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  1. Train à haute vitesse Montréal-Boston: Tout le monde à bord? http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/200911/13/01-921553-train-a-haute-vitesse-montreal-boston-tout-le-monde-a-bord.php Yves Schaëffner (Boston) Le projet de train à haute vitesse entre Montréal et Boston est bel et bien sur les rails, si l'on en croit le gouverneur du Massachusetts, Deval Patrick, et le premier ministre Jean Charest. Les deux hommes, qui ont eu un entretien d'une demi-heure vendredi midi, ont dit vouloir tabler sur l'intérêt de l'administration Obama pour le transport ferroviaire afin de faire avancer le projet. «Il y a beaucoup d'intérêt, a assuré le gouverneur américain. Nous avons des échanges commerciaux très importants, nous avons des liens sociaux très forts et, durant certaines périodes de l'année, c'est intéressant d'aller et de venir entre les deux places pour les matchs de hockey», a plaisanté le gouverneur. Entouré de ses deux chiens dans son bureau, il a poursuivi en expliquant qu'un lien Montréal-Boston pourrait s'inscrire dans le cadre du projet de train régional à haute vitesse sur lequel planche plusieurs États du nord-est des États-Unis. Montréal pourrait un jour devenir le dernier arrêt sur cette ligne. Les gouverneurs de la Nouvelle-Angleterre qui ont soumis différents tracés espèrent recevoir l'appui de l'administration Obama pour développer leur projet. Si le projet d'un train à haute vitesse reliant Boston à Montréal fait l'objet de spéculations depuis des années, Jean Charest pense que le projet est davantage sur les rails aujourd'hui qu'il ne l'était par le passé. «D'abord, ce qu'il faut noter, c'est que les États de la Nouvelle-Angleterre se sont mis ensembles pour présenter des tracés conjoints. Cela ne s'était jamais fait auparavant, a-t-il précisé après sa rencontre. Le contexte est évidemment unique parce que le gouvernement fédéral (américain) a annoncé sa volonté d'investir massivement dans le transport ferroviaire, ce qui n'était pas le cas jusqu'à l'élection du gouvernement Obama.» Abondant dans le même sens, le gouverneur du Massachusett a renchéri: «Nous sommes plus avancés dans le sens qu'il y a des sommes qui sont mises de côté dans le plan de relance économique. Il y a des crédits budgétaires tangibles.» Alors, à quand la première pelletée de terre? «Vous devez demander ça au gouvernement fédéral (américain), a répondu M. Patrick. Je lui pose également la question. Espérons que cela soit bientôt.» À travers son plan de relance économique, l'administration Obama compte investir 8 milliards de dollars US pour moderniser le système ferroviaire du pays. Mais, évidemment, la compétition est rude entre les différents États pour obtenir ne serait-ce qu'une portion de cette somme. En juillet, le gouvernement fédéral avait déjà reçu des demandes totalisant plus de 100 milliards dans le cadre de ce programme, selon le Boston Globe. Ça me semble bien intéressant comme projet...mais disons que je ne suis pas convaincu que nous allons voir un nouveua lien à haute vitesse entre MTL et BOS d,ici 2015!!!
  2. http://www.autoblog.com/2009/12/11/report-detroit-three-call-japans-cash-for-clunkers-program-unf/ http://www.autoblog.com/2010/01/07/report-obama-urged-to-push-japan-to-open-its-cash-for-clunkers/ Protectionism in full swing once again in Japan. Why should their cars be eligible for cash for clunkers in the US, if American cars are not there. That is not free trade. Hopefully President Obama puts an end to this nonsense.
  3. Quebec adopts California car emissions standards Rules will gradually lower greenhouse gas emission ceiling for cars Last Updated: Tuesday, December 29, 2009 | 10:17 PM ET Quebec is adopting California's stringent auto-emissions standards next month, in a move to tackle the province's polluting transport sector. When the new emissions standards take effect Jan. 14, Quebec will become the first Canadian province to follow California's lead in reducing greenhouse gases with cleaner light vehicles. The standards will impose increasingly strict limits on maximum greenhouse gas emissions for light vehicles manufactured between 2010 and 2016, and sold in Quebec. By 2016, provincial standards will require light vehicles to produce no more than 127 grams of greenhouse gas per kilometre. New emissions standards for light vehicles in Quebec are modelled after California's stricter regulations.New emissions standards for light vehicles in Quebec are modelled after California's stricter regulations. (Canadian Press)The new rules come after two years of consultation on California's controversial standards, said Line Beauchamp, the province's environment minister. California's emissions program is "really interesting because it is accompanied by a system of penalties, but especially, a system of rewards" for cleaner cars, Beauchamp said in French at a news conference in Montreal on Tuesday. The emission caps apply to a manufacturer's total vehicle fleet, which means companies that manage to come under the limit can either bank their credits, or sell them to others, Beauchamp explained. When the West Coast state first introduced its standards in 2004, it was beset by judicial challenges from the auto industry, a reaction Quebec noted with interest, the environment minister said. But with the advent of Barack Obama as president, and a slow spread of California's standards to other states, Quebec is ready to take the plunge for stricter standards "with much pride," Beauchamp said. The minister noted that several states neighbouring Quebec are among those that have followed California's lead, including Vermont, Maine, Massachusetts, New Jersey and Connecticut. The Obama administration has also signalled its intent to adopt equivalent standards for all of the United States by 2012. In Quebec, the transport sector generates about 40 per cent of the province's greenhouse gases, half of which is caused by light vehicles.
