bien administré. Pour en lire plus...
  11. Après avoir été retardé pendant 13 ans, le procès qu'intente l'auteur Claude Robinson contre Cinar pour le présumé plagiat d'une de ses oeuvres s'ouvre au Palais de justice de Montréal. Pour en lire plus...
  12. 18 mai 2007 Le square Saint-Louis a retrouvé sa fontaine la semaine dernière. La restauration a été annoncée au mois d'octobre dernier. Les travaux se sont échelonnés tout l'hiver. La restauration était devenue nécessaire pour assurer l’intégrité physique et maintenir la valeur artistique de l’œuvre. La restauration de l’œuvre d’art a été effectuée en atelier par la firme Dolléans Inc. Art Conservation, au montant de 72 609 $. La fontaine fut réinstallée le 16 avril et mise en opération le 8 mai. Réalisée en 1849, la fontaine en fonte de fer, située au centre d’un grand bassin peint dans le square Saint-Louis, fait partie d’une série de fontaines du même type à Montréal, dont plusieurs sont maintenant disparues. Ces œuvres d’art datent de la fin du XIXe siècle et début du XXe siècle. Les éléments constituant ce type de fontaine étaient à l’époque vendus sur catalogue par Mott Iron Works. Les différentes composantes de ces œuvres permettaient d’ériger des fontaines différentes et personnalisées. «Cette fontaine, qui date de l’époque victorienne, représente un élément patrimonial important pour notre métropole et pour l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. C’est pourquoi je suis heureuse de la décision de conserver et de mettre en valeur cet élément identitaire qui occupe une place particulière dans le cœur des résidents du Plateau», a affirmé Helen Fotopulos, mairesse de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal.
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