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  1. Salut à tous, je me demandais s'il y'avais un équivalent d'Info Travaux de la ville de Montréal pour les travaux actuels et futurs du Ministère des Transports?
  2. le jeudi 22 novembre 2007 L'Université du Québec à Montréal (UQAM), dans le cadre de son plan de redressement financier, serait sur le point de vendre la Bibliothèque Saint-Sulpice, selon Le Devoir. Un groupe d'acheteurs aurait déposé une offre d'achat d'environ 4 millions de dollars, le 13 novembre dernier, pour mettre la main sur le bâtiment historique du Quartier latin. L'UQAM avait acquis le bâtiment il y a deux ans. Le groupe d'investisseur souhaite y implanter une librairie dont la bannière demeure toutefois inconnue. La transaction est toutefois conditionnelle à l'accord du bureau des gouverneurs de l'Université du Québec et à l'approbation du ministère de la Culture du Québec. Ce dernier pourrait se prévaloir de son droit de premier acheteur en raison de la valeur patrimoniale de l'édifice. Le bureau des gouverneurs de l'UQ se réunit le 12 décembre prochain pendant que le ministère de la Culture a jusqu'à la fin de l'année pour se prononcer. Le groupe d'acheteurs représenterait des intérêts québécois autres qu'Archambault et Renaud-Bray. Construit en 1914, l'édifice a été classé monument historique en 1988. Le plan de redressement de l'UQAM prévoit l'économie de 155 millions de dollars, notamment par la vente de plusieurs immeubles de son parc immobilier. L'UQAM s'est déjà départi de l'édifice La Patrie, l'ancien pavillon des Sciences et le 221-223 Sainte-Catherine est. Elle pourrait encore liquider le Domaine seigneurial de Mascouche et l'auberge La Huardière de Saint-Michel-des-Saints. L'aventure immobilière de l'UQAM a provoqué un gouffre financier de 300 millions de dollars.
  3. http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/459813/quebec-songe-a-proteger-une-eglise-menacee-de-demolition Québec songe à protéger une église menacée de démolition 9 janvier 2016 |Jeanne Corriveau | Villes et régions L’église Saint-Gérard-Majella sera-t-elle épargnée ? Le ministère de la Culture examine la possibilité de classer cette église de Saint-Jean-sur-Richelieu jugée exceptionnelle, mais condamnée à la démolition. Si un tel statut était accordé au bâtiment, sa destruction deviendrait impossible. Construite en 1962 selon les plans de l’architecte Guy Desbarats, l’église Saint-Gérard-Majella a été vendue en octobre dernier à des promoteurs immobiliers pour 800 000 $. Les nouveaux propriétaires prévoient de raser le bâtiment pour construire un projet domiciliaire de 104 appartements sur le site. Même si l’église dotée d’une voûte asymétrique spectaculaire a reçu du Conseil du patrimoine religieux du Québec la plus haute évaluation, soit la cote « A », la paroisse Saint-Jean-L’Évangéliste a décidé de la vendre, faute de financement pour la rénover. Les travaux de restauration avaient été estimés à 3 millions de dollars. Le Devoir a appris qu’après avoir reçu une demande d’intervention le 16 novembre dernier, le ministère de la Culture a décidé d’examiner la possibilité de classer l’immeuble. « Le ministère a entamé une analyse pour voir ce qu’il est pertinent de faire comme intervention en vertu de la Loi sur le patrimoine. Le classement fait partie de cette réflexion », a confirmé Philip Proulx, attaché de presse de la ministre de la Culture, Hélène David. « Le ministère a eu pour mot d’ordre de faire une analyse rapidement, étant donné qu’il y a des craintes concernant la possible démolition de l’église. » M. Proulx précise qu’advenant la signature d’un avis d’intention de classement par la ministre, la protection entrerait aussitôt en vigueur et la démolition de l’église serait interdite. Église vidée Le président de la fabrique de la paroisse Saint-Jean-L’Évangéliste, Louis-Charles Fontaine, ignorait qu’un classement était envisagé par le ministère lorsque Le Devoir l’a joint vendredi. « Ça serait très bien ! Je pense qu’il faut s’intéresser au patrimoine avant qu’il soit trop tard. Il est déjà tard, mais mieux vaut tard que jamais », a dit M. Fontaine. En l’absence de mobilisation pour préserver l’église et de fonds pour la rénover, la paroisse, qui compte six autres lieux de culte, avait décidé de vendre Saint-Gérard-Majella. En décembre, la fabrique a même vidé l’église et vendu le mobilier et les objets qui s’y trouvaient. « Mais avoir su qu’on aboutirait à ça, je n’aurais pas vendu les bancs et les objets », regrette M. Fontaine. La Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu n’entend pas se mêler du dossier ni contribuer à la restauration de l’église, mais elle devra éventuellement autoriser le changement de zonage, la démolition de l’immeuble et la conformité du projet immobilier, a indiqué Sylvain Latour, attaché de presse du maire Michel Fecteau. Maison des patriotes Quant à la maison Chénier-Sauvé, une demeure patrimoniale de Saint-Eustache elle aussi menacée de démolition, le ministère dit suivre le dossier de près. La Ville de Saint-Eustache affirme que la maison aurait besoin de coûteuses rénovations de 2,8 millions, et elle songe à la démolir malgré une subvention de près d’un million accordée par Québec. « On a mis de l’argent sur la table pour assurer une restauration. On attend de voir quel est le plan de match [de la Ville] », a indiqué Philip Proulx. La Ville entend décider du sort de la propriété ayant appartenu au patriote Jean-Olivier Chénier dans les prochains mois.
