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  1. La société Daly et Morin est fondée en 1896 par William Joseph Daly et Albert Morin. Ils reprennent le fonds de commerce d'un quincaillier et d'un fabricant de peintures résistantes au feu. L'entreprise se situe à Montréal, sur la place Jacques-Cartier. Les associés réorientent les affaires de la société et se concentrent sur le commerce de gros et la manufacture de stores, de draperies, de pôles, de tringles et de la quincaillerie nécessaire à l'installation de ces produits. En 1902, ils déménagent leurs locaux sur la rue Saint-Sulpice et installent leur manufacture à Lachine (Montréal) quatre ans plus tard. En 1910, les bureaux de vente sont relogés dans les magasins de l'Hôtel-Dieu et en 1927, les entrepôts se situent tous à Lachine. À la veille de la crise de 1929, la compagnie affiche un chiffre d'affaires d'un million de dollars. Elle fournit plusieurs magasins, dont Morgan's, et est présente dans plusieurs régions du Canada. Son principal concurrent est une entreprise de la région de Chicago, aux États-Unis. Les bureaux de vente demeurent dans le Vieux-Montréal jusqu'en 1930, ils sont ensuite déménagés à Lachine. L'usine cesse ses activités en 1975. http://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=13134&type=pge#.Vwp2gnrApDQ
  2. Le festival Juste pour rire se décline en version bruxelloise « Juste pour rire » et « Kings of comedy » ont présenté, jeudi après-midi, au Kings of comedy club à Ixelles, leur refonte du Brussels comedy festival dans la formule internationale de « Juste pour rire ». Du 27 avril au 12 mai prochain, les nouveaux talents belges seront mis en lumière par des vedettes francophones du rire au Cirque royal, au théâtre 140 et au théâtre Saint-Michel. Le Kings comedy club accueillera, en seconde semaine, des artistes de la nouvelle vague québécoise. La troisième édition du Brussels comedy festival adopte le nom « Juste pour rire Brussels » pour 2013. Gilles Morin, fondateur de « Kings of comedy », a l’ambition de pousser les humoristes belges sur le devant de la scène francophone internationale et rêve « un cirque du soleil du rire dont l’énergie rayonne hors des frontières ». http://www.lesoir.be/141800/article/actualite/fil-info/2012-12-20/festival-juste-pour-rire-se-d%C3%A9cline-en-version-bruxelloise
  3. Un congrès international à Montréal. (Montréal) Il y aura l'inénarrable Larry King et ses légendaires bretelles. Il y aura Carlos Slim, homme le plus riche de la planète. Il y aura des pavillons de différents pays comme à Expo 67. Et une «rivière numérique» coulera en plein Palais des congrès. Le Congrès mondial sur les technologies de l'information, présenté comme le plus important événement international de l'industrie, arrive à Montréal pour la première fois de son histoire en octobre prochain. Et les organisateurs promettent d'en mettre plein la vue, notamment grâce aux technologies de PME québécoises qui seront mises à l'honneur pendant l'événement. «C'est une conférence sur les technologies, alors on va utiliser les technologies québécoises pour créer des effets percutants et repousser les limites de ce qu'on voit habituellement dans les conférences. On va utiliser la réalité augmentée, la géolocalisation et les réseaux sociaux pour joindre les gens», explique François Morin, PDG de ce congrès mieux connu sous l'acronyme WCIT (pour World Conference on Information Technology). Tenue tous les deux ans depuis 1978 dans divers pays du monde, la WCIT promet cette année d'attirer 3000 délégués en provenance de 80 pays dans la métropole québécoise. Outre Carlos Slim, le magnat mexicain des télécommunications qui trône au premier rang des hommes les plus riches de la planète, l'événement accueillera des noms comme Justin Rattner, directeur de la technologie de l'information chez Intel, Robert Youngjohns, président de Microsoft pour l'Amérique du Nord, et Don Tapscott, un gourou des TI qui a publié plusieurs livres sur le sujet. L'animateur américain Larry King, qui dirigera une table ronde à Montréal en octobre, a participé par téléphone à la conférence de presse annonçant la tenue de l'événement. «Je vais essayer de rendre la table ronde amusante, informative et divertissante, a promis l'homme. Je veux que le public réalise la révolution provoquée par les technologies de l'information dans laquelle nous vivons.» Les thèmes abordés iront des villes intelligentes à la société numérique en passant par les soins de santé et la