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  1. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201602/03/01-4946661-le-geant-americain-lowes-acquiert-rona-pour-32-milliards.php (Mooresville, Caroline du Nord) Près de quatre ans après l'échec d'une première tentative pour acquérir le quincailler Rona, le géant américain de la rénovation Lowe's est finalement parvenu à ses fins. Les deux entreprises ont annoncé mercredi la conclusion d'une entente définitive qui fera passer le fleuron québécois de la rénovation sous contrôle étranger en échange d'une somme de 3,2 milliards de dollars en espèces. Cette transaction a été approuvée à l'unanimité par les conseils d'administration des deux sociétés. Le détaillant américain offre 24$ par action ordinaire de Rona, ce qui représente une prime de 104 pour cent par rapport au cours de clôture du titre de l'entreprise québécoise, mardi, à la Bourse de Toronto.  «Nous croyons que le moment est venu de franchir cette nouvelle étape», a commenté le président du conseil de Rona, Robert Chevrier, par voie de communiqué. Lowe's - qui compte 1840 magasins en Amérique du Nord - s'est engagé à établir le siège social de ses activités canadiennes à Boucherville, en plus de maintenir les bannières exploitées par l'entreprise québécoise. Le numéro deux de la rénovation aux États-Unis dit également avoir l'intention de conserver «la vaste majorité» des employés actuels de Rona en plus de maintenir en postes des «hauts dirigeants clés». Le réseau de Rona compte près de 500 établissements corporatifs et magasins affiliés indépendants. Le quincailler québécois compte plus de 17 000 employés dans ses magasins corporatifs et plus de 5000 autres répartis dans ses établissements indépendants. Ce regroupement représentera la plus importante chaîne de rénovation résidentielle au détail du pays, avec des revenus estimés à 5,6 milliards $ pour l'exercice 2015. «La transaction devrait accélérer la mise en oeuvre de la stratégie de croissance de Lowe's en intensifiant de manière importante notre présence sur le marché canadien grâce à l'ajout des activités attrayantes de Rona», a estimé le président et chef de la direction de Lowe's, Robert Niblock. Celui-ci a ajouté que Lowe's, présente en Ontario et ailleurs au Canada, pourra percer le marché québécois - le deuxième en importance au pays - principalement occupé par Rona. En octobre dernier, le détaillant américain s'apprêtait à rencontrer des fournisseurs québécois, ce qui avait alimenté les rumeurs voulant que la chaîne spécialisée soit en train de préparer son entrée au Québec. Lowe's avait présenté une offre amicale de 1,76 milliard de dollars pour mettre la main sur Rona en 2012, mais cette approche avait suscité une levée de boucliers, notamment de la part du gouvernement du Québec. La Caisse approuve La Caisse de dépôt et placement du Québec, le plus important actionnaire de Rona, avec une participation de 17%, a approuvé la transaction mercredi matin. Par voie de communiqué, l'institution annonce qu'elle*déposera ses actions dans le cadre de l'offre faite par Lowe's. «Dans l'ensemble, la Caisse estime que la transaction mènera au maintien ou à la croissance de l'activité économique générée par les bannières de Rona au Québec.» La Caisse appuie sa décision sur «la recommandation unanime du conseil d'administration de Rona en faveur de cette offre, la prime de 105*% par rapport à la valeur moyenne de l'action à la Bourse de*Toronto*dans les 30 derniers jours, les responsabilités de la Caisse envers ses déposants et les engagements pris par Lowe's quant à sa présence au Québec et au*Canada».
  2. La chaîne de dépanneurs Alimentation Couche-Tard (ATD.B) a reconnu lundi que sa volonté d'accroître sa présence aux États-Unis pourrait se réaliser par l'acquisition de certaines des 2000 stations-service dont Shell prévoit se départir au cours des prochaines années. «Nous sommes toujours intéressés par n'importe quel actif disponible aux États-Unis pouvant s'intégrer dans notre réseau déjà existant», a indiqué le directeur financier de l'entreprise, Richard Fortin. «Si Shell est vraiment intéressée à vendre certains actifs et nous les offre, nous pourrions être intéressés.» M. Fortin a ajouté que plusieurs publications avaient rapporté que Shell, le troisième plus important exploitant de stations-service et de dépanneurs aux Etats-Unis, voulait se départir de certains de ses éléments situés dans des marchés importants. Jessy Hayem, de Valeurs mobilières Desjardins, a indiqué dans une note de recherche que Couche-Tard entretenait une relation solide avec Shell et occupait une position favorable afin de faire une offre pour certains des actifs de la société pétrolière. Selon elle, l'entreprise pourrait s'intéresser à des stations situées dans des marchés de Houston, Dallas, Portland et Sacramento. Shell entend compléter la vente d'ici au troisième trimestre de 2009. M. Fortin a affirmé n'avoir reçu aucune nouvelle de Shell à propos des ventes projetées et ne peut dire si son entreprise a l'intention de présenter une offre dès la première occasion. Il a ajouté que sa stratégie était d'ajouter des stations dans des marchés où son entreprise est déjà présente. «Nous n'achèterons pas 50 stations-service qui seraient perdues dans des marchés où nous sommes inexistants», a-t-il dit. Alimentation Couche-Tard, dont le siège est à Laval, a fait l'acquisition de 286 points de vente de Shell dans le cadre de trois différentes transactions, en 2004 et 2006. La chaîne prévoit acheter 250 magasins durant l'exercice fiscal 2008, un chiffre largement inférieur à celui des 413 acquisitions effectuées en 2007, l'entreprise préférant concentrer son attention sur l'intégration des quelque 200 magasins acquis de Shell en décembre dernier. M. Fortin a indiqué que son entreprise pouvait utiliser ses marges de crédit et des excédents de trésorerie pour faire des acquisitions.
