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  1. The old PFK at 6420 Beaubien has been torn down and a new project is going up. I didn’t find any post on it so I’ll create this one. If there is just remove this and I’ll add the photo to it. looks like a typical commercial project. https://opengovca.com/montreal-building-permit/6420-rue-beaubien-est
  2. https://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/2706097/est-de-montreal-broccolini-achete-25-millions-de-pieds-carres-des-anciens-terrains-de-shell/ POINTE-AUX-TREMBLES & MONTRÉAL-EST Est de Montréal: Broccolini achète 2,5 millions de pieds carrés des anciens terrains de Shell Le terrain a été acquis pour 56,8 M$.Photo: Archives/Métro Média Coralie Hodgson - Métro 5 octobre 2021 à 17h58 - Mis à jour 5 octobre 2021 à 17h59 2 minutes de lecture L’entreprise Broccolini, spécialisée en construction, développement et services immobiliers, a acquis 2,5 millions de pieds carrés des anciens terrains de Shell au Groupe C. Laganière pour 56,8 M$. Ce terrain à vocation commerciale et industrielle sera redéveloppé «selon les plus hauts standards environnementaux», soutient l’entreprise. Le terrain, composé de deux lots adjacents, est situé en bordure de l’Autoroute 40 et chevauche l’arrondissement d’Anjou et la ville de Montréal-Est. Il s’agit d’une partie de l’ancien terrain appartenant à raffinerie de Shell Produits Canada, qui a été racheté par le Groupe C. Laganière en 2017. «Nous sommes fiers de participer au développement durable de ce secteur et nous avons hâte de présenter un projet audacieux qui contribuera à la relance économique verte de l’est de Montréal», a déclaré par voie de communiqué Roger Plamondon, président du Groupe immobilier Broccolini, ajoutant que ce projet sera une «première incursion d’envergure dans l’est de Montréal». Broccolini s’est engagé à céder une partie de son nouveau terrain et à participer activement à l’aménagement d’un corridor vert. Des discussions avec les différentes instances gouvernementales auraient également été amorcées afin d’assurer le respect de l’ensemble des orientations environnementales pour ce secteur, selon le communiqué. Du côté du Groupe Laganière, on soutient que cette transaction « permettra de donner un élan supplémentaire à leur Complexe environnemental Montréal-Est (CEME)». «La vente d’une portion de notre terrain à Broccolini s’inscrit dans notre mission de convertir d’anciens passifs environnementaux en actifs permettant le redéveloppement durable de notre territoire, en plus de contribuer à la réalisation de nos projets futurs et d’assurer la relève de l’entreprise», affirme le président du Groupe Laganière, Guy Laganière.
  3. Un projet de 8 ou 9 étages (le podium semble avoir 2 étages de stationnement) qui va remplacer une église à Montréal-Est. Il y aura des commerces au rez-de-chaussée. L'état actuel du site: https://www.google.ca/maps/@45.6303151,-73.4963776,415m/data=!3m1!1e3
  4. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1513631/suncor-biocarburant-biodiesel-montreal-raffinerie-petrole-quebec-ges Suncor veut produire du diesel sans pétrole à Montréal, avec un projet d'un milliard Le géant albertain des sables bitumineux s’apprête à donner un sérieux coup de pouce au gouvernement du Québec pour atteindre ses cibles de réduction de GES. Thomas Gerbet Publié à 4 h 03 475 000 barils de diesel par année, sans une seule goutte de pétrole. C’est ce que Suncor pense être capable de produire dès 2024 à ses installations de Montréal-Est. Le Québec pourrait ainsi doubler sa consommation de carburant vert. Radio-Canada a obtenu un document confidentiel qui détaille ce mégaprojet. L’investissement serait considérable, puisqu’il impliquerait la construction de cinq nouvelles usines. Le biocarburant serait fabriqué à partir de graisses animales, d’huiles végétales et d’huiles de cuisson usagées. Le produit serait ensuite