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  1. 17/11/12 J'étais dans le Vieux-Port et j'ai remarqué qu'au Casino ils étaient en train de démonter la grue-tour. J'ai pris des photos et j'aimerais bien les afficher sur le site, mais je n'y arrive pas. Est-ce qu'un membre pourrait m'aider? Merci à l'avance, Yvon l'Aîné.
  2. p_xavier

    Qualité du forum

    Je suis membre de ce forum depuis un bout et je suis très content des membres de ce forum. La qualité des interventions est excellente et les membres débordent d'érudition. Merci donc de me fournir de la meilleure information que les médias, et des débats pertinents, tout ça avec une dose d'humour.
  3. Je ne sais pas si c'est le bon endroit pour demander, mais y a-t-il un moyen pour ne pas voir les posts que font un certain membre du forum? Merci.
  4. Serment d'allégeance au syndicat obligatoire pour des étudiants embauchés à La Ronde Le Syndicat des cols bleus regroupés de Montréal vient de semer la colère parmi des parents d'étudiants qui ont obtenu des emplois à La Ronde cet été. Ils sont outrés et scandalisés parce que leurs enfants doivent notamment prêter serment d'allégeance au syndicat. C'est le chroniqueur Éric Duhaime, qui a révélé cette histoire. Des parents ont récemment communiqué avec ce dernier pour dénoncer le fait qu'on avait remis le serment d'allégeance aux jeunes travailleurs de La Ronde en formation le week-end dernier. On peut y lire : «Je promets solennellement et déclare que j'appuierai et obéirai aux statuts et règlements du syndicat et à ceux du Syndicat canadien de la fonction publique et que, tant que je le pourrai, j'aiderai mes camarades membres et leur famille quand ils (elles) seront dans la détresse, que jamais sciemment ou de propos délibéré je ne causerai de tort à un membre du syndicat ou aiderai à d'autres à lui en causer; que je ne recommanderai jamais, pour devenir membre du Syndicat, une personne que je croirais indigne de le devenir. Je reconnais comme membre du Syndicat, que si je ne me conforme pas, sciemment ou de propos délibéré à cette promesse solennelle, je suis exposé aux sanctions prévues à l'article 22 des statuts et règlements de notre section locale.» En voyant ça, des parents ont jugé anormal que des jeunes de 16 ans soit obligé de porter allégeance à un syndicat. En entrevue à l'émission de Mario Dumont, Éric Duhaime a raconté les discussions qu'il a eues avec les parents des jeunes travailleurs de La Ronde. «Après la formation, les jeunes reviennent à la maison et là, les parents constatent qu'on leur a remis le livre du syndicaliste Jean Lapierre qui a défoncé les portes de l'hôtel de ville à coup de bélier il y a quelques années, a-t-il confié. On leur a aussi remis le serment d'allégeance, une déclaration solennelle où les jeunes doivent mettre la main dans les airs et porter serment d'allégeance au syndicat.» «C'est comme si c'était une religion, on aurait vu des curés faire ça à une époque et on se serait scandalisé, a-t-il ajouté. Aujourd'hui, ce sont des leaders syndicaux qui font ça. On est tellement intoxiqué au syndicalisme qu'on trouve que c'est normal. Or, ce n'est pas normal dans une société démocratique que des jeunes soient obligés de poser un tel geste. Un syndicat, c'est supposé être au service des membres et des travailleurs. Ce n'est pas les travailleurs qui sont supposés être au service du syndicat.» Le président du syndicat des cols bleus regroupés de Montréal, Michel Parent, a été invité à réagir à l'émission de Mario Dumont. «Ce serment, ce n'est rien de nouveau, a-t-il dit. Le syndicat existe depuis 70 ans cette année. Ça fait partie des statuts et règlements. C’est pas pire que de faire un serment comme député à la Reine. À La Ronde, la formation à suivre pour les nouveaux employés est négociée dans la convention collective et l'objectif derrière cette formation, c'est d'expliquer quels sont les droits des travailleurs et travailleuses qui pour la plupart sont des jeunes qui commencent sur le marché du travail.» http://www.journaldemontreal.com/2013/06/11/serment-dallegeance-au-syndicat
