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  1. Rehabilitation d'un ancien batiment en pierres. Ajout de deux étages. Ca a pris 2 ans d'avoir le permis. Ca m'etonne que la ville ait permis le projet, la majorité de ce genre d'ajout est assez rare dans le Vieux (mise à part le Penny Lane) La fiche du bâtiment: http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_bat.php?sec=j&num=62 Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk
  2. KOOL

    MTLURB mal perçu ?

    Bien que je trouve ton qualificatif beaucoup trop fort, le «dédain» n'est pas supposé, il est bien réel de la part de plusieurs forumistes (pour ne pas dire la majorité visible) si on prend les exemples de l'architecture de l'AC Hotel, du nouveau look du 444 De Maisonneuve Ouest (la première mouture avait pourtant fait l'unanimité... dans le sens inverse) ou de la pertinence du béton à nu (jusqu'à nouvel ordre) de la colonne Rocco de l'Icône alors que tout le reste de la tour est louangé. Je trouve ce comentaire très réducteur car ils sont loin d'être les seuls à décrier le look de certains projets. Et si le journaliste se réfère au forum c'est peut être parce que lui aussi en a un peu marre du silence et de la complaisance qui règne au sein du milieu concernant les nouveaux projets architecturaux de Montréal ? La majorité silencieuse ? Qu'est-ce qui te faire croire qu'elle ne pense pas elle aussi que la TDC 1 est la plus ordinaire de toutes les nouvelles tours entourant le Centre Bell ? Et ne te méprends pas, même un posteur aussi caustique que Rocco est ravi de voir toute cette effervescence. Ce qui serait vraiment dommageable pour le forum c'est que, comme toi, tout le monde ici s'extasie de voir tous ces nouveaux projets... nonobstant la qualité de leurs architectures respectives. Désolé mais personnellement je préfère de très loin une seule tour Avenue plutôt qu'une douzaine d'AC Hotel. Heu, c'est parce que c'est un peu beaucoup la fonction et le but d'un forum de discussion sur Internet.
  3. Je ne suis pas du genre a faire les guerres Anglo-Franco (J'en ai vraiment rien a faire). Mais l'article m'a frappe quand meme. Par Normand Lester | La chronique de Normand Lester – lun. 2 avr. 2012 René Lévesque les appelait les «Rhodésiens blancs», allusion aux colons britanniques d’Afrique australe. Depuis la conquête, ils constituent la classe dominante à Montréal où une bonne partie des rues, des places et des lieux publics portent des noms destinés à rappeler leur suprématie sur leurs serviteurs francophones: de Nelson à Wellington en passant par Victoria. Ce sont eux qui constituèrent les féroces milices supplétives du général Colborne qui mirent à feu et à sang les fermes de la Rive-Sud de Montréal durant les troubles de 1837. Et encore eux, en 1849, à l’incitation de la Gazette, qui incendièrent le Parlement canadien qui siégeait à Montréal pour voter des compensations pour leur pillage de la décennie précédente. Not for those damn french bastards, never! Le gouverneur, Lord Elgin, doit se réfugier sur l’île Sainte-Hélène de crainte d’être lynché par les «montrealers». On aurait pu penser que la Révolution tranquille et l’enseignement généralisé du français dans les écoles anglaises depuis quarante ans avaient eu raison de la mentalité «Race des Seigneurs» des jeunes Anglo-Montréalais. Un sondage de L’actualité nous démontre qu’il n’en est rien. Les jeunes anglos se considèrent toujours comme membres d’une élite privilégiée qui impose sa culture et sa langue supérieure à la masse inculte et ignorante que constitue la majorité francophone déclinante de Montréal. Le français, c’est bon pour les campagnes environnantes. Not for Montreal. It’s ours! Pour eux, à Montréal, aujourd’hui comme au XIXe siècle, c’est en anglais que ça se passe et que ça doit se passer. Oui, mais que voulez-vous, l’anglais est la langue mondiale de communication! Est-ce que cela fait que la langue de communication est moins l’italien à Rome, l’allemand à Berlin ou l’espagnol à Madrid? Non, bien sûr. C’est différent à Montréal parce que nos Anglais savent à qui ils ont affaire. À l’un des peuples les plus serviles de la planète. Et ils en profitent. Cette méprisable soumission obséquieuse qui est notre caractéristique nationale est facile à vérifier au quotidien. Allez dans n’importe quel endroit public à Montréal. Constatez l’aplatventrisme des francophones de souche qui passent à l’anglais «par politesse» dès qu’ils détectent un quelconque accent chez leur interlocuteur. Mettez ça sur le compte de notre complexe d’infériorité congénital. Heureusement, les nouveaux arrivants francophones ne sont pas affligés de cette tare et ils se comportent plus dignement que nous dans ces situations. Au cours des dernières décennies, malgré la loi 101, le sentiment de supériorité linguistique des jeunes anglophones a été renforcé par les décisions de la Cour Suprême du