  3. Un milliard investi à Brossard d'ici deux ans Le Quartier DIX30 amorce sa troisième phase, avec 200 millions pour accueillir 80 magasins de plus. 12 juin 2008 - 06h00 La Presse Laurier Cloutier Malgré le ralentissement économique et les prix fous à la pompe, les investissements immobiliers se multiplient à Brossard, en particulier au Quartier DIX30 et dans la relance du boulevard Taschereau. L'Association des gens d'affaires de Brossard prévoit que les investissements immobiliers (résidentiel, commercial, industriel) «dépasseront facilement le milliard de dollars d'ici décembre 2010», souligne le vice-président aux communications, Jean-Luc Saint-Martin. «C'est une période assez faste.» Le maire de Brossard, Jean-Marc Pelletier, traitera d'ailleurs de cette vague d'investissements et du «pouvoir d'attraction immobilier» de la ville au cours du prochain Souper trimestriel des décideurs, la semaine prochaine. Ça roule «assez fort» à Brossard, ajoute l'économiste principal de la Commission de la construction du Québec, Louis Delagrave, qui fera ses prévisions, durant la rencontre, et décrira les avantages de la ville par rapport à d'autres. «Dans le résidentiel seulement, ça tourne autour de 300 millions» et les investissements au Quartier DIX30 et par le Groupe F. Catania contribuent largement au développement, dit-il. Catania a des projets de 1,3 milliard, dont 40 millions pour les 200 000 pieds carrés de bureaux de la Tour Catania, souligne le maire Pelletier. «On a investi plus à Brossard l'an dernier que dans toute l'agglomération de Longueuil», renchérit M. Saint-Martin. Avec 274 millions, Brossard a récolté 89% de toute la construction commerciale de l'agglomération de Longueuil et 48% de la résidentielle, ajoute Jean-Marc Pelletier. «Brossard a connu une année exceptionnelle et la ville en a encore pour trois ou quatre autres bonnes», dit M. Saint-Martin. Le Quartier DIX30 amorce sa troisième phase, avec 200 millions pour accueillir 80 magasins de plus, déclare de son côté le directeur de la location, Éric Foster. Cela se compare aux 600 millions des deux premières phases, avec 200 magasins, dit-il. Une nouvelle bretelle de l'autoroute 10 donnera bientôt accès au DIX30, en plus de celle de l'autoroute 30, note-t-il. La quatrième phase ajoutera 300 millions, renchérit le maire Pelletier. «C'est majeur, on va presque doubler le DIX30.» Par contre, Brossard n'a plus que 8% de son territoire pour la construction, dont le tiers est zoné agricole. Et le maire veut un jour «finir par divorcer avec Longueuil, pour cesser de se faire parachuter ses dettes». Ex-Rona Vendredi dernier, par ailleurs, le propriétaire majoritaire de l'ex-Rona L'Entrepôt du boulevard Taschereau, André H. Gagnon, a accepté l'offre d'achat du Groupe Mach, de Montréal. «L'immeuble de 115 000 pieds carrés payé 12,5 millions sera converti en centre commercial d'une dizaine de magasins après des travaux de 4 à 6 millions», précise Vincent Chiara, président du Groupe Mach. «On récupère ainsi l'investissement sur le terrain et l'immeuble», dit André H. Gagnon, qui a déménagé ce Rona au Quartier DIX30 l'automne dernier. Vincent Chiara a «déjà signé des baux avec quelques chaînes», dont pour un supermarché IGA de 50 000 pieds carrés. Mach «est par ailleurs sur le point de conclure une entente avec Jean Coutu, pour 15 000 pieds carrés», précise-t-il. Le restaurant La Popessa, Subway et quelques autres restos-minute ont aussi signé des baux, ajoute le président qui a également attiré des professionnels, dont des dentistes. Le Groupe Mach doit par contre réaliser «beaucoup de travaux avant l'ouverture d'une partie de ces commerces d'ici décembre». Par ailleurs, un nouveau concept de Zellers va s'implanter dans les locaux de l'ex-Wal-Mart de Place Portobello, boulevard Taschereau, confirme le vice-président à l'exploitation de Cogir, Marcel Toupin. Zellers va commencer bientôt à réaménager tous les locaux de 128 000 pieds carrés de l'ex-Wal-Mart (déménagé au Quartier DIX30), avant d'ouvrir le 15 novembre prochain, indique-t-il. Quant à Ivanhoé Cambridge, elle entend miser au moins 10 millions sur la rénovation du Mail Champlain, boulevard Taschereau.
  4. La société Daly et Morin est fondée en 1896 par William Joseph Daly et Albert Morin. Ils reprennent le fonds de commerce d'un quincaillier et d'un fabricant de peintures résistantes au feu. L'entreprise se situe à Montréal, sur la place Jacques-Cartier. Les associés réorientent les affaires de la société et se concentrent sur le commerce de gros et la manufacture de stores, de draperies, de pôles, de tringles et de la quincaillerie nécessaire à l'installation de ces produits. En 1902, ils déménagent leurs locaux sur la rue Saint-Sulpice et installent leur manufacture à Lachine (Montréal) quatre ans plus tard. En 1910, les bureaux de vente sont relogés dans les magasins de l'Hôtel-Dieu et en 1927, les entrepôts se situent tous à Lachine. À la veille de la crise de 1929, la compagnie affiche un chiffre d'affaires d'un million de dollars. Elle fournit plusieurs magasins, dont Morgan's, et est présente dans plusieurs régions du Canada. Son principal concurrent est une entreprise de la région de Chicago, aux États-Unis. Les bureaux de vente demeurent dans le Vieux-Montréal jusqu'en 1930, ils sont ensuite déménagés à Lachine. L'usine cesse ses activités en 1975. http://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=13134&type=pge#.Vwp2gnrApDQ
  5. Ju HG

    Beer Gardens Montréal

    J'ai réalisé à quel point il nous manquait à Montréal, des terrasses urbaines permanentes où il fait bon boire un café ou une bonne bière. Il s'agit d'intégrer les parcs et les squares avec une activité urbaine, où on peut relaxer autour d'un verre et profiter d'un après-midi ensoleillé. Il s'agirait d'avoir davantage de terrasses urbaines comme celle dans le parc Émilie Gamelin (temporaire) avec un bar extérieur. Il s'agirait de profiter davantage de l'environnement urbain, et de l'ambiance d'une ville ouverte sur les autres. Ce type d'endroit rajouterait à l'unicité de la ville en plus d'offrir à ses habitants, des terrasses magnifiques qui incitent les gens non plus uniquement à courir les magasins en vitesse, mais bien à relaxer et prendre le temps de discuter, de pavoiser. Je vous présente donc l'idée des ''Beer Gardens'' de toute grandeur. Voici l'exemple de Berlin. https://www.google.ca/maps/uv?hl=fr&pb=!1s0x47a851ff1dec4b0f:0x7199f1fd1c97a3eb!2m5!2m2!1i80!2i80!3m1!2i100!3m1!7e1!4shttps://plus.google.com/109554869451721320911/photos?hl%3Dfr%26socfid%3Dweb:lu:kp:placepageimage%26socpid%3D1!5sBeergarden+berlin+-+Recherche+Google&sa=X&ved=0CJMBEKIqMAtqFQoTCInM4qH13cYCFcirHgodJnIISQ https://www.google.ca/search?q=biergarten+berlin&biw=1366&bih=643&source=lnms&tbm=isch&sa=X&sqi=2&ved=0CAcQ_AUoAmoVChMI4bLAsvXdxgIVybgeCh0Ujg4K&dpr=1#imgrc=8p2ov3xrDWMqKM%3A https://www.google.ca/search?q=biergarten+berlin&biw=1366&bih=643&source=lnms&tbm=isch&sa=X&sqi=2&ved=0CAcQ_AUoAmoVChMI4bLAsvXdxgIVybgeCh0Ujg4K&dpr=1#imgdii=8p2ov3xrDWMqKM%3A%3B8p2ov3xrDWMqKM%3A%3BhulKR5EtzWeR5M%3A&imgrc=8p2ov3xrDWMqKM%3A https://www.google.ca/search?q=biergarten+berlin&biw=1366&bih=643&source=lnms&tbm=isch&sa=X&sqi=2&ved=0CAcQ_AUoAmoVChMI4bLAsvXdxgIVybgeCh0Ujg4K&dpr=1#imgrc=Z6181KQTOxCFeM%3A https://www.google.ca/search?q=biergarten+berlin&biw=1366&bih=643&source=lnms&tbm=isch&sa=X&sqi=2&ved=0CAcQ_AUoAmoVChMI4bLAsvXdxgIVybgeCh0Ujg4K&dpr=1#imgdii=Z6181KQTOxCFeM%3A%3BZ6181KQTOxCFeM%3A%3BgrhKayqo7CYPXM%3A&imgrc=Z6181KQTOxCFeM%3A
