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  1. Electricite: entente de 1 milliard entre le Quebec et l'Ontario | Quebec Publié le 15 décembre 2016 à 17h03 | Mis à jour à 17h03 Électricité: entente de 1 milliard entre le Québec et l'Ontario Le Québec et l'Ontario ont signé une entente de 1 milliard de dollars pour... MONTRÉAL Le Québec et l'Ontario ont signé une entente de 1 milliard de dollars pour l'exportation d'hydroélectricité, qui, de l'avis des premiers ministres des deux provinces, est historique en plus de marquer le début d'un partenariat énergétique dans le centre du Canada. Le premier ministre Philippe Couillard et son homologue ontarienne Kathleen Wynne ont pris part jeudi à une cérémonie pour officialiser l'entente annoncée en octobre dernier. Sur sept ans, le Québec exportera annuellement deux térawattheures (TWh) - une quantité suffisante pour approvisionner une ville d'environ 200 000 personnes - à destination de sa voisine. «C'est une entente historique, la première du genre et une continuation de la résurgence de l'influence du bloc du centre du Canada», a dit M. Couillard. Mme Wynne a affirmé que l'Ontario pourra réduire sa facture énergétique de 70 millions $ tout en éliminant un million de tonnes de gaz à effet de serre par année. Les lignes de transport qui relient les deux provinces peuvent même acheminer davantage d'hydroélectricité, a-t-elle ajouté. «Nous comprenons qu'il y a encore de la capacité, (...) mais à un certain point il faudra peut-être investir pour de nouvelles infrastructures, a dit Mme Wynne. Il est possible d'étendre le partenariat.» L'Ontario réservera également 500 mégawatts de puissance à Hydro-Québec afin de répondre aux besoins du Québec en période de pointes hivernales. M. Couillard a affirmé que certains détails de l'entente n'avaient pas été dévoilés parce que des négociations sont en cours avec d'autres clients potentiels. En réponse à une question, il a affirmé que les rumeurs selon lesquelles l'Ontario allait payer cinq cents pour chaque kilowattheure d'hydroélectricité étaient erronées.
  2. 17,4 M$ pour rénover le centre récréatif de Montréal-Est Par Samantha Velandia TC Media Les membres du conseil municipal ont opté pour la rénovation du centre récréatif Édouard-Rivet qui devrait coûter près de 17 M$. Les élus qui avaient flirté avec la possibilité de la relocalisation et reconstruction d’une nouvelle bâtisse, ont écarté cette idée après avoir été informés que le centre récréatif actuel, était encore en bon état. «Nous sommes agréablement surpris d’apprendre que le bâtiment est structurellement sain, et que des rénovations sont non seulement envisageables, mais souhaitables puisque nombre des matériaux utilisés durant la construction sont plus durables que ceux utilisés de nos jours», dit Francine McKenna, directrice des communications à la municipalité. Elle ajoute qu’une telle solution est aussi plus favorable aux principes de développement durable. «La rénovation est moins génératrice de débris que la démolition», affirme Mme McKenna. Rappelons qu’au mois de janvier, la municipalité avait annoncé la relocalisation et reconstruction de deux bâtiments municipaux, soit le centre récréatif et le garage municipal. Le coût des travaux était alors estimé à 45,5 M$. Depuis, une étude de faisabilité relative à la rénovation du centre récréatif, confiée à la firme MACOGEP, a été divulguée. Selon les sommaires décisionnels du dernier conseil municipal, les résultats de l’étude en question ont recommandé de retenir le scénario de la rénovation car cela favoriserait la préservation d’un bâtiment significatif en plus de privilégier le développement durable. On recommande également de rénover plutôt que de reconstruire afin d’alléger la dette à long terme et de diminuer le coût global des travaux. La piscine priorisée Mme McKenna, de la municipalité, explique que des appels d’offre seront lancés au cours des mois de novembre et de décembre. Les travaux qui devraient commencer au mois d’août 2016, s’échelonneront sur une période de 12 mois. La piscine, le gymnase et l’aréna seront rénovés. Certains espaces du centre récréatif seront également «repensés afin d’en accroître leur fonctionnalité», explique Mme McKenna. La directrice avance que l’échéancier des travaux sera conçu afin de minimiser l’impact sur les citoyens et ajoute que «la piscine sera toutefois priorisée et rouvrira dès que la rénovation sera terminée.»
