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  1. http://www.cbc.ca/m/sports/football/cfl/michael-sam-nfl-s-1st-openly-gay-draftee-signs-with-cfl-s-montreal-alouettes-1.3083647 Michael Sam, NFL's 1st openly gay draftee, signs with CFL's Montreal Alouettes Defensive end joins CFL after being cut by Cowboys, Rams 12:51 PM ET The Canadian Press media duration: 1:12play video Michael Sam signs with Alouettes VIDEO The Montreal Alouettes signed Michael Sam because they believe he can be a star rush end in the Canadian Football League. His sexuality is a non-issue, as far as general manager Jim Popp is concerned. "Michael Sam is a very good football player, and that's the reason we signed him," Popp said of Sam, who is openly gay. "He's an outstanding pass-rusher." Popp told CBC's Doug Gelevan that he thinks Sam's news teammates will accept him openly. "I think he'll be embraced," Popp said. "There's always a possibility of someone having an issue, as there always is in society. If there's any challenge with any individual, then obviously we'll get him the appropriate people to help educate. "But I think our team will be ecstatic and welcome him with no problem." Sam, a free-agent, agreed to a two-year deal. The 25-year-old is to be introduced at a news conference in Montreal on Tuesday and report to training camp the following day. "I am very excited and proud to join the Montreal Alouettes and want to thank team owner Robert Wetenhall, general manager Jim Popp and head coach Tom Higgins for this opportunity," Sam said Friday in a statement. "I cannot wait to put on the pads, get back on the field and work hard each and every day with my teammates to bring a Grey Cup to the great fans here in Montreal." The Galveston, Texas, native became a sensation when he came out before last year's NFL draft, and his NFL jerseys were an instant best-seller. When he was picked in the seventh round by St. Louis, President Barack Obama publicly congratulated Sam and the Rams, who made him the first openly gay player to be drafted for their courage. Congrats from the commish CFL commissioner Jeffrey Orridge did the same on Friday. "Congratulations to the Montreal Alouettes on the signing of Michael Sam," Orridge said in a statement. "Our players come to us from different places, different walks of life and ultimately they take different paths to get to our fields. "Today is another indication of how open and progressive the CFL is — consistent with our rich and storied history of great football tradition." Not blind to Sam's celebrity status, the team immediately put his No. 94 Alouettes jersey on sale on their website for $139.95. Sam was cut by the Rams after training camp last year. He joined the Dallas Cowboys' practice roster but was waived in October. He took another shot at landing an NFL job by attending this year's veterans combine, with no luck. The Alouettes had Sam on their negotiation list and Popp said he was in contact with him all along. The six-foot-two 260-pound Sam finally accepted a contract after completing his commitment to Dancing With The Stars. Popp said the key to landing him was patience. "Each time he was let go there were discussions," he said. "He wanted to give it one last shot at the combine." Popp said Sam was considered a "tweener" by NFL clubs, not quite the right body type to be a defensive end or an outside linebacker for that league. But he may fit perfectly in the CFL. Popp feels he can follow a similar path to Cam Wake, who was converted from linebacker to rush end when he joined the B.C. Lions in 2007. Wake had 40 sacks and was named CFL defensive player of the year in each of his two seasons with the Lions before signing with the Miami Dolphins, where he has had a successful NFL career. "If he proves [NFL] people wrong it would be great for us and I think he can do it," said Popp. Sam played four seasons for the University of Missouri Tigers in the NCAA, where he had 123 total tackles, 21 sacks and two interceptions. In his last year with Missouri he helped the Tigers beat Oklahoma State in the Cotton Bowl. sent via Tapatalk
