Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'maire'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Le vendredi 04 juil 2008 Un pont entre Verdun et L'Île-des-Soeurs? Simon Coutu La Presse Après des années de tergiversations, l'arrondissement de Verdun s'est prononcé en faveur de la construction d'un pont de services entre L'Île-des-Soeurs et la terre ferme. Le projet, estimé à entre 15 et 20 millions de dollars, serait réservé aux véhicules d'urgence, aux autobus, aux vélos et aux piétons. Lors de la réunion du conseil d'arrondissement de mercredi, le maire, Claude Trudel, a rendu publiques les conclusions d'un comité de réflexion qui recommande à l'unanimité la construction d'un pont de services. «L'arrondissement ne paiera pas pour ce projet, affirme-t-il. La Ville de Montréal ou le ministère des Transports se chargera des dépenses. On doit aussi faire approuver le pont par la majorité des habitants.» Au printemps, la firme Léger Marketing a sondé l'ensemble des Verdunois. Ils se sont prononcés à 71% en faveur de la construction d'un pont de services. «Si la population est d'accord, que nous ne déboursons pas un sou et que la sécurité est améliorée, je crois que c'est une bonne nouvelle», affirme la présidente de l'Association des propriétaires et résidants de L'Île-des-Soeurs, Juliette Barcelo. Soixante-quatorze pour cent des habitants de L'Île-des-Soeurs approuvent le projet de pont de services. Des résultats qui prouvent qu'ils font preuve de beaucoup plus d'ouverture, selon le maire. «Jusqu'en 2002, il y avait un mouvement pour que l'île se sépare de l'arrondissement de Verdun. On vient de faire un pas de géant.» Le maire Trudel avance que le pont devrait vraisemblablement s'ériger dans l'axe de la rue Galt à Verdun et du boulevard Marguerite-Bourgeoys à L'Île-des-Soeurs. Il aimerait que le projet se réalise dans les délais les plus courts. Le projet résidentiel de l'arrondissement prévoit que la population de L'Île-des-Soeurs passera de 17 000 à 23 000 personnes dans les prochaines années. Bell Canada installera aussi ses bureaux dans l'île en septembre prochain. La pression est grande, mais les Verdunois sont majoritairement contre la construction d'un pont tout usage. Seuls 41% appuient cette idée. Malgré tout, le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, craint qu'on n'érige un pont au nom des transports collectifs, pour ensuite y faire passer des voitures. «C'est l'attrape-nigaud habituel du marketing politique. L'idéal serait d'installer un tramway sur le pont. C'est de la fiction de penser que les habitants de L'Île-des-soeurs utiliseront l'autobus.» M. Bergeron se dit toutefois en faveur d'un pont de services. «Il faut construire quelque chose de spectaculaire. Pas un vulgaire pont en béton, dit-il. Mais c'est une bonne idée, ne serait-ce que pour permettre aux Verdunois de voir la beauté de L'Île-des-Soeurs à vélo.»
  2. à cet endroit, la limite Sud de RdP c'est Henri-Bourassa et non la 40, donc techniquement, le centre serait dans Pointe-aux-Trembles via LaPresse : Publié le 09 juillet 2014 à 11h29 | Mis à jour à 14h11 Rivière-des-Prairies accueillera le centre de compostage Le croquis du futur centre de compostage. IMAGE FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTRÉAL KARIM BENESSAIEH La Presse Neuf mois après avoir annoncé qu'il «tirait la plogue» sur le centre de compostage dans Saint-Michel, le maire Denis Coderre a présenté ce matin son choix de rechange : un parc industriel de l'arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles. Situé à l'angle des boulevards Saint-Jean-Baptiste et Métropolitain, ce futur centre qui commencera ses activités en 2019 est situé à 1,5 kilomètre des résidences, «soit trois fois la norme de 500 mètres», a précisé en point de presse à l'hôtel de ville le maire. Le terrain appartient à la Ville et n'exige pas de travaux importants de décontamination, a-t-il assuré. «Aujourd'hui, nous tenons parole, a-t-il déclaré. Tout le monde veut une ville plus verte. Nous comprenons que l'emplacement puisse être un irritant pour certains, mais je le répète souvent, gouverner c'est choisir. Nous avons effectué le choix le plus équitable possible, bénéfique pour le plus grand nombre.» Le centre de compostage traitera 29 000 tonnes de résidus verts et de «digestat», la matière résiduelle après qu'on ait extrait le méthane des déchets. Il fera l'objet d'une consultation publique que l'Office de consultation publique de Montréal sera appelé à organiser cet automne. L'administration Coderre souhaite que le rapport soit déposé avant la fin de l'année. Une solution «pratico-pratique» Ce centre est la cinquième infrastructure qui sera construite à Montréal dans le but d'éliminer l'enfouissement des déchets en 2020. La construction des cinq centres coûtera 237 millions, dont 130 proviendront de Québec et d'Ottawa. On espère produire 65 800 tonnes de compost annuellement, essentiellement pour les besoins horticoles de la Ville et la décontamination des sols. Les trois autres centres de traitements des matières organiques seront construits à Saint-Laurent, Montréal-Est et LaSalle. Un autre centre pilote de prétraitement devrait être construit sur le site de l'ancienne carrière Demix. Tous devraient être fonctionnels en 2019 à l'exception de LaSalle, dont l'ouverture est prévue en 2024. C'est au nom de l'équité territoriale que les administrations précédentes avaient choisi, pour la partie nord, le Complexe environnemental de Saint-Michel (CESM). En optant plutôt pour Rivière-des-Prairies, on choisit «une solution pratico-pratique, dans un site industriel», estime M. Coderre. Le CESM continuera quant à lui à servir au compostage de quelque 19 000 tonnes de résidus verts chaque année. «Il y a une réalité politique à laquelle on est confronté, il y avait une situation par rapport aux résidants de Saint-Michel, a rappelé le maire. C'est sûr qu'il y a des gens qui ne seront pas contents, c'est pour ça qu'on fait une consultation publique. On va se parler.» Impact limité Le responsable de l'environnement au comité exécutif, Réal Ménard, a rappelé qu'à peine 11 % des déchets étaient aujourd'hui «revalorisés», alors que la Ville a techniquement l'obligation d'atteindre le seuil des 60 % dès l'an prochain. Concrètement, chaque Montréalais produit 514 kg de matières résiduelles par année dont seulement 21 sont revalorisés. «On n'est pas en avance, mais plutôt sous le sceau de l'urgence», a-t-il reconnu. Il a qualifié l'annonce de ce matin de «journée historique pour l'environnement» et s'est dit assuré que le projet de centre ne suscitera pas de levée de boucliers. «Nous sommes sûrs qu'au niveau des odeurs, du camionnage, ça va être compatible avec le milieu d'insertion. La Ville de Montréal n'aura pas le choix de déposer une étude de dispersion des odeurs et du camionnage qui montre qu'on respecte les critères.» Pour la mairesse de l'arrondissement, Chantal Rouleau, l'implantation de ce centre est une occasion en or de donner un coup de pouce à un parc industriel dont les infrastructures sont déficientes. «Nous voulons devenir une destination de choix pour les entreprises en technologie propre. Grâce au centre de compostage, nous cultiverons nos actifs. Le compost produit contribuera à la décontamination des sols de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles.» «De la petite politique» Le chef de l'opposition officielle, Richard Bergeron, a dénoncé le fait que le quartier Saint-Michel continuera à accueillir des activités de compostage à ciel ouvert. Il estime que l'équipe Coderre, et notamment la mairesse de l'arrondissement Anie Samson, ont «menti et manipulé la population de Saint-Michel» en campagne électorale. «On est dans la bien petite politique. La population va continuer de souffrir.» Le porte-parole de Projet Montréal en matière d'environnement, Sylvain Ouellet, estime que «le statu quo est pire que le projet qui était présenté». Le compostage de résidus verts qui se fait depuis une dizaine d'années au CESM «génère plus d'odeurs et de camionnage que le centre de compostage projeté». Sa collègue Laurence Lavigne Lalonde, conseillère dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, estime quant à elle que le principe d'équité territoriale n'est pas respecté, avec trois installations dans l'est de Montréal. «L'Est paie déjà sa juste part, avec des raffineries, un incinérateur de boues municipales, un centre de transbordement de déchets et 16 entreprises liées à la gestion des matières résiduelles.» Le Conseil régional de l'environnement de Montréal a quant à lui accueilli avec satisfaction cette annonce. «Avec ses deux sites de traitement des matières organiques, l'Est de Montréal a une formidable occasion de déployer un pôle d'industries vertes, a déclaré par communiqué Coralie Deny, directrice générale. On est loin ici des industries lourdes très polluantes à deux pas des résidences.» Emplacement du futur centre de compostage. IMAGE FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTRÉAL
