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  1. Une vaste aire de stationnement située entre les rues Saint-Antoine, Saint-Jacques, Mansfiled et les voies ferrées du CN, au centre-ville, sera transformée en terminus d’autobus temporaire. Les travaux d’aménagement du site de 5500 mètres carrés par l’Agence métropolitaine de transport (AMT), qui doivent coûter 2,7 M$ au ministère des Transports du Québec, ont débuté lundi et doivent être terminés en novembre. La création du terminus Mansfield a pour objectif de favoriser le transport collectif et d’alléger la congestion routière dans le contexte des grands chantiers routiers en cours dans la région de Montréal, comme ceux du pont Champlain et de l’échangeur Turcot. Ainsi, les chauffeurs de plusieurs lignes d’autobus à destination de la Rive-Sud et de la Montérégie prendront des passagers à six quais d’embarquement et attendront leur heure de départ à quatre postes de régulation. http://journalmetro.com/actualites/montreal/985820/nouveau-terminus-dautobus-au-centre-ville/
  2. Ooops! Fitch abaisse la note de l'Ontario L'agence de notation de crédit Fitch a abaissé vendredi la note à long terme de l'Ontario, évoquant les «risques» associés à la cible d'un équilibre budgétaire d'ici 2017-18 qu'a choisie le gouvernement libéral de la province. La note à long terme de l'Ontario est désormais de «AA-», comparativement à «AA» précédemment. Cependant, Fitch a aussi révisé à la hausse les perspectives de la province, qui passent ainsi de négatives à stables. Selon l'agence, les options budgétaires de la province seront vraisemblablement «plus limitées» compte tenu de ce que l'Ontario a fait jusqu'à maintenant pour atteindre sa cible. Le ministre ontarien des Finances, Charles Sousa, a indiqué dans un communiqué que le gouvernement était toujours déterminé à atteindre son objectif, tout en admettant que l'annonce de Fitch mettait en évidence les défis qui guettent l'économie de la province. M. Sousa a rappelé qu'il travaillait avec le président du Conseil du Trésor pour gérer les dépenses et pour réduire la dette et le déficit. http://affaires.lapresse.ca/economie/canada/201412/19/01-4829810-fitch-abaisse-la-note-de-lontario.php
  3. "Montréal a un objectif ambitieux : amener 75 000 personnes d'ici 20 ans à vivre dans le grand centre-ville. Ce sera l'un des axes forts du prochain plan d'urbanisme dont les principauxs axes seront dévoilés prochainement. «Notre stratégie s'inspirera de la stratégie de vancouveroise Living First, tout en l'adaptant à la réalité montréalaise» déclare le responsable de l'urbanisme et chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. L'objectif est d'y créer un pôle de vie en réduisant le trafic auto, en développant le transport en commun et actif (marche et vélo) et en offrant plus de services pour pousser les Montréalais à s'y installer. Pas de projets pharaoniques «À Vancouver, on insiste énormément sur la mixité sociale et démographique, explique Brent Todorian, responsable de la planification urbaine à la Ville de Vancouver. Par exemple, on autorisera un promoteur à construire plus haut si son édifice incorpore une garderie.» Là-bas, pas de projets pharaoniques à la Turcot, mais plutôt d'imposants gratte-ciels au design encadré qui font la part belle aux toits verts et l'envie de M. Bergeron. «À Montréal, entre le secteur Griffintown à l'Ouest et le secteur de Radio-Canada à l'Est, on a de la place pour réaliser de belles choses, mais faudra se réconcilier avec les hauteurs», s'exclame-t-il. Le futur plan d'urbanisme prendra deux ans de cogitations avant d'être adopté. Cela devrait aider à augmenter la population de 500 000 personnes d'ici 2031 au lieu des 194 000 prévus, estime M. Bergeron. " Journal Métro http://www.journalmetro.com/linfo/article/493587--centre-ville-un-objectif-de-75-000-nouveaux-residants
  4. Mise à jour le lundi 20 avril 2009 à 12 h 22 RadioCanada.ca La ministre Yolande James (archives) Radio-Canada a appris que le gouvernement de Jean Charest n'a pas atteint son objectif en matière d'immigration. Le Québec a accueilli 4000 immigrants de moins que la cible maximale fixée par la ministre Yolande James. En 2007, la ministre de l'Immigration annonçait que la province accueillerait 10 000 immigrants de plus par année d'ici 2010 et pour la seule année 2008, Yolande James parlait d'une croissance de 8 %. Mme James déclarait à l'époque: « Pour une première année, notre objectif est de 49 000 et on s'assure d'avoir les mesures nécessaires pour ce faire ». Au ministère, on cherche à minimiser, en expliquant que la ministre parlait d'une cible maximale. Selon Claude Fradet, il faut se référer à la cible inférieure fixée cette année-là à 46 700. Selon lui, les chiffres planifiés sont une fourchette. Selon le ministère, des impondérables peuvent expliquer les résultats de l'an dernier. Mais l'opposition croit qu'Immigration Québec n'a pas les moyens de ses ambitions. « On a beau se fixer des objectifs qui paraissent très importants, si le budget du ministère n'est pas à la hauteur, on n'arrivera pas à atteindre ces résultats que l'on annonce », a estimé le porte-parole de l'opposition officielle en matière d'immigration, Camil Bouchard. Par ailleurs, les cas référés par le fédéral ont baissé de plus de 50 % en cinq ans, ce qui fait dire au Parti québécois qu'Ottawa nuit à l'immigration québécoise.
