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  1. Un milliard investi à Brossard d'ici deux ans Le Quartier DIX30 amorce sa troisième phase, avec 200 millions pour accueillir 80 magasins de plus. 12 juin 2008 - 06h00 La Presse Laurier Cloutier Malgré le ralentissement économique et les prix fous à la pompe, les investissements immobiliers se multiplient à Brossard, en particulier au Quartier DIX30 et dans la relance du boulevard Taschereau. L'Association des gens d'affaires de Brossard prévoit que les investissements immobiliers (résidentiel, commercial, industriel) «dépasseront facilement le milliard de dollars d'ici décembre 2010», souligne le vice-président aux communications, Jean-Luc Saint-Martin. «C'est une période assez faste.» Le maire de Brossard, Jean-Marc Pelletier, traitera d'ailleurs de cette vague d'investissements et du «pouvoir d'attraction immobilier» de la ville au cours du prochain Souper trimestriel des décideurs, la semaine prochaine. Ça roule «assez fort» à Brossard, ajoute l'économiste principal de la Commission de la construction du Québec, Louis Delagrave, qui fera ses prévisions, durant la rencontre, et décrira les avantages de la ville par rapport à d'autres. «Dans le résidentiel seulement, ça tourne autour de 300 millions» et les investissements au Quartier DIX30 et par le Groupe F. Catania contribuent largement au développement, dit-il. Catania a des projets de 1,3 milliard, dont 40 millions pour les 200 000 pieds carrés de bureaux de la Tour Catania, souligne le maire Pelletier. «On a investi plus à Brossard l'an dernier que dans toute l'agglomération de Longueuil», renchérit M. Saint-Martin. Avec 274 millions, Brossard a récolté 89% de toute la construction commerciale de l'agglomération de Longueuil et 48% de la résidentielle, ajoute Jean-Marc Pelletier. «Brossard a connu une année exceptionnelle et la ville en a encore pour trois ou quatre autres bonnes», dit M. Saint-Martin. Le Quartier DIX30 amorce sa troisième phase, avec 200 millions pour accueillir 80 magasins de plus, déclare de son côté le directeur de la location, Éric Foster. Cela se compare aux 600 millions des deux premières phases, avec 200 magasins, dit-il. Une nouvelle bretelle de l'autoroute 10 donnera bientôt accès au DIX30, en plus de celle de l'autoroute 30, note-t-il. La quatrième phase ajoutera 300 millions, renchérit le maire Pelletier. «C'est majeur, on va presque doubler le DIX30.» Par contre, Brossard n'a plus que 8% de son territoire pour la construction, dont le tiers est zoné agricole. Et le maire veut un jour «finir par divorcer avec Longueuil, pour cesser de se faire parachuter ses dettes». Ex-Rona Vendredi dernier, par ailleurs, le propriétaire majoritaire de l'ex-Rona L'Entrepôt du boulevard Taschereau, André H. Gagnon, a accepté l'offre d'achat du Groupe Mach, de Montréal. «L'immeuble de 115 000 pieds carrés payé 12,5 millions sera converti en centre commercial d'une dizaine de magasins après des travaux de 4 à 6 millions», précise Vincent Chiara, président du Groupe Mach. «On récupère ainsi l'investissement sur le terrain et l'immeuble», dit André H. Gagnon, qui a déménagé ce Rona au Quartier DIX30 l'automne dernier. Vincent Chiara a «déjà signé des baux avec quelques chaînes», dont pour un supermarché IGA de 50 000 pieds carrés. Mach «est par ailleurs sur le point de conclure une entente avec Jean Coutu, pour 15 000 pieds carrés», précise-t-il. Le restaurant La Popessa, Subway et quelques autres restos-minute ont aussi signé des baux, ajoute le président qui a également attiré des professionnels, dont des dentistes. Le Groupe Mach doit par contre réaliser «beaucoup de travaux avant l'ouverture d'une partie de ces commerces d'ici décembre». Par ailleurs, un nouveau concept de Zellers va s'implanter dans les locaux de l'ex-Wal-Mart de Place Portobello, boulevard Taschereau, confirme le vice-président à l'exploitation de Cogir, Marcel Toupin. Zellers va commencer bientôt à réaménager tous les locaux de 128 000 pieds carrés de l'ex-Wal-Mart (déménagé au Quartier DIX30), avant d'ouvrir le 15 novembre prochain, indique-t-il. Quant à Ivanhoé Cambridge, elle entend miser au moins 10 millions sur la rénovation du Mail Champlain, boulevard Taschereau.