  4. LE MINISTRE SAM HAMAD ANNONCE UNE DÉMARCHE CONCERTÉE POUR L'AMÉNAGEMENT DU PARCOURS D'ENTRÉE DE VILLE DE MONTRÉAL Un concours international d'idées en design urbain est lancé MONTRÉAL, le 20 mai 2011 /CNW Telbec/ - Le ministre des Transports, M. Sam Hamad, a annoncé aujourd'hui, dans le cadre du Forum stratégique sur le développement des infrastructures de transport organisé par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, une démarche concertée pour l'aménagement du parcours d'entrée de ville de Montréal. Cela se traduira par la tenue d'un concours international d'idées en design urbain pour le parcours reliant l'Aéroport international Montréal-Trudeau au centre-ville de Montréal dans le corridor de l'autoroute 20. Initiée par le ministère des Transports, cette démarche concertée réunit en une table de travail les représentants des principaux organismes dans ce secteur, soit la Ville de Montréal et ses arrondissements Côte-des-Neiges - Notre-Dame-de-Grâce, Lachine, Sud-Ouest et Ville-Marie, les villes de Dorval, Montréal-Ouest et Westmount, la Communauté métropolitaine de Montréal, la Conférence régionale des élus de Montréal, Parcs Canada, Aéroports de Montréal, l'Agence métropolitaine de transport ainsi que le Canadien National et le Canadien Pacifique. « La présente décennie a vu et verra de nombreux projets se concrétiser dans ce corridor, notamment ceux du ministère des Transports. Il s'agit là d'une occasion unique de coordonner l'aménagement urbain de ce corridor et d'obtenir des propositions à la hauteur de nos aspirations », a déclaré le ministre Hamad. Pourquoi choisir le corridor de l'autoroute 20 ? Principale porte d'entrée internationale du Québec, le corridor de l'autoroute 20, entre l'aéroport et le centre-ville, constitue pour de très nombreux visiteurs le premier contact avec Montréal et le Québec. C'est également le décor quotidien de milliers de Montréalais qui y circulent en voiture, en train ou en autobus. Ce secteur de la ville est en effervescence et de nombreux projets autant publics que privés sont appelés à s'y réaliser au cours des prochaines années. Il s'agit donc d'une occasion unique de créer un véritable parcours d'entrée de ville de calibre international pour la métropole. Un concours international d'idées Le concours international d'idées pour le développement d'une vision stratégique d'aménagement du corridor de l'autoroute 20 s'adresse à tous les professionnels en aménagement, qu'ils soient architectes, designers urbains ou urbanistes. Ces professionnels sont invités à former des équipes multidisciplinaires comptant également des artistes, scénographes et spécialistes en transport. Les différentes idées qui seront proposées permettront de mieux définir les possibilités de développement et de dégager les options qui font consensus pour l'ensemble des intervenants. Plus spécifiquement, ce concours international d'idées cherche à réinventer et à harmoniser les liens des multiples composantes de ce parcours et les milieux de vie adjacents. « La tenue d'un concours international d'idées permettra d'obtenir des propositions de visions macroscopiques d'aménagement qui reflètent l'identité et la maturité de Montréal et qui soutiennent sa vitalité. La tenue du concours permet aussi de souligner le 5e anniversaire de la désignation de Montréal Ville UNESCO de design en soutenant les efforts d'accroissement de la qualité du design des lieux montréalais afin d'en promouvoir la viabilité et l'attractivité», a souligné M. Hamad. Le concours sera officiellement lancé le 9 juin 2011 lors d'un appel de participation qui présentera l'ensemble des modalités et les documents qui guideront l'élaboration des propositions. Les équipes auront jusqu'au 7 octobre pour déposer leurs projets. Le ministère des Transports a confié à la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal (CPEUM) le soin de piloter le concours international d'idées et l'effort de concertation qui en découle. Fondée en 1996, la CPEUM a pour mission le développement de connaissances et de moyens d'intervention dans les domaines du paysage et de l'environnement. La CPEUM mise, pour ce faire, sur des collaborations étroites avec ses principaux partenaires, dont le ministère des Transports, qui participent aux projets de la CPEUM depuis ses débuts. « Plus que jamais, nos emprises autoroutières doivent s'intégrer de façon harmonieuse dans les milieux urbains dans lesquels elles se trouvent. Une intégration concertée et cohérente permettra à ce parcours de devenir une signature urbaine pour notre métropole», a conclu M. Hamad. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Mai2011/20/c6522.html
  5. Lancement d'une étude pour élargir l'autoroute 10 Le ministère des Transports du Québec a lancé une étude pour évaluer les scénarios mis à sa disposition pour élargir l'Autoroute 10 entre Brossard, au sud de Montréal et la rivière Richelieu, selon ce que rapporte Radio-Canada. L'autoroute pourrait passer, à partir du boulevard Milan à Brossard, de quatre à six voies sur un tronçon d'une vingtaine de kilomètres. Des voies pourraient aussi être réservées aux autobus. Selon le porte-parole du ministère des Transports du Québec, Réal Grégoire, cette étude d'opportunité représente une première étape en vue de l'élargissement de l'autoroute. M. Grégoire a indiqué que le ministère s'était aperçu, au cours des dernières années, qu'il y avait un accroissement de la circulation à cet endroit. L'étude d'opportunité présentera toute la problématique de la circulation dans ce secteur, a-t-il souligné. Elle permettra aussi d'étudier toutes les solutions qui pourraient être envisagées pour ce tronçon de l'autoroute. Selon le ministère, il est nécessaire d'agir, sans quoi les autres grands travaux, comme l'aménagement de l'échangeur 10-35 et l'élargissement de l'Autoroute 30 seront inutiles. Toujours selon Radio-Canda, l'évalution coûtera entre 250 000 $ et 1 million $ au gouvernement.
  6. Un premier autobus entièrement électrique sillonnera les rues de Laval dès le printemps prochain, a annoncé la Société de transport de Laval (STL) lundi. La STL a reçu le premier véhicule à la fin de l'année dernière, mais elle doit procéder à une série de tests avant de le mettre en service. Il s'agira d'une première québécoise et canadienne, selon la STL. Le véhicule mesure 40 pieds, soit la taille d'un autobus régulier, a été construit par la firme américaine Design Line. L'autobus est alimenté par une batterie à recharge lente dont l'autonomie est estimée à plus de 200 kilomètres. Le président du conseil d'administration de la STL, Jean-Jacques Beldié, estime que l'expérience de son organisme sera bénéfique à toutes les sociétés de transport qui souhaitent électrifier leur réseau de transport en commun. Le projet-pilote de la STL a été développé en partenariat avec le ministère des Transports du Québec, Hydro-Québec et la Société de gestion et d'acquisition de véhicules de transport. Le ministre des Transports, Sylvain Gaudreault, a indiqué que le gouvernement vise une électrification graduelle du transport collectif au Québec au cours des prochaines années. Son collègue député de Laval-des-Rapides, Léo Bureau-Blouin, a déclaré qu'il s'agissait d'un pas de plus vers l'indépendance énergétique de la province. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2013/01/14/004-laval-autobus-electrique.shtml?isAutoPlay=1
