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  1. http://journalmetro.com/actualites/montreal/969720/un-deversement-majeur-de-pipeline-forcerait-levacuation-de-montreal/ 26/05/2016 Mise à jour : 26 mai 2016 | 23:09 Un déversement majeur de pipeline forcerait-il l’évacuation de Montréal? Par Mathias Marchal Métro En cas de déversement majeur de pétrole, il n’y a aucun plan B pour 23 des 26 prises d’eau potable de la région montréalaise, selon des spécialistes qui évoquent même la possibilité de devoir évacuer l’île de Montréal au complet. TransCanada se veut rassurante. Les quinze enseignants du Centre national de formation en traitement de l’eau à l’origine du mémoire, présenté jeudi dans le cadre des consultations publiques entourant le projet de pipeline Énergie Est, se sont déclarés extrêmement inquiets par le méga projet devant permettre d’acheminer 1,1 million de barils de pétrole par jour d’ouest en est du Canada. En cas de déversement majeur dans la rivière des Outaouais, les réserves d’eau de Montréal permettraient à la Ville de tenir de 12 à 16 heures. «Après cela, si la pollution persiste, il faudra couper l’eau du robinet pour ne pas contaminer les infrastructures de traitement. À Mégantic, trois prises d’eau en aval ont été fermées pendant 74 jours. Imaginez avec un pipeline de la taille d’Énergie Est, il faudrait envisager d’évacuer la ville, car il ne serait pas possible d’aller puiser de l’eau ailleurs, sauf pour les stations de Candiac, Longueuil et Saint-Lambert», a déclaré Guy Coderre, enseignant du Centre national de formation en traitement de l’eau qui cumule 30 ans d’expérience dans le domaine. Ce scénario ultime d’évacuation a même été évoqué par la Ville de Repentigny dans son mémoire. «Une contamination du réseau d’eau potable entraînerait aussi le déploiement de mesures d’urgence majeures sans précédent. Les conséquences iraient de la distribution massive d’eau potable à l’évacuation complète de la Ville de Repentigny pour des raisons sanitaires et de protection contre les incendies», écrit la municipalité de Lanaudière. Impossible de savoir si la Ville de Montréal étudiait un tel scénario, cette dernière se contentant d’indiquer qu’elle «disposait d’un Plan de mesures d’urgences qui couvre l’ensemble des risques et menaces» et que ce dernier serait déployé en cas de déversement important d’hydrocarbures. Les professeurs, qui cumulent près de 300 ans d’expérience dans le domaine du traitement des eaux, ont aussi souligné que les usines actuelles ne sont pas capables de déceler des traces d’hydrocarbures dans l’eau, comme l’a démontré le déversement accidentel de diésel à l’usine de Longueuil. Or, les systèmes de détection des oléoducs sont incapables de déceler une fuite représentant moins de 1,5% du flux de pétrole. TransCanada a indiqué, par courriel, qu’elle allait prendre le temps de lire attentivement le mémoire des enseignants du Centre national de formation en traitement de l’eau, mais assure que les enjeux de sécurité ne sont pas évacués du projet d’Énergie Est. L’entreprise albertaine précise que son pipeline passera sous le lit de la rivière des Outaouais et que l’acier du tuyau est plus épais quand il s’agit de traverser une rivière. «Un tel scénario de déversement à une chance d’arriver en plusieurs milliers d’années, et seulement si toutes les mesures de sécurité et d’action d’urgence mises en place ne fonctionnent pas», a ajouté son porte-parole Tim Duboyce. Toutefois, en utilisant les statistiques d’incident au Canada recensées par le Bureau de sécurité des transports, et en se basant sur d’autres statistiques indiquant que 4% des incidents sont des déversements majeurs (plus d’un million de litres), les enseignants arrivent à une conclusion moins optimiste: un déversement majeur tous les cinq 5 ans. «Il apparait donc que TransCanada pipelines sous-évalue grandement les risques liés à l’exploitation du futur oléoduc Énergie Est», conclut le mémoire du Centre national de formation en traitement de l’eau. Les signataires soulignent que ces craintes valent aussi pour le pipeline 9B d’Enbridge actuellement en fonction et qui suit sensiblement le même tracé jusqu’à Montréal.
