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  1. Publié le 15 octobre 2008 à 20h52 | Mis à jour le 15 octobre 2008 à 20h57 Bush aurait dû être destitué, estime Donald Trump Agence France-Presse Washington Le président américain George W. Bush aurait dû être destitué pour avoir menti au pays à propos de l'Irak, a estimé mercredi le milliardaire Donald Trump, pourtant ardent défenseur du parti républicain. Lors d'un entretien avec la chaîne de télévision CNN, M. Trump s'est dit surpris que les démocrates n'aient pas engagé de procédure de destitution à l'encontre du président après avoir obtenu la majorité au Congrès en 2006. «C'aurait été une chose merveilleuse», a déclaré le magnat de l'immobilier, qui ne pardonne pas au président les raisons qu'il a avancées pour justifier l'invasion de l'Irak en 2003. «Il a menti. Il nous a mis en guerre sur des mensonges», a martelé Donald Trump, 62 ans. L'homme d'affaires a fait le rapprochement avec le scandale Monica Lewinsky, la jeune femme avec qui le prédécesseur de M. Bush, Bill Clinton, a eu une liaison qui a failli lui coûter la Maison Blanche en 1999. «Regardez tous les problèmes que Bill Clinton a eus pour une chose sans aucune importance. Ils ont tenté de le destituer, ce qui était ridicule», a asséné M. Trump. «Et Bush nous a engagés dans cette horrible guerre avec des mensonges, en racontant qu'il y avait des armes de destruction massive et des tas d'autres choses qui se sont avérées fausses», a-t-il lancé. A propos de la campagne en cours pour la Maison Blanche, M. Trump n'en a pas moins fait part de son soutien au candidat républicain John McCain «C'est un type très malin, c'est un dur. Je pense qu'il ferait un grand président (...) et qu'il peut gagner», a-t-il ajouté, alors que M. McCain est distancé dans les sondages par son rival démocrate Barack Obama. Donald Trump, qui a hérité d'un empire immobilier, a donné son nom à une compagnie aérienne, des casinos, des hôtels, des stations balnéaires et à son gratte-ciel new-yorkais.
  2. Le candidat républicain à la présidentielle aux États-Unis a dévoilé mardi matin une série de mesures destinées à soutenir les retraités, les épargnants, les propriétaires immobiliers, face à la crise économique. Pour en lire plus...
  3. Le président et chef de la direction des Aliments Maple Leaf, Michael McCain, a tenu ces propos après que l'entreprise eut obtenu de nouveaux résultats positifs aux tests de dépistage de la bactérie. Pour en lire plus...
  4. John McCain propose que Washington rachète les hypothèques de propriétaires qui n'arrivent plus à les rembourser et qu'il leur offre un nouveau prêt plus avantageux. La facture, qu'il évalue à 300 milliards$US, serait toutefois épongée par le contribuable. Pour en lire plus...
  5. Les deux candidats à la présidentielle ont mis en garde le Congrès face à un rejet du plan Paulson. Pour en lire plus...
  6. À l'instar de Barack Obama, le candidat républicain plaide pour une reprise rapide des négociations sur le plan de sauvetage. Il se retrouve toutefois dans une position plus délicate que son adversaire. Pour en lire plus...
  7. Le sauvetage des banques reste en plan 25 septembre 2008 - 20h17 Agence France-Presse Olivier Knox Le sauvetage du système bancaire américain restait à l'état de plan jeudi soir, malgré une réunion exceptionnelle des responsables du Congrès autour du président George W. Bush et des deux prétendants à sa succession John McCain et Barack Obama. «Je pense que nous finirons par avoir un accord mais il reste du travail à faire», a déclaré le candidat démocrate à la présidentielle, Barack Obama, à l'issue de la réunion exceptionnelle à la Maison Blanche consacrée aux 700 milliards de dollars que l'administration Bush souhaite injecter dans le système bancaire. Il y a «beaucoup de questions à régler» mais «nous faisons des progrès», a déclaré Jim Manley, porte-parole du chef de la majorité démocrate du Sénat Harry Reid. A l'ouverture de la réunion, M. Bush avait indiqué qu'il espérait «parvenir à un accord très rapidement». «Nous faisons face à une grave crise économique, si nous n'adoptons pas une loi», avait dit le président, tout en se félicitant «de l'esprit de coopération au-delà des partis» qui a prévalu jusque là. La perspective d'un accord imminent a soutenu jeudi les places financières en Europe et en Amérique. Juste avant la rencontre, des parlementaires avaient annoncé les grandes lignes de l'accord auquel ils travaillent depuis près d'une semaine. Le président de la commission bancaire du Sénat, Christopher Dodd, a annoncé que les négociateurs des deux partis allaient soumettre le texte de leur accord à leurs collègues et aux responsables du département du Trésor. «Nous sommes arrivés à un accord fondamental sur une série de principes», a déclaré M. Dodd à la presse. La présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a rapporté que la Maison Blanche avait donné son accord aux principes que les démocrates souhaitaient incorporer au plan, notamment l'indulgence envers les propriétaires immobiliers insolvables et la limitation des indemnités des dirigeants bancaires. Les démocrates ont dévoilé jeudi un projet de sauvetage de 56,2 milliards de dollars en faveur des familles frappées par la crise financière. Mais l'influent sénateur républicain Richard Shelby a assuré qu'il n'y avait toujours pas d'accord, dénonçant «des failles» dans le plan