  3. Un milliard investi à Brossard d'ici deux ans Le Quartier DIX30 amorce sa troisième phase, avec 200 millions pour accueillir 80 magasins de plus. 12 juin 2008 - 06h00 La Presse Laurier Cloutier Malgré le ralentissement économique et les prix fous à la pompe, les investissements immobiliers se multiplient à Brossard, en particulier au Quartier DIX30 et dans la relance du boulevard Taschereau. L'Association des gens d'affaires de Brossard prévoit que les investissements immobiliers (résidentiel, commercial, industriel) «dépasseront facilement le milliard de dollars d'ici décembre 2010», souligne le vice-président aux communications, Jean-Luc Saint-Martin. «C'est une période assez faste.» Le maire de Brossard, Jean-Marc Pelletier, traitera d'ailleurs de cette vague d'investissements et du «pouvoir d'attraction immobilier» de la ville au cours du prochain Souper trimestriel des décideurs, la semaine prochaine. Ça roule «assez fort» à Brossard, ajoute l'économiste principal de la Commission de la construction du Québec, Louis Delagrave, qui fera ses prévisions, durant la rencontre, et décrira les avantages de la ville par rapport à d'autres. «Dans le résidentiel seulement, ça tourne autour de 300 millions» et les investissements au Quartier DIX30 et par le Groupe F. Catania contribuent largement au développement, dit-il. Catania a des projets de 1,3 milliard, dont 40 millions pour les 200 000 pieds carrés de bureaux de la Tour Catania, souligne le maire Pelletier. «On a investi plus à Brossard l'an dernier que dans toute l'agglomération de Longueuil», renchérit M. Saint-Martin. Avec 274 millions, Brossard a récolté 89% de toute la construction commerciale de l'agglomération de Longueuil et 48% de la résidentielle, ajoute Jean-Marc Pelletier. «Brossard a connu une année exceptionnelle et la ville en a encore pour trois ou quatre autres bonnes», dit M. Saint-Martin. Le Quartier DIX30 amorce sa troisième phase, avec 200 millions pour accueillir 80 magasins de plus, déclare de son côté le directeur de la location, Éric Foster. Cela se compare aux 600 millions des deux premières phases, avec 200 magasins, dit-il. Une nouvelle bretelle de l'autoroute 10 donnera bientôt accès au DIX30, en plus de celle de l'autoroute 30, note-t-il. La quatrième phase ajoutera 300 millions, renchérit le maire Pelletier. «C'est majeur, on va presque doubler le DIX30.» Par contre, Brossard n'a plus que 8% de son territoire pour la construction, dont le tiers est zoné agricole. Et le maire veut un jour «finir par divorcer avec Longueuil, pour cesser de se faire parachuter ses dettes». Ex-Rona Vendredi dernier, par ailleurs, le propriétaire majoritaire de l'ex-Rona L'Entrepôt du boulevard Taschereau, André H. Gagnon, a accepté l'offre d'achat du Groupe Mach, de Montréal. «L'immeuble de 115 000 pieds carrés payé 12,5 millions sera converti en centre commercial d'une dizaine de magasins après des travaux de 4 à 6 millions», précise Vincent Chiara, président du Groupe Mach. «On récupère ainsi l'investissement sur le terrain et l'immeuble», dit André H. Gagnon, qui a déménagé ce Rona au Quartier DIX30 l'automne dernier. Vincent Chiara a «déjà signé des baux avec quelques chaînes», dont pour un supermarché IGA de 50 000 pieds carrés. Mach «est par ailleurs sur le point de conclure une entente avec Jean Coutu, pour 15 000 pieds carrés», précise-t-il. Le restaurant La Popessa, Subway et quelques autres restos-minute ont aussi signé des baux, ajoute le président qui a également attiré des professionnels, dont des dentistes. Le Groupe Mach doit par contre réaliser «beaucoup de travaux avant l'ouverture d'une partie de ces commerces d'ici décembre». Par ailleurs, un nouveau concept de Zellers va s'implanter dans les locaux de l'ex-Wal-Mart de Place Portobello, boulevard Taschereau, confirme le vice-président à l'exploitation de Cogir, Marcel Toupin. Zellers va commencer bientôt à réaménager tous les locaux de 128 000 pieds carrés de l'ex-Wal-Mart (déménagé au Quartier DIX30), avant d'ouvrir le 15 novembre prochain, indique-t-il. Quant à Ivanhoé Cambridge, elle entend miser au moins 10 millions sur la rénovation du Mail Champlain, boulevard Taschereau.
  4. Publié le 10 septembre 2016 à 11h31 | Mis à jour le 10 septembre 2016 à 11h31 Un centre d'expertise en économie sociale à Montréal Le Forum mondial de l'économie sociale, qui s'est terminé hier, aura des répercussions à long terme à Montréal : la ville accueillera une nouvelle organisation internationale vouée au partage de l'expertise en matière d'économie sociale et solidaire. Les villes de Séoul, Bilbao, Mondragón (Pays basque) et Barcelone sont les partenaires de Montréal dans la création du Centre international de transfert d'innovations et de connaissances en économie sociale et solidaire (C.I.T.I.E.S.). « Cinq personnes y travailleront pour commencer, mais ça pourrait rapidement augmenter à 10 ou 12, puisque d'autres villes sont intéressées à participer », a indiqué le maire de Montréal, Denis Coderre, en entrevue à la suite de cette annonce. «Il y a un momentum autour de l'économie sociale, et le fait que Montréal accueille le siège d'une nouvelle organisation internationale consolide notre rôle de leader dans ce domaine.» Denis Coderre Les entreprises de ce secteur se développent plus rapidement et plus efficacement quand elles peuvent échanger leurs connaissances, souligne Nancy Neamtan, conseillère au Chantier de l'économie sociale, qu'elle a contribué à fonder. « Tout notre mouvement s'est construit en empruntant les meilleures idées ailleurs », dit-elle. Le Forum mondial de l'économie sociale, qui a réuni pendant trois jours à Montréal 1500 personnes provenant d'une soixantaine de pays, s'est conclu hier par une déclaration incitant les participants à faire la promotion de ce modèle économique, qui vise le bien-être des communautés plutôt que la maximisation des profits, notamment par la construction de partenariats public-privé-collectif. Un centre d'expertise en economie sociale a Montreal | Isabelle Ducas | Quebec
  5. Pierre-André Normandin La Presse L'augmentation du nombre de décès de piétons sur les routes du Québec incite Montréal à maintenir l'interdiction du virage à droite au feu rouge, a indiqué le maire Denis Coderre. <!-- .excerpt --> La Société d'assurance automobile du Québec a présenté hier le bilan routier sur les routes de la province. Si le nombre de décès a globalement diminué l'an dernier, une hausse de 40 % a été observée chez les piétons. Le maire de Montréal estime que ce bilan peu reluisant met fin au débat lancé par certains maires de l'île pour permettre le virage à droite au feu rouge, comme ailleurs dans la province. « C'est clair qu'il n'y aura pas de virage à droite à Montréal. Ça met le couvercle », a indiqué Denis Coderre ce matin. Pas question de revenir sur cette décision, a-t-il ajouté. « Montréal reste ferme sur cette question. » http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201704/05/01-5085560-le-bilan-routier-scelle-le-sort-du-virage-a-droite-a-montreal.php<strike></strike>
  6. Michael Applebaum coupable de fraude, abus de confiance et complot ICI, PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 8 H 42 | Mis à jour il y a 53 minutes L'ex-maire intérimaire de Montréal Michael Applebaum a été reconnu coupable jeudi de 8 chefs d'accusation sur les 14 dont il faisait l'objet, dont fraude envers le gouvernement, complot dans le but de commettre une fraude envers le gouvernement, abus de confiance et complot dans le but de commettre un abus de confiance. Il risque une peine d'emprisonnement maximale de cinq ans. Le procès de Michael Applebaum se poursuivra avec les observations sur la peine de la Couronne et de la défense, qui auront lieu le 15 février. La Couronne s'est dite satisfaite du jugement, alors que l'avocat de M. Applebaum, Me Pierre Teasdale, a refusé de faire quelque commentaire que ce soit. Il a toutefois affirmé qu'il allait analyser le jugement, « et on verra s’il y a lieux de faire quelque chose ». Michael Applebaum était accusé d’avoir empoché, pour favoriser deux projets, des pots-de-vin totalisant des dizaines de milliers de dollars de la part de promoteurs immobiliers et d’un ingénieur entre 2006 et 2011, alors qu’il était maire de l’arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. Applebaum a été déclaré coupable : de fraude envers le gouvernement (2 chefs d'accusation); de complot pour fraude envers le gouvernement (2 chefs); d'abus de confiance (2 chefs); de complot pour abus de confiance (2 chefs). Une décision détaillée La juge Louise Provost, de la Cour du Québec, a pris plus d’une heure et demie pour lire son jugement, commençant par un résumé des cinq témoignages, puis passant à la preuve et à son analyse de celle-ci. Debout pendant cette lecture, Michael Applebaum a d’ailleurs eu un malaise après plus d’une heure, obligeant la suspension de l’audience pour une quinzaine de minutes. La juge a terminé sa lecture en disant que Michael Applebaum avait fait fi du serment qu’il avait prêté lorsqu’il était devenu maire d'arrondissement, soit sa promesse de servir ses concitoyens avec honnêteté et respect. La décision de la juge Provost a notamment reposé sur son appréciation de la crédibilité du témoin principal de la Couronne, Hugo Tremblay, ex-chef de cabinet de M. Applebaum. Ce dernier a notamment collaboré avec l’Unité permanente anticorruption (UPAC) en acceptant de porter un micro caché pour tenter de soutirer des aveux à l'ex-maire. La juge a déterminé que M. Tremblay semblait sincère lors de son témoignage et que de multiples détails ajoutaient à sa crédibilité. Par ailleurs, à propos des conversations avec le maire Applebaum enregistrées par M. Tremblay, la juge a souligné que certaines réactions de Michael Applebaum « donnent à penser qu'il a quelque chose à cacher ». À la barre des témoins pendant quatre jours, Hugo Tremblay est le seul témoin qui a affirmé avoir remis directement de l’argent à M. Applebaum. Un intermédiaire L'ex-chef de cabinet a dit n’avoir été qu’un intermédiaire agissant à contrecoeur dans cette affaire. Il a soutenu que son ex-patron l’avait initié à l’importance de constituer une caisse occulte et lui avait demandé d’aller récolter de l’argent auprès de Patrice Laporte, ex-directeur général de SOGEP, et des promoteurs Robert Stein et Anthony Keeler. Tous trois ont également témoigné lors du procès. Leur propos « corroborent les dires d'Hugo Tremblay », selon la juge Provost. M. Laporte a raconté avoir versé 25 000 $ à M. Tremblay pour obtenir le contrat de gestion d’un centre sportif dans l’arrondissement. SOGEP avait remporté l’appel d’offres, mais M. Tremblay l’avait prévenu que le maire ne porterait pas le dossier au conseil municipal sans cette contribution, a-t-il témoigné. M. Stein a dit avoir été forcé de verser des pots-de-vin à M. Tremblay pour que M. Applebaum fasse progresser un projet de résidences universitaires de 17 millions de dollars qui nécessitait un changement de zonage. M. Keeler, ancien associé de Robert Stein, a aussi affirmé que M. Tremblay l'a aussi rencontré pour discuter de ce projet. Le chef de cabinet lui avait dit que « Michael devra travailler fort » pour le faire accepter, et qu'ils auraient besoin d'une compensation. Les deux promoteurs immobiliers ont dit croire que le pot-de-vin de 30 000 $ ou 35 000 $ versé à M. Tremblay irait dans les poches de M. Applebaum. Réactions à l'Hôtel de Ville de Montréal Le maire de Montréal, Denis Coderre, n'a pas semblé surpris par le jugement, qu'il a qualifié de « très fort ». Il a toutefois voulu mettre l'accent sur les nouvelles politiques qu'il a instaurées pour contrer la corruption. « C’est une triste journée pour le passé de Montréal. [...] C’est la fin d’un chapitre. On passe à d’autre chose, et je suis très heureux de voir que depuis trois ans, ici à Montréal, on fait les choses adéquatement », a-t-il lancé. Quant à la chef de l'opposition officielle, Valérie Plante, elle considère que « le jugement prononcé aujourd’hui envoie le message que nul n’est au-dessus des lois ». Mme Plante a aussi tenu à rappeler que d'anciens collègues de Michael Applebaum faisaient toujours partie de l'administration municipale. « N’oublions pas que sept membres de l’actuel comité exécutif, en plus du président du Conseil et du Leader de la majorité, ont pu bénéficier du système mis en place par l’ex-maire de Montréal et ses collaborateurs pour les élus d’Union Montréal. Ce sont en tout 21 ex-membres d’Union Montréal, auquel appartenait Michael Applebaum, qui siègent encore aujourd’hui dans l’équipe du maire de Montréal, Denis Coderre », a-t-elle transmis dans un communiqué. Applebaum a choisi de ne pas témoigner La défense n'a présenté aucun témoin au cours du procès, qui a été expédié en sept jours. L’ex-maire Applebaum a choisi de ne pas témoigner pour sa défense, comme il en avait le droit. Avant que le procès ne s’ouvre, en novembre, M. Applebaum avait tenté à deux reprises de faire arrêter les procédures contre lui, mais en vain. Il a d’abord invoqué des délais déraisonnables, puis affirmé que la Couronne n’avait pas divulgué toute la preuve nécessaire pour une défense pleine et entière. Deux autres personnes avaient été arrêtées en même temps que Michael Applebaum, en juin 2013, soit Saulie Zajdel et Jean-Yves Bisson, respectivement ancien conseiller municipal et ancien haut fonctionnaire dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. M. Zajdel a plaidé coupable en 2015 à des accusations de corruption et d'abus de confiance. Il a écopé d'une probation de 18 mois, assortie de 240 heures de travaux communautaires et de l'obligation de verser 10 000 $ à divers organismes. De son côté, M. Bisson a plaidé coupable à une accusation de corruption. Il s'est vu imposer une peine de prison de 9 mois à purger dans la collectivité de même qu'une période de probation de 18 mois. Michael Applebaum était devenu maire de Montréal en 2012, après que Gérald Tremblay eut démissionné en pleine commission Charbonneau. Il avait alors promis de faire le ménage à l'Hôtel de Ville. Sa chute est survenue à peine sept mois plus tard. Avec les informations de Geneviève Garon http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1013132/michael-applebaum-jugement-proces-fraude-corruption-abus-confiance-complot
  7. Les Montréalais pourront profiter cette année d'un sentier hivernal de 31,8 km dans le Grand Sud-Ouest 16 décembre 2016 Montréal, le 16 décembre 2016 -Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, le responsable des sports et loisirs au comité exécutif, M. Dimitrios (Jim) Beis, la mairesse de l'arrondissement de LaSalle, Mme Manon Barbe, le maire de l'arrondissement de Lachine, M. Claude Dauphin, le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, M. Benoit Dorais, le maire de l'arrondissement de Verdun, M. Jean-François Parenteau, et Parcs Canada, sont fiers d'annoncer la mise sur pied d'un tracé de 31,8 km de sentiers hivernaux dans le Grand Sud-Ouest, le fruit d'une étroite collaboration entre Parcs Canada, les services centraux de la Ville de Montréal et les arrondissements de LaSalle, de Lachine, du Sud-Ouest et de Verdun. « C'est avec fierté que je présente aujourd'hui aux Montréalais une autre raison d'aimer l'hiver chez nous et d'en profiter pleinement. Montréal, métropole nordique, physiquement active et ville olympique, entretient une passion certaine pour les sports d'hiver. Ce beau projet contribuera à augmenter l'offre d'activités hivernales à Montréal et s'insère parfaitement dans les objectifs de notre Politique du sport et de l'activité physique. Bravo aux partenaires pour cette belle collaboration dont pourra profiter la population montréalaise », a déclaré M. Coderre. « Être physiquement actif contribue à la vitalité de nos communautés et la Ville contribue au mieux-être de tous ses citoyens en développant ce type de projet et en aménageant des milieux de vie en faveur de l'activité physique partout sur le territoire. Voici un lieu supplémentaire, dans un cadre extraordinaire. À vos skis, Montréalais », a exprimé M. Beis. Dans le but de développer une nouvelle programmation d'activités hivernales sur le canal Lachine et sur ses berges, la Ville de Montréal avait lancé deux projets pilotes l'hiver dernier. Un premier fut le résultat d'une collaboration entre Parcs Canada et l'arrondissement du Sud-Ouest, et le second était une initiative impliquant les arrondissements de Verdun, LaSalle et Lachine. Ces projets pilotes ayant été concluants, la Ville centre a décidé de poursuivre les activités hivernales pour l'hiver 2016-2017 avec un projet de plus grande envergure impliquant les arrondissements de Verdun, de LaSalle, de Lachine et du Sud-Ouest. Pour ce faire, la Ville de Montréal a lancé un appel d'offres sur invitation à des organismes spécialisés en sports et loisirs. C'est la firme Sogep qui a finalement reçu le mandat d'assurer un service d'entretien, de traçage, d'affichage et de signalisation de 3 sentiers de ski de fond d'une longueur totale de 25 km et d'un sentier damé multifonctionnel de 6,8 km sur les territoires des arrondissements de Lachine, LaSalle, Le Sud-Ouest et Verdun pour la saison hivernale 2017. Un service d'animation et des renseignements en ligne sur le tracé seront également offerts aux citoyens, de même que des mises à jour sur les conditions des pistes. Le mandat au montant total de 65 000$ débute aujourd'hui et sera en vigueur jusqu'à la mi-mars 2017. Une photo du sentier et le tracé du sentier sont disponibles ici : sentier hivernal de 31,8 km dans le Grand Sud-Ouest Ville de Montréal - Portail officiel - Détail du communiqué