Canada (dominée par les Anglos et des lèche-bottines choisis par eux) invalidant certaines de ses clauses essentielles et par l’action du Parti libéral du Québec, une formation qui n’existe que pour assurer la pérennité de leur domination. Il serait vraiment révélateur que L’actualité fasse des sondages semblables sur les jeunes des autres groupes majoritairement apparentés aux Anglos-Montréalais comme les Grecs, les Juifs et les Italiens. Mais je suis parfaitement conscient que cela ne se fera jamais. Les résultats obtenus seraient sans doute encore plus désolants. Le mépris affiché pour le français et les francophones serait politiquement explosif au point de rendre le sondage impubliable. Que faire? Pas grand-chose n’est possible pour le moment. La majorité francophone, en plus d’être lâche et de se complaire à servir de tapis, est divisée politiquement. Tant que le Parti libéral reste au pouvoir, il va tout faire pour défendre les intérêts de ses bailleurs de fonds et électeurs qui lui accordent un soutien aussi massif qu’inconditionnel: les Anglos-ethniques, les vieux francophones ignorants, les affairistes magouilleurs et la mafia. C’est une combinaison dure à battre.
  4. Athènes est la ville horizontale par excellence, on y trouve de rare immeubles qui dépassent la vingtaine d'étages et cependant c'est une ville fort intéressante avec sa géographie très particulière. C'est aussi une ville très dense où il fait bon marcher dans les rues secondaires qui sont souvent piétonnes, surtout au centre de la ville. Ici pas de tours immenses ni de centre-ville imposant et interchangeable, on y voit une ville avec sa propre personnalité, bien ancrée dans l'histoire, tout comme dans son paysage de montagnes et de mer. Elle s'étire des hauteurs jusqu'à la Méditerranée et est percée de collines dont la plus haute ( la Lycabette 277 m), est l'endroit d'où j'ai pris la majorité des clichés ci-joints et qui figure sur la dernière photo. Bien sûr il y a le fameux Parthénon que je visiterai cette semaine et le quartier de la Plaka, une zone piétonnière ultra touristique au pied de l'Acropole. Donc d'autres beaux clichés à venir.
  5. mark_ac : tu vas sauter de joie en lisant ce texte ! Les autres : ce qui est dramatique de ce constat c'est que la langue d'usage suit les statistiques pour la langue maternelle. Oui, le français comme langue maternelle est sous le 50% à Montréal, mais c'est normal, les immigrants qui choisissent de parler français n'ont pas le français comme langue maternelle. Mais le français comme langue d'usage perd aussi du terrain au profit de l'anglais alors même l'immigration qui favorise les francophones ne semble pas aider à maintenir nos acquis et à assurer un avenir français pour le Québec *********************************** Le français à Montréal À majorité anglophone avant 2016 Geneviève Lajoie Agence QMI 07/04/2010 05h01 Brandissant le spectre d'un Québec à majorité anglophone dans un avenir rapproché, le Parti québécois s'inquiète du recul du français, malgré l'application de la Loi 101. Avec en main un portrait du français au Québec, effectué en croisant les données de Statistique Canada et de plusieurs démographes, comme Marc Termote ou Robert Maheu, le député péquiste Pierre Curzi fait le constat que l'anglais est bel et bien devenu la langue dominante dans la métropole. Ce phénomène aura selon lui des effets importants sur le reste de la province puisque la moitié de la population québécoise vit à Montréal et dans sa couronne. «Dans l'île de Montréal, 54,2% des gens utilisent le français comme langue d'usage et 49,8% des gens ont le français comme langue maternelle, une tendance qui gagne maintenant la couronne de la métropole et même le Québec en entier, puisque l», a-t-il précisé, lors d'un entretien avec le Journal. Cinq fois plus attirant Ce constat est d'autant plus alarmant dans la mesure où l'anglais est cinq fois plus attirant que le français, même si les francophones sont pourtant majoritaires au Québec, ajoute le porte-parole du PQ en matière de langue. Le pouvoir d'attraction définit le statut de la langue, insiste-t-il, et la Loi 101 n'a pas réussi à empêcher cet important pouvoir d'assimilation de l'anglais au cours des dernières années. Si rien ne change et si le passé est garant de l'avenir, en 2016, il y aura 43% de gens dont la langue maternelle sera le français sur l'île de Montréal et la population de langue d'usage française atteindra le même seuil en 2031, déplore-t-il. «Il faut s'inquiéter, moi je crois que c'est un problème, car ce n'est pas normal que la langue de la majorité soit moins désirée que la langue anglaise. On diminue en nombre, on diminue en importance, à long terme, c'est une menace réelle, c'est comme ça que ça se passe l'assimilation. Plus on laisse les choses aller, plus ça va être difficile de revenir en arrière, de changer la tendance», prévient le péquiste.