  2. Des concessions de la NFL et de la NBA seraient viables à Montréal Sports - Argent Écrit par Guy Madore Lundi, 04 janvier 2010 03:55 Mise à jour le Lundi, 04 janvier 2010 13:24 Montréal est l’une des villes nord-américaines les plus sous-représentées en équipes professionnelles et aurait « les reins assez solides » pour supporter de nouvelles concessions dans la MLS, la NBA, la NFL ou… le baseball majeur. Cinq ans après le départ des Expos, une récente étude réalisée par un groupe de publications économiques américaines – Bizjournals – révèle que l’agglomération montréalaise est l’un des marchés les plus propices pour le relocalisation d’une équipe ou l’expansion d’une ligue. Pour arriver à une telle conclusion, les auteurs n’ont cependant pas évalué la ferveur des amateurs pour un sport en particulier, la situation géographique, la disponibilité d’amphithéâtres, la volonté politique des divers paliers de gouvernement, l’intérêt de commanditaires potentiels ni les « préférences » des commissaires des circuits professionnels majeurs. Bizjournals a plutôt utilisé une valeur plus objective comme le revenu personnel total (RPT), soit la somme de l’argent gagné par tous les résidants d’une région donnée sur une période d’un an, pour statuer sur « l’attractivité » de divers marchés comme celui de la métropole québécoise. Des données de 2008 (Statistique Canada) montrent que le RPT de Montréal s’élève à 127,73 milliards de dollars (G$) – tous les montants sont en dollars américains. Capacité pour trois autres ligues En tenant compte des revenus des équipes et du prix moyen des billets, Bizjournals a pu déterminer le niveau de RPT nécessaire pour « supporter » une équipe de chaque ligue : Si l’on soustrait une somme de 37,3 G$ applicable à la présence du Canadien, Montréal disposerait encore d’un revenu personnel disponible (RPD) d’un peu plus de 90 G$. Assez pour ravoir une concession du baseball majeur. Ou pour accueillir une équipe d’expansion de trois ligues réunies (NFL, NBA et MLS). Il est bon de rappeler que cette analyse n’a pas considéré l’influence de deux autres formations de circuits « mineurs », en l’occurrence les Alouettes (LCF) et l’Impact (USL-1). Cette étude ne fera pas plaisir à ceux qui « plaident » pour le retour d’une équipe de la LNH à Québec. Le niveau du RPT (27,7 G$) de la Vieille Capitale ne serait pas suffisant pour « supporter » un club du circuit Bettman. D’un point de vue statistique, Québec ne pourrait accueillir que deux concessions… de la MLS. Baseball : marché saturé L’analyse de Bizjournals a porté sur 81 marchés aux États-Unis et au Canada qui disposent d’un RPT de plus de 25 G$ et sur Green Bay, au Wisconsin, le seul marché sous cette barre doté d’une équipe professionnelle majeure (Packers, NFL). Il en ressort que le baseball majeur ne pourrait pas élargir ses cadres à moins de s’établir dans le sud de la Californie (San Bernardino-Riverside), dans la région de New York (au New Jersey) ou à… Montréal. En contrepartie, c’est la MLS qui aurait l’embarras du choix pour implanter ses équipes d’expansion. Quarante-deux (42) marchés potentiels ont été identifiés, dont six au Canada : Calgary, Winnipeg, Hamilton, Ottawa, Montréal et Québec. Toronto a adhéré à la MLS en 2007 et Vancouver se joindra à cette ligue en 2011. Dix-huit (18) nouveaux marchés ont un RPT suffisant pour accueillir une concession de la NFL, dont Los Angeles qui est un choix logique. Parmi les villes « candidates », on retrouve trois autres agglomérations californiennes ainsi que Montréal, Rochester, Las Vegas et… Honolulu. Le Stade olympique a vibré au rythme des Alouettes, lors de la finale de l'Est le 22 novembre dernier. L'étude de Bizjournals laisse croire qu'il pourrait en faire autant, régulièrement, pour faire vivre une équipe de la NFL... ou du baseball majeur. Photo d'archives Rogerio Barbosa La NBA compte 17 marchés « inexploités », dont San Jose, Birmingham, Las Vegas et Montréal. Enfin, la LNH disposerait de 16 marchés potentiels, mais aucun situé au Canada. Las Vegas est encore en lice, tout comme Houston, Tulsa et Richmond. Pour consulter un tableau présentant les marchés « disponibles » dans chaque ligue, cliquez ici. Déficits de RPT L’étude de Bizjournals a aussi établi que plusieurs équipes évoluaient dans des villes ne possédant pas suffisamment de RPT. On en dénombre 17 dans la NFL, 13 dans le baseball majeur, 11 dans la NBA, neuf dans la LNH et seulement trois dans la MLS. Six marchés ont été identifiés comme ayant un déficit de RPT de plus de 45 G$ : Cleveland, Kansas City, Milwaukee, Phoenix, Pittsburgh et Tampa-Saint Petersburg.
