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  1. Une nouvelle tour de onze étages à la Place Charles-LeMoyne Rive-Sud Express Diane Lapointe VIEUX-LONGUEUIL –Une nouvelle tour de onze étages s’élèvera bientôt dans le ciel de la Place Charles-LeMoyne, dans l’arr. du Vieux-Longueuil. Le Ville de Longueuil, propriétaire du terrain situé sur la rue Saint-Charles Ouest, entre l’Université de Sherbrooke et l’entrée des autobus, a accepté l’offre d’achat des Habitations Trigone pour un montant de 1 763 929$. L’entreprise projette de réaliser un édifice de condominiums de luxe évalué à plus de 47 M$. Il comportera 170 unités de condo d’une valeur moyenne de 275 000 $, un stationnement souterrain de deux étages et des espaces commerciaux au rez-de-chaussée La Ville de Longueuil prévoit percevoir des revenus de taxes de mutation sur la portion résidentielle de 515 000$, et des revenus annuels de 536 000$ en taxation résidentielle et de 26 000$ pour la portion commerciale.
  2. Si on doit constamment être bombarder d'opinions apocalyptiques sur Montréal, je crois que la diffusion des bonnes nouvelles devraient aussi être partager. L'article tient à y aller du titre "Toronto a les frais de garde les plus élevés au Canada", mais je trouve encore plus pertinent que Montréal a en fait les frais les plus bas. On parle d'une différence annuelle de 17,820$ par enfant. Comme l'article le mentionne c'est plus cher que d'envoyer ses enfants à l'université (on ne comparera pas les données des frais universitaires entre les deux ville en plus, même si...) ou c'est l'équivalent d'un deuxième hypothèque. Quel frein énorme au développement économique d'une ville. Si tu as deux ou trois enfants, ça ne vaut pratiquement pas le peine pour un des parents d'aller retourner travailler. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1005326/cout-garderie-toronto-montreal-winnipeg
  3. http://www.journaldemontreal.com/2016/01/20/les-plus-pauvres Nous sommes tellement habitués à ce genre de manchettes, c’est à peine si cela se fraye encore une place dans les bulletins de nouvelles. Le Québec est la province la plus pauvre du Canada. L’Île-du-Prince-Édouard a connu une meilleure croissance depuis deux ans. Cette minuscule province nous a dépassés. Dixième sur dix. Ces données de l’Institut de la statistique du Québec auraient dû semer la panique dans la population, nous servir un électrochoc pour revoir tout notre modèle économique. On devrait voir des gens s’arracher les cheveux, des vieillards frapper les lampadaires avec leur canne et des politiciens pleurer de rage. Rien de tel ne se produit au Québec. Endormis On reçoit cette nouvelle comme un fait divers. Certains nient la réalité en se moquant des statistiques, d’autres se réfugient derrière l’idée que nous sommes choyés d’avoir un modèle plus «égalitariste». Le pauvre François Legault fait cavalier seul en s’époumonant depuis des mois à l’Assemblée nationale à essayer d’intéresser quelqu’un à la tragédie de notre appauvrissement collectif. La statistique dont on parle est pourtant simple: le revenu disponible par habitant. Combien en moyenne nous reste-t-il dans nos poches pour vivre une fois que les gouvernements nous ont plumés? Difficile à truquer, pas difficile à interpréter. Il nous en reste beaucoup moins dans nos poches. Cela correspond pas mal à l’idée de pauvreté. Niveler par le bas Pourquoi ne pas être consolés par cette notion d’un Québec plus égalitaire? Il y a au Québec un écart moins grand entre riches et pauvres, cela est vrai. Mais attention. Les pauvres du Québec sont plus pauvres qu’ailleurs, la classe moyenne est plus pauvre aussi. Ladite égalité vient du fait que nous avons moins de riches. Moins de riches, donc moins de raison d’être jaloux peut-être, ce qui donne une impression de justice. Par contre, moins de riches signifie aussi moins de contributeurs pour payer les impôts qui financent tous nos beaux services publics. Une analyse complète permet difficilement de conclure que l’égalitarisme viendrait compenser pour le triste constat que nous sommes globalement plus pauvres. L’importance de l’écart mérite aussi qu’on s’y attarde. Plus de 4200 $. C’est le montant en moyenne de revenu disponible que nous avons de moins dans nos poches, par habitant! Faites le calcul: cela signifie que le couple québécois moyen dispose de près de 10 000 $ de moins pour faire face à ses obligations et se payer de petites gâteries. Les garderies auront beau coûter moins cher ici, on parle d’un écart énorme dans le même pays. Je reste estomaqué par une question existentielle: comment le discours dominant au Québec peut-il continuer d’être en faveur de la sauvegarde du supposé «modèle québécois»? Comment en sommes-nous venus à penser que notre modèle étatique, social et syndical nous rend service avec des résultats semblables? Mystère.
