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  1. Architects Building - 17 floors (1932-1955) Southeast corner of Rene-Levesque and Beaver Hall. Demolished for the enlargement of René-Lévesque Blvd in the 1950's (then named Dorchester Blvd). http://imtl.org/montreal/building/Architect-Building.php?noter=1&note=10 (SSP) (SSP) http://coolopolis.blogspot.com/2009/11/where-ine-mtel-were-these-olde-thyme.html **************************** Monctezuma : j'ai modifié ton message pour y ajouter un backup photos, au cas où les liens se briseraient éventuellement.
  2. Il semble que la deuxième phase ne sera pas la tour finalement. Mod : est-ce que vous voulez créer un nouveau fil avec mon message et changer le nom de celui-ci pour "phase 3" ou "phase future"? EDIT monctezuma : c'est fait Source : LeTravailleur, SSP
  3. Bonjour, le site est victime d'une attaque de déni de service. Des gens essaient d'entrer dans chacuns de votre compte avec des mots de passes aléatoires. Ceci fait en sorte que votre compte se bloque. Nous sommes à considérer les options pour faire cesser ceci et je vous reviens rapidement.Admin Tout le monde a reçu ce message?
  4. Ça fait 1 an que je garde le secret sur ce projet, et aujourd'hui, j'ai eu la permission de vous en faire part! C'est Booboohome qui m'avait envoyer ce projet, dessiné par nul autre que Michelange Panzini. Il s'agirait d'un «terrain a été acheté par un investisseur de la Georgie» (pour citer le message). Je crois que c'est des bureaux, mais Booboohome pourrait peut-être clarifier mes informations... --------------------------------------- Je compte 32 étages pour chaques tours. Si c'est des bureaux, et en comparant avec la CCE, on peut facilement prédire un bon 150 mètres à la plus haute tour! (en comptant son ornement)
  5. jesseps

    QST increase

    I just got a message from Rogers saying "Starting January 1st, 2011 the GST will be 8.5%" What's even more appalling by 2012 it will be 9.5%
  6. MALKI MEHDI/MONSCOOP@JOURNALMETRO.COM MÉTRO Publié: 08 juin 2011 16:03 Un panneau à affichage variable situé à l’angle des rues Sherbrooke et Saint-Denis a été piraté dans la nuit de mardi à mercredi. Un pirate informatique se serait introduit dans le système sans fil du panneau pour en modifier le message. La Ville de Montréal a été avisé tôt hier matin de la situation et a demandé à l’entrepreneur à qui appartient le panneau de corriger le message, ce qui fut fait. Selon un porte-parole de la Ville, il ne s’agirait pas du premier panneau à être piraté à Montréal, mais la situation, mais la situation demeurerait inhabituelle. http://www.journalmetro.com/linfo/article/883673--un-panneau-d-affichage-pirate
  7. :hyper:Voici une vidéo du jeu de lumières fort impressionnant que j'ai eu le plaisir de voir personnellement à Bruxelles dernièrement, bien que cette vidéo date de 2008, j'ai moi-même filmé dans mon dernier voyage, la semaine dernière, un exemplaire de cette manifestation spectaculaire sans toutefois arriver à l'inclure dans mon message. Ceci m'amène à rêver d'un spectacle de lumières que Montréal pourrait s'offrir à son tour sur ses grands immeubles en hauteur du centre-ville, en créant une sorte de symphonie lumineuse où chaque immeuble pourrait donner la réplique aux autres. Un investissement qu'un commanditaire comme Hydro-Québec pourrait rendre réalisable tout en profitant d'une publicité extraordinaire qui lui donnerait une visibilité incroyable. Il n'y a absolument aucune limite dans ce genre de prestation. On pourrait même organiser un concours d'interprétation ouvert aux artistes du monde, un festival non de feux d'artifices mais de jeux de lumières dont le fond de scène serait la ville elle-même. Donc à défaut de s'offrir une nouvelle tour