  3. Les équipes de la NFL valent en moyenne 1 milliard $ (Corus Sports)- Selon le classement annuel de la revue Forbes, les formations de la NFl valent en moyenne 1 milliard $, une première dans l'histoire des sports professionnels. Les Cowboys de Dallas dominent toujours et encore ce prestigieux classement, avec une valeur évaluée à 1,612 milliard $. Suivent ensuite les Redskins de Washington (1,538 milliard $), Patriots de la Nouvelle-Angleterre (1,324 milliard $) et les Giants de New York (1,178 milliard $). D'ailleurs, les deux formations de New York, les Giants et les Jets, ont toutes deux gonflé leur valeur de 21%. Les deux équipes new-yorkaises évolueront dans un nouveau stade en 2010. Les Colts d'Indianapolis ont fait le plus gros bond au classement, passant du 21e au 8e échelon, notamment en raison de leur nouveau stade cette saison. Ils valent actuellement 1,076 milliard $. Le reste du top 10 inclut les Texans de Houston (1,125 milliard $), les Eagles de Philadelphie (1,116 milliard $), les Bears de Chicago (1,064 milliard $) et les Ravens de Baltimore (1,062 milliard $). En tout, ce sont 19 équipes qui ont une valeur supérieure à 1 milliard $. Les Vikings du Minnesota, les Raiders d'Oakland et les 49ers de San Francisco traînent au bas du classement. Il y a 10 ans seulement, les formations de la NFL valaient en moyenne 288 millions $. Frédéric Bhérer / Corus Sports
  4. Cutting to the chase Sean Fitz-Gerald, National Post Published: Wednesday, June 18, 2008 TORONTO -- If he had told the truth while walking into that south Florida bar that winter, in 1969, nobody would have stopped to listen. So Paul Godfrey lied, just a little, and introduced himself to the commissioner of Major League Baseball as a councillor from Toronto - and not from nearby North York, where he actually worked. Then he asked for a baseball team. "Son, where are we going to play?" Bowie Kuhn asked back. "Sir," Godfrey said, "you give us a team and we'll build you a stadium." Kuhn, with his imposing 6-foot-5 frame, put a hand on Godfrey's shoulder. "Son, let me tell you the way we do it in Major League Baseball," he said. "First, you build us a stadium, then we'll decide if we want to give you a team. Nice meeting you." After plenty of negotiation and a bit of luck, the Toronto Blue Jays staged their first regular-season game at Exhibition Stadium eight years later. And by the mid-80s, Godfrey had turned his attention to the NFL, shaking hands and making friends with the league's power brokers. Today, it is Godfrey's employers at Rogers Communications who have taken up the chase, and Godfrey's employers who are faced with the same stadium-related questions for football that the former councillor faced for baseball. Rogers Centre is too small for the National Football League. Its seating capacity has been set at about 54,000 for an upcoming eight-game series featuring the Buffalo Bills, placing it firmly behind each of the league's existing 31 stadiums in terms of size. Renovations are a possibility, but would not be executed without complication. If a new facility is deemed to be the answer, then where would it be built? And who would pay for it? Ted Rogers and Larry Tanenbaum had to navigate a number of obstacles just to secure the series, and the stadium issue is still only one in a line of hurdles stretched out between them and the finish line of their quest to land their own NFL team. There are politicians on both sides of the border who would want to be heard before the relocation of any team; there are the NFL owners who would have to be convinced the time is right to move beyond the U.S. borders; there are other, American billionaires who would likely join in the bidding for any available team; and then there is the Canadian Football League, which would loudly protest any further encroachment onto its turf. "Getting a franchise, it's like getting the games here," Rogers vice chairman Phil Lind said. "It's extraordinarily complicated." Rogers Communications will pay $78-million to lease eight games from the Bills over the next five NFL seasons. And there has been