  5. Bientôt dans une rue près de chez vous Sébastien Templier - La Presse 07 avril 2009 | 08 h 43 Communauto pourrait avoir de la concurrence à Montréal. L'entreprise torontoise CityFlitz a l'intention de proposer son service de location de voitures tape-à-l'oeil d'ici le mois de juin. Pour la modique somme de 1$ par jour, on pourra par exemple rouler dans une Mini aux couleurs de Yahoo! . Instaurer un service d'autopartage compétitif tout en faisant de la publicité, tel est l'objectif poursuivi par cette jeune entreprise ontarienne. CityFlitz est avant tout une agence de pub «nouveau genre» qui propose à toute entreprise de lui assurer sa publicité par le biais de voitures brandées, autrement dit aux couleurs de la compagnie en question. Et pour conduire sa flotte de Mini, Smart, New Beetle et Prius, elle compte tout simplement sur le commun des mortels. Depuis septembre dernier, on peut ainsi louer ces voitures à Toronto pour seulement 1$ par jour. La voiture est disponible à partir de 8h le matin jusqu'à 7h le lendemain. La réservation d'une auto se fait uniquement à partir du site internet de CityFlitz. Sa prise de possession et sa remise se font à l'un des cinq points de chute. Au préalable, il faut signer un contrat d'adhésion et respecter certaines conditions d'utilisation. Parmi elles, l'interdiction de sortir de l'agglomération torontoise et l'obligation de parcourir au moins 30 km par jour. La raison? Ces 30 km garantissent un taux de visibilité au client qui affiche ses couleurs sur la voiture. Cette distance n'est aucunement une contrainte, selon le PDG de CityFlitz, Andreas Kotal: «Nos membres ne sont pas limités par ces 30 km. En fait, ils conduisent en moyenne 50 km par jour.» Pour chaque kilomètre en dessous de cette limite minimale, l'usager paye des frais de 4$. Le contrôle des membres sur la route se fait simplement au moyen d'un système GPS. L'abonnement annuel à CityFlitz est de 30$. Des frais mensuels de 7$ sont perçus et un dépôt (remboursable) de 350$ est exigé à l'inscription. Le plein d'essence est aux frais du conducteur. Dans son fonctionnement, CityFlitz ressemble beaucoup à Communauto. Les tarifs sont concurrentiels. Mais dans l'esprit, les deux entités ne poursuivent pas les mêmes objectifs, selon Marco Viviani, responsable développement et relations publiques de Communauto. «Est-ce vraiment de l'autopartage? On pense que non, dit-il. Notre objectif est de remplacer la possession de véhicules par un service de partage d'automobiles. Est-ce que le service de CityFlitz répond aux mêmes besoins que l'autopartage? Je pense que non. Ils ont une location plus souple avec un objectif publicitaire.» Pour M. Viviani, que ce soit Communauto, CityFlitz ou n'importe quelle agence de location, «tous font la même chose mais pas avec les mêmes objectifs, et tous répondent différemment aux besoins de la population». Il insiste pour dire que Communauto fait de la location à court terme, à très court terme même, 24 heures sur 24, sept jours sur sept, avec une flexibilité d'utilisation. Ce que n'offre pas encore CityFlitz à Toronto. Avec seulement 10 voitures offertes au grand public, CityFlitz est évidemment victime de son succès dans la Ville reine - ou atteint déjà ses limites. «Au début, le public était choqué par le prix de 1$ par jour. Maintenant, tout le monde aime nos voitures brandées et nous affichons toujours complet. Nous avons actuellement une liste d'attente de 4000 personnes pour notre programme d'autopartage. Mais nous allons doubler notre flotte dans les trois prochains mois», affirme Andreas Kotal.