  4. Publié le 16 décembre 2009 à 20h00 | Mis à jour à 20h00 Sans réforme de la Santé, les États-Unis risquent la «faillite» Agence France-Presse Washington Le président Barack Obama a une nouvelle fois plaidé mercredi pour l'adoption d'une réforme de la couverture maladie, affirmant que l'alternative était une «faillite» à terme du gouvernement fédéral, dans un entretien à une télévision américaine. Mesure phare du début du mandat de M. Obama, la réforme de la couverture maladie peine à passer au Sénat, où les élus sont divisés sur le contenu du texte, y compris parmi les alliés démocrates du président. «Si nous ne la votons pas, voici ce qui est garanti: vos primes vont augmenter, vos employeurs vont faire peser davantage de coûts sur vous», a expliqué M. Obama au micro de la chaîne ABC, qui doit diffuser l'entretien en intégralité mercredi soir et en a publié des extraits sur son site internet. Le président a aussi affirmé que les coûts des programmes fédéraux d'assurance maladie suivaient une tendance à la hausse «intenable», et que si rien n'était fait, «le gouvernement fédéral fera faillite». A terme, «personne ne conteste que les coûts de la santé vont utiliser le budget fédéral tout entier», a-t-il insisté. Mardi, M. Obama s'était dit «prudemment optimiste» sur le devenir de la réforme, affirmant que les démocrates étaient sur le point de parvenir à un accord au Sénat. Conformément à la feuille de route rédigée par la Maison Blanche, le projet de loi doit être adopté au Sénat avant la fin de 2009. Le chef de la majorité démocrate au Sénat, Harry Reid, a besoin des voix de 60 sénateurs sur 100 pour faire approuver le projet de loi en évitant une obstruction de la minorité républicaine. Le texte du Sénat vise à fournir une couverture à 31 des 36 millions d'Américains qui en sont dépourvus et à faire baisser les coûts de la santé, tout en améliorant la qualité des soins. Une fois adoptée par le Sénat, la loi devra être fusionnée avec une autre version déjà adoptée par la Chambre des représentants, avant d'être promulguée par M. Obama.
  5. Barack Obama faces 30 death threats a day, stretching US Secret Service US President Barack Obama is the target of more than 30 potential death threats a day and is being protected by an increasingly over-stretched and under-resourced Secret Service, according to a new book. By Toby Harnden in Washington Published: 8:34PM BST 03 Aug 2009 Since Mr Obama took office, the rate of threats against the president has increased 400 per cent from the 3,000 a year or so under President George W. Bush, according to Ronald Kessler, author of In the President's Secret Service. Some threats to Mr Obama, whose Secret Service codename is Renegade, have been publicised, including an alleged plot by white supremacists in Tennessee late last year to rob a gun store, shoot 88 black people, decapitate another 14 and then assassinate the first black president in American history. Most however, are kept under wraps because the Secret Service fears that revealing details of them would only increase the number of copycat attempts. Although most threats are not credible, each one has to be investigated meticulously. According to the book, intelligence officials received information that people associated with the Somalia-based Islamist group al-Shabaab might try to disrupt Mr Obama's inauguration in January, when the Secret Service co-ordinated at least 40,000 agents and officers from some 94 police, military and security agencies. More than a dozen counter-sniper teams were stationed along the inauguration parade route and the criminal records of employees and hotel guests in nearby buildings were scrutinised. Despite all this, there were glaring loopholes in the security. Kessler describes how more than 100 VIPs and major campaign donors were screened by metal detectors but then walked along a public pavement before boarding "secure" buses and were not checked again. It could have been relatively simple for an assassin to have mingled with them in order to get close enough to shoot the new president. After Mr Obama was elected president, his two children Malia, 11, codenamed Radiance, and Sasha, eight, codenamed Rosebud, began receiving Secret Service protection. Mr Obama's wife Michelle is codenamed Renaissance. The Secret Service also started to protect Vice-President Joe Biden's children, grandchildren, and mother. Instead of bringing in more agents - instantly identifiable because of their bulky suits, worn over bullet-proof jackets, and earpieces - the Secret Service directed agents to work longer hours to cover the extra load and to miss firearms training, physical fitness sessions and tests. "We have half the number of agents we need, but requests for more agents have fallen on deaf ears at headquarters," a Secret Service agent told Kessler. "Headquarters' mentality has always been, 'You can complete the mission with what you have. You're a U.S.S.S. agent'." Mr Biden's constant travel, including back to his home state of Delaware-the burden has meant that all agents on his team have ceased training. According to Kessler, however, they fill in forms stating they have "taken and passed all tests, when they have not, creating a dishonest culture". The Secret Service has increasingly cut corners after it was absorbed by the new Homeland Security Department under Mr Bush. Kessler said that when Mr Biden threw the first pitch at the first Baltimore Orioles game of the 2009 season, the Secret Service did not screen any of the more than 40,000 fans, stunning his agents and the local Secret Service field office.
