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17 résultats trouvés

  1. http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php?t=23183 Une oeuvre suspendue de Janet Echelman à la place Émilie-Gamelin sent via Tapatalk
  2. Plus de 277 000 personnes ont visité l'exposition Chihuly cet été à Montréal : c'est le plus haut niveau de fréquentation d'une exposition présentée au MBAM depuis les dix dernières années. À la demande générale des visiteurs et des Montréalais qui, durant tout l'été, ont admiré Le soleil de l'artiste Dale Chihuly devant la façade du pavillon Michal et Renata Hornstein et ont souhaité que cette oeuvre prenne racine à Montréal, le Musée a décidé de lancer un appel à tous pour la conserver, avec l'aide du public. La majorité des oeuvres qui composent la collection patrimoniale du MBAM a été acquise grâce à la générosité exemplaire de nombreux donateurs et collectionneurs. Pour être en mesure d'acquérir ce Soleil qui deviendra une icône pour Montréal, la contribution généreuse des Montréalais est nécessaire. Le coup de coeur des Montréalais pour Dale Chihuly restera dans les mémoires grâce à cette oeuvre monumentale qui sera installée en permanence au Musée. Jusqu'au printemps, vous pourrez l'admirer dans le hall d'entrée du pavillon Jean-Noël Desmarais. Merci de nous aider à conserver Le soleil à Montréal. http://www.mbam.qc.ca/soleil
  3. Sur Jeanne-Mance: [video=youtube;mAHF8QsSu-I]http://www.youtube.com/watch?v=mAHF8QsSu-I&feature=share&list=UUCm3eAbiTKAowAPMpSdd1Xg
  4. walker

    L'HOMME de Calder

    La sculpture "L'Homme" d'Alexander Calder, sur le site d'EXPO 67, serait, d'apres la revue MONTREAL centre-ville (printemps 2008), " la plus importante oeuvre d'art de la collection municipale d'art de la ville de Montreal, mais aussi la plus grande oeuvre de valeur au Canada ". Sa valeur serait evaluee a 50 millions de dollars americains (Quoiqu'avec la valeur du dollar americain, on ne sait plus si c'est un " plus value" )
  5. Une œuvre d'art de 40 000 $ sur un terrain de soccer MIRABEL – La Ville de Mirabel a dû intégrer une œuvre d’art d’une valeur de plus de 37 500 $ à son nouveau terrain de soccer synthétique en vertu de la politique d’intégration des arts. Un « pur gaspillage d’argent », selon le maire Hubert Meilleur. La dernière œuvre à avoir vu le jour sur le territoire des Laurentides en 2011, selon un document officiel du ministère de la Culture du Québec, se retrouve dans la catégorie « estampe ». Les images, qui trônent sur des panneaux installés à même la clôture qui borde le terrain, représentent des pictogrammes de différentes couleurs. La politique en vigueur, qui s’applique entre autres à une ville lorsqu’un ministère lui verse une subvention pour réaliser un projet visé de plus de 150 000 $, consiste « à allouer environ 1 % du budget de construction d'un bâtiment ou d'aménagement d'un site public, à la réalisation d'œuvres d'art précisément conçues pour ceux-ci. » « C’est un décret qu’on est obligés de respecter, mais qui ne fait pas notre affaire du tout », a expliqué le maire de Mirabel. Dans le cas du terrain synthétique, la valeur admissible était de 40 000 $ pour un projet de 2,8 millions $ subventionné à plus de 50 % par le Fonds Chantiers Canada-Québec. Un budget de 6 000 $ était aussi attribué aux frais de services administratifs Hubert Meilleur s’est dit estomaqué « de voir l’argent gaspillé pour ça ». Selon lui, il faut être vraiment riche. « Quand je regarde l’œuvre, je reste très perplexe face à l’argent qu’on est obligé d’investir, a-t-il dit. Mais quand tu en parles, les artistes se lèvent tous debout. C’est une politique passée par le gouvernement pour avoir les artistes de son bord. » Un tel montant, remis à un seul artiste, « c’est exagéré », d’après lui. Il croit que l’argent investi devrait être versé à l’ensemble des artistes du Québec plutôt qu’à une seule personne « favorisée ». Selon le site internet du ministère, « le coût des quelque 3000 œuvres qui ont été réalisées depuis 1961 est évalué à près de 100 millions $ ». Sur le territoire de Mirabel, 18 œuvres d’art ont été intégrées, notamment sur le site de différentes écoles, en vertu de la politique en vigueur pour divers projets subventionnés par Québec. http://www.journaldemontreal.com/2012/06/26/une-oeuvre-dart-de-40-000--sur-un-terrain-de-soccer
  6. Le Four Seasons, à Beyrouth Le FS, c'est l'édifice de droite, à gauche, on jurerait une oeuvre de Panzini. C'est quand même étonnant qu'il y ait un FS à Beyrouth, mais aucun au Québec.