  4. http://www.stat.gouv.qc.ca/statistiques/population-demographie/bilan2015.pdf Voici les derniers chiffres sur la population du Québec. Quelques faits intéressants sur l'île de Montréal (parce que c'est ça qui m'intéresse ): - Le solde migratoire interrégional de Montréal est toujours déficitaire, mais la situation s'améliore sans arrêt, pour la 4ième année de suite. 2009-2010 : -23640 2010-2011: -22207 2011-2012: -20492 2012-2013: -17739 2013-2014: -14981 - Le taux d'accroissement annuel moyen de Montréal est aussi plus grand que la moyenne du Québec. 12.4 pour 1000 à Montréal, contre une moyenne de 8.5 pour 1000 pour la province, pour les années 2011 à 2014. - Cette croissance est une grande augmentation comparée aux années précédentes: 2001 à 2006: 2.3 pour 1000 (moyenne Québec 6.3) 2006 à 2011: 4.6 pour 1000 (moyenne Québec 9.6) 2011 à 2014: 12.4 pour 1000 (moyenne 8.5) Tout un retournement de la situation... - Cette croissance est aussi plus haute que les régions immédiates (ce serait intéressant d'avoir juste les villes de la région métropolitaine, mais on fait avec ce qu'on a): Laval est à 11.9 pour 1000 Montérégie est à 8.6 pour 1000 Les Laurentides sont à 11.2 pour 1000 Lanaudière est à 10.5 pour 1000 On constate une baisse de la croissance dans toutes ces régions. Bref, il reste du travail à faire, mais l'île de Montréal ne se vide plus comme avant, les gens sont moins nombreux à quitter, et sa population augmente plus vite qu'ailleurs. Je crois que c'est un bon pas contre cette tendance à croire que le centre de la métropole est destiné à décliner et devenir un trou de beigne.
  5. Inégalités des revenus: Toronto en tête, Montréal 4e http://journalmetro.com/actualites/national/728640/les-inegalites-de-revenus-croissent-vite-a-toronto/ TORONTO - Les écarts entre les riches et les pauvres s'accroissent plus rapidement à Toronto que dans les autres grandes villes canadiennes, selon une nouvelle étude. Les inégalités de revenus à Toronto augmentent aussi à un rythme plus rapide que la moyenne nationale, selon cette étude commandée par l'organisme Centraide. En analysant les taux de variations des inégalités de revenus des ménages et des individus de 1980 à 2005, l'étude a révélé qu'à Toronto, l'écart entre riches et pauvres s'était creusé deux fois plus que la moyenne nationale de 14% pendant cette période de 25 ans. Si on compare les grandes villes canadiennes, Toronto arrive en tête, avec une croissance de 31% de l'écart entre riches et pauvres en 25 ans; à Calgary, ce taux de croissance a atteint 28%, à Vancouver 17 et à Montréal 15%. Si l'on ne tient compte que des revenus des individus, Toronto arrive encore en tête, avec un taux de croissance de 23% de l'écart entre riches et pauvres, alors que la moyenne nationale est de 6%. L'étude a utilisé des données de Statistique Canada et d'un sondage externe mené auprès de 2684 répondants torontois, afin de connaître leur perception des inégalités et ce qu'elles signifient pour la vie en métropole canadienne. Le rapport conclut que les écarts croissants entre riches et pauvres créent un environnement «où les différents acteurs n'ont pas les mêmes chances», et qu'il est parfois illusoire de penser qu'on va nécessairement réussir à force de travail et de détermination sent via Tapatalk
  6. Combien de ces 20 faits sur Montréal saviez-vous déjà ? Recouverte en 1832, la Petite Rivière St-Pierre sort de terre seulement nous rappeler qu’elle existe encore coupant en deux le terrain de Golf Meadowbrook de Côte-St-Luc. Nous sommes sur une île, vous le saviez ça, mais saviez-vous que Montréal est la plus grande île de l’Archipel d’Hochelaga qui en compte environ 325? Montréal est la ville soeur de 21 autres villes internationales dont Hiroshima, Amsterdam, Lyon et Milan. La plus longue rue de l’île est le Boulevard Gouin qui longe la rive nord mesure 50km. L’Hôtel Reine-Élizabeth se devait de nourrir votre cheval gratuitement si vous y louiez une chambre pour la nuit. Cette loi n’a été renversée qu’en 1998. Notre Mont-Royal, partie des Collines Montérégiennes, a trois sommets, Le sommet du Mont-Royal (234m), le Sommet D’Outremont (211m) et la Colline Westmount (201m). À sa dernière expansion en 1933, l’Édifice Sun Life sur Metcalfe était le plus grand building de tout l’Empire Britannique. Il fut le plus grand édifice de Montréal jusqu’à la construction de la Place Ville-Marie. Parlant de la Place Ville-Marie, le gyrophare tout en haut prend 28 secondes pour faire un tour complet et s’éteint à minuit-trente à chaque nuit. Le gyrophare est la propriété de la Banque Royale du Canada. Mettons fin à un mythe ici, les « Tours Eiffel » qui couronne le Pont Jacques-Cartier ne sont pas un cadeau de la France et leur similitude n’est qu’une coïncidence. Fin d’un autre mythe. Même si à la base le Mont-Royal à un coeur fait de magma solidifié nommé gabbro, le Mont-Royal n’est pas un volcan. Les cimetières de Montréal comptent 12 des 1514 victimes du Titanic La Station de Métro St-Michel n’est techniquement pas encore terminé et est la seule station qui ne peut pas recevoir une rame complète de neuf voitures. Puisque nous parlons de transport en commun. La ligne d’autobus avec le plus grand achalandage est la ligne 121 Sauvé/Côte-Vertu avec en moyenne 37 000 passagers du lundi au vendredi. La première voiture de Montréal arriva dans nos rues le 21 novembre 1889 et elle était la propriété de M. Dandurand. Dans le même ordre d’idée, la première victime d’un accident automobile fut Antoine Toutant frappé en traversant la rue le 11 août 1906. Montréal a plusieurs sièges sociaux, dont celui d’un des sites web le plus visité sur le web, Brazzers (et ne faites pas semblant que vous ne savez pas de quoi je parle). Montréal fût la capitale fédérale de 1844 à 1849. Il tombe sur notre belle ville en moyenne 764mm de pluie et 217cm de neige annuellement. Montréal est au 1er rang nord-américain pour le nombre d’étudiants universitaires par habitant devant Boston. La Basilique-Cathédrale Marie-Reine-du-Monde, sur la rue De la Cathédrale est une copie réduite de la Basilique St-Pierre du Vatican. Et finalement, en restant du côté religieux de la métropole. Il y a 152 rues qui portent le nom de « Saint- » ou « Sainte- Écrit pour mon blogue mais partager sans frais avec MTLurb.
