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  1. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201209/03/01-4570679-un-sans-abri-cultive-son-potager-sous-un-viaduc.php Un sans-abri possède un jardin au coin des rues de la Commune et Brennan. PHOTO: BERNARD BRAULT, LA PRESSE ÉMILIE BILODEAU La Presse Sin Le n'a pas de maison, mais il a un toit: un viaduc près du canal de Lachine et de l'autoroute Bonaventure. Au vu et au su de ceux qui passent par la piste cyclable, il cultive une vingtaine de variétés de légumes dans son potager. Betteraves, tomates, concombres, haricots, oignons poussent dans la moitié du porager. Dans l'autre moitié, l'homme d'origine vietnamienne cultive des légumes moins connus en Amérique, du brocoli chinois au Diép Cá, une herbe au goût de poisson utilisée notamment pour parfumer les soupes. Il y a un peu plus d'un an, réfugié sous son viaduc un jour de pluie, Sin Le regardait les mauvaises herbes surgir du trottoir jusqu'au chemin de fer, lorsque lui vint l'idée de planter des légumes. Il a commencé en désherbant un petit carré de terre dans lequel il a semé des oignons et du daikon, une sorte de radis chinois. Le succès de sa première récolte lui a donné envie d'agrandir son potager. Au lieu de travailler avec une pelle comme n'importe quel jardinier, Sin Le a utilisé une planche de bois pour concevoir des paliers de terre. Il a aussi aménagé des chemins afin de pouvoir circuler entre ses cultures. Une fois son terrain préparé, il ne lui restait qu'à se procurer des semences. Mais lorsqu'on vit dans la rue, chaque sou est compté. «Je suis différent par rapport à plusieurs personnes qui commencent un jardin. Moi, si je veux planter des tomates, j'achète une tomate que je coupe en deux. Je garde les graines pour les planter et je mange la tomate dans une salade», raconte-t-il. Pour arroser son jardin, Sin Le utilise l'eau du bassin Peel, de l'autre côté de la rue, où il lance un seau au bout d'une longue corde. Aucune plainte La Ville de Montréal et les policiers ne harcèlent pas le sans-abri. «Les policiers te donnent un avertissement et une option. Dans mon cas, ils m'ont dit: tu ne fais plus de feu ou tu quittes cet endroit», affirme-t-il. Comme son jardin est en quelque sorte devenu précieux, Sin Le a décidé de cesser de se faire cuire des soupes et des mijotés. Il opte le plus souvent pour des salades. En principe, Montréal fait payer des droits pour «occuper le domaine public», et ce, pour s'assurer que tous les citoyens puissent profiter des espaces publics, explique Anik de Repentigny, chargée de communication à la Ville. Mais «s'il n'y a pas eu de plainte, si l'arrondissement n'a pas prévu d'aménager cet espace et ne l'utilise pas, et si le potager ne dérange personne, l'arrondissement fait habituellement preuve de tolérance», ajoute-t-elle. Parfois, des curieux s'arrêtent pour demander à Sin Le ce qu'il fait pousser. L'homme énumère simplement ses légumes. Un citoyen impressionné par l'initiative lui a même offert trois poches de compost de mouton. D'autres le complimentent sur sa réalisation. Mais Sin Le, lui, ne trouve pas que son jardin est joli. Il rêve de trouver un nouvel endroit qui pourrait lui appartenir. «Je ne l'aime pas à cause de l'endroit, dit-il. J'aimerais acheter un petit terrain, mais je ne sais pas par où commencer. Les appartements sont difficiles à trouver à Montréal et ils sont chers.» Le jardinier novice se console en regardant ses plantes. Au moins, ses belles récoltes du début du moins de septembre lui permettront de traverser sans faim ses longues journées dans la rue.
  2. Bonne nouvelle, en passant sur la 720 ce matin, j'ai remarqué que Bell est en train de retirer les panneaux de tôle sur le building qui longe la 720 (moitié pierre/moitié tôle). Le revêtement est maintenant en pierre et brique, ce qui est déja mieux.. Pas un gros projet, mais j'ai toujours trouvé que ce building faisait dure et qu'il était justement très mal situé pour faire dure....
  3. j'hésitais entre "petits projets" et ici, mais c'est assez massif. la pic montre une partie seulement de ce qui sera en construction dès l'automne 2011. 92 unités, moitié condos / moitié logements abordables. http://www.interloge.org/hibiscus/ sur Ontario côté sud dans Centre-sud, juste avant le chemin de fer.