  6. L'équipe économique de Barack Obama a annoncé samedi que le plan de relance du président élu se fixait désormais pour objectif de créer 3,5 millions d'emplois sur deux ans pour contribuer à sortir l'économie américaine de l'ornière. Pour en lire plus...
  7. Le groupe suédois d'électroménager n'atteindra pas son objectif de résultat d'exploitation 2008 en raison d'une baisse de la demande. Pour en lire plus...
  8. Le producteur américain de boissons a revu mardi en baisse son objectif de résultat pour 2008 après des résultats trimestriels décevants. Pour en lire plus...
  9. Le constructeur automobile américain Chrysler a dû procéder au licenciement sec de 250 salariés, pour respecter son objectif de 1000 suppressions d'emploi au sein de ses services administratifs avant la fin de l'année, a-t-il annoncé vendredi. Pour en lire plus...
  10. John Leopold et deux de ses collègues ont représenté les deux sociétés de Dubaï qui ont pris une participation dans le Cirque du Soleil. Prochain objectif de ces avocats? Les fonds souverains. Pour en lire plus...
  11. Dans un objectif de nationaliser l'industrie du ciment, le gouvernement de Chavez signe un accord avec deux compagnies européennes. Pour en lire plus...
  12. Est-ce que quelqu'un sait comment faire disparaitre la tache blanche en haut a droite sur cette photo (je n'ai pas photoshop) ? Mon objectif etait sal sans que je m'en apercoive et j'ai tout une série avec ce problème... Merci!
  13. Le transporteur devra annuler ou réduire le nombre de vols sur quatre destinations supplémentaires afin d'atteindre son objectif de réduction des effectifs. Pour en lire plus...
  14. L'entreprise maintient son objectif: s'attaquer aux «dépenses extravagantes qui découlent de conventions collectives conçues à une autre époque». Pour en lire plus...
  15. La Presse Le mercredi 25 avril 2007 Québec Le Québec a accueilli 44 686 immigrants en 2006, 1314 de moins que ce qu'avait prévu le gouvernement Charest. Cela s'explique en grande partie par le fait qu'Ottawa n'arrive pas à traiter toutes les demandes, estiment le ministre québécois de l'Immigration et des groupes au service des immigrants. Selon la planification triennale de l'immigration 2005-2007, le gouvernement Charest s'était donné comme objectif d'accueillir 46 000 immigrants en 2006. Il en a accueilli 3 % de moins. En 2005, il souhaitait que 44 400 immigrants s'installent au Québec. Mais ce sont 43 312 personnes qui ont immigré, 1088 de moins que prévu. Si les objectifs n'ont pas été atteints, «c'est parce que le fédéral n'a pas émis tous les visas nécessaires», a expliqué hier le porte-parole du ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles, Claude Fradette. «Le nombre de visas délivrés à l'étranger par Ottawa n'a pas suivi la même progression que les certificats de sélection que nous avons émis», a-t-il ajouté, soulignant un «manque de ressources» dans l'appareil fédéral. Québec délivre les certificats de sélection aux immigrants, puis Ottawa leur accorde un visa à la suite d'un examen médical et d'une enquête de sécurité. Le ministère de l'Immigration se défend de condamner Ottawa. «On ne monte pas sur nos grands chevaux. On a eu des discussions avec nos homologues fédéraux pour voir comment les choses pourraient s'arranger en 2007. Ils vont apporter des ajustements», a dit Claude Fradette. Le gouvernement Charest a un objectif encore plus ambitieux pour l'année 2007. Il souhaite accueillir 48 000 immigrants. Ottawa, qui accumule les demandes d'immigration, tarde à traiter les dossiers provenant du Québec, confirme le directeur de la Table de concertation des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes, Stéphane Reichold. Selon lui, «c'est un gros facteur» qui explique les difficultés que connaît le Québec à atteindre ses objectifs. Mais le gouvernement québécois a lui aussi une part de responsabilité dans ses échecs. Stéphane Reichold déplore le manque de ressources investies dans la sélection des immigrants.
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