  7. Jean-Sébastien Marsan 04-09-2014 | 11h18 MONTRÉAL - Les tarifs hôteliers à Montréal ont grimpé de 9 % en moyenne au cours des six premiers mois de 2014 comparativement à la même période en 2013. La métropole s'est même hissée en tête de liste des villes où les voyageurs canadiens ont payé le plus cher pour un hôtel cinq étoiles, avant Tokyo et Los Angeles. C'est ce que révèle le service de réservation d'hébergement en ligne Hotels.com dans son plus récent Hotel Price Index, publié mercredi. Cet indice, fondé sur les réservations effectuées sur le site web Hotels.com et sur les prix réels (non les prix affichés) que paient les clients, a été établi à 100 en 2004. Il atteint 115 en 2014. À l'échelle mondiale, l'augmentation moyenne des tarifs hôteliers est de 4 %. Les hôtels des Caraïbes ont enregistré la plus forte hausse, à 6 %. En Amérique du Nord, en Europe et au Moyen-Orient, les prix réels ont progressé de 5 %. Lorsqu'on regarde de plus près le marché canadien, on constate que les prix des hôtels à Montréal (168 $ la nuitée en moyenne) et à Vancouver (157 $) ont augmenté de 9 % au cours des six premiers mois de 2014, dépassant le marché torontois (152 $ la nuit). Cette année, Montréal se hisse même au top 20 des villes où les Canadiens ont dépensé le plus pour un hôtel cinq étoiles: une moyenne de 573 $, en hausse de 30 % comparativement au premier semestre de 2013. Les plus chics hôtels de la métropole québécoise sont plus coûteux, en moyenne, que les établissements cinq étoiles de Tokyo (533 $), Los Angeles (532 $), Londres (508 $) et Paris (469 $). LES TOURISTES SE RESSEMBLENT Les touristes canadiens en voyage dans leur propre pays ont des comportements assez similaires aux touristes étrangers qui s'offrent un séjour au Canada. Dans les deux cas, la destination la plus populaire demeure Toronto. Les Canadiens préfèrent ensuite Montréal, puis Vancouver, tandis que les étrangers ont tendance à privilégier Vancouver avant Montréal. À ce jour, «2014 est une excellente année à Montréal grâce aux événements comme les congrès et les compétitions sportives», a commenté Eve Paré, présidente-directrice générale de l'Association des hôtels du grand Montréal. «Ces événements contribuent à occuper les chambres d'hôtel et à tirer les prix vers le haut.» Le rapport de Hotels.com dévoile également ce que les Canadiens paient lorsqu'ils réservent une chambre à l'étranger. C'est aux Bahamas que les Canadiens ont payé le plus cher dans la première moitié de l'année 2014 pour une nuit d'hôtel de luxe, à 341 $ par nuit, en hausse de 12 % par rapport à 2013. Suivent les hôtels de la Suisse (246 $ la nuitée, en moyenne), de la Croatie (235 $) et du Royaume-Uni (225 $). Les dix destinations les plus populaires chez les touristes canadiens en 2014 sont New York, Las Vegas, Londres, Paris, Orlando (Floride), Chicago, Los Angeles, San Francisco, Seattle et Rome. http://fr.canoe.ca/argent/depenser/auquotidien/archives/2014/09/20140904-111852.html
  8. Le Devoir: http://www.ledevoir.com/politique/montreal/398500/%E2%80%8Bbudget-2014-de-la-ville-de-montr%C3%A9al-hausses-de-taxes-moyennes-de-2-8 La Presse: http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201401/29/01-4733596-budget-sous-controle-taxes-en-hausse-a-montreal.php
  9. http://matrix.cwcanada.com/filecabinet/Trans/380675/autoroute%20Laval%203535%20(E).pdf
  10. Le Chemin de Chambly en chantier! Cette rue importante se prépare a recevoir sa toute première piste cyclable entre Vauquelin et le boul. Jacques-Cartier. Les voies véhiculaires seront rétrécies (de 4.1m à 3.4m en moyenne) pour permettre l'implantation de la piste de 3m. Les trottoirs seront élargis à 1.5m également. L'ouverture est prévue cet automne!
