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  1. http://radio-canada.ca/arts-spectacl...osm-salle3.asp Une nouvelle salle pour l'OSM L'orchestre symphonique de Montréal aura finalement sa salle de concert, rapporte Le Devoir dans son édition de samedi. Le gouvernement Charest a conclu un partenariat public-privé pour la construction du nouvel édifice, qui, toujours selon le quotidien, occupera une partie de l'esplanade de la Place des Arts. La ministre de la Culture du Québec, Line Beauchamp, devrait en faire l'annonce officielle mardi lors d'une conférence de presse qui réunira le premier ministre Jean Charest, le président du conseil d'administration de l'OSM, Lucien Bouchard, et le chef Kent Nagano. Le coût du projet dépasserait quelque peu les 100 millions de dollars. La nouvelle salle devrait accueillir entre 1800 et 2200 personnes. OSM.pdf
  2. Voilà une bonne nouvelle. Ça devrait aussi rassurer les éternels inquiets qui ne peuvent dormir à cause du faible taux de fécondité et qui cherchent à jeter le blâme sur des gens qui n'ont rien à voir avec ça... ------------------------------- Projet de loi Québec financera la fécondation in vitro La Presse Canadienne Jocelyne Richer 22/04/2009 16h22 - Mise à jour 22/04/2009 17h35 Les femmes qui ont besoin de la technologie pour donner la vie recevront bientôt un coup de pouce financier de l'Etat pour mener à bien leur projet. Elles auront droit à trois essais gratuits, assumés par la Régie de l'assurance-maladie, alors qu'actuellement la facture peut grimper jusqu'à 45 000 $. Le ministre de la Santé, Yves Bolduc, a déposé un projet de loi en ce sens, aujourd'hui, à la grande satisfaction des couples stériles, qui réclamaient depuis longtemps l'aide financière du gouvernement. Le projet de loi 26 vise en fait à encadrer tout le processus de procréation assistée. Dès qu'il sera adopté, les femmes qui veulent devenir enceintes auront donc droit à trois essais sans frais. Cependant, la question cruciale du nombre maximal d'embryons qui pourront être implantés à chaque reprise dans l'utérus de la femme reste à déterminer. Le nombre autorisé pourrait varier en fonction de l'âge de la femme et de la qualité des embryons. En point de presse, le ministre Bolduc a dit qu'il fallait faire en sorte d'éviter les grossesses multiples, très coûteuses pour l'Etat, et remettait à plus tard la décision à ce sujet. Mais une chose est sûre, «des huit, puis des sept embryons, il n'y en aura pas», a-t-il promis. «On ne vous cachera pas qu'on veut éviter des situations comme il y a eu aux Etats-Unis avec la naissance d'octuplés, alors que tout le monde trouve ça étrange qu'on ait implanté autant d'embryons en même temps», a fait valoir le ministre Bolduc. Québec vise à promouvoir en ce domaine «une pratique éthiquement acceptable et également une pratique de qualité». L'Association des couples infertiles du Québec s'est montrée très satisfaite du projet de loi, surtout qu'il prévoit le remboursement de trois essais, au lieu de deux comme le projet de loi précédent, qui avait été déposé en 2008. La présidente de l'association, Caroline Amireault, a fait valoir qu'elle souhaitait que Québec laisse conjointement au médecin traitant et à la femme la décision à prendre quant au nombre d'embryons à implanter. Elle veut surtout éviter que Québec fixe à un seul embryon le plafond autorisé pour chaque intervention, «parce qu'avec un seul embryon vous avez 15 pour cent de chances d'avoir une grossesse». «Il faut s'assurer que les couples infertiles ne seront pas pris en otages», en devant recommencer «indéfiniment», a-t-elle ajouté. Une grande victoire de l'association consiste à avoir réussi à convaincre le gouvernement de considérer l'infertilité comme une maladie. Malgré les pressions, le gouvernement avait toujours refusé dans le passé de céder sur ce point, à l'époque où le ministère de la Santé était dirigé par Philippe Couillard. Il disait aussi qu'enfanter n'étais pas un droit, mais un privilège. Environ 1700 traitements pour l'infertilité sont pratiqués chaque année au Québec, pour un coût unitaire variant entre 10 000 $ et 15 000 $. Il faut s'attendre à voir le nombre de demandes augmenter avec la gratuité du traitement. Le projet de loi prévoit aussi que toute activité de procréation assistée, sauf exception, devra être exercée dans un centre privé de procréation assistée, et que ce centre devra être dirigé par un médecin. Ces centres devront détenir un permis délivré par le ministère de la Santé et respecter les normes en vigueur.
  3. En ce moment, il se tient le "Forum des grands projets de la Chambre de commerce du montreal métropolitain". Il est possible de suivre l'actualité sur Twitter de cet événement ici: https://twitter.com/#!/search/%23CCMMQCCA Il est difficile d'avoir des annonces officielles par Twitter, mais voici ce que j'ai vu passé d'intéressant à date: - La FTQ suggère qu'il y a une demande pour 2 millions de pieds carrés de bureaux supplémentaires et le maire Tremblay suggère l'annonce d'une nouvelle tour cette semaine. - Le maire a spécifié que 10 nouveaux projets dans Ville-Marie seront annoncés la semaine prochaine. - On a beaucoup parlé des chantiers en santé, particulièrement: CHUM, CSUM, Maisonneuve-Rosemont, Ste-Justine, l'hôpital général juif. - Les palissades du CHUM seront couvertes d'oeuvres d'art. L'art aura une place déterminante dans le nouveau CHUM, il y aura un amphithéâtre et la façade sur Saint-Denis sera complètement vitrée. - Un "Quartier Viger" a été mentionné (gros potentiel de développement dans l'est du centre-ville). Voilà pour le moment J'espère qu'on aura plusieurs nouveaux projets intéressants durant les prochains jours!
  4. Le gouvernement fédéral a récemment proposé à l’ONU de quitter New York pour le Vieux-Port de Montréal, où un groupe de promoteurs des secteurs public et privé ont imaginé un ambitieux projet, a constaté La Presse dans des documents inédits. Le silo no 5 laisserait ainsi sa place au siège des Nations unies. Le siège de l’ONU prendrait place entre les quai Windmill et Bickerdike, à l’avant du complexe. La sculpture L’homme d’Alexandre Calder serait déplacée au cœur de l’îlot, dans un parc. Le prolongement de la rue McGill deviendrait l’une des quatre entrées de la « Cité globale », adossée à l’autoroute Bonaventure, en face d’Habitat 67. »» Voyez toutes les photos du projet Le concept et les plans préliminaires du projet ont été préparés par l’entreprise Solutrans, dirigée par Jean O’Keefe, l’instigateur du projet. L’organisme Montréal international a participé en finançant une étude de faisabilité technique, a appris La Presse. Le cabinet d’architectes Provencher Roy et associés a pour sa part préparé des maquettes. La Ville de Montréal a donné son accord au projet, de même que le ministre du Développement économique et responsable de la région de Montréal, Raymond Bachand. Ce dernier a refusé de commenter. Le maire Tremblay trouve « exceptionnelle » et « emballante » cette idée, mais il refuse de commenter plus davantage de peur de nuire aux chances du projet. Le maire, le premier ministre Jean Charest et le premier ministre Stephen Harper en avaient d’ailleurs discuté lors du sommet de la francophonie à Bucarest, en septembre 2006. Le gouvernement fédéral a même soumis le projet de façon « informelle » aux autorités de l’ONU, a-t-on appris de sources sûres. L’ONU n’a toutefois démontré aucun intérêt. Un porte-parole de l’ONU, Alex Cerniglia, a lui aussi refusé de faire des commentaires. Pour l’instant, l’ONU prévoit plutôt rénover ses bâtiments actuels, au coût de 1,9 milliard de dollars. La firme suédoise Skanska a d’ailleurs signé un contrat de sept millions de dollars pour gérer la phase de préconstruction. M. Cerniglia soutient que les coûts pourraient être moindres selon le mode de rénovation, que l’on choisira d’ici à la fin de l’année. Les promoteurs montréalais espèrent toujours convaincre l’ONU de déménager à Montréal, où un nouveau complexe coûterait, selon eux, moins cher que la rénovation des installations new-yorkaises. Son entretien coûterait aussi 790 millions de moins par année, affirment-ils. La vente du terrain de l’ONU à New York procurerait aussi une somme considérable. Les tenants du projet pensent que les Nations unies pourraient renverser leur décision en raison des dépassements de coûts appréhendés, des retards et du manque de main-d’œuvre pour réaliser les travaux. Une ville dans la ville Ce projet propose d’accueillir au même endroit les Nations unies, les quelque 190 missions permanentes et les bureaux de plus de 4000 organisations non gouvernementales. Les composantes du complexe seraient reliées entre elles par un monorail qui se rendrait au centre-ville. Le site suggéré occuperait 65 hectares, soit plus que le parc Lafontaine. À New York, les Nations unies occupent quelque sept hectares en ce moment. Les ONG et les missions sont quant à elles éparpillées un peu partout dans la ville. L’ONU éprouve des problèmes avec ses sept immeubles situés dans l’île de Manhattan. Construit entre 1949 et 1951, le bâtiment principal comprend 39 étages. Il y a notamment des problèmes d’isolation, de sécurité et de salubrité parce qu’il contient de l’amiante. Selon les estimations financières dont La Presse a pris connaissance, il en coûterait environ 790 millions pour construire les locaux de l’ONU répartis dans cinq bâtiments de trois à 12 étages. Le coût des bâtiments des ONG, des missions et des délégations s’élèverait à un peu plus de 760 millions et celui des infrastructures à 492 millions. L’ensemble du projet atteindrait donc environ 2,2 milliards. L’étude estime les retombées économiques à plus de 2,4 milliards grâce à la construction de nombreuses habitations pour y loger les quelque 20 000 personnes employées par les Nations unies. L’étude estime que l’arrivée de l’ONU à Montréal créerait aussi environ 60 000 emplois indirects. L’effet annuel sur le PIB serait aujourd’hui de 2,4 milliards et de 8,5 milliards dans 50 ans.