  8. Richard Bergeron se joint à l’Équipe Denis Coderre Après avoir siégé deux ans comme indépendant, l’ex-chef de Projet Montréal, Richard Bergeron a rejoint dimanche l’équipe de Denis Coderre. «Vous savez que j’ai été son concurrent aux dernières élections, mais j’ai appris à travailler avec lui depuis trois ans», a rappelé dimanche Richard Bergeron à propos de sa collaboration avec Denis Coderre en 2014, lors de la création du bureau de l’inspecteur général. Le maire de Montréal a profité du colloque de son parti, dimanche, pour annoncer que M. Bergeron, ancien chef de Projet Montréal qui siégeait comme indépendant depuis deux ans au Comité exécutif, rejoignait ses rangs. Il s’agit du troisième élu à passer de Projet Montréal à l’Équipe Coderre, après Marc-André Gadoury en août 2015 et Érika Duchesne en mars dernier. Russel Copeman, maire de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, a lui aussi rejoint les rangs de l’Équipe Coderre vendredi dernier. «À un an de l’élection presque jour pour jour, il était important de prendre cette décision», estime M. Coderre. « Triste » «Ce n’est pas une surprise, mais il faut dire que depuis que Richard Bergeron n’est plus à Projet Montréal, nous n’avons jamais eu autant de membres et notre situation financière n’a jamais été aussi bonne. Je vous laisse tirer vos conclusions», a réagi Alex Norris, porte-parole de Projet Montréal. Toutefois, il «trouve que c’est triste» que M. Bergeron ne défende plus les positions qu’il avait lorsqu’il était à la tête de Projet Montréal, y voyant là une perte de sa crédibilité. Richard Bergeron se joint a l’Equipe Denis Coderre | JDM
  9. http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/982657/legs-pour-le-375e-de-montreal-six-ponts-illumines-sur-le-canal/ 20/06/2016 Mise à jour : 20 juin 2016 | 16:09 Legs pour le 375e de Montréal: six ponts illuminés sur le canal Par André Desroches TC Media Photo Gracieuseté Six ponts et passerelles qui jalonnent sur 4,5 km le canal de Lachine, dont le pont Côte-Saint-Paul, seront illuminés. Le paysage du Sud-Ouest sera appelé à changer dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. L’arrondissement prévoit l’iIllumination de six ponts enjambant le canal de Lachine ainsi que la création d’un tableau du circuit Cité Mémoire avec deux artistes de renom, Michel Lemieux et Victor Pilon. «Le canal est un symbole très fort de notre arrondissement. À la tombée du jour, il va carrément changer de visage», annonce le maire Benoit Dorais. La réalisation du projet «Lumières sur le canal de Lachine!», qui verra le jour en 2017, a été confiée à l’organisme Montréal en Histoires. C’est lui qui signe le parcours de tableaux multimédias Cité Mémoire qui se déploie en images, en paroles et en musique dans le Vieux-Montréal depuis le 17 mai. Structures Les six structures qui jalonnent sur 4,5 km ce cours d’eau, berceau de l’industrialisation au pays, seront donc illuminées. Il s’agit des ponts CN-Du Port, Côte-Saint-Paul, des Seigneurs et Charlevoix ainsi que des passerelles Atwater et Sir-George-Étienne-Cartier. Certaines structures seront éclairées par des équipements statiques. D’autres seront illuminées par du matériel d’éclairage dynamique et programmable permettant notamment de varier l’intensité de la lumière selon la présence ou non de piétons. Célébrer en se souvenant «Ce projet va avoir un rayonnement plus large grâce à une collaboration avec Cité Mémoire», se réjouit Benoit Dorais. Le parcours créé par Michel Lemieux, Victor Pilon et le dramaturge Michel Marc Bouchard va s’enrichir d’un 24e tableau historique créé spécialement pour le Sud-Ouest sur un site qui n’a pas encore été choisi. «En se promenant dans le Sud-Ouest, on voit que c’est un lieu chargé d’histoire. C’est très riche comme endroit», constate Michel Lemieux. Le créateur bouillonne déjà d’idées pour ce tableau. «On va aller chercher des personnages connus qui sont passés à l’histoire mais aussi des personnes inconnues, explique-t-il. Nous voulons mettre les humains au centre de l’Histoire, pas seulement des lieux et des dates.» Michel Lemieux est emballé par ce volet du projet. «Le 375e anniversaire de Montréal, on a le devoir de le célébrer en se souvenant», estime-t-il. Les gens devront donc à aller un peu plus à l’ouest du Vieux-Montréal pour voir ce nouveau tableau. «Ça va faire découvrir les attraits de nos quartiers», anticipe le maire Dorais. Réalisé au coût de 1 M$, le projet de legs du Sud-Ouest sera financé par la Ville de Montréal.
  10. http://journalmetro.com/actualites/montreal/756997/mille-voitures-electriques-en-libre-service-dici-5-ans/ 1000 voitures électriques en libre service d'ici 5 ans à Montréal 14/04/2015 Mise à jour : 14 avril 2015 | 19:42 Ajuster la taille du texte Mille voitures électriques en libre-service d’ici 5 ans Par Mathias Marchal Métro Montréal disposera d’ici 5 ans d’un réseau de 1000 autos électriques en libre-service. C’est ce qu’a annoncé le maire Denis Coderre en conférence de presse mardi. «Avec ce projet, Montréal fait d’une pierre quatre coups: déployer un système de véhicules électriques en libre-service, encourager tous les véhicules électriques car les bornes de recharge seront accessibles à tous, diminuer les gaz à effet de serre et positionner la ville en tant que leader dans l’électrification des transports», a déclaré M. Coderre. Un appel international d’intérêts sera lancé en juin aux entreprises intéressées afin de mieux cerner les besoins et «bâtir un système typiquement montréalais». Il aboutira au lancement d’un appel de propositions en octobre pour trouver une entreprise qui installera et gérera le réseau, les bornes de recharge restant de la responsabilité de la Ville et ses partenaires (Stationnement de Montréal, Hydro-Québec et la Commission des services électriques). Impossible par contre de savoir si, au terme du processus de sélection, il restera un ou plusieurs fournisseurs de service, comme c’est le cas actuellement avec car2go et Auto-mobile. Pressé de questions, le maire est resté flou sur le sujet, indiquant que cela serait tranché plus tard dans le processus. Pour l’opposition officielle, l’idée de lancer un appel d’offres indique d’ores et déjà qu’un seul fournisseur sera retenu. «Ça a toute les apparences d’un appel d’offres dirigé pour favoriser l’entreprise AutoLib’ [NDLR : service de libre-service en vigueur de Paris], le maire ayant déjà rencontré le patron de cette entreprise», a déclaré Alex Norris, un élu de Projet Montréal. «La batterie des Bluecar de Bolloré [le groupe français qui fournit les véhicules d’Autolib’] est plus performante (250km en ville). Il suffirait donc de mettre des critères élevés d’autonomie de la batterie pour favoriser l’entreprise», indique Vincent Dussault, blogueur pour RoulezÉlectrique.com. «Si la Ville veut des véhicules électriques, pourquoi ne joue-t-elle pas avec le système de vignettes universelles déjà en place pour favoriser les véhicules électriques et financer un réseau de recharge public», se questionne t-il. En attendant le début du déploiement du nouveau système, dès 2016, le centre-ville et les arrondissements, jusqu’ici récalcitrants, pourront adopter le système de vignette universelle 403 permettant à Auto-mobile et car2go d’étendre leur offre. Les maires des arrondissements de Ville-Marie, Hochelaga-Maisonneuve et Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension ont déjà indiqué leur intention de déployer cette vignette. Les représentants de car2go et Auto-mobile ont tous deux salué la nouvelle de l’électrification future du système d’autos en libre-service auquel ils affirment vouloir participer. Auto-mobile disposera dès cet été de 60 autos 100% électriques sur le territoire, en plus de véhicules hybrides . Et si les 340 autos Smart de car2go fonctionnent à l’essence, l’entreprise américaine propose des Smart électriques sur trois marché: Austin, Amsterdam et Stuttgart. 30 La Ville veut réduire de 30% ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020 par rapport aux données de 1990. Elle compte aussi sur l’électrification des autobus et des véhicules municipaux.