  6. Publié le 24 mai 2009 à 08h19 | Mis à jour à 08h19 La révolution d'Obama Alain Dubuc La Presse Barack Obama a annoncé cette semaine une initiative qui aura un impact économique et environnemental considérable. Il s'agit d'une entente avec l'industrie pour imposer de nouveaux standards d'émissions des véhicules, qui réduiront de façon significative la consommation d'essence et les émissions de gaz à effet de serre. Ce virage, que le président américain a décrit à juste titre comme historique, a eu peu d'échos ici. Et pourtant, même si elle a été décidée à Washington, cette politique nous affectera autant que les Américains. Parce que les 20% de l'industrie automobile nord-américaine qui se trouvent au Canada devront se conformer à ces standards. Et parce que le gouvernement canadien, à la remorque de Washington, sans politique énergétique propre, a déjà laissé entendre qu'il s'ajusterait à ces normes américaines. Cela veut dire que nous serons directement affectés en tant que consommateurs. Entre 2012 et 2016, les producteurs devront réduire les émissions de dioxyde de carbone des véhicules du tiers, et la consommation d'essence d'environ 30%. Pour les automobiles, la consommation devra être, en moyenne, de 35 milles (48 km) au gallon en 2016, soit environ 5,6 litres aux 100 kilomètres. C'est une révolution. Cet objectif extrêmement ambitieux a réussi à rallier le gouverneur républicain de la Californie, Arnold Schwarzenegger, dont les efforts pour imposer des normes environnementales sévères dans son État avaient été bloqués par l'administration Bush. Mais le tour de force du président, c'est d'avoir réussi à faire accepter cette révolution aux constructeurs automobiles qui, jusqu'ici, avaient résisté farouchement. C'est sans doute là un des effets positifs de la crise. L'industrie américaine, qui vit maintenant aux crochets de l'État, n'est plus capable d'imposer sa logique. L'impact environnemental sera significatif, si l'industrie réussit à se conformer à ces normes. Cela équivaut, sur une période de six ans et demi, à retirer 177 millions d'autos de la circulation. Ces mêmes normes, qui s'appliqueront de ce côté-ci de la frontière, auront un effet important, quand on sait qu'au Québec, 31% des émissions des GES proviennent du transport routier. Ce sera tout un choc pour l'industrie, qui devra faire des miracles pour respecter ces cibles, modifier sa gamme de véhicules, accélérer l'innovation technologique, investir des milliards pour convertir les usines. Ce n'est pas rien. Les consommateurs seront aussi touchés. Ces autos moins énergivores coûteront 1300$ de plus, quand on additionne l'effet des normes des administrations Bush et Obama. Cette somme pourra toutefois être récupérée par le choix d'une plus petite auto et par les économies d'essence. Et pourtant, cette nouvelle politique, qui représente un des gestes les plus significatifs pour réduire les émissions de GES, n'a pas suscité ici les réactions qu'elle méritait. Parce que c'est aux États-Unis? Parce que Barack Obama fait trop d'annonces? J'ai une autre explication. J'y vois le reflet d'une tension entre deux façons de résoudre les défis environnementaux: l'approche pragmatique et l'approche militante. Cette réduction draconienne des standards des émissions sera efficace, elle donnera des résultats. Mais elle s'inscrit dans la logique du système; elle ne remet pas en cause la culture de l'automobile, elle la rend plutôt moins nuisible, elle la civilise. La plupart des groupes environnementaux privilégient plutôt une approche qui réduit la place de l'automobile, par le vélo, les transports en commun, l'aménagement urbain. Des avenues dans lesquelles il faut mettre toutes nos énergies. Mais derrière les objectifs immédiats, les batailles environnementales se mènent à un second niveau et s'inscrivent dans un projet plus global qui cherche aussi à modifier les comportements humains, à repenser le système socioéconomique. Voilà pourquoi le projet américain ne suscite pas tant d'enthousiasme. Les militants voudraient changer le système. Ce que montrent les projets du président Obama, c'est que le système peut changer. adubuc@lapresse.ca