  7. Le maire Gérald Tremblay et la ministre de la Culture, Christine St-Pierre, ont inauguré lundi l’œuvre «Give Peace a chance» en l’honneur de la célèbre chanson de John Lennon écrite lors de son bed-in à Montréal avec Yoko Ono en 1969. Située à proximité de l'entrée Peel du parc du Mont-Royal, l’œuvre d’art public est la création de l'artiste Linda Covit et de l'architecte Marie-Claude Séguin et elle «évoque la diversité culturelle de Montréal et symbolise l'intégration de l'être à son milieu et au monde.» L'oeuvre est composée d'environ 180 dalles en pierre calcaire alignées côte à côte sur le sol plat et sur lesquelles est inscrite, en 40 langues, la phrase «Give Peace a Chance». Les deux politiciens étaient enchantés par l’œuvre d’art qui, selon eux, enrichit les espaces publics et permet le rayonnement de la culture des artiste d’ici. «Intégrer une œuvre d'art au paysage d'une ville, c'est en rehausser son cachet, mais c'est aussi améliorer la qualité de vie des citoyens qui, au quotidien, profitent d'un musée à ciel ouvert. [Elle] vient renforcer la valeur artistique et patrimoniale du mont Royal», a expliqué la ministre St-Pierre. Gérald Tremblay a quant à lui fait savoir que «l'inauguration de cette œuvre est également une belle illustration de l'enthousiasme de nos créateurs à mettre leur talent au profit de l'art public. Il s'agit d'un apport inestimable à la renommée de Montréal comme ville de créateurs et métropole culturelle.» Réaménagement Cela aura pris deux ans et 4 365 000 $ à l’entrée Peel pour faire peau neuve. La nouvelle entrée se distingue par une composition de marches et de pavés de granit recyclés et de murets de calcaire. Rappelons que la ville de Montréal a proclamé en 2004 la semaine du 26 mai au 2 juin «Une Chance à la Paix / Give Peace a Chance» en l'honneur de la visite de John Lennon et de Yoko Ono à pareilles dates en 1969. En chiffres Cette création a coûté 125 000 $ et elle s'ajoute à la collection d'art public de la Ville de Montréal. http://www.journalmetro.com/montreal/article/539252--l-uvre-give-peace-a-chance-inauguree-sur-le-mont-royal
  8. Savez vous qu'est qui c passée avec cette oeuvre d'art devant le complexe desjardins? Merci d'avance
  9. Atze

    Quiz

    Un petit quiz pour teminer la série de photo: Qui peut identifier l'emplacement de cette oeuvre d'art ?
  10. CGI obtient un contrat de 25 M$ US sur 10 ans 14 octobre 2008 - 12h29 Presse Canadienne CGI Federal, une filiale américaine du Groupe CGI (GIB.A), a obtenu un contrat de l'ordre de 25 M$ US de la Federal Communications Commission (FCC) des États-Unis. Le contrat est d'une durée de 10 ans. La FCC a sélectionné CGI comme entrepreneur principal afin de lui fournir un logiciel de gestion financière et une solution d'hébergement dans le cadre de son projet visant à remplacer son système financier de base. La FCC remplacera ainsi le logiciel de gestion financière actuel de CGI, Federal Financial System, par Momentum, un autre produit de CGI. L'application du système financier de la FCC sera hébergée dans le centre de traitement des données de CGI à Phoenix, en Arizona. En vertu du contrat, CGI mettra en oeuvre la suite logicielle Momentum Financials pour la FCC, notamment les modules de budgétisation et d'entreposage de données de Momentum. CGI exécutera toutes les activités d'intégration et de mise en oeuvre, l'hébergement, la gestion des applications ainsi que les activités d'exploitation et de maintenance courantes. Fondé en 1976 et basé à Montréal, le Groupe CGI est une entreprise spécialisée dans les services en technologies de l'information et en gestion des processus d'affaires. CGI et ses entreprises affiliées emploient quelque 27 000 professionnels oeuvrant dans plus de 100 bureaux répartis dans 16 pays.
  11. Le patron de la Fed a répété que les conséquences pourraient être lourdes si le plan n'est pas mis en oeuvre et si la crise des crédits se poursuit. Pour en lire plus...
  12. Une fois mis en oeuvre, l'accord éliminera les droits de douane sur la majorité des marchandises. Les échanges entre les deux pays sont actuellement limités. Ils ont atteint 76 M$ l'an dernier. Pour en lire plus...