  3. Bonjour Monsieur/Madame, je suis Jacques BROUSSIER, je suis à la recherche de prêt d’argent depuis plusieurs mois j’ai été 6 fois victimes d’escroquerie avec les faut prêteurs qui m’ont ruiné, j'ai fait une tentative de suicide à cause d’eux. Car j’avais des dettes et des factures à payer. Je croyais que c’était fini pour moi je n’ai plus le sens de vivre. Mais heureusement j'ai vu des témoignages faites sur la prêteuse Monalisa LEBERCQ par Bineta SYLLA sur quintonic.fr (MEMBRE du club quintonic). C’est ainsi que j'ai contacté Mme Monalisa LEBERCQ qui m'a fait un prêt de 98.000€ avec un taux d'intérêt de 2% et j'ai pu régler mes dettes et réaliser mon projet. Je vous conseille de la contacter Si vous avez besoin de financement ; de prêt d’argent ou de n’importe quel projet a réaliser, Mme Monalisa LEBERCQ va vous aider pour vos demandes de prêt d'argent. Voici mon adresse email: monalisalebercq@gmail.com
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  10. Bonjour Monsieur/Madame, je suis Jacques BROUSSIER, je suis à la recherche de prêt d’argent depuis plusieurs mois j’ai été 6 fois victimes d’escroquerie avec les faut prêteurs qui m’ont ruiné, j'ai fait une tentative de suicide à cause d’eux. Car j’avais des dettes et des factures à payer. Je croyais que c’était fini pour moi je n’ai plus le sens de vivre. Mais heureusement j'ai vu des témoignages faites sur la prêteuse Monalisa LEBERCQ par Bineta SYLLA sur quintonic.fr (MEMBRE du club quintonic). C’est ainsi que j'ai contacté Mme Monalisa LEBERCQ qui m'a fait un prêt de 98.000€ avec un taux d'intérêt de 2% et j'ai pu régler mes dettes et réaliser mon projet. Je vous conseille de la contacter Si vous avez besoin de financement ; de prêt d’argent ou de n’importe quel projet a réaliser, Mme Monalisa LEBERCQ va vous aider pour Vos demandes de prêt d'argent. Voici mon adresse email: monalisalebercq@gmail.com
  11. http://journalmetro.com/actualites/montreal/899241/la-segregation-a-montreal-de-ghettos-a-condos/ Sur une carte produite par la Ville de Montréal dans les années 1930 et retrouvée dans les archives, on indique sans broncher où vivent les «riches», les «bien nantis», les «travailleurs qualifiés» et les «travailleurs journaliers». Est-ce qu’on pourrait dresser ce genre de portrait aujourd’hui? Incursion avec deux experts dans l’univers de la ségrégation à Montréal. Pour Annick Germain, professeure en sociologie urbaine et immigration à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), on ne peut pas diviser la ville en secteurs pauvres et riches comme on le faisait à l’époque. Se basant sur des études qu’elle a menées à partir des années 1990 sur la pauvreté dans les écoles montréalaises, elle affirme que le portrait géographique de la pauvreté ressemble désormais à «une peau de léopard». «En observant ce qui se passait d’un recensement à l’autre, on pouvait clairement voir que les espaces de la pauvreté devenaient de plus en plus discontinus, illustre-t-elle. Il reste encore des quartiers pauvres ou riches, mais ça n’a rien à voir avec des territoires homogènes. Des poches de pauvreté ponctuent le territoire.» Le coût de la vie relativement abordable à Montréal permet à des habitants de divers types – familles, jeunes couples, personnes seules, nouveaux arrivants, aînés, étudiants – d’y habiter, ce qui serait impensable pour plusieurs d’entre eux à Toronto ou à Vancouver, explique Mme Germain. «Je ne suis pas en train de dire qu’on a un tissu social très mélangé sur le plan socio*économique et ethnique mais, certainement, il est beaucoup moins ségrégué que dans d’autres métropoles, juge-t-elle. Quand on regarde plus attentivement les arrondissements, on voit qu’ils sont très diversifiés.» La carte ci-dessous a été réalisée dans les années 1930 par la commission d’urbanisme, qui mènerait en 1941 à la création du Service d’urbanisme de la Ville de Montréal, selon Mario Robert, chef de la section des Archives. Le directeur du Centre d’histoire de Montréal, Jean-François Leclerc, fait remarquer que plusieurs des quartiers où habitaient les Montréalais les plus pauvres ont disparu dans les années 1950 à 1970, dont le Goose Village, le Faubourg à M’lasse et le Red Light. Une carte de la ville de Montréal dans les années 1930 où on peut voir les quartiers où habitaient à l’époque les «riches» (rich), les «bien nantis» (well-to-do), les «travailleurs qualifiés» (higher labour) et les «travailleurs journaliers» (lower labour). Une question d’échelle Selon la géographe historique de l’Université McGill Sherry Olson, tout est une question d’échelle. «Les statistiques qu’on va obtenir dépendent vraiment de la façon dont on les mesure, avance-t-elle. À Laval, par exemple, il y a des endroits presque tout grecs, ou tout juifs ou tout francophones. Si on prend Laval dans son entier, on dira que c’est très mixte, mais quand on regarde en détail, on voit beaucoup de poches.» D’après elle, les gigantesques développements immobiliers, qui sont souvent prévus pour une seule tranche socioéconomique ayant les moyens de se procurer un logement, créent une sorte de ségrégation à petite échelle, où il y a peu de mixité sociale et où les gens issus d’autres tranches sociales ne sont généralement pas les bienvenus. «Il y a aussi les courtiers immobiliers, qui créent un certain degré de ségrégation parce qu’ils perçoivent des tendances de marché et essaient d’y convenir. Ils encouragent souvent un certain type de personne à acheter un certain type de propriété dans un certain secteur», ajoute-t-elle. Annick Germain croit que la politique de logement de la Ville, qui demande aux promoteurs d’intégrer 20 % de logements sociaux et abordables à leurs projets, aide à diversifier le paysage socio*économique. «Je pense que la Ville a pas si mal réussi que ça étant donné qu’il s’agit d’un programme essentiellement volontaire», juge-t-elle. Elle note par contre que l’explosion de condos, surtout dans les quartiers centraux, offre peu d’options abordables aux familles. Certains développements, comme Griffintown, les attirent peu, faute de services qui leur conviennent. «Il y a beaucoup de familles qui sont prêtes à habiter dans des appartements pas nécessairement gigantesques, mais elles veulent pouvoir sortir facilement avec leurs enfants, faire des trucs abordables, intéressants, fréquenter des parcs et ainsi de suite», explique-t-elle. L’effet transport Mme Olson indique que l’émergence de l’automobile comme mode de transport de choix a fondamentalement changé la composition sociale des secteurs commerciaux. Au 19e siècle, par exemple, les propriétaires de commerces habitaient généralement très près de leur lieu de travail, tout comme les employés, d’ailleurs, qui ne pouvaient pas se déplacer très loin. «Il y avait un magasin au rez-de-chaussée, le propriétaire vivait au premier étage, et son apprenti, au deuxième. Donc, des gens de plusieurs groupes socioéconomiques occupaient le même espace», note-t-elle. Selon elle, les grandes artères attiraient aussi à l’époque une plus grande variété de commerces – cabinets de médecin ou d’avocats, par exemple – pour répondre à la demande des clients, qui passaient par ces grands axes, faute de moyens de transport. C’est moins le cas aujourd’hui, ajoute-t-elle. Fini, les ghettos? Mme Olson et Mme Germain s’entendent pour dire que Montréal est beaucoup moins ségréguée qu’autrefois selon la religion, l’origine ethnique ou la langue. Dans presque tous les cas, les ghettos traditionnels s’effritent. D’après Annick Germain, Mont*réal accueille une plus grande diversité d’immigrants que toute autre métropole canadienne. L’immigration maghrébine, en particulier, n’a pas de fief précis et s’établit un peu partout en ville. «On parle tout le temps du petit Maghreb, mais c’est un petit bout d’artère commerciale qui n’est pas 100 % maghrébine. On a l’impression que les Maghrébins sont tous concentrés autour, mais ce n’est pas vrai, affirme-t-elle. Il y a un peu de branding là-dedans. Sur la carte ci-dessous, on peut voir où se situent les quartiers où la majorité des gens sont d’origine française (F), anglaise (E), juive (J), chinoise © ou s’il s’agit d’un quartier mixte (M). Une autre carte montre les zones où il y a une prépondérance de taudis (zones noires) et celles où les conditions de vie sont moins bonnes (zones hachurées). Une dernière carte donne des informations statistiques sur les conditions de vie dans les quartiers. On peut voir le taux de mortalité par 1000 personnes (D), le taux moyen de décès dû à la tuberculose par 10 000 personnes sur les 5 dernières années (T), le taux de délinquance juvénile (JD) et la population du quartier (P).