mélangé au diesel pétrolier que Suncor raffine déjà (50 millions de barils par année). Le projet impliquerait la construction de nouveaux bâtiments à Montréal-Est. PHOTO : RADIO-CANADA Avec son projet de diesel renouvelable hydrotraité, Suncor indique dans son document que les émissions de GES pour produire ce biodiesel seront réduites de 95 % par rapport au diesel conventionnel. Si nos efforts portent leurs fruits, nous renforcerons notre position de fournisseur durable d’énergie au Québec et nous serons créateurs de nombreux emplois bien rémunérés. Extrait du document confidentiel de Suncor. Au Québec, le secteur des transports génère 43 % de toutes les émissions de gaz à effet de serre (GES). Selon un rapport commandé par le ministère de l'Environnement, l'an dernier, le Québec pourrait éliminer presque tous les GES des transports d'ici 2050 en ajoutant le recours aux biocarburants à l'électrification. Le premier ministre du Québec François Legault et le ministre de l'Économie Pierre Fitzgibbon ont rencontré les patrons de Suncor à la fin janvier. PHOTO : EMILIE NADEAU/COMPTE TWITTER DE FRANÇOIS LEGAULT François Legault enchanté Officiellement, le projet de Suncor est encore en cours d’évaluation nous a répondu le porte-parole de l'entreprise, Dean Dussault. Mais la pétrolière multiplie déjà les rencontres pour le présenter. Suncor a même sollicité une contribution du gouvernement du Québec lors d’un entretien avec le premier ministre du Québec à l'occasion du Forum économique de Davos, en janvier. François Legault avait brièvement abordé le sujet avec excitation devant les médias, sans donner plus de détails. Le document que nous avons obtenu chiffre le projet à 800 millions de dollars, mais plusieurs sources rapportent qu’il dépasse le milliard de dollars. La raffinerie de Suncor à Montréal-Est. PHOTO : ISTOCK Un projet « énorme » Ce projet est énorme, réagit le directeur de l’Institut d'innovations en écomatériaux, écoproduits, écoénergies de l’Université du Québec à Trois-Rivières, Patrice Mangin. Suncor fournirait à lui seul 750 millions de litres de biodiesel par année. Le professeur connait bien la production de biocarburant puisqu'il est lui-même directeur général de BioÉnergie La Tuque (BELT), qui prévoit produire 200 millions de litres par année de biodiesel à partir de résidus forestiers, à compter de 2023. Pour atteindre les cibles 37,5 % de réduction de GES en 2030, il faudrait produire entre 1,2 et 1,5 milliard de litres de carburant renouvelable par année. Avec ce projet, on atteindrait le milliard. Patrice Mangin, directeur de l’Institut d'innovations en écomatériaux, écoproduits, écoénergies de l’Université du Québec à Trois-Rivières. Au Québec, la consommation d’éthanol mélangé à l’essence atteint près de 5 % du total, ou environ 475 millions de litres par année. La consommation de carburant diesel biosourcé est plus marginale. À Montréal, la compagnie Rothsay Biodiesel produit déjà 45 millions de litres à partir de graisses animales et d'huile de cuisson usée. Innoltek, de Saint-Jean-sur-Richelieu, fait de même avec une production de six millions de litres, qui est amenée à doubler. La consommation de diesel pourrait devenir un peu plus « verte ». PHOTO : RADIO-CANADA / MARIO DE CICCIO Un nouveau règlement qui tombe à point pour Suncor Le 1er octobre 2019, le gouvernement du Québec a annoncé un projet de règlement qui prévoit imposer 15 % de biocarburant dans l'essence et 4 % dans le diesel, et ce à l'horizon 2025. Pas assez ambitieux, selon Patrice Mangin, par rapport à ce que Suncor est capable de produire : Le gouvernement ferait bien d'augmenter ses cibles jusqu’à 10 % pour le diesel. En plus du virage vert entrepris par Suncor, la pétrolière a annoncé la semaine dernière qu'elle reportait son projet de cokéfaction à Montréal, qui lui aurait permis de traiter des barils de pétrole lourd en provenance des sables bitumineux.