  2. http://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201604/24/01-4974484-rendez-vous-canada-un-evenement-majeur-pour-attirer-des-touristes-a-montreal.php Un événement touristique majeur, Rendez-vous Canada, qui réunit plus de 500 acheteurs étrangers influents du secteur des voyages, débute dimanche au Palais des congrès de Montréal. En provenance de 28 pays, ces acheteurs pourront se familiariser avec les entreprises touristiques canadiennes et découvrir les nouveaux produits et services qui sont disponibles. Le président-directeur général de Tourisme Montréal, Yves Lalumière, souligne que Rendez-vous Canada attire plus de 1700 délégués et apporte un rayonnement majeur pour la métropole, alors qu'approchent les célébrations du 375e anniversaire. Montréal n'avait pas accueilli ce congrès depuis 2007. L'événement permet de mettre en valeur et de commercialiser les destinations canadiennes auprès des réseaux de distribution de l'Amérique du Nord, de l'Europe, de l'Asie et de l'Amérique latine. Yves Lalumière se réjouit particulièrement de la présence de 80 acheteurs chinois, un marché qui s'ouvre de plus en plus au tourisme. Selon M. Lalumière, il faut mettre Montréal «sur la map touristique» pour les 5 ou 10 prochaines années. Dans cet ordre d'idée, il croit que la présence constante du maire Denis Coderre sur la scène internationale apporte une visibilité et une aide précieuse au développement touristique de la métropole.
  3. Des concessions de la NFL et de la NBA seraient viables à Montréal Sports - Argent Écrit par Guy Madore Lundi, 04 janvier 2010 03:55 Mise à jour le Lundi, 04 janvier 2010 13:24 Montréal est l’une des villes nord-américaines les plus sous-représentées en équipes professionnelles et aurait « les reins assez solides » pour supporter de nouvelles concessions dans la MLS, la NBA, la NFL ou… le baseball majeur. Cinq ans après le départ des Expos, une récente étude réalisée par un groupe de publications économiques américaines – Bizjournals – révèle que l’agglomération montréalaise est l’un des marchés les plus propices pour le relocalisation d’une équipe ou l’expansion d’une ligue. Pour arriver à une telle conclusion, les auteurs n’ont cependant pas évalué la ferveur des amateurs pour un sport en particulier, la situation géographique, la disponibilité d’amphithéâtres, la volonté politique des divers paliers de gouvernement, l’intérêt de commanditaires potentiels ni les « préférences » des commissaires des circuits professionnels majeurs. Bizjournals a plutôt utilisé une valeur plus objective comme le revenu personnel total (RPT), soit la somme de l’argent gagné par tous les résidants d’une région donnée sur une période d’un an, pour statuer sur « l’attractivité » de divers marchés comme celui de la métropole québécoise. Des données de 2008 (Statistique Canada) montrent que le RPT de Montréal s’élève à 127,73 milliards de dollars (G$) – tous les montants sont en dollars américains. Capacité pour trois autres ligues En tenant compte des revenus des équipes et du prix moyen des billets, Bizjournals a pu déterminer le niveau de RPT nécessaire pour « supporter » une équipe de chaque ligue : Si l’on soustrait une somme de 37,3 G$ applicable à la présence du Canadien, Montréal disposerait encore d’un revenu personnel disponible (RPD) d’un peu plus de 90 G$. Assez pour ravoir une concession du baseball majeur. Ou pour accueillir une équipe d’expansion