  6. Lac Mirabel: les appels d'offres sont lancés Jean-Paul Charbonneau 11 août 2006 - 07h31L'audacieux projet Lac Mirabel franchit un important pas vers sa réalisation avec le lancement des appels d'offres pour la réalisation des plans et devis de la future sortie 28 de l'autoroute des Laurentides (15) qui lui procurera un accès direct. Les voies du viaduc qui surplombe la voie rapide à cet endroit seront doublées afin de permettre une meilleure circulation. C'est après presque deux ans de pourparlers que les municipalités de Mirabel et de Blainville et le ministère des Transports du Québec ont signé une entente tripartite sur le financement des travaux de construction de près de 12 millions de dollars qui commenceront au plus tard en avril prochain. La direction de Lac Mirabel a été consultée par la Ville de Mirabel, désignée comme maître d'oeuvre, et le MTQ. Cette décision était attendue avec impatience par les promoteurs de ce mégaprojet unique qui nécessitera des investissements de l'ordre de 425 millions de dollars. Lac Mirabel, qui devrait être terminé en 2008, a déjà loué la très grande majorité de ses locaux commerciaux. Cette nouvelle sortie et ses bretelles d'accès aideront également au développement des deux municipalités. Du côté de Mirabel, l'administration municipale compte agrandir le parc industriel. «Notre parc industriel actuel est rempli, il est urgent de procéder à un agrandissement afin de poursuivre notre développement. La demande est très forte», a mentionné le maire de cette municipalité, Hubert Meilleur. À Blainville, l'aménagement décongestionnera la sortie 25 en plus de favoriser le développement dans la partie nord de la ville de 47 000 habitants. «Notre parc industriel va profiter également de ce futur aménagement. Il était temps qu'une entente intervienne pour les deux municipalités», a indiqué le directeur général de Blainville, Paul Allard. Lors de l'entretien, M. Meilleur a déclaré que le projet Lac Mirabel n'entre aucunement en compétition avec le Faubourg Boisbriand (ancien site de General Motors) présentement en construction au carrefour des autoroutes 15 et 640, le centre commercial Place Rosemère et la série de magasins que l'on retrouve le long de la 15 à Saint-Jérôme; bien que le tout se trouve dans un rayon d'une vingtaine de kilomètres. De plus, il existe un vaste projet pour le site de l'ex-aéroport de Mirabel qui comportera notamment des glissades d'eau d'un nouveau type. ----------------------------------------- The Lac Mirabel development, which will encompass more than 14 million square-feet and include 2.2 million square-feet of retail space. Le projet lac mirabel sera le plus gros en terme de superficie, mais pas le plus gros en terme d'espaces à louer. Source: deuxième communiqué posté sur ce fil. Le super centre d'achats de Dubaï aura 9.6 millions de pieds carrés de locatif pour magasins sur un terrain de 12.1 millions de pieds carrés. De loin le plus gros en terme d'espaces à louer. Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Dubai_Mall Les chiffres indiqués ici représentes les espaces à louer et non la superficie totale.
  7. Au Québec Loblaw investit près de 100 millions $ Agence QMI 09/04/2013 11h42 BRAMPTON, Ontario – L’épicier Loblaw a annoncé des investissements de près de 100 millions $ au Québec pour revamper des magasins sous les bannières Provigo, Loblaws, Maxi et Maxi & Cie. Ces investissements vont se traduire par la création d’une centaine d’emplois permanents dans le réseau québécois du géant canadien de l'alimentation. Loblaw entend créer un nouveau concept de magasins Provigo et Loblaws dans différentes régions du Québec. En plus d’un nouveau magasin Provigo à Sherbrooke, les magasins Provigo Prieur (Ahuntsic) et de Boucherville seront rénovés, de même que les Loblaws de Magog, Saint-Bruno et Saint-Sauveur. Par ailleurs, le magasin Loblaw de Kirkland deviendra le magasin phare représentant le nouveau modèle de magasin conventionnel de l’entreprise au Québec. Plusieurs magasins exploités sous les bannières Maxi et Maxi & Cie seront réaménagés et feront l'objet d'ajouts d'équipements. Selon Pierre Dandoy, vice-président principal, Exploitation, Provigo et Loblaws, les équipes de Loblaw ont parcouru plusieurs continents «pour y identifier les meilleures pratiques et proposer l'expérience la plus riche qui soit en magasin». «Les Québécois aiment cuisiner et se réunir en famille ou entre amis autour d'une bonne table et d'aliments frais de qualité supérieure provenant de chez nous, a-t-il dit. Ces importantes considérations sont au cœur même de notre nouveau concept de magasins et de l'offre de produits qu'on y retrouvera.» Loblaw s’attend à ce qu’une centaine de travailleurs de la construction soient embauchés pour réaliser les travaux.
  8. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/personnalites-la-presse/201207/30/01-4560554-dax-dasilva.php
  9. Opération m0851 en Chine. La chaîne m0851 pourrait compter 12 magasins en Chine d'ici trois ans. Cet envol asiatique pour la maroquinerie montréalaise se traduit par un investissement initial de 2 à 3 millions de dollars et par un chiffre d'affaires espéré d'un million par magasin. «Cette expansion arrive après un test qu'on a fait l'an dernier à Pékin dans un centre commercial pendant 21 jours avec d'autres Canadiens, raconte Frédéric Mamarbachi, fondateur et créateur de m0851. On a fait des ventes de loin plus élevées qu'espérées. Quatre fois plus élevées, en fait. Avant, on se disait: on arrivera peut-être en Chine dans dix ans... quand les Chinois ne voudront plus de diamants! Mais on a constaté qu'on a une marque qui peut plaire aux nouveaux riches. Les Chinois sont à l'étape de dépenser. On ne voit même pas ça à New York.» «Il y a de la place pour nous, car il y a une clientèle qui veut du simple et du fonctionnel», ajoute Faye Mamarbachi, directrice marketing de m0851. m0851 a déjà deux magasins au Japon (Tokyo et Osaka). L'entreprise prévoit, grâce à l'aide d'une agence (Lapine), ouvrir neuf franchises au pays du Soleil levant. «On opère de la sorte au Japon, car la culture sous-entend qu'il faut être Japonais pour réussir, note Frédéric Mamarbachi. En Chine, c'est différent. On va envoyer notre monde. On dessine nous-mêmes nos magasins. L'opération m0851 en Chine va probablement être plus grande que notre développement ici. On met le paquet là-bas. On peut y bâtir et