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  1. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/880479/un-starchitect-debarque-a-montreal/ 26/11/2015 Mise à jour : 26 novembre 2015 | 3:00 Un «starchitect» débarque à Montréal Par Marc-André Carignan Sa signature n’est pas aussi extravagante que celle de plusieurs grands noms de l’architecture, tels que Frank Gehry ou Zaha Hadid. Au contraire: le Britannique David Chipperfield laisse sa marque depuis les années 1980 avec une étonnante sobriété, de Londres à Mexico. Ses lignes droites minimalistes se tiennent bien loin du tape-à-l’œil chinois ou dubaïote, offrant à ses réalisations une qualité architecturale capable de traverser l’épreuve du temps. Sa sensibilité remarquable au patrimoine bâti et aux paysages naturels lui vaut un grand respect de la communauté architecturale et des promoteurs, ce qui lui permet de décrocher des contrats très convoités. Je pense notamment à celui de la nouvelle maison des prix Nobel, à Stockholm. Ou encore, au gratte-ciel que son équipe développe actuellement sur le dernier terrain disponible de Bryant Park, à Manhattan. La qualité de ses espaces a été soulignée à maintes reprises au fil de ses années de pratique. L’architecte a ainsi reçu plus d’une centaine de distinctions, allant de celles de l’American Institute of Architects au prestigieux Mies van der Rohe Award de l’Union européenne. Eh bien, David Chipperfield s’amène à Montréal, un terrain de jeu inexploré jusqu’à présent pour son agence. SSENSE, une entreprise montréalaise de biens luxueux, vient de le mettre sous contrat pour dessiner son nouveau magasin phare (son «flagship») dans la métropole. Le projet n’a pas encore été officiellement soumis à la Ville, mais le mandat des architectes et des ingénieurs a débuté il y a déjà plusieurs semaines, m’a-t-on confié. L’équipe du Britannique devra non seulement élaborer une boutique signature sur l’île, mais elle aura également à plancher sur d’autres projets d’expansion de l’entreprise «dans plusieurs villes». À quoi peut-on s’attendre en termes de design? Difficile à dire pour le moment puisque les architectes cogitent toujours leur concept, et que SSENSE ne m’a pas rendu mes appels. Par contre, si l’on se fie à l’image de marque SSENSE [qui fait affaire avec plus de 200 designers de mode et d’objets haut de gamme], on peut s’attendre à un design très glamour et épuré. Selon mes sources, SSENSE était à la recherche d’une star de l’architecture depuis plusieurs mois afin d’accroître son rayonnement international à travers le design de ses boutiques. Plusieurs noms auraient circulé. Aurait-on pu faire appel à nos talents locaux pour ce mandat? Peut-être, mais il faut tout de même souligner que SSENSE a embauché, en 2013, la talentueuse firme montréalaise Humà Design pour dessiner son nouveau siège social dans une ancienne usine de textiles sur Chabanel. On ne regarde donc pas qu’à l’étranger.
  2. Pas moins de cinq plaques indiquent l'intersection des rues Sherbrooke et Cuvillier, dans Hochelaga-Maisonneuve. Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir 10 février 2014 17h39 | Marco Fortier | Le blogue urbain Bientôt à Montréal, des noms de rues faciles à lire Avez-vous déjà remarqué à quel point il est difficile de lire les noms de rue à Montréal? Les plaques blanches qui indiquent les noms de rue sont parfois cachées. Et tellement petites qu'il faut quasiment arrêter aux coins de rue, en voiture, pour les déchiffrer. La Ville de Montréal reconnaît le problème et compte le régler. Surtout que la population vieillit: 15,2% des Montréalais sont âgés de 65 ans et plus. D'ici 2026, cette proportion grimpera à un Montréalais sur cinq. Sans faire de bruit, la Ville a commencé un projet-pilote, rue Sherbrooke, pour créer des « plaques odonymiques » beaucoup plus grandes et aux couleurs vives. Pour que les jeunes et moins jeunes puissent les lire plus facilement. Pas moins de cinq plaques indiquent l'intersection des rues Sherbrooke et Cuvillier, dans Hochelaga-Maisonneuve. Une rouge, une bleue, une grise et deux blanches. Une de ces plaques mesure 200 mm par 750 mm — le format habituel — tandis que les autres, de plus grand format, font 300 mm par 1200 mm. « Entre vous et moi, il n'est pas toujours facile de trouver les noms de rue à Montréal. Nous tentons de déterminer un format, un type de lettrage et une couleur qui les rendront plus lisibles », explique Guy Pellerin, ingénieur en circulation et chef de division à la direction des transports de la Ville. Guy Pellerin et son équipe cherchent aussi à déterminer la hauteur optimale pour suspendre les plaques — environ 4,3 mètres pour une artère comme la rue Sherbrooke, comparés à 3 mètres et moins pour les petites rues. Les plaques doivent être visibles, mais pas trop: il faut aussi voir les feux de circulation, le mobilier urbain, les commerces, les arbres... Les tests, qui ont commencé en novembre dernier, se poursuivront encore plusieurs semaines, à d'autres intersections. Si tout va comme prévu, les plaques odonymiques « améliorées » s'intégreront au tronçon de 2 km de la rue Sherbrooke qui s'étire entre le boulevard Pie-IX et la rue Frontenac, qui sera entièrement reconstruit d'ici deux ans. Passages pour piétons D'autres mesures pour aider les personnes âgées sont en préparation. La Ville envisage d'allonger le temps de traversée pour les piétons à 1200 intersections, d'ici l'an prochain. Davantage de compteurs numériques seront installés pour indiquer le temps restant de traversée. La Ville compte aussi s'assurer qu'une zone de 5 mètres sera dégagée aux intersections, pour rendre la traversée des piétons plus sécuritaire.