  2. Electricite: entente de 1 milliard entre le Quebec et l'Ontario | Quebec Publié le 15 décembre 2016 à 17h03 | Mis à jour à 17h03 Électricité: entente de 1 milliard entre le Québec et l'Ontario Le Québec et l'Ontario ont signé une entente de 1 milliard de dollars pour... MONTRÉAL Le Québec et l'Ontario ont signé une entente de 1 milliard de dollars pour l'exportation d'hydroélectricité, qui, de l'avis des premiers ministres des deux provinces, est historique en plus de marquer le début d'un partenariat énergétique dans le centre du Canada. Le premier ministre Philippe Couillard et son homologue ontarienne Kathleen Wynne ont pris part jeudi à une cérémonie pour officialiser l'entente annoncée en octobre dernier. Sur sept ans, le Québec exportera annuellement deux térawattheures (TWh) - une quantité suffisante pour approvisionner une ville d'environ 200 000 personnes - à destination de sa voisine. «C'est une entente historique, la première du genre et une continuation de la résurgence de l'influence du bloc du centre du Canada», a dit M. Couillard. Mme Wynne a affirmé que l'Ontario pourra réduire sa facture énergétique de 70 millions $ tout en éliminant un million de tonnes de gaz à effet de serre par année. Les lignes de transport qui relient les deux provinces peuvent même acheminer davantage d'hydroélectricité, a-t-elle ajouté. «Nous comprenons qu'il y a encore de la capacité, (...) mais à un certain point il faudra peut-être investir pour de nouvelles infrastructures, a dit Mme Wynne. Il est possible d'étendre le partenariat.» L'Ontario réservera également 500 mégawatts de puissance à Hydro-Québec afin de répondre aux besoins du Québec en période de pointes hivernales. M. Couillard a affirmé que certains détails de l'entente n'avaient pas été dévoilés parce que des négociations sont en cours avec d'autres clients potentiels. En réponse à une question, il a affirmé que les rumeurs selon lesquelles l'Ontario allait payer cinq cents pour chaque kilowattheure d'hydroélectricité étaient erronées.
  3. La caisse de depot prend une part de 30% dans Bombardier Transport pour 1.5 milliard de $. Bonne nouvelle ca va permettre a Bombardier de retablir son Cash Flow. http://www.cdpq.com/fr/nouvelles-medias/communiques/bombardier-et-caisse-concluent-une-entente-definitive-caisse-acquiert
  4. EXCELLENTE NOUVELLE ET UN SIEGE SOCIAL QUI RESTE A MONTREAL Publié le 02 avril 2014 à 10h17 | Mis à jour à 12h33 Osisko (T.OSK), qui fait l'objet d'une offre d'achat hostile du géant Goldcorp (T.G), a finalement trouvé son chevalier blanc. Avec l'aide de la Caisse de dépôt et placement du Québec et de l'Office d'investissement du Régime de pensions du Canada (OIRPC), l'entreprise torontoise Yamana Gold (T.YRI) propose d'acheter la moitié de la société aurifère québécoise pour 1,37 milliard. Si la proposition est acceptée, les actionnaires d'Osisko recevront l'équivalent de 7,60 $ par action (2,19 $ en argent comptant, 2,06 $ sous forme d'une participation dans Yamana et 3,35 $ sous la forme d'une action du nouvel Osisko). C'est environ 10 % de plus que le cours de clôture des actions d'Osisko hier et 22 % de plus que l'offre de Goldcorp, dont la valeur était de 6,21 $ hier soir. En fin d'avant-midi, mercredi, l'action d'Osisko s'échangeait à 7,45 $ à la Bourse de Toronto, une possible indication que tous les investisseurs ne sont pas convaincus que la transaction avec Yamana ira de l'avant. Dans le cadre de l'entente, la Caisse de dépôt et l'OIRPC injecteront chacun 275 millions dans Osisko. La Caisse investira dans un «contrat de fourniture d'or» alors que l'OIRPC accroîtra la facilité de crédit d'Osisko. De plus, la Caisse et Investissement Québec convertiront en actions leurs débentures d'Osiko, dont la valeur totalise 75 millions (partagé à parts égales). Selon Osisko, la transaction permettra de distribuer 1 milliard en tout aux actionnaires de l'entreprise. «L'annonce d'aujourd'hui procure une valeur beaucoup plus importante à nos actionnaires, a déclaré le PDG d'Osisko, Sean Roosen. Elle offre aussi aux actionnaires la certitude de pouvoir continuer à participer au potentiel de croissance futur de notre mine Canadian Malartic, qui génère des flux de trésorerie disponibles très solides, ainsi que la capacité de continuer à bénéficier de nos futurs travaux d'exploration et de développement.» «Cette transaction nous permet d'entrer dans une nouvelle juridiction nord-américaine de calibre mondial, a quant à lui commenté le grand patron de Yamana, Peter Marrone. Elle amène une augmentation immédiate de notre production et une amélioration de notre structure de coûts déjà avantageuse.» La transaction devra être approuvée par les actionnaires lors d'une assemblée qui aura lieu d'ici le 20 mai. Jusqu'ici, Goldcorp a assuré ne pas avoir l'intention de bonifier son offre pour Osisko, mais le géant vancouvérois a encore le temps de changer d'avis.