  5. IluvMTL

    C2-mtl 2013

    http://www.cyberpresse.ca/arts/musique/201204/29/01-4520144-moby-jouera-dans-griffintown.php Publié le 30 avril 2012 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Moby jouera dans Griffintown Moby se produira comme DJ à l'événement de clôture de la conférence sur le commerce et la créativité C2-MTL. PHOTO: ANDRÉ TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE André Duchesne La Presse Le célèbre DJ new-yorkais et star de la musique électronique Moby sera la vedette principale de l'événement de clôture de C2-MTL, conférence mondiale sur le commerce et la créativité qui rassemblera 1200 participants à Montréal, a appris La Presse. Du 22 au 25 mai, dans l'ancien édifice New City Gas dans Griffintown, cet événement ambitieux et nouveau genre fera converger des conférenciers très prestigieux vers Montréal. À ce jour, la liste des invités comprend le cinéaste Francis Ford Coppola; la rédactrice en chef et fondatrice du Huffington Post, Arianna Huffington; l'ancien PDG de Disney Michael Eisner; le chef de la direction financière de Google, le Québécois Patrick Pichette; le PDG du Cirque du Soleil, Daniel Lamarre; le directeur de la création chez DreamWorks, Bill Damaschke, etc. «Nous souhaitons faire de cette conférence un événement annuel, lance Benoit Berthiaume, producteur exécutif de C2-MTL. On veut que Montréal s'inscrive de cette façon dans une conversation mondiale avec les autres grandes métropoles de créativité. Nos participants sont des dirigeants d'affaires de haut niveau provenant de partout dans le monde.» Pour M. Berthiaume, Moby, qui sera à Montréal à titre de DJ, représente parfaitement l'esprit et le contenu de la conférence. «C'est un artiste multidisciplinaire qui est reconnu pour son talent et son esprit créatif», souligne-t-il. Placée sous le thème de l'illumination - une référence directe à l'édifice où elle se tiendra -, la soirée du 24 mai se déclinera en trois segments. D'abord, la firme montréalaise Moment Factory proposera une expérience interactive ludique. Viendra ensuite une programmation musicale dont l'affiche reste à confirmer. Enfin, Moby, artiste aux 20 millions d'albums vendus dans le monde, montera sur scène. Si les activités de la conférence seront réservées aux participants inscrits, 500 billets grand public (à 65$ l'unité) seront mis en vente pour la soirée du 24. New City Gas Diminutif de «Commerce + Créativité Montréal», C2-MTL est un organisme sans but lucratif imaginé par l'agence créative Sid Lee. L'organisme a la volonté de réinventer la conférence, indique Geneviève Hinse, attachée de presse. Signe de ce côté hip, la conférence aura lieu dans l'ancien bâtiment New City Gas, rue Ottawa, dans Griffintown. Cette ancienne usine à gaz a récemment été achetée par un entrepreneur qui est en train de la rénover de fond en comble pour en faire un centre de congrès underground. De très importants travaux sont en cours, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du bâtiment en prévision de C2-MTL qui sera le premier événement à s'y tenir. Une partie du terrain extérieur accueillera un village interactif. Au total, l'exposition occupera un espace de 75 000 pieds carrés sur deux quadrilatères urbains.
  6. Publié le 16 mars 2017 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 De nouvelles règles pour les drones récréatifs Le ministre des Transports Marc Garneau annoncera aujourd'hui de nouvelles règles de sécurité qui interdiront désormais de faire voler les drones récréatifs à plus de 90 mètres d'altitude et à moins de 75 mètres de bâtiments, de véhicules ou de personnes, a appris La Presse. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE (http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-canadienne/201703/15/01-5079190-de-nouvelles-regles-pour-les-drones-recreatifs.php#wcm:article:5079190) Joël-Denis Bellavance (https://cse.google.com/cse?cx=004348325735519040616:xugxk9rp5mm&q=Jo%C3%ABl-Denis+Bellavance) La Presse (Ottawa) La prolifération de drones récréatifs dans le ciel aux quatre coins du pays est devenue une menace pour la sécurité publique. Désirant agir avant qu'une tragédie ne survienne, le ministre des Transports Marc Garneau entend serrer la vis aux propriétaires de ces objets volants. M. Garneau annoncera aujourd'hui à l'aéroport Billy Bishop de Toronto de nouvelles règles de sécurité qui interdiront désormais de faire voler ces drones à plus de 90 mètres d'altitude et à moins de 75 mètres de bâtiments, de véhicules ou de personnes, a appris La Presse. En outre, les utilisateurs ne pourront s'amuser avec ces objets dans un rayon de neuf kilomètres du centre de tout aéroport, héliport, aérodrome ou hydrobase où décollent et atterrissent des aéronefs. Enfin, il sera interdit d'utiliser ces petits appareils durant la nuit. Le ministre Garneau confirmera l'entrée en vigueur immédiate de ces nouvelles mesures avec des représentants de compagnies aériennes et de pilotes, de même que des policiers de la Gendarmerie royale du Canada et du Service de police de Toronto pour illustrer l'importance d'agir dans ce domaine. La Fédération canadienne des municipalités avait aussi réclamé des mesures plus contraignantes. «L'utilisation de ces drones récréatifs est devenue un véritable fléau. N'importe qui peut se procurer un tel drone pour quelque 350 $ chez Walmart. Il faut imposer de nouvelles règles avant qu'une tragédie ne survienne», affirme une source gouvernementale qui a requis l'anonymat. Ces nouvelles règles toucheront les drones récréatifs dont le poids est de 250 grammes mais n'excède pas 35 kilogrammes. Les propriétaires devront aussi inscrire leurs coordonnées sur leur drone et ils devront rester loin des espaces aériens contrôlés ou règlementés, des incendies de forêt et des zones où des premiers intervenants sont à l'oeuvre. Toute personne qui contreviendra à ces règles de sécurité pourrait se voir imposer des amendes pouvant aller jusqu'à 3000 $. Le ministère des Transports encouragera d'ailleurs les gens à composer le 9-1-1 ou à communiquer avec les forces policières locales s'ils voient des propriétaires de drones récréatifs enfreindre ces règles. Le ministre Garneau a décidé d'utiliser les pouvoirs ministériels que lui confère la Loi sur l'aéronautique pour imposer d'urgence ces nouvelles règles, étant donné que les campagnes de sensibilisation au sujet de l'utilisation sécuritaire des drones près des aéroports et des autoroutes n'ont pas donné les résultats escomptés. Ces nouvelles règles s'appliqueront d'ici à ce que les nouvelles dispositions règlementaires soient adoptées - une démarche qui pourrait prendre jusqu'à un an. Incidents préoccupants De plus en plus, le ministère des Transports et les forces policières sont saisis de rapports d'événements impliquant des drones récréatifs. Des pilotes d'avion qui doivent effectuer des manoeuvres à la