  13. Le contrat de 36 mois est évalué à 29,6 M$ US pour la mise en oeuvre d'un système pour l'aide à l'enfance dans cet État américain. Pour en lire plus...
  14. Montréal, le 20 décembre 2007 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, est heureux d'annoncer que la Ville de Montréal offrira une œuvre de Michel Goulet à la Ville de Québec pour célébrer le 400e anniversaire de sa fondation. L'œuvre, Rêver le nouveau monde de Michel Goulet, sera installée sur la place de la Gare et sera inaugurée l'automne prochain. « Cette œuvre que nous offrons à la Ville de Québec témoigne des liens solides d'amitié et de solidarité qui unissent la capitale nationale et la métropole. Rêver le nouveau monde de Michel Goulet, de l'un de nos sculpteurs les plus renommés, veut également exprimer notre volonté de bâtir ensemble un avenir prometteur », a déclaré M. Gérald Tremblay. Rêver le nouveau monde – des « chaises poèmes » L'œuvre a été retenue à la suite d'un concours lancé auprès des artistes montréalais l'été dernier. Elle prendra pour éléments clés la chaise et le poème. La chaise est un motif récurant dans l'œuvre de Michel Goulet, et est, d'une certaine façon, la signature de sa sculpture. Pour l'artiste, la chaise a toujours été le prétexte de rencontres, de mise en commun, d'échanges et le révélateur de ce qui nous singularise mais aussi de ce qui nous rassemble, nous positionne. Michel Goulet a conçu Rêver le nouveau monde pour être située le long d'un sentier de la place qui jouxte la Gare du Palais. L'œuvre sera formée de quarante chaises représentant un portrait de la société et les rapports entre les individus. Les quarante chaises porteront quarante fragments de textes de quarante poètes écrit entre le premier jour de la fondation de Québec et aujourd'hui. L'artiste : Michel Goulet Artiste sculpteur né à Asbestos au Québec, Michel Goulet vit et travaille à Montréal. Il est considéré comme l'une des figures marquantes de sa génération en sculpture. Son travail a fait partie de nombreuses expositions importantes dans plusieurs lieux prestigieux au Canada et à l'étranger dont au Musée d'art contemporain de Montréal, au Musée national des beaux-arts du Québec et au Centre international d'art contemporain. Reconnu pour sa contribution indéniable à l'art public ici et à l'étranger, il a créé plus de vingt œuvres permanentes depuis vingt-cinq ans. Il était en 1990 le premier artiste canadien invité par le Public Art Fund à montrer une œuvre publique sur Doris Freedman Plaza, à New York et, la même année, la Ville de Montréal lui commandait Les Leçons singulières, une œuvre phare de l'art public pour la Place Roy et le belvédère du Parc Lafontaine. En 2000, il a réalisé, en collaboration avec Réal Lestage, urbaniste et Julie St-Arnault, architecte paysagiste, Le Jardin des curiosités, intégré au Jardin de Montréal, sur le Belvédère Abbé Larue à Lyon. En 2002, il inaugurait Fair Grounds, une œuvre permanente commandée par la Corporation Tridel, à Toronto. Il participait en 2003 au Vancouver International Sculpture Project et en 2006 à la Biennale d'art contemporain du Havre, en France. Il a représenté le Canada à la Biennale de Venise en 1988, considéré comme le plus grand événement international en art contemporain. Michel Goulet est lauréat du Prix Paul-Émile-Borduas, la plus haute distinction accordée par le Gouvernement du Québec, à un artiste en arts visuels. Le concours Le Bureau d'art public de la Ville de Montréal a tenu l'été dernier un concours par avis public à l'intention des artistes professionnels résidant dans la ville de Montréal. Les trois finalistes : Marie-France Brière, Michel Goulet et Gilles Mihalcean ont été désignés par un jury de sélection dont six des sept membres provenaient de Québec. Ce jury réunissait Mme