de trois ligues réunies (NFL, NBA et MLS). Il est bon de rappeler que cette analyse n’a pas considéré l’influence de deux autres formations de circuits « mineurs », en l’occurrence les Alouettes (LCF) et l’Impact (USL-1). Cette étude ne fera pas plaisir à ceux qui « plaident » pour le retour d’une équipe de la LNH à Québec. Le niveau du RPT (27,7 G$) de la Vieille Capitale ne serait pas suffisant pour « supporter » un club du circuit Bettman. D’un point de vue statistique, Québec ne pourrait accueillir que deux concessions… de la MLS. Baseball : marché saturé L’analyse de Bizjournals a porté sur 81 marchés aux États-Unis et au Canada qui disposent d’un RPT de plus de 25 G$ et sur Green Bay, au Wisconsin, le seul marché sous cette barre doté d’une équipe professionnelle majeure (Packers, NFL). Il en ressort que le baseball majeur ne pourrait pas élargir ses cadres à moins de s’établir dans le sud de la Californie (San Bernardino-Riverside), dans la région de New York (au New Jersey) ou à… Montréal. En contrepartie, c’est la MLS qui aurait l’embarras du choix pour implanter ses équipes d’expansion. Quarante-deux (42) marchés potentiels ont été identifiés, dont six au Canada : Calgary, Winnipeg, Hamilton, Ottawa, Montréal et Québec. Toronto a adhéré à la MLS en 2007 et Vancouver se joindra à cette ligue en 2011. Dix-huit (18) nouveaux marchés ont un RPT suffisant pour accueillir une concession de la NFL, dont Los Angeles qui est un choix logique. Parmi les villes « candidates », on retrouve trois autres agglomérations californiennes ainsi que Montréal, Rochester, Las Vegas et… Honolulu. Le Stade olympique a vibré au rythme des Alouettes, lors de la finale de l'Est le 22 novembre dernier. L'étude de Bizjournals laisse croire qu'il pourrait en faire autant, régulièrement, pour faire vivre une équipe de la NFL... ou du baseball majeur. Photo d'archives Rogerio Barbosa La NBA compte 17 marchés « inexploités », dont San Jose, Birmingham, Las Vegas et Montréal. Enfin, la LNH disposerait de 16 marchés potentiels, mais aucun situé au Canada. Las Vegas est encore en lice, tout comme Houston, Tulsa et Richmond. Pour consulter un tableau présentant les marchés « disponibles » dans chaque ligue, cliquez ici. Déficits de RPT L’étude de Bizjournals a aussi établi que plusieurs équipes évoluaient dans des villes ne possédant pas suffisamment de RPT. On en dénombre 17 dans la NFL, 13 dans le baseball majeur, 11 dans la NBA, neuf dans la LNH et seulement trois dans la MLS. Six marchés ont été identifiés comme ayant un déficit de RPT de plus de 45 G$ : Cleveland, Kansas City, Milwaukee, Phoenix, Pittsburgh et Tampa-Saint Petersburg.
  4. Projet de rénovation majeur pour cet édifice, transformation et conversion. Il sera méconnaissable après les travaux. État actuel (lamentable) : http://maps.google.ca/maps?q=17e+Av+%2F+Boulevard+Cr%C3%A9mazie+Est,+Montreal,+Quebec&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.566708,-73.603377&spn=0.025568,0.066047&sll=45.566708,-73.603377&sspn=0.006392,0.016512&t=h&z=15&layer=c&cbll=45.566655,-73.603422&panoid=cBlEOdJ7qg5-pUXk73zlmg&cbp=12,354.76,,0,-22.92
  5. En 2011m, il y a eu un désencrassage majeur pour cet édifice de McGill. Nous n'avions pas de fil sur le sujet. Avant : Après :
  6. Je peux vous dire que pour Ste-Thérèse et même toute la couronne nord de Laval, c'est un projet majeur d'une beauté, d'une hauteur et d'un design jamais vu !