fameuse informatique en nuage. Une vitrine pour les technologies québécoises L'annonce du congrès a donné lieu à quelques surprises, notamment lorsque le PDG de l'événement a promis de faire couler une «rivière numérique» dans le Palais des congrès. «Il va même y avoir des roches pour traverser la rivière», a dit sans rire François Morin. Quelques explications plus tard, les journalistes ont pu comprendre qu'un flot de «zéros» et de «un» symbolisant l'ère numérique serait projeté sur le sol pendant l'événement. Autour seront installées des photos de paysages canadiens. Grâce à la réalité augmentée, les participants qui pointeront leur téléphone intelligent vers ces images verront défiler des noms d'entreprises canadiennes actives en technologies de l'information. Merchlar, une jeune boîte montréalaise dans tous les sens du terme - l'entreprise a été fondée en 2010 et la moyenne d'âge de ses 15 employés est de 26 ans - est derrière l'aspect technique de cette «rivière». «Nous espérons profiter de la WCIT pour tisser des liens avec d'autres compagnies d'ailleurs. Le domaine de la réalité augmentée est en pleine croissance et nous voulons acquérir une meilleure compréhension du marché mondial pour maintenir le momentum qu'on a créé dans le marché canadien», a dit à La Presse Affaires Jack Han, vice-président directeur chez Merchlar. Ingenium, une autre boîte montréalaise, s'occupera quant à elle de monter une plateforme permettant aux participants d'interagir sur les réseaux sociaux, tandis que Voti, de Pointe-Claire, démontrera sa nouvelle technologie d'inspection de bagages en 3D par rayons X. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201206/26/01-4538250-un-congres-international-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS3
  4. (Montréal) Les nouveaux chiffres le confirment: l'industrie du capital-risque carbure à fond au Québec. L'argent risqué sur les jeunes entreprises de la province a bondi de 50% l'an dernier, beaucoup plus qu'aux États-Unis, et qu'ailleurs au Canada. Après avoir mieux traversé la crise que ses voisins, le Québec rebondit donc maintenant avec davantage de vigueur qu'eux. Une bonne nouvelle pour les bidouilleurs web, entrepreneurs en biotechnologies et autres dirigeants de boîtes innovantes à la recherche de fonds pour développer leurs idées. «Il y a vraiment de quoi se réjouir. Le fait que la hausse ait touché tous les secteurs et que tous les acteurs du marché aient augmenté leur contribution nous faire dire qu'il s'agit de quelque chose de solide», dit Geneviève Morin, présidente de Réseau Capital, l'association du capital-risque québécois. Le capital-risque est l'argent misé sur des entreprises souvent non rentables dans l'espoir de créer des succès comme Google ou Facebook. Les investissements de ce type ont atteint 549 millions de dollars en 2011 au Québec, une cuvée qui se compare aux belles années d'avant la crise financière. «On voit enfin une lumière au bout du tunnel, et ce n'est pas un train», lance Mme Morin. Des financiers de tous les horizons ont pigé dans leurs poches pour risquer davantage d'argent sur des entreprises québécoises. Avec des investissements de 164 millions, les fonds de travailleurs fiscalisés (Fonds de solidarité FTQ, Fondaction CSN et autres) ont mis le plus gros du magot, une augmentation de 21% par rapport à 2010. Les fonds de capital-risque privés ont aussi été très actifs l'an dernier, misant ensemble 114 millions dans 64 entreprises. Il s'agit d'un bond considérable de 74% par rapport à 2010. «On récolte le fruit des efforts faits en 2006 et 2008, quand plusieurs fonds ont été créés au Québec. Ces fonds arrivent aujourd'hui à maturité», dit Mme Morin, qui souligne cependant qu'il faut renflouer ces fonds dès maintenant si on veut qu'ils continuent à investir. Les investisseurs étrangers, surtout américains, ont aussi été nombreux à risquer leur argent sur des entreprises québécoises. Ils ont injecté ensemble 126 millions, soit 45% de plus qu'un an plus tôt. Sur quoi misent les investisseurs? Les entreprises du secteur de l'internet, de l'électronique et du logiciel ont été leurs cibles favorites l'an dernier, raflant 33% des sommes. Les technologies vertes, un secteur en plein boom sur la planète, ont aussi connu un investissement record au Québec avec 97 millions. De ce nombre, la part du lion, 90 millions, est allée à Enerkem, une entreprise montréalaise qui fait couler beaucoup d'encre avec son projet de transformer les ordures en