Line Ouellet, directrice des expositions et des publications, au Musée national des beaux-arts du Québec, Mme Francine Chainé, directrice du programme de maîtrise en arts visuels à l'Université Laval, Mme Nicole Catellier, muséologie, directrice de Cinémanima, M. Jean-Pierre Morin, sculpteur, M. David Naylor, professeur au département d'arts visuels de l'Université Laval, Mme Josée Bonneau, responsable de l'art public au Service de la culture de la Ville de Québec et de Mme Francyne Lord, commissaire à l'art public de la Ville de Montréal. SOURCEhttp://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=65,106529&_dad=portal&_schema=PORTAL&_piref65_263689_65_106529_106529.next_page=htdocs/portlet/communiques/fr/detail.jsp&_piref65_263689_65_106529_106529.id=9207&annee=2007&mois=12
  15. (Le samedi 31 mars 2007 )Le grand stabile L'Homme, du sculpteur américain Alexander Calder, que l'on peut voir ancré dans l'île Sainte-Hélène depuis le Vieux-Port de Montréal, pourrait être déménagé au centre-ville, à l'échangeur des Pins, à la place du Canada ou dans le futur Quartier des spectacles. Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal, a suggéré un tel déménagement jeudi à l'UQAM alors qu'il prononçait une conférence intitulée Beauté, esthétique et tourisme : les défis de Montréal, au cours de laquelle il a encouragé la Ville à améliorer l'attrait de la métropole. Selon M. Lapointe, Montréal devrait mettre davantage en valeur la sculpture de «l'oiseleur de fer», comme le poète Jacques Prévert appelait le sculpteur américain. Pour ce faire, il a proposé l'échangeur des Pins ou la place du Canada, au coin du boulevard René-Lévesque Ouest et de la rue Peel. «Dans l'île, on ne peut se rendre à cette sculpture immense en voiture, a dit M. Lapointe. Et il est difficile de la voir depuis le centre-ville, surtout avant le mois de juin alors qu'elle est cachée par les branches des arbres.» Charles Lapointe dit qu'il faut agir comme on l'a fait avec La Joute, de Riopelle, ôtée de son site olympique pour être avantageusement placée dans le quartier international. La proposition de M. Lapointe est bien accueillie par le maire de Ville-Marie, Benoit Labonté, également responsable de la Culture au comité exécutif de Montréal. M. Labonté veut toutefois que la décision soit «largement partagée». «Cette oeuvre d'art est quand même liée à l'Expo 67 et on est dans l'année du quarantième anniversaire, dit-il. S'il y a une volonté de la mettre en valeur afin qu'elle soit (plus) vue, pourquoi pas, mais il faut trouver un endroit assez grand et cela pourrait être aussi dans le Quartier des spectacles, pour donner à celui-ci une coloration culturelle. Mais je ne recommanderai pas un déménagement avant d'avoir parlé à Héritage Montréal ou à des groupes d'artistes.» Dinu Bumbaru, directeur des politiques à Héritage Montréal, n'est pas très chaud à l'idée de déménager le Calder. «On n'a pas de position dogmatique sur cette oeuvre, mais elle appartient à l'Expo 67 et l'Expo, ce sont les îles, dit-il. Par contre, on doit se demander pourquoi on a arrêté d'installer de grandes oeuvres sculpturales à Montréal avec l'Expo 67. Quand on voit l'installation extraordinaire de La Joute au quartier international, on voit qu'il y a parfois des gestes audacieux à poser.» M. Bumbaru dit qu'on a déjà voulu installer le Calder au centre-ville, «dans la pente de la rue Université». «C'était comme d'envoyer la sculpture en exil dans les gaz d'échappement, dit-il. On devrait aborder le nomadisme des monuments avec parcimonie.» À l'occasion de son 100e anniversaire, le cabinet d'avocats Fasken Martineau va bientôt léguer une oeuvre d'art à l'espace public montréalais, a révélé Charles Lapointe. Et c'est dans le quartier international qu'elle sera placée, a indiqué M. Labonté.