exploiter les magasins au tiers du prix d'ailleurs. Et on peut vendre 50% plus cher.» En 2012, les exportations représentent 80% du chiffre d'affaires de m0851. Le pourcentage pourrait s'accroître, car l'entreprise planifie aussi une expansion notable aux États-Unis (12 magasins également) sous peu, ainsi que l'ouverture d'une deuxième boutique à Paris, dans deux semaines. La Chine, c'est un peu le cadeau que se paie m0851 pour ses 25 ans. Si l'expansion est plus que jamais dans sa mire, l'entreprise place aussi ses billes à Montréal où des défis l'attendent, notamment dans ses bureaux de 15 000 pieds carrés, où oeuvrent une cinquantaine d'employés. Il faudra en effet, à moyen terme, modifier la façon de confectionner les articles griffés m0851. Car les artisans commencent à avoir «des moustaches blanches» et le métier (couture, coupe, assemblage) se perd... «On a 10 ans de transformation devant nous, estime Frédéric Mamarbachi. C'est confortable. Mais les choses qui ne sont pas enseignables sont remplaçables par des machines et des ingénieurs de production.» Un exemple? Depuis huit mois, m0581 coupe les pièces de cuir grâce à une machine à couteaux d'une valeur de 500 000$ importée d'Italie et manipulée par un opérateur plutôt que par un artisan coupeur. «Un matricule» Reconnu pour ses manteaux et sacs en cuir, m0851 est d'abord une entreprise fondée par un homme, arrivé à Montréal il y a 42 ans, qui a toujours voulu agir en retrait des courants. Qui dessine ses propres magasins et leur mobilier, entre autres. «Pour respecter l'identité de la marque, dit Frédéric Mamarbachi. On met une personnalité dans un produit. Notre magasin du le boulevard Saint-Laurent n'a pas été touché depuis 23 ans. On n'ose pas. La majorité des magasins qui existent sont très design et sont dépassés après trois ans!» Le nom de l'entreprise, qui s'est d'abord appelée Rugby, est aussi en accord avec la philosophie de la boîte. «Un matricule», résument Faye et Frédéric Mamarbachi. «C'était il y a 15 ans et il fallait changer de nom quand est arrivée l'internationalisation, ajoute le fondateur. Car c'était le nom d'un sport. On ne voulait pas traîner un nom qui allait nous coûter cher. On a adopté un matricule [la première lettre du nom de famille, l'année et le mois de naissance de Frédéric Mamarbachi]. L'année qu'on a changé, on a mis d'autres couleurs en magasin. Et cette année-là, on a eu une augmentation de 28% du chiffre d'affaires.» http://affaires.lapresse.ca/pme/201207/16/01-4543881-operation-m0851-en-chine.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS2
  10. La Presse Canadienne . les affaires.com . 14-06-2012 (modifié le 14-06-2012 à 11:57) Québec solidaire a déposé jeudi, à l'Assemblée nationale, une pétition portant 3330 signatures qui vise à protéger les employés des magasins Zellers, la chaîne dont plusieurs magasins porteront bientôt la bannière Target. L'acquisition de plus de 35 magasins Zellers au Québec par la chaîne américaine Target pourrait causer la perte de plus de 5000 emplois en 2012, très majoritairement occupés par des femmes. Target prétend n'avoir aucune obligation de respecter l'ancienneté, les salaires et les avantages sociaux des anciens employés de Zellers, ou de les reprendre à son emploi. Le député de Québec solidaire, Amir Khadir, croit que Target contourne l'article 96 de la Loi sur les normes du travail du Québec qui protège les salariés lorsque les entreprises qui les emploient changent de propriétaire. Il reproche à Target d'affirmer que sa reprise des magasins Zellers ne serait en fait qu'une transaction immobilière. Il réclame donc l'intervention de la ministre du Travail, Lise Thériault. Avec des affaires comme ca, ne venez pas me dire qu'on est a droite au Quebec...
  11. Les panneaux sont installés sur le terrain, début de la construction de la phase 4 prévue pour cet automne Incluant: le grand magasin Ogilvy, un 2e hotel, des bureaux, des commerces/restaurants, clinique médicale.. C'est sur le terrain entre le wal-mart et le cinéma. Également annoncés, de nouveaux grands magasins (best buy, germain larivière, Avril Supermarché), encore plus de restos (five guys burger, un autre restaurant asiatique entre autres) sur les terrains avoisinants
  12. Un complexe de 400 boutiques imaginé à l’aérogare de Mirabel Un promoteur italien souhaite implanter un complexe de 400 magasins à l’ancienne aérogare de Mirabel, dans les Laurentides. Un promoteur italien souhaite implanter un complexe de 400 magasins à l’ancienne aérogare de Mirabel, dans les Laurentides. Grandprixone, une entreprise italienne qui se spécialise dans l’implantation de commerces de type « factory outlet », serait en pourparlers avec Aéroports de Montréal (ADM) depuis près d’un an déjà. D’ailleurs, un de ses dirigeants avait dévoilé les grandes lignes du projet le printemps dernier à un magazine italien, information qui n’avait toutefois pas été reprise au Québec. Grandprixone chercherait à implanter ses complexes à proximité de circuits de course automobile dans le monde, apprend-on. Dans le cas présent, on pense à la piste Gilles-Villeneuve à Montréal, mais également au circuit ICAR sur le tarmac de l’aéroport de Mirabel. Sur trois étages L’aérogare, qui offre environ 64 000 mètres carrés d’espaces, serait considérablement transformée pour accueillir des commerces et des activités récréotouristiques sur trois étages. Le niveau inférieur serait consacré au marché de l’automobile, le rez-de-chaussée abriterait des magasins d’usines de grandes marques dans le domaine de la mode, tandis que, sur la mezzanine, on trouverait des boutiques d’alimentation et des restaurants. L’ampleur de l’investissement n’est pas précisée. ADM n’a pas confirmé ces informations. Le directeur du Centre local de développement (CLD) de Mirabel, Jean-Luc Riopel, a dit ne pas en savoir beaucoup plus lui-même. « On ne les a jamais rencontrés », a-t-il indiqué en parlant des promoteurs, confirmant que ceux-ci ont pour l’instant limité leurs démarches à la compagnie aéroportuaire. Grandprixone ne serait pas la seule entreprise à avoir présenté de nouvelles propositions pour l’aérogare, mais elle jouirait d’une entente prioritaire avec ADM. « Ça semble des gens sérieux qui, jusqu’à présent, ont livré la marchandise », a ajouté M. Riopel, évoquant diverses études préalables. Prudence Le directeur du CLD est resté prudent et n’a pas caché pas avoir été échaudé dans le passé par de tels projets de grande envergure. Ce fut le cas avec le complexe récréotouristique Rêveport à l’aérogare et avec le méga centre commercial Lac Mirabel. « Ça fait dix ans qu’on travaille sur la nouvelle vocation de l’aérogare », a rappelé Jean-Luc Riopel. Le projet de Grandprixone émerge au même moment où un groupe d’investisseurs locaux, la famille Delorme-Robitaille, prépare la relance de l’ancien hôtel de l’aéroport, ainsi que la construction d’un centre de congrès et de deux patinoires intérieures sur le même site.