dernière seconde pour éviter de frapper un drone alors qu'ils s'apprêtent à faire atterrir leur aéronef. Des automobilistes qui doivent donner un coup de volant pour ne pas être heurtés par un de ces objets volants. Des personnes qui se trouvent dans un parc municipal qui sont blessées après que le propriétaire d'un drone récréatif eut perdu le contrôle de son appareil. Encore récemment, le pilote d'un Airbus A330-343 d'Air Canada qui effectuait la liaison Londres-Montréal a signalé au ministère des Transports qu'il avait aperçu un drone blanc «assez gros», en forme de losange, qui volait à une altitude d'environ de 1600 pieds au-dessus du niveau de la mer (487 mètres), dans les environs du collège Saint-Jean-Vianney, à Montréal, selon un relevé du Système de compte rendu quotidien des événements de l'aviation civile (SCRQEAC). Heureusement, aucun accident n'a eu lieu. En 2016, un hélicoptère qui effectuait un vol entre Saint-Hubert et Mirabel a signalé être passé très près d'un drone, à quelques mètres à peine, alors qu'il traversait les axes d'approche des pistes 24 à Montréal. Les nouvelles mesures ne s'appliqueront pas aux individus qui utilisent des drones à des fins commerciales, universitaires ou de recherche étant donné que ces derniers doivent obtenir des permis de Transports Canada et qu'ils sont déjà soumis à des règles contraignantes. «Au Canada, il y a eu plusieurs incidents préoccupants où des drones ont failli percuter des aéronefs. Nous devons tout mettre en oeuvre pour éviter ce genre d'incidents. [...] Aujourd'hui, en présence de la GRC, de l'Airline Pilots Association, du Conseil des aéroports du Canada, de l'Association des pilotes d'Air Canada et du Conseil national des lignes aériennes du Canada, je prends des mesures sur-le-champ pour mettre en place des dispositions coercitives qui vont protéger les Canadiens et amener ceux qui utilisent des drones à des fins récréatives à le faire prudemment», affirme le ministre, selon un texte du discours qu'il doit prononcer ce matin à Toronto.
  7. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/476392/immobilier-l-ontario-pourrait-taxer-les-achats-faits-par-des-etrangers Immobilier: l’Ontario pourrait taxer les achats faits par des étrangers 27 juillet 2016 |François Desjardins | Actualités économiques La Colombie-Britannique veut réduire la pression sur les prix de l’immobilier en taxant notamment les achats faits par des étrangers. L’Ontario, également aux prises avec une surchauffe immobilière, pourrait s’inspirer de la province de l’Ouest. La taxe sur les transactions immobilières bouclées par des étrangers en Colombie-Britannique pourrait un jour en inspirer d’autres à l’imposer, notamment l’Ontario, dont le ministre des Finances a reconnu mardi qu’il étudie de très près cette possibilité. Québec n’a pas envisagé cette avenue. Alors que les prix de l’immobilier du Grand Montréal ont augmenté de 1,9 % sur un an et de 9,3 % sur cinq ans, selon les données de l’industrie canadienne, la situation à Toronto et à Vancouver continue de préoccuper. Dans le premier cas, les prix ont bondi de 16 % et de 51 % sur les mêmes périodes. Dans le deuxième, les hausses sont de 32 % et de 50,5 %. À Vancouver, le prix moyen d’une maison unifamiliale est maintenant de 1,77 million, deux fois plus qu’à Toronto, selon les informations publiées il y a deux semaines par les chambres immobilières de ces villes. Pour tenter de contrôler la situation, qui complique grandement l’accessibilité à la propriété pour les premiers acheteurs, la Colombie-Britannique veut imposer aux étrangers une taxe de 15 % sur le prix d’achat d’une résidence dans la région de Vancouver. Cette mesure extrêmement ciblée s’ajoute à un resserrement général des règles dicté par Ottawa depuis quelques années. « Je salue ce que le ministre de Jong a mis en avant », a dit en conférence de presse le ministre des Finances de l’Ontario, Charles Sousa. « Nous étudions certainement toutes les options. » À Québec, ce genre de scénario n’a « pas été envisagé, considérant que nous ne sommes pas dans le même contexte », a indiqué au Devoir l’attachée de presse du ministre délégué aux Finances, Catherine Poulin. L’annonce faite par la Colombie-Britannique a suscité mardi beaucoup de réactions de la part d’analystes. Le geste pourrait avoir comme conséquence d’exercer une forte pression à la hausse sur les prix torontois, car les étrangers seront portés à regarder ailleurs que le marché de Vancouver, a estimé la Banque TD. « Compte tenu d’une part de marché des étrangers de 5 à 14 % [à Vancouver], notre modèle prévoit une baisse de 15 à 20 % du nombre de ventes au cours des trois prochains trimestres et d’une diminution de 5 % du prix moyen », ont écrit deux économistes de la TD, Michael Dolega et Diana Petramal, dans une note aux clients. Puisque la province surveille déjà de près les achats immobiliers faits par des étrangers, nous saurons d’ici le mois de septembre si la mesure fonctionne, a dit au Devoir John Andrew, professeur à l’Université Queen’s où il dirige la Real Estate Roundtable, qui réunit les acteurs de l’industrie pour échanger sur les pratiques immobilières. « Si vous êtes un investisseur de Hong Kong, verrez-vous le marché de Vancouver comme étant abordable, êtes-vous en train de sortir de l’argent de votre pays ? Qui sait quels sont les avantages fiscaux ? Qui sait d’où provient précisément l’argent ? se demande M. Andrew. Je crois que l’Ontario pourrait souhaiter faire la même chose, mais il n’y a pas tant d’activités étrangères à l’extérieur du créneau des condos. » Scénarios Mardi matin, l’organisme fédéral de surveillance de l’industrie financière a demandé à certaines institutions de simuler des chutes de prix de l’immobilier afin de mesurer leur résistance aux chocs. La demande ne vise pas les grandes banques, mais les autres institutions financières qui consentent des prêts hypothécaires. L’avis du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) les prie de simuler une descente de 50 % pour Vancouver, de 40 % pour Toronto et de 30 % pour le reste du pays, une exigence qui survient deux semaines après avoir insisté sur la prudence dans les prêts hypothécaires résidentiels. « La faiblesse persistante des taux d’intérêt, les taux records d’endettement des ménages et la hausse rapide du prix des logements dans certaines régions du pays (notamment dans les grandes régions de Vancouver et de Toronto) pourraient entraîner des pertes sur prêts considérables si les conditions économiques devaient se détériorer », a écrit le BSIF le 7 juillet. « Les institutions financières peuvent encourir des pertes découlant à la fois de la possibilité que les emprunteurs ne puissent rembourser leurs dettes et du déclin de la valeur des biens immobiliers résidentiels auxquels sont adossés les prêts hypothécaires », a ajouté le Bureau du surintendant.