  16. Montréal, le 19 novembre 2007 - La Ville de Montréal et l'arrondissement du Sud-Ouest ont inauguré le 14 novembre dernier une œuvre d'art public installée dans la nouvelle mairie du Sud-Ouest. Intitulée LE PASSAGE — Regarder, entendre, échanger et faire le Sud-Ouest, l'œuvre a été réalisée par l'artiste montréalaise Suzelle Levasseur, à la suite d'un concours tenu dans le cadre de l'initiative l'Art public dans les arrondissements de Montréal. La mairesse de l'arrondissement du Sud-Ouest, Mme Jacqueline Montpetit, s'est réjouie que, dès leur entrée dans leur hôtel de ville local, les citoyens du Sud-Ouest aient accès à une œuvre de cette qualité. « Par son intégration à l'architecture du bâtiment et aux multiples fonctions du lieu, cette œuvre confère à notre mairie d'arrondissement, déjà fort originale puisqu'elle a été aménagée dans une ancienne usine, une personnalité tout à fait unique. Elle offre aux citoyens un contact privilégié avec l'art et jette un regard neuf sur notre identité. » La mairesse a salué l'initiative mise de l'avant par la Ville de Montréal pour accroître la présence de l'art public dans les arrondissements. Elle a également souligné l'expertise du Bureau d'art public de la Ville pour l'encadrement de tels projets. L'œuvre Constituée de sept tondi (châssis de format rond) aux couleurs vives, l'œuvre mise sur la capacité de la couleur de faire pénétrer la lumière et de créer de l'espace. Chaque tondo agit comme un tableau, une fenêtre percée dans le mur. Les trois principaux tondi rappellent des constructions de grande envergure liées au destin du Sud-Ouest, entre autres le canal de Lachine et l'échangeur Turcot. Les quatre autres tondi évoquent les regards de ceux qui ont pris part à ces constructions, aujourd'hui transformées par d'autres. Installée au bureau Accès Montréal dans l'entrée principale de la mairie d'arrondissement, l'œuvre a été créée pour habiter ce site multifonctionnel, à la fois espace de transit, d'accueil, de rencontres et de travail. Ses formes rondes font oublier les appareils utilitaires et les limites physiques du lieu. Elles se veulent aussi des métaphores de la bonne humeur communicative à partager entre citoyens et employés. L'artiste : Suzelle Levasseur Suzelle Levasseur s'intéresse au corps. Une figuration qui se transforme, un corps qui se déconstruit pour se soustraire à la pesanteur et explorer des positions de flottement ou de chute, une quête de l'instable, du déséquilibre. Née à Trois-Rivières, l'artiste a étudié à l'Université du Québec à Montréal. Depuis 1976, ses recherches soutenues l'ont amenée à présenter plus de 30 expositions personnelles et à participer à une cinquantaine d'expositions collectives, au Canada, aux États-Unis et en France. En 1987, le Musée d'art contemporain de Montréal lui a consacré une importante exposition. Les œuvres de Suzelle Levasseur font partie de nombreuses collections privées et publiques : Musée national des beaux-arts du Québec, Musée d'art contemporain de Montréal, Musée d'art de Joliette, Banque d'œuvres d'art du Conseil des arts du Canada, Loto-Québec, collection Prêt d'œuvres d'art du Québec, collection Desjardins d'œuvres d'art, Air Canada, Pétro-Canada, Communauté urbaine de Montréal, Université de Montréal, Université de Sherbrooke, Galerie Éric Devlin, Centre d'art de Baie-Saint-Paul, Musée du Bas Saint-Laurent et Musée de Rimouski. Le concours C'est à la suite d'un concours sur invitation s'adressant aux artistes professionnels que l'artiste a été sélectionnée par un jury formé de deux spécialistes en arts visuels, de l'agent culturel de la maison de la culture Marie-Uguay et d'un employé de l'arrondissement du Sud-Ouest. L'initiative l'Art public dans les arrondissements de Montréal s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la Politique de développement culturel de la Ville de Montréal et de la tenue de «Montréal métropole culturelle, Rendez-vous novembre 2007». Elle vise à encourager les arrondissements à mettre de l'avant des projets d'art public dans les quartiers montréalais. Pour chaque dollar investi par un arrondissement, la Ville offre la somme équivalente, jusqu'à un maximum de 10 000 $ pour un projet. L'investissement total dans ce projet est de 20 000 $, assumé à parts égales par l'arrondissement du Sud-Ouest et la Ville de Montréal.
  17. BroadSign investit 4,5M$ à Montréal Denis Lalonde, LesAffaires.com 11:07 Pour en savoir plus Autres textes : BroadSign Canada Articles de l'industrie Envoyer à un ami<LI class=imprimer>Imprimer cet article Écrire à l'auteur Source: BroadSign.com Le fournisseur de logiciels dédiés aux panneaux d’affichage numériques BroadSign Canada investit un montant de 4,5M$ dans ses installations de Montréal, ce qui permettra la création d’une trentaine d’emplois en 2008. BroadSign entend utiliser cet investissement pour agrandir ses départements de recherche et développement et de support et service à la clientèle. La compagnie prévoit également construire un nouveau centre d’appels et accroître ses effectifs de 30 à 60 employés en 2008 dans la métropole. La société, une filiale de BroadSign International, a également annoncé la nomination de Richard Boudreault au poste de président de son conseil d’administration. Au cours des dernières années, M. Boudreault a œuvré au sein d’organisations incluant SOFINOV, une division de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Oerlikon Aérospatiale et le Centre de Technologie Aérospatiale. Il a siégé sur plus de 20 conseils d’administrations de compagnies privées et publiques. M. Boudreault détient une maîtrise en administration des affaires (MBA) de l’Université de Sherbrooke, une maîtrise professionnelle en ingénierie aérospatiale de Cornell University, de même qu'un baccalauréat en physique de l’Université de Montréal.
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