  6. Toutes les municipalités de la Minganie, sauf Havre-Saint-Pierre, affichent un indice négatif de développement économique. Pour en lire plus...
  7. Le chef des démocrates au Sénat exige que l'assureur AIG, sauvé de la faillite grâce aux fonds publics, renégocie les contrats accordant des millions de dollars en primes à ses cadres. Pour en lire plus...
  8. Alors que la majorité de ses concurrents licencient à coups de milliers, le fabricant canadien du BlackBerry annonce qu'il recrutera 3000 employés pour faire face à la demande pour ses produits. Pour en lire plus...
  9. La Banque centrale européenne répond comme l'attendait une majorité d'économistes aux récentes nouvelles calamiteuses sur le front de l'économie en zone euro. Pour en lire plus...
  10. Selon un sondage Presse Canadienne Décima, 58% des répondants au sondage ont dit souhaiter que le gouvernement dépense en fonction de ses moyens, plutôt que d'enregistrer un déficit. Pour en lire plus...
  11. Devant la dégradation de l'économie canadienne, la vaste majorité des analystes s'attendent à ce que la Banque du Canada réduise fortement son taux directeur mardi. Pour en lire plus...
  12. Le leader de la majorité démocrate au Sénat demande aux trois grands de l'automobile de soumettre un plan d'aide viable au plus tard le 2 décembre. Pour en lire plus...
  13. La majorité démocrate du Sénat américain sortant a proposé lundi soir un plan de relance de 100 milliards $ pour aider l'économie américaine à sortir de la crise. Pour en lire plus...
  14. Les indices nord-américains n’ont pas eu une direction claire lundi passant la majorité de la journée en territoire positif mais concluant la journée légèrement dans le rouge en attente de l’élection d’un nouveau président américain. Pour en lire plus...
  15. Les Québécois apprécient leur autonomie, leur climat de travail et le prestige de leur entreprise, selon un sondage de l'Ordre des conseillers en ressources humaines et en relations industrielles (ORHRI). Pour en lire plus...
  16. Débat continué du fil LUX Résidences Gouverneur - 12 étages: http://mtlurb.com/forums/showthread.php?t=74 OK, peut-être la majorité (pas grande), des Québécois ne sentissent pas canadien, mais il y a encore un grande minorité qui sont fiers d'être canadien. Es-que c'est offensif pour toi de voire le drapeau canadien sur un édifice? N'oubliez pas que le Québec fait partie encore du Canada, ca ne devrait pas être étrange de voir le drapeau sur un édifice privé... Un drapeau canadien n'est pas un objet provocateur...
  17. Voici la principale raison entourant les nombreuses fermetures d'usines de papier et de scieries au Québec ces dernières années: les zones de coupes sont épuisées. Il ne reste plus de bois. Les usines sont fermées et la machinerie est envoyée au Brésil, au Vietnam ou au Congo, toutes des régions où il reste encore des arbres. Malgré un mythe collectif, il reste très peu de forêts au Québec. Excepté les parcs nationaux, la majorité des régions éloignées sont formées de broussailles ou de terrains vagues laissés par les compagnies forestières. Qu'en pensez vous ? http://maps.google.ca/maps?f=q&hl=fr&geocode=&q=quebec&ie=UTF8&ll=46.532414,-78.395691&spn=0.459147,1.235962&t=h&z=10
  18. Le fonds Capital Research Global Investors met en doute la réélection à une très large majorité, vendredi dernier, du PDG Jerry Yang. Pour en lire plus...