  7. Troisième prise pour Washington? Denis Casavant Dimanche 24 mai 2009 Au terme de la saison 1960, les Senators de Washington sont déménagés au Minnesota et ils sont devenus les Twins. Le baseball majeur avait déjà accordé une franchise d'expansion à la ville de Minneapolis - et une à la ville de Los Angeles pour les Angels -, mais le propriétaire des Senators, Calvin Griffith, avait demandé au baseball majeur de lui permettre de déménager son équipe au Minnesota et de donner la nouvelle équipe d'expansion à la ville de Washington. Un nouveau départ pour Griffith dans un nouveau marché et une équipe d'expansion avec de nouveaux visages pour les amateurs de baseball de Washington. Une solution gagnante pour tous. Les Senators n'avaient pas participé à la Série mondiale depuis 1933 et ils venaient de terminer au dernier rang de l'Américaine pour la quatrième fois en six ans. Au guichet, les choses n'allaient pas tellement mieux, puisqu'entre 1955 et 1958, les Senators ont attiré moins de 500 000 spectateurs pas saison au Griffith Stadium. Le changement de décor fut profitable pour le propriétaire puisqu'au cours des dix années suivantes, les Twins ont remporté 90 victoires ou plus à six reprises et ils ont participé aux séries trois fois, perdant la Série mondiale en 1965 face aux Dodgers de Los Angeles. Pendant ce temps à Washington, les nouveaux Senators ressemblaient étrangement à l'équipe qui venaient de quitter pour le Minnesota. Sur le terrain et au guichet, les résultats n'étaient guère mieux. Les amateurs ont eu droit à des saisons de 100, 101, 106 et 100 défaites au cours des quatre premières années. Pour ce qui est des assistances, elles étaient toujours décevante malgré le fait que les Senators avaient un nouveau domicile - le RFK Stadium - dès 1962. La deuxième version des Senators n'a connu qu'une seule saison gagnante en onze ans, alors qu'ils ont remporté 86 victoires en 1969 avec Ted Williams comme gérant. Trois ans plus tard, les Senators déménageaient au Texas et ils sont devenus les Rangers. La ville de Washington a du attendre 34 ans avant le retour du baseball majeur et c'est en 2005 que les Expos devenaient les Nationals. Au cours des trois premières saisons, les Nationals évoluaient toujours au vieux RFK Stadium qui avait subi quelques rénovations, mais les amateurs étaient de retour en grand nombre. Plus de 2,7 millions en 2005 puis 2,1 et 1,9 millions au cours des deux saisons suivantes. L'an dernier les Nationals ont emménagé dans un nouveau stade, le Nationals Park, qui fut visité par plus de 2,3 millions de spectateurs. Toutefois sur le terrain et à la télévision, les choses ne vont pas tellement bien pour les Nationals. L'équipe a perdu 102 matchs en 2008 et les cotes d'écoutes pour les rencontres à la télévision sont les pires du baseball majeur. On est même aller chercher l'ancien Nasty Boy des Reds, le releveur Rob Dibble comme analyste pour tenter d'ajouter de la couleur aux reportages! L'équipe n'a pas d'identité, n'a pas de couleur et surtout très peu de talent. Oui le troisième-but Ryan Zimmerman est un bon joueur, mais il n'est pas spectaculaire. Le gérant Manny Acta est fade. L'équipe est insipide. Les Nationals ont besoin d'un Tim Raines, d'un Vladimir Guerrero ou d'un Marquis Grissom. Ils ont Grissom, mais il est maintenant instructeur au premier coussin! Lorsque le baseball majeur a déménagé les Expos à Washington, on n'a coupé tous les liens avec la riche histoire de l'équipe. Les Expos avaient toujours eu des équipes avec de la couleur en commençant avec leur casquette tricolore et des personnages colorés comme Coco Laboy, Ron Hunt et plus tard Ron LeFlore, Rodney Scott, Bill Lee et Pascual Perez. Les Nationals n'ont pas encore d'histoire et surtout ils n'ont pas encore trouvé la bonne recette sur le terrain. Ils ont déjà perdu du temps avec un directeur général qui n'avait pas de plan en Jim Bowden. Ce dernier a été forcé de remettre sa démission avant le début de la saison. Les Nationals auront le premier choix lors du repêchage du 9 juin prochain et pour 50 millions ils pourront s'assurer les services du lanceur droitier Stephen Strasburg et sa balle rapide à plus de 100 miles à l'heure. Strasburg, représenté par l'agent Scott Boras, pourrait lancer dans les majeures avant le match des étoiles en juillet. Les Nationals devraient peut-être s'inspirer des succès des Capitals qui avaient fait d'Alexander Ovechkin leur premier choix en 2004. Il est maintenant, sans aucun doute, l'athlète le plus populaire en ville. Les Nationals ont besoin d'un Ovechkin, sinon ce sera peut-être une troisième prise pour le baseball majeur à Washington.