  11. http://www.lapresse.ca/sports/autres-sports/olympisme/201604/19/01-4972713-jeux-de-2026-les-e-u-ferment-la-porte-a-une-candidature-quebec-lake-placid.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-title_article_ECRAN1POS2&utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_Autres%20contenus%20populaires_article_ECRAN1POS2 Publié le 19 avril 2016 à 06h49 | Mis à jour à 06h49 Jeux de 2026: les É.-U. ferment la porte à une candidature Québec-Lake Placid En plus d'avoir le dénivelé skiable le plus important... (PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE) En plus d'avoir le dénivelé skiable le plus important à l'est des Rocheuses, la montagne de Whiteface, située à quelques kilomètres de Lake Placid, dans le nord de l'État de New York, compte plusieurs infrastructures pouvant accueillir les Jeux d'hiver, notamment des tremplins de saut à ski. Jean-François Bégin La Presse Le Comité olympique américain (USOC) dit non à une participation de Lake Placid à une éventuelle candidature de Québec pour les Jeux olympiques d'hiver de 2026, écartant ainsi d'emblée l'un des scénarios envisagés publiquement par le maire Régis Labeaume. Utilisée comme base d’entraînement par les athlètes américains... (Photo Shaun Best, Archives Reuters) - image 1.0 Utilisée comme base d’entraînement par les athlètes américains après avoir été l’hôte des Jeux d’hiver à deux reprises (1932 et 1980), Lake Placid détient plusieurs atouts qui font défaut à la candidature de Québec comme le site potentiel des Jeux d’hiver. On retrouve notamment dans la région une piste de luge-bobsleigh-skeleton (notre photo). « Le Comité olympique américain est concentré à 100 % sur notre candidature pour attirer les Jeux [d'été] à Los Angeles en 2024 et nous n'envisageons pas de candidature pour 2026 », a écrit le porte-parole du USOC, Patrick Sandusky, dans un courriel envoyé à La Presse. Relancé, M. Sandusky a précisé qu'aucune ville américaine ne peut être partie à une candidature d'une ville étrangère sans l'assentiment du USOC - et que cela constituait une fin de non-recevoir à la participation de Lake Placid aux projets de Québec, qui restent d'ailleurs à confirmer. Plus de 20 ans après l'échec de la tentative de Québec d'obtenir les Jeux de 2002, la Capitale nationale a de nouveau attrapé la fièvre olympique, le mois dernier, quand le maire Labeaume a fait savoir que le président du Comité international olympique (CIO), Thomas Bach, l'avait invité à Lausanne. M. Labeaume s'est rendu en Suisse la semaine dernière. Au terme d'une rencontre de cinq heures, il s'est dit convaincu du sérieux de la volonté du CIO de réformer les Jeux pour les rendre plus « modestes » et moins coûteux. Selon l'Agenda 2020, que le CIO a adopté en décembre 2014, il est désormais possible pour deux villes de présenter une candidature conjointe. «Ce n'est plus une hypothèse, c'est acquis. Il n'y a aucun problème pour qu'on tienne ça dans deux villes, même deux pays différents. C'est majeur.» Régis Labeaume Maire de Québec, discutant avec les médias qui l'avaient accompagné lors de sa visite en terre helvétique la semaine dernière Le maire avait évoqué la possibilité que Québec, s'il décide de plonger, fasse cause commune avec Calgary ou Vancouver, qui ont organisé les Jeux en 1988 et 2010 respectivement, ou encore avec Lake Placid. La petite localité du nord de l'État de New York, située à 400 kilomètres de Québec, a été l'hôte des Jeux d'hiver à deux reprises, en 1932 et en 1980. Le mois dernier, le maire Craig Randall avait confirmé au Soleil avoir eu des « discussions très préliminaires » avec Régis Labeaume au sujet d'une participation de sa ville à une possible candidature. Le maire de Québec a indiqué la semaine dernière qu'il comptait rencontrer M. Randall à son retour d'Europe. Il n'a pas été possible de parler à M. Labeaume au terme de la séance du conseil municipal, hier soir. Joint au téléphone, son attaché de presse, Paul-Christian Nolin, a réitéré le message répété récemment par son patron : « On n'est pas en mode olympique, on est en mode exploratoire. On regarde les possibilités. » Dans ce contexte, « il n'est pas question de déception » malgré le veto exprimé par le USOC - d'autant plus, a-t-il ajouté, que c'est le maire de Lake Placid qui avait relancé l'idée d'une collaboration lors d'une entrevue avec Le Journal de Québec, l'hiver dernier. DES ATOUTS Toujours utilisée comme base d'entraînement par les athlètes américains, Lake Placid détient plusieurs atouts qui, dans l'hypothèse d'une candidature conjointe, auraient permis à Québec de ne pas avoir à construire des éléphants blancs potentiels comme une piste de luge-bobsleigh-skeleton et des tremplins de saut à ski. La région compte aussi sur la montagne de Whiteface, dont le dénivelé skiable de 1045 mètres est le plus important à l'est des Rocheuses. L'absence dans les environs de Québec d'une montagne suffisamment haute pour tenir la descente masculine était jusqu'ici considérée comme un handicap fatal pour les chances de Québec de devenir ville olympique. Le maire de Calgary, Naheed Nenshi, n'a pas commenté jusqu'à présent la possibilité d'une candidature conjointe avec Québec. Son homologue de Whistler, Nancy Wilhelm-Morden, s'est pour sa part dite « très intéressée ». Il reste qu'avant même que le USOC ne signifie hier son refus, certains observateurs doutaient du réalisme d'un partenariat entre Québec et d'autres villes nord-américaines. Pour Robert Livingstone, éditeur du site spécialisé gamesbids.com, qui se consacre aux candidatures olympiques, le concept « est plus approprié sur le continent européen, où les distances sont plus courtes et les frontières à l'intérieur de [l'espace Schengen] sont ouvertes ». « Les vastes distances proposées en Amérique du Nord et une frontière surveillée si ce sont des Jeux Canada-États-Unis auraient un impact sur la qualité de l'expérience des Jeux et réduiraient de manière significative les chances de succès de Québec », a-t-il écrit sur son blogue la semaine dernière. Tant le maire Randall que les dirigeants de la New York State Olympic Regional Development Authority (ORDA), qui gère les installations olympiques de Lake Placid, ont refusé d'accorder une entrevue à La Presse, hier. Jeux olympiques de 2026: pas de référendum à 6 millions Si Québec se lance dans une candidature pour les Jeux d'hiver de 2026, pas question de faire un référendum évalué 6 millions, dit Régis Labeaume. Le maire de Québec assure du même souffle que la population sera consultée « en bonne et due forme ». Dans un monde idéal, les citoyens pourraient voter sur une candidature olympique en même temps que le scrutin municipal de novembre 2017, estime M. Labeaume. Or, la loi québécoise ne le permet pas. « Je ne dépenserai pas 6 millions pour un référendum, oubliez ça. C'est-tu clair ? Ce que j'aimerais est qu'on puisse consulter le monde en même temps que les élections. Ce serait bien moins compliqué et ça ne coûterait pas une cenne de plus », a-t-il lancé, hier, en mêlée de presse avant le conseil municipal. L'autre option pourrait être la signature de registres, qu'avait privilégiée l'ancien maire Jean-Paul L'Allier pour la candidature de 2002. « Mais ce que la population doit savoir est qu'elle sera consultée », a tranché le maire. - Le Soleil
  12. Le 30 mars prochain la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM)organise une conférence sur les Grands projets pour la ville de Montréal. La conférence aura lieu au Palais des congrès et plusieurs conférenciers viendront faire une mise à jour de l'avancement de leurs projets. Le Maire de Montréal ouvrira le bal avec un mot d'introduction. Il y aura trois thèmes : 1- Cap sur les grands projets privés 2- Les grandes infrastructures de santé 3- Les grands projets institutionnels Trois conférenciers retiennent particulièrement mon attention. 1- Cameron Charlebois de la (SIC) Société immobilière du Canada viendra nous faire une mise au point sur le Silo no5 et les Bassins du nouveau Havre. 2- Maryse Bertrand de Radio-Canada nous expliquera où en est le projet de développement du site de Radio-Canada (d'après mes sources il y aura des développements très prochainement). 3- Salvatore Iacono, de Cadillac Fairview, nous parlera du projet de l'Ilot Windsor. Plusieurs autres conférenciers seront présent pour nous parler de leurs projets dans leurs domaines respectifs. J'espère que nous aurons alors de bonnes nouvelles, de grandes nouvelles car il y a déjà quelques mois que tout se beau monde semble dormir, en commencant par le Maire. Peut-etre, après tout, que ce beau monde ne dormait pas vraiment mais travaillait fort, nous le saurons la semaine prochaine. Dommage que le billet soit de $410 car j'aurais bien aimé y passer la journée. Voici le lien avec les infos de l'évènement ainsi que l'invitation, au cas ou : http://www.ccmm.qc.ca/fr/calendrier-forums_strategiques_GrandsProjets