flambant neuve, on pourrait tout de même rajeunir l'image du cv, en lui ajoutant cette particularité qui serait visible à des kilomètres à la ronde et qui attirerait son lot de touristes à l'année longue. Un projet-lumières audacieux qui serait certainement rentable puisqu'on peut y inclure autant un message publicitaire, que d'intérêt public et bien sûr des créations lumineuses super accrocheuses. Comme on dit: "the sky is the limit" et ici l'expression prend véritablement tout son sens. Et si je pousse l'idée encore plus loin, je vois les meilleurs DJ du monde venir s'amuser à Montréal non seulement en faisant danser le peuple, mais aussi les tours à bureaux elles-mêmes, dans une ambiance festive à la grandeur d'une ville. Et que la fête commence :hyper::hyper:
  8. Publié le 26 juin 2009 à 07h36 | Mis à jour à 09h59 Les scandales de Montréal dans The Economist Martin Croteau La Presse Les scandales qui ébranlent la mairie de Montréal commencent à attirer l'attention des médias étrangers, et non les moindres. La prestigieuse revue britannique The Economist consacre un article aux allégations de conflits d'intérêts qui minent l'administration Tremblay dans sa livraison d'hier, une terrible publicité pour la Ville selon l'opposition. Intitulé «Eau et crasse» («Water and Grime»), l'article de quatre paragraphes rapporte que cinq enquêtes policières sont en cours sur les agissements de proches du maire Gérald Tremblay. Il donne certains détails sur les dossiers de la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) ainsi que sur le contrat des compteurs d'eau.The Economist explique que l'ancien chef de cabinet du maire Tremblay a présidé à la vente d'un terrain évalué à 31 millions à une fraction de sa valeur. Le promoteur qui l'a acheté «avait été photographié par la police avec Nicolo Rizutto, un gangster octogénaire et père du mafioso numéro un au Canada«. L'hebdomadaire résume aussi l'attribution du contrat des compteurs d'eau à un consortium mené, entre autres, par Tony Accurso, «un vieil ami de Frank Zampino, qui a dirigé le comité exécutif de la Ville», peut-on lire. Il rappelle que l'ancien bras droit du maire Tremblay avait séjourné deux fois sur le yacht de M. Accurso avant d'accepter un emploi chez Dessau, l'autre firme du consortium GÉNIeau. «Peu soupçonnent (le maire Gérald) Tremblay, qui avait eu une longue carrière au Parti libéral du Québec, d'être malhonnête et il n'y a aucune preuve à cet effet», précise le magazine. Mais pour les partis de l'opposition, le mal est déjà fait. Louise Harel, candidate à la mairie pour Vision Montréal, estime qu'un tel reportage est la pire publicité imaginable pour Montréal. Car The Economist est lu par des décideurs et des gens d'affaires partout dans le monde. «Le message qu'ils envoient, c'est qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, a-t-elle dit. Et pire encore, qu'il y a de la corruption. Et donc, c'est un message qui est de nature à décourager les investisseurs.» «Quand on passe dans The Economist, c'est un fait d'armes inouï, a renchéri le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. Mais pas pour le motif pour lequel on passe aujourd'hui. C'est honteux que la réputation de Montréal soit faite ainsi.» «Nous avons largement commenté, et à maintes reprises, le sujet traité par cet article, a indiqué le porte-parole du maire, Martin Tremblay. Il n'y a aucun élément nouveau, et nous n'avons rien à ajouter à ce qui a déjà été dit.» The Economist est imprimé dans cinq pays, et distribué à 1,3 million d'exemplaires dans le monde. Illustration(s) : Goupil, Jean Les odeurs de scandales qu'exhale depuis quelque temps l'hôtel de ville de Montréal ont eu des échos jusque dans la prestigieuse revue britannique The Economist.