  7. Un cabinet d'avocats des îles Caïmans s'installera à Montréal Maples and Calder, un cabinet d'avocats des îles Caïmans que le président américain Barack Obama accuse de faciliter l'évasion fiscale, établira une antenne à Montréal d'ici l'automne. «Le bureau permettra à Maples Finance de puiser dans le réservoir de talents locaux tout en offrant un centre d'activités à partir duquel nous pourrons servir notre clientèle nord-américaine croissante dans les domaines de l'administration de fonds, de la comptabilité de même qu'à titre d'agent des registres et transferts», a indiqué la firme dans un document affiché sur son site Web. «La raison pour laquelle nous avons choisi Montréal, c'est que nous sentions que vous aviez une main-d'oeuvre de très haut calibre et que c'est un bon endroit pour faire des affaires si vous voulez servir vos clients nord-américains», a expliqué un porte-parole de Maples, Thor Valdmanis, au cours d'un entretien téléphonique avec La Presse Canadienne depuis New York. Maples a obtenu le statut de Centre financier international (CFI), ce qui lui donnera droit à une exemption d'impôt provincial sur certains revenus et à une réduction de 75 pour cent des cotisations au Fonds des services de santé du Québec. M. Valdmanis a dit ne pas être au courant de ces avantages fiscaux. Une centaine de sociétés actives à Montréal sont actuellement reconnues comme CFI. Le bureau montréalais de Maples doit amorcer ses activités d'ici la fin septembre. On ne sait pas encore combien de personnes y travailleront. «Des membres de l'équipe mondiale actuelle de Maples Finance ouvriront le bureau afin de faire en sorte que du personnel pleinement formé soit disponible dès le départ», a précisé la firme. Cet «investissement à long terme» vise à développer dans la métropole québécoise «un centre régional qui étendra la présence mondiale de Maples Finance», a précisé la chef de la direction de la firme, Maxine Rawlins. Outre les îles Caïmans, Maples Finance compte déjà des bureaux à Dublin, Dubaï, Hong Kong et au Luxembourg. Controverse Maples and Calder défraye les manchettes depuis plusieurs mois dans le cadre du débat sur les paradis fiscaux. Pendant la campagne présidentielle de l'an dernier, M. Obama a fait mention à plusieurs reprises, sans le nommer, du siège social de la firme, Ugland House, qui sert d'adresse officielle à près de 19 000 entreprises et fonds internationaux. «Il s'agit du plus gros édifice du monde ou de la plus importante arnaque fiscale du monde», a encore répété le président la semaine dernière. «Je suis désolé de décevoir qui que ce soit, mais notre bureau n'est ni le plus gros édifice du monde, ni un centre d'inconduite financière», a rétorqué Charles Jennings, associé directeur de Maples and Calder, à l'agence de presse Bloomberg. «Détenir une adresse enregistrée aux îles Caïmans est motivé par des considérations commerciales et non pas pour faire de l'évitement fiscal, a-t-il ajouté. Cela permet aux entreprises d'obtenir des capitaux et de mener des affaires à l'échelle mondiale.» Dans le but de rétablir la réputation de l'ancienne colonie britannique, le président de la Cayman Islands Financial Services Association, Anthony Travers, vient d'écrire à Barack Obama. Dans sa lettre, il a soutenu que les îles Caïmans collaboraient pleinement avec les autorités américaines et que le pays ne permettait pas aux entreprises d'éviter les impôts. «Les îles Caïmans offrent un faible taux d'imposition, comme le font l'Irlande et d'autres pays, a écrit M. Travers. Cela n'est pas une mauvaise chose et ce n'est certainement pas suffisant pour laisser entendre qu'il s'agit d'évasion fiscale illégale.» Selon les autorités des îles Caïmans, le fait que certaines sociétés des États-Unis ou d'autres pays payent un faible pourcentage d'impôts ne relève pas d'elles, mais des autres gouvernements.