  13. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201602/23/01-4953587-square-phillips-un-stationnement-etage-plutot-quune-tour-de-bureaux.php Square Phillips: un stationnement étagé plutôt qu'une tour de bureaux Exclusif Publié le 23 février 2016 à 06h19 | Mis à jour à 06h19 Maxime Bergeron La Presse Le projet de tour de bureaux qui était prévu au square Phillips, en plein coeur du centre-ville de Montréal, pourrait faire place à un stationnement étagé. Le promoteur Canderel projette d'y construire une telle structure pour la louer ensuite à la Ville de Montréal, a appris La Presse Affaires. Canderel prévoyait ériger une tour de bureaux d’une trentaine d’étages, certifiée LEED, au 1201-1215, square Phillips. Ce n'est plus le cas. Canderel vient tout juste de s'inscrire au Registre des lobbyistes dans le but d'officialiser ses pourparlers avec la Ville. Dans son inscription, on apprend que l'entreprise cherche à négocier « une entente avec la Ville de Montréal pour la construction pour la Ville et la location à la Ville de Montréal d'un stationnement à étage pour le public ». Au bureau du maire Denis Coderre, on confirme que des négociations ont bel et bien été entamées avec Canderel « pour la location potentielle d'espaces » au 1201-1215, square Phillips. « Montréal est en train de se doter d'une véritable politique de stationnement et elle analyse actuellement différentes mesures qui pourraient la bonifier », a indiqué Catherine Maurice, l'attachée de presse du maire. Canderel ne vise pas qu'à construire un stationnement vertical sur ce terrain stratégique du centre-ville. Le groupe planche aussi sur un projet d'habitations en partenariat avec une autre entreprise, a souligné hier Daniel Peritz, vice-président principal. Selon nos informations, il s'agirait de résidences étudiantes, ce que le dirigeant a refusé de confirmer. Il n'est pas exclu que le stationnement étagé voie le jour sans le volet résidentiel, et vice-versa. Mais l'objectif ultime de Canderel reste de construire un projet qui comprendrait les deux fonctions, a indiqué M. Peritz. « On ne peut pas prévoir le futur, mais l'idée est vraiment de faire un projet combiné. » Depuis 2008 Il s'agit là d'une nouvelle incarnation pour ce vaste terrain de stationnement à ciel ouvert, acquis par Canderel en janvier 2008. Le groupe montréalais prévoyait au départ y ériger une tour de bureaux d'une trentaine d'étages, certifiée LEED, qui aurait compté plus de 600 000 pieds carrés de bureaux et commerces. Le projet n'a pas réussi à attirer les locataires, si bien que Canderel a ensuite contemplé la possibilité de construire un immeuble mixte, qui aurait inclus des bureaux et des logements. Le promoteur a par la suite tenté de revendre le terrain, en 2012, pour le retirer du marché peu après. Pendant un temps, l'Université McGill a aussi contemplé la possibilité de construire un « campus vertical » sur ces terrains. Le projet a été écarté lorsqu'un autre emplacement de taille - l'ancien hôpital Royal Victoria - est devenu disponible pour une conversion à l'automne 2015, a confirmé hier le porte-parole de McGill, Vincent Allaire. Plus de stationnements Ni Canderel ni la Ville n'ont voulu s'avancer sur un échéancier pour leurs négociations. Daniel Peritz ne cache toutefois pas qu'il a hâte de voir un projet se réaliser sur ces terrains évalués à 14,4 millions au dernier rôle d'évaluation foncière. « Notre attitude est toujours : le plus tôt, c'est le mieux », a-t-il dit. Le maire Denis Coderre, pour sa part, martèle depuis plus d'un an qu'il souhaite voir davantage de stationnements au centre-ville de Montréal. Cet enjeu sera d'autant plus crucial pendant les longs travaux de réfection prévus dans la rue Sainte-Catherine, qui ajouteront à la rareté déjà extrême des places disponibles. Denis Coderre a encore une fois réitéré son intention « d'optimiser » le stationnement au centre-ville en décembre dernier, lorsqu'il a annoncé son projet de politique sur le stationnement.
  14. Saint-Laurent, le 1er février 2010 – La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le maire de Saint-Laurent et vice-président du comité exécutif, M. Alan DeSousa, ont dévoilé aujourd’hui le projet lauréat du concours d’architecture tenu à l’échelle du Québec pour la nouvelle bibliothèque de Saint Laurent. Cette annonce s’est faite en présence de la responsable de la culture, du patrimoine et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, et de la présidente du jury, Mme Lise Bissonnette. (...) Selon l’échéancier établi, la firme lauréate travaillera à l’élaboration des plans et devis du bâtiment tout au cours de l’année 2010. La construction s’effectuera en 2011 et en 2012. L’ouverture du nouvel édifice est prévue à la fin de 2012. http://bibliotheque.saintlaurent.ville.montreal.qc.ca/
  15. http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/859468/une-nouvelle-promenade-urbaine-proposee-pour-atwater/ 18/10/2015 Mise à jour : 18 octobre 2015 | 23:05 Une nouvelle promenade urbaine proposée pour Atwater Par Jeff Yates Métro Le projet prévoit la création d’une promenade urbaine partant de la station de métro Lionel-Groulx et donnant sur le marché Atwater. Collaboration spéciale Une promenade urbaine donnant sur une grande esplanade, voilà une des idées mises de l’avant par la proposition de réaménagement du pôle Atwater retenue hier dans le cadre de l’incubateur urbain de l’arrondissement du Sud-Ouest. La proposition gagnante prévoit le retrait du terre-plein central ainsi que de deux voies de circulation sur l’avenue Atwater pour créer une promenade urbaine, partant de la station de métro Lionel-Groulx et donnant sur le marché Atwater. Selon Bryan Marchand, un des trois architectes de l’équipe qui a conçu la proposition gagnante, le flux de la circulation ne sera pas affecté, puisque l’avenue Atwater dispose présentement de trois voies de circulation de part et d’autre du terre-plein, mais le tunnel, lui, ne comporte que deux voies de circulation dans chaque direction. La promenade aboutirait sur une grande esplanade aménagée autour du marché Atwater, entre la rue Notre-Dame et le canal de Lachine, marquée avec un pavage distinctif. «L’idée rappelle la grande place des villes européennes du Moyen-Âge et de la Renaissance», soutient M. Marchand. Une patinoire sur le canal de Lachine est aussi proposée, accompagnée d’un chalet qui permettrait d’enfiler ses patins. «L’idée est lancée depuis longtemps, mais ça ne se fait pas. Pourtant, ça serait tellement simple à faire, juge M. Marchand. On a toutes les infrastructures nécessaires. Ce qui manque, c’est le chalet.» La sélection s’est faite au terme de trois jours de peaufinage des propositions des cinq équipes, rehaussée par la participation d’une centaine de citoyens venus donner leur avis à la caserne 23 dans Saint-Henri, et de quelque 500 personnes en ligne. Un jury a alors choisi la proposition retenue. Le maire de l’arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, était visiblement satisfait de la démarche, entreprise de concert avec l’organisme MTL ville en mouvement. «Ce n’est pas facile de faire changer la recette, la façon de faire des travaux publics, a-t-il lancé en marge de l’annonce. On a voulu challenger nos équipes, et c’est pour ça que ça bouge.» Pour mener à bien le projet de réaménagement, le maire reconnaît que l’arrondissement devra coopérer avec la ville-centre, qui gère les artères principales comme l’avenue Atwater, et avec Parcs Canada, propriétaire du canal, mais il reste optimiste. «Je ne prévois pas de difficultés majeures, on travaille déjà avec eux», estime-t-il. Processus La proposition d’aménagement sera finalisée, et une version définitive sera présentée au printemps prochain, dans le cadre d’une «diffusion immersive» à la Société des arts technologiques. • La proposition sera ensuite intégrée dans un plan d’urbanisme soumis à la ville-centre. • Le maire de l’arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, promet que certains aspects de la proposition pourront être mis en place à «court et moyen terme».
  16. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=8177,89603648&_dad=portal&_schema=PORTAL Prendre un taxi à Montréal Tarification Localisation des postes d'attente Règlementation Conduire un taxi à Montréal Conduire un taxi à Montréal Calendrier des formations Obtenir un permis de chauffeur Intermédiaires en service de taxi Sécurité des chauffeurs Actualités» 20/08/15 Denis Coderre présente le plan d'action 2015-2017 du BTM Montréal, le 20 août 2015 — Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, accompagné de M. Aref Salem, responsable du transport au comité exécutif et président du conseil d'administration du Bureau du taxi de Montréal, et de Mme Linda Marchand, directrice générale... 05/08/15 Politique sur l'industrie du taxi : le paiement électronique obligatoire pour tous les taxis à partir du 15 octobre 2015 Montréal, le 5 août 2015 — Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le responsable du transport au comité exécutif, M. Aref Salem, sont heureux d'annoncer que tous les taxis de Montréal offriront la possibilité aux clients de régler leur course par carte... 06/05/15 Croisiéristes en ville du 12 mai au 28 octobre 2015! La saison des croisières 2015 s'annonce encore une fois très intéressante : en effet, plus de 55 000 passagers internationaux débuteront ou termineront une croisière à Montréal. De ceux-ci, plus de 50 % prendront un taxi pour se rendre de l'aéroport au terminal... Toutes les actualités sent via Tapatalk
  17. steve_36

    ArtsGames

    Il est difficile à ce stade ci de mesurer l'ampleur de cette nouvelle mais chose certaine, ca ne peut pas être négatif. Au contraire, c'est une bonne nouvelle et possiblement une excellente nouvelle. Par contre je suis curieux de savoir ou seront situés les bureaux de l'agence et combien d'employés y œuvreront. Je verrais bien les bureaux situés dans le même édifice que ceux du comité olympique canadien ou encore dans le quartier international.