  11. Il y a un article qui est passé sans que personne n'y fasse attention dans les médias. Ça vend beaucoup plus dire que les cônes oranges et Ferrandez vont tuer à eux seuls l'activité économique d'une ville de 3 millions d'habitants. On est comme ça ici `: on aime juste quand ça va mal. ------------------------------------------------------------ Transport Montréal: 31 minutes en moyenne pour aller travailler Agence QMI 05/09/2011 16h46 Seriez-vous étonnés d’apprendre que les travailleurs de la région de Montréal passent en moyenne 31 minutes pour se rendre au boulot? C’est ce que révèle la plus récente étude réalisée par Statistique Canada concernant le temps de déplacement entre la maison et le travail en auto, en transport en commun ou à pied. La moyenne canadienne est de 26 minutes, soit cinq minutes de moins qu’à Montréal, tous modes de transport confondus. À Toronto, on parle plutôt de 33 minutes. «Il faut préciser qu’on inclut l’ensemble de la grande région montréalaise», a affirmé Martin Turcotte, chercheur pour Statistique Canada. «Les données vont aussi comprendre des gens qui restent en banlieue et qui travaillent en banlieue à proximité de leur domicile». Cependant, 27% des gens de la région montréalaise prennent 45 minutes ou plus pour leur déplacement entre leur domicile et leur lieu de travail, une proportion plus grande qu’ailleurs au pays. L’étude, intitulée Se rendre au travail: résultats de l’Enquête sociale générale de 2010 a été diffusée en août, mais a été réalisée en 2010 grâce à un échantillon de 6650 répondants. Environ 85% des participants se disent «satisfaits» ou «très satisfaits» de la durée de leur déplacement alors que seulement 15% seraient «insatisfaits». Parmi les gens qui consacrent 45 minutes pour se rendre au bureau, 36% trouvent leur journée «stressante» ou «extrêmement stressante». «On a même vu que le temps de déplacement exerçait une influence indépendante sur le stress. Ça démontre que ce ne sont pas seulement les autres facteurs de la vie qui causent le stress, mais bel et bien le déplacement en tant que tel», a expliqué M. Turcotte. L’étude révèle également que les déplacements sont plus longs en transport en commun qu’en automobile pour une distance équivalente. La moyenne canadienne se situe à 44 minutes pour les usagers des trains de banlieue, des autobus ou du métro. À Toronto et Vancouver, les usagers ont consacré environ vingt minutes de plus que les automobilistes pour se rendre au travail. La situation s’améliore à Montréal puisqu’on parle plutôt de 10 minutes supplémentaires. Près de 75% des automobilistes questionnés à ce sujet estiment que le transport en commun serait «assez peu pratique» ou «très peu pratique», ce qui ne décourage pas pour autant la Société de transport de Montréal. «Notre objectif d’ici 2020, c’est d’aller chercher 5% des automobilistes», a affirmé François Pépin, le directeur des études en planification des transports à la STM. ------------------------------------------------------------ Moyenne des temps de déplacement pour se rendre au travail en 2010: Toronto: 33 min Montréal: 31 min Vancouver: 30 min Ottawa/Gatineau: 27 min Calgary: 26 min Edmonton: 23 min
  12. Photo Bernard Brault, La Presse Presse Canadienne Montréal Un inventaire réalisé pour la ville de Montréal indique que les deux raffineries de Shell et de Pétro-Canada constituent les deux plus grosses sources ponctuelles d'émissions de gaz à effet de serre de la métropole. Avec 19 % des émissions, elles contribuent presque autant au réchauffement du climat que les émissions attribuables aux 4,1 millions de déplacements d'automobiles recensés chaque jour sur l'île. L'inventaire a été dressé par le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs à partir de données statistiques des années 2002-03, les plus récentes à sa disposition. Selon cette enquête, les trois principales sources d'émissions de gaz à effet de serre à Montréal sont, par ordre d'importance, les transports (49 %), les industries (28 %) et le parc immobilier (20 %). Les émissions liées aux déchets de la ville s'élevaient quant à elles à trois pour cent. On y apprend que les deux pétrolières Shell et Pétro-Canada rejettent à elles seules 71 % des gaz à effet de serre du secteur industriel, échantillonné à partir d'une analyse des émissions de 90 grandes entreprises. Le transport des personnes et des marchandises est sans contredit la première source d'émissions de GES à Montréal avec la moitié du grand total. C'est le trafic routier qui se taille la part du lion des transports avec 86 % des émissions. Les voitures à essence génèrent à elles seules 43 % des émissions du volet transports, suivies des camions lourds au diesel (29 %) et des camions légers à essence (19 %). Montréal affiche une moyenne de 7,2 tonnes de gaz à effet de serre par habitant, ce qui en fait «un des bons élèves du monde industrialisé». En guise de comparaison, la moyenne québécoise se situe à 12 tonnes par habitant. Celle du Canada atteint 24 tonnes par habitant et celle des États-Unis, 25.