  12. Saint-Laurent, le 1er février 2010 – La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le maire de Saint-Laurent et vice-président du comité exécutif, M. Alan DeSousa, ont dévoilé aujourd’hui le projet lauréat du concours d’architecture tenu à l’échelle du Québec pour la nouvelle bibliothèque de Saint Laurent. Cette annonce s’est faite en présence de la responsable de la culture, du patrimoine et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, et de la présidente du jury, Mme Lise Bissonnette. (...) Selon l’échéancier établi, la firme lauréate travaillera à l’élaboration des plans et devis du bâtiment tout au cours de l’année 2010. La construction s’effectuera en 2011 et en 2012. L’ouverture du nouvel édifice est prévue à la fin de 2012. http://bibliotheque.saintlaurent.ville.montreal.qc.ca/
  13. Dès vendredi soir, une exposition à la Maison de l’architecture du Québec (MAQ) offrira un regard sur des bâtiments qui auraient pu faire partie du paysage montréalais, mais qui, pour diverses raisons, n’ont jamais abouti. Une soirée intitulée Perdants magnifiques, qui accompagne l’exposition, se tiendra au Centre Phi. Huit architectes viendront à cette occasion expliquer comment leurs projets, finalistes à des concours d’architecture, n’ont finalement pas été choisis, et raconter ce que l’expérience leur a appris. «Les bureaux [d’architectes] les plus intéressants au Québec, ce sont souvent ceux qui participent à des concours, parce que c’est un peu comme faire ses gammes. Ça permet d’aller plus loin et de réfléchir, de faire sortir les idées, lance la cofondatrice de la MAQ, Sophie Gironnay. Ça pousse les bureaux à donner le meilleur d’eux-mêmes.» Ces projets sont «très détaillés et très, très élaborés, c’est comme si on les voyait», assure Mme Gironnay. «On veut vraiment montrer tout ce qui se trame et qui n’est pas connu, et qui se comparerait à bien des œuvres d’art contemporain. Ces projets architecturaux sont largement aussi bien réfléchis et aussi beaux, et ils méritent d’être connus par le public», juge-t-elle, en ajoutant que ce n’est pas parce qu’un projet n’est pas retenu qu’il n’est pas intéressant. «Pas du tout! Ça, c’est un autre débat, mais ce n’est pas toujours le meilleur projet qui gagne.» «Ça raconte toutes les idées qui bouillonnent ici à Montréal, mais qui ne sont pas saisies par les promoteurs, et qui, donc, n’aboutissent pas. Il y a ici le talent qu’il faut pour faire quelque chose de beaucoup mieux que ce qu’on a.» – Sophie Gironnay, cofondatrice de la Maison de l’architecture du Québec Pourquoi ces projets n’ont-ils jamais abouti? Certains ont été refusés parce qu’ils étaient trop audacieux ou parce qu’ils semblaient «techniquement impossibles» à l’époque. Parfois, un projet est abandonné pour des raisons anecdotiques. «Ça peut être parce qu’il y a eu un changement d’administration à la mairie, ou parce que le développeur a acheté un terrain plus grand à côté et que finalement ça sera autre chose», explique Mme Gironnay. Infos L’exposition Montréal jamais construit se tient à la Maison de l’architecture du Québec, partir de vendredi et jusqu’au 14 février. La soirée Perdants magnifiques aura lieu le lundi 26 octobre à 19 h, au Centre Phi. http://journalmetro.com/actualites/montreal/861560/le-montreal-qui-aurait-pu-etre/
  14. Une passerelle «grandiose» à l’entrée du pont Jacques-Cartier? Une passerelle «grandiose» pourrait remédier au problème de sécurité des piétons à l’entrée du pont Jacques-Cartier qui fait rager les citoyens du quartier Sainte-Marie dans le centre-sud. La firme d’architectes Rayside Labossière propose à l’arrondissement de Ville-Marie d’y aménager cette structure de type «parc linéaire», dont Métro a obtenu copie des plans. Cette passerelle – passant juste au-dessus de la sculpture florale «L’homme qui plantait des arbres» – relierait tous les coins du parc des Vétérans et du parc des Faubourgs ainsi que toutes les rues adjacentes évitant ainsi aux piétons et aux cyclistes de faire des détours rebutants ou de s’aventurer sur les voies dangereuses. La conseillère du district, Valérie Plante, espère que les plans de la firme seront considérés par les hautes instances. Mme Plante connaît bien ce quadrilatère entre les rues Ontario, Papineau, Sainte-Catherine et de Lorimier autour du métro Papineau; ces rues qui encerclent les bretelles d’accès au pont Jacques-Cartier. Résidente de ce quartier, elle voit chaque jour des piétons et des cyclistes «s’aventurer» dans ce secteur dont les bretelles d’accès au pont traversent et divisent les deux parcs (voir plan). Tout autour, des écoles, une épicerie, une entrée de métro; des essentiels qui obligent les citoyens du secteur à traverser ces voies que Mme Plante qualifie de «véritables entrées d’autoroute». La conseillère et ses citoyens s’inquiètent pour la sécurité des passants qui traversent ces voies rapides où les voitures prennent leur vitesse de croisière pour accéder au pont. «Il y a des piétons qui traversent [les bretelles d’accès] n’importe comment, il y en a que c’est cellulaire à la main, d’autres qui zigzaguent à travers le flux de voitures. Traverser ici, c’est n’importe quoi», a affirmé d’emblée Mme Plante à Métro. C’est que malgré la présence de quelques traverses piétonnes (point 1 et 2 sur le plan), les piétons qui partent d’un peu partout à travers le quartier et qui convergent pour la plupart vers le métro choisissent plus souvent de traverser aux endroits non-adaptés pour éviter les détours. «Toute la population qui vient de la rue Sherbrooke et du Plateau descendent par les rues Cartier et Dorion, donne en exemple Antonin Labossière, résidant du quartier et architecte chez Rayside Labossière. C’est normal, ils ne veulent pas faire le détour pour aller prendre la lumière destinée aux piétons sur la rue Papineau (point 2), puis traverser à nouveau la deuxième (point 1) pour revenir prendre la rue Cartier et aller vers le métro», dit celui qui avoue être parmi les «piétons aventuriers». Résultat: plusieurs traversent ainsi les bretelles d’accès à 4 voies (point 3), là où il n’y a aucune installation assurant la sécurité des piétons. «La seule solution que la Ville a trouvée, à court terme, c’est qu’elle compte mettre une clôture (au point 3), mais les gens vont la traverser quand même. S’il y a autant de gens qui traversent à cet endroit, c’est peut-être qu’il y a un problème», note Mme Plante. Même les passages pour piétons (points 1 et 2) inquiètent la conseillère municipale, alors que la brigadière, les piétons, les poussettes et les cyclistes aguerris doivent se partager le petit espace asphalté en attendant la lumière verte. «Quand la lumière devient rouge, les voitures ne la voient pas tout de suite. La brigadière a peur pour sa vie. Elle me disait que quand la lumière change, elle ne s’engage pas tout de suite sur la voie», alerte la conseillère. La présence policière aux heures de pointe dans ce secteur, qui a pour but de calmer la vitesse des voitures et la fougue des piétons, n’aurait donc que peu d’impact, selon elle. «C’est un quartier sectionné, qui semble être rapiécé. Ce secteur, on l’appelle la cicatrice», déplore la conseillère. L’idée d’une passerelle pour recréer un lien entre le parc des Vétérans et le parc des Faubourgs, désenclaver la portion sud et la portion nord du secteur et corriger le problème de sécurité est ressortie des discussions des citoyens il y a maintenant quelques années. «Ça avait été nommé par plusieurs résidants, ça revient souvent dans les consultations publiques où les gens ont l’impression que la situation actuellement est plus un irritant qu’un avantage», indique Antonin Labossière. «Dès que je suis entrée en mandat, et même avant, on me parlait de cet endroit et l’idée de la passerelle m’a été suggérée à quelques reprises», ajoute Mme Plante. Après une demande de la conseillère Plante, la firme d’architectes Rayside Labossière, qui s’implique au sein de plusieurs tables de quartier, lui est revenue à l’automne avec ce plan proposant leur idée de cette passerelle (voir photo). Avec ces plans en main, Mme Plante espère maintenant que la proposition fasse son bout de chemin. Et même si une telle structure pourrait être dispendieuse, elle estime que la Ville a des «marges de manœuvre, avec ses surplus budgétaires» et qu’une telle idée «qui allie vie montréalaise, sécurité et projet d’envergure» en vaut la réflexion. Une structure «grandiose» Et tant qu’à y construire une structure pour améliorer la sécurité du quadrilatère, tous s’entendent pour dire qu’il faut miser gros sur la beauté de l’objet. «Il y a moyen de faire une passerelle et que ça ne ressemble pas à une passerelle laide et moche que personne ne va monter; faire quelque chose de super beau qui devient presque un symbole d’entrée de Montréal», fait valoir l’architecte Antonin Labossière. «Il faut quelque chose de grandiose qui marque les automobilistes qui entrent dans la Ville par le pont, poursuit la conseillère Valérie Plante. Et pour les piétons, c’est aussi une façon de se réapproprier notre vue sur le pont Jacques-Cartier qu’on ne voit que très peu», ajoute-t-elle, espérant que la passerelle devienne également un endroit où les citoyens pourront flâner. http://journalmetro.com/actualites/montreal/802109/une-idee-de-passerelle-grandiose-a-lentree-du-pont-jacques-cartier/#
  15. http://plus.lapresse.ca/screens/7992de4d-86f0-4616-a516-01b02755de55%7C071LNV8SZNGj.html Envoyer par Courriel ACTUALITÉS FINIE LA PUBLICITÉ AUTOUR DES PONTS JACQUES-CARTIER ET CHAMPLAIN BRUNO BISSON LA PRESSE La vue offerte aux automobilistes sur les berges du fleuve Saint-Laurent va s’embellir, au cours des prochains mois, avec la disparition des 29 immenses panneaux publicitaires bordant le pont Jacques-Cartier, l’autoroute Bonaventure et l’ensemble du corridor fédéral du pont Champlain. La société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain (PJCCI), qui gère les infrastructures fédérales de transport dans la grande région de Montréal, a décidé de ne pas renouveler son contrat d’affichage de 15 ans avec la firme CBS Affichage (aujourd’hui Outfront Media) et de faire démanteler ces « super-panneaux » qui gâchent la vue, qui enfreignent la loi québécoise sur la publicité le long des routes, et dont la présence devenait de plus en plus encombrante pour les chantiers routiers. Ces panneaux rapportaient chaque mois plus de 280 000 $ à la société fédérale, selon la directrice des communications de PJCCI, Julie Paquet. Lorsque le contrat de 15 ans a expiré, le 31 mai dernier, la société a envisagé de lancer un appel d’offres, mais a estimé que le jeu n’en valait pas la chandelle, et ce, pour diverses raisons. La majorité des revenus publicitaires de ces panneaux provenait des 17 panneaux du corridor du pont Champlain qui rapportaient environ 200 000 $ par mois, selon Mme Paquet. Or la propriété de ce corridor fédéral a été récemment transférée à Infrastructure Canada, en vue de la construction du nouveau pont Champlain. Les 12 autres panneaux situés en bordure du pont Jacques-Cartier et de l’autoroute Bonaventure rapportaient quant à eux 83 771 $ par mois, lorsque le contrat a expiré, dit Mme Paquet. PANNEAUX DÉMOLIS Toutefois, en raison des importants chantiers de réfection déjà en cours, et qui vont durer plusieurs années, la présence des imposantes structures de soutien de ces panneaux posait de plus en plus souvent des problèmes. Enfin, souligne Mme Paquet, ces panneaux ne respectaient pas la Loi québécoise sur la publicité le long des routes, qui exige qu’ils soient situés à au moins 300 mètres du pont – ce qui est loin d’être le cas des deux côtés du pont Jacques-Cartier. Le 1er juin, toutes les publicités devaient être retirées des panneaux publicitaires du pont et de l’autoroute Bonaventure. Ils devront rester blancs jusqu’à leur démantèlement et à la démolition des structures de support, prévus d’ici un maximum de trois mois. sent via Tapatalk