  7. Montréal a trouvé preneur pour la partie sud de l'îlot de la Cité du commerce électronique, au centre-ville. L'acquéreur, l'homme d'origine syrienne Bachar Ghreiwati, paie comptant 12,25 millions à la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) au terme d'un appel d'offres public pour vendre les immeubles du 977, rue Lucien-L'Allier et du 1000, rue de la Montagne, au centre-ville. L'autre soumissionnaire était Broccolini, qui se proposait de racheter le tout pour 2,5 millions. La SHDM, antérieurement la Société de développement de Montréal, était la mandataire du gouvernement et de la Ville dans ce projet en 10 phases de la Cité du commerce électronique. Le bras immobilier de la Ville a acquis les terrains et devait les céder par emphytéose au promoteur. Finalement, seulement deux phases ont été réalisées. La Société détenait toujours deux immeubles qui n'ont pas été démolis puisque la phase 3 ne s'est jamais matérialisée. Avec le fruit de la vente, la SHDM remboursera un prêt rotatif contracté auprès de la Caisse centrale Desjardins dont le solde s'élève à 6,4 millions. L'acheteur était représenté par le courtier Groupe immobilier Premium. Au téléphone, son président Fouad El-Dick a affirmé que son client est actif sur la scène immobilière à Montréal depuis six ans déjà. Il soutient qu'il y possède plusieurs propriétés, sans indiquer lesquelles. M. Ghreiwati détient des immeubles à Los Angeles également. «Le ministère des Finances a procédé aux investigations nécessaires à l'égard de l'acheteur et accepte la transaction», lit-on dans les documents de la Ville. Selon une évaluation de la firme Poisson Prud'homme, réalisée en 2010, la valeur marchande de la propriété atteint près de 9,5 millions, tandis que l'évaluation municipale se chiffre à 6 millions. Les frais de décontamination sont évalués à 1 million. Dans l'acte de vente, l'acquéreur s'engage à déposer un plan de réhabilitation environnementale et un plan de démantèlement du bâtiment sur Lucien-L'Allier au ministère du Développement durable, dans des délais à convenir entre eux. La vente n'est assujettie à aucune condition de développement. Le zonage en vigueur permet les usages commercial, résidentiel ou immeubles de bureaux... http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201301/03/01-4607977-montreal-realise-deux-ventes-importantes-dans-la-cite-du-commerce-electronique.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS4
  8. Finalement, la catastrophe annoncée par les doomsayers ne s'est pas concrétisée. La crise étudiante n'a pas empêché les touristes de venir......Tant mieux! http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/quebec/montreal/201210/13/01-4582997-ete-record-pour-le-tourisme-a-montreal.php?fb_action_ids=10152177053535564&fb_action_types=og.recommends&fb_source=other_multiline&action_object_map=%7B%2210152177053535564%22%3A454736937899116%7D&action_type_map=%7B%2210152177053535564%22%3A%22og.recommends%22%7D&action_ref_map=%5B%5D&utm_source=All&utm_campaign=Revue+de+presse+du+Quartier+des+spectacles-+lundi+15+octobre+2012&utm_medium=email
  9. Une œuvre d'art de 40 000 $ sur un terrain de soccer MIRABEL – La Ville de Mirabel a dû intégrer une œuvre d’art d’une valeur de plus de 37 500 $ à son nouveau terrain de soccer synthétique en vertu de la politique d’intégration des arts. Un « pur gaspillage d’argent », selon le maire Hubert Meilleur. La dernière œuvre à avoir vu le jour sur le territoire des Laurentides en 2011, selon un document officiel du ministère de la Culture du Québec, se retrouve dans la catégorie « estampe ». Les images, qui trônent sur des panneaux installés à même la clôture qui borde le terrain, représentent des pictogrammes de différentes couleurs. La politique en vigueur, qui s’applique entre autres à une ville lorsqu’un ministère lui verse une subvention pour réaliser un projet visé de plus de 150 000 $, consiste « à allouer environ 1 % du budget de construction d'un bâtiment ou d'aménagement d'un site public, à la réalisation d'œuvres d'art précisément conçues pour ceux-ci. » « C’est un décret qu’on est obligés de respecter, mais qui ne fait pas notre affaire du tout », a expliqué le maire de Mirabel. Dans le cas du terrain synthétique, la valeur admissible était de 40 000 $ pour un projet de 2,8 millions $ subventionné à plus de 50 % par le Fonds Chantiers Canada-Québec. Un budget de 6 000 $ était aussi attribué aux frais de services administratifs Hubert Meilleur s’est dit estomaqué « de voir l’argent gaspillé pour ça ». Selon lui, il faut être vraiment riche. « Quand je regarde l’œuvre, je reste très perplexe face à l’argent qu’on est obligé d’investir, a-t-il dit. Mais quand tu en parles, les artistes se lèvent tous debout. C’est une politique passée par le gouvernement pour avoir les artistes de son bord. » Un tel montant, remis à un seul artiste, « c’est exagéré », d’après lui. Il croit que l’argent investi devrait être versé à l’ensemble des artistes du Québec plutôt qu’à une seule personne « favorisée ». Selon le site internet du ministère, « le coût des quelque 3000 œuvres qui ont été réalisées depuis 1961 est évalué à près de 100 millions $ ». Sur le territoire de Mirabel, 18 œuvres d’art ont été intégrées, notamment sur le site de différentes écoles, en vertu de la politique en vigueur pour divers projets subventionnés par Québec. http://www.journaldemontreal.com/2012/06/26/une-oeuvre-dart-de-40-000--sur-un-terrain-de-soccer
  10. Publié le 02 mai 2012 à 11h11 | Mis à jour le 02 mai 2012 à 11h11 Les micro-algues, une alternative qui prend forme Jean-Louis Santini Agence France-Presse Washington Les micro-algues, source de biocarburant pouvant se substituer au pétrole, devraient bientôt voir leur potentiel se libérer grâce à des investissements et des technologies innovantes d'extraction, jugent des experts aux États-Unis. Selon un rapport du ministère de l'Énergie, les micro-algues pourraient à terme remplacer jusqu'à 17% des importations pétrolières américaines. Ce ministère soutient plus de 30 projets visant à produire du biocarburant avec des micro-algues qui représentent au total 85 millions de dollars d'investissements, dont le plus récent a été annoncé en février par le président Barack Obama. «Nous avons réalisé une étude montrant que le carburant -essence ou gazole- tiré des micro-algues pourrait être produit pour seulement 2,28 dollars le gallon» (3,78 litres), affirme à l'AFP Riggs Eckelberry, PDG de la firme américaine Originoil, soit près de deux fois moins que le prix actuel à la pompe. Originoil est une des sociétés aux États-Unis avec Sapphire Energy, dans laquelle Bill Gates a investi, qui ont mis au point des technologies d'extraction rentables du carburant produit par ces micro-organismes marins. Les compagnies pétrolières Exxon et Shell parient également sur le potentiel prometteur des micro-algues via leur partenariat avec Synthetic Genomics et Cellana respectivement. «Aux États-Unis, les biocarburants tirés des algues seront d'abord produits pour les militaires et le transport aérien. Il faudra de ce fait probablement attendre le début de la prochaine décennie pour une distribution à grande échelle pour les automobilistes», explique le patron d'Originoil. «La Marine américaine seule prévoit de remplacer, dans les huit prochaines années, 50% de sa consommation de carburant avec des biocarburants qui ne sont pas en concurrence avec des cultures pour l'alimentation humaine. Il table sur les micro-algues», rappelle-t-il. Mais avant de pouvoir «mélanger ce biocarburant issu des micro-algues avec des hydrocarbures, il faut les standardiser», précise Riggs Eckelberry. À cette fin, sa firme a conclu un accord de recherche en décembre 2011 avec le ministère de l'Énergie. Comparativement aux autres sources de biocarburant, ces micro-organismes sont beaucoup plus productifs, avec un rendement virtuel à l'hectare allant jusqu'à 25 000 litres contre 6000 litres pour l'huile de palme, la plus productive actuellement en exploitation, selon des experts. Contrairement au maïs, la production de biocarburant par micro-algues «n'a aucun impact sur la production alimentaire ou la disponibilité d'eau fraîche», souligne Riggs Eckelberry. «Hautement productifs, ces micro-organismes unicellulaires se développent si vite qu'ils sont récoltés quotidiennement et se plaisent à se reproduire dans les eaux usées chargées en nitrate, ou salées de l'océan.» Les micro-algues recourent aussi à la photosynthèse et consomment beaucoup de dioxyde de carbone (CO2), principal gaz à effet de serre. Elles produisent de surcroît une grande variété de molécules riches en substances biochimiques qui ont de nombreuses applications dans la production alimentaire et la pharmacie. Originoil met déjà en application sa technologie d'extraction non-chimique du carburant des micro-algues dans un projet en Australie et en France avec la société Ennesys. Il s'agit de la construction de deux immeubles de bureaux dans le quartier de la Défense, près de Paris, capables de produire plus d'énergie qu'ils n'en consomment en utilisant leurs eaux usées chargées en CO2 et en nitrate pour cultiver des micro-algues qui produiront du biocarburant pouvant générer de l'électricité à un coût très faible.