  13. Géothermie: Hydro-Québec vise une centrale-pilote Jean-François Cliche Le Soleil (Sherbrooke) Il n'y a pas que l'industrie des gaz de schiste qui a un oeil sur le sous-sol du sud de la province. Hydro-Québec aussi lorgne de ce côté, mais pour des raisons autrement plus «vertes» : c'est là, en effet, que la géothermie offre les potentiels les plus intéressants pour d'éventuelles centrales électriques. La société d'État vise même la construction d'une centrale-pilote pour 2015. C'est ce qu'il a été possible d'apprendre lors d'une conférence prononcée mardi au 79e congrès de l'Acfas, à Sherbrooke, par Vasile Minea, chercheur et ingénieur pour la société d'État. M. Minea y a principalement présenté l'évaluation qu'il a faite du potentiel géothermique québécois pour la production d'électricité. Intuitivement, on est porté à croire que la température est plus faible sous terre qu'à la surface, mais ce n'est vrai que jusqu'à une certaine profondeur - relativement faible, d'ailleurs - , sous laquelle la chaleur augmente. Après tout, on estime que la température du noyau de la Terre atteint 4000 °C, et celle de son «manteau» (couche d'environ 3000 km d'épaisseur située entre le noyau et la «croûte», la couche externe de 30 km), environ 1000 °C. À partir de données provenant de 980 forages pétroliers et gaziers creusés principalement entre Québec et Montréal, mais qui incluent un certain nombre de «trous» en Ontario et dans les Maritimes, Vasile Minea a colligé pas moins de 25 000 lectures de température à des profondeurs allant jusqu'à 4,4 km. Il a ainsi pu calculer qu'à 6 km, la température moyenne est de 120 °C dans le sud du Québec et d'environ 113 °C en Gaspésie et dans le golfe du Saint-Laurent. Mais il s'agit là d'une moyenne, la chaleur remontant mieux en certains endroits. Sans gaz à effet de serre Si l'on pouvait «récolter» seulement 2 % de cette énergie thermique, puis amener seulement 10 % de cette «récolte» jusqu'à la surface, puis transformer 13 % de la chaleur remontée en électricité, il y aurait moyen de produire ainsi 40 000 mégawatts (MW) de courant - soit l'équivalent de la capacité actuelle totale de production d'Hydro-Québec. Le tout, évidemment, sans gaz à effet de serre ni grandes étendues inondées. Il y a déjà quelques centrales électriques dans le monde qui génèrent de l'électricité de cette manière. Le principe, explique M. Minea, consiste à injecter de l'eau sous haute pression à grande profondeur. La pression du liquide crée ou agrandit alors des crevasses qui permettent à l'eau de circuler, et donc de recueillir la chaleur de la roche. Un second forage est percé à quelques centaines de mètres pour permettre à l'eau chaude de remonter - ce qu'elle fait à cause de la pression - , puis on en tire de la vapeur qui fait tourner une turbine. Si tout se passe bien, dit M. Minea, c'est-à-dire si d'autres études confirment l'intérêt de l'entreprise, Hydro-Québec pourrait construire une centrale géothermique dès 2015 pour tester la technologie. Mais dans tous les cas, on ne verra pas de sitôt d'exploitation à grande échelle, nuance-t-il. Projet stratégique «À Hydro-Québec, c'est vu comme un projet stratégique, projet à long terme. On vise une application pour l'horizon 2030 à 2050», dit M. Minea. Et pour cause : les coûts de pareilles centrales sont encore très loin d'être compétitifs. Construire une centrale moyenne, a calculé l'ingénieur, coûterait environ 26 millions $ sans compter les imprévus, ce qui donnerait environ 10 400 $ par kilowatt installé; par comparaison, le projet de La Romaine, sur la Basse-Côte-Nord, coûtera environ 5000 $/kW. Mais comme la technologie des forages de grandes profondeurs coûte de moins en moins cher, on peut imaginer que cette source d'énergie pourrait devenir rentable dans, disons, un «avenir envisageable». lien: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/201105/12/01-4398731-geothermie-hydro-quebec-vise-une-centrale-pilote.php
  14. Est-ce que vous consommez de la caféine? Si oui, quels produits? Café? Thé? Red Bull? Boissons Gazeuses? Etc. Are you addicted? How much is too much? Pour vous donner une idée, une tasse de café contient entre 100-150mg de caféine Une boisson énergitique puissante contient en moyenne 200 jusqu'à 500mg de caféine Une boisson énergitique "moyenne" comme Red Bull contient de 80 à 150mg de caféine Du thé d'habitude c'est à peu prêt 50mg Du chocolat aussi en contient, entre 10 et 40mg Les boissons gazeuses varient beaucoup mais d'habitude c'est un peu moins qu'une tasse de café Moi pour ma part je consomme ~ 300-400mg par jour, typiquement 3 tasses de café. Certains jours j'en prend pas du tout, d'autres je fais exception et j'y vais avec 4, mais jamais plus que 4.
  15. Un bel exemple de l'optimisme de la fin des années 60 où l'avenir semblait si prometteur, malheureusement 40 ans plus tard on est encore loin de cette vision idyllique et un peu naïve du monde de demain. Et la maison rêvée que l'on imaginait pour la famille moyenne demeurera une illusion pour encore longtemps, je crois.
  16. Nouvelles générales - Politique provinciale Écrit par Mathieu Boivin Lundi, 13 décembre 2010 16:19 Mise à jour le Lundi, 13 décembre 2010 16:37 QUÉBEC – Le Québec a dégringolé, en 2009, à la huitième place des provinces canadiennes en ce qui a trait au revenu net des particuliers. Il n’y a plus, désormais, que les gens de Terre-Neuve et de l’Île-du-Prince-Édouard qui soient moins riches que nous une fois tous leurs impôts payés. Les chiffres publiés lundi par l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) montrent que le Québec figurait en quatrième place du classement national, en 2005, avec un revenu net moyen des particuliers de 22 601$. Mais il a reculé à la sixième place l’année suivante, puis à la septième en 2007 et, l’an dernier, cette glissade l’a entraîné jusqu’au huitième rang, avec un revenu net moyen de 26 031$. Notons que l’Alberta occupe systématiquement, depuis 2005, la première place des provinces canadiennes. Depuis 2008, la Saskatchewan a ravi la deuxième place à l’Ontario, qui doit maintenant se contenter de la troisième position. «Les revenus d’emploi augmentent beaucoup moins rapidement au Québec qu’ailleurs et les salaires y sont plus faibles que la moyenne canadienne», a avancé Stéphane Ladouceur, spécialiste en aménagement du territoire et en développement régional à