  8. http://www.mnbaq.org/blogue/2014/06/27/et-les-finalistes-sont ET LES FINALISTES SONT... Nouvelles Par MNBAQ 27 JUIN 2014 La ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Protection et de la Promotion de la langue française, Hélène David, en collaboration avec le Musée national des beaux-arts du Québec, dévoile les 5 finalistes invités à présenter une proposition d’œuvre d’art public pour le pavillon Pierre Lassonde du MNBAQ. Les 5 finalistes choisis par le comité de sélection sont : Jocelyne Alloucherie Ludovic Boney Cooke-Sasseville Marc-Antoine Côté Laurent Lamarche « L'inventivité des artistes conviés à concourir à l'idéation d'une œuvre pour le Musée national des beaux-arts du Québec s'arrimera certes à la créativité et à l'innovation de la signature de prestige du pavillon Pierre Lassonde. Je me réjouis que la Politique d'intégration des arts à l'architecture permette la tenue de ce concours, enrichissant ainsi l'expérience vécue par les visiteurs dans ce lieu culturel unique », a affirmé la ministre Hélène David. « Nous sommes plus que satisfaits de voir que cette sélection d’artistes couvre un large spectre d’esthétiques et de pratiques, a renchéri Line Ouellet, directrice générale et conservatrice en chef du MNBAQ. La présence d’une œuvre d’art intégrée à la cour intérieure du pavillon Pierre Lassonde va nous permettre d’amener l’art dans les espaces publics du musée. Nous sommes persuadés que l’œuvre retenue saura relever avec brio le défi d’occuper ce nouvel espace destiné aux rencontres, aux rassemblements, aux activités sociales et à la détente, au sein d’un édifice aux qualités remarquables, de facture internationale. » Au cours des prochains mois, les cinq finalistes soumettront une proposition d’œuvre, en format maquette, selon le mandat artistique retenu par le comité formé dans le cadre de la politique gouvernementale. À la suite de cette présentation, le comité désignera l’artiste lauréat qui réalisera l’œuvre d’art public qui sera située dans la cour extérieure de la nouvelle porte d’entrée du musée, le pavillon Pierre Lassonde. L’installation de l’œuvre est prévue en août 2015 et le budget total alloué est de 402 535 $. Pavillon Pierre Lassonde Ce nouveau pavillon permettra de presque doubler les surfaces du musée et de rendre accessibles les collections d’art contemporain, de design ainsi que d’art inuit. S’ajouteront également de vastes salles pour les expositions temporaires ainsi qu’un café et un auditorium de 250 places à la fine pointe de la technologie. Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement Ce concours s’inscrit dans le cadre de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du gouvernement du Québec. Celle-ci vise, entre autres, à accroître la diffusion d’œuvres en art actuel réalisées par des artistes professionnels québécois et à participer ainsi à l’enrichissement du cadre de vie des citoyens, partout au Québec. Depuis 1961, plus de 3 200 œuvres ont été acquises ou réalisées dans le cadre de cette politique gouvernementale. - See more at: http://www.mnbaq.org/blogue/2014/06/27/et-les-finalistes-sont#sthash.u4MPS3FE.dpuf
  9. http://www.lapresse.ca/sports/autres-sports/olympisme/201604/17/01-4972297-la-ministre-des-sports-favorable-a-des-jeux-a-quebec.php Publié le 18 avril 2016 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 La ministre des Sports favorable à des Jeux à Québec Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Au cours de la prochaine année, la ministre des Sports et des Personnes handicapées a l'intention de réunir les décideurs du milieu olympique canadien, pour établir une stratégie nationale pour l'accueil des grands événements sportifs internationaux. La ministre fédérale des Sports, Carla Qualtrough, estime que le Canada «doit accueillir» les Jeux olympiques ou les Jeux du Commonwealth d'ici 2030. Et elle se demande à voix haute si ce n'est pas le tour d'une ville québécoise, par exemple Québec pour les Jeux d'hiver de 2026. «Ça aurait du sens», a-t-elle dit en entrevue avec La Presse. «Je suis plutôt favorable à l'idée d'avoir différentes régions du pays [qui accueillent les Jeux], a indiqué la ministre Qualtrough. Je ne sais pas si c'est le tour de Québec, c'est au COC de décider, mais ce serait agréable d'avoir les Jeux à Québec, ça aurait du sens. Nous avons accueilli des Jeux olympiques à Vancouver et à Calgary, nous avons accueilli des Jeux à Montréal, mais c'était il y a quelque temps. Maintenant, si Edmonton disait qu'elle voulait des Jeux, je dirais qu'Edmonton serait aussi une bonne ville hôtesse.» La ministre Qualtrough a de bons mots pour le maire de Québec Régis Labeaume, qui a rencontré le président du Comité international olympique (CIO) Thomas Bach en Suisse la semaine dernière. Au cours de la prochaine année, la ministre des Sports et des Personnes handicapées a l'intention de réunir les décideurs du milieu olympique canadien, incluant le Comité olympique canadien (COC), qui a le dernier mot sur les candidatures olympiques. L'objectif: établir une stratégie nationale pour l'accueil des grands événements sportifs internationaux, afin d'avoir des efforts mieux concertés. «Nous ne pouvons pas accueillir tous les événements, dit-elle. Il faut s'asseoir avec tous les décideurs et faire un plan. Ils [COC, Commonwealth Games Canada, CONCACAF] ont le droit de déposer une candidature, j'ai les dollars fédéraux. Nous manquons des occasions quand nous le faisons seuls. Je ne veux pas avoir une situation où nous avons une candidature pour les Jeux d'hiver de 2026, les Jeux d'été de 2028 et les Jeux du Commonwealth en 2030. Nous ne pouvons pas financer ni remporter tous ces événements. Nous devons être stratégiques: voulons-nous des Jeux dans une ville qui a besoin d'infrastructures ou dans une ville qui a déjà les infrastructures? Nous devons avoir ces discussions difficiles», a précisé la ministre Qualtrough, avocate et ancienne nageuse paralympique qui a gagné trois médailles aux Jeux de Séoul (1988) et de Barcelone (1992). Il n'y a pas qu'à Québec qu'on démontre de l'intérêt pour une candidature olympique. Toronto a évalué la possibilité de présenter une candidature pour les Jeux d'été de 2024, mais le maire John Tory en a finalement décidé autrement, notamment en raison des réticences du gouvernement provincial et des délais serrés. Toronto, qui a accueilli les Jeux panaméricains l'été dernier, pourrait être tenté à nouveau pour les Jeux d'été de 2028. Accueillir les Jeux olympiques ou les Jeux du Commonwealth représente un investissement de plusieurs milliards de dollars pour le gouvernement fédéral, en grande partie en raison des infrastructures et de la sécurité. Pour l'instant, le gouvernement Trudeau n'a pas statué à savoir s'il appuierait une éventuelle candidature canadienne. «Je serai le plus grand défenseur d'une candidature [au cabinet], mais c'est un grand investissement et c'est une décision du cabinet», a dit la ministre Qualtrough, qui croit que l'obtention de tels événements est «une bonne chose» sur le plan économique. La ministre Qualtrough rappelle que les premiers Jeux du Commonwealth ont eu lieu à Hamilton, au Canada, en 1930 et que les Jeux du Commonwealth auront 100 ans en 2030. Patience avec le COC jusqu'aux Jeux de Rio Six mois après la démission de Marcel Aubut en raison d'allégations de harcèlement sexuel, le Comité olympique canadien (COC) a engagé des spécialistes et commence à changer ses politiques internes, mais l'organisme en fait-il assez pour contrer le harcèlement sexuel et assurer un climat de travail sain? La ministre fédérale des Sports, Carla Qualtrough, veut «donner du temps» à la nouvelle présidente du COC, Tricia Smith. «À un moment donné, je penserai différemment, peut-être après [les Jeux de] Rio», dit-elle. Résumé en trois déclarations. «Nous devons donner à Tricia [smith] le temps de travailler sur ce processus. Ils ont engagé un spécialiste de la gouvernance, un spécialiste des ressources humaines. Certaines de ces choses prennent du temps. Elle a choisi d'être discrète, je suis prête à attendre et voir quel type de changements il y aura.» [Le COC a dévoilé hier sa politique contre le harcèlement sexuel. L'entrevue avec la ministre Qualtrough a eu lieu la semaine dernière, avant cette annonce] «Vous devez vous rappeler qu'il ne reste que six mois avant les Jeux de Rio. Je n'ai pas de problème avec le délai, c'est raisonnable dans leur situation. À un moment donné, je penserai différemment, peut-être après Rio.» «Jean-Luc Brassard est un héros sportif canadien. Il est extrêmement respecté, par moi et par tous les gens que je connais. Il a fait un choix personnel, le COC traverse des moments difficiles, je comprends pourquoi il a démissionné [comme chef de mission des Jeux de Rio]. Je suis ravi que Curt [Harnett] puisse prendre la relève et qu'il n'y ait pas de dérangement pour les athlètes. Je partage le point de vue de Jean-Luc et de Curt voulant que nous ayons besoin d'un changement de culture au COC, mais aussi leur point de vue que Tricia Smith [la présidente ayant succédé à Marcel Aubut] sera capable de le faire, et beaucoup d'athlètes de haut niveau pensent la même chose.»
