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jeudi 8 fév, 17 h 32 Hydro-Québec prend la pleine mesure du réchauffement climatique: la société d'État a vu ses besoins diminuer d'un térawattheure et demi, de quoi alimenter une ville comme Laval pendant un an. PUBLICITÉ Sa division Distribution a acheté trop d'électricité sur le marché et se retrouve cette année avec près de 5 milliards de kilowattheures de surplus. Hydro-Québec Distribution, qui aurait pu revendre à profit ces kilowattheures sur le marché, tente plutôt de s'entendre avec ses fournisseurs, TransCanada Energy et Hydro-Québec Production. Elle veut reporter d'un an les livraisons prévues à leurs contrats, sans payer de pénalités. TransCanada Energy a refusé de rouvrir son contrat, qui prévoit la livraison à Hydro de 4,1 milliards de kilowattheures par année à 10,5 ¢ le kilowattheure. Hydro-Québec Production a pour sa part accepté de régler le problème et de ne pas livrer à Hydro-Québec Distribution l'électricité prévue cette année, soit 5 milliards de kilowattheures à près de 5 ¢ le kilowattheure. Cette décision lui occasionnera un manque à gagner de 220 millions. De plus, elle a renoncé à encaisser les pénalités prévues au contrat en cas de désistement de l'acheteur, et se prive ainsi de 82 millions supplémentaires, pour un total de 302 millions. « Ce n'est pas de l'argent qui disparaît, l'eau reste dans les réservoirs, a justifié le grand patron d'Hydro-Québec, Thierry Vandal. C'est de l'électricité qui pourra être revendue cette année ou plus tard », a-t-il affirmé mercredi, au moment où les dirigeants d'Hydro-Québec Distribution comparaissaient devant la Régie de l'énergie, à qui ils demandent d'approuver d'urgence l'entente conclue avec la division Production. Le temps presse, les livraisons d'électricité devant commencer dans deux semaines. L'opposition critique la façon de faire L'an dernier déjà, Hydro-Québec prévoyait avoir trop d'électricité pour les besoins de 2007. Selon Hydro, la température anormalement douce du mois de janvier, la fermeture de Norsk Hydro et de plusieurs usines du secteur des pâtes et papiers, de même que la réduction des besoins d'Alcan, ont aggravé la situation et porté les surplus à 5 milliards de kilowattheures. Hydro-Québec Distribution aurait pu vendre ces surplus sur les marchés à profit et faire bénéficier ses clients d'une réduction de tarifs. Elle a refusé de prendre cette voie puisque son mandat n'est pas de revendre de l'énergie et qu'elle n'aurait pas pu en tirer un prix assez intéressant, ont affirmé ses représentants devant la Régie. Ces derniers estiment que les quantités à remettre sur le marché étaient telles que la vente de celles-ci aurait fait baisser le prix de vente. La porte-parole de l'opposition officielle en matière d'énergie, Rita Dionne-Marsolais, estime que ce genre d'entente mine la crédibilité d'Hydro-Québec sur les marchés financiers. « Le message que ça envoie, c'est qu'Hydro joue selon les règles du marché seulement quand ça fait son affaire », a-t-elle déploré.
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Le géant américain Lowe's acquiert Rona pour 3,2 milliards
un sujet a posté hockey19 dans L'actualité
http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201602/03/01-4946661-le-geant-americain-lowes-acquiert-rona-pour-32-milliards.php (Mooresville, Caroline du Nord) Près de quatre ans après l'échec d'une première tentative pour acquérir le quincailler Rona, le géant américain de la rénovation Lowe's est finalement parvenu à ses fins. Les deux entreprises ont annoncé mercredi la conclusion d'une entente définitive qui fera passer le fleuron québécois de la rénovation sous contrôle étranger en échange d'une somme de 3,2 milliards de dollars en espèces. Cette transaction a été approuvée à l'unanimité par les conseils d'administration des deux sociétés. Le détaillant américain offre 24$ par action ordinaire de Rona, ce qui représente une prime de 104 pour cent par rapport au cours de clôture du titre de l'entreprise québécoise, mardi, à la Bourse de Toronto.  «Nous croyons que le moment est venu de franchir cette nouvelle étape», a commenté le président du conseil de Rona, Robert Chevrier, par voie de communiqué. Lowe's - qui compte 1840 magasins en Amérique du Nord - s'est engagé à établir le siège social de ses activités canadiennes à Boucherville, en plus de maintenir les bannières exploitées par l'entreprise québécoise. Le numéro deux de la rénovation aux États-Unis dit également avoir l'intention de conserver «la vaste majorité» des employés actuels de Rona en plus de maintenir en postes des «hauts dirigeants clés». Le réseau de Rona compte près de 500 établissements corporatifs et magasins affiliés indépendants. Le quincailler québécois compte plus de 17 000 employés dans ses magasins corporatifs et plus de 5000 autres répartis dans ses établissements indépendants. Ce regroupement représentera la plus importante chaîne de rénovation résidentielle au détail du pays, avec des revenus estimés à 5,6 milliards $ pour l'exercice 2015. «La transaction devrait accélérer la mise en oeuvre de la stratégie de croissance de Lowe's en intensifiant de manière importante notre présence sur le marché canadien grâce à l'ajout des activités attrayantes de Rona», a estimé le président et chef de la direction de Lowe's, Robert Niblock. Celui-ci a ajouté que Lowe's, présente en Ontario et ailleurs au Canada, pourra percer le marché québécois - le deuxième en importance au pays - principalement occupé par Rona. En octobre dernier, le détaillant américain s'apprêtait à rencontrer des fournisseurs québécois, ce qui avait alimenté les rumeurs voulant que la chaîne spécialisée soit en train de préparer son entrée au Québec. Lowe's avait présenté une offre amicale de 1,76 milliard de dollars pour mettre la main sur Rona en 2012, mais cette approche avait suscité une levée de boucliers, notamment de la part du gouvernement du Québec. La Caisse approuve La Caisse de dépôt et placement du Québec, le plus important actionnaire de Rona, avec une participation de 17%, a approuvé la transaction mercredi matin. Par voie de communiqué, l'institution annonce qu'elle*déposera ses actions dans le cadre de l'offre faite par Lowe's. «Dans l'ensemble, la Caisse estime que la transaction mènera au maintien ou à la croissance de l'activité économique générée par les bannières de Rona au Québec.» La Caisse appuie sa décision sur «la recommandation unanime du conseil d'administration de Rona en faveur de cette offre, la prime de 105*% par rapport à la valeur moyenne de l'action à la Bourse de*Toronto*dans les 30 derniers jours, les responsabilités de la Caisse envers ses déposants et les engagements pris par Lowe's quant à sa présence au Québec et au*Canada». -
SNC-Lavalin: deux milliards en contrats dans l'Ouest 5 mai 2007 - 15h04 La Presse Martin Vallières Vancouver Pour la première fois, SNC-Lavalin tenait son assemblée d'actionnaires dans la métropole de la côte ouest canadienne. Et pour cause. La Colombie-Britannique et l'Alberta, en plein boom économique, pèsent au moins deux milliards dans le carnet de commandes de 10,4 milliards de SNC-Lavalin, a confirmé son président, Jacques Lamarre, à La Presse Affaires. Il y a bien sûr, en Alberta, plusieurs contrats reliés aux projets pétroliers et gaziers. Mais la province voisine est aussi en plein boom d'investissement. À preuve, les nombreux chantiers dans les environs immédiats de l'hôtel du centre-ville de Vancouver, où avait lieu l'assemblée de SNC-Lavalin. Et la firme montréalaise dirige même le plus gros et le plus compliqué de ces chantiers vancouverois. Il s'agit de la ligne de métro au centre-ville et de train aéroportuaire qui doit ouvrir quelques mois avant les Jeux olympiques d'hiver, en février 2010. SNC-Lavalin est le maître d'oeuvre de ce projet de 1,9 milliard, ainsi qu'un investisseur dans la société d'exploitation de la «Canada Line», pour un mandat de 30 ans. La Caisse de dépôt et placement du Québec est aussi impliquée. Ailleurs en Colombie-Britannique, SNC-Lavalin a un autre projet particulier d'ingénierie et de gestion. Il s'agit du remplacement du «pont autoroutier flottant» sur le lac Okanagan, à Kelowna. Ce projet d'un peu plus de 200 millions est dans une région de villégiature et d'agriculture en forte croissance, située au milieu des chaînes montagneuses entre Vancouver et Calgary.