  16. FRANÇAIS McGill et Concordia affirment que les exigences de Québec nuisent au recrutement 9 février 2015|Giuseppe Valiante - La Presse canadienne| Actualités en société L'Université McGill Photo: Neil Howard CC L'Université McGill Des universités anglophones québécoises affirment avoir des difficultés à recruter des professeurs étrangers en raison des exigences en français qui deviennent un obstacle lorsqu’elles tentent d’attirer chez elles des individus hautement spécialisés en provenance d’autres pays. Des professeurs et recruteurs des universités McGill et Concordia affirment que le processus complexe d’immigration au Québec, qui s’appuie sur un système de points, les place dans une situation désavantageuse en comparaison avec les institutions des États-Unis et des autres provinces canadiennes. En 2013, le gouvernement péquiste avait haussé les exigences en français pour les immigrants qui faisaient une demande de résidence permanente, une décision qui a causé des maux de tête aux recruteurs, selon des dirigeants de Concordia et McGill. En entrevue, la ministre de l’Immigration Kathleen Weil a indiqué que le gouvernement libéral avait donné plus de flexibilité au processus en décembre, mais les universités le considèrent toujours comme trop compliqué. Ghyslaine McClure, vice-principale exécutive adjointe à McGill, affirme que son université a de la difficulté à embaucher des professeurs renommés pour des chaires de recherche. Selon elle, les candidats dans la quarantaine et cinquantaine n’ont pas nécessairement envie de suivre plusieurs cours de français par semaine, en plus de leurs tâches de recherche. Elle ajoute que les candidats doivent également remplir trop de documents et passer trop d’étapes avant de pouvoir s’établir au Québec. Reconnaissance spéciale « Nous aimerions obtenir une reconnaissance spéciale indiquant que les professeurs d’université sont des travailleurs hautement spécialisés et qu’ils ne devraient pas avoir à faire face à tant d’obstacles, a dit Mme McClure. Les professeurs et autres éminents spécialistes sont dans une catégorie différente. » Le gouvernement libéral a discrètement apporté des changements en décembre, allouant davantage de « points » aux immigrants détenteurs de doctorats et permettant ainsi à certains de ces candidats de laisser tomber les exigences en français et d’obtenir une résidence permanente. Cette résidence permanente est importante pour les professeurs, et dans certaines institutions comme à Concordia, elle est essentielle à l’obtention d’une permanence. Stanton Paddock, professeur de journalisme à l’Université Concordia, espère pouvoir profiter de ces nouvelles règles. M. Paddock dit avoir été « pris de panique » lorsqu’il a quitté les États-Unis, en 2013, pour découvrir la quantité de cours de français qu’il devrait suivre. Son doctorat pourrait maintenant lui permettre de passer outre les exigences en français. Les nouvelles règles lui permettent de rencontrer un agent de l’immigration qui déterminera si M. Paddock est suffisamment adaptable pour vivre au Québec. D’autres professeurs, comme Emer O’Toole, de l’École des études canado-irlandaises de Concordia, ne s’en font pas avec les exigences en français. Mme O’Toole, qui vient d’Irlande, avait déjà étudié la langue avant de s’installer au Québec. « Apprendre le français a été l’une des raisons qui m’ont réjouie de m’installer ici », a-t-elle lancé. « J’aime la langue [mais] je peux comprendre que cela puisse être pénible pour quelqu’un qui ne possède pas de bases [en français] », a-t-elle ajouté. Mme Weil prend note des recommandations visant à réformer le processus d’immigration. La ministre a ajouté que certains groupes d’employeurs estimaient que les exigences en français pour les immigrants nuisaient à leurs affaires. « Les groupes d’employeurs ont soulevé le problème au sujet des exigences de langue, a-t-elle dit. L’opinion générale [du gouvernement] est que nous devons être très prudents et qu’il est important que les gens parlent français. » sent via Tapatalk
  17. http://www.quartierhochelaga.com/vandalisme-chez-des-commerces-dhochelaga-maisonneuve/ Publié par : Jean-Pierre J. Godbout 27 novembre 2013 dans Citoyenneté 17 commentaires Le Chasseur, rue Ontario Si de la neige est tombée sur Montréal ce matin, c’est plutôt une vague de nouveaux actes de vandalisme envers des commerces ciblés et bien connus qui a secoué le quartier. Les vitrines du resto-bar Le Chasseur, des bistros Bagatelle et Le Valois sur la rue Ontario ainsi que du bistro In Vivo sur la rue Sainte-Catherine ont été cassées en même temps que leur était laissé un message clairement anti-embourgeoisement au ton agressif. Réveillée à 4 h 30 ce mercredi 27 novembre par un appel de l’entreprise responsable du système d’alarme, la copropriétaire du bistro In Vivo Annie Martel s’est rendue au restaurant afin de constater l’état de la situation. « On avait une fenêtre brisée, et j’ai trouvé une brique à l’intérieur accompagnée d’un message.» (Voir l’image ci-dessous.) Le message retrouvé chez certains commerçants vandalisés. Les policiers, arrivés sur place une heure et demie après l’appel au service d’urgence 9-1-1, n’ont pu que constater les dégâts en précisant à Mme Martel qu’il y avait « [des] anarchistes dans le quartier », comme quoi ils n’étaient pas surpris d’un tel acte. Tandis que les agents du SPVM étaient encore au bistro In Vivo, ils ont reçu un appel pour la même raison, mais concernant cette fois Le Valois, sur la rue