  5. Nouvelles Projet minier de 1,3 milliard $ à Bécancour Le 5 novembre 2013 à 11h33 | Argent Minéraux rares Quest a annoncé mardi un investissement majeur à Bécancour. L’entreprise minière y fera construire une usine de 1,3 milliard de dollars. L’entreprise prévoit la création d’environ 500 emplois pendant la phase de construction du complexe, et plus de 300 lors de l'entrée en fonction de l'usine dans trois ans. À la suite d'une étude de préfaisabilité, Quest estime que son gisement de la Zone-B de Lac Strange, situé dans le nord du Québec, deviendra l'un des projets miniers d'éléments de terres rares lourdes les plus importants et de plus haute qualité au monde. L'entreprise canadienne veut faire de l'usine de Bécanour la première usine du genre en Amérique du Nord et l'une des plus avancées sur le plan technologique. http://argent.canoe.ca/nouvelles/projet-minier-de-13-milliard-becancour-5112013
  6. Une belle occasion de veloppement manquee par la Banque Nationale... La Scotia achète ING Direct pour 3,1 G$ La Presse Canadienne . les affaires.com . 29-08-2012 (modifié le 29-08-2012 à 16:45) La Banque Scotia (TSX:BNS) a conclu une entente pour acheter la Banque ING du Canada de la société-mère néerlandaise Groupe ING pour 3,13 milliards $ en espèces. La transaction devrait se traduire par un investissement net de 1,9 milliard $ pour la Scotia, une fois déduction faite du capital excédentaire qui se trouve actuellement chez ING Direct. La Banque Scotia a également annoncé une offre publique de 29 millions d'actions ordinaires à 52 $ pour des revenus de 1,5 milliard $ afin de financer cette transaction. L'entente devra être approuvée par les autorités réglementaires. ING Groep NV peine à protéger sa santé financière dans la foulée de mauvais prêts et de marges fondantes. Comme plusieurs banques européennes, ING a dû vendre des actifs et se prévaloir de prêts d'urgence quand la crise budgétaire grecque a miné la confiance envers les institutions bancaires du continent, qui avaient déjà été matraquées par la récession. En février, ING a vendu les activités américaines d'ING Direct à Capital One pour 600 millions $ US. En 2010, le Groupe ING a vendu 400 propriétés industrielles canadiennes au Alberta Investment Management Corp et à KingSett Capital, leur consentant un rabais de 1,3 milliard $, quand la valeur de ce portefeuille s'est écroulée quatre ans après son acquisition.
  7. Le Groupe CGI (T.GIB.A) annonce l'acquisition de Logica, un fournisseur de services en affaires et technologie dont le siège social est établi au Royaume-Uni. La firme montréalaise, qui oeuvre dans le domaine des technologies de l'information, offre d'acquérir toutes les actions ordinaires de Logica pour un prix d'achat total de 1,7 milliard de livres, ou près de 2,8 milliards de dollars CAN. > Sur le blogue des marchés: CGI bondit en Bourse CGI prendra également en charge la dette nette de Logica, évaluée à 322 millions de livres ou 515 millions CAN. L'acquisition devrait être complétée d'ici la fin de septembre 2012. L'entreprise combinée comptera près de 72 000 professionnels répartis dans 43 pays. Le président et de chef de la direction de CGI, Michael E. Roach, a fait valoir que cette consolidation mondiale était à la fois nécessaire et inévitable. Dans la foulée de cette acquisition, la Caisse de dépôt et placement du Québec a annoncé un investissement d'un milliard de dollars dans le Groupe CGI. Le président et chef de la direction de la Caisse, Michael Sabia, a soutenu que cet investissement correspondait en tous points à la stratégie visant à favoriser la croissance internationale des entreprises québécoises, tout en générant des rendements attrayants à long terme pour les déposants. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/31/01-4530268-cgi-achete-logica-pour-28-milliards.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS1
  8. Avez vous remarqué que le compteur de la dette(à droite de la page principale de MTLURB) a augmenté d'environs 8 milliards aujourd'hui? Normalement la dette augmentais d'un milliard par semaine et soudainement il est passé de 226 milliards à 234 milliards!?!?!?