  4. Curieusement, plus de la moitié des restaurants fautifs sont des restaurants asiatiques. Le pire (ou le champion) de l'insalubrité : l'Eggspectation du Vieux-Montréal. 26 000$ d'amendes en 2012 dont plus de 6 pour "vermine" Je vous souhaite que votre restaurant préféré ne se retrouve pas sur cette carte : http://www.journaldemontreal.com/inspections-aliments
  5. Le Soleil Le mercredi 25 avril 2007 Ceux qui espéraient une baisse des taux hypothécaires pour acheter une propriété en 2007 pourraient attendre longtemps. Les taux risquent plutôt d'augmenter en milieu d'année. Mais la hausse devrait être contenue. Les économistes du Mouvement Desjardins ont noté, dans leur plus récente prévision des taux d'intérêt, que l'économie américaine se comporte mieux que prévu depuis le début de l'année. Si les bonnes nouvelles se multiplient, la Banque du Canada pourrait ne pas toucher à son taux directeur. Desjardins prévoit tout de même une légère remontée des taux en deuxième moitié d'année, ce qui va se répercuter chez les institutions financières. Desjardins, qui détient 40 % du prêt hypothécaire au Québec, entrevoit un taux préférentiel fluctuant entre 5,50 et 6 % en 2007. Ce taux sert de référence pour les hypothèques à taux variable. Compte tenu de la relative stabilité des taux à court terme, la remontée pourrait être plus notée dans les échéances à long terme. Le taux de cinq ans, actuellement de 6,65 %, pourrait ainsi grimper jusqu'à 7,10 % à la fin de l'année.
  6. Yves Boisvert le 8 novembre 2010 La Presse En écoutant le dernier épisode d'Enquête, on pourrait être absolument découragé du délabrement de la démocratie municipale au Québec. Il y a de quoi. Mais réjouissons-nous tout de même: la pourriture municipale est exposée. On a des noms, des dates, des faits. Ce qui ressort de cette série déprimante de portraits municipaux, c'est l'insignifiance des institutions de contrôle. Le Directeur général des élections manque toujours de preuve, le ministère des Affaires municipales est mou et tout continue comme avant. «Tout le monde» sait comment ça fonctionne... rien n'arrive. Comment se fait-il qu'encore une fois, ce sont des journalistes qui font le travail? On a vu, à visage découvert, l'entrepreneur Jean-Guy Ouellet dire à la caméra de Radio-Canada que le maire de Mascouche, Richard Marcotte, lui a demandé une maison gratuitement en échange d'un droit de construire. Rien que ça! On a vu le député péquiste de Masson, Guillaume Tremblay, dire qu'il a été intimidé par l'entrepreneur Normand Trudel, proche du maire de Mascouche. On n'a pas eu la version de MM. Marcotte et Trudel, qui ont refusé de répondre aux questions. En attendant, le reportage nous apprend que le maire de Mascouche a acquis pour 100 000$ deux copropriétés dans un nouveau complexe, copropriétés qu'il a revendues assez rapidement avec des profits de 35 000$ et 45 000$. Il a du flair, le maire. Se plaçait-il en conflit d'intérêts en achetant des copropriétés autorisées par son administration municipale? Ah, ça, on le saura quand la loi 109 aura été adoptée et un Code d'éthique des municipalités mis en vigueur, n'est-ce pas... Un code, c'est bien. Un sens de l'éthique, c'est mieux. *** La femme du maire de Sainte-Julienne, Marcel Jetté, travaille pour le cabinet d'avocats Dunton Rainville. Ce même cabinet a obtenu des contrats de la Ville. Ce n'est pas un crime, mais on aurait aimé voir le maire au moins reconnaître le début d'une apparence de conflit d'intérêts. C'était trop demander. Dunton Rainville, d'ailleurs, est un joueur majeur dans le monde municipal dans la grande région de Montréal. Dans plusieurs municipalités, le cabinet a des contrats de gestion des relations de travail et des mandats en droit municipal. Bien plus troublant encore, on voit que le monde municipal a conçu des stratégies pour soustraire au regard du public un certain nombre de projets. À Laval, où le monarque Gilles Vaillancourt règne depuis 21 ans, il n'y a aucun conseiller municipal de l'opposition. Zéro. Et le conseil municipal n'aime pas trop la contestation. La Ville a confié à un organisme à but non lucratif le projet d'une «Cité de la culture et des sports», évalué à près de 100 millions. Même s'il est dirigé par des hauts fonctionnaires de la Ville, l'organisme fonctionne hors du champ d'examen public. Enquête nous dit également que son conseil est composé de fonctionnaires municipaux. Son porte-parole est un avocat de Dunton Rainville payé par la Ville. S'il est vrai que les fonds injectés dans le projet sont publics à 80%, au nom de quoi permettrait-on que cet organisme ne soit pas public? *** Il y a 1104 municipalités au Québec. La moitié des maires y sont réélus par acclamation. Ils ne doivent pas être si mauvais. Mais là où il y a des élections, moins de la moitié des électeurs inscrits vont voter. L'intérêt et la surveillance des citoyens n'y sont tout simplement pas. On ne sera donc étonné qu'à moitié de voir la mollesse du ministère des Affaires