  13. Depuis 2005, plus de 238 M$ de permis émis au Quartier DIX30 Alexandre Lampron Actualités - Publié le 1 avril 2010 à 09:00 EXCLUSIF. La valeur des permis émis au Quartier DIX30, depuis 2005, par le conseil municipal de Brossard, a un effet direct sur l’économie locale mais aussi sur celle de la Rive-Sud dans son ensemble. Les chiffres obtenus en exclusivité par le Brossard Éclair démontrent que près de 238 M$ de permis ont été émis seulement pour le Quartier DIX30 entre 2005 et 2009. Ces données n’incluent cependant pas les permis de 2010, mais il est fort à parier que la valeur des permis a continué de croître. Plus des trois quarts de ce montant (185 M$) constituent exclusivement des permis autorisant de nouvelles constructions sur le site. «Le Quartier DIX30 est un pôle majeur pour les investissements sur le territoire de Brossard. Il s’agit d’un projet de développement exceptionnel, dont le rayonnement dépasse largement les frontières de Brossard», fait savoir le maire Paul Leduc. Une offre commerciale enviable «Avec les facilités que nous ne pouvons pas nécessairement retrouver dans les autres salles de spectacle, dont les services de stationnement souterrains et les restaurants, le Quartier DIX30 possède des moteurs fantastiques », avait indiqué le président de Devimco, Serge Goulet, en novembre dernier, au Brossard Éclair. Une analyse des totaux démontre que 2006 et 2007 ont représenté les années les plus importantes avec la livraison de permis respectivement évalués à une valeur de 73,6 et 102,9 M$. Le contexte économique a ensuite frappé durement puisque la valeur des permis a chuté à 22,1 M$ en 2008 et 7,8 M$ l’année suivante. Avec une offre de services commerciale enviable qui totalisera 500 commerces d’ici peu érigés sur plus de 288 300 mètres carrés, le Quartier DIX30 souhaite devenir, à terme, l’un des plus gros centres commerciaux au Canada. Le Groupe Maurice Parmi les projets en émergence dans ce secteur, le Groupe Maurice, spécialisé en habitations pour les personnes âgées, a débuté, l’automne dernier, la construction de son quinzième complexe sur un terrain du boulevard Leduc. D’une superficie de 27 400 mètres carrés, le nouvel immeuble nécessitera en tout un investissement de 35 M$. «Nous répondons aux échéances et aux coûts prévus , mentionne la conseillère en marketing du Groupe Maurice, Julie Crevier. Dès le départ, Brossard a été jugée appropriée pour un projet de cette ampleur car notre clientèle sera située à deux pas de services diversifiés et dans un milieu de vie moderne et chaleureux.» L’Avantage offrira 90 condos services en achat et 230 appartements services en location, de modèles et de superficies variant entre 700 et 1200 mètres carrés. Ses premiers résidents seront accueillis au début de juin 2011. Les magasins Avril Les magasins Avril Supermarché Santé prévoient aussi ouvrir leur troisième succursale au Quartier DIX30 pour un investissement prévu de 6 M$. La construction du bâtiment indépendant d’environ 2000 mètres carrés, à proximité du Centre d’entraînement du Canadien, débutera le mois prochain en vue d’une ouverture en octobre 2010. «Nous avions pensé au Quartier DIX30 quand nous avons ouvert à Longueuil, en 2007, mais nous jugions que l’engouement pour le secteur n’était pas encore assez présent. Aujourd’hui, nous pouvons dire que l’achalandage est là», mentionne la propriétaire des magasins Avril, Sylvie Senay. Cité DIX30 Enfin, le Groupe Cholette débutera sous peu la construction de la Cité DIX30, un concept d’habitation de condominiums contemporains de 60 à 120 mètres carrés, ainsi qu’un projet de maisons urbaines sur un ou deux étages. Selon les informations obtenues par le Brossard Éclair, il s’agirait en tout d’un projet en trois phases, mais le Groupe Cholette n’avait pas rappelé le journal pour les confirmer. Ce nouveau projet de plusieurs millions de dollars serait situé à l’angle des boul. Rome et du Quartier.
  14. On avait déjà discuté de cela il y a longtemps et il y avait de l'opposition et Cdn Tire menaçait d'aller construire en Ontario et puis plus rien... jusqu'à aujourd'hui où l'on a cette bonne nouvelle : ----------- 900 emplois créés Canadian Tire inaugure son nouveau centre de distribution 16 juin 2009 - 11h35 LA PRESSE CANADIENNE Une rare bonne nouvelle en ces temps de crise économique: Canadian Tire (CTC) et Systèmes de distribution Genco ont officiellement inauguré mardi un centre de distribution de 1,5 million de pieds carrés qui emploiera 600 personnes à temps plein et 300 autres à temps partiel, à Coteau-du-Lac, en Montérégie. Le premier ministre Jean Charest participait à l'annonce. Ce centre de distribution représente un investissement de 240 millions $ dont la construction a fourni du travail à 900 ouvriers. L'installation pourra traiter jusqu'à 55 millions de pieds cubes de marchandise par année et desservira les magasins Canadian Tire situés au Québec, en Ontario et dans les provinces de l'Atlantique. Le Québec à lui seul compte 94 magasins Canadian Tire employant plus de 10 000 personnes.
  15. Crédit d'impôt à la rénovation Ikea et Lowe’s entendent consolider leur présence au Canada 3 février 2009 - 14h47 Argent et Presse Canadienne Lowe’s et Ikea vont de l’avant avec leur plan pour consolider leur présence au Canada, quelques jours après le dépôt du budget fédéral qui prévoit des crédits d’impôt à la rénovation. Le géant suédois de l’ameublement et de la décoration intérieure a indiqué mardi qu’il prévoyait une expansion à Winnipeg et à Ottawa et que des magasins d’autres villes canadiennes verraient leur salle de montre revampée. Ikea n’a pas précisé combien de magasins elle entend ouvrir et rénover. «Nous croyons en la vitalité du marché canadien et nous avons toutes les indications selon lesquelles les Canadiens sont toujours intéressés à investir dans leurs foyers, notamment avec des projets comme le réaménagement de nouvelles cuisines», déclare Kerri Molinaro, présidente, IKEA Canada. Pour sa part, le détaillant américain en rénovation Lowe’s a annoncé que trois magasins seront ouverts dans la grande région de Toronto. Lowe’s est présent en sol canadien depuis un an et exploite à l’heure actuelle 11 magasins. Le Plan d’action économique du gouvernement conservateur prévoit l’octroi d’un crédit de 1350 dollars aux Canadiens qui réaliseront des projets de rénovation entre le 27 janvier 2009 et le 1er février 2010. Les projets doivent s’inscrire dans une fourche variant de 1000 à 10 000 dollars.