carburant. Le secteur des biotechnologies, jadis le favori des investisseurs, a bien fini en hausse de 19% par rapport à l'an dernier, mais il n'attire plus que le cinquième des investissements. «Il y a là quelque chose de préoccupant, admet Mme Morin. Il y a beaucoup de belle science au Québec, et le marché de la santé est prioritaire pour tout le monde. Il va falloir des fonds de plus grande taille dans ce secteur, mais qui dit fonds de plus grande taille dit plus de temps pour les mettre en place.» CAPITAL-RISQUE AU QUÉBEC: LES GROS INVESTISSMENTS DE 2010 - Enerkem (technologies propres) : 90,3 millions - Enobia Pharma (biotechnologies) : 40,8 millions - Beyond the Rack (internet) : 36,6 millions - Lumenpulse (éclairage) : 16 millions - Milestone Pharmaceuticals (biotechnologies) : 12,4 millions - Acquisio Canada (logiciel) : 12,1 millions - ProSep (technologies propres) : 11,1 millions - Utilicase (technologies propres) : 10 millions http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201202/14/01-4495643-capital-risque-le-quebec-poursuit-sur-sa-lancee.php
  5. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201108/16/01-4426273-capital-risque-lavantage-du-quebec-se-confirme.php
  6. Montreal by the mouthful POSTED: October 7, 2010 It's a city that loves France, but its tastes lean to the rich local bounty. By Craig LaBan Inquirer Restaurant Critic http://www.philly.com/philly/restaurants/20101007_Montreal_by_the_mouthful.html?viewAll=y
  7. Desjardins supprimera 900 postes d'ici trois ans Publié le 14 mai 2009 à 16h08 | Mis à jour le 14 mai 2009 à 23h07 Francis Vailles La Presse La nouvelle tant attendue est finalement tombée : le Mouvement Desjardins redessine complètement son organigramme, une opération qui mènera à des économies annuelles de 150 millions de dollars. Quelque 900 postes seront supprimés sur trois ans. Essentiellement, le Mouvement regroupera ses nombreuses filiales et divisions en quatre grands secteurs d'affaires : les particuliers, les entreprises, les assurances générales et, enfin, la gestion du patrimoine et l'assurance-vie. La réorganisation a été annoncée jeudi à 15h30 au cours d'une téléconférence avec les milliers d'employés du Mouvement Desjardins. Le porte-parole, André Chapleau, a confirmé à La Presse Affaires que 300 postes seront éliminés chaque année d'ici le 31 mars 2011, soit 900 postes au total. Les licenciements ne faisant pas partie de la culture de l'organisation, Desjardins compte réduire son personnel par des mises à la retraite ou des départs volontaires. Bon an, mal an, a indiqué M. Chapleau, le Mouvement enregistre quelque 500 départs volontaires ou à la retraite et 3000 postes sont affichés. «On a peu de craintes sur l'impact sur le personnel», a-t-il dit. Les compressions étaient attendues chez Desjardins, dont la structure est jugée lourde et coûteuse. Déjà depuis le début de l'année, quelque 200 consultants informatiques n'auraient pas obtenu de renouvellement de contrats, nous dit une source à l'externe. En incluant les 7000 employés de la Fédération, le Mouvement Desjardins donne du travail à environ 20 000 personnes, auxquelles s'ajoutent les quelque 23 000 employés des caisses. Dans le communiqué de presse, la présidente, Monique Leroux, parle d'un rapprochement avec le réseau des caisses, d'une structure plus simple et d'une optimisation de la performance. «Nous ferons en sorte que l'union de nos forces vives et de nos expertises bénéficie à nos caisses (...) Nous aurons un mouvement proche de ses caisses et des caisses proches de leurs membres», a-t-elle expliqué. Bruno Morin prend du galon Le directeur général de la Caisse centrale, Bruno Morin, prend du galon. En plus de garder ses fonctions, il devient premier vice-président du Mouvement Desjardins et directeur général, Gestion du patrimoine et Assurance vie. À ce titre, M. Morin sera responsable de la gestion des comptes des diverses filiales de Desjardins touchant la gestion du patrimoine, qu'ils soient à la Fiducie Desjardins, à Desjardins Sécurité financière ou à Valeurs mobilières Desjardins (VMD). La portion «gestion des fonds de placements» de Desjardins Gestion d'actifs (DGA) s'y retrouvera également. «On ne démantèlera pas nécessairement les filiales, mais il y aura une union des expertises avec une direction commune», dit M. Chapleau. Le secteur Entreprise sera dirigé par Stéphane Achard, qui en devient le premier vice-président et directeur général. Les équipes dédiées aux entreprises de la Caisse