municipales et du Directeur général des élections du Québec. Le meilleur exemple étant les élections clés en main?: comment des firmes de professionnels organisent des élections dans la région de Montréal en échange de contrats. Tout le monde le sait, on connaît les noms, on a les photos... un rapport a été fait là-dessus il y a bientôt 10 ans... mais personne n'a jamais été accusé. Manque de preuve hors de tout doute. Les projets de loi présentement à l'étude à Québec vont resserrer les règles. De nouveaux vérificateurs sont déjà à l'oeuvre pour enquêter sur les contrats municipaux. Mais ce n'est pas assez. Il faut centraliser dans un seul organisme la surveillance de la démocratie municipale, manifestement malade, et envoyer un signal clair. Tout comme les informations sur les contrats et appels d'offres - en ce moment disponibles ville par ville. Pourquoi un trottoir coûterait plus cher à Montréal qu'à Brossard? Les prix, les noms, les contrats doivent être connus de tous et facilement comparables. Voyez comment les prix des travaux municipaux ont chuté à Montréal. Pourquoi? Parce que les magouilleurs se sentent surveillés. À défaut de restaurer la vie démocratique municipale, qu'au moins on restaure la concurrence honnête. Ce sera déjà ça.
  7. Bâtiment rébarbatif au premier coup d'oeil, Climatisation et chauffage urbains de Montréal (CCUM) cache pourtant dans ses entrailles un bijou d'architecture industrielle. Un véritable «Beaubourg intérieur», selon la firme Humà - design + architecture, chargée de lui refaire une beauté. La première phase est achevée: la mise en lumière de ses machineries, signée en collaboration avec Erick Villeneuve de Novalux. «On s'est concentré sur l'expression vers la ville de ce "Beaubourg intérieur" de la machinerie», explique Jean Beaudoin, qui travaille avec Stéphanie Cardinal chez Huma. Méconnu des Montréalais, CCUM fournit le chauffage à une vingtaine d'édifices du centre-ville, de la tour de la Bourse à la place Ville-Marie, en passant par l'École de technologie supérieure et l'hôtel Reine Elizabeth. Construite en 1947 dans ce qui n'était alors qu'un champ, cette centrale thermique est aujourd'hui enclavée entre l'autoroute Bonaventure et le viaduc du Canadien Pacifique. Mais demain, quand l'autoroute sera abaissée pour faire place au quartier Bonaventure (QB), elle trônera ni plus ni moins à l'entrée de la ville. «On ne peut pas rester de même, s'exclame en riant le directeur de l'établissement, Jean-Claude Michel. On va avoir l'air d'une usine d'Europe de l'Est restée debout après une explosion nucléaire!» D'autant plus que cet emblème du passé met le cap sur l'avenir en abandonnant le mazout au profit du gaz naturel, plus propre. On installe actuellement une nouvelle chaudière qui fonctionnera entièrement au gaz naturel. «Le mazout, on ne veut plus en utiliser, juste en cas d'avarie», précise M. Michel. Jusqu'ici, CCUM fonctionnait en mode biénergie pour profiter des variations de prix de chaque carburant. «Il faut valoriser la centrale comme icône urbaine en résonance avec le quartier en devenir, indique M. Beaudoin. Et [CCUM] est en train de se repositionner comme la façon économique de chauffer les quartiers, en ligne avec le développement durable.» Jardin des vapeurs En écho à son principal mode de chauffage (la vapeur à haute pression) et aux émanations de vapeur issues de la combustion du gaz naturel — «On est une usine à nuages», dit joliment le directeur —, un jardin des vapeurs accessible au public sera éventuellement aménagé au nord du bâtiment. Une passerelle mènera à une terrasse (l'ancien pont de livraison du charbon) ayant une vue imprenable sur le centre-ville. «On veut que le bâtiment évolue en fonction de ce que devient le quartier», prévient M. Beaudoin, dont les plans s'arrimeront à ceux du QB, en chantier dès l'an prochain. Le jardin se prolongera par une promenade sous arcades le long de la rue Nazareth, où pourrait être documentée l'histoire du lieu. La dernière phase consistera à insérer le haut du bâtiment dans un écrin de verre. «Ces panneaux seront développés selon des technologies nouvelles qui consolideront l'offre énergétique de CCUM», indique M. Beaudoin. Car les ambitions de CCUM ne sont pas qu'esthétiques. L'entreprise, qui appartient moitié à Gaz Métropolitain, moitié à Dalkia (filiale du géant français Veolia), entend à la fois se faire connaître auprès du public et se trouver de nouveaux clients dans le futur QB. «On voudrait utiliser nos surplus d'énergie — on a environ de 10 à 15 % de pertes — pour atteindre une efficacité de 100 %», précise M. Michel. CCUM est d'ailleurs sur le point de faire son entrée sur le marché des crédits carbone. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/286846/la-centrale-thermique-de-montreal-se-refait-une-beaute
  8. Le nombre d'Américains qui disent «se débattre» financièrement a subi une hausse sensible par rapport à l'an dernier, dépassant la moitié de la population. Pour en lire plus...