  9. Des Jeux «in English»? Pierre Jury Le Droit À Vancouver, le concept des deux langues officielles, l'anglais et le français, n'est trop souvent que cela: un concept, une idée désincarnée du quotidien, un voeu pieux que plusieurs croient avoir été imposé au reste du pays par des Québécois militants et adopté par des politiciens mal avisés. Il est bien évident qu'avec à peine 24000 francophones sur 2,1 millions d'habitants dans la région, le français passe loin derrière plusieurs autres langues comme le cantonais (125000 locuteurs), le chinois (120000), le punjabi (116000) et plusieurs autres. Mais en devenant ville olympique, Vancouver doit réconcilier sa géographie avec son pays officiellement bilingue... qui a obtenu un mandat d'une Comité international olympique, bilingue lui aussi. Cette tâche est difficile, a évalué Graham Fraser, le commissaire aux langues officielles, qui témoignait mardi devant le comité parlementaire sur les langues officielles. Il a estimé la place du français comme «minimale». Les lacunes sont cruciales au plan de «la traduction, de l'affichage, des services d'interprétation simultanée et de la télédiffusion». De façon plus importante, le commissaire a rappelé que le bilinguisme n'était pas qu'un «symbole». «C'est un service à la population. Il y aura des francophones unilingues qui seront là pour encourager leurs enfants dans les stades.» Le Canada est leur pays aussi, et ils se sentiront comme des citoyens de seconde zone. Air connu pour les Franco-Ontariens et tous ceux qui vivent en situation minoritaire, mais il n'empêche que ce n'est pas normal. C'est pourquoi Graham Fraser a livré ce rappel important, moins d'un an avant Jeux olympiques. Il est encore temps de sauver les meubles. Encore là, il est frustrant de parler de sauver les meubles dans un pays officiellement bilingue depuis 1867, et de façon encore plus affirmée depuis la promulgation de la Loi sur les langues officielles, en 1969. Comme l'a rappelé un militant franco-ontarien récemment, la lutte pour le respect du français restera avec nous encore longtemps. De la même manière que les femmes luttent encore pour leur égalité. Bref, les francophones ne sont pas les seuls minoritaires à se battre pour leurs droits. Le message du commissaire Fraser sera entendu haut et fort, faut-il espérer. Mais il ne doit pas être le seul à réclamer un traitement équitable pour le français. D'autres individus ou organisations ont des attentes face au Comité organisateur des Jeux de Vancouver (COVAN). Dans le lot, il y a au premier chef le Comité olympique canadien et son nouveau président, Marcel Aubut, premier francophone à ce poste. Sans le ministère du Patrimoine canadien et sa division Sport Canada, la Fédération des communautés francophones et acadienne, la Fédération des francophones de la Colombie-Britannique, les télédiffuseurs de langue française TQS et RDS, le gouvernement du Québec,etc. Le COVAN réalise, un peu tardivement cependant, l'ampleur de la tâche et vient de créer un comité conseil sur les langues officielles où siège entre autres l'ex-premier ministre de la France, Jean-Pierre Raffarin. Ce comité tiendra sa première réunion demain. Cela n'évitera pas des accrocs. Il y en aura. D'abord parce que l'on part de loin, parce que la démographie joue contre la réalité francophone et des raisons historiques: le Comité olympique canadien, par exemple, travaille fort pour éviter de trébucher mais la culture interne reprend le dessus à un moment ou un autre. Ça fait un petit scandale dans les médias de langue française, puis la vie poursuit son cours... dans la langue de Shakespeare. M.Aubut pourra y voir. Des sources rapportent que dans ses plus hautes sphères, le COVAN est ouvert à ses responsabilités dans le domaine des langues officielles. Ça se complique lorsque le message filtre au sein des dizaines de comités, divisions et équipes sur le plancher qui sont peuplés d'anglophones, démographie oblige. À 295 jours de la cérémonie d'ouverture, le message sera-t-il compris par tous?
  10. By Anne Sutherland, The Gazette Benoit Labonté, borough mayor of Ville Marie, will be tabling a motion tonight that will provide for eight days of free parking downtown in an effort to help merchants in these tough economic times. He will propose that city parking meters will be free from 9 a.m. on Dec. 20 to 5 p.m. on Dec. 28. The gross loss of revenue from those metered spots will be $800,000, but Labonté said the net loss to the Ville Marie borough will be between $100,000 and $150,000. “We’re talking about one week in the year to help our tax-paying merchants, a kind of subsidy,” Labonté said. “The message we’re giving to citizens is come downtown to shop and don’t go to the suburbs.” Labonté and his Vision Montreal councillors have a three to two advantage on the borough council, so the motion is expected to pass. --
  11. La Presse Le mercredi 20 juin 2007 Forts d'un consensus sur la gouvernance culturelle, les organisateurs du sommet culturel montréalais, Rendez-vous Montréal 2007, lorgnent déjà les 33 milliards du nouveau programme fédéral d'infrastructures. Montréal pourrait obtenir jusqu'à 1 milliard de la nouvelle enveloppe fédérale. Une partie de cette somme devrait être consacrée au Quartier des spectacles, à l'agrandissement des musées et au renouvellement d'équipements culturels, pense Simon Brault, président de Culture Montréal et du comité de pilotage de Rendez-vous Montréal 2007. «On veut lancer le message qu'une portion du montant accordé à Montréal serve aussi à la culture et non pas seulement aux égouts et aux routes», souligne M. Brault. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, s'est par ailleurs dit d'accord avec l'idée de regrouper, en une seule entité, les activités, services, opérations, fonctions et programmes qui font partie du périmètre municipal en culture.
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