centrale, de VMD et de Desjardins Capital risque et de DGA relèveront de M. Achard. Le secteur Particuliers, qui englobe notamment le réseau internet Accès D, sera dirigé par Normand Desautels, tandis que celui des Assurances générales demeurera l'apanage de Sylvie Paquette (première vice-présidente et directrice générale). Outre ces quatre segments d'affaires, l'organigramme de Desjardins comprendra un service de soutien administratif (finance, technologie, capital humain, risque), un service de soutien aux caisses et un service de soutien aux instances démocratiques. Par ailleurs, le comité de direction de la Fédération et le comité de direction stratégique du Mouvement sont regroupés et le nombre de postes passe de 28 à 12. Les 16 postes éliminés pourraient être réaffectés à d'autres taches, selon les besoins des nouvelles équipes. Les présidents de DGA, Gérard Guilbault, et de Desjardins Capital de risque, Louis Roquet, restent à leur poste. «On ne peut dire ce qui va leur arriver. La reconfiguration des équipes sera complétée d'ici la fin de l'année», a précisé M. Chapleau. Un départ a été annoncé, celui du président et chef de l'exploitation de la Fédération, Bertrand Laferrière. Le gestionnaire qui a passé 30 ans au Mouvement Desjardins prend sa retraite.
  8. Les discussions sur la vente TQS ont visiblement été mouvementées derrière les portes closes. Michel Morin a cru bon d'inscrire sa dissidence dans un document de 13 pages. Pour en lire plus...
  9. Couillard pushed Quebec City project to Tories after firm lost Montreal bid DANIEL LEBLANC AND INGRID PERITZ With reports from Tu Thanh Ha in Toronto and Rhéal Seguin in Quebec City June 13, 2008 OTTAWA AND MONTREAL -- The Kevlar Group was losing out on a major federal contract in Montreal in early 2007 at the same time as Julie Couillard started lobbying two senior Conservative officials in favour of another one of the company's projects in Quebec City, according to government records and sources. Kevlar wanted to spend up to $25-million to develop a large swath of land that belonged to Canada Post on the Montreal harbourfront. However, another Crown corporation, Canada Lands, used its right of first refusal and snagged the 60,000-square-metre property in a deal that was officially announced on May 2, 2007, a spokesman for Canada Lands confirmed. Kevlar was believed to be unhappy in Montreal when its postal-site bid was rejected, according to a real-estate consultant. "They [Kevlar] probably invested a lot of time, money and energy in their building proposal, which they thought was the best," said a source familiar with the project. "Then Canada Lands turned around and said, 'We'll develop the site.' " Print Edition - Section Front Enlarge Image More Front Page Stories Couillard pushed Quebec City project to Tories after firm lost Montreal bid About the same time, Kevlar was bidding on another federal project worth about $30-million for a building in Quebec City to house 750 bureaucrats. In the House yesterday, the Opposition expressed clear concerns that the company used Ms. Couillard to infiltrate the government in an attempt to ensure it would win that contract. Ms. Couillard was finishing her training as a real-estate agent at the time, and had obtained an affiliation with the firm's real-estate branch. In the spring of 2007, she started dating, in succession, two senior Conservative officials: Public Works adviser Bernard Côté and industry minister Maxime Bernier. According to senior federal officials, Ms. Couillard directly discussed Kevlar's bid in Quebec City with Mr. Bernier and Mr. Côté. Mr. Bernier has since resigned after classified documents were left in April at the home of Ms. Couillard, who had lived with two men with ties to the Hells Angels in the 1990s. Mr. Côté resigned this week after telling his superiors about Ms. Couillard's lobbying efforts and acknowledging he should have recused himself from the file to avoid the appearance of a conflict of interest. As The Globe and Mail reported yesterday, Kevlar co-chair Philippe Morin introduced Ms. Couillard and Mr. Bernier to one another in April in a restaurant in Montreal. A source added yesterday that Mr. Bernier and Mr. Morin might have known one another through their respective involvement in a group called the Young Presidents' Organization. Mr. Morin is the son of a well-known book publisher in Quebec. Kevlar officials refused repeated requests for comment yesterday, and did not expand