Ontario. Préoccupée par le fait que certains commerçants ne disposent pas de système d’alarme, Mme Martel s’est déplacée vers d’autres commerces susceptibles d’être visés par les vandales. Elle a pu constater les dégâts au Chasseur et au Valois. Du côté de Bagatelle Bistro, en plus de la brique lancée dans le commerce, l’intérieur de ce dernier avait été aspergé de peinture, forçant la fermeture de l’établissement pour la journée. Mathieu Ménard du resto-bar Le Chasseur a constaté à quel point les vandales ont dû forcer pour arriver à casser une vitrine de son commerce. À l’extérieur de la porte d’entrée on y trouvait une brique cassée en deux, outil présumé de la tentative d’effraction et puis à l’intérieur, le marteau utilisé pour réaliser les dégâts laissé derrière. «On essaye juste de travailler nous aussi », mentionne M. Ménard, plutôt dépassé par la vague de vandalisme dans le quartier. « Ça commence à être lourd » Malheureusement, la scène ne fait que rappeler les nombreux incidents du genre survenus au cours de la dernière année; pensons à la peinture jaune sur la devanture du saucissier William J. Walter au mois de mai, à l’unicorne de Zone Homa peint en rouge l’été dernier et, tout récemment, au graffiti de nature politique inscrit sur un mur du bistro In Vivo. « Ça commence à être lourd », souligne Mme Martel au sujet de la situation qui prend sérieusement de l’ampleur. Du côté du SPVM, on confirme la production de quatre rapports pour les incidents, mais on n’a aucun suspect dans ces affaires et on n’a procédé à aucune arrestation pour l’instant. À la suite de l’analyse de ces nouveaux rapports, le service de police sera en mesure de décider s’il y a lieu de mener une enquête plus approfondie.
  18. http://journalmetro.com/actualites/national/587923/prentice-et-clark-sentendent-sur-loleoduc/ 03/11/2014 Mise à jour : 3 novembre 2014 | 18:04 Ajuster la taille du texte Prentice et Clark s’entendent sur l’oléoduc Par Rédaction La Presse Canadienne Partager cet article The Canadian Press Jim Prentice et Christy Clark VANCOUVER – Selon le premier ministre de l’Alberta Jim Prentice, lui et son homologue de la Colombie-Britannique, Christy Clark, ont mis derrière eux les jours houleux d’Alison Redford. L’ancienne première ministre de l’Alberta et Mme Clark entretenaient des relations glaciales en raison des demandes de la part de la Colombie-Britannique de partage des revenus d’un possible oléoduc. Pendant une rencontre à Vancouver, lundi, Mme Clark a affirmé que M. Prentice était le premier chef albertain à véritablement comprendre sa province. Elle n’a pas élaboré. Jim Prentice et Christy Clark ont accepté de continuer de travailler pour obtenir la construction d’un oléoduc qui transporterait le pétrole des sables bitumineux de l’Alberta jusqu’à la côte ouest, tout en respectant les inquiétudes de la Colombie-Britannique sur l’environnement, les questions autochtones, le partage des profits et la capacité à réagir en cas de déversement. M. Prentice a pour sa part dit que Mme Clark l’avait réinvité pour la semaine de la Coupe Grey, ce mois-ci, et qu’il prévoyait accepter.
  19. http://journalmetro.com/opinions/la-vie-en-vert/582433/merci-mme-brochu-pdg-de-gaz-metro/ Mise à jour : 26 octobre 2014 | 20:27 Merci Mme Brochu, PDG de Gaz Métro Par Steven Guilbeault Partager cet article Gaz Métro Sophie Brochu, PDG de Gaz Métro J’ai assisté cette semaine à un déjeuner-causerie de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) dont la conférencière n’était nulle autre que Sophie Brochu, PDG de Gaz Métro. Selon Mme Brochu, et contrairement à ce que TransCanada essaie de nous faire avaler, le projet Énergie Est, loin d’être bénéfique pour le Québec, aura des impacts économiques, et environnementaux, néfastes. Pourquoi? Essentiellement parce que TransCanada doit convertir l’une de ses lignes transportant du gaz naturel de l’ouest pour y faire passer le pétrole des sables bitumineux. Or, TransCanada propose aux distributeurs de gaz naturel du Québec et de l’Ontario de leur construire une nouvelle conduite de gaz, mais aux coûts de 2,2G$, en plus d’offrir une capacité réduite de transport de gaz de l’ouest. Les conséquences de cette décision de TransCanada seraient multiples: Une augmentation de la facture des clients de Gaz Métro au Québec de 100M$ par année, soit une hausse de 155 %. Comme le gaz qui provient de l’est du pays serait limité en quantité, certains clients de Gaz Métro se tourneraient vers le mazout lourd, un sous-produit du raffinage du pétrole très polluant. Cette augmentation de l’utilisation du mazout entraînerait une augmentation des GES au Québec de 300 000 tonnes de CO2 par année ainsi qu’une augmentation de la pollution atmosphérique locale. TransCanada a tellement indisposé les représentants du «Québec inc.» que Michel Leblanc, PDG de la CCMM, a posé la question à savoir si le projet Énergie Est était dans l’intérêt économique du Québec, et ce, devant les centaines de personnes présentes au dîner-conférence. Qu’un groupe écolo dénonce un projet comme Énergie Est n’est pas exactement une nouveauté, mais je ne me souviens pas de la dernière fois que le PDG de la Chambre de commerce l’a fait. Il faut remercier Mme Brochu pour cette sortie publique et pour nous avoir sensibilisés à cet enjeu. Nous devons, du même souffle, nous demander pourquoi cette prise de conscience n’est pas venue du gouvernement du Québec! Lorsque Philippe Couillard déclarait récemment: «il faut qu’on participe à l’économie canadienne», proposait-il que l’on sacrifie la santé de l’économie québécoise au profit de celle de l’Alberta et du Canada?[/i]