  10. 24 mai 2011 http://www.premier-ministre.gouv.qc.ca/actualites/nouvelles/2011/mai/2011-05-24.asp Nouveau hangar pour Air Inuit Dans la foulée du Plan Nord, le gouvernement a annoncé aujourd’hui l’allocation de 5 millions de dollars à la compagnie d’aviation Air Inuit. Ce montant contribuera à la construction d’un nouveau hangar à Dorval. Le projet d’envergure, qui totalise un investissement de 37,5 millions de dollars, permettra à Air Inuit d’élargir sa gamme de services et de mieux desservir le Nunavik. Par ailleurs, le nouveau complexe répondra aux besoins particuliers de la compagnie et lui permettra, de plus, d’offrir des services d’entretien et de réfection d’avions à d’autres exploitants. Avec ce projet, 500 emplois actuels seront consolidés et une quarantaine de nouveaux seront créés. « Air Inuit est un bel exemple de réussite pour les futures entreprises du Nunavik », a souligné le ministre responsable des Affaires autochtones, Geoffrey Kelley. « Le territoire du Plan Nord représente 72 % de la superficie du Québec. Le développement du Nord nécessite donc des infrastructures stratégiques pour donner accès à cet immense territoire. La construction du nouveau hangar d’Air Inuit annoncée aujourd’hui permettra le développement des transports au Nunavik et contribuera à la mise en œuvre du Plan Nord, au bénéfice de l’ensemble des Québécois », a déclaré le premier ministre, Jean Charest. Rappelons que le Plan Nord se déploiera sur une période de 25 ans et entraînera des investissements de 80 milliards de dollars. Environ 20 000 emplois seront créés ou consolidés chaque année.
  11. Le Québec, un chasseur plus qu’une proie Depuis 2010, les Québécois ont réalisé trois fois plus d’acquisitions hors des frontières qu’ils n’ont cédé d’entreprises à des intérêts étrangers 1 avril 2016 Éric Desrosiers, Robert Dutrisac En dépit des Rona et St-Hubert, les entreprises québécoises sont nettement gagnantes au jeu des acquisitions à l’étranger, a soutenu la ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation, Dominique Anglade. « St-Hubert est une des marques les plus aimées au Québec année après année. Alors ça touche l’imaginaire, a affirmé Dominique Anglade au Devoir. Mais au-delà de l’imaginaire, il faut aussi qu’on regarde les chiffres. » Depuis 2010, les sociétés québécoises ont fait 258 transactions pour acquérir des entreprises à l’extérieur du Québec, tandis que les sociétés hors Québec ont conclu 85 rachats d’entreprises québécoises, a signalé la ministre. La valeur des transactions est nettement en faveur du Québec. Ainsi, les sociétés québécoises ont fait 177 transactions dont la valeur a été rendue publique — 520 millions de dollars en moyenne — pour une valeur totale de 92 milliards. Pour acquérir des sociétés d’ici, les sociétés non québécoises ont conclu 53 transactions dont la valeur est connue — 400 millions de dollars en moyenne — pour une valeur totale de 21 milliards. Dans le cas de St-Hubert, Dominique Anglade n’est pas prête à dire que la transaction est bénéfique pour le Québec, comme elle l’avait fait pour Rona. Investissement Québec a entamé des discussions avec la direction de St-Hubert mais à défaut d’un repreneur québécois, elles n’ont pas abouti. « On n’a pas eu l’occasion de déposer une contre-offre », a précisé la ministre. Le gouvernement était bien conscient que la relève n’existait pas au sein de l’entreprise familiale à capital privé. Dominique Anglade reconnaît que le gouvernement a peu de prise pour imposer de quelconques conditions à l’acquéreur. La question de la relève des chefs d’entreprise québécois est un problème sérieux, a-t-elle noté. « C’est pas compliqué : il y a plus de 50 000 personnes qui sont à la tête d’entreprises aujourd’hui qui vont prendre leur retraite dans les dix prochaines années », a prévenu la ministre. Mieux s’occuper de la relève La ministre Anglade n’était pas la seule jeudi à voir dans la vente de St-Hubert à des intérêts ontariens une illustration de l’immense défi auquel fera face le Québec inc. avec l’arrivée à l’âge de la retraite de toute une génération d’entrepreneurs. Le président exécutif de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques (IGOPP), Yvan Allaire, dit souhaiter que la transaction « sonne le réveil » des chefs d’entreprises et des pouvoirs publics sur le défi immense que représentera le transfert massif de propriété des entreprises québécoises au cours des prochaines années. « Il est temps que tout le monde s’occupe de cela de beaucoup plus près. » Selon une étude conjointe dévoilée en juin 2014 par le Fonds de solidarité de la FTQ et la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM), entre 5700 et 10 000 entreprises québécoises devront se trouver un nouveau propriétaire d’ici 10 ans. Le sort de ces entreprises sera important parce qu’elles compteront pour de 79 000 à 139 000 emplois et de 8,2 à 12 milliards de retombées économiques. « La préparation d’une relève est un travail de longue haleine. Les chefs d’entreprises sont portés à sous-estimer le temps et les ressources nécessaires », explique le porte-parole du Fonds, Patrick McQuilken. Liés émotivement à leur compagnie, les entrepreneurs tendent souvent à trop attendre ou à se laisser surprendre par la maladie. Plutôt que de demander aux pouvoirs publics de bloquer en catastrophe des transactions au nom de la protection de la propriété québécoise des entreprises, on ferait mieux de demander à Investissement Québec, à la Caisse de dépôt et autres Fonds de solidarité de se fixer des objectifs beaucoup plus clairs et de mieux accompagner les entreprises québécoises dans leurs processus de transferts de propriété, pense le président et chef de la direction de la CCMM, Michel Leblanc. « Chaque entreprise a sa réalité propre, mais je suis convaincu qu’on trouverait plus de repreneurs québécois si l’on se donnait la peine de faire les choses comme il faut. Les choses s’améliorent, mais pas assez vite. » Transfert en interne Les gouvernements pourraient commencer par changer leurs règles fiscales, observait l’étude de la CCMM et du Fonds de solidarité. Trop souvent, elles se révèlent moins favorables aux personnes qui voudraient céder leur entreprise à leurs enfants plutôt qu’à des étrangers. Il faudrait notamment regarder du côté des États-Unis, pense Yvan Allaire. On y accorde des avantages fiscaux à ceux qui voudraient céder graduellement le contrôle de leur entreprise à ses cadres et ses employés. « C’est un modèle très populaire », dit l’expert en gouvernance d’entreprise. Plus de 10 000 entreprises s’en sont prévalues, dont la chaîne d’épiceries bien connue en Floride, Publix. « Il faudrait pour cela que le Québec s’entende avec Ottawa, mais on pourrait lui montrer la voie. Le problème est beaucoup plus aigu ici. » http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/467043/le-quebec-un-chasseur-plus-qu-une-proie
  12. This is super socialist...taxes need to decrease, not increase. «Ce n'est pas une balloune que l'on lance, là.» Le premier ministre Philippe Couillard envisage sérieusement l'implantation d'un système de revenu garanti au Québec. http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201602/05/01-4947858-couillard-serieux-sur-le-revenu-minimum-garanti.php
  13. Donc la piste de ski de fond va être sur 6 km entre la ville de Lachine et la jonction de la 15 avec le canal, tandis que le sentier de marche/raquette va s'étendre sur 14 km entre Lachine et la rue Atwater.
