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  1. Je propose une nouvelle discussion axée sur le transport des marchandises, et qui comprendrait des sections sur chacun des modes: ferroviaire, routier, fluvial/maritime et aérien, plus l'inter-modal. On sait que Montréal, comme plusieurs autres villes du monde, a historiquement pris son essor en raison des facilités de transport que son site avantageait, renforcé subséquemment par la construction d'infrastructures qui y convergeaient. Ces villes se distinguent de celles qui furent créées d'abord pour des raisons politiques ou religieuses. Je suis particulièrement intéressé par l'inter-modal, et les projets requis (essentiellement des infrastructures) pour réussir un gain quantitatif et qualitatif substantiel qui assurerait la pérennité du rôle de la ville/région en la matière. Il y a de nombreux enjeux sous-jacents: 1) compétences (constitutionnelles) partagées entre le fédéral et le provincial; 2) zonage agricole de certains sites pressentis; 3) éventuel dragage du fleuve et/ou construction d'un avant-port (un port en aval pour les navires à plus fort tirant d'eau; 4) rôle du secteur privé et tarifications; 5) politiques/mesures incitatives en faveur d'une réduction des coûts, des effets sur l'environnement (dont: consommation d'énergie) et des nuisances (bruits, risques pour les populations riveraines) Les exemples "venus d'ailleurs" pourront être sources d'inspiration, mais il serait bien que les particularité montréalaises soient correctement prises en compte. Inévitablement, les discussions ici ne pourront éviter un certain chevauchement avec d'autres. Le défi sera de maintenir le focus sur "marchandises", par opposition à "personnes".
  2. COMMUNIQUÉS 31.05.12 Réunion annuelle de l'Administration portuaire de Montréal : Trafic de marchandises record en 2011 En 2011, le volume total des marchandises manutentionnées au Port de Montréal a atteint 28,5 millions de tonnes, dépassant le record de 27,9 millions de tonnes enregistré en 2008. Ce résultat, dévoilé lors de la réunion annuelle de l'Administration portuaire de Montréal (APM), représente une hausse de 10,1 % par rapport à l'année 2010. À la fin de 2011, le bénéfice net s'est élevé à 7,1 millions de dollars, grâce, notamment, à un contrôle rigoureux des dépenses. Le Port de Montréal manutentionne des conteneurs, du vrac liquide, du vrac solide, du grain, en plus d'accueillir des croisiéristes. En 2011, l'activité du secteur des conteneurs a augmenté de 3,6 % par rapport à 2010, pour atteindre 12,5 millions de tonnes de marchandises, ou 1,36 million de conteneurs EVP (équivalent 20 pieds). Du côté du vrac liquide, le port en a manutentionné 10,1 millions de tonnes l'an dernier, soit 34 % de plus qu'en 2010. Cette hausse s'explique par l'augmentation des réceptions de produits raffinés par navires. Les autres produits liquides ont connu une hausse de 9,1 % par rapport à l'année dernière, grâce surtout à une augmentation de la demande d'éthanol. Le volume de manutention du vrac solide a, quant à lui, connu une augmentation de 7,1 %, due surtout aux chargements de gypse, d'engrais, de charbon et de minerai de fer. Cette augmentation ne tient pas compte du trafic céréalier, qui a connu une année de transition avec le transfert de la gestion des opérations du terminal céréalier à la compagnie agroalimentaire Viterra, le 1er juillet dernier. Par ailleurs, la saison 2011 s'est clôturée par 40 croisières internationales et fluviales pour un total de 38 031 passagers. Le Comité croisières Montréal, initié en juin 2011, compte maintenant neuf partenaires de l'industrie touristique montréalaise qui travaillent à faire connaître l'escale Montréal auprès des professionnels du voyage. Les premiers résultats sont prometteurs : on attend cette année 55 500 passagers, soit une augmentation de 46 % du nombre de passagers. L'APM remercie tous les partenaires du Comité croisières Montréal pour le bon travail accompli. Faits marquants Le terminal céréalier - Le 1er juillet 2011, le Port de Montréal a procédé au transfert du terminal céréalier à la compagnie agroalimentaire Viterra, qui depuis, en assure la gestion des opérations. Cette entente à long terme s'inscrit dans une démarche visant à consolider et à augmenter le trafic des céréales au port, tout en continuant de fournir un service de haut calibre aux producteurs québécois. « Avec l'arrivée de Vittera, toutes nos installations sont dorénavant exploitées par des compagnies spécialistes de leur domaine », a déclaré Mme Sylvie Vachon, présidente-directrice générale de l'Administration portuaire de Montréal. « Le Port de Montréal peut ainsi mettre toutes ses énergies à développer son créneau d'excellence : le commerce maritime mondial. » La Cité portuaire - Lors de son allocution, Sylvie Vachon a rappelé l'importance que le Port de Montréal accorde au projet de Cité portuaire, une