  11. Pour promouvoir son offre de vols à destination du Québec pour cet hiver, la compagnie aérienne Air Transat s’invite dans 239 salles de cinéma à Paris du 2 novembre au 13 décembre 2011, en diffusant un spot publicitaire de 20 secondes vantant cette région, réalisé en collaboration avec la Commission canadienne du tourisme et le Ministère du tourisme du Québec. http://www.air-journal.fr/2011-11-04-air-transat-fait-sa-promo-dans-les-cinemas-538790.html
  12. Bizarre qu'il n'y a pas de fil avec tout ce qui se passe présentement au Québec! Les infras coûtent 30-40% plus cher, et on se demande pourquoi on n'as pas assez de routes ou bien qu'ils soient en mauvais état! Pour lancer le débat: Mes solutions, coupons le robinet, baissons les taxes et impôts, il y en aura moins à gaspiller transformons le ministère des transports en agence de transport indépendante... le bidding de contrats d'infras doivent être ouverts à nos voisins d'Ontario/New York/Vermont/etc... ça va faire baisser les prix en titi!
  13. Nouvelle gare à St-Constant Nouvelle gare à Saint-Constant Par Véronique Prince | TVA Nouvelles L'Agence métropolitaine de transport débloque 7,8 millions de dollars pour construire une gare permanente de train de banlieue à Saint-Constant, sur la rive-sud de Montréal. Depuis 2009, un projet pilote permettait aux usagers de monter à bord des wagons sur la rue Saint-Pierre, mais la gare se limitait à deux abris, un quai d'embarquement en bois et un stationnement incitatif d'une cinquantaine de places. L'entente tripartite, signée la semaine dernière entre la ville de Saint-Constant, l'AMT et le ministère des Transports, prévoit la reconstruction d'un centre d'achats pour en faire un complexe multiservice auquel sera annexée la nouvelle gare intérieure. Les travaux vont débuter au printemps. «La valeur foncière que ce projet-là va générer est d'environ 400 millions de dollars », affirme le maire de Saint-Constant, Gilles Pépin. De plus, grâce au développement urbain qu'une seule gare permanente peut générer, le maire pense que les revenus des taxes s'élèveront à 3,5 millions de dollars d'ici quatre ans. « Au total, c'est un projet de pratiquement un milliard de dollars », ajoute-t-il. 75% du financement provient du ministère des Transports qui participera au réaménagement de la rue Saint-Pierre, afin d'y intégrer une voie réservée pour le transport en commun, ainsi qu'une piste cyclable. La gare comprendra également trois cents nouvelles places de stationnement. «La ligne de Candiac, en fonction depuis 2009, connaît une hausse d'achalandage de près de 30%. C'est considérable», dit Martine Rouette, la porte-parole. L'AMT considère qu'une gare permanente à Saint-Constant est un bon investissement puisqu'elle a vu sa capacité augmenter de quarante pour cent sur la ligne Delson-Candiac depuis l'arrivée des nouvelles voitures multiniveaux. http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/reg...01-162536.html
  14. Cinquante millions de travaux à Bordeaux Photo Archives La Presse Sara Champagne La Presse Malgré de multiples dérogations aux règles d'urbanisme, les élus de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville donneront leur bénédiction à l'agrandissement de la prison de Bordeaux à leur première séance du conseil de l'année, prévue lundi. Les citoyens qui s'y opposent, et qui vivent dans la zone visée, auront cette dernière journée pour signer un registre en vue d'obtenir un référendum et de renverser la décision. Les travaux de 50 millions, qui comprennent la rénovation d'une aile de détention, nécessiteront la démolition partielle d'un mur de pierre centenaire, pour faire place à un édifice en forme de «L», qui abritera d'un côté des services administratifs, et de l'autre côté une nouvelle buanderie, des ateliers et des salles de formation. Le nouveau pavillon comprendrait trois étages (14 mètres), au lieu des deux étages permis dans le secteur, ce qui aurait pour effet de masquer une partie du mur. Une nouvelle section de tunnel serait creusée. Le projet prévoit un nouveau de quai de chargement aménagé à l'avant, sur le boulevard Gouin, et une nouvelle entrée avec trois portes de garage, dont deux pour le transport des prisonniers et une pour de l'équipement. Lorsque le ministère de la Sécurité publique a annoncé son intention de faire construire un nouveau pavillon, il y a plus d'un an, il avait expliqué qu'il était nécessaire de désengorger l'entrée principale de la prison, et de sécuriser les lieux utilisés par le personnel. Depuis quelques années, la prison déborde, mais il n'est pas prévu de construire de nouvelles cellules, indique-t-on au ministère. «Il n'y a pas un manque de places en tant que tel à Bordeaux, mais c'est en quelque sorte un lieu de transfert, et il y a une forme de débordement, explique Réal Roussy, conseiller en communication au ministère. Le ministère privilégie donc l'autonomie régionale, et a déjà annoncé des sommes pour ajouter des cellules dans d'autres centres carcéraux du Québec.» Style «Pennsylvania» À la suite d'un avis du Conseil du patrimoine de Montréal qui voyait d'un mauvais oeil la démolition du mur de forme pentagonale, en maçonnerie, le ministère a demandé à des architectes d'étudier la valeur de la prison qui date du début du siècle dernier. Il appert que le centre de détention est l'un des seuls au Canada à être conçu selon le plan «Pennsylvania», où l'on favorisait l'isolement cellulaire, avec des ailes positionnées en forme d'étoile autour d'une rotonde. «La prison possède de nombreuses caractéristiques architecturales d'origine de grande qualité et de grande valeur, peut-on lire dans le projet qui sera approuvé par les élus, mais la rigidité du classicisme dans la composition constitue une contrainte de taille aux nouveaux besoins et rend l'insertion d'un nouveau bâtiment plus difficile.» En conséquence, notamment pour des raisons de sécurité et de coûts, la Société immobilière du Québec, qui est propriétaire du centre, n'a pas été en mesure de proposer un projet qui évite la démolition partielle du mur, et la diminution des hauteurs. http://www.cyberpresse.ca/article/20080112/CPACTUALITES/801120782/1019/CPACTUALITES
  15. Les cégeps pleins à craquer Mise à jour : 13/06/2010 10h23 http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2010/06/20100613-102345.html Moi je vien d'etre refuser au CEGEP Vanier... Trop de demande. C'a fait chier!