  14. http://plus.lapresse.ca/screens/a34a7529-de16-463b-9e37-a7992b141ff7%7CAtgiPrQOnG7o.html MONTRÉAL VOTE « DU BON BORD »… FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE Montréal pouvait difficilement sortir perdant de la soirée d’hier. Il suffisait que Stephen Harper soit renversé, et voilà ! La métropole était aussitôt en meilleure posture qu’elle ne l’avait été ces neuf dernières années. Mais de là à penser qu’elle serait aussi bien placée, ce matin ? Pas grand-monde ne l’espérait, il y a quelques semaines encore. Quelques jours, peut-être même. Carrément absent du Conseil des ministres pendant les deux derniers mandats conservateurs, Montréal a vu l’un des siens, Justin Trudeau, accéder au poste le plus puissant du pays hier soir. Et avec lui, un grand nombre de députés rouges qui ont le potentiel d’être nommés au Saint des Saints, autant dans l’île que tout autour dans le Grand Montréal. Après avoir voté du « mauvais bord » au cours des trois dernières élections, la métropole se retrouve à nouveau du « bon bord » ce matin. Du bord du parti au pouvoir. N’ayons pas peur de reprendre les mots du maire Coderre : « Montréal is back ! » Et ce n’est pas de l’enflure. Ayant vu la bête de l’intérieur, l’ancien ministre libéral Jean Lapierre m’a dit il y a quelques semaines à quel point l’origine des députés qui siègent au cabinet était cruciale, mais aussi celle de leur chef. « Quand le premier ministre vient de chez vous, m’a-t-il confié, là, t’es vraiment en affaires ! » Tous les députés et ministres redoublent d’attention et de prudence quand ils abordent un dossier qui touche la ville du PM. Tous évitent de tirer le tapis sous les pieds de cette ville. Et tous opinent du bonnet quand le gouvernement dépense pour cette même ville. « T’as juste à aller faire un tour à Shawinigan pour t’en rendre compte, m’a dit Jean Lapierre. Penses-tu qu’il y aurait tout ce qu’il y a là bas sans Jean Chrétien ? Ben voilà… » Le retour fort probable de Montréal au Conseil des ministres est, lui aussi, une très bonne nouvelle. Il faut se rappeler que les conservateurs n’ont élu aucun député montréalais lors de leurs trois victoires électorales. Aucun. En 2006, l’île était rouge, avec un peu de bleu pâle à l’est. Mais le gouvernement était bleu. En 2008, sensiblement la même chose. Et en 2011, la vague orange a lessivé l’île, pendant que les bleus s’accrochaient au pouvoir à Ottawa. Résultat : aucun Montréalais n’a pu défendre les dossiers montréalais au Conseil des ministres pendant toutes ces années conservatrices. Sinon pendant un court intermède de deux ans, de 2006 à 2008, alors que le sénateur Michael Fortier avait été nommé ministre. Or « c’est toujours une plus-value d’avoir quelqu’un de la place pour s’occuper des enjeux de la place », m’a confié le maire Coderre il y a quelques semaines. Toujours mieux d’avoir un interlocuteur qui connaît la ville, qui maîtrise ses codes, qui possède un vaste réseau… que d’avoir un ministre qui ne fait que passer en chemin vers le Saguenay. Rappelons-nous la force de Montréal au sein du cabinet Mulroney dans les années 80 alors que se sont décidés les importants investissements fédéraux du 350e anni-versaire, comme le Vieux-Port. Rappelons-nous l’impact qu’a eu pour la ville de Québec un ministre influent comme Jean Marchand, cette « colombe » de Pierre Elliott Trudeau sans qui la capitale n’aurait probablement pas profité de tous ces investissements en infrastructures. Quand on sait l’influence politique qu’ont les régions, au Québec comme au Canada, on comprend l’importance pour les grandes villes d’être représentées par des députés des grandes villes. Des députés qui ont la sensibilité et les connaissances nécessaires pour expliquer la complexité et l’importance des dossiers urbains à la grande table. Habituée d’être bien représentée au cabinet avant l’élection des conservateurs, la métropole reprend enfin la place laissée vacante depuis trop longtemps. Elle en a bien besoin. sent via Tapatalk
  15. Jacques Parizeau n’est plus La voix du ténor des indépendantistes québécois s’est éteinte. Jacques Parizeau avait fêté ses 84 ans le 9 août dernier. Éminence grise de plusieurs gouvernements à compter des années 1960, professeur d’économie, ministre des FINANCES sous René Lévesque, chef du Parti québécois de 1988 à 1995, maître d’oeuvre du référendum de 1995, il a profondément marqué sa société. C’est son épouse, Lisette Lapointe, qui a annoncé sur sa page Facebook la mort de celui qui aura été «l’homme de a vie». Le pilier POLITIQUE est parti «tout en douceur, entouré de plein d’amour», a-t-elle écrit sur le premier coup de minuit. «Après un combat titanesque, hospitalisé durant cinq mois, traversant les épreuves, les unes après les autres, avec un courage et une détermination hors du commun, il a dû rendre les armes ce soir, 1er juin, un peu avant 20 heures. Nous sommes dévastés. Nous l’aimons et l’aimerons toujours.» Sa mort bouleverse bien sûr ceux qui voyaient en lui une sorte de phare solennel planté au milieu de la nuit de leurs rêves politiques, mais aussi ceux, nombreux, qui reconnaissaient en lui l’expression déterminée d’une vision sincère et originale du Québec. Habitué des complets trois-pièces et d’un maintien quelque peu aristocratique, celui qu’on appellera «Monsieur» est diplômé des Hautes-Études commerciales où l’économiste François-Albert Angers l’encourage à poursuivre ses études en Angleterre. Élu le 15 novembre 1976, il devient ministre des FINANCES du gouvernement de René Lévesque. Il reviendra enseigner dans son alma mater de 1985 à 1989, moment où il fait un pas de côté pour mieux pouvoir sauter à nouveau dans l’arène politique. En parallèle, il est un conseiller de première importance en matière économique dans l’appareil d’État qui se met en place au tournant des années 1960. Il est un de ceux qui jettent les bases de la Société générale de financement (1962) et de la Caisse de dépôt et placement du Québec (1965). Il va aussi suggérer une stratégie économique afin de faciliter la nationalisation des ressources hydro-électriques. On le trouve aussi mêlé à plusieurs réflexions qui donnent des outils à l’État pour valoriser les capacités de ses CITOYENS. Indépendantiste Ministre clé du cabinet de René Lévesque, il démissionne avec fracas du cabinet du gouvernement du Parti québécois le 22 novembre 1984, puis comme député cinq jours plus tard. Même s’il conservera toujours beaucoup d’affection pour René Lévesque, il ne tolère pas le virage que celui-ci affiche désormais en faveur du fédéralisme renouvelé, favorisé par l’arrivée au pouvoir des conservateurs de Brian Mulroney, aiguillé alors en cette matière par Lucien Bouchard. Chef du Parti québécois à compter de 1988, il tend la main à Robert Bourassa au moment de la crise qui entoure l’accord du lac Meech et accepte de participer aux travaux de la commission Bélanger-Campeau. L’appui à l’option indépendantiste atteint alors un sommet. Sa volonté de réaliser l’indépendance du Québec se montre résolue et déterminée. Le Parti québécois, répètera-t-il, est souverainiste avant, pendant et après les élections. Premier ministre À l’élection du 12 septembre 1994, il forme le NOUVEAU gouvernement majoritaire. Se met alors en place la stratégie référendaire. Chef du camp du «Oui», Jacques Parizeau convient néanmoins de s’effacer de l’avant-scène au profit d’interventions de Lucien Bouchard, chef du Bloc québécois, plus en phase avec la ferveur populaire du moment. Au soir du 30 octobre 1995, l’option du Oui passe bien près de l’emporter avec 49,42 % des suffrages exprimés. Ce sont 54 288 voix qui départagent les gagnants des perdants. Amer, visiblement ébranlé, Jacques Parizeau estime alors, dans un discours livré à chaud, que c’est le vote des minorités ethniques et l’argent qui ont fait perdre le référendum. «On a été battu, au fond, par quoi ? Par l’argent puis des votes ethniques, essentiellement.» Cette déclaration jugée malhabile fait tout de suite rougir les téléphones. Elle sera l’objet d’analyses multiples qui occupent une large place de l’espace médiatique dans les jours et les mois qui suivent la déconvenue référendaire. Cette sortie a sans doute accéléré la décision de Jacques Parizeau de quitter la POLITIQUE active, du moins dans des hautes fonctions, même s’il avait déjà annoncé son intention de ne pas rester en place pour gouverner une province. Critique Jacques Parizeau s’est fait particulièrement critique à l’égard du Parti québécois ces dernières années. Il va désapprouver notamment la politique d’une charte de la laïcité. Il soutiendra aussi ouvertement Option nationale, un jeune parti dirigé par Jean-Martin Aussant, sans pour autant renier son ancien parti. Jacques Parizeau ne cachera pas dès lors l’expression de sa profonde affection envers Jean-Martin Aussant dont il apprécie la fréquentation. En août 2014 à Montréal, à l’occasion d’un congrès de militants indépendantistes qui se veut neutre, il répètera que le Parti québécois n’a que lui à blâmer pour ses insuccès dont la cause tient à sa propension à cacher ses motivations. «À force de brouiller les CARTES, de toujours passer à côté et de cacher ce qui est l’objectif même du mouvement souverainiste, il ne faut pas s’étonner qu’à un moment donné, tout ça se dissout.» Jacques Parizeau aura su pour sa part demeurer fidèle à ses rêves avec une éclatante vigueur et une puissance de réflexion que TOUS lui reconnaissaient. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/438678/1930-2015-jacques-parizeau-n-est-plus