initiative de la Ville de Montréal visant à développer l'Est de Montréal. La volonté de se rapprocher des communautés montréalaises fait partie des priorités de l'APM. Mme Vachon s'est également déclarée très encouragée par les travaux du comité provisoire qu'elle a présidé, et qui était chargé d'étudier la possibilité de créer une grappe industrielle de logistique et de transport pour le Grand Montréal. « J'ai bon espoir que tous les paliers gouvernementaux interpelés confirmeront leur participation financière sous peu.», a-t-elle déclaré. Développement durable À la suite de la politique de développement durable adoptée en 2010, le Port de Montréal a accueilli sa première locomotive à génératrices multiples, qui permet de réduire de 54 % la consommation de carburant, et de 90 % les émissions de gaz à effet de serre (GES). Trois autres locomotives seront livrées en août prochain. Quant au nouveau portail d'entrée des camions, inauguré en mars 2011, il réduit de moitié le temps d'attente des véhicules et, du coup, les émissions de GES. Le portail a d'ailleurs reçu le Grand prix d'excellence en transport de l'Association québécoise du transport et des routes, en mai 2011. De plus, le Port de Montréal a obtenu la plus haute cote de performance dans la catégorie Leaderhsip environnemental, décernée par l'Alliance verte, un programme environnemental volontaire destiné à l'industrie maritime du Canada et des États-Unis, et dont le Port de Montréal est l'un des membres fondateurs. http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1800&lang=fr
  3. Aucune idée ou placer ce fil: http://www.newswire.ca/fr/story/938135/investissement-du-federal-au-port-de-montreal-une-bonne-nouvelle-pour-ameliorer-la-position-concurrentielle-de-montreal MONTRÉAL, le 15 mars 2012 /CNW Telbec/ - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le vice-président du comité exécutif et responsable des grands projets et du développement économique, M. Richard Deschamps, saluent la décision du gouvernement fédéral d'investir près de 16 M$, par l'entremise du Fonds sur pour les portes d'entrée et les passages frontaliers, au Port de Montréal afin d'optimiser les aires de manutention de conteneurs dans les secteurs Maisonneuve et Viau et d'améliorer le système de navigation dans le chenal du fleuve Saint-Laurent. Cet investissement s'inscrit dans un projet dont les coûts totaux sont de 40 M$ et qui générera plus de 150 emplois, à terme. « Le Port de Montréal a été, au cours de son histoire, l'une des principales portes d'entrée du continent nord-américain et il continue de jouer le rôle de principale plaque tournante du système canadien de transport des marchandises pour l'Est du pays. Tout investissement visant à maintenir et à améliorer sa position concurrentielle est, évidemment en soi, une bonne nouvelle, a indiqué le maire de Montréal. Il est maintenant à souhaiter que la proposition du Port concernant L'Assomption sera le prochain investissement annoncé, notamment dans le cadre de la Porte continentale. » « Le développement du Port est primordial et il est l'une des clés de la relance économique de l'Est de Montréal. Nous avons d'ailleurs fait de la Cité portuaire un projet prioritaire du Plan d'action économique de l'Est, dévoilé en octobre dernier », a ajouté M. Deschamps. Rappelons que le conseil municipal a adopté, le 20 février dernier, une déclaration sur le développement du Port. Il a ainsi été résolu : • de réaffirmer la volonté de la Ville de Montréal de voir se développer des fonctions logistiques de calibre mondial dans l'ensemble de la région métropolitaine, incluant un pôle logistique dans le secteur de L'Assomption; • d'affirmer son intérêt à explorer, avec l'ensemble des acteurs publics et privés intéressés, les hypothèses d'expansion supplémentaire du Port et des activités qui y sont liées sur certains sites à l'est du pôle L'Assomption ; • de demander aux gouvernements du Québec et du Canada d'inclure dans la stratégie de Porte continentale des interventions destinées à faciliter les échanges commerciaux entre la région métropolitaine de Montréal et ses principaux marchés d'exportation aux États-Unis; • de demander aux gouvernements du Québec et du Canada de reconnaître explicitement le rôle névralgique de la plaque tournante montréalaise dans le système continental de transport des marchandises et dans l'organisation du commerce international canadien et nord-américain ; • de demander en conséquence aux deux gouvernements d'ajuster le plus rapidement les montants prévus dans leurs dépenses d'immobilisation respectives - et en particulier dans les immobilisations prévues dans la stratégie de Porte continentale - pour appuyer les efforts des partenaires montréalais pour consolider et renforcer les activités de transport de marchandises à Montréal, et pour y développer rapidement des fonctions logistiques de calibre mondial.