  9. Publié le 11 mars 2009 à 15h32 | Mis à jour à 17h02 La Terre comptera neuf milliards d'habitants en 2050 Selon le nouveau rapport de l'ONU, la croissance de la démographie mondiale devrait se produire essentiellement dans les pays les plus peuplés entre 2010 et 2050, comme la Chine. La Terre comptera sept milliards d'habitants début 2012 et plus de neuf milliards en 2050, et ce sont les pays en développement d'Asie et d'Afrique qui enregistreront l'essentiel de cette hausse démographique, selon de nouvelles estimations de l'ONU rendues publiques mercredi. «Il n'y a pas beaucoup de changements» par rapport aux dernières prévisions onusiennes de 2006 a précisé Hania Zlotnik, directrice de la Division population du département des affaires économiques et sociales de l'ONU. «Nous estimons toujours qu'en 2050 la population mondiale sera d'environ 9,1 milliards», a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse. «Ces projections se fondent sur l'hypothèse que la fécondité qui est aujourd'hui d'environ 2,56 enfants par femme va décliner à environ 2,02 enfants par femme dans le monde.» Selon le nouveau rapport de l'ONU, la croissance de la démographie mondiale devrait se produire essentiellement dans les pays les plus peuplés entre 2010 et 2050. Neuf pays devraient représenter la moitié de la hausse: l'Inde arrive en tête de la liste suivie par le Pakistan, le Nigeria, l'Éthiopie, les États-Unis, la République démocratique du Congo, la Tanzanie, la Chine et le Bangladesh. En revanche, la population de 45 pays ou régions devrait décliner d'au moins 10% sur la même période, notamment en Russie, au Japon, en Italie, Corée du Sud, à Cuba, en Ukraine et dans de nombreuses autres ex-Républiques soviétiques. Dans son précédent rapport 2006, publié en mars 2007, l'ONU prévoyait 9,2 milliards d'habitants dans le monde en 2050. La nouvelle estimation pour le milieu du siècle est légèrement inférieure (9,1 milliards). Le nouveau rapport de l'ONU prévoit également que la population mondiale atteindra 6,8 milliards d'habitants en juillet, soit une hausse de 313 millions depuis 2005, et sept milliards début 2012. Au cours des quatre prochaines décennies, la population des régions plus riches et plus développées devrait connaître un gain modeste, passant de 1,23 milliard à 1,28 milliard, tandis que celle des pays en développement devrait bondir de 5,6 milliards en 2009 à 7,9 milliards en 2050. Pour empêcher un déclin global de leur démographie, les pays riches sont «très dépendants» des flux migratoires en provenance des pays développés, a souligné Mme Zlotnik. Les 49 pays les plus pauvres de la planète continuent à afficher la croissance démographique la plus rapide, et la population des nations les moins développées devrait doubler en passant de 840 millions en 2009 à 1,7 milliard en 2050. La Terre compte également un nombre croissant de seniors. Dans les pays développés, la population des plus de 60 ans croît de 1,9% par an et devrait passer de 264 millions en 2009 à 416 millions en 2050, selon les chiffres de l'ONU. Cette tranche d'âge devrait aussi augmenter fortement dans les pays en développement, de 475 millions en 2009 à 1,6 milliard en 2050.
  10. Une dépense de 1,5 milliard Après avoir clamé «un enfant, une place» en campagne électorale, le PQ de Pauline Marois a réitéré hier que tous les parents du Québec devraient disposer d'une place en garderie pour leurs enfants. Après avoir réclamé des compressions budgétaires mardi, l'opposition péquiste a ainsi demandé une augmentation des dépenses pouvant atteindre 1,5 milliard, selon une estimation sommaire faite par le ministère de la Famille et de l'enfance, à la demande du Journal. Reprenant là où il avait laissé en décembre, le député de Gouin, Nicolas Girard, a déploré l'apparent favoritisme du ministre de la Famille, Tony Tomassi, dans l'attribution des places en services de garde, avant de présenter une motion qui consacrerait le «paradis des familles» qu'est devenu le Québec. Cette motion se lit ainsi : «Que l'Assemblée nationale suggère à la Commission des relations avec les citoyens de se saisir rapidement de la pétition signée par plus de 17 800 personnes et déposée en cette Chambre le 17 novembre 2009 réclamant que le gouvernement libéral complète le réseau des services de garde afin que chaque parent qui le désire ait accès à une place à 7 $ pour son enfant.» Le député Girard a évidemment été chaudement applaudi par ses collègues. Campagne électorale Durant la dernière campagne électorale, la chef péquiste, Pauline Marois, avait fait de son slogan «Un enfant, une place» la pièce maîtresse de sa politique familiale. Elle avait proposé une première tranche de 38 000 places en garderie, nécessitant des dépenses additionnelles de 500 millions. Toutefois, proposer une place pour chaque enfant salerait davantage la facture. Selon les statistiques du ministère, il y a actuellement 206 000 places en garderie, dont les coûts totalisent 1,8 milliard. Comme il y a 375 000 enfants de zéro à quatre ans, il faudrait ajouter 169 000 places pour qu'ils en aient chacun une. La facture annuelle passerait à 3,3 milliards. Le PQ ne s'est pas préoccupé de cette addition hier, concentrant ses attaques sur Tony Tomassi, toujours accusé d'ingérence politique dans l'attribution des permis de services de garde. Pour l'essentiel, le député Girard continue de prétendre que le ministre est intervenu pour que «des administrateurs ou des donateurs à la caisse du Parti libéral obtiennent des places dans les services de garde, malgré une évaluation négative» de leurs projets. Le ministre Tomassi continue de se défendre en soutenant que le PQ nage dans la fiction. «Notre seule et unique préoccupation, c'est que le Québec soit le paradis des familles», a-t-il répété. -------- On peut bien avoir une dette astronomique, on gratte les fonds de tirroir pour trouver 5milliards pour ne serait-ce qu'effacer le déficit, que le PQ va proposer d'autre dépenses en plus
  11. Un déficit historique de 4,7 milliards en Alberta Publié le 09 février 2010 à 20h14 | Mis à jour à 21h15 La Presse Canadienne Edmonton Le gouvernement progressiste-conservateur de l'Alberta a présenté mardi un budget qui prévoit un déficit historique de 4,7 milliards $ mais aucune coupe budgétaire importante et aucune hausse d'impôt. Le ministre des Finances de la province, Ted Morton, s'est déclaré mécontent de déposer un budget déficitaire mais confiant que son plan financier général permettrait à l'Alberta de sortir du rouge d'ici 2012. Le grand gagnant de ce budget est le secteur de la santé. Non seulement le gouvernement épongera la dette de 1,3 milliard $ de l'agence de santé albertaine, mais il augmentera aussi son budget de six pour cent par an durant les trois prochaines années. Le secteur de l'éducation n'est pas en reste puisque les conseils scolaires se partageront 250 millions $ de plus, principalement pour faire face à la hausse des inscriptions dans les établissements scolaires. Les programmes destinés aux personnes âgées ou souffrant d'une incapacité recevront aussi un peu plus d'argent afin de conserver les services existants. Des fonds ont également été débloqués pour l'embauche de 100 nouveaux policiers. Mais toutes ces largesses ont un prix. Pour respecter ses promesses, le gouvernement de l'Alberta devra puiser près de 5,8 milliards $ durant le présent exercice financier dans un fonds d'épargne de 15 milliards $ mis sur pied grâce aux surplus des années précédentes. Il prévoit faire de même en 2011 et en 2012, ce qui pourrait bien mettre ses économies à sec. Quinze ministères, dont ceux de l'Agriculture, de la Culture, du Développement durable, de l'Enseignement postsecondaire, de l'Environnement et des Services à l'enfance, devront composer avec des réductions budgétaires de 1,3 milliard $. Quelque 250 employés de la fonction publique albertaine, qui en compte 27 000, pourraient aussi perdre leur emploi. Il s'agirait des premières mises à pied au sein du gouvernement depuis plus d'une décennie.