on their previous statement that their link to Ms. Couillard was simply related to her real-estate licence. In the House of Commons, the Liberals accused Ms. Couillard of attempting to "infiltrate the Conservative government." "She tried to influence real-estate contracts at Public Works," said Montreal Liberal MP Marlene Jennings. According to news reports, Kevlar was founded by president René Bellerive in 1996, with Mr. Morin becoming a partner in 1999. The firm has acquired and built a number of commercial buildings and condominiums in Montreal and Quebec City, often with other financial partners. Kevlar and its owners have also donated thousands of dollars to federalist and separatist parties, in Ottawa and Quebec City, with the first recorded pledge to the Conservative Party, for $1,000, coming in the months after the Tories were elected to office. The government did not directly address the opposition's concerns in the House yesterday, except to say there has been no decision on the Quebec City project, on which Kevlar is one of about two dozen bidders. Conservative House Leader Peter Van Loan accused the opposition of wasting time by holding a parliamentary inquiry into the matter. "It is about finding sordid stories that can make for good news for those who are into gossip and that sort of stuff, but it is not about the important questions of public policy," he said. Regarding the Montreal project, Kevlar submitted an initial $25-million bid for the site in 2006. After several extensions to conduct due diligence, the firm submitted a lowered offer for the property on Feb. 28 of last year. Kevlar's deal fell through when Canada Lands matched its $18-million offer. "The company that bid on the site put in an offer, and we matched it," said Gordon McIvor, vice-president of Canada Lands.
  10. Le conseiller du CRTC Michel Morin a révélé que la chaîne ne respectait pas les règles de contenu canadien, comme les autres télédiffuseurs. Pour en lire plus...
  11. Un autre article faisant l'éloge de la gastronomie montréalaise Hungering for beauty and the bistros The Boston Globe La tire, maple syrup frozen on a stick, for sale at Marche Atwater. (Jonathan Levitt for the Boston Globe) By Jonathan Levitt Globe Correspondent / May 4, 2008 Interstate 89 north of Burlington, Vt., is as big, remote, and windswept as the Western plains. I cross the Canadian border at Highgate and drive through the flatness, past miles of tidy dairy farms - pert suburban-type houses with barns and cows in back - and keep going over the Saint Lawrence River, looking down to spot Leonard Cohen's "Suzanne" and her gypsy cabin, but she's long gone. Then there it is, the island of Montreal, and at the base of Mount Royal, the skyscrapers, just a few, but tall, and huddled together. Like most big cities in Canada, Montreal feels like one last great human place before the bleakness of the northern wilderness. At Hotel St-Paul in Old Montreal, I stare at the manicured cedar bushes and the 1900 Beaux Arts façade, then walk into the lobby, past the Spanish alabaster fireplace to the front desk. Everyone who works here looks younger than 30. With the key I go upstairs and into my room with the low-slung bed, faux fur throw, ebony-stained wood floors, and view of another Beaux Arts building across the street with a giant perfectly accurate clock. I take off my shoes, turn on the flat-screen television, and watch "The Age of Innocence" dubbed into French, and I nap. When I wake up it is still light out. The streets of Old Montreal are hushed and narrow. It's the oldest part of the city, along the river, and near the original French settlement of 1642. In the twilight it's easy to imagine fur traders and Iroquois attacks. I wander through Chinatown and across rue Sainte-Catherine with its grime and strip clubs, and accidentally make eye contact with some "Mad Max Beyond Thunderdome" punks. They are begging and drumming, exotic with tattooed faces, dreadlocks, and big handsome dogs. The last time I walked around Montreal it was January and so cold that inside my coat pockets I wore socks on my hands. But now it's April and sunny and 60 degrees, and at the outdoor cafes it looks as if everyone pretty shoved off early from work to eat and smoke and drink cold beer. On Duluth Street in the middle of the flat, graffiti-clad Plateau neighborhood I stop for dinner at Au Pied de Cochon. P.D.C., as it is known, is a former wood-fired brick-oven pizza place converted