  4. Une saison très tranquille pour la Voie maritime Publié le 08 janvier 2010 à 17h11 | Mis à jour le 08 janvier 2010 à 17h16 Sylvain Larocque La Presse Canadienne Montréal La Voie maritime du Saint-Laurent vient de mettre fin à sa 50e saison de navigation en enregistrant son plus faible niveau d'activité «depuis le début des années 1960». La Corporation de gestion de la Voie maritime estime que le volume total de marchandises transportées dans le corridor aura totalisé 30,5 millions de tonnes en 2009, une baisse de 25,3% par rapport à 2008. La chute «peut être attribuée à l'importance de la récession, qui a entraîné une forte diminution des transports de minerai de fer et d'acier sur la voie navigable», a expliqué l'organisme dans un communiqué diffusé vendredi. Le président et chef de la direction de la Corporation de gestion, Richard Corfe, a rappelé que l'industrie sidérurgique, qui a grandement souffert de la récession, représentait «une forte proportion» de l'activité de la Voie maritime. M. Corfe a tenu à souligner que son équipe déployait des efforts afin de diversifier les marchandises transportées sur la Voie maritime, tout en reconnaissant que le corridor allait rester «centré» sur le transport de marchandises en vrac. «Nous préparons un avenir où la Voie maritime sera foncièrement plus polyvalente et pourra accueillir une plus vaste gamme de navires transportant des marchandises spécialisées, a indiqué le dirigeant. Nous nous employons à cette fin à mettre en oeuvre l'amarrage mains libres. Il évitera aux armateurs de devoir investir dans un équipement uniquement nécessaire à la navigation dans la Voie maritime, il réduira la taille de l'équipage nécessaire aux éclusages et il rehaussera à la fois la productivité et la sécurité.» En 2009, la Voie maritime a reçu 1,6 million de tonnes de nouvelles marchandises, qui se sont traduites par des recettes de péage de plus de 2 millions de dollars. Entre Hamilton et Montréal, on a mis en place un projet pilote qui permet le transport de conteneurs spécialisés par remorqueur et chaland, en lieu et place des liens routiers et ferroviaires. Plus tôt cette semaine, la présidente-directrice générale de l'Administration portuaire de Montréal, Sylvie Vachon, a déclaré qu'elle s'attendait à ce que le trafic se maintienne cette année par rapport à 2009, ou qu'il augmente légèrement. Elle n'entrevoyait pas le retour aux niveaux records de 2008 avant deux ou trois ans. En 2009, le port de Montréal a enregistré une baisse de 11,9% de son volume total. La Corporation de gestion s'est par ailleurs félicitée, vendredi, qu'aucune nouvelle espèce aquatique envahissante n'ait été signalée dans les eaux de la Voie maritime depuis 2006. Il s'agit de la première période de trois ans depuis 1965 au cours de laquelle on a réussi à garder ces espèces à distance, grâce notamment au rinçage des citernes de ballast à l'eau salée. La saison de navigation 2009, qui a duré 274 jours, a pris fin le 28 décembre. La Voie maritime du Saint-Laurent permet de relier l'océan Atlantique aux Grands Lacs.
  5. Le port de mer de Gros-Cacouna a enregistré en 2008 une baisse de l'ordre de 30% du volume de marchandises transbordées. Pour en lire plus...