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(PRESSE)Trente milliards de dollards devront étre investis a montréal au cours des deux prochaines décennies pour la mise a niveau des infrastructures, souterraines et de transport en commun.A l instar du fonds de l eau,qui permettra d autofinanacerles travaux d infranstructures dans le réseau souterrain a partir de 2013, l administration Tremblay-Zampino envisage la mise sur pied d un fonds similaire,celui ci dédié aux infrastructures routiéres.C est qu a révélé le président du comité exécutif de la ville de Montréal ,Frank Zampino,en entrevue avec Montreal Express.(ce fonds pour les infrastructures routiéres permettrait de mettre a niveau non ponts,viaducs et l ensemble du réseau artériel.Nous nous sommes engagés a investir 500millions dollard dans nos infratructures routiéres,notament pour corriger le probléme des nids-de-poules, mais cette somme n est pas suffisante pour la remise a niveau de toutes les rues )explique M.Zampino.Selon lui montréal nécessitera des investissements de 30 milliards au cours des 20 prochaines années,soit 10milliards pour les infrastructures routiéreset 10 milliards pour les infranstructures de transport en commun.Les deux autres paliers de gouvernement seront appelés a contribuer ,comme c est notament le cas du fédéral avec la taxe d accise sur l essence et du gouvernement du Québec pour le métro de montréal .Mais Montréal n en reste pas la et réclame également des pouvoirs habilitants en matiére fiscale et administrative pour continuer son dévloppement.(Nous dépendons de l impot foncier qui représente environ70pour100 de nos revenus sur un budget de 4 milliards dollard , poursuit M.Zampino .Nous voulons obtenir une partie de la croissance générée a Montréal.Chaque fois qu un milliard est investi ici,les gouvernements supérieurs retirent chcun 150millons .On demande a Québec et a Ottawa de partagerla moitiéde ces retombées avec nous)(Si le gouvernement n accorde pas d attention a sa métropole,elle qui crée plus de la moitié de la richesse au Québec , nous serons toujours en retard par rapport a Toronto et aux autres grandes villes du monde.Ajourd hui ,la compétition se fait entre les grandes villes ,pas entre les pays)soutient le président du comité exécutif.Le maire Gérald Tremblay et Frank Zampino doivent rencontrer sous peu le chef du parti québéquois et celui de l Action démocratique su Québec pour les sensibiliser aux besoins de Montréal.
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Le gouvernement fédéral a récemment proposé à l’ONU de quitter New York pour le Vieux-Port de Montréal, où un groupe de promoteurs des secteurs public et privé ont imaginé un ambitieux projet, a constaté La Presse dans des documents inédits. Le silo no 5 laisserait ainsi sa place au siège des Nations unies. Le siège de l’ONU prendrait place entre les quai Windmill et Bickerdike, à l’avant du complexe. La sculpture L’homme d’Alexandre Calder serait déplacée au cœur de l’îlot, dans un parc. Le prolongement de la rue McGill deviendrait l’une des quatre entrées de la « Cité globale », adossée à l’autoroute Bonaventure, en face d’Habitat 67. »» Voyez toutes les photos du projet Le concept et les plans préliminaires du projet ont été préparés par l’entreprise Solutrans, dirigée par Jean O’Keefe, l’instigateur du projet. L’organisme Montréal international a participé en finançant une étude de faisabilité technique, a appris La Presse. Le cabinet d’architectes Provencher Roy et associés a pour sa part préparé des maquettes. La Ville de Montréal a donné son accord au projet, de même que le ministre du Développement économique et responsable de la région de Montréal, Raymond Bachand. Ce dernier a refusé de commenter. Le maire Tremblay trouve « exceptionnelle » et « emballante » cette idée, mais il refuse de commenter plus davantage de peur de nuire aux chances du projet. Le maire, le premier ministre Jean Charest et le premier ministre Stephen Harper en avaient d’ailleurs discuté lors du sommet de la francophonie à Bucarest, en septembre 2006. Le gouvernement fédéral a même soumis le projet de façon « informelle » aux autorités de l’ONU, a-t-on appris de sources sûres. L’ONU n’a toutefois démontré aucun intérêt. Un porte-parole de l’ONU, Alex Cerniglia, a lui aussi refusé de faire des commentaires. Pour l’instant, l’ONU prévoit plutôt rénover ses bâtiments actuels, au coût de 1,9 milliard de dollars. La firme suédoise Skanska a d’ailleurs signé un contrat de sept millions de dollars pour gérer la phase de préconstruction. M. Cerniglia soutient que les coûts pourraient être moindres selon le mode de rénovation, que l’on choisira d’ici à la fin de l’année. Les promoteurs montréalais espèrent toujours convaincre l’ONU de déménager à Montréal, où un nouveau complexe coûterait, selon eux, moins cher que la rénovation des installations new-yorkaises. Son entretien coûterait aussi 790 millions de moins par année, affirment-ils. La vente du terrain de l’ONU à New York procurerait aussi une somme considérable. Les tenants du projet pensent que les Nations unies pourraient renverser leur décision en raison des dépassements de coûts appréhendés, des retards et du manque de main-d’œuvre pour réaliser les travaux. Une ville dans la ville Ce projet propose d’accueillir au même endroit les Nations unies, les quelque 190 missions permanentes et les bureaux de plus de 4000 organisations non gouvernementales. Les composantes du complexe seraient reliées entre elles par un monorail qui se rendrait au centre-ville. Le site suggéré occuperait 65 hectares, soit plus que le parc Lafontaine. À New York, les Nations unies occupent quelque sept hectares en ce moment. Les ONG et les missions sont quant à elles éparpillées un peu partout dans la ville. L’ONU éprouve des problèmes avec ses sept immeubles situés dans l’île de Manhattan. Construit entre 1949 et 1951, le bâtiment principal comprend 39 étages. Il y a notamment des problèmes d’isolation, de sécurité et de salubrité parce qu’il contient de l’amiante. Selon les estimations financières dont La Presse a pris connaissance, il en coûterait environ 790 millions pour construire les locaux de l’ONU répartis dans cinq bâtiments de trois à 12 étages. Le coût des bâtiments des ONG, des missions et des délégations s’élèverait à un peu plus de 760 millions et celui des infrastructures à 492 millions. L’ensemble du projet atteindrait donc environ 2,2 milliards. L’étude estime les retombées économiques à plus de 2,4 milliards grâce à la construction de nombreuses habitations pour y loger les quelque 20 000 personnes employées par les Nations unies. L’étude estime que l’arrivée de l’ONU à Montréal créerait aussi environ 60 000 emplois indirects. L’effet annuel sur le PIB serait aujourd’hui de 2,4 milliards et de 8,5 milliards dans 50 ans.