l’ISQ, pour expliquer ces déboires. Il a cependant souligné que c’est au Québec que les impôts sur le revenu sont les plus élevés au Canada. «Si on regarde le revenu brut, avant impôts, le Québec se trouve actuellement en cinquième place», a-t-il indiqué. Hausse modeste Quoi qu’il en soit, chaque habitant du Québec – riche ou pauvre, jeune ou vieux, travailleur ou retraité – a versé en moyenne 22,6% de son revenu en «impôt direct, en cotisation d’assurance sociale ou en autres transferts aux administrations publiques» en 2009, calcule l’ISQ. La moyenne canadienne est de 21,4%. L’ISQ relève que le revenu net des Québécois a augmenté de 1,5% en 2009, soit bien moins que la hausse de 3,9 % qui avait été enregistrée en 2008. Cela dit, c’est dans les régions de l’Outaouais (+ 5,8%), de la Capitale-Nationale (+ 4,0 %) et de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine (+2,6%) que les hausses les plus fortes ont été remarquées. «En Outaouais et dans la région de Québec, la hausse du revenu net provient de l’augmentation importante de la rémunération des salariés et des revenus des entreprises individuelles, a commenté M. Ladouceur. En Gaspésie, la progression s’explique par l’effet conjugué de l’amélioration du revenu personnel et de la diminution de la population totale.» Gatineau en tête Si ces trois régions ont réussi à éviter les effets de la récession économique, celle-ci a néanmoins provoqué une hausse de 1% du taux de chômage au Québec en 2009. «Les prestations fédérales d’assurance-emploi ont explosé de 27,3%, reflétant la détérioration du marché du travail», a relevé Stéphane Ladouceur. Enfin, l’ISQ remarque que c’est la ville de Gatineau (+ 6%) qui a connu la plus forte hausse du revenu net par habitant en 2009, suivie de Québec (+4,6 %), de Saguenay (+2,8 %), de Montréal (+1,7%) et de Trois-Rivières (+1,3 %). Sherbrooke ferme la marche avec un maigre 1%. «La croissance anémique de cette région est due, entre autres, au fléchissement de l’emploi dans le secteur manufacturier», analyse M. Ladouceur. La ville de Sherbrooke est représentée à l'Assemblée nationale par le premier ministre du Québec, M. Jean Charest. http://ruefrontenac.com/nouvelles-generales/politiqueprovinciale/31482-revenu-net-des-quebecois http://www.stat.gouv.qc.ca/donstat/econm_finnc/conjn_econm/revenu_personnel/index.htm
  17. Rôles d'évaluation 2011-2013 - une valeur foncière de 242,1 milliards de dollars Selon les 16 rôles d'évaluation 2011-2012-2013 de l'agglomération de Montréal, la valeur globale des 460 394 immeubles du territoire a atteint une somme de 242,1 milliards $. Par rapport au rôle actuel, il s'agit d'un accroissement de près de 22,4 % de la richesse foncière de l'île de Montréal, un indicateur positif de la vitalité économique de Montréal. Les augmentations augmentent en moyenne de 23,5 % dans le secteur résidentiel et de 20,2% dans le secteur non résidentiel. Les rôles d'évaluation de l'agglomération montréalaise représentent près d'un tiers des valeurs immobilières au Québec. http://www.montreal2025.com/nouvelle.php?id=1111&lang=fr
  18. Comme quoi, il vaut mieux payer plus d'impôts, mais gagner au change à la longue...... http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2010/09/13/001-medicament-cher-canada.shtml# http://www.iris-recherche.qc.ca/publications/argumentaire_economique_pour_un_regime_universel_d8217assurance-medicaments
  19. Beaucoup de chemin parcouru 21 octobre 2008 - 06h00 La Presse Claude Picher Au premier coup d'oeil, 43 ans après la fusion des 14 municipalités de l'île Jésus, l'expérience lavalloise est une réussite. Le taux d'emploi, qui mesure la proportion d'adultes de 15 ans et plus occupant un emploi, est un des meilleurs indicateurs de la santé économique d'une région. Ce taux se situe à 64,3 % à Laval, contre une moyenne québécoise de 60,6 % (cette chronique utilise principalement les chiffres les plus récents de l'Institut de la statistique du Québec). Et il s'agit de bons emplois. Le revenu médian d'un ménage de deux personnes, à Laval, atteint 46 400$, soit 8,2 % de plus que la moyenne provinciale de 42 900$. Laval compte pour 5 % de la population québécoise. Pourtant, en 2007, la ville compte pour 7 % de la valeur des permis de bâtir dans le secteur résidentiel au Québec, 8 % dans le commercial et 10 % dans l'industriel. Une ville en plein essor, quoi ! On pourrait multiplier les exemples. Le taux d'assurance emploi, par exemple (la proportion de la population en âge de travailler et touchant des prestations d'assurance emploi) est de 7,6 % dans l'ensemble du Québec, mais seulement 4,4 % à Laval. Et ainsi de suite ... C'est beaucoup de chemin parcouru depuis le 6 août 1965, date à laquelle le gouvernement de Jean Lesage impose la fusion. Du coup, Laval se retrouve au deuxième rang des villes les plus populeuses du Québec avec 170 000 habitants. Elle perdra ce statut en 2002, avec les fusions de Québec et de Longueuil. N'empêche : elle abrite aujourd'hui 380 000 habitants, ce qui en fait la quatrième ville du Québec. Elle est même jugée assez importante pour détenir, à elle seule, le statut de région administrative. Mais les statistiques ne disent pas tout. Les beaux chiffres que nous venons de voir sont en grande partie artificiels. L'enquête sur la population active, qui mesure les taux d'emploi, d'activité et de chômage, est basée sur le lieu de résidence, et non sur le lieu de travail. Un résidant de Laval qui décroche un emploi à Montréal contribue à faire baisser le taux de chômage à Laval, pas à Montréal. Or, des dizaines de milliers de Lavallois traversent les ponts chaque jour pour travailler à Montréal. Certes, il existe aussi des emplois à Laval, mais pas en quantité suffisante pour fournir du travail à tous les Lavallois. D'ailleurs, son produit intérieur brut (PIB), c'est-à-dire la valeur de le l'ensemble des biens et services produits sur le territoire lavallois, fait 4,1 % du PIB québécois, chiffre inférieur à son poids démographique. De plus, si plusieurs indicateurs économiques de Laval sont au beau fixe, on ne peut en dire autant de certains indicateurs sociaux. Le taux de décrochage au secondaire est de 26,7 % à Laval, sensiblement plus élevé que la moyenne québécoise de 24,2 %. Sur le plan de la santé, Laval compte 139 médecins par tranche de 100000 habitants, contre une moyenne provinciale de 209. C'est encore pire