  6. mtlurb

    Vancouver écope

    Si Montréal semble bien se sortir de la crise pour l'instant, la situation est différente à Vancouver. En milieu d'année, le Port de Vancouver avait déjà vu le volume total des marchandises manutentionnées reculer de 5% par rapport à un an auparavant. Pour en lire plus...
  7. Des records de volumes et de revenus ont été enregistrés dans le domaine du transport ferroviaire de marchandises et de passagers l'an dernier au Canada. Pour en lire plus...
  8. Le CN fait 50 M$ d'acquisitions au Québec 3 novembre 2008 - 09h53 LaPresseAffaires.com Michel Munger Le transporteur ferroviaire Canadien National (CNR) annonce ce matin qu'il met 49,8 M$ sur la table pour faire quelques achats auprès de la Société des chemins de fer du Québec (SCFQ). Pour son argent, compagnie montréalaise deviendra propriétaire des trois principales filiales de chemin de fer de la SCFQ et d'un service marchandises de traversier-rail. Ce sont 864 kilomètres de voies ferrées que le CN se réapproprie, après les avoir vendus à la SCFQ à la fin des années 1990. De plus, l'entreprise détenait une participation minoritaire dans le service de traversier depuis qu'il a été démarré en 1975. «Les services que nous achetons sont importants pour le CN parce que la SCFQ, qui est notre deuxième partenaire en importance parmi les chemins de fer d'intérêt local, dessert d'importants clients au point d'origine et alimente directement notre réseau de lignes principales», explique Hunter Harrison, PDG du Canadien National. «La SCFQ a fait de l'excellent travail avec ces propriétés ferroviaires et nous croyons qu'il sera possible d'apporter d'autres améliorations ultérieurement, ajoute-t-il. En misant sur son modèle d'exploitation avant-gardiste et son expérience antérieure en matière d'intégration harmonieuse de sociétés acquises, le CN prévoit réaliser des gains d'efficacité importants sur le plan de l'exploitation grâce à l'inclusion de ces propriétés au sein de son réseau.» Voici la liste des propriétés acquises: - Le Chemin de fer de la Matapédia et du Golfe; - La Compagnie de chemin de fer de la côte est du Nouveau-Brunswick; - L'Ottawa Central Railway (OCR); - La Compagnie de gestion de Matane Inc. Le Sydney Coal Railway, en Nouvelle-Écosse, et le Chemin de fer de Charlevoix sont exclus de la transaction. Le CN indique qu'il investira au cours des trois prochaines années pour moderniser lors les propriétés acquises. Il n'a toutefois pas l'intention de modifier immédiatement le service de marchandises, de voyageurs VIA Rail ou les niveaux d'emploi (214 personnes). L'action du transporteur gagnait 2,3% à 53,51 $ peu après l'ouverture lundi à la Bourse de Toronto.
  9. Le transporteur ferroviaire deviendra propriétaire des trois principales filiales de chemin de fer de la SCFQ et d'un service marchandises de traversier-rail. Pour en lire plus...
  10. La qualité des transports en commun, selon l'Institut Fraser - Le Québec coiffe les autres provinces Le Devoir Amélie Daoust-Boisvert Édition du jeudi 23 octobre 2008 Mots clés : qualité, Transport en commun, Canada (Pays), Québec (province) Consolez-vous en attendant l'autobus ces jours-ci: le Québec aurait le meilleur réseau de transport en commun au pays, selon une étude de l'Institut Fraser, alors que l'Ontario vole la vedette pour la qualité globale de son réseau de transport, commun ou non, passagers et marchandises inclus. Selon la toute première étude exhaustive sur le réseau de transport du pays -- plus de 1,41 million de kilomètres de pavé --, globalement, le Québec se classe troisième derrière sa voisine ontarienne et la Nouvelle-Écosse. La Colombie-Britannique traîne en queue de peloton. Congestion chronique, temps de déplacements disproportionnés, accidents fréquents, infrastructures coûteuses et transport en commun dispendieux enfoncent le clou de son piètre bilan. Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur américain spécialisé en transport David Hartgen a considéré l'étendue, l'usage, l'accessibilité, le coût et la sécurité de chaque mode de transport. Il s'est attardé aux routes, au transport en commun, au transport aérien et maritime, et ce, pour les personnes et les marchandises. Vingt-trois critères déterminent le classement global par province. En entrevue téléphonique, le professeur à l'Université de la Caroline du Nord explique qu'«un bon système de transport, c'est un système économiquement efficace. Il est de qualité adéquate pour le trafic attendu, le budget disponible et les impacts possibles, comme les impacts environnementaux». Sa devise se résume à comparer pour améliorer. En moyenne, au Québec, il en coûte 1,23 $ par usager par voyage pour fournir le transport en commun, alors qu'une personne permet de générer près de 95 passages par année. Bref, c'est le moins cher et le plus utilisé. «Nous avons évalué les critères de base, mais qu'il y en a bien d'autres. Le haut taux d'utilisation et le coût relatif par usager indiquent une bonne qualité globale, mais j'avoue que ça fait bien longtemps que je n'ai pas pris le transport en commun à Montréal. Si vous êtes insatisfaits de votre système, c'est peut-être qu'il est si bon que vous êtes désabusés», a-t-il avancé. Devant ses données sur le Québec, David Hartgen s'inquiète surtout du mauvais état de nos routes et du coût, pour celles-ci, 1,3 fois plus élevé par kilomètre que celui de la moyenne canadienne. Trente-huit pour cent des chaussées sont dans des conditions déplorables, ce qui nous place 9es... avant la petite dernière, l'Ontario, dont le système souffre tout de même de quelques défauts. http://www.ledevoir.com/2008/10/23/212086.html (23/10/2008 21H38)
  11. La qualité des transports en commun, selon l'Institut Fraser - Le Québec coiffe les autres provinces Le Devoir Amélie Daoust-Boisvert Édition du jeudi 23 octobre 2008 Mots clés : qualité, Transport en commun, Canada (Pays), Québec (province) Consolez-vous en attendant l'autobus ces jours-ci: le Québec aurait le meilleur réseau de transport en commun au pays, selon une étude de l'Institut Fraser, alors que l'Ontario vole la vedette pour la qualité globale de son réseau de transport, commun ou non, passagers et marchandises inclus. Selon la toute première étude exhaustive sur le réseau de transport du pays -- plus de 1,41 million de kilomètres de pavé --, globalement, le Québec se classe troisième derrière sa voisine ontarienne et la Nouvelle-Écosse. La Colombie-Britannique traîne en queue de peloton. Congestion chronique, temps de déplacements disproportionnés, accidents fréquents, infrastructures coûteuses et transport en commun dispendieux enfoncent le clou de son piètre bilan. Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur américain spécialisé en transport David Hartgen a considéré l'étendue, l'usage, l'accessibilité, le coût et la sécurité de chaque mode de transport. Il s'est attardé aux routes, au transport en commun, au transport aérien et maritime, et ce, pour les personnes et les marchandises. Vingt-trois critères déterminent le classement global par province. En entrevue téléphonique, le professeur à l'Université de la Caroline du Nord explique qu'«un bon système de transport, c'est un système économiquement efficace. Il est de qualité adéquate pour le trafic attendu, le budget disponible et les impacts possibles, comme les impacts environnementaux». Sa devise se résume à comparer pour améliorer. En moyenne, au Québec, il en coûte 1,23 $ par usager par voyage pour fournir le transport en commun, alors qu'une personne permet de générer près de 95 passages par année. Bref, c'est le moins cher et le plus utilisé. «Nous avons évalué les critères de base, mais qu'il y en a bien d'autres. Le haut taux d'utilisation et le coût relatif par usager indiquent une bonne qualité globale, mais j'avoue que ça fait bien longtemps que je n'ai pas pris le transport en commun à Montréal. Si vous êtes insatisfaits de votre système, c'est peut-être qu'il est si bon que vous êtes désabusés», a-t-il avancé. Devant ses données sur le Québec, David Hartgen s'inquiète surtout du mauvais état de nos routes et du coût, pour celles-ci, 1,3 fois plus élevé par kilomètre que celui de la moyenne canadienne. Trente-huit pour cent des chaussées sont dans des conditions déplorables, ce qui nous place 9es... avant la petite dernière, l'Ontario, dont le système souffre tout de même de quelques défauts. http://www.ledevoir.com/2008/10/23/212086.html (23/10/2008 7H08)
  12. Flambée du prix du diesel, ralentissement économique... C'est plus qu'il n'en faut pour mettre à mal les résultats financiers des principaux transporteurs nord-américains de marchandises. Pour en lire plus...
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