  8. Chrysler se protège de ses créanciers Publié le 30 avril 2009 à 09h00 | Mis à jour à 09h49 Michel Munger lapresseaffaires.com (Montréal) Tel que le réclamaient les autorités, le constructeur automobile Chrysler va demander la protection des tribunaux afin de se restructurer, pouvant ainsi éviter la faillite. La Maison-Blanche a annoncé ce matin que l'entreprise aura recours au chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Le président Barack Obama devrait confirmer le tout devant les médias à midi.La protection judiciaire permettra à Chrysler de faire le ménage au sein de ses activités, au lieu de se faire démanteler par environ 45 créanciers à qui elle doit 6,9 milliards de dollars US. Les médias italiens ont rapporté plus tôt dans la journée que Chrysler s'est entendue avec le constructeur italien Fiat pour que ce dernier prenne une participation de 35%. Les deux entreprises avaient jusqu'à aujourd'hui pour boucler ce partenariat. Le Wall Street Journal rapportait cette semaine que dans le cadre du marché avec Fiat, le syndicat United Auto Workers raflerait une participation de 55% dans Chrysler. Les créanciers, notamment des banques, et les autorités américaines hériteraient des 10% restants. Le recours à la loi sur les faillites était imminent car Chrysler avait jusqu'en fin de journée pour déposer un plan de relance. Le Trésor américain espérait que les créanciers acceptent une révision à la baisse à 2,25 milliards de la dette du constructeur. Ils ont finalement dit non. L'administration Obama a joué un rôle important dans la décision, ayant fait savoir qu'une restructuration avec la protection des tribunaux était la meilleure solution pour Chrysler. Le 30 mars dernier, Barack Obama donnait 30 jours à Chrysler pour préparer sa restructuration et s'entendre avec Fiat, lui fournissant temporairement du capital afin de survivre. Washington laissait entendre qu'une fois ces objectifs atteints, il pouvait allonger 6 milliards de dollars US de prêts. Ce plan de match avait été lancé après des consultations avec les gouvernements canadien et mexicain. «Nous ne pouvons pas, nous ne devons pas et nous ne laisserons pas disparaître notre industrie automobile. Ce secteur est comme aucun autre un emblème de l'esprit américain et un symbole passé comme avenir de la réussite de l'Amérique», déclarait le président Obama il y a un mois. Il avait cependant averti qu'«il y a des emplois qui ne pourront être sauvés et des usines qui ne rouvriront pas» et que «des choix difficiles» devront être faits.
  9. Le président Obama soutient que les résultats du premier trimestre de 2009 s'annoncent aussi mauvais que ceux du dernier trimestre de 2008, le plus mauvais des 25 dernières années. Pour en lire plus...
  10. Dans un discours important devant le Congrès, à deux jours de la présentation de son premier budget, le président américain affirme avoir confiance en ses concitoyens, mais ne cache pas qu'il faudra qu'ils fassent des sacrifices. Pour en lire plus...
  11. Obama : "The days where we’re just building sprawl forever, those days are over" President Obama was back on the road today to garner support for the economic stimulus package that passed the Senate early Tuesday morning. He was speaking today at a town hall forum in Ft. Myers, Florida, and near the end of his hour-long session, a city councilwoman asked him about transportation and infrastructure in the stimulus. Here’s how he responded: It’s imagining new transportation systems. I’d like to see high speed rail where it can be constructed. I would like for us to invest in mass transit because potentially that’s energy efficient. And I think people are a lot more open now to thinking regionally… The days where we’re just building sprawl forever, those days are over. I think that Republicans, Democrats, everybody… recognizes that’s not a smart way to design communities. So we should be using this money to help spur this sort of innovative thinking when it comes to transportation. That will make a big difference. Watch the full session from C-SPAN here. The section begins at around the 55 minute mark. If we can track it down, check back with us later for a more detailed transcript. One way to ensure that we’re not throwing stimulus money into something whose “days are over” would be to ensure that highway funding in the stimulus goes first to reduce the massive backlog of desperately needed maintenance and repair before building new roads and highways. Which would steer funding into projects that can be bid quickly, will create more jobs than new construction, and won’t come with the hidden cost of future maintenance like new construction does. Another smart use of stimulus money would be making sure that the bill maintains the House’s funding level of $12 billion for public transportation. Look back here in the next day or two for more detailed information on weighing in and taking action while the bill is in conference committee. We’ll have a full breakdown of the differences between the two bills and which areas in each version should be supported. Click through to see the full transcript, albeit with possible inaccuracies until we get an official one. Thanks to Jay Blazek Crossley of Houston Tomorrow for sending it over. Speaker: I am now an elected official myself. I serve on the City Council in ? Springs, Florida. My mayor is here as well. Cities throughout Florida are having a difficult time because of the mortgage crisis. Growth has slowed. We fund our transportation infrastructure needs through impact fees. Now that we’re not getting that, we’re falling behind in our ability to keep up with road work, municipal water projects, being able to bring solar panels