  20. Est-ce du flafla ou du concret? L’avenir le dira! http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/05/13/montreal-et-paris-signent-un-accord-de-cooperation_n_5319680.html Le maire de Montréal Denis Coderre est en France, où il a rencontré mardi la nouvelle mairesse de Paris, Anne Hidalgo. Les deux Villes ont signé une entente pour favoriser l'accès des entreprises aux deux marchés. Ils comptent y arriver notamment en favorisant la « bilocalisation » des entreprises. Montréal et Paris promettent aussi des rapprochements dans le domaine du numérique, des transports en commun ou de l'aménagement urbain. La mairesse Hidalgo, qui recevait un maire étranger pour la première fois depuis son élection en avril, a parlé d'une longue amitié entre les deux villes. Après seulement 30 minutes de discussions, les deux maires se tutoyaient, ce qui n'est pas dans les moeurs françaises. « Moi, je suis intéressée par le modèle de Montréal sur les questions du traitement de la grande pauvreté dans nos rues, a déclaré Mme Hidalgo. Ce sont des sujets sur lesquels nous avons, à Paris, des défis à relever. Je souhaite aussi voir comment une ville comme Montréal avance sur ces sujets. » L'administration montréalaise aidera notamment Paris à recenser le nombre de sans-abri sur son territoire, a indiqué Denis Coderre. « On a conscience tous les deux, et on en a parlé, que l'avenir passe par les grandes métropoles. C'est un espace d'activités et de résolution de la plupart des défis de la planète », a estimé Mme Hidalgo. « Il faut que cet ordre de gouvernement ait les coudées franches, et il faut apprendre à travailler ensemble, a renchéri le maire de Montréal. Tout de go, c'est le but de ma mission en Europe. C'est de travailler notamment avec Anne, et ça va bien! » Après avoir visité ses homologues de Lyon et Paris, Denis Coderre terminera sa tournée européenne jeudi à Bruxelles. Avec des informations d'Anyck Béraud et Alexandra Szacka
  21. Complexe de la rivière Romaine Un branchement de 1,5 milliard Mise à jour le vendredi 20 juin 2008, 17 h 36 . Hydro-Québec a présenté cette semaine son projet de transport électrique pour le futur complexe de la Romaine aux populations de Sept-Îles et de la Minganie. La construction de 500 kilomètres de lignes de transport électrique pour brancher les quatre centrales est maintenant évaluée à 1,5 milliard, soit 500 millions de plus qu'en 2006. Cette augmentation est surtout attribuable, selon la société d'État, aux frais de financement et d'intérêts. Hydro-Québec a aussi modifié son tracé à la suite de consultations, ce qui permet d'éviter une bonne partie d'une réserve faunique, des sentiers de ski de fond, des chalets et la route 138. La porte-parole de la société d'État, Marie-Julie Roy, indique que le tracé traverse la 138 à une seule place, soit au poste Arnaud. « C'était très important pour nous de préserver le paysage en abord du fleuve », indique Mme Roy. Les lignes de transport seront érigées à partir de 2011 si la construction du complexe de la Romaine commence l'an prochain comme prévu. Les retombées économiques régionales de la construction des lignes de transport sont évaluées à 128 millions de dollars. « Ce sont essentiellement des contrats, entre autres du déboisement, de la sous-traitance, de la main-d'oeuvre, de l'achat local et également des possibilités d'hébergement », explique Mme Roy. En moyenne, le chantier embauchera 90 travailleurs par année pendant 10 ans. Hydro-Québec poursuit ses pourparlers avec les Innus de Mingan et de Sept-Iles-Malioténam sur le versement de redevances puisque les lignes de transport passeraient au-dessus de leur territoire ancestral. La société d'État déposera son étude d'impact l'an prochain. Hydro-Québec souhaite construire un complexe hydroélectrique d'environ 1500 mégawatts (MW) sur la rivière Romaine, au nord de Havre-Saint-Pierre. Les centrales pourraient entrer en service en 2013-2015. Le projet est évalué à 6,5 milliards de dollars. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/06/20/010-romaine-transport.asp?ref=rss
  22. Une société espagnole obtient d'importants avantages pour s'implanter au Québec Publié le 22 janvier 2014 à 13h31 Comblée par de l'électricité au rabais et un congé fiscal de dix ans, la société espagnole FerroAtlàntica va s'implanter au Québec. À l'occasion du Forum économique mondial de Davos, le premier producteur mondial de silicium métal a annoncé mercredi un investissement de 375 millions de dollars au Québec et la création de plus de 300 emplois. Le site de la future usine n'est pas encore choisi, mais la construction est prévue «dans les prochains mois» et le début des activités est fixé à la fin de l'année 2016. Le silicium métallurgique est une composante d'alliage destinée entre autres à l'industrie automobile, à la production de silicone, de béton haute performance et de panneaux solaires. Avec le quartz, des résidus forestiers pourront être utilisés pour la transformation des matières premières en silicium métal. L'entreprise espagnole est la première société à profiter des mesures incitatives que comporte la politique économique «Priorité emploi» présentée l'automne dernier par la première ministre Pauline Marois et le ministre des Finances Nicolas Marceau. FerroAtlàntica aura donc droit à un congé de taxes d'une durée de dix ans et à un rabais d'un cent du tarif L d'électricité consenti aux grandes entreprises (4,4 cents le kilowattheure). Investissement Québec souhaite prendre une participation de cinq à dix pour cent dans le projet, ce qui représente un montant oscillant entre 20 millions et 30 millions de dollars. Des conditions «très favorables», a convenu le directeur général de FerroAtlàntica, Pedro Larrea, en point de presse. «L'avenir de FerroAtlàntica aujourd'hui se trouve au Québec, a lancé M. Larrea. Nous avons trouvé de la compréhension pour nos problèmes et des solutions à nos problèmes, des solutions pour l'électricité (et) des solutions financières.» La création de 300 emplois