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L’Ontario veut investir 17,5 milliards de dollars dans le transport en commun dans la région de Toronto : http://www.premier.gov.on.ca/news/Product.asp?ProductID=1383 La Colombie Britannique mets 14 milliards de dollars pour améliorer le transport collectif à Vancouver : http://www.canada.com/vancouversun/news/story.html?id=f3218ef4-c4fb-413f-bebb-cb8fea512570&k=47746 La ville de Montréal prépare un plan d’investissement en transport en commun beaucoup moins ambitieux (et concernant uniquement la ville de Montréal et non pas toute la région): http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=4577,7757563&_dad=portal&_schema=PORTAL Et le gouvernement du Québec dit que ça ne l’intéresse pas! Maudit qu’on est cave au Québec!!!!!!!! :banghead:
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L'Industrielle Alliance rachète HollisWealth Ã* la Banque Scotia
un sujet a posté qwerty dans L'actualité
Ceci peut paraitre anodin pour certain, mais j'ai travaillé en gestion de portefeuille pour l'industrielle alliance en tant qu'étudiant (stage d'été) en 2002. À ce moment la compagnie avait +/- $8 milliards en actif sous gestion. Avec cette transaction, elle passe maintenant à $75 milliard, donc presque 10 fois plus en 14 ans. Excellente croissance. L'Industrielle Alliance rachete HollisWealth a la Banque Scotia | Services financiers Publié le 05 décembre 2016 à 17h59 | Mis à jour le 05 décembre 2016 à 17h59 L'Industrielle Alliance rachète HollisWealth à la Banque Scotia Le groupe financier Industrielle Alliance a annoncé lundi avoir conclu une entente qui lui permettra de racheter la firme de conseil HollisWealth des mains de la Banque Scotia. Selon le chef de la direction de l'Industrielle Alliance, Yvon Charest, l'acquisition fera l'assureur de Québec «une des plus grandes firmes-conseils non bancaires en gestion de patrimoine au Canada», avec des actifs sous gestion totalisant 75 milliards $. HollisWealth compte des actifs sous gestion atteignant 34 milliards $, en plus de 800 conseillers autorisés, 400 000 comptes actifs de clients et plus de 300 bureaux au Canada. La firme était passée sous le giron de la Banque Scotia en 2011, lorsque cette dernière avait acquis DundeeWealth, qui comprenait en outre la firme de gestion d'actifs Dynamic Funds. Dynamic ne fait pas partie de la transaction annoncée lundi et restera chez la Scotia. Le prix de l'acquisition dépendra de la valeur de l'actif sous gestion au moment de la clôture de la transaction, laquelle est prévue pour le troisième trimestre de l'an prochain. L'opération sera financée à même les liquidités de l'Industrielle Alliance, ainsi qu'à l'aide d'une émission d'actions ordinaires. À ce sujet, l'Industrielle Alliance s'est entendue avec un syndicat de preneurs fermes dirigé par Valeurs mobilières TD sur l'achat de 2,5 millions d'actions au prix de 55,65 $ chacune, pour un produit brut de 139 millions $. Une option de surallocation pourrait augmenter ce produit brut de 13,9 millions $. La clôture du placement devrait avoir lieu vers le 14 décembre. L'action de l'Industrielle Alliance a clôturé la séance de lundi en baisse de 21 cents à la Bourse de Toronto, à 56,78 $. -
Texte que je trouve intéressant et malheureusement n'apportera pas le débat de société nécessaire. C'est quand même gigantesque le montant qui sort de la province par année! Des milliards investis dans la congestion | Pierre-Olivier Pineau | Votre opinion Des milliards investis dans la congestion
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Montreal company on the offensive! http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201605/02/01-4977110-bce-achete-manitoba-telecom-pour-39-miliards.php (Winnipeg) Le géant canadien des télécommunications BCE a annoncé lundi l'acquisition de Manitoba Telecom Services (MTS) pour 3,9 milliards de dollars. BCE acquerra l'ensemble des actions ordinaires émises et en circulation de MTS moyennant la somme approximative de 3,1 milliards et assumera l'encours de la dette nette d'environ 800 millions. Les actionnaires de MTS pourront choisir de recevoir 40$ en espèces ou 0,6756 par action ordinaire de BCE pour chaque action ordinaire de MTS, selon la proportion de la contrepartie totale, qui sera composée à 45% en espèces et à 55% en actions ordinaires de BCE. Le conseil d'administration de MTS a approuvé la transaction et recommande aux actionnaires de MTS de voter en faveur de celle-ci. La clôture de la transaction est prévue pour la fin de 2016 ou le début de 2017.
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Montréal termine 2015 avec un surplus de 146 millions
un sujet a posté Malek dans Discussions générales
La Ville de Montréal a dégagé un surplus de 146 millions en 2015. Les états financiers rendus publics ce matin démontrent que plusieurs de ses revenus ont dépassé les attentes tandis que certaines compressions ont été plus efficaces que prévu. Montréal a ainsi récolté pour 3,2 milliards en taxes, soit 32 millions de plus que ce qui avait été prévu au budget. La vigueur du marché immobilier a aussi permis de récolter 31 millions de plus que prévu en droits de mutation (la fameuse taxe de Bienvenue, du nom de l'ancien ministre ayant introduit celle-ci en 1976). À l'inverse, plusieurs dépenses ont été inférieures aux prévisions. Montréal a dépensé 2,4 milliards en rémunération en 2015, 36 millions de moins qu'anticipé. Une importante partie de ces économies provient des effets de la Loi sur la santé financière et la pérennité des régimes de retraite à prestations déterminées du secteur municipal, ainsi que des postes laissés vacants. « Gestion rigoureuse » La bonne santé financière ne se limite pas à la ville-centre. En fait, la moitié des surplus provient même des arrondissements, les 19 administrations locales ayant réussi à dégager un surplus. Le président du comité exécutif, Pierre Desrochers, y voit un signe que la réforme du financement des arrondissements n'a pas eu les effets catastrophiques que certains maires locaux prédisaient. L'administration Coderre s'est félicitée de ces résultats, estimant qu'ils illustrent sa gestion rigoureuse. « Ça prouve qu'on est capables d'avoir une rigueur financière, sans aller au détriment des services aux citoyens », a déclaré Pierre Desrochers, qui agit comme bras droit du maire. Montréal dispose désormais de 706 millions en réserves en cas d'imprévus. Le service de l'eau dispose à lui seul d'un coussin de 170 millions. Rappelons que la réfection des égouts et aqueducs impose d'augmenter considérablement le nombre de chantiers. Baisse de revenu pour les contraventions Les contraventions ont à nouveau été inférieures aux prévisions. La métropole dit avoir récolté pour 171 millions en amendes et pénalités, alors qu'elle escomptait en avoir pour 200 millions. La baisse la plus marquée provient des policiers qui ont distribué pour 69 millions de contraventions alors que Montréal prévoyait que la note s'élèverait plutôt à 84 millions. Les pompiers aussi n'ont pas atteint les cibles de la Ville. En fait, ceux-ci n'ont pratiquement pas donné de contraventions lors de leurs inspections, le total des amendes s'élevant à un peu plus d'un million, alors que Montréal prévoyait 4 millions. « On est préoccupés par cette diminution, pas tant sur le plan financier parce qu'on n'est pas dépendants de ces revenus, mais pour la sécurité des citoyens. On veut s'assurer que nos policiers fassent leur travail », a indiqué Pierre Desrochers. Montréal paye de plus en plus comptant La métropole paye de plus en plus comptant ses achats plutôt que recours à des emprunts, qui finissent par coûter beaucoup plus cher à long terme. En 2015, 55 % des immobilisations ont été payées comptant, contre 36 % en 2014, a indiqué Pierre Desrochers, président du comité exécutif. Pour arriver à ce chiffre, la métropole tient compte des subventions Le déneigement a coûté 146 millions en 2015, soit 10 millions de moins que ce qui avait été budgété. Montréal a reçu 215 cm en 2015. Dette en hausse La dette nette de Montréal se chiffre désormais à 4,8 milliards, selon les états financiers. Chaque Montréalais « doit » ainsi 2653 $. C'est le montant le plus élevé depuis les fusions en 2001. À l'époque, la dette par citoyen était de 2511 $. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201604/13/01-4970672-montreal-termine-2015-avec-un-surplus-de-146-millions.php -
La caisse de depot prend une part de 30% dans Bombardier Transport pour 1.5 milliard de $. Bonne nouvelle ca va permettre a Bombardier de retablir son Cash Flow. http://www.cdpq.com/fr/nouvelles-medias/communiques/bombardier-et-caisse-concluent-une-entente-definitive-caisse-acquiert