  16. La firme britannique Framestore, spécialisée dans les effets spéciaux pour le cinéma et la publicité, a confirmé lundi son implantation à Montréal, ce qui devrait créer 200 emplois d'ici la fin de l'année. La première ministre Pauline Marois, en mission au Royaume-Uni, a participé à l'annonce officielle en compagnie du PDG de Framestore, William Sargent, au siège social de l'entreprise, à Londres. Le gouvernement consentira un prêt sans intérêt de 900 000 $ étalé sur cinq ans, ce qui lui coûtera environ 35 000 $ par année. En conférence de presse, Mme Marois a soutenu qu'aucun crédit d'impôt n'allait être accordé au projet, mais il en est tout autrement. Les clients de Framestore, principalement les grands studios de cinéma de Hollywood, auront droit à des avantages fiscaux pouvant représenter jusqu'à 44% de toutes les dépenses effectuées à Montréal et jusqu'à 60% en incluant le crédit d'impôt fédéral. M. Sargent a d'ailleurs expliqué que l'une des deux raisons pour lesquelles Framestore a choisi Montréal, c'est l'existence des généreux crédits d'Impôt, l'autre étant le bassin de main d'oeuvre qualifiée qu'on trouve dans la métropole québécoise. Vive concurrence Montréal était notamment en concurrence avec Toronto, Vancouver et des villes asiatiques pour obtenir le studio. À l'heure actuelle, l'industrie canadienne des effets spéciaux est concentrée à Vancouver. Québec espère que l'arrivée de Framestore à incitera d'autres entreprises du secteur à s'y établir également. Les premières productions auxquelles travailleront les artisans de Montréal, et ce dès le mois de mars, sont RoboCop (Columbia Pictures et MGM), et All You Need Is Kill (Warner Brothers), qui doivent tous deux sortir en 2014. Framestore compte trois studios à Londres, un à New York et un à Los Angeles, où travaillent environ 700 personnes. Si tout va comme prévu, le studio de Montréal sera le plus important de l'entreprise à l'extérieur de Londres d'ici la fin de l'année. Pauline Marois s'est également rendue lundi matin au Foreign & Commonwealth Office pour rencontrer le ministre délégué responsable de l'Amérique du Nord pour le Royaume-Uni, Alistair Burt. Sur l'heure du midi, elle prononcera un discours devant la Chambre de commerce Canada-Royaume-Uni auquel assistera notamment l'ancien premier ministre de Colombie-Britannique, Gordon Campbell, qui est maintenant haut-commissaire du Canada à Londres. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/cinema-framestore-creera-200-emplois-a-montreal/553618
  17. Suite à la décision du précédent gouvernement péquiste de ne pas permettre l'extraction d'uranium, une compagnie poursuit le gouvernement http://www.stratecoinc.com/data/pdf/Communiques2014/RSC_Requete2014-12-11.pdf
  18. La Caisse va financer le Train de l'Ouest et le SLR sur Champlain. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/economie/2015/01/13/001-entente-financement-infrastructure-caisse-depot-placement-quebec.shtml?isAutoPlay=1
  19. Ooops! Fitch abaisse la note de l'Ontario L'agence de notation de crédit Fitch a abaissé vendredi la note à long terme de l'Ontario, évoquant les «risques» associés à la cible d'un équilibre budgétaire d'ici 2017-18 qu'a choisie le gouvernement libéral de la province. La note à long terme de l'Ontario est désormais de «AA-», comparativement à «AA» précédemment. Cependant, Fitch a aussi révisé à la hausse les perspectives de la province, qui passent ainsi de négatives à stables. Selon l'agence, les options budgétaires de la province seront vraisemblablement «plus limitées» compte tenu de ce que l'Ontario a fait jusqu'à maintenant pour atteindre sa cible. Le ministre ontarien des Finances, Charles Sousa, a indiqué dans un communiqué que le gouvernement était toujours déterminé à atteindre son objectif, tout en admettant que l'annonce de Fitch mettait en évidence les défis qui guettent l'économie de la province. M. Sousa a rappelé qu'il travaillait avec le président du Conseil du Trésor pour gérer les dépenses et pour réduire la dette et le déficit. http://affaires.lapresse.ca/economie/canada/201412/19/01-4829810-fitch-abaisse-la-note-de-lontario.php
  20. Incroyable, c'est une première de mon vécu. *** Transferts fédéraux: l'Ontario recevra plus que le Québec 15-12-2014 | 10h38 Dernière mise à jour: 15-12-2014 | 12h12 AGENCE QMI OTTAWA - C'est la province de l'Ontario qui bénéficiera le plus des largesses du gouvernement fédéral dans la prochaine année fiscale. Le ministère fédéral des Finances, Joe Oliver, a rendu publics les chiffres des transferts fédéraux aux provinces et aux territoires qui sont prévus en 2015-2016 en matière de santé et de programmes sociaux, ainsi que pour la péréquation. Le soutien financier du gouvernement fédéral au Québec atteindra 20,36 milliards $ en 2015-2016, mais l'Ontario recevra la part du lion avec 20,44 milliards $. Au total, en 2015-2016, Ottawa versera aux 10 provinces et aux trois territoires canadiens un montant de 67,9 milliards $, ce qui représente une somme de 1890 $ par habitant. Selon le ministre des Finances fédéral, Joe Oliver, ces transferts du gouvernement fédéral donnent aux provinces et aux territoires la capacité de fournir des services publics de «grande qualité». Le ministre Oliver a par ailleurs fortement suggéré aux provinces de s'inspirer de son gouvernement est de faire les efforts nécessaires pour diminuer les impôts et les dépenses. Le ministre Leitao en veut davantage Même si la province recevra du fédéral une somme record de 9,5 milliards $ en paiement de péréquation pour 2015-2016, Québec estime qu'Ottawa peut en faire plus en matière de santé et d'infrastructure. C'est ce qu'a indiqué le ministre des Finances du Québec, Carlos Leitão, à l'entrée d'une rencontre réunissant ses homologues provinciaux et fédéral à Ottawa lundi. «Pour la péréquation c'est un montant record, mais il y en a d'autres transferts fédéraux et en infrastructure, par exemple, nous pensons qu'il y a de la place pour augmenter ces transferts-là. Et il y a toute la question des transferts en santé», a mentionné le ministre Leitao. Le dossier des infrastructures constitue une des priorités que M. Leitão souhaite amener à la table des discussions. Il a indiqué que le Québec dépensera 90 milliards $ sur dix ans dans ses infrastructures, alors que le fédéral prévoit investir 70 milliards $ à l'échelle du pays au cours de cette période. Il invite Ottawa à délier davantage les cordons de la bourse dans ce domaine, faisant valoir que dans le cycle économique actuel, les dépenses en infrastructure constituent «le meilleur moyen d'accélérer la croissance». -Avec Dominique La Haye
  21. http://journalmetro.com/actualites/national/587923/prentice-et-clark-sentendent-sur-loleoduc/ 03/11/2014 Mise à jour : 3 novembre 2014 | 18:04 Ajuster la taille du texte Prentice et Clark s’entendent sur l’oléoduc Par Rédaction La Presse Canadienne Partager cet article The Canadian Press Jim Prentice et Christy Clark VANCOUVER – Selon le premier ministre de l’Alberta Jim Prentice, lui et son homologue de la Colombie-Britannique, Christy Clark, ont mis derrière eux les jours houleux d’Alison Redford. L’ancienne première ministre de l’Alberta et Mme Clark entretenaient des relations glaciales en raison des demandes de la part de la Colombie-Britannique de partage des revenus d’un possible oléoduc. Pendant une rencontre à Vancouver, lundi, Mme Clark a affirmé que M. Prentice était le premier chef albertain à véritablement comprendre sa province. Elle n’a pas élaboré. Jim Prentice et Christy Clark ont accepté de continuer de travailler pour obtenir la construction d’un oléoduc qui transporterait le pétrole des sables bitumineux de l’Alberta jusqu’à la côte ouest, tout en respectant les inquiétudes de la Colombie-Britannique sur l’environnement, les questions autochtones, le partage des profits et la capacité à réagir en cas de déversement. M. Prentice a pour sa part dit que Mme Clark l’avait réinvité pour la semaine de la Coupe Grey, ce mois-ci, et qu’il prévoyait accepter.
