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  1. Bonjour chers membres, Maxime Lachance, un bon ami à moi et promoteur du YOO Montréal, me demande depuis environ 1 mois de rencontrer les membres MTLURB. Il est un lecteur assidu du forum et aimerais partager avec vous le point de vue d'un promoteur sur le marché immobilier de Montréal. Il vous invite donc à un café-muffins-causerie le samedi 13 juin de 11h à midi au bureau de vente du YOO (ouvert juste pour nous). Max va discuter du marché montréalais et bien sûr répondre à vos questions sur le projet YOO. Donc préparez vos questions et on vous attends en grand nombre au bureau de vente au coin des rues Ottawa et Young dans Griffintown. SVP veuillez confirmer votre présence en répondant au fil. Membres confirmés: Malek ScarletCoral monctezuma Brightlightsbigcity Synosik Memphis22
  2. http://www.newswire.ca/fr/story/1120355/avec-l-appui-de-montreal-international-le-groupe-alten-s-implante-dans-le-grand-montreal-et-annonce-la-creation-de-200-emplois Avec l'appui de Montréal International - Le Groupe ALTEN s'implante dans le Grand Montréal et annonce la création de 200 emplois MONTRÉAL, le 26 févr. 2013 /CNW Telbec/ - Le Groupe ALTEN, leader européen de l'ingénierie et du conseil en technologies (ICT), implante son siège social canadien dans le Grand Montréal. Actuellement reconnu comme l'un des meilleurs employeurs de France et certifié « Top Employeurs France 2013 », le Groupe ALTEN prévoit de créer plus de 200 emplois spécialisés dans la métropole québécoise, et ce, d'ici les trois prochaines années. Le Groupe ALTEN, qui compte actuellement 16 000 employés présents dans 16 pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie, soutient les entreprises innovantes dans le développement de leurs activités en R&D et la mise en place de nouveaux systèmes d'information. La nouvelle filiale entend principalement offrir ses services aux entreprises québécoises, canadiennes et nord-américaines œuvrant dans les secteurs de l'aérospatiale et des technologies de l'information et de la communication (TIC). « Nous retrouvons à Montréal tout le savoir-faire du Groupe ALTEN. Il y a ici un bassin de talents pour notre industrie, avec des établissements universitaires et des écoles d'ingénierie de qualité. C'est là un élément clé pour développer et renforcer notre présence canadienne », a déclaré M. Maxime Leca, directeur d'ALTEN Canada. « De plus, la région excelle dans plusieurs domaines technologiques de pointe et offre un environnement d'affaires très compétitif », a-t-il ajouté. Montréal International, qui a notamment le mandat d'attirer dans le Grand Montréal des investissements directs étrangers, a accompagné l'entreprise française dans son projet d'implantation dans la région. « L'arrivée d'un géant européen comme le Groupe ALTEN, qui se spécialise dans un domaine très porteur de l'économie du savoir, met de l'avant le dynamisme de toute la région comme centre d'innovation, de R-D et de haute technologie », a déclaré M. Jacques St-Laurent, président-directeur général de Montréal International. « Les filiales de sociétés étrangères représentent un puissant levier pour le développement économique et le rayonnement de la métropole », a-t-il ajouté. "Le Grand Montréal, qui était en compétition avec d'autres grandes villes canadiennes, s'est également démarqué par son environnement d'affaires nord-américain, sa population francophone et multilingue, et sa proximité des grands centres urbains du nord-est des États-Unis, comme New York, Boston et Washington », a ajouté Maxime Leca. « Montréal est assurément une métropole cosmopolite et ouverte sur le monde. Elle réunit tous les ingrédients propices au succès et au développement des entreprises », a-t-il conclu. Mentionnons que la création d'ALTEN Canada permet de solidifier la présence du Groupe ALTEN en Amérique du Nord, après l'acquisition en 2011 de Calsoft Labs aux États-Unis
  3. Montréal, toujours une capitale financière prometteuse 22 juin 2011 | 16h58 http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/06/20110622-165855.html Michel Munger Argent Montréal a encore sa place en matière de placement, même si la décision d'Industrielle Alliance Clarington de rapatrier une partie de ses activités à Toronto soulève des questions. Photo : ReutersEn modifiant la structure de gestion de 1 G$ de portefeuilles IA Clarington a déplacé 650 M$ d'actifs vers la Ville-Reine. Cependant, le secteur n'est pas dépourvu de cabinets réputés. Jarislowsky Fraser gère plus de 43 G$, contre 24 G$ pour Letko Brosseau et 30,8 G$ pour Fiera Sceptre. Certains acteurs de l'industrie font pour leur part du développement. Fidelity Investments a permis à un gestionnaire étoile, Maxime Lemieux, de s'installer à Montréal il y a deux ans. la croissance est au rendez-vous depuis. «La venue de trois gestionnaires a contribué à des gains de parts de marché, indique M. Lemieux. Nous gérons un peu plus de 10 G$, ce qui constitue environ 14% des actifs de Fidelity au Canada. Nous avons le vent dans les voiles.» «Montréal a souffert parce que l'industrie a été consolidée en partie par les banques canadiennes, reconnaît M. Lemieux. Les institutions financières ont tendance à faire de la centralisation parce qu'elles ont besoin d'une bonne taille d'actifs.» «Ça ne fait pas de Montréal une mauvaise place pour être un financier, poursuit-il. La ville est dotée d'une masse critique d'actifs, d'investisseurs, de fonds de pension comme la Caisse de dépôt et de firmes comme Jarislowsky Fraser. Depuis que je suis ici, je n'ai pas vu tant de mauvaises nouvelles. Rien ne laisse croire que nous ne verrons pas de jours meilleurs.» Un