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11 résultats trouvés

  1. Je pense pas avoir vu ce projet mentionné ici encore. COLO-D va se porter acquéreur d'une partie (150,000 pieds carrés) de l'ancien siège social de Jean Coutu à Longueuil. Il s'agit d'un investissement de 100 millions de dollars, incluant 15 millions investis par le Groupe Jean Coutu lui-même: Voir aussi les communiqués suivants sur le site de COLO-D: http://colo-d.ca/en/jean-coutu-group-announces-investment-in-colo-d/#.VlCfZaK3v3A http://colo-d.ca/en/colo-d-continues-strong-growth-and-announces-the-opening-of-a-second-mega-data-center-in-quebec-in-2016/#.VlCgA6K3v3A
  2. (Courtesy of CBC News) You can read rest of the article by clicking on the link
  3. Rio Tinto investira 228 M$ US dans la construction d'une nouvelle turbine haute efficacité d'une capacité de 225 mégawatts à sa centrale hydroélectrique Shipshaw, au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Pour en lire plus...
  4. Le consortium, qui souhaite construire un parc de 300 mégawatts dans le secteur du lac Alfred, a rencontré une centaine de citoyens de Sainte-Irène mardi soir. Pour en lire plus...
  5. Plan Nord' exploited Mining, energy Charest would expand Hydro-Québec output WILLIAM MARSDEN, The Gazette Published: 14 hours ago Premier Jean Charest ventured into solid Parti Québécois territory yesterday where he announced his government's intention to supercharge Hydro-Québec with $19 billion in new energy projects as part of his plan to open Quebec's north to massive development and resource exploitation and make the province an economic powerhouse. "We are the party that forges Quebec's future," he told an audience of Liberal faithful huddled under a large white tent erected in the rain-soaked Port of Sept Îles. As part of a continued string of staged events where local Liberals pack the crowd, the premier used the opening of new port facilities in Sept Îles, which were actually completed two years ago, to hammer home his vision of turning Quebec's north into an economic powerhouse of mining and energy exploitation. He calls it the "Plan Nord." His said new energy expansion plans that will add 3,500 megawatts to Hydro-Québec's grid by 2035. That's enough power to run about 600,000 homes - or Quebec City. Charest traveled in a chartered plane from Montreal to Sept Îles Thursday with his wife, Michelle, and then flew yesterday to the town of Gaspé to tour a Danish factory called LM Glasfiber that makes windmill blades. From Montreal to the Gaspé, every time he tours a plant, the Liberals make sure workers are lined up to shake his hand for the cameras. The Liberals campaign slogan, "The economy first, yes?" festoons his podiums and he never fails to mention the need for a majority government to navigate the province through the international slowdown. Yet in most of the areas he visits, the economy is doing well. With the exception of forestry, most other resource industries continue to thrive. So Charest warns of an "approaching storm." But it's a hard sell. Unless you are at sea, it's hard to see the hurricane before it hits and Charest finds himself frequently questioned about the embattled health-care system. This problem he blames on Pauline Marois and the PQ when they retired thousands of nurses and doctors in the late 1990s, creating a huge deficit of medical staff. He argues that without wealth generation Quebec cannot maintain its social services. Yet the expansion plans he announced yesterday won't see the light of day until at least 2015. So he tries to appeal to Quebecer's pride. "Quebec's north is mineral resources, it's energy for the future, clean and renewable energy. It's energy that we have developed and it's energy that is in our genes," he told the audience to great applause. "We have to plan for the future, for the future of our children," he said. Hydro-Québec is about to embark on several giant projects that will add another 4,500 megawatts to the grid, increasing its overall capacity of 38,000 megawatts by about 12 per cent. They will exact a high environmental price, environmentalists say. Charest hopes the grandeur of his economic vision will entrance Quebecers to support his Plan Nord strategy. He links it with signing labour mobility agreements with France and Ontario, which he claims will help open new markets for Quebec's resources. But even here it often sounds as though he wants to give jobs to foreigners. Yet it's hard to gage audience reaction, since they are all Liberals.
  6. Le Vermont va accroître ses achats d'électricité du Québec 16 septembre 2008 - 15h49 La Presse Canadienne Les besoins d'énergie du Vermont vont sans cesse croissant et c'est le Québec qui va en profiter. Car le Vermont, État limitrophe du Québec, s'apprête à accroître ses achats d'électricité en provenance d'Hydro-Québec. Le premier ministre du Québec et le gouverneur du Vermont doivent se rencontrer le 6 octobre prochain, dans l'État de la Nouvelle-Angleterre, pour jeter les bases d'un nouveau contrat à long terme d'achat d'énergie d'Hydro-Québec. Le premier ministre Jean Charest et le gouverneur James Douglas ont annoncé leur projet mardi, lors d'un bref point de presse conjoint, dans le cadre de la 32e conférence des gouverneurs de la Nouvelle-Angleterre et des premiers ministres de l'Est du Canada, qui se tenait à Bar Harbor, dans le Maine, sur la côte atlantique. Cependant, ils ont dit ne pas pouvoir préciser pour l'instant combien de mégawatts supplémentaires étaient en cause, ni divulguer l'importance des sommes à venir dans les coffres d'Hydro. Quoi qu'il en soit, «c'est beaucoup de profits pour Hydro-Québec, a calculé M. Charest. C'est très payant.» Les divers contrats d'achat d'électricité conclus entre Hydro-Québec et le Vermont viennent à échéance d'ici 2015. Au total, les États-Unis achètent environ 3000 mégawatts du Québec annuellement. Le Massachusetts vient au premier rang. Actuellement, le Vermont acquiert environ 10% du total, soit 325 mégawatts.