  16. En février Les ventes au détail sont meilleures que prévu 23 avril 2009 - 09h08 Louis-Pierre Côté Argent Les ventes au détail au Canada ont été en hausse en février, contrairement à que les économistes prévoyaient. Et le Québec a fortement contribué à cette hausse. Statistique Canada rapporte jeudi que les Canadiens ont acquis pour 33,7G$ de biens dans les magasins de détail en février, ce qui représente une hausse de 0,2% par rapport à janvier. En excluant le secteur automobile, les ventes ont progressé de 0,6%. Les données sont bien meilleures qu’attendu, alors que les économistes sondés par l’agence Bloomberg tablaient sur un recul total des ventes de 0,3% et une progression de 0,2% excluant l’automobile. La hausse de février contraste avec les importantes baisses observées en novembre et en décembre ainsi qu'à un redressement partiel en janvier. La modeste augmentation notée en février a été attribuable aux prix, a souligné l'agence fédérale, ajoutant qu'en volume, les ventes ont reculé de 0,3% en février. Les ventes se sont accrues dans cinq des huit secteurs du commerce de détail. La hausse observée en février a été principalement attribuable aux magasins de matériaux de construction et de produits extérieurs pour la maison qui ont affiché un gain de 3,0%, ainsi qu'aux magasins d'alimentation et de boissons, où la progression a été de 0,7%. Du côté des baisses, avec un recul de 1,9%, les magasins de meubles, d'accessoires de maison et d'appareils électroniques ont affiché la plus forte diminution enregistrée en février. Dans le secteur de l'automobile, les ventes ont reculé de 0,3%, principalement en raison d'une baisse de 1,6% de la valeur des ventes des concessionnaires d'automobiles neuves. Cette diminution a été partiellement compensée par la hausse des ventes dans les stations-service, qui ont progressé pour un deuxième mois d'affilée principalement en raison des prix plus élevés à la pompe. Les ventes ont augmenté dans cinq provinces, la hausse étant principalement attribuable aux augmentations observées au Québec et en Ontario, qui ont été, respectivement, de 1,1% et de 1,0%. Celles-ci ont été atténuées par des baisses en Alberta et en Colombie-Britannique, où les ventes ont reculé de 1,3%. Dans les provinces de l'Atlantique, les ventes étaient essentiellement stables, les ventes plus élevées observées à Terre-Neuve-et-Labrador ayant été atténuées par les baisses des ventes de 1,2% et de 1,4% affichées au Nouveau-Brunswick et à l'Île-du-Prince-Édouard, respectivement. avec La Presse Canadienne
  17. Est-ce une bonne ou une mauvaise nouvelle ? Bonne nouvelle, car c'est une entreprise québécoise en santé. Mais est-ce que ça veut dire que l'on paie notre épicerie trop cher ? --------------- Alimentation Metro fait bondir ses profits de 41% 23 avril 2009 - 07h42 Louis-Pierre Côté Argent La chaîne d’épiceries Metro (MRU.A) a dévoilé des profits en forte hausse au deuxième trimestre. La société montréalaise a dégagé un bénéfice de 76,3M$ ou 0,68$ par action pour une période de 12 semaines terminée le 14 mars dernier, ce qui représente une hausse de 41,3% par rapport aux profits de 54M$ ou 0,48$ par action réalisés l’année précédente. En excluant des charges non récurrentes de 1,3M$ pour supporter la conversion des supermarchés en Ontario à la bannière Metro, le bénéfice net a été de 77,2M$, en hausse de 43% par rapport à celui de 2008. Le chiffre d'affaires a augmenté de 7,5% pour atteindre 2,54G$. En excluant la baisse des ventes causée par le non-renouvellement d'un contrat d'approvisionnement avec une chaîne de dépanneurs, le chiffre d'affaires a augmenté de 8,3%. Metro a aussi enregistré une forte hausse de 7,3% des ventes des magasins comparables, soit les magasins ouverts depuis au moins un an. « La forte croissance de notre bénéfice net et de notre chiffre d'affaires au deuxième trimestre est le résultat des efforts de toutes nos équipes qui ont su mettre en place des programmes de mise en marché bien ciblés et améliorer l'efficacité de nos opérations », a commenté Eric R. La Flèche, président et chef de la direction de Metro. « Malgré la situation économique difficile, nous sommes confiants d'être bien positionnés pour poursuivre la croissance de la société ». Plus de détails à venir
  18. Le début de l'ère de la postconsommation? Publié le 31 mars 2009 à 06h42 | Mis à jour le 31 mars 2009 à 06h44 La Presse (Montréal) Avis aux détaillants qui attendent la fin de la récession pour voir les consommateurs se ruer à nouveau dans leurs magasins: ceux-ci risquent de bouder les centres commerciaux beaucoup plus longtemps que prévu. Et la crise économique n'est que la pointe de l'iceberg qui s'apprête à frapper de plein fouet le commerce de détail. C'est en tout cas ce que prédit Dan Stanek, vice-président exécutif de la firme de recherche en commerce de détail TNS Retail Forward. Cet homme, qui possède 25 ans d'expérience en marketing et qui a conseillé des clients de la trempe de Wal-Mart et Toys-R-Us, va même jusqu'à prédire que la crise économique ne fera qu'accélérer notre entrée dans «l'ère de la postconsommation». «Les consommateurs ne font pas que réagir à la crise, a expliqué hier M. Stanek devant une assemblée de commerçants qui voient les clients délaisser leurs magasins. Ils sont en train de renforcer un nouveau modèle de consommation qui s'installe depuis quelques années.» Son allocution, prononcée dans le cadre du Congrès annuel du commerce de détail québécois, visait à démontrer que l'époque où les Occidentaux étalaient leur richesse en consommant tout et n'importe quoi est en train de prendre fin. «La surconsommation n'est plus un signe de succès. Les gens rient de la surconsommation», a dit le conférencier en montrant quelques sites web qui se moquent du consumérisme. Et cette idée de «dépenser moins et vivre mieux» dépasse largement le cercle des anticapitalistes purs et durs. M. Stanek observe que même les plus fortunés sont en train de changer leurs habitudes. «L'idée n'est plus d'en mettre plein la vue avec le luxe et les marques connues», dit-il. Selon lui, la volonté de réduire sa consommation s'allie aujourd'hui aux préoccupations environnementales pour former un «alliage très fort». «On fait rimer économie et écologie. On n'est pas seulement en train de sauver la planète. On sauve aussi de l'argent en même temps.» Mouvement accéléré Nul doute que la crise économique est en train d'accélérer le mouvement. Les consommateurs qui ont vu la valeur de leur maison dégringoler au même rythme que leurs placements n'oublieront pas de sitôt leurs mésaventures, croit M. Stanek. Mais pour lui, «les facteurs économiques ne sont que la pointe de l'iceberg». Et il est faux de croire que la tendance s'inversera aussitôt la crise passée. «Ce n'est pas quelque chose qui va disparaître, dit M. Stanek. Et ce n'est pas une bonne nouvelle pour les détaillants.» En marge de son allocution, M. Stanek a affirmé à La Presse Affaires que les détaillants canadiens pourraient être particulièrement touchés par cette nouvelle mouvance. «Chez vous, près des deux tiers du commerce de détail se fait par des détaillants indépendants. Ces gens n'ont peut-être pas les ressources pour faire face à la tempête. D'un autre côté, la récession a retardé les plans de bon nombre de détaillants américains qui voulaient étendre leurs opérations au Canada. Ça donne la chance aux détaillants canadiens de se repositionner.» Et comment, justement, se repositionner? Tout conférencier qui se respecte donne ses trucs en temps de crise pour «transformer les difficultés en opportunités». Ceux de M. Stanek: d'abord comprendre ce changement de valeurs des consommateurs, puis répondre à leur désir d'économiser et de sauver la planète. Autre filon: si les consommateurs délaissent les marques, ils recherchent aujourd'hui des produits uniques, personnalisés, qui leur ressemblent. M. Stanek a donné plusieurs exemples hier, dont Keds, un fabricant de chaussures qui permet aux clients de faire eux-mêmes le design de leurs chaussures sur internet, où la chaîne de magasins Macy's, qui adapte maintenant chaque magasin aux besoins locaux des consommateurs.