  5. Publié le 15 juin 2009 à 23h40 | Mis à jour le 15 juin 2009 à 23h50 Rénovations à l'hôtel de ville: la SQ ouvre une enquête André Noël La Presse La Sûreté du Québec a ouvert une enquête sur une possible tentative d'extorsion et de corruption par un membre important du crime organisé et portant sur un contrat de 10,6 millions pour la réfection du toit de l'hôtel de ville de Montréal, a appris La Presse. L'entrepreneur qui a obtenu le contrat, Paul Sauvé, affirme qu'un membre d'une famille connue de la mafia lui a demandé 40 000 $, une somme selon lui destinée à deux élus du parti du maire Gérald Tremblay, Union Montréal. En échange de l'argent, M. Sauvé a compris qu'il obtiendrait l'assurance que son entreprise, L.M. Sauvé, pourrait continuer à travailler sur le chantier et à être payée par la Ville tous les mois, tel que convenu, et ce même si L.M. Sauvé était en situation de faillite. Il a rapporté cet incident à une réunion de chantier à l'hôtel de ville à la mi-mars. L'administration du maire Gérald Tremblay a immédiatement alerté le Service de police de Montréal. «Les allégations de M. Sauvé ont été portées à notre attention, a dit Jean Racicot, responsable des relations avec les médias à l'hôtel de ville. Nous ne ferons aucun autre commentaire. Nous avons transmis le dossier à la police de Montréal.» À son tour, le Service de police de la Ville de Montréal a transmis le dossier à la Sûreté du Québec. La SQ n'a voulu faire aucune déclaration à ce sujet. Mais, dans les faits, elle mène bel et bien une enquête, a indiqué un de ses agents, sous le couvert de l'anonymat. Des enquêteurs ont rencontré M. Sauvé. «Il y a des choses qui vont probablement aboutir, a confié l'agent. Le problème, c'est que ce gars-là (M. Sauvé) ressemble à du naphte : il se répand d'un bord et de l'autre. Mais c'est clair qu'on enquête.» Cinquième enquête Il s'agit de la cinquième enquête de la SQ sur des contrats octroyés par l'administration du maire Gérald Tremblay. La première a abouti à la condamnation de deux conseillers et du directeur général de l'arrondissement de Saint-Laurent en 2004. La deuxième porte sur un contrat pour la construction du centre intergénérationnel à Outremont; la troisième sur des contrats en informatique octroyés en échange de pots-de-vin. La quatrième a été déclenchée par une plainte du vérificateur général de la Ville et porte sur des transactions de la Société d'habitation et de développement de Montréal. La SQ enquête par ailleurs sur l'infiltration du crime organisé dans la construction. Pourquoi un membre de la mafia aurait-il demandé 40 000$ à un entrepreneur pour remettre cet argent, en tout ou en partie, à des conseillers municipaux? «On m'a fait comprendre que si je faisais ce versement, on me laisserait en paix», a répondu M. Sauvé au cours d'un long entretien avec La Presse. L'homme d'affaires soutient avoir eu maille à partir avec le crime organisé depuis plusieurs mois. Une de ses grues a brûlé et un contremaître l'a menacé de mort, dit-il. Des clients tardent à le payer, si bien qu'il doit lui-même retarder les paiements à ses fournisseurs et à ses sous-traitants, ajoute-t-il. Quand il a révélé la tentative d'extorsion à la réunion de chantier, l'administration municipale menaçait de l'expulser du chantier, en raison de ses difficultés financières, et de faire continuer les travaux sur le toit de l'hôtel de ville par une autre entreprise, a-t-il affirmé. M. Sauvé nous a donné le nom du membre du crime organisé qui, selon lui, lui a demandé 40 000$, ainsi que les noms des conseillers municipaux à qui l'argent aurait été destiné. La Presse n'a pu parler avec cet individu, et n'a aucune information montrant que les conseillers municipaux ont été mêlés à cet incident. M. Sauvé n'a pas fait le versement de 40 000$ qui lui était demandé. Aujourd'hui, le chantier de l'hôtel de ville tourne au ralenti. M. Sauvé essaie d'empêcher son entreprise de faire faillite : il doit faire une proposition à ses créanciers la semaine prochaine. La Presse a pu corroborer certaines parties de son témoignage, mais pas toutes. Un contrat controversé Le contrat de réfection du toit et des mansardes de l'hôtel de ville baigne dans la controverse depuis le début. Un couvreur a déposé une soumission beaucoup plus basse que ses concurrents, mais a été écarté parce que la Ville a jugé qu'il n'avait pas les qualifications suffisantes. Trois autres entrepreneurs se sont qualifiés, dont