  9. Le marché canadien des fusions et acquisitions s'est déprécié de moitié en 2008, passant de 269milliards $US en 2007 à seulement 131,5milliards $US l'an dernier. Pour en lire plus...
  10. Près de la moitié des dirigeants de l'industrie automobile sont d'avis que la baisse des revenus affligera leur secteur d'activité pour les cinq prochaines années encore, indique un sondage KPMG. Pour en lire plus...
  11. Le constructeur automobile allemand a franchi une nouvelle étape hautement symbolique dans sa conquête du numéro un européen Volkswagen, en s'emparant de plus de la moitié du capital. Pour en lire plus...
  12. Automobile: 580 000 emplois pourraient disparaître au Canada 16 décembre 2008 - 09h46 Presse Canadienne D'ici cinq ans, le Canada pourrait perdre plus de 580 000 emplois si les trois géants américains de l'automobile font faillite. C'est la conclusion d'un rapport préparé pour le ministère du Développement Economique de l'Ontario dont le Toronto Star a obtenu copie. Le rapport devrait être rendu public mardi. Selon le rapport, si la production des usines de General Motors, Chrysler et Ford diminuent de moitié au Canada, 269 000 emplois seront perdus au pays d'ici 2014. Les données indiquent aussi que si la production devait cesser complètement, 323 000 emplois seraient immédiatement supprimés au pays et que d'ici 2014, 582 000 travailleurs pourraient se retrouver au chômage.
  13. Pénalisée par une charge d'impôt et par sa restructuration, Gildan annonce que ses profits ont diminué de presque la moitié à son quatrième trimestre. Pour en lire plus...
  14. Le département du Trésor a précisé que 335 G$ avaient déjà été alloués, sur la première moitié des 700 G$ prévus au total par le plan Paulson, décidé le 3 octobre dernier. Pour en lire plus...
  15. La Banque CIBC déclare des profits qui ont fondu de moitié à 436 M$ ou 1,06 $ par action à son quatrième trimestre. Pour en lire plus...
  16. La moitié des 600travailleurs des installations de Sept-Îles et du Ladrador seront sans travail à la mi-février. Pour en lire plus...
  17. Le gouvernement américain a des engagements qui pourraient l'amener à prêter jusqu'à 7400 G$ US au nom des contribuables américains, soit la moitié de tout ce que le pays a produit l'an dernier. Pour en lire plus...
  18. Frappé par la baisse mondiale des ventes de véhicules, le géant Toyota se départ de la moitié de ses employés temporaires tandis que Honda réduit sa production annuelle de véhicules. Pour en lire plus...
  19. La papetière de Kingsey Falls annonce qu'au troisième trimestre, elle a réduit ses pertes de moitié à 7 M$ ou 7 cents par action. Pour en lire plus...
  20. Depuis 17 ans, le coût de la main-d'oeuvre spécialisée a augmenté d'environ 80% aux États-Unis. Sur la même période, le coût des robots industriels a baissé de moitié. Pour en lire plus...
  21. La crise économique frappe de plein fouet le géant japonais Toyota qui se voit dans l'obligation de réduire de moitié ses prévisions de profits pour l'exercice 2008-2009. Pour en lire plus...
  22. Plus de la moitié des Américains désapprouvent le plan de sauvetage des banques du secrétaire au Trésor Henry Paulson. Pour en lire plus...
  23. L'action de Citic Pacific a perdu plus de la moitié de sa valeur jeudi, plongeant de 55% à un plus bas depuis 10 ans, après avoir annoncé qu'elle pourrait perdre jusqu'à 2 G$ US à cause de transactions non autorisées sur des devises. Pour en lire plus...
  24. Leigh Sogoloff, qui passe ses soirées à faire des danses-contact au Rick's Cabaret Vegas, dans Procyon Street, à Las Vegas, explique que ses revenus ont fondu de moitié en un an. Pour en lire plus...
  25. Les récentes tuiles qui se sont abattues sur l'économie mondiale ont fait perdre au pétrole, en quelques séances seulement, plus de la moitié de la valeur record qu'il avait atteinte en juillet dernier. Pour en lire plus...
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