rampant speculation the move eventually could become permanent. Sports investment banker Sal Galatioto, president of Galatioto Sports Partners, was asked why Toronto does not already have its own NFL franchise, despite decades of lobbying. "There are a bunch of reasons," he said. "One is Toronto doesn't have a stadium that really is NFL-ready, that meets NFL specs. That's a big problem. And it's like the chicken and the egg - unless you have the building, it's difficult to entice an NFL team to move there, but you don't want to build a building not knowing if you're going to have a team." Rogers Centre, formerly known as SkyDome, opened in 1989 at a cost of $578-million. It was overshadowed just three years later when Camden Yards opened in Baltimore, unleashing a new wave of stadium architecture, which favoured the quaint and the retro over the futuristic feel of the concrete and steel dome. SkyDome was sold to Rogers four years ago for just $25-million. Some feel the stadium could be renovated to house an NFL team by, among other things, digging and lowering the floor. The obvious conflict that would arise, though, is how the construction schedule might interfere with the Blue Jays, the stadium's primary tenant - and another of Rogers' holdings. According to NFL spokesman Brian McCarthy, the league does not have a minimum size requirement for stadiums. But the smallest facility, Soldier Field, home of the Chicago Bears, holds 61,500 fans, 7,500 more than Rogers Centre. Opinions vary about where a new stadium might be built. There would seem to be some potential along the water just east of downtown, but the lack of public transit and room for added traffic flow has ruled it out for some. Downsview Park, in the city's north end, has often been cited as prime real estate, but Liberal Member of Parliament Joe Volpe vaguely suggested there was "some maneuvering" that might rule out its candidacy. "Probably the best place - and it was the best place 30 years ago when they were talking about the SkyDome - is Downsview," Volpe said. "And the second-best place is just past Canada's Wonderland." Building a new stadium is not cheap, but some believe the Toronto group might be able to avoid asking for public money by selling personal seat licences. Dallas Cowboys owner Jerry Jones is reportedly charging as much as US$150,000 for a PSL - which only really gives a fan the right to buy tickets - in his new, US$1.1-billion stadium. Private financing might be the only way to proceed in Toronto. "When SkyDome was built, Metro Toronto put in $30-million, because at that time, the municipality had felt there was a need for a major sports centre," Toronto Deputy Mayor Joe Pantalone said. "There's no political will in this town, that I'm aware of, to basically subsidize an NFL team in Toronto by putting taxpayers' money in it." "It'd be tough," Volpe said. The same could be said of the competition to land an NFL team. Ralph Wilson founded the Bills for US$25,000 in 1959, and has indicated the franchise will be placed up for auction after his death. Wilson turns 90 this fall, and Forbes values the Bills at US$821-million. "When an NFL team comes on the market, Ted Rogers is great - he's a bidder, but not necessarily the winning bidder," Galatioto said. "There are other people just as wealthy as he is, if not wealthier, who want an NFL team." Galatioto suggested the Bills could have more than a half-dozen wealthy suitors, from those who might want to keep it in Western New York to those who might want to return the league to Los Angeles after an absence of more than a decade. "You're going to have a lot of interest around the Bills," he said. "Believe me, there are a lot of people who ask me that same question: Some people interested in keeping it in Buffalo; some people interested in the dream of L.A.; some people talking about Toronto. The Bills are a big, hot topic." Especially in Western New York, where the NFL acts as one of the region's final ties to the national spotlight. Senator Charles Schumer is reportedly scheduled to meet with Wilson and NFL commissioner Roger