est un baume pour Mme Marois qui a été rattrapée à Davos par les difficultés de Bombardier. Le géant de l'aéronautique a annoncé mardi le licenciement de 1700 employés, dont 1100 au Canada, notamment aux installations de Montréal et Mirabel. La première ministre a dit être «très désolée» pour les travailleurs mis à pied, mais s'est montrée optimiste pour l'avenir. «Je suis confiante pour la suite des choses. Bombardier est une très grande entreprise. Ils ont eu dans le passé certaines difficultés, ils ont toujours respecté leurs engagements», a-t-elle souligné. Conséquence du contexte économique, Bombardier accuse une diminution de son carnet de commandes pour les avions d'affaires. En outre, l'entrée en service de ses appareils CSeries a été reportée à la deuxième moitié de 2015. Un tel ralentissement n'est pas inédit dans l'industrie de l'aéronautique, a fait valoir Mme Marois, rappelant que les constructeurs Embraer et Airbus avaient aussi été confrontés à des délais dans la mise en service de nouveaux appareils. Quant aux travailleurs licenciés, le gouvernement du Québec fera tout ce qu'il peut avec les programmes existants pour les accompagner «s'il y a lieu», a indiqué Mme Marois. http://affaires.lapresse.ca/dossiers/forum-economique-de-davos/201401/22/01-4731350-une-societe-espagnole-obtient-dimportants-avantages-pour-simplanter-au-quebec.php
  23. Site de la ville de Mtl: http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=1576,112471570&_dad=portal&_schema=PORTAL UN Web TV: http://webtv.un.org/live-now/watch/general-assembly-thematic-debate-on-culture-and-development/1705520925001#full-text
  24. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Decembre2011/16/c7546.html École de santé publique de l'Université de Montréal - Québec annonce la première phase du Campus de santé publique Norman-Bethune MONTRÉAL, le 16 déc. 2011 /CNW Telbec/ - La ministre responsable de l'Administration gouvernementale et présidente du Conseil du trésor, Mme Michelle Courchesne, et la vice-première ministre et ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, Mme Line Beauchamp, ont annoncé aujourd'hui la création du Campus de santé publique Norman-Bethune dont la première phase sera la construction de l'École de santé publique de l'Université de Montréal (ESPUM). À cette occasion, elles étaient accompagnées du maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, de l'ancien premier ministre du Québec et président du conseil d'administration du Quartier de la santé de Montréal (QSM), Me Pierre Marc Johnson, du recteur de l'Université de Montréal, le Dr Guy Breton, et de la chancelière de l'Université de Montréal, Mme Louise Roy. « Nous annonçons aujourd'hui la réalisation d'un projet structurant et porteur qui se situe au point de convergence de deux des missions les plus fondamentales de l'État, la santé et l'éducation. Avec ce projet de développement économique et social, c'est tout le secteur qui bénéficiera du flot quotidien de plus d'un millier de chercheurs et étudiants œuvrant dans les domaines de la santé et de l'éducation. En sus des investissements sans précédent réalisés dans les centres hospitaliers universitaires, ce projet positionne encore plus fortement Montréal comme l'un des leaders mondiaux en science de la vie », a déclaré la ministre Courchesne. « Nous avons des défis majeurs à relever en matière de formation et de recherche dans le domaine de la santé publique, des défis qui demandent que soient tissés des liens solides entre le réseau de la santé et le milieu de l'enseignement. Une école comme l'ESPUM constitue à cet égard un atout majeur et l'on ne peut douter que son intégration au Campus de santé publique Norman-Bethune fera d'elle la plus grande école de santé publique en Amérique du Nord », a souligné la ministre Beauchamp. La création du campus, situé au coin de la rue Berri et du boulevard de Maisonneuve à proximité du nouveau CHUM et de son Centre de recherche, concentrera en un lieu les principales institutions actives en santé publique. Pour le ministre de la Santé et des Services sociaux, le Dr Yves Bolduc : « cette réunion permettra de favoriser les échanges d'expertise, d'améliorer la cohérence des actions et de faciliter la réalisation de projets communs tournés vers l'amélioration de la santé de nos populations et la prévention des maladies ». Le campus sera complété lors d'une phase subséquente avec l'accueil de l'Institut national de santé publique du Québec et de la Direction de la santé publique de l'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal. Avec son expertise en santé publique, l'Université de Montréal agira à titre de locomotive du projet. À cet effet, le gouvernement du Québec a mandaté l'institution pour la réalisation du dossier d'affaires, et ce, conformément à la Politique-cadre sur la gouvernance des grands projets d'infrastructure publique. Le Quartier de la santé de Montréal participera à l'élaboration du dossier d'affaires, le tout sous la supervision d'Infrastructure Québec. De plus, la ministre Courchesne a annoncé qu'au cours des prochaines semaines, la Société immobilière du Québec ira en appel d'offres pour vendre la nouvelle gare d'autobus et l'entreprise qui en assure la gestion, ainsi que les structures inachevées de la portion Nord de l'îlot Voyageur. Le gouvernement s'assurera que les offres retenues soient conformes à la valorisation d'un site qui présente de nombreuses possibilités d'investissements en matière de transport collectif et de développement institutionnel, résidentiel ou commercial. Avec l'annonce d'aujourd'hui, le gouvernement du Québec pose un geste concret dans sa volonté d'assurer son leadership en matière de sciences de la vie et de revitaliser ce quadrilatère de Montréal.
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