chez les médecins spécialistes : 58 à Laval, contre une moyenne québécoise de 108. Sans compter que Laval, quatrième ville du Québec, ne possède pas de quartier historique significatif ou de centre-ville animé et allumé, contrairement à Montréal, Québec ou Longueuil. Certes, la plupart des anciennes municipalités de l'île Jésus ont conservé un petit secteur historique intéressant, que les autorités lavalloises essaient bien de mettre en valeur (on peut les apprécier en se procurant la brochure Marcher et découvrir Laval, distribuée gratuitement par la Ville). Mais cela n'a absolument rien à voir avec la richesse patrimoniale du Vieux-Montréal ou du Vieux-Québec. Quant au centre-ville lavallois, 43 ans après la fusion, il demeure toujours une vision de l'esprit. Le maire Lucien Paiement, dans le temps, rêvait d'un centre-ville tout neuf dans le coin de Place Laval, mais pour toutes sortes de raisons, le projet n'a jamais décollé. Le centre d'intérêt s'est ensuite déplacé plus à l'ouest, à l'intersection des autoroutes 15 et 440, où on a construit une profusion d'hôtels et de centres commerciaux, ainsi qu'un centre de congrès. Mais on peut difficilement qualifier de «centre-ville» ce spaghetti d'autoroutes et cet assemblage hétéroclite d'édifices sans âme où il est à peu près impossible de se déplacer à pied. Le maire Gilles Vaillancourt, qui détient le record de longévité à ce poste et qui connaît ses dossiers sur le bout des doigts, nous parle de déplacer le centre-ville, cette fois-ci vers le sud, près du métro. Espérons que cette fois-ci sera la bonne. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/apps/pbcs.dll/article?AID=/20081021/LAINFORMER0202/810210674/5930/LAINFORMER02&template=printart&print=1
  20. Bonne nouvelle pour Montréal. La nouvelle complète se trouve ici: http://www.journalmetro.com/linfo/article/287169--les-montrealais-ont-le-12e-pouvoir-d-achat-au-monde-devant-toronto
  21. LED

    Fini la récession!

    Fini la récession! Publié le 23 juillet 2009 à 10h41 | Mis à jour à 10h44 Rudy LeCours La Presse (Montréal) La récession a bel et bien pris fin au printemps, selon la Banque du Canada. Elle estime que la croissance de notre économie sera de 1,3% en rythme annualisé durant l'été et de 3,0% cet automne. Ces prévisions trimestrielles contenues dans la nouvelle mouture du Rapport sur la politique monétaire (RPM) sont plus optimistes que celles parues en avril. La Banque estimait alors que l'économie canadienne allait continuer de s'enfoncer dans la récession au troisième trimestre avec un recul de 1,0% de l'activité économique. Pour le deuxième trimestre, la Banque maintient sa prévision de décroissance de 3,5%. Pour l'ensemble de l'année, la taille de l'économie aura rétréci de 2,3%. «L'économie étant soutenue par l'amélioration des conditions financières et le niveau plus élevé que prévu de la confiance des entreprises et des consommateurs, le ralentissement de l'activité au premier semestre de l'année a été moins marqué, lit-on dans le RPM. On s'attend maintenant à ce que la croissance redevienne positive au troisième trimestre.» La reprise ira bon train avec des avancées de 4,0% (en rythme annuel) aux premier et deuxième trimestres 2010 et de 3,8% pour les deux autres. Pour l'ensemble de 2010, la croissance est évaluée à 3,0%. À pareil rythme, l'économie aura retrouvé sa taille d'avant récession (juillet 2008) dans environ un an. Cela fera du Canada une des premières économies avancées, sinon la première, à renouer à la fois avec le retour à la croissance et à l'expansion. Le repli plus modeste qu'anticipé des dépenses des ménages et des entreprises, jumelé à une confiance accrue, justifie ces perspectives plus optimistes. La vitalité du marché de la revente de maisons et la relance des mises en chantier depuis le creux d'avril témoignent de la volonté des Canadiens de profiter des conditions très favorables d'accès à la propriété. La Banque croyait en avril que la morosité ambiante allait amener des ménages ''a reporter leurs achats. Voilà pourquoi elle tablait sur une forte accélération de la demande intérieure en 2011 seulement. Le devancement des décisions d'achat l'amène aussi à ramener de 4,7% à 3,5% sa prévision de croissance pour 2011 La Banque souligne d'ailleurs que les conditions financières demeurent plus favorables au Canada que dans les autres économies avancées depuis les débuts de la crise financière. À preuve, les taux hypothécaires variables s'élevaient en moyenne à 2,75% la semaine dernière, contre 5,35% en juillet 2007, à la veille du gel du crédit en Occident à l'origine de la récession synchronisée la plus grave depuis les années 1930. Idem pour les taux hypothécaires affiché à cinq ans. Ils étaient de 5,85% la semaine dernière contre 7,24%, il y a deux ans. Fait à souligner cependant, ils étaient descendus jusqu'à 5,25% en avril. Leur remontée correspond à celle des taux obligataires à long terme observée depuis lors. Les entreprises peuvent aussi se financer à meilleur compte qu'il y a deux ans : le taux des obligations corporatives à long terme est passé de 5,42% à 4,54% en deux ans. En décembre, au point culminant de la crise du crédit, les taux avaient grimpé à 6,04% Ces conditions favorables stimulent la demande intérieure, à commencer par celle des ménages. Les entreprises se remettront à investir un peu plus tard quand elles auront complété leur déstockage et recommencé à vendre davantage. La Banque fonde aussi son scénario de reprise en établissant à 87 cents en moyenne, la force relative du huard face au billet vert d'ici la fin de 2011. Il s'agit du taux moyen observé depuis avril. Un niveau beaucoup plus élevé donnera plus de fil à retordre aux manufacturiers exportateurs au moment où ils pourront profiter de la reprise américaine, attendue en fin d'année. La Banque croit d'ailleurs que les exportations canadiennes devraient augmenter de 6% à 7% en moyenne en 2010 et 2011, soit au moins deux fois plus vite que la croissance anticipée de l'économie américaine. Cela tient au fait que ce que les exportations canadiennes sont concentrées dans des secteurs particuliers. Ainsi, l'auto et les matériaux de construction ont été plus affectés par la restructuration de la première et la crise de la seconde. La demande refoulée qui s'est créée devra bientôt être comblée, pour le plus grand bien des manufacturiers canadiens.