Goodell at training camp this summer, seeking to ensure the team's future in Buffalo. Other politicians have made their voices heard, and only on the mere speculation the team might be in danger of moving. The Toronto consortium would face headaches at home, too, where B.C. Lions president Bob Ackles has pledged to make as much noise as possible in defence of the CFL. Senator Larry Campbell, a former Vancouver mayor, recently tabled a bill that would ban the NFL from playing regular-season games in Canada. "I do believe in the tradition of the Canadian Football League," Godfrey said. "And it doesn't take a brain surgeon to figure out that there are ways that both can survive. I really believe that the CFL can not only survive, but I think with the co-operation between the two leagues, it can put teams in cities that they're not in today - possibly Quebec City, Halifax." According to Rogers Communications, though, the Southern Ontario market is NFL territory. "The NFL owners have to cross the threshold and decide whether they are international, or whether they are just American," Lind said. "And they lose a certain amount if, say, Toronto or Moose Jaw gets a franchise. They gain a lot, too, because there's a huge market in Canada that would be energized way more than it is right now." Godfrey, who started the chase more than 20 years ago, is admittedly not in the foreground of the most recent pursuit, focusing on his role as president of the Blue Jays while Rogers, Tanenbaum and Lind lead the hunt. But even from the background, he claims he can still see the finish line. "A team is coming here," Godfrey said. "Can I predict whether it will be two years, or six years, or 10 years? I can't. I have no inside information, but I do know the NFL wants to go global, and it's the only sport that has not gone North American - never mind global."
  5. Le jeudi 17 janvier 2008 Legault a refusé de présenter un match de la NFL à Montréal Les Patriots à Montréal? Cela n'est pas impossible. Réjean Tremblay La Presse Les rêves des fans de la NFL de voir du football de la Ligue nationale à Montréal ne sont pas si utopiques qu’on pourrait le croire. En fait, même si les nids-de-poule et les menaces des cols bleus font partie du quotidien des citoyens de la ville et font le désespoir de plusieurs, des entrepreneurs dignes de confiance sont souvent pressentis dans le but de réaliser des événements d’envergure dans la métropole à Gérald. Ainsi, en février dernier, la NFL a offert à Normand Legault d’organiser en octobre un match au Stade olympique. Il a refusé pour diverses raisons. Mais si M. Legault change d’idée, s’il décide finalement d’aller de l’avant, « la porte est encore ouverte », a-t-il expliqué hier lors d’une entrevue. La lettre que la NFL a fait parvenir à Legault est très précise. On parle de deux matchs de la saison régulière. Encore bien plus, le 2 février, vers midi, Legault a discuté des différents aspects du projet avec Jay Sweeney, vice-président de NFL-Canada. C’est là qu’il a appris qu’on pourrait s’entendre sur une visite des Colts d’Indianapolis « ou d’une équipe de l’Est des États-Unis » qui n’excluait pas les Patriots de la Nouvelle-Angleterre. Normand Legault a étudié le volumineux et très détaillé cahier des charges fourni par la NFL et avait jusqu’au 30 avril pour donner sa réponse. Il a préféré décliner l’offre de la NFL. IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Mais pourquoi refuser un match du circuit professionnel le plus prestigieux en Amérique du Nord ? « Plusieurs raisons ont motivé ma décision, a expliqué M. Legault. Il faut savoir, que je reçois de nombreuses offres d’affaires dans une année. Il n’y a que 24 heures dans une journée et on ne peut pas tout faire. Et l’offre de la NFL était une très grosse affaire à organiser. Le cahier de charges est énorme. C’est une grosse production à monter, une très grosse promotion que de juste répondre aux exigences de la NFL sur le plan organisationnel. Un match régulier de la NFL, juste pour accueillir les gens des diverses divisions de la ligue, pour préparer les vestiaires et