  16. Par Radio-Canada, http://www.radio-canada.ca, Mis à jour le: 6 janvier 2010 01:53 Aide sociale - Plus de bénéficiaires à Montréal C'est Montréal qui compte le plus d'assistés sociaux au Québec, soit plus du tiers de tous les prestataires. Sur l'île de Montréal, plus d'une personne sur dix vit de l'aide sociale. Montréal figure en tête du triste palmarès du nombre d'assistés sociaux dans la province. Plus de 1 Montréalais sur 10 vit de l'aide sociale, selon les plus récentes statistiques compilées par le ministère Emploi et Solidarité sociale du Québec. L'île de Montréal compte plus de 111 000 ménages bénéficiant de l'aide sociale. Suit la région de la Montérégie, avec quelque 45 000 ménages. À titre de comparaison, on dénombre près de 23 000 ménages vivant de l'aide sociale dans la Capitale-Nationale. Taux d'assistance sociale: * Montréal: 11,1 %. * Mauricie: 10,3 % * Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine: 10,1 % Au total, selon les données compilées par le ministère de l'Emploi et Solidarité sociale du Québec, le Québec comptait 484 631 prestataires de l'aide sociale en 2009. Parmi les prestataires (tous âgés de moins de 64 ans), plus de la moitié sont des personnes vivant seules. Plus de 6 % sont des couples sans enfant, 23 % sont des familles monoparentales et près de 18 % sont des couples avec enfants. En date d'octobre 2009, l'aide moyenne versée aux ménages était de 714,60 $ par mois. L'aide totale versée au Québec s'élevait à près de 238 millions de dollars, une augmentation de 4 % par rapport à octobre 2008. Les jeunes durement touchés Au Québec, plus de 10 % de l'ensemble des adultes prestataires du programme d'aide sociale sont des jeunes de moins de 25 ans. Entre octobre 2008 et octobre 2009, le nombre de jeunes adultes prestataires s'est accru de 4,5 %. Le tiers de ces jeunes ont des contraintes à l'emploi en étant parents de jeunes enfants, par exemple. La situation des immigrants De plus en plus d'adultes nés hors du Canada recourent à l'aide sociale. Il y en avait 65 890 en octobre 2009, soit 6 % de plus qu'à pareille date en 2008. Et la plupart des immigrants nécessitant de l'aide sociale vivent à Montréal. En effet, dans la métropole, 59 822 adultes nés hors du Canada reçoivent de l'aide sociale, plus précisément en bénéficiant des programmes d'aide financière de dernier recours. Radio-Canada.ca avec Presse canadienne
  17. Annonce d'une entente de collaboration en matière d'aménagement et de design urbain : La Ville de Montréal et l'Université de Montréal, partenaires pour valoriser le territoire montréalais Montréal, le 14 octobre 2009 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le recteur de l'Université de Montréal, M. Luc Vinet, sont très heureux d'annoncer un partenariat de recherche entre la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal et le Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal. « Les universités montréalaises foisonnent de passionnés d'architecture, d'aménagement et d'urbanisme qui rêvent de mettre leur créativité et leur talent à profit pour faire de Montréal une ville moderne et exemplaire en la matière. À travers cette entente, la Ville Montréal et l'Université de Montréal concrétisent une collaboration déjà établie en vue d'améliorer la qualité du cadre de vie des Montréalaises et des Montréalais notamment avec le chantier Réalisons Montréal, Ville UNESCO de design », a déclaré le maire de Montréal. Ce partenariat sur trois ans entre les deux institutions implique une contribution financière de 75 000 $ de la Ville de Montréal, à raison de 25 000 $ par année. Celui-ci s'inscrit dans la volonté de la Ville de consolider ses collaborations avec les universités montréalaises afin de mieux tirer avantage de leur expertise dans le domaine de l'aménagement et du design urbain. « Cette collaboration avec la Ville de Montréal est particulièrement importante dans un contexte où l'Université de Montréal est partie prenante des enjeux d'aménagement et d'environnement de la société. Ainsi, je suis fier que l'expertise unique développée par la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal participe directement à la mise en valeur du territoire montréalais », de souligner le recteur Vinet. L'entente apportera au Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal un appui pour réaliser ses projets de mise en valeur et de développement de son territoire avec divers acteurs gouvernementaux. Parmi les travaux de recherche envisagés, notons la requalification des entrées routières et autoroutières de Montréal, la mise en valeur du paysage fluvial et des attraits du paysage urbain montréalais, la gestion des paysages urbains à valeur historique et d'intérêt patrimonial et le cadrage paysager des réseaux de pistes cyclables. « Créée en 1996 à la Faculté de l'aménagement de l'Université de Montréal, la Chaire en paysage et environnement est un organisme de recherches appliquées voué à la gestion des paysages québécois et notamment à la préservation, la mise en valeur et le développement des paysages urbains. Et, c'est dans l'ordre des choses que la Ville de Montréal bénéficie de cette expertise reconnue de tous, notamment par le fait même que cet organisme est affilié à la Chaire UNESCO en paysage et environnement », de mentionner le directeur de la Chaire, M. Philippe Poullaouec-Gonidec. Avec cette entente, la Ville de Montréal rejoint les autres partenaires gouvernementaux de la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal, soit le ministère des Transports du Québec, le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine ainsi que les partenaires de projets, soit entre autres, le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire, la Société Hydro-Québec et la Conférence régionale des Élus de Montréal.