  22. 30 ans plus tard Dodge Chrysler ferme ses portes à Longueuil Mise à jour : 22/07/2009 20h02 Une page d'histoire se tourne cette semaine à Longueuil. Le concessionnaire Dodge Chrysler, qui faisait partie du paysage depuis plus de 30 ans, est forcé de fermer ses portes. Tous les véhicules ont déjà été liquidés. La fermeture serait inévitable en raison des difficultés à obtenir du financement des banques. Les propriétaires affirment également qu'ils sont incapables de répondre aux exigences des constructeurs en raison des nombreux bouleversements dans l'industrie automobile. Nouvelles LCN - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - L'immeuble (terrain?) est à vendre. C'est un grand terrain à la porte du Vieux-Longueuil et à coté du centre d'achat Place Longueuil. Un redeveloppement de ce site serait très intéressant. Du residentiel ou un mixte commercial et résidentiel de densité moyenne serait bien.
  23. Une "nouvelle" un peu vieille Stationnement : Montréal dans la moyenne nationale 25 juin 2009 | 15h16 Agence QMI Sarah-Maude Lefebvre 24 heures La Métropole se classe au 5e rang des villes canadiennes où il en coûte le plus cher par jour pour se stationner. Loin derrière la ville championne, Calgary, qui à 22$ par jour est la 2e ville la plus chère après New York sur le continent, Montréal se classe légèrement au-dessus de la moyenne nationale avec un taux moyen de 17$ par jour pour se stationner. 3e pour les tarifs par mois Selon le sondage annuel sur les prix de stationnement de Colliers International, il en coûte 460$ par mois pour se stationner au centre-ville de Calgary, soit une centaine de dollars de moins qu’au centre-ville de New-York. Toronto (305$), Montréal (280$), Edmonton (275$) et Vancouver (224$) complètent le top 5 des villes les plus coûteuses en terme de stationnement, si on se fie aux résultats de ce sondage publié dans The Gazette. Comme le rapporte le quotidien, les Montréalais peuvent tout de même s’estimer chanceux puisqu’ils paieraient 1020 dollars américains par mois s’ils habitaient à Londres ou encore 748 dollars s’ils étaient des résidents de Hong Kong. C’est à Régina qu’il en coûte le moins cher pour stationner son auto au centre-ville avec 148$ par mois. Saskatoon, Victoria, Winnipeg, Ottawa et Halifax ne dépassent pas non plus le cap des 200$ par mois. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2009/06/20090625-151618.html
  24. La famille moyenne dépense plus en impôts que pour ses besoins essentiels Institut Fraser Agrandir La Presse Canadienne Vancouver D'après une étude de l'Institut Fraser, la famille moyenne canadienne gagnait 71 764 $ en 2008 et a dû débourser 31 535 $ en impôts, ce qui représentait 43,9 pour cent de son revenu. Elle dépensait par ailleurs 35,7 pour cent de son avoir pour se loger, se nourrir et se vêtir. Selon Niels Veldhuis, coauteur de l'étude sur l'indice d'imposition du consommateur canadien et directeur des études fiscales à l'Institut Fraser, la facture d'impôts des Canadiens a crû de 1783 pour cent au cours des 47 dernières années. Il ajoute que, pour la même période, la facture pour se loger a augmenté de 1218 pour cent, celle pour se nourrir de 532 pour cent et celle pour s'habiller de 536 pour cent. Selon l'Institut Fraser, en 1961, la famille moyenne consacrait 33,5 pour cent de son revenu aux impôts et 56,5 pour cent de son revenu pour se loger, se nourrir et s'habiller. Cette proportion s'est inversée dès 1981. Les gouvernements percevaient alors 40,8 pour cent des revenus de la famille moyenne en impôts, ne lui laissant que 40,5 pour cent du revenu pour combler ses besoins essentiels. L'indice d'imposition du consommateur canadien comprend tous les impôts payés par les Canadiens, que ce soit à l'échelle fédérale, provinciale ou municipale.
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