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La Ville de Montréal, qui s'apprête à emprunter des milliards de dollars dans les prochaines années pour réparer ses infrastructures, économisera des sommes importantes en intérêts, puisque sa cote de crédit vient d'être rehaussée par une firme de notation, notamment en raison d'un «environnement politique plus stable». La cote de crédit de la métropole accordée par Standard & Poor passe ainsi de à A+ à AA-, une première hausse en plus de 30 ans pour la Ville de Montréal. La firme de notation vante les «liquidités exceptionnelles» de la Ville, son faible endettement et le redressement de la «performance budgétaire» par rapport à l'administration Tremblay. «Nous croyons que l'environnement politique s'est stabilisé dans les dernières années», peut-on lire aussi lire dans le document. Le maire Denis Coderre se réjouit de cette annonce, qui tombe la même semaine que le dévoilement du programme triennal d'immobilisations 2016-2018 de la Ville de Montréal, lequel prévoit 5,2 milliards de travaux. « C'est la preuve que les décisions que nous avons prises commencent à porter fruit. Les experts de S&P ont examiné chacune de nos actions sur le plan du contrôle des dépenses, de la gestion de notre dette, de la planification de nos investissements. Ce rehaussement de notre cote de crédit traduit un niveau élevé de confiance en la solidité financière de Montréal à long terme », a déclaré M. Coderre, dans un communiqué. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201510/22/01-4912878-standard-poors-rehausse-la-cote-de-montreal.php
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5300 milliards par an de «subventions» à l'industrie des carburants fossiles
un sujet a posté ChrisDVD dans L'actualité
5300 milliards par an de «subventions» à l'industrie des carburants fossiles Publié le 25 mai 2015 à 11h56 Quand vous aurez fini de lire ce paragraphe, les gouvernements du monde auront déjà payé un million de dollars à l'industrie des carburants fossiles, selon le FMI. C'est ce que représentent 5300 milliards de dollars par an, ou 10 millions de dollars chaque minute. C'est davantage que ce que tous ces gouvernements paient en santé. L'évaluation a fait d'autant plus sursauter cette semaine qu'elle provient du Fonds monétaire international (FMI), rarement soupçonné de pencher à gauche. Dans leur analyse, les experts du FMI qualifient ces chiffres de « choquants ». En tout, les compagnies pétrolières et gazières bénéficieront donc en 2015 de subventions directes, d'incitatifs fiscaux et de cadeaux indirects totalisant 5300 milliards. Cela dit, bien que les médias aient abondamment employé le mot « subvention » en traitant cette nouvelle depuis mardi, les « vraies » subventions, c'est-à-dire les sommes versées à l'industrie sous différentes formes (incluant des réductions de taxes), représentent 500 de ces milliards. Le reste, selon les calculs contenus dans le rapport publié le 18 mai, est constitué en bonne partie des coûts engendrés par la pollution sur l'environnement et sur la santé, coûts ensuite assumés par les gouvernements. Des « externalités » coûteuses Ces derniers coûts sont ceux que les économistes appellent, dans leur jargon, des « externalités ». Le calcul des externalités - positives ou négatives - sert parfois à justifier l'imposition d'une taxe sur un produit (les cigarettes, par exemple) ou un remboursement d'impôt (lors d'un don à un organisme de charité par exemple). Externalités et subventions représentent dans ce cas-ci 6,5 % du produit national brut (PNB) mondial. Le chiffre est plus élevé que dans une estimation de 2013 du FMI, non à cause de l'inflation, mais en raison de tout ce qui a été inclus dans les externalités - et qui ouvre la porte à la critique. Comment, par exemple, calcule-t-on dès aujourd'hui les coûts des changements climatiques? Toutefois, en se basant uniquement sur le calcul du présent rapport, la facture totale a augmenté de 3 milliards par année entre 2011 et 2014. Le mythe des carburants fossiles « peu coûteux » est détruit Le FMI ne questionne pas seulement le gigantisme de l'impact qu'ont les carburants fossiles sur l'économie. Il questionne sa logique purement économique : les subventions directes ou indirectes sont à un tel niveau qu'elles découragent les investisseurs tentés de financer d'autres formes d'énergies. Commentant l'étude dans le journal The Guardian, l'économiste britannique Nicholas Stern s'insurge : « Cette importante analyse détruit le mythe que les carburants fossiles sont peu coûteux, en nous montrant quels sont les véritables coûts. Il n'existe aucune justification pour ces énormes subventions aux carburants fossiles, qui déséquilibrent le marché et endommagent l'économie, particulièrement dans les pays les plus pauvres. » Le rapport évalue que de mettre fin à ces cadeaux serait une façon efficace de réduire de 20 % les émissions de gaz à effet de serre. Et de renvoyer le prix du pétrole à sa juste valeur. Et de sauver 1,6 million de vies par année : une estimation du nombre de morts évitables causées par la pollution de l'air. À eux seuls, la Chine (2300 milliards) et les États-Unis (700) contribuent pour plus de la moitié de la facture, suivis de très loin par la Russie (335 milliards), l'Union européenne (330) et l'Inde (277). http://www.lapresse.ca/environnement/201505/25/01-4872368-5300-milliards-par-an-de-subventions-a-lindustrie-des-carburants-fossiles.php- 4 réponses
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Péréquation : l'Ontario reçoit maintenant plus que le Québec
un sujet a posté monctezuma dans L'actualité
Incroyable, c'est une première de mon vécu. *** Transferts fédéraux: l'Ontario recevra plus que le Québec 15-12-2014 | 10h38 Dernière mise à jour: 15-12-2014 | 12h12 AGENCE QMI OTTAWA - C'est la province de l'Ontario qui bénéficiera le plus des largesses du gouvernement fédéral dans la prochaine année fiscale. Le ministère fédéral des Finances, Joe Oliver, a rendu publics les chiffres des transferts fédéraux aux provinces et aux territoires qui sont prévus en 2015-2016 en matière de santé et de programmes sociaux, ainsi que pour la péréquation. Le soutien financier du gouvernement fédéral au Québec atteindra 20,36 milliards $ en 2015-2016, mais l'Ontario recevra la part du lion avec 20,44 milliards $. Au total, en 2015-2016, Ottawa versera aux 10 provinces et aux trois territoires canadiens un montant de 67,9 milliards $, ce qui représente une somme de 1890 $ par habitant. Selon le ministre des Finances fédéral, Joe Oliver, ces transferts du gouvernement fédéral donnent aux provinces et aux territoires la capacité de fournir des services publics de «grande qualité». Le ministre Oliver a par ailleurs fortement suggéré aux provinces de s'inspirer de son gouvernement est de faire les efforts nécessaires pour diminuer les impôts et les dépenses. Le ministre Leitao en veut davantage Même si la province recevra du fédéral une somme record de 9,5 milliards $ en paiement de péréquation pour 2015-2016, Québec estime qu'Ottawa peut en faire plus en matière de santé et d'infrastructure. C'est ce qu'a indiqué le ministre des Finances du Québec, Carlos Leitão, à l'entrée d'une rencontre réunissant ses homologues provinciaux et fédéral à Ottawa lundi. «Pour la péréquation c'est un montant record, mais il y en a d'autres transferts fédéraux et en infrastructure, par exemple, nous pensons qu'il y a de la place pour augmenter ces transferts-là. Et il y a toute la question des transferts en santé», a mentionné le ministre Leitao. Le dossier des infrastructures constitue une des priorités que M. Leitão souhaite amener à la table des discussions. Il a indiqué que le Québec dépensera 90 milliards $ sur dix ans dans ses infrastructures, alors que le fédéral prévoit investir 70 milliards $ à l'échelle du pays au cours de cette période. Il invite Ottawa à délier davantage les cordons de la bourse dans ce domaine, faisant valoir que dans le cycle économique actuel, les dépenses en infrastructure constituent «le meilleur moyen d'accélérer la croissance». -Avec Dominique La Haye -
Amaya fait une offre de 4,9 milliards pour Pokerstars.com
un sujet a posté ProposMontréal dans Discussions générales
Source: La Presse (juste pour Marc_ac) La société montréalaise Groupe de jeux Amaya (T.AYA) offre 4,9 milliards $ US en argent pour mettre la main sur l'entreprise qui possède PokerStars ainsi que Full Tilt Poker. Le rachat d'Oldford Group, une société non cotée, ferait d'Amaya le premier groupe coté dans le monde dans le domaine du poker en ligne, devant l'actuel numéro un mondial Bwin, assure la compagnie. Les plateformes de poker en ligne PokerStars et Full Tilt Poker seraient, collectivement, les marques de poker en ligne les plus populaires et rentables du monde puisque plus de 85 millions de joueurs y participeraient sur des appareils de bureaux et des appareils mobiles. L'entreprise montréalaise propose un ensemble de produits et services de jeux : jeux de hasard, poker, paris sportifs, plateformes, loteries et appareils de jeux électroniques et autres. Rational Group, une filiale d'Oldford Groupe, compte plus de 1700 employés à l'échelle mondiale. Communiqué de presse officiel- 15 réponses