  7. L'entreprise de Calgary s'affairera maintenant à préparer la construction de ce projet, qui devrait générer 132 mégawatts d'électricité. Pour en lire plus...
  8. Le producteur d'énergie achète un projet à Chatham-Kent et entend le soumettre aux autorités qui cherchent à se procurer 500 megawatts d'énergie renouvelable. Pour en lire plus...
  9. Une poignée de main de 1,2 milliard Àprès plus d'un an de négociations, le gouvernement libéral de Jean Charest s'entend avec la multinationale Alcoa pour moderniser l'aluminerie de Baie-Comeau au coût de plus de 1,2 milliard de dollars. Le premier ministre du Québec, Jean Charest, et le président d'Alcoa, Alain Belda, étaient à Baie-Comeau mardi pour en faire l'annonce. Québec réservera un bloc de 175 mégawatts d'électricité pour ce projet. Le premier ministre a aussi indiqué que Québec accordera un prêt sans intérêt de 228 millions pour aider Alcoa à entreprendre les travaux. L'entente permettra de préserver l'usine Baie-Comeau dont la technologie était vieillissante. Alcoa entend lancer son chantier en 2008 et prévoit terminer les travaux en 2015. Québec estime que ce chantier créera quelque 7000 emplois directs et indirects. Le gouvernement renouvellera aussi, à partir de 2015, un autre bloc de 517 mégawatts ce qui vient stabiliser l'approvisionnement en énergie pour les trois alumineries d'Alcoa au Québec, soit Baie-Comeau, Deschambault et Bécancour. L'accord prévoit aussi un minimum de 3000 emplois dans ces alumineries, dont près de la moitié à Baie-Comeau. Si des emplois supplémentaires sont abolis, la multinationale devra payer une pénalité de 100 000 $ par emploi éliminé. Longue histoire Au cours de ces 50 ans d'histoire, l'usine a connu quatre phases d'expansion et trois propriétaires. La modernisation des installations est à l'ordre du jour depuis le début des années 2000. En 2002, le bloc énergétique de 500 mégawatts promis par Québec pour un projet de développement dans l'industrie de l'aluminium a finalement été accordé au projet d'agrandissement d'Alouette-Alcan au détriment de l'aluminerie Alcoa. Puis, toujours en 2002, un premier projet de modernisation de l'aluminerie avait été accepté par le gouvernement Landry, puis rejeté par Québec un an après l'élection des libéraux. Alcoa s'engageait alors à investir plus de 1 milliard de dollars pour changer les vieilles cuves de l'aluminerie. À l'époque, le projet, et notamment la promesse de réserver un bloc de 175 mégawatts d'électricité au tarif de la grande entreprise, avait été jugé trop coûteux pour le Québec. Au cours des dernières années, le paysage économique s'est toutefois modifié. Le marché de l'aluminium poursuit sa croissance. Parallèlement, Hydro-Québec dispose de surplus d'énergie à un moment où le taux de change rend l'exportation vers les États-Unis un peu moins attrayante. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/03/04/002-quebec-alcoa_n.asp
  10. le jeudi 8 novembre 2007 Le conseil municipal de Laval a accepté les changements au règlement municipal afin de permettre aux agriculteurs d'installer des éoliennes sur leurs terres. Soumise à deux consultations, les 28 août et 20 septembre dernier, la modification n'a suscité aucune opposition. Une autre consultation est prévue à la fin du mois de novembre. En outre, les éoliennes ne pourront être installées à moins de 1000 mètres d'une bande riveraine. Les agriculteurs pourront installer des éoliennes sur leurs terres à la condition qu'elles ne dépassent pas 12 mètres de hauteur. Ils devront également respecter plusieurs normes de distances et de densité des éoliennes. L'installation et l'aspect des éoliennes sont également réglementés. Ainsi, elles devront être blanches ou grises et elles devront également être installées sur des terres cultivées. Laval se positionne ainsi en prévision de l'appel d'offres qu'Hydro-Québec est en passe de lancer aux municipalités dans le but d'acheter 500 mégawatts. La société d'État attend le feu vert du gouvernement. Amortie sur une période de 20 ans, une éolienne peut rapporter jusqu'à 400 000 $ par année. Une étude du ministère des Ressources naturelles et de la Faune, en 2005, estime le potentiel éolien de Laval à 11 mégawatts. Les zones agricoles constituent 28 % du territoire de Laval.
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