  19. Après avoir ouvert en forte hausse de 10%, le titre de Noveko International a finalement passé la majorité de la journée autour de son prix de départ hier. Pour en lire plus...
  20. Il fallait s'y attendre alors que la grande majorité des transporteurs aériens ont annoncé des suppressions en raison du coût élevé du carburant. Pour en lire plus...
  21. La majorité des caisses de retraite canadiennes sont parvenues tout juste à préserver leur capital au cours de la première moitié de l'année, tant les rendements ont été médiocres. Pour en lire plus...
  22. Les TIC, moteur de la croissance montréalaise Alain McKenna 21 février 2007 - 11h28 Même cinq ans plus tard, l'industrie montréalaise des technologies de l'information et des communications (TIC) vit encore avec le spectre de l'éclatement de la bulle techno. Pourtant, non seulement l'industrie a-t-elle rattrapé le temps perdu, elle est aujourd'hui le principal moteur de croissance de la métropole et de la province. Il serait temps qu'on s'en rende compte, clame Montréal International. «Les TIC représentent l'industrie privée la plus importante à Montréal et 80% des emplois spécialisés au Québec», expliquait la semaine dernière Lyne Bouchard, vice-présidente de Montréal International, à l'occasion de la Boule de cristal du CRIM. «J'en ai marre qu'on la sous-estime. Les yeux des robots envoyés sur Mars par la NASA ont été faits à Montréal. La grande majorité des films produits par Hollywood passent par Montréal pour leur postproduction. Il est temps qu'on s'intéresse à ce qui se fait dans les TIC d'ici», dit-elle. C'est pourquoi Montréal International vient de lancer un nouveau portail, appelé Techno Montréal (www.technomontreal.com), dont le but est d'informer les entreprises locales à propos… des entreprises locales. L'organisme montréalais croit que le maillage, une façon de développer des affinités entre entreprises, empêchera d'avoir à délocaliser une vaste majorité des emplois spécialisés en technos vers des marchés où la main-d'œuvre est plus abordable, comme en Asie. Tisser des liens entre des entreprises pourrait aussi donner naissance à de plus grandes entreprises, qui pourront livrer bataille avec les plus gros acteurs à l'échelle mondiale. Pas de doute, le maillage est un thème qui semble préoccuper de plus en plus de gens dans le milieu des technos, à Montréal et au Québec. Car malgré la vitalité du milieu et les nombreuses associations sectorielles (pensons seulement à l'Alliance numériQc pour le monde du multimédia), il n'y a toujours pas cette synergie qui pourrait avoir un effet boule de neige sur toute l'économie de la région. Selon Lyne Bouchard, il faudrait que les entreprises spécialisées dans les télécommunications aillent voir ce qui se passe de bon dans le secteur des jeux vidéo. Ou que les développeurs de logiciels rendent visite aux créateurs d'arts numériques. «Personne ne se parle, dit-elle. Il faut qu'on regarde ce que font nos voisins, ailleurs dans les technos de Montréal.» Les technos en santé au Québec Les chiffres démontrent de façon éloquente que les technos québécoises, après la déconfiture entre 2000 et 2002, sont de nouveau en santé. Au total, les TIC montréalaises comptent pas moins de 2700 entreprises, la grande majorité, on s'en doute, étant de petite ou de moyenne taille. En incluant les centres universitaires, les TIC emploient actuellement environ 110000 personnes, plus que les deux autres grands pôles technologiques de la métropole mis ensemble (aérospatiale: 38000 emplois et sciences de la santé: 40500). En gros, c'est 10% de l'ensemble des travailleurs de la région montréalaise. «À l'échelle nord-américaine, Montréal se classe au huitième rang au chapitre du nombre d'entreprises avec plus de 100 employés, et au troisième rang en termes de concentration», ajoute Mme Bouchard. Le nombre d'emplois du secteur est donc de retour à son niveau record de 2000. Pour sa part, selon Industrie Canada, la croissance de son chiffre d'affaires a été presque trois fois plus rapide que celle du produit intérieur brut (PIB) canadien, entre 1997 et 2007, malgré la correction boursière subie au tournant du millénaire. Les TIC montréalaises sont une industrie mature qui a le vent dans les voiles. Bonne nouvelle. Pourquoi, alors, ce sentiment d'insatisfaction de la part de la vice-présidente de Montréal International? «Si on ne s'intéresse pas à ce qui se fait ici, entre entreprises, on ne sera plus là pour en parler encore en 2012», dit Mme Bouchard.
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