down here to an inland port. We need commuter rail. We need lots of things for infrastructure in this state. If we ran out of oil today, we would not be able to move in this state, to get around. And I hope that you turn that thing around in the Gulf, we don’t want to drill for oil in the Gulf. We’ve got a beautiful pristine state, so I am asking you, how will we get our state going again in transportation? I’m very worried about our dependence on foreign oil and I don’t want to drill in our Gulf. I want some commuter rail and I want to improve our transportation. President Obama: Well, We have targeted billions of dollars at infrastructure spending and states all across the country are going through what Florida’s going through. there was a study done by the American Association of Engineers - that might not be the exact title, engineers from all across the country. We get a D for infrastructure all across the country. We saw what happened in Minneapolis where a bridge collapsed and resulted in tragedy. Not only do we need to rebuild our roads, our bridges, our ports, our levies, our damns, but we also have to plan for the future. This is the same example of turning crisis into opportunity. This should be a wake up call for us. You go to Shanghai, China right now and they’ve got high speed rail that puts our rail to shame. They’ve got ports that are state of the art. Their airports are you know compared to the airports that we - you go through beijing airport and you compare that to miami airport? Now, look, this is America. We always had the best infrastructure. We were always willing to invest in the future. Governor Crist mentioned Abraham Lincoln. In the middle of the Civil War, in the midst of all this danger and peril, what did he do? He helped move the intercontinental railroad. He helped start land grant colleges. He understood that even when you’re in the middle of crisis, you’ve got to keep your eye on the future. So transportation is not just fixing our old transportation systems but its also imaging new transportation systems. That’s why I’d like to see high speed rail where it can be constructed. That’s why I would like to invest in mass transit because potentially that’s energy efficient and I think people are alot more open now to thinking regionally in terms of how we plan our transportation infrastructure. The days where we’re just building sprawl forever, those days are over. I think that Republicans, Democrats, everybody recognizes that that’s not a smart way to build communities. So we should be using this money to help spur this kind of innovative thinking when it comes to transportation. That will make a big difference. http://t4america.org/blog/archives/661
  12. Feu le plan Obama Jean-Pascal Beaupré La Presse Au rythme où le plan de relance économique est dilué au Congrès, on peut se demander si le président Barack Obama y reconnaîtra ses mesures lorsqu'il sera adopté dans sa forme finale. La montagne est en voie d'accoucher d'une souris. De haute lutte, le Sénat américain s'est entendu, en principe, sur un projet révisé, non sans l'avoir au préalable tronqué de dizaines de milliards destinés à l'éducation. À force de protester, les républicains sont parvenus à faire augmenter substantiellement la part accordée à des réductions d'impôt, improductives, au détriment des projets d'infrastructures, beaucoup plus efficaces dans un contexte de récession. Hélas, le président Obama, qui ronge son frein, n'est pas au bout de ses peines. Après le vote du Sénat, les deux chambres du Congrès doivent fusionner leurs versions du projet. L'adoption des deux plans s'est déjà avérée lancinante et pénible. Imaginez comment la patience de M. Obama sera mise à l'épreuve dans les prochains jours, lui qui, avec raison, cherche à mettre son programme sur les rails le plus rapidement possible. Le temps presse - 3,6 millions d'emplois se sont évaporés aux États-Unis - mais cela ne semble en rien atténuer les joutes partisanes dans les coulisses du Capitole. En recherchant un compromis qui puisse satisfaire les sénateurs républicains, le président a non seulement perdu un temps précieux, mais il leur a surtout donné la chance de miner l'efficacité même de son plan de relance. En tendant la main à la faction modérée du Grand Old Party, il a fait un geste noble, conforme à sa promesse de rechercher des solutions non partisanes. Mais il faut être deux pour danser le tango. Or, il est clair que les républicains veulent faire échouer le plan Obama. Ils répugnent à l'idée de collaborer à un New Deal. Autre source d'inquiétude pour la Maison-Blanche, l'appui du public au plan de redressement s'étiole et ne rallie plus que 56% des Américains. Si on se fie au consensus des économistes, ces 800 milliards seront largement insuffisants pour renverser la vapeur, même s'il s'agit de l'effort gouvernemental le plus gigantesque de l'histoire américaine. Au mieux, ces investissements amortiront la chute, déjà brutale, à la condition que les mesures soient bien ciblées, ce qui est de moins en moins sûr. C'est dire jusqu'à quel point l'économie américaine se rapproche du gouffre. Le Prix Nobel de l'économie Paul Krugman a dit il y a quelques jours que le piège de la déflation n'a jamais autant menacé de s'installer à demeure depuis la Grande Dépression. Et une fois coincé dans la spirale déflationniste, il est très ardu d'en ressortir. Le Japon a mis 10 ans pour s'en extirper dans les années 90, et il le doit au boom économique américain qui est venu à sa rescousse et lui a insufflé un nouvel élan. Mais cette fois-ci, qui serait en mesure de dépanner les États-Unis, dont la crise financière et immobilière a justement contaminé le reste du globe?