présenté au Congrès par le secrétaire au Trésor Henry Paulson. «Même si le plan Paulson marchait parfaitement, ce dont doutent beaucoup de gens y compris près de 200 économistes, il ne stimulerait pas le crédit, il n'aiderait pas les propriétaires immobiliers et ne relancerait pas l'économie», a-t-il asséné. «Nous ne sommes pas tombés dans cette situation en quelques jours et nous n'en sortirons pas non plus en quelques jours», a-t-il ajouté. Intervenant solennellement mercredi soir à la télévision, George W. Bush n'avait pas hésité à parler d'«économie en danger» et de «période sans précédent pour l'économie américaine», dans l'espoir de convaincre le Congrès de s'entendre au plus vite. MM. McCain et Obama avaient de leur côté publié un communiqué commun mercredi, mettant de côté la campagne électorale pour appeler à l'union sacrée autour du plan de sauvetage. Le candidat démocrate insiste toutefois pour tenir comme prévu vendredi soir son premier débat télévisé l'opposant à John McCain, alors que ce dernier souhaite le reporter afin de se consacrer entièrement à la crise. Le sauvetage du système bancaire américain restait à l'état de plan jeudi soir, malgré une réunion exceptionnelle des responsables du Congrès autour du président George W. Bush et des deux prétendants à sa succession John McCain et Barack Obama. «Je pense que nous finirons par avoir un accord mais il reste du travail à faire», a déclaré le candidat démocrate à la présidentielle, Barack Obama, à l'issue de la réunion exceptionnelle à la Maison Blanche consacrée aux 700 milliards de dollars que l'administration Bush souhaite injecter dans le système bancaire. Il y a «beaucoup de questions à régler» mais «nous faisons des progrès», a déclaré Jim Manley, porte-parole du chef de la majorité démocrate du Sénat Harry Reid. A l'ouverture de la réunion, M. Bush avait indiqué qu'il espérait «parvenir à un accord très rapidement». «Nous faisons face à une grave crise économique, si nous n'adoptons pas une loi», avait dit le président, tout en se félicitant «de l'esprit de coopération au-delà des partis» qui a prévalu jusque là. La perspective d'un accord imminent a soutenu jeudi les places financières en Europe et en Amérique. Juste avant la rencontre, des parlementaires avaient annoncé les grandes lignes de l'accord auquel ils travaillent depuis près d'une semaine. Le président de la commission bancaire du Sénat, Christopher Dodd, a annoncé que les négociateurs des deux partis allaient soumettre le texte de leur accord à leurs collègues et aux responsables du département du Trésor. «Nous sommes arrivés à un accord fondamental sur une série de principes», a déclaré M. Dodd à la presse. La présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a rapporté que la Maison Blanche avait donné son accord aux principes que les démocrates souhaitaient incorporer au plan, notamment l'indulgence envers les propriétaires immobiliers insolvables et la limitation des indemnités des dirigeants bancaires. Les démocrates ont dévoilé jeudi un projet de sauvetage de 56,2 milliards de dollars en faveur des familles frappées par la crise financière. Mais l'influent sénateur républicain Richard Shelby a assuré qu'il n'y avait toujours pas d'accord, dénonçant «des failles» dans le plan présenté au Congrès par le secrétaire au Trésor Henry Paulson. «Même si le plan Paulson marchait parfaitement, ce dont doutent beaucoup de gens y compris près de 200 économistes, il ne stimulerait pas le crédit, il n'aiderait pas les propriétaires immobiliers et ne relancerait pas l'économie», a-t-il asséné. «Nous ne sommes pas tombés dans cette situation en quelques jours et nous n'en sortirons pas non plus en quelques jours», a-t-il ajouté. Intervenant solennellement mercredi soir à la télévision, George W. Bush n'avait pas hésité à parler d'«économie en danger» et de «période sans précédent pour l'économie américaine», dans l'espoir de convaincre le Congrès de s'entendre au plus vite. MM. McCain et Obama avaient de leur côté publié un communiqué commun mercredi, mettant de côté la campagne électorale pour appeler à l'union sacrée autour du plan de sauvetage. Le candidat démocrate insiste toutefois pour tenir comme prévu vendredi soir son premier débat télévisé l'opposant à John McCain, alors que ce dernier souhaite le reporter afin de se consacrer entièrement à la crise.
  8. Le sauvetage du système bancaire américain restait à l'état de plan jeudi soir, malgré une réunion exceptionnelle des responsables du Congrès autour du président George W. Bush et des deux prétendants à sa succession John McCain et Barack Obama. Pour en lire plus...
  9. Le plan de sauvetage de l'économie annoncé par le gouvernement en fin de semaine monopolise l'attention de John McCain et Barack Obama. Pour en lire plus...
  10. Les candidats à la présidence des États-Unis évitent de se mouiller au sujet du renflouement de la compagnie d'assurances AIG par la Réserve fédérale. Pour en lire plus...
  11. Voilà une campagne plutôt risquée: le conglomérat alimentaire canadien McCain a lancé une publicité qui fait beaucoup jaser en clamant «Pourquoi McCain devrait être la Maison Blanche». Pour en lire plus...
  12. Pour le plus gros transformateur alimentaire au Canada, la crise sanitaire actuelle est la pire de son histoire centenaire, admet le PDG Michael McCain. Pour en lire plus...
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