into a temple of excess and neo-Quebecois peasant food by celebrity chef Martin Picard. I order venison steak frites. On the walls are jars of preserved summer tomatoes, and in the bathroom, a showerhead for a sink faucet, and a bucket of beer on ice by the toilet. It's early but crowded. Word has gotten out because the food press seems to write about the place every few weeks. But it still feels like a chummy club, and every portion could serve two or more. Picard is giant, hairy, balding, and looks like Shrek. The fries come fried in duck fat with a side of good mayonnaise; the venison steak is smothered in a rich jus with mushrooms and caramelized onions. On the plate is a cartoon of Picard, wearing a tall chef's hat, riding a pig or a shrimp, depending on the plate. After dinner I walk and walk, then wander into the bistro next to the hotel. It's called Restaurant Holder, and the music sounds like the soundtrack to a video game. They've stopped serving real food, so I order the Quebec cheese plate and eat lots of baguette. Benedictine monks make one of the cheeses, and it tastes like cleaning out the chicken coop, but in a good way. For breakfast I walk down St-Paul Street to the bakery Olive + Gourmando where, once again, everyone is beautiful. They are carrying yoga mats and ordering coffee and pastries like almond croissants and apple tarts that look too good to be real, and so I order the same. By now I am certain that the food here is better than back home, better than the over-hyped poutine, those french fries soaked in gravy and studded with cheese curds for which Quebec is known. So I think only of food and have lunch at L'Express, a bistro that has been in the same place on rue St-Denis for almost 30 years. I order duck confit on greens and frites with mustardy mayonnaise. The waitress brings a crunchy baguette and a jar of even crunchier cornichons to grab with worn wooden tongs. There is white paper on top of the marble tabletop. The duck skin stays crispy and is the prettiest golden brown. L'Express is as reserved as Au Pied de Cochon is boisterous. The bill comes on a tin plate. It seems like a good bistro can be like a diner, like a place to go every day, a kitchen away from home. And so I go to another bistro, the restaurant Leméac, at the base of the mountain, and this one is much more posh. I get the veal a la Lyonnaise, which is just a fancy way of saying liver and onions. Now it's late, and I'm tired, but I poke my head into Garde Manger, a new place people are raving about, but all I see are rich kids with their cocktails and lobster poutine, so I go back to the hotel and fall asleep in front of the TV. In the next morning's cold rain, la tire, maple syrup frozen on a stick at Marché Atwater, makes for a smoky sugar high of a breakfast. Marché Atwater is the smaller and more expensive of the city's two public markets. Afterward, I wander around the cleaned up and condo-fied, but still gritty, St-Henri neighborhood until it's dinnertime and time to go to Restaurant Joe Beef. The place is named for Charles McKiernan (1835-89), the inn and tavern keeper nicknamed Joe Beef because of his knack for rounding up meat and provisions for hungry fellow soldiers during the Crimean War. The legend goes that McKiernan kept wild animals - black bears, monkeys, wildcats, a porcupine, and an alligator - in the basement of the tavern and brought them up for entertainment and to restore order at the bar. When he died the animals were in his funeral procession. Joe Beef preserves the innkeeper's outlaw attitude and supposedly his bathroom door. At the bar, John Bil from Prince Edward Island shucks oysters. He is a Canadian shucking champion and an elite marathon runner. He feeds me oysters and bourbon until chef-owner Frédéric Morin brings out the deep-fried white bait with tartar sauce, and the whole king crab, and more bourbon. Then we go next door to Liverpool House, a quirky sort of Italian/French/Quebecois place that Morin also owns, and we eat black pudding with foie gras and ribs braised in Dr. Pepper. Morin makes rum punch and brings out a cheese plate with warm green grapes. The restaurant closes and I follow the cooks to their favorite dive bar, and after it closes, I go along to their favorite diner where just before dawn I have a plate of poutine, soggy and wonderful. Jonathan Levitt, a freelance writer in Maine, can be reached at jon.levitt@gmail.com.
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