bassin de talents Maxime Lemieux estime que les deux principaux avantages de Montréal sont l'abondance de talents et son accès aux dirigeants des entreprises situées ailleurs au Canada ou à l'étranger. «Le point le plus important est le talent, insite-t-il. Ça prend aussi des entrepreneurs qui s'inspirent de Letko Brosseau et Jarislowsky Fraser pour se lancer à leur compte.» Martin Gagnon, co-chef de la direction d'Innocap, une coentreprise de la Banque Nationale du Canada et de BNP Paribas, est d'accord sur l'importance du bassin de main d'oeuvre. «Lorsque je travaillais chez Goldman Sachs, raconte-t-il, nous recrutions à HEC Montréal à chaque année et les candidats faisaient partie des meilleurs.» Innocap travaille sur 3 G$ de mandats mais elle doit se démener afin de dénicher des capitaux. «Environ 70% de nos clients sont en Europe, explique M. Gagnon. Notre industrie se différencie, même si elle demeure plus petite.» D'autres acteurs de cette taille n'en démordent pas: Montréal est leur ville. C'est le cas de Daniel Thompson, PDG de MacDougall, MacDougall & MacTier. Ce cabinet établi en 1849 a 5 G$ sous gestion et plus de la moitié de ses 200 employés sont à Montréal. «Il y a des universités, une Bourse, des entrepreneurs et de l'argent ici, soutient M. Thompson. Tous les gestionnaires de portefeuille au Canada veulent gérer de l'argent pour la Caisse de dépôt. Ils feront le voyage à Montréal pour cela. Toronto a plus d'argent, mais Montréal en a assez pour nous tenir occupés pendant des siècles !» L'éventuel rachat du Groupe TMX assombrit le portrait, admet M. Thompson. «C'est difficile pour un joueur indépendant comme nous d'avoir un droit de parole concernant notre Bourse. Je ne veux surtout pas que Londres la contrôle. Même Maple aurait la mainmise sur 90% des transactions au Canada. Ce n'est pas de la concurrence.»
  4. Catherine Handfield La Presse Pendant les trois premiers mois de 2009, le marché de l'emploi a connu une période difficile dans l'île de Montréal. Le taux de chômage désaisonnalisé est passé de 8,6% à 10,5%, selon les données comptabilisées par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) à l'aide des chiffres de Statistique Canada. «Près de 2%, c'est un bond énorme», constate Maxime Trottier, conseiller en recherche à la CMM. Le taux de chômage a beaucoup moins augmenté en banlieue : à Laval, il est passé de 7,2% à 7,9%. Et pour l'ensemble composé de Longueuil et des couronnes, de 6,2% à 6,4%. La récente baisse de l'emploi dans l'île de Montréal est encore plus surprenante si on la compare avec l'an dernier. Alors que le taux d'emploi chutait tranquillement à Laval, à Longueuil et dans les couronnes, les indicateurs demeuraient relativement stables dans l'île. Comment analyser ce changement ? Selon Maxime Trottier, cela s'explique en partie par les récentes pertes d'emplois dans les secteurs publics et parapublics, qui regroupent les fonctionnaires de même que les employés des hôpitaux et des universités. «En 2008, les pertes d'emplois touchaient surtout l'industrie manufacturière et les services aux citoyens. Les travailleurs des couronnes ont écopé puisque leur économie locale est essentiellement axée sur ces deux secteurs», explique Maxime Trottier. Or, lors du premier trimestre de 2009, Statistique Canada a révélé un nouvel affaiblissement lié à la crise économique : celui des secteurs public et parapublic. Et ces emplois se concentrent généralement dans le centre des agglomérations, explique M. Trottier. Les résidants de l'île ont également été touchés par la baisse de l'emploi dans les secteurs de la finance, des assurances et de l'immobilier, qui montrent des signes de faiblesse depuis la fin de 2007, estime M. Trottier. Résultat : dans l'île, le nombre de bénéficiaires de l'assurance emploi a bondi. En mars, on y recensait 38 640 bénéficiaires, selon les données comptabilisés par La Presse à l'aide de résultats fournis par Statistique Canada. C'est 22% de plus qu'en janvier, et 40% de plus qu'à pareille date l'an dernier. Les banlieues écopent aussi Statistique Canada ne comptabilise pas les taux de chômage dans les villes sur une base mensuelle. Pour les plus petites unités de recensement, l'organisme fédéral calcule toutefois le nombre de bénéficiaires de l'assurance emploi. Bien que le taux de chômage y soit moins élevé que dans l'île, les banlieues ont également vu le nombre de bénéficiaires augmenter au cours des derniers mois. En mars dernier, Laval comptait 2400 bénéficiaires de plus qu'en mars 2008, une hausse de 39%. Laval a également été touché par la baisse des emplois dans les secteurs public et parapublic, estime Maxime Trottier. La hausse est légèrement moindre dans l'agglomération de Longueuil (38%) : les villes qui la constituent ont été touchées notamment par les mises à pied à l'usine Pratt & Withney de Longueuil, analyse M. Trottier. Du côté des couronnes, le sud écope également un peu moins que le nord, révèlent les données. La couronne Nord comptait un total de 15 000 bénéficiaires en mars dernier, une augmentation de 38% par rapport à l'an dernier. La couronne Sud en comptait pour sa part 11 000, en hausse de 34% par rapport à l'an dernier. Pourquoi le nord est-il plus touché que le sud ? La Rive-Sud est probablement moins tributaire du secteur manufacturier, fortement touché par la crise économique actuelle, estime Maxime Trottier. D'ailleurs, les villes situées à proximité des industries semblent plus touchées que la moyenne. Par exemple, les bénéficiaires sont en hausse importante à Montréal-Nord (+44%), Terrebonne (+43%), Verdun (+49%) et Montréal-Est (+44%).
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