  13. Le premier ministre Stephen Harper salue les déclarations du président Barack Obama, selon qui le protectionnisme est une source potentielle de conflits commerciaux. Pour en lire plus...
  14. L'administration Obama doit annoncer des mesures pour limiter le salaire et les rémunérations additionnelles versés aux dirigeants d'entreprises bénéficiant d'une aide gouvernementale. Pour en lire plus...
  15. L'ambassadeur à Washington, Michael Wilson, demande aux sénateurs américains d'abandonner les mesures protectionnistes qui ont été incluses dans le plan de relance du président Obama. Pour en lire plus...
  16. Le plan Obama menace 2000 emplois au Québec Publié le 02 février 2009 à 06h35 | Mis à jour à 06h37 Martin Croteau La Presse Le plan de relance économique de Barack Obama menace 2000 emplois au Québec, selon une coalition d'entreprises qui transforment l'acier. Le nouveau président américain a beau promettre de réviser la clause qui interdira l'importation de ce métal pour des travaux d'infrastructure, des dizaines d'entrepreneurs québécois craignent d'être frappés de plein fouet par cet élan protectionniste. Les exportations canadiennes d'acier vers les États-Unis valaient 11 milliards en 2007. Il n'y a pas d'aciérie au Québec, mais une soixantaine d'entreprises fabriquent des matériaux d'acier destinés à la construction, comme des poutres et des charpentes. Ces compagnies, qui emploient 6000 personnes, exportent chaque année pour environ 500 millions au sud de la frontière. Or, le plan de sauvetage avalisé mercredi par le Congrès menace directement l'industrie québécoise de l'acier. Les entreprises pourront continuer de vendre leurs produits à des clients privés, par exemple à un promoteur qui construit un hôtel à New York. Mais elles seront exclues des appels d'offres pour tous les projets d'infrastructures financés par le gouvernement, comme la construction d'hôpitaux ou la réfection d'aéroports. Les deux tiers des investissements de 820 milliards seront consacrés à ces travaux. Et en période de récession, peu d'entreprises privées ont les moyens de se lancer dans de vastes projets de construction. C'est pourquoi les sociétés québécoises dépendent des investissements publics comme jamais. «Ça va nous empêcher de soumissionner certains projets, ceux dans lesquels il y aura des fonds fédéraux», s'inquiète Jean-François Blouin, directeur général de Supermétal Structures. Cette entreprise, qui exploite des usines à Lévis et à Sherbrooke, a construit les charpentes métalliques de plusieurs bâtiments publics au Canada et aux États-Unis. Il y a trois ans, avant le boom pétrolier en Alberta, 80% de ses produits étaient vendus au sud de la frontière. Si le marché américain ferme ses portes, plusieurs des 500 travailleurs de Supermétal Structures pourraient se retrouver au chômage. «Ça pourrait signifier des pertes d'emplois, c'est bien évident», indique M. Blouin. Ottawa sollicité L'entreprise est loin d'être la seule à s'inquiéter, affirme Sylvie Boulanger, directrice de la section québécoise de l'Institut canadien de la construction en acier. Ce groupe presse le ministre du Commerce international, Stockwell Day, d'accentuer les efforts diplomatiques pour freiner l'élan protectionniste de l'administration Obama. «C'est sûr que le plan nous tue», dénonce Mme Boulanger. Elle estime que le tiers des 6000 travailleurs de l'acier québécois, peut-être davantage, perdront leur emploi si le plan est adopté dans sa mouture actuelle. L'une des seules entreprises québécoises qui pourrait profiter du plan de relance américain est le Groupe Canam. Près de la moitié des 12 usines de l'entreprise beauceronne sont situées aux États-Unis et pourraient donc éviter d'être pénalisées. Mais Canam exploite aussi deux établissements au Québec, dont les 850 emplois dépendent en grande partie des exportations vers la Nouvelle-Angleterre. «Si les Américains veulent mettent une barrière là-dessus, nos usines de Saint-Gédéon et de Boucherville vont devoir repenser leurs affaires», a indiqué à La Presse le président du Groupe Canam, Marc Dutil. Il promet toutefois de ne pas «fermer les lumières» de ses usines québécoises. «Ceux qui vont avoir un bras de levier sont ceux qui ont des usines des deux côtés de la frontière, reconnaît Sylvie Boulanger. C'est clair que, en tant que compagnies, elles vont devoir se réorganiser pour passer à travers. Mais qui va être pénalisé? Toute la partie canadienne.» Ballet diplomatique Le Sénat américain doit encore approuver le plan de relance avant qu'il soit mis en oeuvre. La Maison-Blanche a promis vendredi de revoir le projet pour s'assurer qu'il ne viole pas les ententes commerciales des États-Unis. Le premier ministre Stephen Harper avait exprimé son inquiétude, la veille, et affirmé que la montée du protectionnisme pourrait compromettre la reprise économique. Malgré tout, le soutien politique au plan reste fort, si l'on en croit l'entrevue qu'a accordée le vice-président Joe Biden au réseau CNBC, jeudi, dans laquelle il a déclaré: «Je pense qu'il est légitime qu'il y ait des clauses Buy American.»