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La «ville-globe du futur» est dans l'océan
un sujet a posté acpnc dans Urbanisme, architecture et technologies urbaines
Publié le 20 novembre 2014 à 23h35 | Mis à jour le 20 novembre 2014 à 23h35 La «ville-globe du futur» est dans l'océan Le projet coûterait 3000 milliards de yens (28,7... (Photo SHIMIZU CORPORATION, AFP) TOKYO Et si au lieu de songer à coloniser l'espace interstellaire, l'humain s'intéressait davantage à occuper l'aire la plus importante de la planète bleue: la mer ? C'est à un tel projet de «ville-globe flottante» que réfléchit très sérieusement une entreprise de construction japonaise. Quelque 4000 résidents et 1000 visiteurs pourraient vivre et travailler dans une sorte d'Atlantide moderne, une sphère de 500 mètres de diamètre qui abriterait des hôtels, des complexes résidentiels, des bureaux, des sites de recherche et des centres commerciaux. Cet immense globe de béton et matériau transparent flotterait, mais les neuf dixièmes de la structure seraient constamment plongés dans la mer. La sphère pourrait être totalement immergée par mauvais temps, en descendant le long de l'axe central, une gigantesque structure hélicoïdale de 600 mètres de diamètre qui s'enfoncerait jusqu'à 4000 mètres de profondeur. Cette construction en spirale constituerait un chemin de 15 kilomètres menant à un bâtiment au fond de l'océan, qui pourrait servir d'usine d'exploitation de métaux rares et autres ressources. Selon les ingénieurs visionnaires de la firme Shimizu à l'origine de cette création imaginaire, il serait même possible d'utiliser des micro-organismes appelés «méthanogènes» pour convertir en méthane le dioxyde de carbone (CO2) capturé à la surface. De l'énergie serait en outre produite par différentiel thermique entre le fond et la surface de l'océan. Le projet coûterait 3000 milliards de yens (28,7 milliards $CAN) et toute la technologie requise pourrait être prête d'ici à 2030. Ce concept de science-fiction a été pensé avec plusieurs organisations, dont l'Université de Tokyo et l'Agence japonaise pour les Sciences et Technologies maritimes (JAMSTEC). «Nous avons passé deux ans à concevoir le projet avec des technologies que nous imaginons plausibles dans l'avenir», a expliqué un porte-parole de Shimizu. Il s'agit de la troisième folie architecturale présentée par ce géant du BTP après une «mégapole verte flottante» et un anneau à énergie solaire autour de la Lune pour alimenter la Terre. En 2012, une autre grande entreprise de construction japonaise, Obayashi, a imaginé un ascenseur qui emmènerait les touristes à 96 000 kilomètres d'altitude, jusqu'au quart du chemin de la Terre à la Lune. Seraient employés pour ce faire des nanotubes de carbone, un matériau 20 fois plus résistant que l'acier. http://www.lapresse.ca/actualites/sciences/201411/20/01-4821075-la-ville-globe-du-futur-est-dans-locean.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-actualites_article_ECRAN1POS5- 4 réponses
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- «ville-globe
- chemin
- (et 13 en plus)
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CGI obtient des prolongations de contrats de 2 milliards $ de BCE
un sujet a posté Malek dans L'actualité
MARDI 11 NOVEMBRE 2014 - 14:30 ET | LA PRESSE CANADIENNE Le Groupe CGI a annoncé mardi avoir obtenu des prolongations d'ententes évaluées à environ 2 milliards $ avec le géant des télécommunications BCE (TSX:BCE), société mère de Bell Canada. Les contrats de services et de solutions de technologies de l'information se poursuivront jusqu'en décembre 2026. Les deux entreprises travaillent ensemble depuis déjà plus de 15 ans. CGI (TSX:GIB.A) est responsable du réseau de technologies de l'information de Bell, notamment en soutenant des centaines d'applications. La société des technologies de l'information dévoilera jeudi ses résultats financiers pour son quatrième trimestre. Son bénéfice net devrait avancer à 222 millions $, par rapport à 141 millions $ l'an dernier, tandis que ses revenus devraient se chiffrer à 2,57 milliards $, d'après les prévisions d'analystes recueillies par Thomson Reuters. En excluant les éléments non récurrents, le bénéfice ajusté devrait grimper de neuf pour cent à 233 millions $, ou 73 cents par action, selon les prévisions. http://www.lesaffaires.com/techno/technologie-de-l-information/cgi-obtient-des-prolongations-de-contrats-de-2-milliards--de-bce/573833 Sent from my iPhone using Tapatalk -
http://www.lapresse.ca/le-soleil/opinions/chroniqueurs/201409/30/01-4805116-que-feriez-vous-avec-2000-milliards-.php Publié le 01 octobre 2014 à 05h00 | Mis à jour le 01 octobre 2014 à 05h00 Que feriez-vous avec 2000 milliards $? JEAN-SIMON GAGNÉ Le Soleil (Québec) Rêvons un peu. Imaginons ce que les États-Unis auraient pu faire avec les 2000 milliards $ engloutis dans les guerres d'Irak et d'Afghanistan, depuis 2001? - Lancer un vaste programme de réfection des infrastructures, à travers les États-Unis (500 milliards $)? - Nourrir les 800 millions de personnes affamées de la planète durant 10 ans (300 milliards $)? - Financer un programme de vaccination annuel de tous les enfants du monde contre la rougeole, la coqueluche, le tétanos, la tuberculose, la polio et la diphtérie (8 milliards $)? - Élargir l'assurance maladie pour inclure les 40 millions d'Américains qui n'en ont toujours pas (500 millions $)? - Doubler les sommes consenties par la Banque mondiale pour fournir de l'électricité à tous les habitants de la planète, d'ici 2030 (150 milliards $)? - Multiplier par cinq le financement public de la recherche sur le cancer, durant 10 ans (300 milliards $)? - Expédier des astronautes sur la planète Mars (100 milliards $)? - Fournir de l'eau potable aux 2,4 milliards d'êtres humains qui n'y ont pas accès (40 milliards $)? - Vaincre l'analphabétisme à travers le monde (20 milliards $)? Et même après cela, on pourrait encore distribuer un cornet de crème glacée au chocolat à chaque habitant de la planète (3,5 milliards $). Sans oublier l'achat de deux bébés girafes pour chacun des 1300 jardins zoologiques accrédités à travers le monde (650 millions $). Stop. N'en profitez pas pour faire de l'humour facile. Le premier qui ose dire «que les girafes en valent le cou», il aura affaire à moi. *** «À quoi bon faire des calculs naïfs sur ce que les Américains auraient pu faire?» demanderont les cyniques. Si la principale exportation de l'Irak était l'asperge, et non le pétrole, les États-Unis n'y auraient pas mené des opérations militaires durant 17 des 24 dernières années. Comment oublier la plaisanterie à la mode lors de la chute de Bagdad, au printemps 2003? - L'Irak va être séparé en trois parties : ordinaire, super sans plomb et diesel. Très drôle. Il n'empêche qu'en regardant une carte du Moyen-Orient, ces jours-ci, même les cyniques broient du noir. Jusqu'au bout, eux aussi refusaient de croire que la lumière au bout du tunnel était celle d'un train qui arrivait en sens inverse. En Afghanistan, il n'est pas exclu que les talibans reprennent le pouvoir. En Irak et en Syrie, la montée fulgurante de l'État islamique promet un carnage de grande ampleur. Deux milles milliards de dollars et des centaines de milliers de morts pour en arriver là? Quand on sait que les militaires promettaient précisément de rendre le monde plus sûr? Avouez que cela ressemble à une mauvaise plaisanterie. Mais l'humour, c'est parfois tout ce qui reste pour affronter la cruelle réalité, à Bagdad, à Tripoli, à Gaza, à Damas ou au Caire. - Chez nous, le service de police est excellent, disent les passants au Caire. Et il vaut mieux le répéter très fort pour n'être arrêté et battu à mort par ces excellentes personnes. *** Qu'auraient pu faire les États-Unis avec 2000 milliards $, au lieu de faire la guerre, depuis 2001? Il paraît que la question ne se pose plus. Car une nouvelle guerre s'annonce. Un nouveau choc entre la «civilisation» et la «barbarie absolue». À charge pour chacun de s'y retrouver, dans le jeu des alliances qui se font et qui se défont. Dans ces conditions, même l'infâme président syrien, Bachar Al-Assad, garde espoir. Qui sait si les États-Unis et leurs alliés n'auront pas besoin de lui pour combattre l'organisation de l'État islamique? Peut-être qu'il lui suffira de ranger les crocs de boucher et de changer la moquette maculée de sang? Allez savoir. «Chez nous, toute prédiction est impossible, blaguaient les Syriens, au début de la guerre civile, en 2011. Même les conférences d'astrologues et de médiums sont annulées, "à cause de circonstances imprévues".» Ils ne croyaient pas si bien dire. Peu importe. À la fin, notre légendaire capacité d'oubli triomphe toujours. Parfois, quand il s'agit du Moyen-Orient, notre perspicacité n'a d'égale que celle d'un auditeur étourdit de la BBC. - Combien de temps a duré la guerre des Six Jours entre Israël et trois pays arabes? demandait l'animateur. Réponse du partipant : «Quatorze jours?»