  3. À l'occasion des 100 ans du club de hockey le Canadien de Montréal, la Ville de Montréal rebaptisera le tronçon de la rue de La Gauchetière située entre les rues Peel et De la Montagne du nom de l'équipe du Canadien de Montréal, a appris La Presse. La nouvelle dénomination du tronçon, situé au bord du Centre Bell, construit au 1260, de La Gauchetière Ouest, a fait l'objet de discussions entre la Ville et le club de hockey. Il s'agit d'un des projets envisagés conjointement par le club et la municipalité dans le cadre des célébrations du centenaire du Canadien. Selon ce que La Presse a appris, les experts en toponymie de la Ville ont proposé «Avenue Les Canadiens de Montréal» au lieu de «Avenue des Canadiens de Montréal». Une avenue est d'ordinaire une «grande voie urbaine» ou une «large allée plantée d'arbres». Le choix du nom n'est de toute façon pas final. André Lavallée, membre du comité exécutif responsable de l'aménagement du territoire à la Ville de Montréal, a confirmé la nouvelle à La Presse. «Il y a eu différentes hypothèses de dénomination et je proposerai ce dossier au comité exécutif qui l'entérinera bientôt», dit-il, ajoutant que l'équipe du Canadien «fait partie intrinsèque de Montréal». Jusqu'à présent, il n'y avait jamais eu de rue portant le nom d'une équipe de sport au Québec, à la connaissance de la Commission de toponymie du Québec (CTQ). Après une recherche sur l'internet, nous n'avons pas trouvé de précédent au Canada non plus. Il existe bien dans la ZEC d'Iberville, un lac des Nordiques, mais la CTQ ne croit pas que ce soit en référence à l'équipe de hockey des Nordiques de Québec. Il y a aussi des noms de lieux officiels évoquant les Canadiens, mais ce n'est jamais de l'équipe qu'il s'agit, mais du nom signifiant tout simplement les habitants du Canada. Pour la CTQ, accoler à un tronçon de rue le nom d'une équipe de hockey est tout à fait approprié compte tenu des circonstances historiques. «Ce serait un nom acceptable car on est dans le contexte du 100e anniversaire de l'équipe, donc c'est une bonne occasion», dit Jacques Toussaint, coordonnateur de la toponymie municipale à la CTQ et géographe de profession. Joueurs intronisés Un total de 19 personnes ayant fait partie de l'organisation du Canadien de Montréal ont déjà été intronisées au Temple de la renommée toponymique, apprend-on sur le site de la CTQ. Toutes, sauf Dick Irvin, un entraîneur, et Frank Selke, un directeur général, ont joué pour la sainte Flanelle. Parmi ces joueurs, citons Maurice Richard (honoré pour huit noms de lieux officiels différents), Toe Blake (quatre fois), Jacques Plante (quatre), Aurèle Joliat (3), Bernard Geoffrion (2), Édouard Lalonde ou Jean-Claude Tremblay (une fois chacun). La CTQ rappelle que des joueurs ont aussi vu leur surnom utilisé pour des noms de lieux. Ainsi, il existe un lac Boom et un lac du Rocket pour honorer la mémoire de Bernard Geoffrion et bien sûr, de Maurice Richard. Normalement, il faut que la personne soit décédée depuis plus d'un an pour qu'elle soit honorée par une plaque de rue à son nom. Mais des villes peuvent outrepasser cette règle de la CTQ. Ainsi, la ville de Thurso, en Outaouais, a une rue Guy-Lafleur près de l'aréna municipale et Lac-Simon a un chemin Stéphane-Richer. Dans la ville de Vaudreuil-Dorion, il y a aussi un secteur dont les noms de rues évoquent des joueurs de hockey du Canadien de Montréal. À noter que le nom de rue «de La Gauchetière» vient de Daniel Migeon, sieur de La Gauchetière, (1671-1746), capitaine, propriétaire terrien et jadis... jeune Canadien de Montréal. courriel Pour joindre notre journaliste: eric.clement@lapresse.ca
  4. Benoit Laliberté est un raconteur. Il enchaîne les noms, décrit les lieux et l'ambiance des réunions, parle de Porsche et de Renoir. Mais dans toute son histoire, il lui manque un élément crucial: la preuve écrite de ce qu'il avance. Pour en lire plus...
  5. Dans le but de contrer les vols commis, des compagnies ont créé une base de données contenant les noms d'ex-employés qui les ont volées ou fraudées. Pour en lire plus...
  6. La banque suisse empêtrée dans une affaire de fraude fiscale aux États-Unis, pourrait dévoiler les noms de ses clients fortunés américains aux autorités. Pour en lire plus...
  7. Le tiers des arénas portent le nom de banques et fournisseurs de services financiers, et moins en moins de ces édifices conservent des noms traditionnels. Pour en lire plus...
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