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  1. http://bleumaree.com/?tag=Home-FR Situé en bordure de la rivière des Prairies, sur le verdoyant chemin de la Rive-Boisée à Pierrefonds, les condos Bleu Marée représenteront une véritable source apaisante pour les yeux grâce à sa splendide vue sur l’eau. Énergisante, votre espace sera submergé d’une lumière naturelle éclatante
  2. Publié le 22 septembre 2010 à 17h36 | Mis à jour à 17h40 Le Port de Montréal accueille le plus gros navire de son histoire Pierre Saint-Arnaud La Presse Canadienne Montréal Le Port de Montréal accueillera ce jeudi le plus gros navire de son histoire, une opération qui aura nécessité deux années de préparatifs. Le Aida Luna, un navire de croisière allemand appartenant au voyagiste Aida Cruise, mesure 252 mètres de long et peut accueillir jusqu'à 2500 passagers. Il s'agit, en l'occurrence, principalement d'Européens, explique Ross Baldwin, directeur général de McLean Kennedy, l'agent maritime qui est à l'origine de la venue du mastodonte: «Les passagers sont surtout des Allemands mais aussi des Italiens, des Autrichiens et des Espagnols qui viennent voir les couleurs de l'automne sur le fleuve Saint-Laurent et sur le Saguenay. Pour plusieurs, c'est la première fois qu'ils voient une chose semblable.» La problématique de la venue du navire à Montréal réside moins dans sa longueur ou son tirant d'eau, qui n'est que de sept mètres, que dans sa hauteur. Le mastodonte se présente en effet à une hauteur de 47,9 mètres (157 pieds) au-dessus de la ligne de flottaison. «Nous avons commencé il y a deux ans par un dialogue avec les pilotes du Saint-Laurent pour voir si l'on pouvait amener ce navire à Montréal, a indiqué M. Baldwin, parce qu'il y a beaucoup d'obstacles: la hauteur du Pont de Québec, des lignes d'Hydro-Québec. Il y a aussi les manoeuvres d'accostage au Port de Montréal. C'est difficile mais les pilotes ont déterminé que c'était possible.» Le cas du vieux pont de Québec est en effet assez problématique, précise-t-il: «Le passage sous le Pont de Québec nécessite un ajustement du trajet à l'heure de la marée. On ne peut passer que si la marée est basse. À 48 mètres de hauteur, il passe pas à marée haute.» Bien que le dégagement soit suffisant sous les lignes d'Hydro-Québec à Trois-Rivières, on a prévu là aussi de les franchir à marée basse pour ne prendre aucun risque. Pour le dernier droit, les deux pilotes qui seront à la barre du navire entre Trois-Rivières et Montréal seront en terrain familier, indique M. Baldwin. «Ces deux pilotes sont allés en Allemagne l'an dernier pour faire une simulation sur un simulateur et confirmer que c'était vraiment possible. La décision était déjà prise mais il était utile d'offrir cette expérience aux pilotes et d'ajouter au simulateur leur expérience et les données sur les courants, les profondeurs du chenal et ainsi de suite.» Il a également fallu déterminer, entre autres, quelles manoeuvres seraient requises et quel type de remorqueurs pourraient les accomplir afin de permettre d'accoster le navire au quai Alexandra. Après avoir traversé l'Atlantique, l'Aida Luna a d'abord fait escale à New York et dans les ports des provinces maritimes avant de se rendre à Québec. Il est attendu dans le Port de Montréal à 7h00 du matin, ce jeudi. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201009/22/01-4320642-le-port-de-montreal-accueille-le-plus-gros-navire-de-son-histoire.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS3
  3. http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/04/28/les-etats-unis-tentent-par-tous-les-moyens-d-endiguer-la-maree-noire_1343766_3244.html 'espoir d'endiguer rapidement ce qui risque de devenir l'une des pires marées noires de l'histoire des Etats-Unis s'amenuisait, mercredi 28 avril, au large de la Louisiane. La nappe de pétrole de 1000 kilomètres de circonférence s'est rapprochée à une trentaine de kilomètres du littoral. Les gardes-côtes américains envisageaient d'incendier une partie de la nappe dès mercredi pour en limiter l'impact – au risque d'une sévère pollution atmosphérique. Ravagée, le 20 avril, par une explosion et un incendie qui ont fait onze disparus, la plate-forme d'exploration Deepwater Horizon, exploitée dans le golfe du Mexique, à 70 kilomètres des côtes américaines par la compagnie British Petroleum (BP), a sombré deux jours plus tard. L'épave repose désormais par 1500 mètres de fond, mais le puits continue de déverser 160000 litres de brut par jour. Un millier de personnes sont mobilisées pour des opérations de secours