les quartiers pour les joueurs, pour recevoir et fournir les services requis aux télévisions impliquées et aux médias qui suivent le gros cirque, c’est beaucoup, beaucoup de travail », a dit M. Legault. Évidemment qu’un match des Colts ou des Patriots un lundi soir au Monday Night Football (on parlait de la semaine de l’Action de grâces) comme en parlait Jay Sweenay lors de ses discussions avec Legault, c’est très bon pour une ville et une province. « Je n’ai pas sondé ni la Ville ni la RIO. Dans ce genre d’affaires, le simple fait d’en parler pour obtenir des informations aurait fini par faire les manchettes. J’aurais été plus tenté de m’embarquer à fond dans le projet si quelqu’un ou une institution avait partagé le risque financier. « La NFL ne précise pas dans son cahier de charges combien de millions elle exige pour un match de saison régulière. C’est très habile : si elle a 4 millions en tête et que le promoteur offre 5 millions, elle rafle un million de plus au passage. Et s’il offre en offre trois, elle se contente de dire non merci, ce n’est pas assez. Il faut savoir que les équipes visiteuses reçoivent 40 % des recettes d’un match. C’est un exemple seulement mais je présume que les Colts doivent toucher 2 millions pour un match et le club visiteur quelque chose comme 1,5 million. Plus les résultats des ventes faites dans le stade. Ça donne une idée de ce que j’aurais dû payer pour aller plus loin. » IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Il y a d’autres raisons à ce refus. Normand Legault n’est pas un ami personnel de Bob Wetenhall, le propriétaire des Alouettes, mais il le connaît suffisamment pour éviter de jouer dans ses platebandes. « Je pense que j’aurais pu vendre les 60 000 billets pour le match. Quant aux commanditaires intéressés à s’afficher dans un match vu par une quinzaine de millions de téléspectateurs, que ce soit le Canada ou le Québec par exemple, on aurait pu leur offrir un plan intéressant. Mais je présume qu’on serait allé dans le réservoir des entreprises intéressées à s’associer au football, donc aux Alouettes. Je respecte assez M. Wetenhall et j’aime assez Larry Smith pour éviter d’envahir leur marché pour un seul match. » Il y a encore plus. Dans le fond, ce que la NFL faisait en sondant Legault, c’était se payer une étude de marché faite par un promoteur expérimenté. Il ne faut pas se leurrer, si le match avait été un succès colossal tant pour Montréal, pour le promoteur et pour la NFL, ce n’est pas Normand Legault qui aurait eu la possibilité de faire des démarches pour obtenir une concession. C’est une affaire pour les milliardaires qui se payent des jouets à profits. La NFL ne veut pas de groupes ou de consortiums. Et puis, dernier point, il est évident que Normand Legault en a déjà plein les baskets de ses éternelles négociations avec les politiciens et les fonctionnaires de l’hôtel de ville. S’embarquer dans une promotion aussi complexe et dispendieuse dans le contexte actuel, c’était trop. Quand même, on ferme les yeux, le Stade olympique rempli, Peyton Manning à la ligne de mêlée… En attendant, les Bills de Buffalo vont disputer un match à Toronto l’an prochain… J'écoutais CKAC Sports ce matin, et Réjean Tremblay était un des invités. Ils parlaitent justement de cet article de Tremblay. Apparament que le communauté d'affaire de Montréal ne s'est pas lancée dans ce projet. La reception était plutôt tiède. Autre point décevant, c'est vrai que Legault doit être écoeurer d'être obliger de négocier avec la ville qui plus que souvent, reste intransigeante ou difficile lors de négociations. Tout ça pour nous prouver encore une fois comment que nous sommes une belle gang de colonisé qui ne peuvent pas penser en grand. Réalisez vous? LA NFL NOUS A APPROCHÉ POUR PRÉSENTER PAS UN, MAIS DEUX MATCHES DE LA NFL!!! Pi on a dit NON!!! Belle bande de cave! Pendant se temps là, Toronto SAUTE sur la chance de présenter 2 matches des Bills(qui sont poches) tandis que nous refusons la chance de voir Tom Brady ou Peyton Manning! Calisse qu'on est poche! :banghead:
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