  5. http://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/le-15-18/segments/entrevue/61259/petrole-pipeline-trans-nord L’eau potable de Montréal menacée par un projet de terminal pétrolier PUBLIÉ LE MERCREDI 28 FÉVRIER 2018 Huit nouveaux réservoirs de carburant s'ajouteraient au paysage montréalais si le projet voit le jour. Photo : Corporation internationale d'avitaillement de Montréal La Direction de la santé publique (DSP) a fait part de ses inquiétudes au Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) quant à la construction d'un terminal pétrolier à Montréal-Est. Maxime Roy, médecin-conseil à la DSP, reproche au BAPE de ne pas étudier l'ensemble du circuit pétrolier qui serait relié au terminal. « La santé publique est préoccupée d’un possible déversement d’hydrocarbures en amont des sources d’eau potable », explique Maxime Roy. Selon lui, si un déversement survenait à cet endroit, la seule solution pour la Ville serait de fermer toutes ses entrées d’eau, privant ainsi d’eau potable l’ensemble des Montréalais, incluant tout le réseau de la santé. La Direction de la santé publique demande au BAPE de prendre en compte l’ensemble du réseau et de ne pas s’attarder uniquement au projet de terminal. « On parle d'une chaîne d’approvisionnement en carburant et le terminal fait partie de la chaîne », rappelle Maxime Roy. « Une chaîne est aussi forte que son maillon le plus faible, mais là, on est en train de regarder juste le maillon le plus fort pour évaluer toute la chaîne », déplore-t-il. La DSP souhaite aussi s’assurer que si jamais un déversement survenait, il soit détecté rapidement et que les équipes d’urgence soient déployées le plutôt possible. « Si on parle d’un court déversement, on peut se dire qu’on va fermer les prises d’eau pendant un certain temps, mais si c’est prolongé, ça devient compliqué », affirme Maxime Roy. ----- http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1079808/bape-montreal-est-projet-construction-terminal-petrolier-approvisionnement-carburant-aeroportuaire Audiences publiques sur un projet contesté de terminal pétrolier à Montréal-Est Publié le mardi 23 janvier 2018 Le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) mène depuis lundi une consultation sur le futur terminal d'approvisionnement de carburant aéroportuaire de Montréal-Est, un projet auquel s'opposent plusieurs résidents du secteur. Actuellement, une grande partie du carburant d'avions (ou kérosène) arrive par bateau au port de Québec. Il est ensuite acheminé par train, par barge ou par camion aux aéroports Pierre-Eliott-Trudeau (Montréal), MacDonald-Cartier (Ottawa) et Pearson (Toronto). La Corporation internationale d'avitaillement de Montréal (CIAM) défend un projet qui pourrait permettre aux compagnies aériennes utilisant ces aéroports d'être ravitaillées beaucoup plus facilement. S'il voit le jour, ce terminal sera aménagé à l'angle de la rue Notre-Dame et de l'avenue Gamble, à Montréal-Est – un endroit déjà exploité pour des activités pétrolières. Le projet de 150 millions de dollars, qui a été présenté pour la première fois en 2015, prévoit la construction d'un quai de transbordement pour recevoir les navires-citernes d'approvisionnement sur le Saint-Laurent, ainsi que huit réservoirs géants, qui pourront entreposer 164 millions de litres de carburant. Ce premier site serait relié à un second site, situé de l'autre côté de la rue Notre-Dame, qui permettrait de transborder le kérosène dans des trains en direction d'Ottawa et de Toronto. Enfin, une conduite de 7 kilomètres serait construite pour relier le terminal au pipeline Trans-Nord, qui alimente déjà l'aéroport Montréal-Trudeau. Le promoteur souhaite amorcer les travaux de construction à l'automne 2018. Des citoyens préoccupés Mais voilà, plusieurs citoyens sont inquiets. Une cinquantaine se sont présentés à la première journée de consultation, lundi, à Pointe-aux-Trembles, afin de poser des questions et de partager leurs réflexions avec les membres du BAPE. « Nous sommes inquiets au sujet des réservoirs [situés] trop près des habitations [et de] la circulation des nouveaux trains avec un nouveau produit, le kérosène », a exposé Vincent Marchione, du Comité de vigilance environnementale de l'Est de Montréal. De son côté, la CIAM assure avoir diminué le plus possible les dangers et les impacts du projet. « Il y a beaucoup de technologies