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Cominar achète un portefeuille de 15 immeubles d'Ivanhoé Cambridge
un sujet a posté ScarletCoral dans L'actualité
Grosse transaction dans le monde immobilier via LaPresse : Publié le 26 août 2014 à 16h01 | Mis à jour à 17h06 Cominar achète un portefeuille de 15 immeubles d'Ivanhoé Cambridge La Presse Canadienne Le Fonds de placement immobilier Cominar a annoncé mardi l'acquisition d'un portefeuille de 15 immeubles auprès d'Ivanhoé Cambridge pour un montant de 1,527 milliard $, ce qui fera bondir la valeur de ses actifs de 25 pour cent, à plus de 8 milliards $. En incluant les intérêts des partenaires de la filiale immobilière de la Caisse de dépôt et placement du Québec dans deux immeubles, la transaction est évaluée à près de 1,63 milliard $ pour Cominar (T.CUF.UN). La transaction comprend 11 centres commerciaux, trois immeubles de bureaux et un immeuble industriel, situés au Québec et en Ontario. Le Mail Champlain (Brossard), le Centropolis (Laval), le Rockland (Ville Mont-Royal), les Galeries Rive-Nord (Repentigny), Les Rivières (Trois-Rivières), le Carrefour Rimouski, le Centre commercial Rivière-du-Loup, le Carrefour Saint-Georges, les Galeries de Hull et le Carrefour Frontenac (Thetford Mines) passeront notamment entre les mains du fonds de placement immobilier établi à Québec. Les quelque 120 employés d'Ivanhoé Cambridge dans les propriétés incluses dans la transaction seront transférés au sein de la structure de Cominar. Le président et chef de la direction de Cominar, Michel Dallaire, a souligné que cette acquisition était «complémentaire» au portefeuille d'immeubles commerciaux actuellement détenus par la société. Pour financer la transaction, Cominar a notamment émis 500 millions $ en nouvelles parts, dont une tranche de 250 millions $ achetée par Ivanhoé Cambridge, qui devient ainsi son plus important détenteur de parts, avec 8,5 pour cent. En date du 31 décembre dernier, les actifs d'Ivanhoé Cambridge - répartis principalement au Canada, aux États-Unis, en Europe, au Brésil ainsi qu'en Asie - totalisaient plus de 40 milliards $. De son côté, Cominar se présente comme le troisième fonds de placement immobilier diversifié ainsi que le plus important propriétaire d'immeubles commerciaux au Québec. Son portefeuille est actuellement constitué de 526 immeubles. -
Désolé pour els amateurs de mauvaises nouvelles. Voici un artcile sur la progression de PSP Investissement, une caisse de retraire comparable à la caisse de dépot et 100% basé à Montréal (mis à part un bureau bidon à Ottawa pour de la représentation). La croissance de leur actif les positionnent maintenant au 4e rang des caisses de retraire au Canada derrière CDP, CPP et Teacher's. Un jour ils auront leur propre tour dans le CV de Montréal je vous le garantie. Publié le 13 décembre 2013 à 06h42 | Mis à jour à 09h29 Actif doublé à plus de 85 milliards en quelques années à peine. Effectif montréalais approchant les 500 employés. Plus de 4 milliards par an en nouveaux capitaux à investir. Le tableau de bord de la société montréalaise Investissements PSP a de quoi susciter l'envie parmi les gestionnaires d'actif des plus grandes caisses de retraite au Canada. Mais au dire de son président et chef de la direction, Gordon Fyfe, les défis de gestion chez PSP s'apparentent encore à ceux d'une entreprise en pleine émergence: produire de bons résultats courants et futurs tout en gérant une croissance rapide de l'actif et des effectifs. «Pendant que nous développons nos équipes de placement et leur portefeuille, nous devons aussi gérer beaucoup de liquidités qui entrent et qui sortent chaque année dans notre actif», résume Gordon Fyfe en entrevue avec La Presse Affaires. «Néanmoins, cet afflux de liquidités est aussi l'un de nos principaux avantages comparatifs parmi les gestionnaires d'actif de grosses caisses de retraite. Nous avons plus de flexibilité pour effectuer nos transactions aux moments les plus avantageux selon nos objectifs de rendement.» D'où provient cet avantage? Pour l'expliquer, il faut rappeler qu'Investissements PSP a été créée il y a 13 ans par le gouvernement fédéral en tant que société d'État autonome avec le mandat de mieux gérer l'actif des caisses de retraite de plusieurs dizaines de milliers d'employés fédéraux. Il s'agit d'abord de la caisse principale des fonctionnaires, mais aussi celles de la Défense nationale, de la Gendarmerie royale du Canada et, depuis peu, des membres de la Réserve militaire. À l'époque, en 2000, l'actif combiné de ces caisses de retraite se chiffrait à une dizaine de milliards de dollars. Treize ans plus tard, il vient de passer le seuil des 85 milliards. Et il est déjà prévu autour des 300 milliards dans une quinzaine d'années, selon les hypothèses actuarielles des caisses de retraite fédérales. En ce moment, la croissance de l'actif géré par PSP est en partie attribuable aux revenus de placement accrus par une gestion active. Ces revenus ont atteint 7,1 milliards lors de l'exercice terminé le 31 mars, ce qui a porté à 23 milliards le total des revenus engrangés au cours des quatre dernières années, depuis le revers de 9,5 milliards subi l'année de la crise financière. Mais aussi, admet d'emblée Gordon Fyfe, la croissance d'actif chez PSP provient encore beaucoup de l'influx annuel de 4 à 5 milliards de dollars en nouveaux capitaux à investir. PSP se retrouve ainsi dans une situation singulière parmi les gestionnaires d'actif des plus grandes caisses de retraite du secteur public au Canada. Selon M. Fyfe, cette situation découle de la «jeunesse démographique» des caisses de retraite fédérales dont PSP gère les placements, comparativement à ses semblables comme la Caisse de dépôt et placement du Québec et les caisses Teachers' et OMERS en Ontario. «Ces caisses de retraite sont plus matures démographiquement, et certaines déjà en phase de sortie de liquidités [NDLR: nombre croissant de retraités-prestataires par rapport aux salariés-déposants]. Chez PSP, les caisses dont nous gérons les actifs ne seront pas dans cette situation avant 15 à 20 ans.» D'où l'avantage comparatif auquel prétend PSP parmi ses pairs en pouvant compter sur un apport considérable de capitaux neufs à investir pour plusieurs années. Aussi, PSP peut orienter sa recherche d'actifs selon deux critères principaux. D'une part, des actifs à potentiel supérieur de croissance mais à long terme, notamment dans les économies émergentes par rapport aux économies développées. C'est ce qui explique en partie la part de 16% de l'actif total de PSP qui est identifiée aux régions d'économies émergentes comme l'Asie et l'Amérique latine. Flexibilité D'autre part, explique Gordon Fyfe, PSP a la flexibilité de liquidités pour investir rapidement dans des actifs de qualité mais qui se retrouvent en «détresse» temporaire en raison d'une conjoncture négative ou de problèmes financiers chez leurs propriétaires. Un exemple de cette flexibilité? Au lendemain de la crise financière de 2008, et même si le rendement de son actif en avait été très affecté comme chez ses pairs, PSP avait encore des milliards de dollars en capitaux neufs à investir dans des actifs soudainement dépréciés. C'est ainsi que PSP a pu profiter de la crise immobilière dans plusieurs villes américaines, dont New York, pour garnir son portefeuille de bons immeubles commerciaux à prix avantageux. Quelques années plus tard, le portefeuille immobilier de PSP approche les 10 milliards, à hauteur de 12% de l'actif total sous gestion. Et le rendement courant de ce portefeuille immobilier (11% durant l'exercice terminé le 31 mars) cote au double de celui de l'indice de référence sectoriel. «Nous réalisons de solides rendements de