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  1. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Génération_Y La génération Y regroupe des personnes nées approximativement entre le début des années 1980 et le début des années 2000. L'origine de ce nom a plusieurs attributions : pour les uns il vient du « Y » que trace le fil de leur baladeur sur leur torse ; pour d'autres ce nom vient de la génération précédente, nommée génération X ; enfin, il pourrait venir de la phonétique anglaise de l'expression « Y » (prononcer waɪ), signifiant « pourquoi » [N 1],[1]. D'autres termes équivalents existent, dont enfants du millénaire ou les diminutifs GenY et Yers. Les Américains utilisent également l’expression digital natives ou net generation pour pointer le fait que ces enfants ont grandi dans un monde où l'ordinateur personnel, le jeu vidéo et Internet sont devenus de plus en plus importants. L'usage de la notion de génération est consensuel en démographie mais pas dans les autres sciences sociales. Le lien entre appartenance générationnelle et comportements est controversé. Le succès de la notion de génération Y dans les entreprises prend appui sur le déphasage entre les besoins et attentes des jeunes de la génération Y et le mode de fonctionnement de l'entreprise. Le fossé générationnel s'expliquerait par une accélération du changement, l'apparition des NTIC (Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication), une hiérarchisation différente dans les transmetteurs de valeurs. L'Église, l'armée voire la famille seraient moins influents que ne le seraient l'Internet, la télévision voire les réseaux relationnels. sent via Tapatalk
  2. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/200901/25/01-820797-des-contraventions-pour-les-insultes.php «Cochon», «poulet», «mangeux d'beignes»... Les Montréalais pourraient devoir y penser à deux fois avant d'insulter un policier. La Ville étudie la possibilité de sanctionner les injures adressées à ses agents de la paix. Comme il l'a annoncé à la mi-janvier, le conseil municipal doit aussi entériner demain soir une décision pour interdire le port d'un masque pendant les manifestations. De plus, La Presse a appris que la police de Montréal caresse l'idée de remettre des contraventions aux citoyens qui les insultent. Le contentieux de la Ville vérifie actuellement si ce règlement, en vigueur dans d'autres villes du Québec, serait applicable dans la métropole. «Le comité exécutif et nos avocats ont eu une première rencontre à ce sujet en novembre et doivent se rencontrer de nouveau en mars pour faire le point», a indiqué l'inspecteur-chef Paul Chablo, chef de la division des communications au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Au terme de l'analyse juridique, l'administration municipale décidera si elle souhaite modifier le Règlement sur la prévention des troubles de la paix, de la sécurité et de l'ordre publics. Le responsable de la sécurité publique au comité exécutif de Montréal, Claude Dauphin, se dit «sensible» à la question des insultes, mais n'a pas souhaité commenter davantage. «Nous en discuterons sous peu à la Commission de la sécurité publique, a-t-il dit. Il faut suivre toutes les étapes.» «Une notion de respect» La Fraternité des policiers et policières de Montréal a été la première à proposer à la Ville de sanctionner les insultes et injures à l'égard des policiers, selon son président, Yves Francoeur. Le syndicat en fait la demande depuis 2003. «Le but est d'inculquer la notion de respect envers les policiers, une notion qui se perd à Montréal», a affirmé M. Francoeur, en entrevue avec La Presse. Un règlement similaire est déjà en vigueur à Québec, à Sherbrooke et à Trois-Rivières. À Montréal, cela faciliterait le travail des policiers à la sortie des bars, estime le président du syndicat. «Le service de police est obligé d'envoyer des effectifs très importants boulevard Saint-Laurent. Or, si les policiers pouvaient remettre des contraventions à ceux qui les insultent, ça calmerait les ardeurs et ça empêcherait la situation de dégénérer.» Selon M. Francoeur, «il n'y a jamais eu autant de policiers intimidés, victimes de voies de fait et encerclés que depuis deux ans.» Manifestants masqués La Fraternité est également l'instigatrice d'un règlement qui doit être entériné demain soir au conseil municipal. La Ville veut interdire le port de cagoules et le recours à tout autre moyen de se masquer le visage dans les manifestations publiques. Le règlement serait adopté fin février. Le syndicat a formulé sa première demande au tournant des années 2000 après une violente manifestation dans les rues de Montréal. Un policier avait perdu l'usage d'un oeil après avoir reçu un projectile lancé par un manifestant cagoulé. «Logique et bon sens» «À ce moment-là, on n'avait aucun règlement pour intervenir avant que ça dégénère», a indiqué Yves Francoeur, qui souligne que les policiers de Québec bénéficiaient d'un tel pouvoir. En effet, le Règlement pour le bon ordre et la paix dans la Cité de Québec, adopté en 1865, interdit le port d'un masque sur la place publique. La direction du SPVM assure que, si le conseil municipal entérine la décision, les policiers appliqueront leur nouveau pouvoir «avec logique et bon sens». «Les manifestants qui se couvrent le visage d'un foulard en hiver ou qui revêtent un masque de politicien ne représentent aucun risque, a précisé Paul Chablo. À l'opposé, les gens qui portent un masque à gaz sont susceptibles de recevoir une contravention.»
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