  18. Annonce d'une entente de collaboration en matière d'aménagement et de design urbain : La Ville de Montréal et l'Université de Montréal, partenaires pour valoriser le territoire montréalais Montréal, le 14 octobre 2009 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le recteur de l'Université de Montréal, M. Luc Vinet, sont très heureux d'annoncer un partenariat de recherche entre la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal et le Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal. « Les universités montréalaises foisonnent de passionnés d'architecture, d'aménagement et d'urbanisme qui rêvent de mettre leur créativité et leur talent à profit pour faire de Montréal une ville moderne et exemplaire en la matière. À travers cette entente, la Ville Montréal et l'Université de Montréal concrétisent une collaboration déjà établie en vue d'améliorer la qualité du cadre de vie des Montréalaises et des Montréalais notamment avec le chantier Réalisons Montréal, Ville UNESCO de design », a déclaré le maire de Montréal. Ce partenariat sur trois ans entre les deux institutions implique une contribution financière de 75 000 $ de la Ville de Montréal, à raison de 25 000 $ par année. Celui-ci s'inscrit dans la volonté de la Ville de consolider ses collaborations avec les universités montréalaises afin de mieux tirer avantage de leur expertise dans le domaine de l'aménagement et du design urbain. « Cette collaboration avec la Ville de Montréal est particulièrement importante dans un contexte où l'Université de Montréal est partie prenante des enjeux d'aménagement et d'environnement de la société. Ainsi, je suis fier que l'expertise unique développée par la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal participe directement à la mise en valeur du territoire montréalais », de souligner le recteur Vinet. L'entente apportera au Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal un appui pour réaliser ses projets de mise en valeur et de développement de son territoire avec divers acteurs gouvernementaux. Parmi les travaux de recherche envisagés, notons la requalification des entrées routières et autoroutières de Montréal, la mise en valeur du paysage fluvial et des attraits du paysage urbain montréalais, la gestion des paysages urbains à valeur historique et d'intérêt patrimonial et le cadrage paysager des réseaux de pistes cyclables. « Créée en 1996 à la Faculté de l'aménagement de l'Université de Montréal, la Chaire en paysage et environnement est un organisme de recherches appliquées voué à la gestion des paysages québécois et notamment à la préservation, la mise en valeur et le développement des paysages urbains. Et, c'est dans l'ordre des choses que la Ville de Montréal bénéficie de cette expertise reconnue de tous, notamment par le fait même que cet organisme est affilié à la Chaire UNESCO en paysage et environnement », de mentionner le directeur de la Chaire, M. Philippe Poullaouec-Gonidec. Avec cette entente, la Ville de Montréal rejoint les autres partenaires gouvernementaux de la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal, soit le ministère des Transports du Québec, le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine ainsi que les partenaires de projets, soit entre autres, le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire, la Société Hydro-Québec et la Conférence régionale des Élus de Montréal.
  19. Le déficit atteint déjà trois milliards Tommy Chouinard La Presse Publié le 23 septembre 2009 à 14h25 | Mis à jour à 16h06 (Québec) Québec se dirige vers un déficit plus élevé que prévu. Trois mois seulement après le début de l'année financière, le déficit atteint déjà trois milliards de dollars. Or, le gouvernement Charest avait prévu un trou de 3,9 milliards pour toute l'année. Le rapport mensuel des opérations financières, rendu public par le ministère des Finances aujourd'hui, indique que le déficit budgétaire s'élève à trois milliards de dollars au 30 juin. Les revenus du gouvernement atteignent 15,6 milliards, un niveau similaire à celui de la même période l'an dernier. Mais les dépenses (18,6 milliards) ont bondi d'un milliard. Elles ont surtout augmenté aux ministères de la Santé (546 millions), de l'Éducation et de la Culture (168 millions). D'avril à juin, le déficit cumulatif s'élève à trois milliards. Notons qu'en début d'année financière, les revenus sont généralement moins importants. «Conformément à la tendance historique, les résultats cumulatifs pour les trois premiers mois de l'année indiquent un excédent des dépenses par rapport aux revenus. L'écart mensuel devrait diminuer progressivement au cours des prochains mois», peut-on lire dans le document du ministère des Finances. Il n'en demeure pas moins que le rapport envoie un signal inquiétant sur l'état des finances publiques. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/200909/23/01-904803-le-deficit-atteint-deja-trois-milliards.php
  20. Le déficit de la France double en un an * Presse Canadienne, * 4 septembre 2009 Le déficit budgétaire de la France a atteint 109 milliards d'euros (169 milliards de dollars) au 31 juillet dernier, soit plus du double de l'année précédente, a annoncé vendredi le ministère du Budget, qui souligne que ce bond "s'explique principalement par le poids de la conjoncture économique". Le déficit budgétaire français était de 51,4 milliards d'euros à la même date en 2008. Cette hausse de 57,6 milliards d'euros "s'explique principalement par le poids de la conjoncture économique sur l'évolution des recettes et, à hauteur de 25,8 milliards d'euros, par l'effet des différentes mesures de soutien à l'économie", précise le ministère dans un communiqué. Au 31 juillet 2009, les dépenses totales de l'Etat atteignent 215,2 milliards d'euros -contre 204,4 milliards l'année précédente- et les dépenses exécutées au titre du plan de relance s'élèvent à 8,5 milliards d'euros. A la même date, les recettes du budget général s'établissent à 133,8 milliards d'euros contre 175 milliards d'euros l'an dernier. A noter que le produit des recettes fiscales est en baisse de 26,5 milliards d'euros par rapport à 2008.
  21. Publié le 24 juillet 2009 à 10h21 | Mis à jour à 10h23 Échangeur Turcot à Montréal: Québec renonce au PPP La Presse Canadienne Montréal Le gouvernement du Québec confirme l'abandon du partenariat public-privé (PPP) pour la réfection de l'important complexe autoroutier Turcot, dans le sud-ouest de Montréal. Le ministère des Transports explique que les économies de plus de 100 millions $ initialement évaluées pour la réalisation des travaux en mode PPP ne sont plus réalistes. Le ministère ajoute que différents facteurs, tels que le contexte économique mondial, ont contribué à cette décision. Les autorités signalent aussi que la complexité de ce projet nécessite une formule souple permettant simultanément les interventions de reconstruction des infrastructures et celles visant l'entretien et le maintien des structures actuelles jusqu'à leur démolition. Le complexe Turcot est emprunté chaque jour par environ 290 000 automobilistes, mais les ouvrages qui le composent sont arrivés à la fin de leur vie utile.