  12. Publié le 12 janvier 2010 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Péréquation: le portrait a changé Joël-Denis Bellavance La Presse (Ottawa) Longtemps considéré comme la locomotive économique du pays, l'Ontario souffre plus que jamais. À un point tel que la province recevra un paiement de péréquation trois fois plus élevé en 2010-2011, un signe qu'elle a maintenant besoin de l'aide financière des autres régions du pays pour pouvoir se payer des services publics comparables. L'Ontario a empoché des paiements de péréquation pour la première fois de son histoire en 2009-2010, soit 347 millions de dollars. En 2010-2011, ces paiements auront presque triplé pour atteindre 972 millions de dollars, a appris La Presse lundi. Le ministre des Finances, Jim Flaherty, a confirmé à ses homologues des provinces les sommes qu'Ottawa compte leur verser au cours du prochain exercice financier lors de la conférence des ministres des Finances qui a eu lieu à Whitehorse à la mi-décembre, a indiqué lundi Jack Aubry, porte-parole du ministère des Finances. En tout, les paiements de péréquation atteindront 14,4 milliards de dollars en 2010-2011. Comme c'est le cas depuis plusieurs années, le Québec obtiendra la part du lion de cette somme, soit 8,5 milliards de dollars - environ 200 millions de dollars de plus que lors du dernier exercice financier. Terre-Neuve, qui a longtemps été considérée comme une province pauvre au pays, ne touche plus de paiement de péréquation depuis l'an dernier, en raison de la hausse de ses revenus découlant de l'exploitation des réserves de pétrole du projet Hibernia. En 2007-2009, la province de Danny Williams avait touché 477 millions de dollars. En somme, l'Ontario a dorénavant remplacé Terre-Neuve dans la liste des six provinces les plus pauvres de la fédération canadienne. Les autres provinces qui reçoivent un coup de pouce financier d'Ottawa pour pouvoir s'offrir des services publics comparables à un taux d'imposition comparable aux autres régions sont le Manitoba (1,8 milliard), le Nouveau-Brunswick (1,581 milliard), la Nouvelle-Écosse (1,110 milliard) et l'Île-du-Prince-Édouard (330 millions). La Saskatchewan, l'Alberta et la Colombie-Britannique font partie du club des provinces plus riches avec Terre-Neuve. La faute au dollar «L'Ontario souffre énormément en ce moment. Et il souffre depuis très longtemps», a affirmé lundi Serge Coulombe, professeur de science économique à l'Université d'Ottawa qui s'est longuement penché sur la situation économique de cette province. Il explique que le boom des ressources naturelles dans l'Ouest a contribué à la hausse de la valeur du dollar canadien, ce qui a nui considérablement au secteur manufacturier qui exporte vers les États-Unis. «L'Ontario a été énormément touché par l'appréciation du dollar canadien. La forte croissance économique que nous avons eue au Canada entre 2002 et 2008 s'est faite au détriment de l'Ontario. Alors, quand la récession est arrivée en 2008, l'Ontario était déjà lourdement touché à cause de la force du dollar», a expliqué M. Coulombe. Il affirme que l'Ontario a perdu quelque 250 000 emplois dans le secteur manufacturier entre 2002 et 2008, soit avant même le début de la récession. Et l'un des secteurs qui ont été durement touchés est celui de l'automobile, concentré en Ontario. Déficit record En octobre, le ministre des Finances de l'Ontario, Dwight Duncan, a revu à la hausse le déficit de l'Ontario - un manque à gagner record de 24,7 milliards en 2009-2010. La cause : une chute brutale des revenus provenant des impôts des sociétés, privant le Trésor ontarien de 5,8 milliards de dollars. Huit mois auparavant, M. Duncan avait estimé le déficit à 14 milliards de dollars. «L'Ontario était la province canadienne qui comptait le plus sur le secteur manufacturier. En plus, elle est la province canadienne la plus tournée vers les États-Unis pour ses exportations. L'Ontario n'est donc plus la locomotive du développement économique du pays depuis 2002», a dit M. Coulombe. La crise qui frappe l'Ontario est telle que le gouvernement Harper a décidé de mettre en place l'an dernier une agence de diversification de l'économie du sud de la province. Cette agence, créée à la suite du dernier budget, dispose d'un milliard de dollars sur cinq ans pour soutenir cette région durement frappée par la crise économique. L'économiste en chef de la Banque Toronto Dominion, Don Drummond, avait aussi prédit, dans un rapport publié en 2008, que l'Ontario perdrait sous peu son statut de province toute-puissante du pays. «L'Ontario n'est plus le roi tout puissant de l'économie», avait affirmé M. Drummond dans ce rapport qui avait fait beaucoup de bruit. L'an dernier, le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, cachait mal sa gêne en confirmant que sa province recevrait des paiements de péréquation pour la première fois de son histoire.
  13. Petro-Canada n'investira pas 1,3 milliard à Montréal Publié le 09 septembre 2009 à 11h35 | Mis à jour à 11h38 Hélène Baril La Presse (Montréal) Maintes fois reporté, le projet d'expansion de 1,3 milliard de Petro-Canada à sa raffinerie de Montréal est maintenant abandonné par son nouveau propriétaire Suncor. La décision de l'entreprise a été communiquée aux employés, qui ne sont pas du tout surpris. «On savait que ça s'en venait», a commenté hier le président du syndicat qui représente les 300 employés de la raffinerie, Jacques Vanier. Petro-Canada voulait ajouter à sa raffinerie une installation pour traiter le pétrole épais tiré des sables bitumineux de l'Ouest. Un conflit de travail d'une durée de 13 mois et la fusion de Petro-Canada avec Suncor avaient fait en sorte de retarder le projet. La chute du prix du pétrole et la crise du crédit ont aussi obligé les entreprises à revoir leurs projets d'investissements. L'abandon du projet de Petro-Canada et l'intention de Shell de fermer ou de vendre sa raffinerie de Montréal sont de mauvaises nouvelles pour Montréal, qui voit son industrie pétrochimique disparaître petit à petit. Selon le président du syndicat des employés de Petro-Canada, il ne faudrait toutefois pas croire que le projet est mort et enterré. Petro-Canada a déjà investit beaucoup d'argent dans le projet, qui pourrait être relancé lorsque la conjoncture changera.