  19. Circuit City ferme un magasin sur cinq 3 novembre 2008 - 10h22 Agence France-Presse et LaPresseAffaires.com Les opérations de liquidation des magasins concernés débuteront dès cette semaine. Le distributeur américain de produits d'électronique grand public Circuit City (CC) a annoncé lundi que, face à l'effondrement de ses ventes, il allait fermer 155 de ses 721 magasins d'ici la fin de l'année. C'est plus d'un cinquième de son réseau et de 7800 postes abolis. Circuit City, principal rival au plan national du groupe Best Buy (BBY), dont le chiffre d'affaires est presque quatre fois plus important, a précisé que sa restructuration entraînerait également le licenciement d'environ 17% de ses salariés. Quelque 7800 postes devraient être ainsi supprimés. Les opérations de liquidation des magasins concernés débuteront dès cette semaine. «Depuis la fin de septembre, des événements sans précédent intervenus sur les marchés financiers et de la consommation ont entraîné une forte détérioration des tendances macroéconomiques. Le climat affaibli a entraîné un ralentissement des dépenses de consommation», a justifié le directeur général James Marcum, cité dans le texte. M. Marcum avait précédemment jugé «inacceptables» les performances de la société, marquées par une perte nette de 235,7 M$ US lors des trois mois achevés à la fin d'août et par une baisse des ventes de 13,3%. L'annonce intervient alors que le secteur de la distribution s'attend à une saison de Noël catastrophique. Habituellement, la profession réalise 22% de son chiffre d'affaires annuel pendant cette période. La semaine dernière l'agence de notation Standard and Poor's avait tablé sur une baisse de 2% à 2,5% des ventes d'électronique de Noël par rapport à l'an dernier, en expliquant que «la vente des produits chers, comme les TV à écran plat et les ordinateurs portables devrait baisser (...) Les ventes d'appareils plus petits comme les téléphones portables et les jeux vidéos devraient mieux se porter, mais seront quand même sous pression», ajoutait-elle. Le 24 octobre, l'opérateur de la Bourse de New York avait averti Circuit City qu'elle risquait la radiation d'ici six mois, la valeur de son titre étant resté inférieure à 1 $ pendant trente jours d'affilée. Le titre de Circuit City a perdu quelque 96% de sa valeur en un an. L'action gagnait toutefois 23% à 32 cents lundi matin à la Bourse de New York.
  20. Bell Canada acquiert le détaillant de produits électroniques La Source, augmentant ainsi son réseau de vente de 750 magasins. Pour en lire plus...
  21. Publié le 22 février 2009 à 07h39 | Mis à jour à 07h43 L'inquiétude ronge les commerçants Un magasin de vêtements fermé, rue Mont-Royal à Montréal. Photo: Robert Skinner, La Presse Mathieu Perreault La Presse Dany Roseman est inquiet. Le président de l'Association des commerçants de la rue Monkland a vu quelques magasins fermer leurs portes dans les derniers mois et sait que d'autres propriétaires songent à les imiter. Pour lui, c'est une évidence: la crise fait déjà mal au commerce de détail à Montréal. «Il faut agir, affirme M. Roseman. Les gens dépensent moins. Il faut les encourager. Les tarifs des parcomètres, par exemple, sont beaucoup trop élevés.» La demi-douzaine de pâtés de maison que compte la portion commerçante de la rue Monkland ne ressemble toutefois pas à la rue Sainte-Catherine au pire de la crise des années 90. Un restaurant français a fermé ses portes récemment - ses vitres sont encore propres devant le papier beige qui les bouche, et les lumières de la plate-bande sont encore allumées. Un local de sous-sol, occupé jusqu'à récemment par un boucher qui a déménagé en face dans un local plus grand, est inoccupé depuis l'automne. Le propriétaire de l'immeuble, Larry, confirme qu'il a plus de difficulté que prévu à le louer. Mais les dizaines d'autres commerces sont encore pimpants. «Il est encore trop tôt pour sauter aux conclusions», estime de son côté le président de la Société de développement de l'avenue du Mont-Royal, Michel Despatie. «Janvier et février sont toujours des mois plus tranquilles, où il y a des changements de locataires commerciaux. Et c'est difficile de faire des comparaisons avec l'année dernière, qui avait été difficile à cause des tempêtes. Ce que je vois pour le moment, c'est que les commerces qui ont une stratégie moins à jour sont plus vulnérables. Un Van Houtte a par exemple fermé: c'est un peu compréhensible face à des concurrents comme Starbucks ou Café Dépôt.» Une inspection de l'avenue du Mont-Royal, du boulevard de Lorimier jusqu'à la rue Saint-Denis, puis de cette rue vers le sud jusqu'à la rue Roy, a permis de relever une quinzaine de magasins fermés. Dans deux cas, il s'agit de magasins de vêtements bas de gamme dont l'enseigne date d'avant la loi 101. Un restaurant à l'est de Papineau est fermé temporairement, le propriétaire ayant dû vendre son commerce pour cause de maladie. L'Entrepôt du cuir, coin Papineau, annonce son remplacement imminent par une boutique Geox. Le propriétaire d'un local récemment déserté par une boutique de vêtements en liquidation, avenue du Mont-Royal, affirme avoir déjà un autre locataire. Le propriétaire de la boutique Verriers Saint-Denis, qui n'est désormais ouverte que sur rendez-vous, affirme que sa décision n'est pas basée sur des ventes en baisse. Seul le propriétaire d'un petit local en sous-sol, rue Saint-Denis, rapporte que les locations commerciales sont plus difficiles qu'au cours des dernières années. Le local est fermé depuis septembre, car le commerçant qui s'y était installé a fait une crise cardiaque. Rien d'inhabituel à signaler La Presse a consulté une demi-douzaine d'autres sociétés de développement de l'île, qui ont confirmé que leurs membres sont inquiets mais qui n'ont pas signalé un nombre inhabituel de fermetures. «Chez nous, il y a toujours une douzaine de magasins qui ferment après les Fêtes parce que c'était des centres de liquidation qui profitaient du magasinage d'avant Noël», dit Mike Parente, de la Société de développement de la plaza Saint-Hubert. M. Despatie mentionne que les baux commerciaux ont énormément grimpé ces dernières années; comme ils ne sont renouvelés qu'aux cinq ou 10 ans, certaines stratégies d'affaires deviennent du jour au lendemain déficitaires. À la chambre de commerce du Montréal métropolitain, le président Michel Leblanc rapporte des «anecdotes» de commerces qui vivent des temps plus durs: l'alimentation et les restaurants haut de gamme, les biens durables comme l'électronique ou les meubles. Mais lui aussi estime qu'il est trop tôt pour sauter aux conclusions. Néanmoins, il s'attend à ce que la croissance des ventes au détail pour le dernier trimestre, qui devait être de 0,4% selon le Conference Board, soit nulle ou carrément négative. M. Leblanc remet toutefois les choses en perspective: au troisième trimestre de 2007, les ventes au détail ont chuté de 2,7%, mais elles ont par la suite rebondi. La chambre de commerce de Laval confirme que les magasins de biens durables sont plus touchés que les autres et signale des fermetures de magasins de meubles. Les centres commerciaux affirment être bien portants. Ni Cadillac Fairview ni Ivanhoé ne rapportent d'augmentation des demandes de réduction de bail. Une brève visite aux Galeries d'Anjou permet de voir que seulement cinq locaux sur 175 sont inoccupés. Jean-François Breton, coprésident du groupe Devimco, note que la croissance des revenus des magasins du Dix30 a été plus lente en janvier par rapport à janvier 2008, mais que Devimco a toujours une liste d'attente de commerces désireux de s'y implanter. «Notre prochaine phase est déjà louée à 55%.»