  18. Vidéotron construira un centre de données à Montréal pour 40 millions LIA LÉVESQUE La Presse Canadienne Vu les besoins croissants, Vidéotron a annoncé mercredi la construction d'un centre de données au coût de 40 millions $. Au cours d'une rencontre avec la presse, mercredi, la présidente et chef de la direction de Vidéotron, Manon Brouillette, a souligné que la décentralisation des serveurs des entreprises vers des centres de données était une tendance lourde à l'échelle mondiale, une tendance dont l'entreprise souhaite profiter. Le centre de 4000 mètres carrés sera situé dans l'arrondissement de Saint-Laurent, dans le Technoparc Montréal. Environ 300 emplois seront ainsi créés durant la phase de construction et entre 15 et 20 emplois permanents par la suite pour gérer les infrastructures, a précisé Mme Brouillette. Vidéotron souhaite ainsi intéresser les entreprises et les institutions de toutes les tailles et ne compte pas s'arrêter aux frontières du Québec. «On vise tout type de clientèle. On a 120 000 clients aujourd'hui; on a une demande de cette clientèle-là, mais également, il y a des clients de grande taille. On voit vraiment une tendance; on est près des frontières. Tout: le climat, le dollar canadien, tout ça fait en sorte que c'est très favorable pour des clients internationaux. L'avantage qu'on a, c'est que nos infrastructures, nous, on est déjà avec nos interconnexions avec les États-Unis, l'Europe, etc., pour recevoir des clients et être capables de transiter les données», a expliqué Mme Brouillette. Le maire de Montréal, Denis Coderre, présent lors de l'annonce, ne cachait pas sa fierté. Il s'est dit doublement content, d'abord pour son Technoparc qui continue de se développer avec un centre de technologie de pointe, ensuite pour la croissance du nombre de centres de données au Québec. «Il ne faut pas se le cacher: le Québec et Montréal connaissent un léger retard dans ce domaine. À titre de comparaison, l'Ontario compte 1146 centres de données; le Québec n'en compte que 411», a dit le maire Coderre. Pierre Dion, président et chef de la direction de Québecor, a précisé qu'en fait, c'est non seulement Montréal et Québec, mais «tout le Canada qui est en retard sur les États-Unis» en la matière. Le maire Coderre pense que ce centre de données de Vidéotron permettra d'attirer ici d'autres entreprises. «Grâce au nouveau centre de données qui sera érigé ici, les entreprises montréalaises et du Québec entier pourront bénéficier d'une infrastructure infonuagique à la fine pointe. Pour Montréal, c'est un avantage incroyable, qui nous permettra d'attirer chez nous de nouvelles entreprises numériques ou de conserver celles que nous avons déjà», s'est-il félicité. http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201509/16/01-4901121-videotron-construira-un-centre-de-donnees-a-montreal-pour-40-millions.php
  19. Financer la venue d'événements sportifs internationaux à Montréal, renoncer au péage sur le pont Champlain, des centaines de millions pour le transport en commun, les routes et le logement social: le maire Denis Coderre a présenté sa liste d'épicerie aux partis fédéraux dans le cadre de la campagne électorale. La liste de la Ville de Montréal compte pas moins de 26 demandes, dont plusieurs requièrent des millions d'Ottawa. Le maire a présenté cette liste alors que les chefs des principaux partis commenceront à défiler à l'hôtel de ville. «On a besoin d'entendre les partis, on ne veut pas juste des consultations plates. On veut vraiment que les chefs se prononcent s'ils croient vraiment en Montréal», a déclaré le maire Coderre ce matin lors d'une réunion du comité exécutif. Le chef du Parti libéral du Canada Justin Trudeau rendra ainsi visite à Denis Coderre, avec qui il s'entretiendra des demandes de Montréal en matière fédérale. Une rencontre avec le chef du Bloc québécois Gilles Duceppe est prévue le 14 septembre et ce n'est qu'une question de temps avant que des dates soient fixées avec le chef du NPD Thomas Mulcair et la chef du Parti vert Elizabeth May. Le cabinet du maire dit n'avoir toujours pas reçu de réponse de l'entourage du premier ministre sortant et chef du Parti conservateur, Stephen Harper. «Le message a toujours été passé avec Stephen Harper, s'il ne vient pas, il manque quelque chose», a déclaré le maire Coderre lors de sa rubrique hebdomadaire du mercredi. «Peu importe, on est en contact continuellement avec Denis Lebel (le lieutenant politique de Harper au Québec) et si le chef du Parti conservateur croit en Montréal, ça va nous faire plaisir de l'accueillir.» Demandes de Montréal Transport en commun 200 millions récurrents pour Montréal -Financement pour les projets de SLR sur le pont Champlain et le Train de l'Ouest Infrastructures 342,5 millions pour Montréal sur 10 ans Postes Canada Rétablissement de la livraison du courrier à domicile Logement social Tripler les montants alloués à Montréal, pour les faire passer de 8 à 24 millions 185 millions annuellement pour la construction, l'entretien et la rénovation de logements sociaux Sécurité Rétablir un Fonds de financement des services policiers de 10 millions par an Financement annuel de 1 million pour le Centre montréalais de prévention de la radicalisation Femmes autochtones Mettre en place une commission d'enquête sur la disparition de femmes au Canada Développement économique Maintien de l'aide au secteur aérospatial de Montréal Davantage de soutien aux grappes industrielles de Montréal 375e anniversaire de Montréal Contribution directe aux festivités du 375e, Ottawa ayant mit 110 millions dans les festivités du 400e de Québec Pont Champlain Abandon du péage sur le futur pont Champlain Port de Montréal Transférer la responsabilité du Vieux-Port à la Ville Soutien du projet de restauration de la Gare maritime Iberville et de la jetée Alexandra Métropole internationale Financement d'événements sportifs internationaux Radio-Canada Réinvestir dans Radio-Canada Sites d'injection supervisée Respect de la décision de la Cour suprême http://www.lapresse.ca/actualites/elections-federales/201509/02/01-4897254-denis-coderre-presente-sa-liste-de-demandes-aux-partis.php
  20. RIP Monsieur le maire via LaPresse Publié le 15 juin 2015 à 15h09 | Mis à jour à 15h15 L'ancien maire de Montréal Jean Doré est décédé Jean Doré Photo d'archives, La Presse =author%3ADaphn%C3%A9+Cameron&sort=recent"]Daphné Cameron La Presse L'ancien maire de Montréal Jean Doré s'est éteint lundi à l'âge de 70 ans, emporté par le cancer du pancréas. Il était entouré de ses proches. À l'hôtel de ville, le maire de Montréal Denis Coderre a demandé aux conseillers municipaux d'observer une minute de silence. «Salut Jean, on se retrouvera», a-t-il déclaré après le moment de recueillement. Jean Doré a été maire de Montréal pour deux mandats, de 1986 à 1994. Avocat de formation, il est arrivé au pouvoir à l'âge de 41 ans. Il est le père de l'Office de consultation publique de Montréal, du premier plan d'urbanisme de Montréal et de la période des questions à l'hôtel de ville. C'est sous son règne que les portes de l'hôtel de ville ont été débarrées pour permettre aux citoyens d'y entrer et que la Ville s'est procuré ses premiers ordinateurs. Après une brève carrière comme attaché de presse de René Lévesque et à la Fédération des associations d'économie familiale, il participe en 1974, à la fondation d'un nouveau parti politique : le Rassemblement des citoyens de Montréal (RCM). Plus de détails suivront.