qui coûtent 6 millions de dollars (4,5 millions d'euros) par jour à BP, et mettent en œuvre une batterie de solutions expérimentées pour la première fois à cette échelle, et à cette profondeur. L'échec des robots. Quatre robots sous-marins baptisés ROV — pour "remotely operated vehicules" — tentent, depuis lundi 26 avril, de fermer "manuellement" les différentes vannes de sécurité qui auraient normalement dû se déclencher automatiquement lors de l'accident. Leur cible: une valve de 450 tonnes située à la sortie du puits, à 1,5 kilomètre de profondeur, seul espoir de stopper rapidement la marée noire en arrêtant l'écoulement. "Cela n'a jamais été fait auparavant, mais nous avons les meilleurs experts du monde pour faire en sorte que ça marche", assurait un responsable de BP, Doug Suttles, lundi. Un optimisme démenti pour l'instant, même si "les robots continueront leurs tentatives aussi longtemps que nécessaire", assure Robert Wine, un porte-parole de la compagnie. Un couvercle de métal. Les ingénieurs de BP préparent une solution alternative: un couvercle métallique en forme d'entonnoir viendrait coiffer le puits pour retenir le pétrole avant qu'il se disperse dans l'océan, et l'extraire vers des barges en surface. Une méthode sans garantie, testée uniquement en eaux peu profondes, après l'ouragan Katrina, en Louisiane, en 2004. "La structure, fabriquée sur mesure, est en cours de conception et de construction. Elle devrait être prête d'ici deux à quatre semaines", indique M.Wine. Une deuxième plate-forme. Parallèlement, BP a entrepris de forer un puits de secours pour court-circuiter le premier ou pour y injecter un enduit destiné à boucher la fuite. La plate-forme Development DrillerIII, arrivée sur place lundi, devrait commencer à forer d'ici quelques jours. Cette solution prendra "deux à trois mois", selon BP. Mais face au coût d'un forage supplémentaire — 100millions de dollars —, la compagnie ne perd pas son sens des affaires: "Une fois les opérations de secours terminées, puits et plate-forme serviront à la production de pétrole en remplacement des éléments détruits par l'explosion", explique Robert Wine. L'environnement menacé. Le fragile écosystème du golfe du Mexique est soumis à une intense activité pétrolière: plus de 3500 plates-formes y exploitent des nappes profondes au très fort potentiel, mais dont le forage représente un défi technique à haut risque. Située à deux ou trois jours des côtes seulement, la marée noire menace les zones humides, les réserves naturelles et les sites de nidification de Louisiane, du Mississippi, d'Alabama et de Floride. Sans oublier que 40 % des fruits de mer consommés aux Etats-Unis proviennent de Louisiane, où le commerce des huîtres, des crabes et des crevettes pourrait être fortement touché. D'ores et déjà, "le milieu marin est certainement affecté", estime Cynthia Sarthou, directrice de l'association de protection de l'environnement Gulf Restoration Network, à La Nouvelle-Orléans, inquiète pour les cachalots, les requins et les dauphins qui peuplent ces eaux. "La fine nappe que l'on observe ne montre que la part de pétrole qui remonte à la surface. On ne sait pas quelle quantité de pétrole reste en suspension dans l'océan et se disperse entre deux eaux, ou se dépose pour toujours sur le fond, deux cas de figure très nocifs pour les espèces marines et les écosystèmes", précise Mme Sarthou, selon qui l'impact de trois mois d'écoulement sous-marin de brut risque d'être catastrophique. Des enquêtes en cours. Inflammation du pétrole, explosion due au gaz, négligences? Une enquête sur les causes de la catastrophe a été confiée aux gardes-côtes des Etats-Unis et au Mineral Management Service (MMS), l'administration chargée de délivrer les permis de forer. BP et la société suisse Transocean, propriétaire de la plate-forme construite en 2001, vont diligenter leur propre enquête. BP avait rejeté, en septembre 2009, un renforcement des règles de sécurité demandé par le MMS. Un refus qui pourrait lui coûter cher si sa responsabilité était avérée: des entorses aux règles de sécurité par souci d'économie ont déjà entraîné deux accidents tragiques sur des sites de la compagnie aux Etats-Unis, l'explosion de la raffinerie de Texas City en 2005 et la pollution de Prudhoe Bay, en Alaska, en 2006.
  4. En pleine période de dévoilement de résultats financiers, les Bourses européennes et asiatiques ne trouvent pas de réconfort, la marée rouge qui déferle continuant à creuser les pertes jeudi. Pour en lire plus...
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