  22. Loblaws cède sa place à Maxi au Québec Publié le 19 février 2009 à 07h26 | Mis à jour à 07h28 Martin Vallières La Presse (Montréal) Des supermarchés Loblaws (T.L) battent encore de l'aile dans certaines localités du Québec, même plusieurs années après leur implantation. Au point où les dirigeants du géant de la distribution alimentaire ont décidé de remplacer l'enseigne Loblaws de magasins québécois par celle de Maxi&Cie, plus performante comme supermarché à escompte. De telles conversions d'enseignes ont eu lieu récemment dans deux supermarchés de Montréal (boul. Pie-IX) et de Saint-Georges de Beauce, après six ans de fonctionnement sous l'enseigne Loblaws. Et d'autres conversions de ce genre pourraient survenir bientôt, selon le président de Loblaw, Allan Leighton. «Au Québec, les premières conversions de supermarchés Loblaws en Maxi&Cie fonctionnent relativement bien. Nous déciderons au cours des prochains mois quels autres supermarchés Loblaws au Québec devraient être convertis», a indiqué M. Leighton au cours d'une téléconférence d'analystes financiers, hier, après la publication des plus résultats financiers de l'entreprise. Cette rétrogradation de l'enseigne Loblaws au Québec s'effectuera avec le programme accéléré de rénovations de magasins que l'entreprise a mis de l'avant pour son exercice 2009. Au moins 300 magasins dans toute l'entreprise seront touchés par ces investissements, mais à différents niveaux. Les budgets individuels par magasin varieront de 500 000$ jusqu'à 2 millions et plus, selon l'ampleur des travaux. Au Québec, Loblaw compte encore 35 supermarchés de sa propre enseigne. Tous ont été ouverts au cours des 12 dernières années dans de grands édifices bâtis sur mesure. Cette implantation de Loblaw au Québec a aussi été marquée par son acquisition de Provigo, en 1998. Malgré leur forte identification corporative, les supermarchés Loblaws sont demeurés en marge de leurs activités principales au Québec. Ces activités sont centrées sur les quelque 510 supermarchés de tailles diverses et identifiés à Maxi, Provigo et Inter-Marché, notamment. Le marché québécois difficile Par ailleurs, depuis deux ans, en pleine tourmente de réorganisation, les hauts dirigeants de Loblaw ont admis avoir obtenu des résultats décevants sur le marché québécois. L'entreprise avait même inscrit une charge spéciale de 800 millions à titre de radiation d'actif au Québec lors de ses résultats de fin d'exercice 2006. Mais depuis, la haute direction de Loblaw a été complètement chamboulée. Et depuis quelques mois, son guidon principal a été confié à un gestionnaire d'expérience en commerce de détail, Allan Leighton, d'origine britannique et associé de longue date de la famille Weston, qui contrôle Loblaw. Son mandat: accélérer et compléter pour de bon la remise en forme de Loblaw, qui requerra encore quelques centaines de millions de dollars en investissements. Et ce, alors que le contexte économique est le plus inquiétant depuis des années pour la croissance et la rentabilité de l'entreprise. «Cette année (2009) sera très difficile. Je ne crois pas que nous ayons encore vu le pire», a admis M. Leighton hier, au cours de sa présentation des plus récents résultats de Loblaw. Résultats améliorés D'ailleurs, Loblaw a présenté des résultats améliorés pour sa fin d'exercice 2008, malgré le gain particulier provenant d'une semaine d'affaires additionnelle (53 au lieu de 52). Le bénéfice net du quatrième trimestre a atteint 188 millions, comparativement à 40 millions un au auparavant. Les ventes des magasins comparables (ouverts depuis plus d'un an) étaient en hausse nette de 2,7%, après correction pour la semaine additionnelle. Par ailleurs, Loblaw a admis hier qu'un conflit de travail qui paralysait 12 supermarchés Maxi au Québec depuis la mi-octobre avait amputé «environ 1%» à la croissance de ses revenus au quatrième trimestre. Ce conflit est en voie de règlement après une entente intervenue lundi soir, mais non sans la fermeture définitive de deux supermarchés. En 17 semaines, ce conflit de travail aurait coûté au moins 120 millions à Loblaw en ventes perdues, selon les chiffres divulgués hier. Mais sans impact notable sur la rentabilité du trimestre, a-t-on souligné au siège social. Pour tout l'exercice 2008, Loblaw déclare un profit net en regain de 65%, à 545 millions, alors que son chiffre d'affaires progressait de 4%, à 30,8 milliards. En Bourse, les investisseurs ont minimalement apprécié ces résultats, d'autant que Loblaw devra investir davantage dans sa restructuration. Son action a reculé de 1,2%, à 33$, à la Bourse de Toronto, alors que l'indice de marché S&P/TSX était en baisse de 2,5%.
  23. La chaîne américaine de grands magasins Macy's va supprimer 7000 emplois en raison de la chute de la consommation aux États-Unis. Pour en lire plus...
  24. La BMO abandonne ses satellites Mise à jour le dimanche 25 janvier 2009 à 18 h 21 BMO Groupe financier a décidé de procéder à des changements importants dans son offre de service. Une centaine de succursales satellites de la Banque de Montréal, offrant des services de base dans des magasins, fermeront ainsi leurs portes. La moitié de ces fermetures surviendront d'ici la fin avril, dont certaines dans la région de Montréal. Le porte-parole de BMO Groupe financier, Ronald Monet, a affirmé à la télévision de Radio-Canada que le processus de fermeture s'échelonnerait jusqu'en 2012. Plus de 350 employés seront touchés, et la plupart devraient être mutés dans une autre succursale de la BMO. Toutefois, la banque ne peut garantir que tous ces emplois seront préservés, et précise que certains employés devront être flexibles et accepter un déménagement dans une succursale qui ne sera pas dans les environs immédiats de leur ancien lieu de travail. Les succursales en magasins de la Banque de Montréal comptent un ou deux employés, offrent des services bancaires de base et ont des heures d'ouverture plus longues que dans les grandes succursales offrant tous les services. Selon BMO Groupe financier, des sondages menés auprès de la clientèle ont montré qu'elle préférait bénéficier d'une offre de services complète, sous un même toit. Cela aurait donc sonné le glas des petites succursales. Le professeur adjoint en affaires publiques et internationales Patrick Leblond, de l'Université d'Ottawa, estime toutefois que la situation économique a certainement joué un rôle dans la décision de la BMO. La semaine dernière, l'institution financière a également annoncé qu'elle resserrait ses règles de crédit, malgré la baisse du taux directeur de la Banque du Canada. La BMO affirme que ses coûts de financement ont connu une hausse
  25. Le distributeur américain de produits d'électronique Circuit City ferme 567 magasins et met à pied 34000 salariés. L'avenir de sa filiale canadienne, La source, est incertain. Pour en lire plus...
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