  14. Le Canada enregistre un déficit commercial de 1,4 milliard de dollars en mai, deux fois plus élevé que prévu. Pour en lire plus...
  15. Permis de bâtir à la baisse Mise à jour le lundi 6 avril 2009 à 12 h 02 Selon des chiffres publiés par Statistique Canada, la valeur des permis de bâtir en février a diminué de 15,9 % par rapport à janvier. Elle s'établit à 3,67 milliards de dollars. Dans le secteur résidentiel, la valeur des permis de bâtir a enregistré une baisse de 0,3 %, s'établissant à 2,10 milliards $. La valeur des permis a chuté de 30,5 % dans le secteur non résidentiel, pour se fixer à 1,57 milliard $. Forte baisse en Ontario L'importante chute de 59,2 % de la valeur des permis non résidentiels en Ontario a eu une grande influence sur les résultats de l'ensemble du pays. Des baisses ont aussi été observées dans quatre autres provinces dans le secteur non résidentiel. En tenant compte des secteurs résidentiels et non résidentiels en Ontario, la province affiche une baisse de 38,2 % de la valeur des permis de bâtir en février. Elle est passée de 2,01 milliards $ à 1,24 milliard $ de janvier à février. Dans le secteur résidentiel, la hausse de la valeur des permis de logements multiples en Colombie-Britannique a presque contrebalancé les diminutions observées dans six provinces. La valeur des permis en Colombie-Britannique a connu une hausse de 86,5 %, se chiffrant à 618,4 millions $. Une baisse globale de 18 % a été enregistrée au Québec en février, pour une valeur de 765,6 millions $. Au Nouveau-Brunswick, une hausse de 56,3 % a été observée en raison d'une augmentation prononcée dans le secteur non résidentiel. Par ailleurs, la valeur totale des permis est à la hausse dans 17 des 34 régions métropolitaines de recensement au pays. Vancouver a affiché l'augmentation la plus importante, soit 137 %.
  16. Un milliard de dollars pour les infrastructures municipales - Québec et Ottawa promettent d'agir rapidement La Presse canadienne Édition du mardi 07 avril 2009 Les municipalités qui poussaient les hauts cris devant l'état de leurs conduites d'eau depuis des années verront peut-être enfin la lumière au bout du tunnel. Les gouvernements fédéral et provincial ont précisé hier les modalités du programme PRECO pour le renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées. Ce programme sera doté de 700 millions, soit 350 millions de la part de chacun des deux ordres de gouvernement. À cette somme, les municipalités ajouteront leur part, pour totaliser un milliard sur deux ans. Québec et Ottawa veulent y aller rondement, cette fois, surtout après avoir entendu les doléances des municipalités, qui ont des projets dans leurs cartons depuis des années et qui attendaient qu'Ottawa et Québec s'entendent. L'aide financière sera disponible en 2009-2010 et 2010-2011 et sera octroyée en fonction des longueurs et des diamètres des conduites d'eau existantes. Le versement de l'aide financière sera effectué après la démonstration que les conduites ont été effectivement renouvelées, indique la documentation du gouvernement du Québec. La ministre des Affaires municipales Nathalie Normandeau a promis que les choses iront rapidement. «Le délai de traitement sera rapide. Nous prenons l'engagement dans un délai de deux semaines de donner une réponse positive aux municipalités», a-t-elle dit. Mais les besoins sont tels, les conduites si vétustes, dans certains cas, que le programme ne permettra de combler qu'une partie des besoins. Le Québec abrite plus de 80 000 kilomètres de conduites souterraines, a noté la ministre des Affaires municipales. Relance économique Le premier ministre Jean Charest a présenté le programme PRECO dans un cadre plus large de contribution à la relance économique, puisque cela crée des emplois dans la construction et dans les secteurs connexes. «Les gouvernements, dans le contexte de ralentissement économique, cherchent à faire des programmes d'infrastructure. Et c'est souvent le premier choix pour plusieurs raisons, d'abord parce que le besoin est là, mais, en plus, c'est un investissement stratégique, qui nous permet à plus long terme de structurer notre économie, d'améliorer notre qualité de vie», a expliqué le premier ministre.