  22. http://www.newswire.ca/fr/story/1417426/atomic-fiction-s-implante-dans-le-grand-montreal
  23. Élections générales le 12 juin en Ontario La première ministre de l'Ontario, Kathleen Wynne, déclenche des élections générales pour le 12 juin. Elle a rencontré le lieutenant-gouverneur en début d'après-midi pour ensuite s'adresser aux médias. Après avoir annoncé que l'Assemblée législative sera dissoute dans l'après-midi, Kathleen Wynne n'a pas tardé à livrer son discours de campagne et à attaquer ses adversaires politiques. Elle a aussi critiqué le premier ministre, Stephen Harper pour ne pas avoir financé des projets d'infrastructure comme celui du Cercle de feu et pour ne pas avoir amélioré les revenus des retraités qui ne bénéficient pas de régime de pension de leur entreprise. La première ministre, Kathleen Wynne arrive chez le lieutenant gouverneur.La première ministre, Kathleen Wynne arrive chez le lieutenant gouverneur. Photo : Claudine Brulé Elle a affirmé que les électeurs ont maintenant le choix entre une approche libérale équilibrée pour la création d'emploi et la croissance économique et celle d'un parti d'opposition qui mettrait la reprise à risque avec des stratégies imprudentes. « Le 12 juin les Ontariens auront le choix. Le choix entre des mains sures et des tactiques risquées », a-t-elle déclaré. Kathleen Wynne et le chef conservateur Tim Hudak ont déjà annoncé la tenue de rassemblements vendredi soir. Les libéraux seront à Toronto et les conservateurs à Ottawa. Selon Kathleen Wynne, les élections sont déclenchées à cause des chefs du Nouveau Parti démocratique et du Parti progressiste-conservateur qui ont rejeté le budget libéral. « Le NPD fait des promesses, mais ne dit pas comment il compte les payer », a dit Kathleen Wynne en ajoutant « alors ce n'est pas le moment pour des chimères ». Les conservateurs « feraient régresser » l'Ontario en « déclarant la guerre » aux organisations syndicales et en réduisant les programmes gouvernementaux sur lesquels comptent les gens, a dit la chef libérale. « Leurs compressions dévasteraient des services publics cruciaux en santé et en éducation », a-t-elle affirmé. « Leurs compressions nous mèneraient sur la voie des bas salaires et d'une faible croissance économique ». Un peu plus tôt dans la journée, Mme Wynne se disait déçue d'apprendre que les néo-démocrates avaient choisi de ne pas appuyer le budget. Une élection provinciale en chiffres | Create Infographics La chef néo-démocrate Andrea Horwath a en effet précisé, vendredi matin, qu'elle voterait contre le budget du gouvernement libéral minoritaire. « J'ai perdu confiance en Kathleen Wynne », a affirmé Mme Horwath, rappelant les différents scandales qui ont frappé le gouvernement libéral en place depuis deux ans et demi, dont l'effacement de courriels gouvernementaux au sujet de l'annulation de deux projets de centrales électriques au coût de plus de 1 G$. « Il est temps pour Kathleen Wynne d'être imputable. C'est le temps que les électeurs décident. » — Andrea Horwath, chef du NPD La chef néo-démocrate avait reconnu que le budget contenait plusieurs mesures favorables aux moins nantis et aux familles, comme la création d'un nouveau régime de retraite. Mais elle « n'a pas confiance » que les libéraux puissent réaliser leurs promesses, après ne pas avoir rempli celles du budget de l'an dernier, comme la réduction des primes d'assurance automobile. Budget Ontario 2014 La chef libérale Kathleen Wynne, avait donné une semaine à Mme Horwath pour faire connaître sa position sur le budget. Les conservateurs avaient déjà fait savoir qu'ils voulaient des élections. Vendredi, le chef du Parti progressiste-conservateur, Tim Hudak, a qualifié les néo-démocrates d'hypocrites leur reprochant d'avoir pris beaucoup de temps avant de décider de ne pas appuyer les libéraux. « Si vous cherchez celui qui sera le meilleur comédien sur la scène, si vous cherchez quelqu'un qui veut gagner un concours de popularité en promettant des subventions pour toutes sortes de projets, mais qui n'a pas les moyens de payer, et bien votez pour la chef libérale ou la chef néo-démocrate », a dit Tim Hudak à Ottawa. « Mais si vous voulez un plan de redressement pour remettre l'Ontario au travail, regardez-moi, regardez mon équipe, regardez mon plan » a affirmé le chef conservateur. Pour sa part, le syndicat Unifor est « très déçu » de la décision du NPD, affirmant que le budget libéral était « bon pour les travailleurs de l'Ontario ». http://ici.radio-canada.ca/regions/ontario/2014/05/02/001-budget2014-elections-reax-horwath.shtml
  24. Québec veut faire du parc des Îles-de-Boucherville un tremplin pour le plein air Mise à jour le vendredi 24 janvier 2014 à 20 h 18 HNE Un texte de Marie-Laure Josselin Le gouvernement du Québec a annoncé vendredi un investissement de 8,2 millions de dollars sur trois ans dans le parc national des Îles-de-Boucherville, géré par la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq). Québec souhaite rendre plus accessible le parc aux citadins afin qu'ils sortent plus de Montréal et fassent l'initiation du plein air, a expliqué Marie Malavoy la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, et ministre responsable de la région de la Montérégie. Québec entend instaurer un transport maritime partant du coeur de Montréal, où un stationnement incitatif serait mis en place. Les navettes actuelles qui mènent au parc seront quant à elles maintenues. En 2011, le gouvernement avait déjà annoncé la construction d'un centre de découverte et l'arrivée du camping dans le parc. Cette fois-ci, ce sont une dizaine de nouvelles haltes découvertes qui vont être aménagées et qui s'ajouteront aux cinq déjà présentes. De plus, le bac à câble reliant l'île Sainte-Marguerite à l'île Pinard sera remplacé par un pont pour piétons et cyclistes. Autre nouveauté : le développement d'une offre originale d'hébergement. Il est en effet prévu d'installer des tentes de type prêt-à-camper, comme les Huttopia, et des EXP, des hébergements d'une pièce, avec beaucoup de fenêtres et entièrement équipés. Le concept de ces logements de la Sépaq est de les personnaliser selon les parcs dans lesquels ils sont implantés. Pour Martin Soucy, vice-président Exploitation à la Sépaq et responsable de Parcs Québec, cette expérience à proximité de Montréal servira de vitrine et permettra d'attirer les clients vers les autres parcs au Québec. La fréquentation du parc national des Îles-de-Boucherville a bondi de 133 % en une douzaine d'années. Chaque année, il attire quelque 320 000 visiteurs. Les retombées économiques sont de 28 millions de dollars. Au total, Québec entend investir 54 millions de dollars dans les parcs de la Sépaq d'ici 2016, ce qui devrait se traduire par l'embauche de 384 personnes et 10 millions de dollars en revenus fiscaux et parafiscaux. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/01/24/002-quebec-investissement-8-millions-parc-iles-de-boucherville.shtml
  25. La revue Le moniteur du commerce international (lemoci.com) offre ce mois-ci un dossier spécial sur les affaires au Québec. On y retrouve entre autres une entrevue avec Pauline Marois, première ministre du Québec, sur les forces économique de la province et sur les nouvelles opportunités d’investissement en marge de l’Accord de libre-échange avec l’Europe. http://www.montrealinternational.com/wp-content/uploads/2014/01/MOCI-DossierQuebec.pdf
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