  21. http://ici.radio-canada.ca/sports/sports_motorises/2015/05/26/001-formulee-montreal-2016-coderre.shtml
  22. http://lenavet.ca/4834/st-lambert-poursuit-montreal-parce-quelle-lui-cache-la-vue/ CONFLIT JURIDIQUE St-Lambert poursuit Montréal parce qu’elle lui «cache la vue» 14 avril 2015 Montreal Skyline - Jul.09 «Montréal pourrait commencer par dynamiter la tour de Radio-Canada et la place Ville-Marie pour démontrer sa bonne foi » − Crédit image : Emmanuel Huybrechts La ville de St-Lambert a annoncé mardi qu’elle poursuivra la ville de Montréal car ses nombreux grattes-ciel et tours d’habitation empêchent ses citoyens de bien voir le paysage, le ciel et le soleil. « Les soirs d’été, nos citoyens veulent prendre un verre dans leur cour et admirer le ciel sans avoir à endurer des édifices qui briment leur vision, a expliqué le maire de la banlieue de la Rive Sud. C’est une question de respect envers les gens de St-Lambert.» L’administration de St-Lambert s’est défendu d’avoir des demandes déraisonnables dans ce dossier, affirmant que «ce qui est injuste, c’est de construire un centre-ville majeur à quelques kilomètres seulement d’une petite ville dortoir tranquille, en faisant complètement fi des impacts sur les résidants de celle-ci.» «Montréal pourrait commencer par dynamiter la tour de Radio-Canada et la place Ville-Marie pour démontrer sa bonne foi », a ajouté le maire. Au moment de mettre en ligne, St-Lambert envisageait également de poursuivre la métropole parce qu’elle est plus grosse sur les cartes géographiques, ce qui «nuit à la visibilité de notre belle banlieue». sent via Tapatalk
  23. Il y a quelques jours le cas du Café Cherrier est apparu dans l'actualité concernant l'augmentation d'un permis d'occuper une terrasse, le paiement rétroactif de la prime malgré une erreur de l'arrondissement et l'imposition du mobilier de terrasse par l'arrondissement. Suite à cela j'ai écris une lettre d'indignation à l'arrondissement car non seulement je suis contre le fait d'imposer un mobilier intérieur ou extérieur surtout lorsque celui-ci ne cause aucun problème et ne nuit d'aucune façon à l'image de la rue St-Denis. Au contraire, à mon avis, le Café Cherrier est le commerce qui rend agréable ce coin de rue et qui marque de façon élégante l'entrée sur le Plateau en arrivant du sud par St-Denis. J'aimerais voir ce genre de café un peu partout dans le cœur de la ville. De plus, le cout pour occuper cette terrasse est exorbitant. L'arrondissement demande $10 000. C'est incroyable ! Même si le commerçant peut payer, je crois que c'est vraiment de l'exploitation. Il est certain que plusieurs petits café ne peuvent pas se permettre de payer une telle somme. Je sais que le tout est relatif à la superficie de la terrasse et qu'un petit café devra payer moins mais cela nous donne une échelle de grandeur qui n'a pas de bon sens. On devrait charger beaucoup moins cher pour une terrasse car c'est cela qui rend agréable l'expérience du Plateau et qui donne du cachet. C'est en partie cela qui fait de Montréal une ville ''européenne'' comme disent les américains ou canadiens anglais. Alors au lieu d'encourager ce genre de café avec des prix de permis abordable, l'arrondissement semble s'acharner sur les commerçants en voulant les taxer au point de les étouffer. Je sais que ce café doit payer sa part comme les autres pour que tous soient égales. Mais pourquoi ne pas descendre le tarif des autres à celui du Café Cherrier. Pourquoi toujours augmenter tout le monde ? Au profit de qui ? On veut concurrencer les commerces des banlieues, il me semble qu'un petit effort pour réduire le cout des terrasses ne seraient pas trop demander à l'arrondissement. Après tout, ils paient déjà beaucoup de taxes ces commerçants, non ? Bref, j'ai reçu une réponse de la part de l'arrondissement qui ne me satisfait pas du tout et qui s'appuie sur des règlements instituer par des bureaucrates pour des bureaucrates et qui ne servent qu'à faire vivre la grosse machine bureaucratique de la ville et de l'arrondissement dans ce cas.
  24. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201105/27/01-4403442-les-habitations-jeanne-mance-se-refont-une-beaute.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1 Publié le 27 mai 2011 à 11h56 | Mis à jour à 11h56 Les Habitations Jeanne-Mance se refont une beauté Louise Leduc La Presse Les Habitations Jeanne-Mance, longtemps mal-aimées et mal cotées, se refont une beauté. Pour l'heure, fort d'un budget de 32 millions, on en est encore à l'amélioration des lieux extérieurs - mini terrain de soccer, plantation d'arbres, petit marché public - mais la rénovation des appartements en tant que tels commencera l'an prochain, à raison d'une centaine par année. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, était sur place ce matin pour rendre compte des améliorations apportées à l'environnement immédiat de ces logements sociaux situés au centre-ville, entre Ontario et de Maisonneuve. Pas moins de 1700 personnes y vivent et la Ville est consciente depuis longtemps de la nécessité de réhabiliter les lieux. Si l'augmentation de la surveillance autour du complexe a déjà fait une différence, la rénovation des appartements demeure l'enjeu important. Le maire Tremblay a souligné que ces rénovations ne seront pas faciles, puisqu'il faudra déménager des gens, mais c'est possible, a-t-il dit. Il en veut pour preuve la réussite de la Place L'Acadie, dans le nord de la ville. Là-bas, «on a dû déménager des gens, on a payé le déménagement, trois mois de loyer, et les gens sont de retour». C'est ce qui devra être fait aussi aux Habitations Jeanne-Mance, en un chantier qui s'étendra sur plusieurs années.
  25. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201502/12/01-4843501-souffler-la-neige-pour-economiser-a-montreal.php Publié le 12 février 2015 à 08h08 | Mis à jour à 08h08 La Ville de Montréal a l'intention de souffler davantage de neige sur les terrains, dans certains quartiers, au lieu de l'enlever. Pierre-André NormandinPIERRE-ANDRÉ NORMANDIN La Presse Les Montréalais devront bientôt apprendre à vivre avec de gros bancs de neige devant leur résidence. La métropole compte souffler davantage la neige sur les terrains plutôt que de la charger systématiquement, une opération beaucoup moins coûteuse. Alors que plusieurs attendaient hier la nouvelle politique de déneigement qui doit uniformiser les pratiques des 19 arrondissements, la Ville de Montréal a finalement indiqué qu'elle comptait plutôt la présenter en avril, soit après la fin de l'hiver. L'administration a toutefois présenté un bilan des actions entreprises dans la foulée du rapport du contrôleur général sur les ratés du déneigement en début d'année. Des changements importants sont à prévoir l'hiver prochain. Montréal souffle la neige dans un peu moins de 10% de ses rues, soit 400 des 4100 km. Cette situation devrait bientôt changer, parce que la métropole en est à «identifier les terrains sur lesquels il est possible de souffler de la neige». D'ici l'automne, la métropole compte ainsi indiquer les zones où le soufflage sera privilégié par rapport au chargement de la neige. «C'est sûr que si on va dans le centre-ville, ce n'est pas évident. Mais si on pense à Pierrefonds, à LaSalle, à Montréal-Nord ou à Pointe-aux-Trembles, il y a des endroits où on pourrait souffler», a dit le maire Denis Coderre. Miser sur le soufflage pourrait permettre de réduire considérablement les coûts du déneigement à Montréal. La métropole dit d'ailleurs s'inspirer de la Ville de Québec, dont la facture de déneigement est beaucoup moins élevée. La capitale souffle en effet la neige sur le terrain de ses citoyens dans une importante partie de son territoire, notamment dans les anciennes villes de banlieue fusionnées en 2001. Il en coûte ainsi environ 10 800$ pour déneiger un kilomètre de voie à Québec par hiver, contre 17 800$ à Montréal. À Laval, où l'on charge la neige dans seulement 52% des rues, la facture est de 8500$ par kilomètre. Des obstacles au soufflage Souffler davantage est plus facile à dire qu'à faire, prévient le maire de l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie, François Croteau. Son administration a déjà évalué ce scénario pour réduire les coûts de déneigement, mais la découverte de plusieurs obstacles majeurs a mené à l'abandon de l'idée. D'abord, le soufflage compliquerait l'entretien des trottoirs, qui seraient couverts de neige après le passage des souffleuses. «Il faudrait alors repasser la chenillette. Ça deviendrait kafkaïen», dit M. Croteau. Autre problème: l'utilisation massive de sel dans les rues de Montréal risque de mettre à mal les rares espaces verts de la métropole, selon l'élu. «Ça va brûler le gazon des résidences et des parcs. Ça pourrait même nuire à la croissance des arbres. Ça pose un problème environnemental.» Cette réflexion sur le soufflage survient alors que l'hiver s'annonce particulièrement coûteux pour Montréal, la Ville envisageant déjà d'avoir à piger dans ses réserves. Alors qu'on est à peine au milieu du mois de février, la métropole Montréal a déjà procédé à quatre chargements de neige. Or, le budget de 155,7 millions est prévu pour cinq opérations. Le maire assure que son administration ne laissera pas les arrondissements seuls avec la facture, eux qui sont responsable du déneigement. «Quand on parle d'avoir une politique unique de déneigement, il y a les budgets qui viennent avec. Cette politique, ce n'est pas de laisser les arrondissements à eux-mêmes.» Encore le Plateau Quand vient le temps de justifier la politique neige que Denis Coderre compte imposer aux 19 arrondissements, le nom du Plateau-Mont-Royal n'est jamais bien loin. «Certains arrondissements peuvent faire à leur tête, mais ce n'est pas une question de juridiction, mais de qualité de service», a martelé le maire, hier. Il n'a d'ailleurs pas caché son mécontentement de voir que le Plateau ne menait pas d'opération de chargement de la neige après la tempête qui a balayé Montréal dimanche. «Regardez les bancs de neige. Il y a un problème», s'est-il désolé. L'administration du Plateau réplique qu'elle a chargé la neige la semaine dernière et que les 9 cm tombés dimanche ne justifient pas le déclenchement d'une nouvelle opération. «Nous avons décidé d'attendre les prochaines précipitations prévues ces jours-ci, avant de prendre une décision sur un nouveau chargement», a indiqué Catherine Piazzon, porte-parole de l'arrondissement.
×
×
  • Créer...