nos divers portefeuilles depuis quelques années et nous entendons bien continuer ainsi», affirme Gordon Fyfe. Quant à sa lecture courante des marchés du placement, il préfère s'en tenir à sa philosophie de direction des équipes de portefeuille chez PSP. «Ce qu'il y a d'intéressant dans notre domaine, c'est qu'il y a toujours quelque part de bons actifs qui se retrouvent dans le trouble. Et chez PSP, nous avons les moyens de transiger rapidement dans ce type d'actifs, mais toujours quand ça nous plaît vraiment et selon nos objectifs de rendement.» Investissements PSP en un coup d'oeil > Activités: gestion des placements de l'actif de quatre caisses de retraite d'employés fédéraux: fonction publique, Défense nationale, GRC, Force de réserve > Actif net (au 1er déc. 2013): 86 milliards > Rendement annualisé depuis quatre ans: 12,2% (au 31 mars) > Siège administratif: Montréal > Effectif: 470 employés > Frais d'exploitation: 0,24% de l'actif net (au 31 mars) > Rémunération des cinq principaux dirigeants: 16,1 millions (+57% en 2013) > Année de fondation: 2000 (société d'État fédérale) Source: Investissements PSP Les grands gestionnaires de fonds de retraite > Office d'investissement du Régime de pension du Canada: 192 milliards (au 30 sept. 2013) > Caisse de dépôt et placement du Québec: 186 milliards (au 30 juin 2013) > Teachers (Régime de retraite des enseignants de l'Ontario): 129 milliards (au 31 déc. 2012) > Investissements PSP: 86 milliards (au 1er déc. 2013) > Alberta Investment Management Corp.: 68 milliards (au 31 déc. 2012) > Omers (Régime de retraite des employés municipaux de l'Ontario): 61 milliards (au 31 déc. 2012) > BC Pension: 31 milliards (au 31 mars 2013) > OPB (Commission des régimes de retraite de l'Ontario): 19 milliards (au 31 déc. 2012) Sources: rapports annuels, Bloomberg, archives média Eureka
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Suncor: investissement de 220 millions à Montréal Suncor (T.SU) a fait savoir hier qu'elle investira quelque 200 millions de dollars à Montréal pour préparer sa raffinerie à traiter du pétrole de l'Alberta. Il s'agit d'une première étape d'un investissement plus considérable, pouvant dépasser le milliard de dollars, qui est nécessaire pour permettre à la raffinerie de Montréal de traiter du pétrole plus lourd et moins coûteux que le brut importé. Ce projet d'investissement est dans l'air depuis des années. Il avait été annoncé par Petro-Canada avant la transaction qui l'a fait passer aux mains de Suncor en 2009. Il refait surface aujourd'hui parce que le prix du brut importé est plus élevé que celui du pétrole albertain, qui souffre du manque de débouchés vers les marchés de consommation. Suncor a donné son appui à l'inversion du flux du pipeline d'Enbridge pour acheminer le pétrole de l'Ouest à Montréal. L'entreprise, qui est aussi le plus gros producteur canadien de pétrole bitumineux, a indiqué qu'elle avait l'intention d'utiliser le train pour approvisionner sa raffinerie de Montréal. L'annonce d'hier donne le feu vert officiel à la transformation de la raffinerie. L'investissement d'environ 220 millions fait partie du programme de dépenses de Suncor pour 2014, qui a été rendu public hier. Suncor prévoit investir 960 millions dans ses activités de commercialisation et de raffinage, soit 740 millions pour les entretenir et 220 millions pour les faire croître. «Le capital de croissance du secteur Raffinage et commercialisation de 220 millions sera affecté en grande partie à des projets visant à préparer la raffinerie de Montréal pour l'approvisionnement en pétrole brut intérieur», a précisé l'entreprise dans son annonce. Au total, Suncor prévoit dépenser 7,8 milliards en 2014, dont 4,2 milliards dans des projets de croissance et 3,5 milliards en entretien. Elle compte augmenter sa production de pétrole de 10%. http://affaires.lapresse.ca/economie/energie-et-ressources/201311/21/01-4712993-suncor-investissement-de-220-millions-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS22
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L'une des institutions financières les plus puissantes d'Asie, la Banque de Chine, ouvre une succursale d'affaires à Montréal. Son premier objectif: s'introduire comme intermédiaire financier de premier plan dans le marché croissant des affaires, du commerce et des investissements entre des entreprises d'ici et de Chine. Quant au marché des particuliers, dont l'importante communauté d'origine chinoise dans la région de Montréal, le directeur de la nouvelle succursale de la Banque de Chine prévoit attendre «d'ici deux ans» avant de chercher à s'y implanter. «L'un des objectifs globaux de la Banque de Chine est de faciliter l'usage international de la monnaie chinoise [yuan] comme une devise des échanges commerciaux et financiers dans le monde, a indiqué Guillaume Liu, directeur de la nouvelle succursale de Montréal. «Pendant ce temps, il y a de plus en plus d'activités d'affaires qui se font entre des entreprises québécoises et chinoises. Il y a aussi davantage d'entreprises québécoises qui s'implantent en Chine. L'inverse s'accroît aussi, dans les secteurs des ressources et des technologies.» Résidant du Québec depuis une dizaine d'années, M. Liu est diplômé en gestion financière de projets internationaux de l'UQAM et a été consultant à la firme d'analyse Secor. Auparavant, M. Liu dit avoir été conseiller en gestion de projets internationaux auprès d'organismes comme la Banque mondiale. Pour la Banque de Chine, cette nouvelle succursale de Montréal est en fait sa 10e place d'affaires au Canada. Son ouverture survient aussi au 20e anniversaire de sa présence au Canada, depuis son premier bureau ouvert à Toronto en 1993. Avant Montréal, la Banque de Chine avait ouvert des succursales à Vancouver et Calgary. Selon Lijun Wang, chef de la direction de la Banque de Chine au Canada, «le choix du Grand Montréal, un centre financier de calibre mondial, fait partie intégrante d'une stratégie de développement qui nous positionne auprès d'un nouveau marché dynamique, et ce, au sein d'une économie stable et diversifiée». À son 20e anniversaire, la filiale canadienne de la Banque de Chine regroupe quelque 200 employés et cumule environ 1,5 milliard de dollars d'actif. À première vue, ces chiffres semblent minuscules par rapport à la taille mondiale de la Banque de Chine avec un actif équivalant à 2454 milliards de dollars et des revenus annualisés de l'ordre des 74 milliards. De très bon augure Mais pour le milieu d'affaires du Grand Montréal, l'implantation d'une succursale de la Banque de Chine est considérée comme de très bon augure. «Cette arrivée constitue une excellente nouvelle pour l'essor économique de la région puisqu'elle favorisera l'attraction de nouveaux investissements chinois et permettra aux entreprises québécoises d'accéder plus facilement au marché de la Chine», a déclaré Élie Farah, vice-président chez Montréal International. «La Chine est l'une des plus importantes sources d'investissements directs étrangers au Canada; il est donc primordial de soutenir l'accroissement des échanges et des investissements entre nos deux pays.» > Siège social: Pékin, Chine > Actif: 13 256 milliards de yuans (2454 milliards de dollars canadiens) > Revenus d'exploitation annualisés: 397 milliards yuans (74 milliards de dollars canadiens) > Bénéfice net annualisé: 145 milliards yuans (26 milliards de dollars canadiens) > Valeur boursière (Hong Kong): 993 milliards HKD (127 milliards de dollars canadiens) AU CANADA: > Siège administratif: Toronto > Effectif: 200 employés dans 10 succursales/bureaux > Actif: environ 1,5 milliard de dollars canadiens Sources: Bloomberg, Banque de Chine http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201310/09/01-4697960-la-banque-de-chine-sinstalle-a-montreal.php