  17. L'administration Obama se penche sur la clause qui réserve aux sidérurgies américaines les achats d'acier financés par le plan de relance. Pour en lire plus...
  18. Le président des États-Unis tance vertement les sociétés de Wall Street qui ont versé d'importantes primes à leurs employés, malgré la crise économique. Pour en lire plus...
  19. Une clause du plan de relance économique du nouveau président américain, Barack Obama, prévoit de n'employer que des métaux fabriqués aux États-Unis. acier Pour en lire plus...
  20. Un «moment périlleux» de l'histoire américaine * Presse Canadienne, * 13:10 «Nous n'avons pas à un instant à perdre», a déclaré M. Obama. Les États-Unis sont à un «moment périlleux» de leur histoire, nécessitant une relance rapide de l'économie, a souligné le président américain Barack Obama à quelques heures du vote de la Chambre des représentants. Il s'est dit «confiant» par rapport aux chances d'adoption du texte. "Nous n'avons pas à un instant à perdre", a déclaré M. Obama, qui a reçu à la Maison-Blanche les PDG de plusieurs entreprises. Il a appelé chacun à abandonner "un certain sens de l'irresponsabilité qui a prévalu de Wall Street à Washington". Le président américain a rencontré mardi les représentants républicains de la chambre basse et s'est dit optimiste sur ses chances de faire adopter son plan de relance à 825 milliards $ US par le Congrès. De nouveau interrogé à ce sujet mercredi, il a simplement répondu; "je suis confiant, nous allons le faire adopter". Un porte-parole présidentiel a déclaré mardi soir que le soutien de républicains lui était probablement acquis. "Je pense que nous aurons un soutien républicain pour cette loi", a déclaré Robert Gibbs, sans s'avancer sur l'ampleur de cet appui. Le président, qui plaide pour une politique non partisane bien qu'il dispose d'une majorité aux deux chambres, a rencontré mardi les élus au Capitol, peu après une tentative des chefs de l'opposition à la Chambre des représentants de rassembler leurs troupes contre le plan de sauvetage de la Maison-Blanche. Barack Obama, qui voyait ensuite les républicains au Sénat, s'est montré optimiste. Certes il ne s'attend pas à obtenir "un soutien à 100 pour cent" mais promet de "continuer à accueillir les bonnes idées" de l'opposition et "espère que nous pourrons mettre la politique de côté". Le chef de la minorité républicaine à la chambre basse, John Boehner, a assuré que son camp était impatient de poursuivre le travail avec M. Obama "pour améliorer" le projet de relance économique. Les républicains voudraient que le plan soit davantage consacré à des baisses d'impôts et limite la dépense publique. M. Obama aurait évoqué avec des responsables démocrates la possibilité de lâcher du lest sur une mesure donnant davantage de responsabilités aux Etats régionaux en ce qui concerne la planification des naissances, y compris la contraception, dans le cadre de la couverture de santé fédérale Medicaid destinée aux bas revenus. Dans la soirée de mardi, la commission sénatoriale des Finances a voté pour l'élargissement d'une forte réduction des impôts visant les revenus moyens et élevés. La commission a accepté une proposition mixte qui permet à plus de 20 millions de contribuables d'échapper l'impôt minimum en 2009. La mesure est estimée à environ 70 milliards $ US. Le Congrès doit se prononcer en séance plénière sur le plan de relance dans les prochains jours.
  21. Tandis que les entreprises annoncent des dizaines de milliers de mises à pied, le nouveau président, Barak Obama, a bien hâte qu'on son plan de relance soit adopté. Pour en lire plus...
  22. La Chambre des représentants des États-Unis se prononcera mercredi prochain sur un plan de relance de l'économie américaine de 825 G$ US. Pour en lire plus...
  23. Le président américain Barack Obama estime que la Chine «manipule» le cours de sa devise afin de soutenir ses exportations. Pour en lire plus...
  24. Ottawa tentera de démontrer au nouveau président des États-Unis, Barack Obama, que la solution aux préoccupations énergétiques des Américains se trouve au Canada. Pour en lire plus...
  25. Avant la Maison-Blanche, Barack Obama a fréquenté le bastion de la droite américaine. Un séjour qui lui a appris à faire confiance à la fois à l’État et aux marchés. Pour en lire plus...
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