  17. LA PRESSE CANADIENNE OTTAWA -- L'excédent budgétaire du gouvernement fédéral s'érode considérablement, ayant été évalué à 37 millions $ pour le seul mois de janvier, comparativement à 1,2 milliard $ pour le même mois l'an dernier. http://argent.canoe.com/lca/infos/canada/archives/2009/03/20090327-172804.html
  18. En raison de l'effondrement du secteur automobile, le Canada est passé, en l'espace de six mois, d'un surplus commercial mensuel de 5,7milliards à un déficit s'approchant du milliard de dollars. Pour en lire plus...
  19. Desjardins entrevoit un déficit de plus de 3 à 5 G $ à Québec 4 mars 2009 - 15h08 Par Sylvain Larocque LA PRESSE CANADIENNE MONTREAL -- En 2009-2010 - Desjardins entrevoit un déficit de plus de 3 à 5 G $ à Québec. Les économistes du Mouvement Desjardins entrevoient un déficit de plus de 3 milliards $ à Québec en 2009-10, une somme qui pourrait même friser les 5 milliards $ si le gouvernement de Jean Charest décidait d'adopter un plan de stimulation vigoureux. Faisant preuve d'audace, Desjardins avance une idée originale pour relancer l'économie: que le gouvernement distribue des «bons» ou des «timbres» de consommation aux moins nantis, à utiliser dans des commerces québécois «à l'intérieur d'une période restreinte». Après tout, écrit l'équipe de François Dupuis, économiste en chef de Desjardins, les citoyens les plus pauvres «ont une plus grande propension à consommer» si leurs revenus augmentent subitement. Les limites géographiques et temporelles d'un bon de consommation permettraient «d'éviter les fuites vers l'épargne», qui aide peu l'économie. Autre avantage de taille: «les effets multiplicateurs d'une telle mesure sont élevés, plus encore que ceux des investissements en infrastructures», soutient Desjardins, qui va jusqu'à proposer le recours à des cartes à puce pour concrétiser l'idée. Au plan des finances publiques, les économistes de Desjardins calculent que même en l'absence d'un plan de relance, le gouvernement du Québec se dirige vers un déficit de plus de 3 milliards $ pour l'exercice 2009-10, qui commence le 1er avril. En incluant un plan de relance de 1,5 milliard $, le manque à gagner atteindrait près de 5 milliards $. La somme de 1,5 milliard $ représenterait le complément de Québec au plan fédéral annoncé en janvier, qui doit apporter environ 4,5 milliards $ à l'économie de la province en 2009-10. Le total de 6 milliards $ équivaut à deux pour cent du produit intérieur brut nominal du Québec, soit l'ordre de grandeur que le Fonds monétaire international recommande actuellement pour les plans étatiques de stimulation économique.
  20. Des Équatoriens, victimes de violence et d'intimidation pour s'être opposés à un projet minier dans les Andes, poursuivent la minière canadienne Copper Mesa et la Bourse de Toronto pour un milliard de dollars. Pour en lire plus...
  21. Au cours du mois de décembre, la balance commerciale du Canada a littéralement fondu passant d'un surplus de 1,2 milliard de dollars à un déficit de 458millions, du jamais vu au pays depuis 1976. Pour en lire plus...
  22. Le Trésor américain accorde un prêt de 1,5 milliard de dollars à la société de crédit automobile Chrysler Financement, qui s'ajoute aux 17,4 milliards de dollars de prêts déjà consentis à Chrysler et à GM le mois dernier. Pour en lire plus...
  23. L'excédent commercial s'effrite d'un milliard de dollars en un seul mois en raison de la faible demande pour les matières premières, principal moteur des exportations canadiennes. Pour en lire plus...
  24. Les JO 2010 de Vancouver en péril ? publié le 13/01/2009 à 07h06 Les Jeux Olympiques de Vancouver (Canada) doivent se dérouler en 2010, mais déjà, la ville manque d’argent... Le coût total de l’opération s’avère double de celui estimé au départ du projet! Le gouvernement canadien ne versera aucune somme supplémentaire pour l'organisation des jeux Olympiques d'hiver de Vancouver en 2010, malgré d'importants dépassements de coûts, a averti lundi le Premier ministre Stephen Harper. “ Nous n'allons pas fournir de fonds additionnels et nous n'allons pas assumer les coûts supplémentaires ”, a déclaré M. Harper lors d'une conférence de presse tenue à Vancouver (Colombie-Britannique, ouest). Quelque 450 millions de dollars (369 M USD) manquent à la ville de Vancouver pour finir de payer le village olympique de False Creek, dont le coût total de la construction avoisine le milliard de dollars (820 M USD). Le Premier ministre canadien a toutefois rappelé qu'Ottawa règlerait “ le problème des coûts de la sécurité ” estimés à 175 millions de dollars lors de l'attribution des jeux, en 2003, mais qui devraient plutôt atteindre un milliard de dollars.
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