M. Sauvé: c'est lui qui a eu le contrat, en mars 2008, parce qu'il était considéré comme le plus qualifié. Il l'a obtenu pour 10,6 millions de dollars même si un de ses concurrents offrait de faire le travail pour un peu moins cher. Des entrepreneurs ont protesté, y compris au conseil municipal. L'un d'entre eux a pu exprimer ses doléances à un membre du comité exécutif. Un soumissionnaire a déposé une demande d'injonction. Un autre a menacé de poursuivre la Ville. «Tout le monde se liguait pour m'empêcher d'ouvrir le chantier, a dit M. Sauvé. J'ai essayé moi aussi d'avoir une rencontre au comité exécutif, mais je n'y arrivais pas. Les fonctionnaires me disaient que le contrat serait probablement annulé, et qu'il y aurait un nouvel appel d'offres.» Constatant que son entreprise avait été choisie, mais qu'elle ne réussissait pas à avoir le feu vert pour commencer le travail, M. Sauvé a cru bon de demander à un autre entrepreneur de l'aider à boucler son contrat. M. Sauvé connaissait bien cet entrepreneur. Il savait qu'il avait des relations un peu partout, dans l'industrie de la construction, dans les milieux politiques... et dans le crime organisé. Son nom, qu'il a donné à La Presse, apparaît en effet dans les documents de l'enquête Colisée sur la mafia. «Ce gars-là savait que j'avais des problèmes, a confié M. Sauvé. Il m'a dit: "Oui, j'en ai entendu parler, mais ce n'est pas avec des avocats que ça va se régler." Il m'a fixé un rendez-vous.» Quand M. Sauvé s'est présenté à cette rencontre, il affirme qu'il a eu la surprise d'y voir le couvreur dont la soumission avait été rejetée à l'hôtel de ville, ainsi qu'un troisième entrepreneur et un membre connu de la mafia. Il s'est laissé convaincre de prendre ce couvreur dans son équipe. «Comme par miracle, tout s'est mis à bien fonctionner, dit-il. J'ai pu commencer à travailler. Je me suis dis : "Bon sang, ces gars-là ont du pouvoir!" Je n'en revenais pas. Mais, quelque part, je me disais : "Ouais... il y a un prix à payer, tu sais que tu vas te faire extorquer, réveille-toi.'' Je me suis justifié en me disant que c'est comme ça que ça marche dans la construction. Je me suis convaincu que c'était correct de danser avec le diable.» «Entre collaborateurs, on s'aide» L'entrepreneur qui avait joué le rôle d'intermédiaire, et suggéré la présence du couvreur disqualifié, a confirmé à La Presse que Paul Sauvé était venu le voir. Pourquoi est-il intervenu, étant donné qu'il n'était même pas soumissionnaire? «On est un groupe dans la construction, a-t-il expliqué. On collabore sur les projets ensemble. Je les connais ces gars-là (les entrepreneurs), parce qu'on fait affaire dans différents projets. S'il y a un problème, s'il y a des malentendus des fois, on prend le téléphone, et on dit : "C'est quoi le problème?" Entre collaborateurs, on s'aide.» M. Sauvé affirme que cette intervention n'a pas été gratuite. Il a dû payer plus de 60 000 $ en «honoraires». Son nouveau couvreur lui a coûté beaucoup plus cher que celui qu'il avait choisi au départ ; en fait, c'est lui qui a fait le plus gros du travail. Le membre du crime organisé qui avait participé aux rencontres a exigé des sommes supplémentaires. Des dizaines de milliers de dollars. «J'ai refusé de continuer à payer et c'est là que mes problèmes ont commencé», raconte M. Sauvé. Un contremaître a menacé de faire exploser sa voiture et, dans la nuit du 12 décembre, une de ses grues, d'une valeur de 500 000 $, a brûlé. L'entrepreneur qui l'avait aidé a dit à La Presse qu'il n'était pas au courant de ces menaces, de ces demandes d'argent et de tous ces événements. Il a confirmé qu'il connaissait le membre du crime organisé et a admis qu'il avait assisté à une rencontre avec Paul Sauvé, mais il a dit tout ignorer de son rôle. Le couvreur qu'il avait suggéré n'a pas répondu à nos demandes d'entretien. Sous le couvert de l'anonymat, un agent de la Sûreté du Québec a dit à La Presse que M. Sauvé prenait des risques importants pour sa sécurité personnelle en faisant état, sur la place publique, de ses difficultés avec le crime organisé. «Il est un des rares entrepreneurs à sonner l'alarme, a-t-il dit. C'est risqué.» M. Sauvé, de son côté, affirme qu'il n'a plus rien à perdre.
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