  22. Publié le 27 avril 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Budget 2008 de la fête du Canada: 85% au Québec Malorie Beauchemin La Presse (Ottawa) Tant sous les conservateurs que sous les libéraux, le Québec continue d'être inondé d'argent pour célébrer la fête du Canada. L'an dernier, c'est 3,2 millions de dollars qui ont été accordés à la Belle Province par Patrimoine Canada pour financer le comité Le Canada en fête, responsable des festivités, selon des documents obtenus grâce à la loi d'accès à l'information. Or, le budget total du Ministère pour tous les comités des 10 provinces et trois territoires s'élève à 3,77 millions. L'Ontario, en comparaison, a reçu 100 000$ de Patrimoine Canada pour son comité Le Canada en fête, l'Alberta, 50 000$, le Yukon, 20000$ et l'ensemble des régions de l'Atlantique, un total de 196 000$. Le Québec retire donc à lui seul 85% de l'enveloppe, soulevant la grogne, de nouveau, des souverainistes. «C'est 85% qui va au Québec, mais c'est pour 100% de propagande», estime Carole Lavallée, porte-parole du Bloc québécois sur les enjeux touchant le ministère du Patrimoine canadien. «Normalement le Québec a de la difficulté à avoir sa juste part dans les différents programmes, ajoute-t-elle. Encore récemment, on le voit concernant l'harmonisation des taxes, le Québec n'a pas sa part, on réclame des milliards au fédéral. Le seul moment où on a plus que notre part, une part injuste, c'est quand ils veulent fêter le Canada.» À Patrimoine Canada, on explique que le Québec bénéficie de la contribution la plus élevée parce que le comité «organise des activités dans 29 villes importantes d'un bout à l'autre de la province, en plus d'accorder des subventions et des contributions pour des célébrations communautaires», indique le document obtenu par La Presse. D'autres événements Au bureau du ministre du Patrimoine, James Moore, on rappelle par ailleurs que le comité Le Canada en fête au Québec contribue aussi au financement des célébrations entourant d'autres événements, dont la Saint-Jean-Baptiste, le 24 juin, et la Journée nationale des Autochtones, le 21 juin. «C'est la seule province où ça fonctionne de cette façon», souligne Deirdra McCraken, porte-parole du ministre. Pour le Bloc québécois, l'enjeu revient continuellement, peu importe le gouvernement en place. «Les conservateurs et les libéraux, sur le plan de la propagande fédéraliste, sont pas mal à égalité. Il n'y a pas de différence, soutient Carole Lavallée. Ils essaient de nous faire avaler le drapeau du Canada de force dans la gorge comme on gave des oies. Ils doivent bien s'apercevoir que ça ne fonctionne pas.» Le gouvernement libéral, en 2005, a réduit le budget total des comités des célébrations du Canada de 4,9 à 3,7 millions, et la contribution attribuée au Québec est passée de 4,5 millions à 3,2 millions, «afin que des fonds puissent être répartis à d'autres provinces et territoires», stipule le document. Mais dans les faits, le budget des autres provinces et territoires n'a été augmenté que de quelques milliers de dollars, selon les chiffres de Patrimoine Canada. Le budget pour les fêtes de cet été est actuellement en cours d'approbation, note-t-on au Ministère. Avec la collaboration de William Leclerc
  23. Le fisc aux trousses des restaurateurs Le Devoir Robert Dutrisac Édition du samedi 25 et du dimanche 26 avril 2009 Mots clés : Évasion fiscale, Restaurateurs, Fisc, Gouvernement, Québec (province) Le tiers des 900 millions que le fisc veut récupérer d'ici 2013-14 proviendra du seul secteur de la restauration D'ici la fin de 2011, le ministère du Revenu implantera 33 000 modules électroniques dans les caisses enregistreuses de 18 000 restaurants à leurs frais. Photo: Agence Reuters Québec -- Ce sont les restaurateurs qui seront les premiers visés par le gouvernement Charest dans sa lutte contre l'évasion fiscale. Le tiers des 900 millions que le fisc veut récupérer d'ici 2013-14 proviendra du seul secteur de la restauration. Cliquez ici ! C'est ce qu'a révélé, hier, le ministre du Revenu, Robert Dutil, lors de l'étude des crédits de son ministère. «C'est là qu'il y a le plus de concurrence déloyale», a déclaré le ministre au cours d'un point de presse. D'ici la fin 2011, le ministère du Revenu implantera 33 000 modules électroniques dans les caisses enregistreuses de 18 000 restaurants à leurs frais. Grâce à ce système, il sera difficile de ne pas émettre de facture pour un repas sans que le fisc puisse s'en rendre compte. Le ministère prévoit réduire de 70 % l'évasion fiscale dans la restauration. Dans le dernier budget de Monique Jérôme-Forget, il est prévu que 900 millions des 6,13 milliards nécessaires pour arriver à l'équilibre budgétaire en 2013-14 proviendront de la lutte contre l'évasion et l'évitement fiscaux que mènera Revenu Québec. Au total, l'évasion fiscale représente un manque à gagner de 2 à 2,5 milliards annuellement pour l'État, a souligné M. Dutil. À l'heure actuelle, le montant de la récupération fiscale effectuée par Revenu Québec auprès des contribuables fautifs s'élève à 2,1 milliards. Outre la restauration, trois secteurs sont dans le collimateur du fisc: la planification fiscale abusive, la construction et le tabac. Selon les dernières données disponibles, Revenu Québec est parvenu à récupérer 216 millions auprès de 7910 entreprises du secteur de la construction en 2007-08. En vue de contrer la contrebande du tabac, des discussions ont cours avec les gouvernements fédéral et ontarien. «La contrebande de tabac, c'est devenu un problème de criminalité. Souvent, malheureusement, on pense que les autochtones sont à la source de ça. Ce n'est pas exact: le crime organisé est dans le tabac», estime Robert Dutil. Robert Dutil présentera un mémoire au conseil des ministres en vue de modifier la Loi sur le revenu afin d'accroître les pouvoirs du fisc dans sa lutte contre la contrebande de tabac. Le ministre a donné pour exemple la possibilité de taxer les revenus illicites. Afin d'intensifier ses efforts pour contrer l'évasion fiscale, le ministère du Revenu engagera 825 personnes de plus d'ici quatre ans dans les services touchés qui comptent plus de 3000 fonctionnaires. Pour cette activité, Revenu Québec est soustraite à la règle du Conseil du trésor qui exige qu'un seul fonctionnaire sur deux qui prend sa retraite soit remplacé. Dès l'an prochain, le ministère procédera à 250 embauches pour une dépense de 20 millions. On calcule que contre chaque dollar dépensé pour contrer l'évasion fiscale, on en récupère huit. Au total, Revenu Québec compte 9000 employés. Pour le député de Rimouski et porte-parole de l'opposition officielle en matière de revenu, Irvin Pelletier, l'objectif de 900 millions est trop modeste. Trop modestes aussi les moyens mis en branle par le ministère pour récupérer cette somme. http://www.ledevoir.com/2009/04/25/247446.html (26/4/2009 10H44)
  24. Mise à jour le lundi 20 avril 2009 à 12 h 22 RadioCanada.ca La ministre Yolande James (archives) Radio-Canada a appris que le gouvernement de Jean Charest n'a pas atteint son objectif en matière d'immigration. Le Québec a accueilli 4000 immigrants de moins que la cible maximale fixée par la ministre Yolande James. En 2007, la ministre de l'Immigration annonçait que la province accueillerait 10 000 immigrants de plus par année d'ici 2010 et pour la seule année 2008, Yolande James parlait d'une croissance de 8 %. Mme James déclarait à l'époque: « Pour une première année, notre objectif est de 49 000 et on s'assure d'avoir les mesures nécessaires pour ce faire ». Au ministère, on cherche à minimiser, en expliquant que la ministre parlait d'une cible maximale. Selon Claude Fradet, il faut se référer à la cible inférieure fixée cette année-là à 46 700. Selon lui, les chiffres planifiés sont une fourchette. Selon le ministère, des impondérables peuvent expliquer les résultats de l'an dernier. Mais l'opposition croit qu'Immigration Québec n'a pas les moyens de ses ambitions. « On a beau se fixer des objectifs qui paraissent très importants, si le budget du ministère n'est pas à la hauteur, on n'arrivera pas à atteindre ces résultats que l'on annonce », a estimé le porte-parole de l'opposition officielle en matière d'immigration, Camil Bouchard. Par ailleurs, les cas référés par le fédéral ont baissé de plus de 50 % en cinq ans, ce qui fait dire au Parti québécois qu'Ottawa nuit à l'immigration québécoise.