  8. La NCAA au lieu de la LHJMQ à Blainville? (Corus Sports)- Le projet d'une équipe de la LHJMQ sur la couronne nord de l'île de Montréal n'est peut-être pas mort, mais le droit de veto du Junior l'a considérablement affaibli la semaine dernière. Qu'à cela ne tienne, le maire de Blainville François Cantin songe déjà à un plan B : la NCAA. Il donne toutefois encore tout son appui au projet mené par Joël Bouchard, visant à amener une 2e formation du circuit Courteau dans la région de Montréal. Le propriétaire du Junior de Montréal, Farrell Miller, a toutefois assené un solide uppercut au dossier la semaine dernière, en appliquant son droit de veto quant à l'implantation d'une seconde franchise dans un rayon de 40 kilomètres. «J'aimerais voir une équipe forte, que ce soit la LHJMQ ou la NCAA,» a reconnu le maire de Blainville. Actuellement, aucune formation de la NCAA n'a pied à terre au Canada. Plusieurs universités de l'Ouest canadien tentent toutefois depuis quelques années de joindre les rangs sportifs collégiaux américains. «Ce genre d'équipe là chez nous, avec le côté scolaire priorisé malgré que ce soit du sport d'élite, c'est certain que ça nous sourit. Mais je ne suis pas en train de vous dire que le junior majeur ne serait pas une bonne idée aussi.» En division I, la plus forte, les équipes ne disputent que 28 parties au cours de la saison comparativement à 70 dans le hockey junior majeur québécois. M. Cantin y voit une opportunité d'inciter les jeunes à poursuivre leurs études, tout en pratiquant un sport d'élite. «Si ça peut créer un espace qui accroche les jeunes à leur sport, c'est merveilleux.» Écoutez le maire de Blainville François Cantin via l'extrait audio ci-joint. Il discute également de la candidature de sa ville pour l'obtention des Jeux du Canada en 2013. Frédéric Bhérer / Corus Sports
  9. Le président de la FTQ, Michel Arsenault, estime que la construction d'un complexe hydroélectrique sur la rivière Romaine, en Minganie, est un projet majeur pour la Côte-Nord, qui générera une énergie renouvelable et sans émission de gaz à effet de serre. Pour en lire plus...
  10. Hydro-Québec annonce, à Bécancour, un investissement majeur pour prolonger la vie de la seule centrale nucléaire québécoise. Pour en lire plus...
  11. Je sais que ce n'est pas les petites annonces, je m'essaie quand même. Je suis à la recherche d'un appartement ou d'une chambre ou d'un coloc avec appartement ou d'un endroit quelconque où je pourrais habiter du début septembre jusqu'au début janvier environ. Mon condo s'est vendu beaucoup plus vite que prévu et je n'ai pas l'intention de racheter quelque chose tout de suite. J'ai une préférence pour le centre-ville, Mile-End, ou le Sud-Ouest, mais le lieu en question doit être prêt d'une station de métro (idéalement de la ligne orange) ou d'un axe majeur de transport public. Mon budget est assez flexible, mais bon, je ne veux pas y mettre une fortune non plus. Je suis un jeune homme de 27 ans, tranquille, à l'ordre et calme. J'ai un gros chat paresseux que j'aimerais bien garder, mais bon, je sais que ça ne sera peut-être pas possible.
  12. L’enjeu majeur de la prochaine élection américaine sera l’économie. C’est ce qu’affirme le magazine The Economist qui fait un parallèle avec l'élection de Clinton en 1992. Pour en lire plus...
  13. Les bâtons de baseball de l'entreprise B45 sont de plus en plus convoités. Il y a même quelques joueurs du baseball majeur qui utilisent les bâtons de bouleau jaune fabriqués par l'entreprise de Québec Pour en lire plus...
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