modernes qu'on va implanter, comme le système de protection d'incendies, les digues de confinement pour les réservoirs [et] les vannes d'arrêt d'urgence », illustre son président, Robert Iasenza. Mais Jessie Pelchat, du collectif Solidarité Mercier-Est, n'est pas rassurée. Selon le regroupement, les citoyens de l'est de l'île en ont déjà assez des industries de ce genre. « C'est vraiment des enjeux importants pour notre quartier », explique Mme Pelchat, évoquant des « nuisances » telles que « le camionnage, le bruit, la poussière [et] la pollution ». À ces enjeux s'ajoute celui du vieillissement du pipeline Trans-Nord, soulevé par Le Devoir en novembre. Construit en bonne partie il y a 65 ans, cet oléoduc, qui relie Montréal-Est à Dorval en passant par Montréal-Nord, la rivière des Prairies et Laval, ne fait pas partie de l'étude d'impact du projet. Or, il serait responsable à lui seul de 6 des 13 incidents liés aux pipelines au Québec répertoriés par l'Office national de l'énergie depuis 2008. Une fois les consultations terminées, le BAPE aura jusqu'au 22 mai pour remettre son rapport à la ministre de l'Environnement du Québec, Isabelle Melançon. Celle-ci disposera ensuite de 15 jours pour rendre le rapport public. Pour voir la carte du projet sur le site web du BAPE, cliquez ici. Avec le reportage d'Ève Couture
  6. La Société de développement Angus lance un vaste projet pour transformer des terrains d’anciennes raffineries de l’est de Montréal en quartier résidentiel et commercial. TVA Nouvelles a appris que le promoteur immobilier, notamment à l'origine des Shops Angus, entend revitaliser un secteur abandonné et négligé de la métropole. «Ici, c'est des terrains, d'anciennes raffineries, ça fait 25, 30 ans que c'est fermé, affirme Christian Yaccarini, président de la Société de développement Angus. C'est là, mais il ne se passe rien. On le voit, le potentiel brut de développement, il existe.» Avec ce projet, qu’il veut développer sur un horizon de 20 à 25 ans, M. Yaccarini veut en quelque sorte reproduire ce qu'il a développé avec les Shops Angus il y a 20 ans. «C'était un terrain contaminé avec des conteneurs, et surtout une désolation», explique le promoteur, en parlant du projet qu’il a développé dans l’arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie. Aujourd'hui, de jeunes familles y ont élu domicile, tout comme une soixantaine d'entreprises. «Il y a 25 ans, je faisais venir des développeurs immobiliers sur Angus, et ils me disaient d'oublier ça, souligne Christian Yaccarini. Qu'il n’y avait rien à faire.» Les Shops Angus sont donc un modèle pour son projet de développement dans l'est de Montréal. Le promoteur interpelle désormais les partis en campagne électorale. «L'ouest de Montréal a obtenu l'échangeur Turcot, le pont Champlain, le REM, fait-il remarquer. On a besoin de l'équivalent dans l'est de Montréal.» Christian Yaccarini et son équipe ont identifié plusieurs terrains vagues potentiels. Depuis un an, ils sont en pourparler avec les arrondissements pour finaliser ce vaste projet de développement. https://www.tvanouvelles.ca/2018/09/05/un-projet-immobilier-denvergure-dans-lest-de-montreal
  7. Les terrains de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est sont officiellement en vente Huit millions de pieds carrés sont désormais disponibles pour le développement dans L’Est de Montréal. La pétrolière Shell Canada, propriétaire de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est, a annoncé, ce mardi, la mise en vente d’une partie de ses terrains à usage industriel ou commercial. Une manne d’investissement et de développement, selon les acteurs économiques du secteur. Exploitables dès 2017, ces terrains d’une superficie équivalente à 105 terrains de soccer sont situés au 10501 de la rue Sherbrooke sur les territoires de la Ville de Montréal-Est et de l’arrondissement d’Anjou. Répartie en 4 zones, dont trois au nord, le long de l’Autoroute 40 et une au sud, la vaste étendue sera accessible à partir de la rue Sherbrooke. Des démarches sont entamées avec le courtier immobilier Cushman & Wakefield afin de trouver un acquéreur, qui en tant que promoteur ou développeur immobilier, pourra donner une deuxième vocation au site. « Un terrain de cette ampleur ne se voit pas tous les jours, explique Erik Langburt, vice-président de Cushman & Wakefield. Ces 8 millions de pieds carrés, près du centre-ville