  25. Infrastructures artistiques - De l'action malgré la crise Le Devoir Martine Letarte Édition du samedi 28 et du dimanche 29 mars 2009 Mots clés : Théâtre, Infrastructures, Conseil des arts de Montréal, Prix, Culture, Québec (province) « Avant, les gens devaient attendre dehors... » Travaux en cours au Théâtre Denise-Pelletier Les compressions budgétaires du gouvernement Harper et leurs conséquences font les manchettes depuis plusieurs mois. Si tout n'est pas rose, tout n'est pas noir pour autant. Plusieurs compagnies artistiques sont actuellement en train de bâtir de grandes réalisations pour leurs infrastructures. L'un des grands projets en cours est la reconstruction du Théâtre de Quat'Sous. Le projet, né il y a près de 15 ans dans l'esprit de l'équipe du Quat'Sous, a été annoncé officiellement en décembre 2006. «L'ouverture est prévue le 27 avril. Ce sera l'aboutissement de plusieurs années de travail», se réjouit Éric Jean, directeur artistique et général du Quat'Sous. Parmi les nouveautés, on retrouvera des éléments aussi essentiels pour un théâtre que des loges, une salle de répétitions, un chauffage adéquat, un système de climatisation et un hall d'entrée plus spacieux. «Avant, les gens devaient attendre dehors, s'exclame M. Jean. Nous utiliserons aussi le hall d'entrée pour accueillir d'autres formes d'art, comme des expositions de photos, des lancements de livres ou de disques, etc.» Après 54 ans d'existence, le Quat'Sous est donc sur le point de renaître, sans toutefois se dénaturer. «Nous demeurons un théâtre à l'italienne à l'échelle humaine, avec nos balcons et nos sièges fixes», précise-t-il. La reconstruction du Quat'-Sous a nécessité des investissements de 4,5 millions de dollars. Le ministère de la Culture a fourni 3,7 millions et le reste est venu du ministère du Patrimoine canadien, de la Ville de Montréal et d'une campagne de financement. Théâtre Denise-Pelletier Le Théâtre Denise-Pelletier bénéficie également d'une importante rénovation depuis l'automne dernier. «On refait la pente de la salle, le système électrique, le système de cin-tres, les passerelles, et on restaure le foyer d'origine du hall d'entrée», indique Rémi Brousseau, directeur général du Théâtre Denise-Pelletier. Pour sa part, la salle Fred-Barry aura droit à un système de climatisation et à une salle de répétitions. On refait aussi tout le revêtement extérieur du bâtiment, qui se mariera davantage à celui du Théâtre Denise-Pelletier. Une nouvelle marquise sera également installée au Théâtre Denise-Pelletier. «En défaisant l'ancienne, qui datait des années 70, on a découvert de petites balustrades qui mettaient en valeur la marquise originale des années 1930. Nous avons décidé de remettre à l'honneur ces éléments architecturaux, qui s'harmoniseront avec la nouvelle marquise, et celle-ci rappellera beaucoup la marquise d'origine», explique M. Brousseau. La réouverture est prévue à l'automne. Pour entreprendre sa cure de rajeunissement, le Théâtre Denise-Pelletier a pu compter sur le ministère de la Culture (8,1 millions) et sur Patrimoine Canada (2,4 millions), en plus d'avoir organisé une campagne de financement qui a rapporté 600 000 $. À la SAT La Société des arts technologiques (SAT) se lance également dans des travaux majeurs pour que son immeuble du boulevard Saint-Laurent, un ancien marché public, réponde mieux aux besoins. «Il faut réaménager tous les espaces et acheter de l'équipement», affirme Jean-François Jasmin, coordonnateur des communications à la SAT. Le projet le plus spectaculaire concerne certainement la façade, qui s'élèvera sur 12 mètres et sur laquelle se greffera une oeuvre lumineuse développée par Axel Morgenthaler. «Ce sera comme un immense store pixellisé qui sera installé sur la façade. Captée et réfléchie par les lattes motorisées, la lumière du jour ou de la nuit s'harmonisera avec la lumière technologique des pixels», explique M. Jasmin. Sur le toit de la SAT, on aménagera également une terrasse avec un service de restauration et la SATinoire, une installation lumineuse interactive destinée aux jeunes. La SAT présentera également différentes installations sonores éclatées, comme le rideau sonore à l'entrée qui évoluera avec les mouvements lumineux de l'oeuvre de Morgenthaler. Les travaux doivent commencer à l'automne, et tout devrait être opérationnel au début de 2010. «Jusqu'à maintenant, nous savons que le ministère de la Culture nous donne au moins deux millions, et nous avons plusieurs partenaires privés», précise M. Jasmin. Marie Chouinard Après plusieurs années de travail acharné, LA BIBLIOTHÈQUE-Espace Marie Choui-nard a été inaugurée en janvier dernier. En plus des bureaux et d'un entrepôt, l'immeuble complètement rénové du 4499, avenue de l'Esplanade comprend un gymnase spécialisé, des vestiaires, des douches, une cuisine, un salon vert et deux studios avec planchers résilients, dont un de 3625 pieds carrés, sans colonnes. Enfin, l'immeuble a une vue imprenable sur le mont Royal, élément d'inspiration très important pour la créatrice depuis ses débuts. Toujours dans l'attente Si des projets se concluent, d'autres attendent toujours la première pelletée de terre. C'est le cas, évidemment, de la déjà future salle de l'OSM. Après avoir remis leur proposition technique en novembre dernier, les trois consortiums intéressés par le projet ont déposé au début du mois leur proposition financière auprès de l'Agence des partenariats public-privé. Le nom de la firme qui obtiendra le contrat sera connu très bientôt, d'autant plus que la livraison de la future salle est prévue en 2011. Le nouvel espace pourra accueillir 1900 spectateurs, 200 choristes et 120 musiciens. Le budget total du projet, évalué à 105 millions en 2006, sera revu à la hausse. Au théâtre La Licorne, on attend toujours des sous du gouvernement fédéral pour lancer le projet d'agrandissement qui permettrait aux deux salles d'accueillir plus de spectateurs, mais aussi de fonctionner de façon indépendante. «Actuellement, ce n'est pas possible puisque l'insonorisation est déficiente et que nous manquons d'espace dans le hall d'entrée», indique Danièle Drolet, directrice administrative et des communications. Le théâtre, qui n'a pas bénéficié de rénovation majeure depuis 20 ans, réorganiserait aussi son espace et améliorerait ses équipements pour être en mesure de mieux accueillir les productions actuelles. Et, enfin, La Petite Licorne serait climatisée! «Nous sommes prêts, indique Mme Drolet. Nous avons amassé 400 000 $, et l'immeuble voisin nous est réservé. Nous avons une entente de principe avec le gouvernement provincial et nous espérons une réponse du fédéral au printemps.» http://www.ledevoir.com/2009/03/28/242181.html (28/3/2009 13H34)
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