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  1. LE NEZ COLLÉ SUR LES CHANTIERS… Édition du 5 juin 2016, FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE On a le nez collé sur les grilles de chantier depuis, quoi ? Le tournant du millénaire ? Ça fait une quinzaine d’années qu’on se plaint du barda et du bordel, qu’on se désole des cônes et du trafic, qu’on peste contre les détours et la poussière. Il y a tellement de chantiers à Montréal qu’à la seconde où l’un disparaît, on en trouve 10 autres contre lesquels se plaindre, se désoler, pester… Du coup, on ne voit que ça. Et on perd de vue une chose toute bête : chaque chantier est un projet en devenir. Fou de même ! Chaque chantier qui nous a dérangés depuis 2000 est devenu une construction, un édifice, un gratte-ciel, un équipement sportif, une bibliothèque, une infrastructure nouvelle, un aménagement urbain, une piste cyclable… On se croit encore à l’ère de l’immobilisme, alors que la cadence des chantiers nous prouve très exactement le contraire. Comme si on voyait le verre au tiers vide plutôt qu’aux deux tiers plein. On voit les pancartes « À louer », mais pas les artères qui ont réussi à s’adapter à la nouvelle réalité. Comme si Masson, Beaubien et Fleury étaient dans notre angle mort. On se désole du taux de chômage, sans voir l’attrait qu’a retrouvé la métropole auprès des jeunes, des familles et des travailleurs de la nouvelle économie. Comme si le Mile End, Griffintown et le Quartier des spectacles n’existaient pas. On remarque tous les détours, mais pas l’incroyable dynamisme qui se cache derrière : le CHUM, Bonaventure, Turcot, Champlain. Comme si on tenait pour acquis ce qui se fait… dès que ça se fait. Prenez l’exemple des gratte-ciel. Pendant 22 longues années, aucune tour ne s’est construite au centre-ville. Aucune. Zéro. Nada. On a érigé la magnifique Tour IBM Marathon en 1992, puis… plus rien jusqu’en 2014 ! Or, avez-vous entendu beaucoup de monde se féliciter de cette renaissance du centre-ville, devenu l’un des plus habités du continent ? Pas moi. Mais des critiques contre les chantiers, par contre… *** Vous me trouvez jovialiste ? Je m’en doutais. Je suis donc retourné lire les textes que j’ai signés il y a un peu plus de 15 ans, quand j’étais journaliste municipal, pour voir si, comme de fait, le Montréal d’aujourd’hui est bien mieux que le Montréal d’alors. Pas sorcier, j’ai eu l’impression de lire un journal vieux de 100 ans ! Rappelez-vous cette époque où le 11 septembre était une date comme une autre. Les Expos perdaient au Stade. L’énigmatique Pierre Bourque était maire. La démocratie municipale était une abstraction. Et les fusions municipales étaient l’unique projet d’avenir… Montréal, on l’oublie, était alors un champ de ruines. J’exagère à peine. Le centre-ville avait l’air bombardé, et pas à cause des nids-de-poule, parce qu’il y avait un nombre incroyable de terrains vagues et de stationnements sauvages. Il y avait tellement d’espaces vides, en fait, qu’on pensait construire sans problème un stade de baseball en plein quartier des affaires ! À côté, on espérait le Quartier international sans même s’imaginer qu’une aussi belle réussite était possible. L’idée d’un Quartier des spectacles n’existait pas, une poignée de fous se contentait de rêver à un « Quartier des théâtres ». Juste au nord, telle une forteresse de béton, l’horrible échangeur routier au coin des avenues du Parc et des Pins bloquait la vue et l’accès au mont Royal, qui n’était d’ailleurs toujours pas protégé. Au contraire, même… Pas de Grande Bibliothèque pour rapiécer le Quartier latin, à l’est. Pas d’agrandissement du Palais des congrès, ni de recouvrement d’autoroute. Et pas de CHUM non plus, qu’on prévoyait plutôt construire en plein quartier résidentiel, dans la Petite-Patrie. Oui, oui. Au sud du centre-ville, guère mieux… Le Vieux-Montréal était à ce point abandonné que le gouvernement avait mis sur pied un programme généreux en subventions pour attirer des hôtels. À un jet de pierre, le Vieux-Port se cherchait. Il n’y avait pas encore de Centre des sciences. Pas de condos dans les entrepôts frigorifiques. Pas de véritable vision, en fait, sinon celle de permettre aux promoteurs de faire n’importe quoi, n’importe où. Un aquarium Ripley’s ? Une maison de l’OSM sur le quai Bickerdike ? Un « technodôme » à la Disney World ? Ou, tant qu’à y être, le siège social de l’ONU ? Autant d’idées qui ont été détaillées et même présentées. Oui, oui… Vers l’ouest, la Cité du multimédia venait tout juste d’être annoncée. Pas aménagée, juste annoncée, comme un autre de ces projets auxquels on ne croit pas tant qu’on ne le voit pas. On réfléchissait à une cité du commerce électronique un peu plus loin. On envisageait d’aménager des cinémas dans l’ancien Forum vide. Et le quartier Griffintown ? Aussi inconnu que son nom. Oui, oui. *** Pour apprécier le chemin parcouru, c’est bien connu, il faut se rappeler d’où on part. D’une ville morose, donc, où le problème était justement l’absence de