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La SCHL limite les garanties sur les titres hypothécaires Publié le 06 août 2013 à 13h31 | Mis à jour le 06 août 2013 à 14h04 La Presse Canadienne OTTAWA Les Canadiens pourraient bientôt devoir payer davantage pour de nouveaux prêts immobiliers, alors que la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) a commencé à limiter les garanties offertes aux banques et autres organisations de prêts sur les titres hypothécaires. La SCHL a averti les banques, sociétés de crédit et autres prêteurs hypothécaires qu'ils seront tous restreints à un maximum de 350 millions de dollars en nouvelles garanties ce mois-ci en vertu de son Programme des titres hypothécaires LNH conforme aux dispositions de la Loi nationale sur l'habitation. Des analystes estiment que le plafond rendra l'obtention par les banques de fonds pour prêter à leurs clients plus ardue et plus dispendieuse, ce qui se traduira probablement par un bond des taux hypothécaires. La société de la Couronne a obtenu la latitude pour garantir jusqu'à 85 milliards de dollars cette année en vertu du programme - et environ 66 milliards avaient été engagés à la fin juillet, s'approchant du total de 76 milliards de dollars pour l'ensemble de 2012. La SCHL a fait état de cette augmentation «inattendue» des volumes, et des mesures prises, dans une note aux prêteurs, le 1er août. La conversion de prêts en titres soutenus par la SCHL est un moyen pour les prêteurs d'obtenir des fonds d'un large éventail d'investisseurs et pour les banques d'émettre plus de prêts à de moindres coûts. Mais le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, a déjà exprimé des craintes d'une surchauffe du secteur immobilier qui pourrait contaminer l'économie, et il a pris plusieurs mesures ces dernières années pour contenir le flux de crédits hypothécaires. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201308/06/01-4677490-la-schl-limite-les-garanties-sur-les-titres-hypothecaires.php ----------------- Une immense nouvelle que personne ici n'as rapporté... un excellent "move" pour gérer le risque relié à un éventuel crash immobilier.
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http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201211/12/01-4593085-infrastructures-pauline-marois-met-les-freins.php L'appel d'offres principal pour l'échangeur Turcot devait être lancé le printemps dernier; il le sera plutôt à la fin de l'année ou au début de 2013, dans le but de réduire les dépenses. PHOTO: ANDRÉ PICHETTE, LA PRESSE DENIS LESSARD La Presse (Québec) Étranglé par une facture de 44 milliards pour ses projets d'infrastructures dans les cinq prochaines années, le gouvernement Marois appliquera les freins sur des dizaines de projets de construction des ministères des Transports, de la Santé et de l'Éducation - des immobilisations annoncées, mais dont les travaux n'étaient pas encore amorcés. Selon les informations obtenues par La Presse, à la suite des conclusions d'une évaluation réalisée par KPMG pour le compte d'Infrastructures Québec, le Conseil du Trésor posera de nouvelles balises plus serrées pour stopper la flambée des coûts des mégaprojets - notamment l'échangeur Turcot et le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM). Ces décisions doivent être annoncées par le président du Conseil du Trésor, Stéphane Bédard, dans le cadre du Plan quinquennal d'investissements qui fera partie des crédits budgétaires rendus publics en marge du budget de Nicolas Marceau, mardi prochain. Dans le cas de l'échangeur Turcot, le projet a d'abord été annoncé à 1,4 milliard sous le gouvernement libéral; la facture officielle a grimpé à 3 milliards, mais le compteur continue de tourner. «En route» pour 4 milliards, on appliquera donc les freins. «Le gouvernement n'acceptera pas de mettre autant d'argent.» Québec dira aux soumissionnaires qu'il y aura un «plafond» et qu'ils devront proposer un «scénario d'optimisation» du projet. L'appel d'offres principal n'est pas encore lancé pour ce mégaprojet. Québec s'assurera que le coût de l'aventure sera révisé avant d'aller de l'avant, ont indiqué à La Presse des sources gouvernementales. La série de travaux préparatoires et les mesures destinées à rendre le projet plus acceptable ont fait grimper la facture. L'appel d'offres principal devait être lancé le printemps dernier; il le sera plutôt à la fin de l'année ou au début de 2013. Refaire les calculs pour le CHUM Même topo pour le CHUM. D'abord annoncée à 840 millions, la facture s'élève officiellement à 1,6 milliard - en route vers 2 milliards. Cette fois encore, comme le projet est très avancé, il n'est pas question de reculer. Au Trésor, on demandera néanmoins aux responsables du projet de refaire leurs calculs pour réduire les coûts. Québec veut diminuer, au cours des cinq prochaines années, ses engagements en immobilisations. Dans le cas de plusieurs projets en cours, il est trop tard pour freiner les dépenses. Parmi la vingtaine de projets soumis à KPMG, on trouve la route des monts Otish, élément important du Plan Nord. Ce projet nécessitait le transport par hélicoptère de matériaux, parce qu'on doit travailler sur plusieurs tronçons simultanément pour respecter les échéanciers. Ce seul projet a vu son coût grimper de 260 à 471 millions. KPMG doit déterminer, dans le processus de décision des projets, les causes de la flambée des coûts. C'est 44 milliards d'investissements que Québec prévoyait faire en cinq ans. Déjà, dans le dernier budget Bachand, on prévoyait réduire ces engagements de 500 millions pour les années à venir. On repoussera donc tout ce qui n'est pas déjà engagé. On s'attend à ce que les ministères montent au créneau, mais on leur rappellera qu'il y a quelques années, Québec ne dépensait que 10 milliards sur cinq ans. Une longue attente en santé Dans le réseau de la santé, ce sera l'hécatombe, particulièrement dans la région de Montréal, où près de 2 milliards d'investissements en infrastructures étaient attendus. Au Ministère, on comprend que, dans bien des cas, si on reporte un projet officiellement d'un an, l'attente sera dans les faits beaucoup plus longue. Sous le gouvernement Charest, on annonçait beaucoup de projets sans nécessairement budgéter les fonds nécessaires, soutient-on dans les coulisses au sein du gouvernement Marois. Des projets comme les phases deux, trois et quatre de l'Hôpital général juif - une facture de plus de 250 millions - ont été «annoncés», mais pourraient être mis en suspens. Quant à l'agrandissement de l'hôpital Maisonneuve-Rosemont, il serait carrément «sur les brakes», affirme une source à l'interne. Parmi les engagements aussi «en suspens», notons un pavillon supplémentaire à l'hôpital Charles-LeMoyne, l'agrandissement de la Cité de la santé de Laval et un hôpital complètement rénové à Saint-Jérôme. Dans tous ces cas, aucun appel d'offres n'a été lancé. Ces changements auront un impact important sur le plan des effectifs médicaux. À la Cité-de-la-Santé, par exemple, le bloc opératoire est déjà utilisé à 100%; on ne pourra y accueillir de nouveaux médecins à moins de procéder aux agrandissements prévus. L'ex-ministre Yves Bolduc avait publiquement annoncé l'agrandissement des urgences de l'hôpital d'Alma et l'ajout de 140 lits à Le Gardeur, des projets appuyés par le Parti québécois qui risquent aussi de se retrouver sur la glace, confie-t-on dans le réseau de la santé. En éducation, on parle de projets réduits et moins nombreux. Ainsi, le Centre des sciences de l'Université de Montréal était prévu, mais comme les travaux ne sont pas entamés, on voudra certainement revoir les coûts.