et des infrastructures de transport vont répondre au grand besoin d’espaces pour le développement commercial ou industriel majeur sur l’île de Montréal », ajoute-t-il. Shell et Cushman & Wakefield n’ont pas souhaité révéler l’estimation du prix du terrain, laissant ainsi au marché le soin de faire leur propre évaluation des terrains. Depuis la mise en marché des terrains ce mardi, Erik Langburt semble déjà crouler sous les propositions. Plusieurs critères ― que ce dernier n’a pas voulu révéler ― permettront de sélectionner les promoteurs. Il a toutefois affirmé qu’ils étaient « ouverts à tous types de développement; même à un centre d’achats ». Un élan pour l’économique durable dans l’Est « On se dit qu’il y a des opportunités qui s’offrent à nous, commente Dimitri Tsingakis, directeur général de l’Association industrielle de l’Est de Montréal (AIEM). Nous souhaitons qu’il y ait une synergie industrielle pour établir des perspectives durables et respectueuses de l’environnement dans notre secteur », soutient-il. Une optique partagée par le maire de Montréal-Est, Robert Coutu, qui déclare : « Il ne faut pas oublier que le processus de décontamination [des terrains] s’est effectué sur le site, évitant ainsi beaucoup de transport et de GES. Shell dépasse les plus hauts standards exigés dans l’industrie et c’est à leur honneur de respecter leurs engagements envers la communauté. Nous sommes en relation constante depuis le début de mon premier mandat et nous sommes fiers du travail effectué jusqu’à présent. » Le maire de Montréal-Est a également souligné que de « nouvelles entreprises émergentes de calibre mondial » pourront s’implanter générant ainsi de nouveaux emplois et revenus assurant ainsi une « prospérité et une sécurité financière à long terme pour le secteur. » Du côté de la Chambre de Commerce de l’Est de Montréal, Isabelle Foisy, présidente-directrice générale de l’institution, se réjouit également de « cette grande opportunité ». Des plans et des projets pour les futurs promoteurs sont d’ores et déjà envisagés par la Chambre, selon cette dernière. « Quand la raffinerie a fermé ses portes, c’était un moment difficile, car Shell représentait un employeur de choix. Nous sommes très heureux que Shell ait pu réagir aussi rapidement pour décontaminer ses sols et rendre disponibles ses terrains », s’enthousiasme la présidente. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/980376/les-terrains-de-lancienne-raffinerie-de-montreal-est-sont-officiellement-en-vente/
  8. Endroit : 8 sites d'entrée dans la ville Ville : Montréal-Est, Québec Date : 2014-2015 Client : Ville de Montréal Est Collaborateurs : Intégral Jean Beaudoin ( Jean Beaudoin, Myriam Leclair, Corinne Deleers, Emmanuelle Beaupère, Enseignes Perfection) SIGNALÉTIQUE TERRITORIALE DE LA VILLE DE MONTRÉAL-EST : LES PORTAILS, LES DIRECTIONNELS ET LA VALORISATION DES ESPACES EXCEPTIONNELS DE LA VILLE Le projet a pour objectif de consolider la présence de la ville de Montréal-Est sur le territoire de l’île de Montréal. Au-delà de marquer les entrées et les sorties de la ville pour les voyageurs en transit sur les 4 axes est-ouest, le concept proposé vise à révéler les lieux et les paysages exceptionnels de la ville et inviter les visiteurs en traversée, et surtout les citoyens, à les visiter, le redécouvrir et les redynamiser. VISION D’ENSEMBLE La ville comporte deux zones distinctives, le secteur résidentiel et le secteur industriel.Il existe une distinction importante entre les paysages sur la rive du fleuve et ceux du secteur industriel dont les univers étonnant des carrières, des « champs de réservoirs », des raffineries et des hangars de la Seconde Guerre.Afin d’irriguer le territoire, nous proposant de superposer aux traversantes ( A40, Sherbrooke, Notre-Dame ) une GRANDE BOUCLE qui sera le trait d’union entre les paysages exceptionnels de la ville. En déploiement progressif vers l’ouest, au rythme de la revitalisation, la boucle s’appuiera sur les axes Est-Ouest de la rue Broadway et du futur boulevard Versailles. Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  9. Selon une nouvelle émise par le Journal La Presse, la Raffinerie Shell de Montréal-Est serait sur le point d'être sous les piques des démolisseurs. Cette raffinerie, fondée en 1932, constitue un patrimoine culturel important pour le Québec puisqu'il s'agit de la seule unité de raffinage du pétrole ayant une aussi grande profondeur historique. Dans le paysage de Montréal depuis 80 ans, la raffinerie pourrait disparaitre dans les prochains mois. Cette mauvaise nouvelle reste encore floue sur la quantité de démolition. Est-ce qu'il y aura des efforts de conservation des bâtiments de briques rouges sis sur la rue Sherbrooke-Est ?! Est-ce que nous pourrons conserver au moins une unité de la raffinerie afin de rendre hommage à cette époque industrielle pétrolière dans l'Est de Montréal ? Bref, que des questions à se poser sur le sujet ! (1932-2012) Shell: la démolition de la raffinerie va commencer Les travaux de démantèlement et de démolition de l'ancienne raffinerie de Shell à Montréal-Est débuteront sous peu, a annoncé mardi la multinationale. Dans un communiqué, Shell a indiqué avoir choisi l'entreprise de services environnementaux Delsan-AIM, de Montréal, pour effectuer les travaux, dont les coûts n'ont pas été divulgués. Dans le cadre de l'entente, Delsan-AIM achètera puis revendra les réservoirs, la tuyauterie et les autres équipements de raffinage ayant une valeur marchande en vue de leur réutilisation ailleurs dans le monde. Les éléments qui ne trouveront pas preneur seront recyclés. Shell et Delan-AIM prévoient que les travaux s'échelonneront jusqu'à la fin de 2014. Quant à la restauration du terrain de la raffinerie, elle doit avoir lieu au printemps 2013. Québec a autorisé le démantèlement de la raffinerie en juin 2011. Le gouvernement avait conclu que la fermeture des installations n'allait pas entraîner de pénurie puisque les deux autres raffineries de la province ont une capacité totale de 400 000 barils par jour, soit 40 000 barils de plus que la consommation québécoise quotidienne. La raffinerie de Shell, qui a cessé ses activités en novembre 2010, donnait du travail à environ 800 personnes. Le syndicat des employés a multiplié les efforts pour bloquer sa fermeture, mais en vain.
  10. Shell songe à quitter le Québec Publié le 08 juillet 2009 à 15h42 | Mis à jour à 15h44 Le géant pétrolier Royal Dutch Shell songe à fermer sa raffinerie de Montréal et à se départir de son réseau de stations-service au Québec et dans les Maritimes. Une révision stratégique de ces activités est en cours actuellement chez Shell, dont l'issue pourrait être la fermeture de la raffinerie, ont appris avec stupéfaction aujourd'hui les employés de la raffinerie de Montréal-Est. Parmi les options examinées figurent la vente de la raffinerie en tout ou en partie, sa transformation en terminal pétrolier ou la fermeture pure et simple. La raffinerie de Shell emploie 550 personnes à Montréal. L'entreprise possède deux autres raffineries, à Sarnia en Ontario et à Fort Saskatchewan Alberta. Shell songe aussi à de départir de son réseau de distribution d'essence au Québec et dans les Maritimes.
  11. Pour les intéressés, la flamme olympique est dans la région de Montréal cette semaine : http://www.vancouver2010.com/fr/plus-information-2010/relais-de-la-flamme-olympique/carte-interactive-du-parcours-du-relais-de-la-flamme-olympique/ Lundi 7 décembre ... Sorel-Tracy Varennes Ste-Julie Mont-St-Hilaire Beloeil McMasterville St-Basile-le-Grand St-Bruno-de-Montarville Boucherville Longueuil Mardi 8 décembre St-Lambert Greenfield Park Longueuil Brossard Chambly Iberville St-Jean-sur-Richelieu La Prairie Candiac St-Constant Kahnawake Châteauguay Mercier Beauharnois Salaberry-de-Valleyfield St-Lazarre Hudson Vaudreuil-Dorion Pincourt St-Anne-de-Bellevue Baie-d'Urfé Beaconsfield (Mercredi 9 décembre Mont-Tremblant) Jeudi 10 décembre Montréal-Est Mascouche Terrebonne Bois-des-Filion Lorraine Rosemère Blainville Ste-Thérèse Boisbriand Ste-Marthe-sur-le-Lac Deux-Montagnes St-Eustache Laval Dollard-des-Ormeaux Kirkland Pointe-Claire Dorval Montréal-Ouest Côte-St-Luc Hampstead Westmount Mont-Royal MONTRÉAL Vendredi 11 décembre Repentigny L'Assomption Joliette Crabtree St-Jacques St-Lin-Laurentides St-Anne-des-Plaines Mirabel St-Jérôme Lachute ...
  12. La société en commandite annonce la cessation définitive des opérations de ses usines de Varennes et de Montréal-Est, au Québec. Pour en lire plus...
  13. Certains signes indiquent que le conflit à la raffinerie de Petro-Canada à Montréal-Est, qui vient de fêter son premier anniversaire, tire peut-être à sa fin. Pour en lire plus...
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