chantiers. Bien sûr, tout ne s’est pas métamorphosé comme par magie. On n’a pas réussi à tout faire ce qu’on aurait dû faire. Et bien des projets ont été abandonnés (la « modernisation » de la rue Notre-Dame Est), balayés (le prolongement de la ligne jaune, des deux côtés) ou se sont enrayés (le rond-point Dorval, dont on parlait déjà en 2000). N’empêche que Montréal est aujourd’hui une ville autrement plus dynamique que la métropole qu’elle était, malgré son incapacité à améliorer la mobilité. C’est une ville que je préfère nettement à sa version d’il y a 15 ans, malgré ses cônes orange. C’est un milieu de vie infiniment plus grouillant qu’au tournant du millénaire, malgré ses défauts, ses laideurs et ses errements. On peut bien rouspéter en empruntant tous ces détours continuellement, mais prenons quelques minutes lorsque nous sommes coincés dans le trafic pour rêver à ce qui s’en vient. Cet échangeur Turcot qui s’annonce plus fluide et ancré dans les quartiers qu’il traverse. Ce CHUM noir autrement plus réussi que son pendant anglophone. Cette autoroute Bonaventure qui disparaîtra au profit d’une majestueuse entrée de ville. Et ce futur pont Champlain, avec ses haubans élancés, à la fois sobre et élégant. Donc oui, quand on se regarde, quand on s’attarde à tout ce qui va tout croche aujourd’hui, on se désole. Mais quand on se compare, quand on regarde le chemin parcouru et celui qui s’en vient, on se console. À condition, bien sûr, de se décoller le nez des grilles de chantier. http://plus.lapresse.ca/screens/df6be48e-9f7e-48a7-b08b-6487909e4368%7C_0.html
  2. Voici un projet qui nous est passé sous le nez. C'est un beau petit projet, très bien situé sur le bord du canal et près du Centre Gadbois. Il est d'ailleurs sur le meme terrain qu'un autre projet de Mondev qui est terminé: http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/18812-St-Henri-Zone-C-4-4?p=134046#post134046 Celui-ci a 6 étages et est en location. Je ne croyais pas qu'il était si avançé dans sa construction, c'est très rapide, probablement parce que c'est de la location. http://www.mondev.ca/condo-montreal-les-berges-du-canal-en-location-face-au-canal-lachine.html?ProjetID=117
  3. Secouée, comme d'autres, par le ralentissement économique, l'entreprise Plastiques Moore, de Saint-Damien, vient de trouver un peu de réconfort. Pour en lire plus...
  4. Le nuage d'incertitude qui entoure l'avenir d'Air Canada s'est épaissi encore davantage hier. Résultat: le titre du transporteur et celui de sa société mère, Gestion ACE Aviation, ont piqué en vrille. Pour en lire plus...
  5. Au lendemain de l'annonce présidentielle d'un projet de nationalisation du système privé de retraite, l'indice dégringolait de 17,4% à 863,9 points, après une chute de 11% mardi. Pour en lire plus...
  6. Rouler à 160 km/heure n'est pas permis. Ni conduire avec quelques verres dans le nez. De tels comportements peuvent entraîner des accidents, parfois mortels. Pour en lire plus...
  7. Google est entrée à la Bourse, il y a quatre ans, en faisant un joyeux pied de nez aux banques d'affaires. Pour en lire plus...
  8. L'inflation a enregistré un nouveau record depuis la création de la zone euro à 4,1% en juillet, ce qui s'ajoute aux signes de ralentissement de la croissance. Pour en lire plus...
  9. Dans le journal de montreal sous la signature de Martin Smith, on pouvait lire le 22 avril: Le stade Saputo prefere au BMO field pour le match retour entre le Canada et Saint-vincent-et-les-Grenadines. Le stade Saputo n'a pas encore ete inaugure qu'il se permet deja un joli pied de nez au BMO field de Toronto pompeusement surnomme " stade national du soccer au Canada " En effet l'Association canadienne de soccer annoncera aujourd'hui....... Et l'article se termine ainsi " le grand patron Joe Saputo a donc pu decider d'eriger un stade concu specifiquement pour le soccer avec un terrain de gazon naturel, surface preferee par la tres vaste majorite des joueurs. Pour une fois le comite executif de l'Association canadienne a pris une decision en tenant doublement compte des souhaits exprimes par les joueurs plutot que sur le niveau des revenus escomptes. Le choix de Montreal et du stade Saputo devant Edmonton et son immense stade du Commonwealth, par exemple, s'explique par un autre souhait des joueurs, majoritairement bases en Europe, ils tiennent a jouer autant que possible dans l'est du Canada afin d'eviter d'avoir a combattre les effets d'un trop grand decalage horaire. Le choix du stade Saputo pour la rencontre du 20 juin fournira une occasion supplementaire aux Montrealais de faire rager leurs ennemis jures de Toronto. En effet, si les Quebecois assurent un succes populaire au match contre Saint-vincent-et-les-Grenadines ainsi qu'aux eventuelles rencontres contre le Honduras et le Mexique, il ne faudrait pas s'etonner que le stade Saputo devienne le veritable stade de predilection de l'equipe du Canada ". En effet la nouvelle devait se confirmer plus tard .
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