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  1. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201304/08/01-4638757-montreal-entame-son-menage-du-printemps.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1
  2. Construction dans Ville-Marie: ménage des règles d'urbanisme Publié le 05 février 2013 à 06h21 L'arrondissement de Ville-Marie gèle en partie l'attribution des permis de construction jusqu'à la fin du mois de mars, le temps de finir le ménage dans ses règles d'urbanisme kafkaïennes. Le conseil de cet arrondissement, qui englobe le centre-ville et le Vieux-Montréal, a adopté hier en première lecture un projet omnibus modifiant plus de 600 articles du règlement d'urbanisme. Les changements touchent une foule de sujets, du zonage à la hauteur des immeubles, en passant par l'agriculture urbaine. «Le règlement actuel existe depuis 20 ans et il avait clairement besoin d'être modernisé», a résumé à La Presse Affaires Bruno Collin, chef d'équipe à la division d'urbanisme, après la tenue du conseil. Selon les règles actuelles, il existe quatre familles d'utilisation du territoire: résidentielle, commerciale, industrielle et institutionnelle. Celles-ci sont divisées en 53 catégories, qui sont ensuite subdivisées en 118 types de zones. C'est autant que dans les cinq arrondissements de New York réunis, et ce, pour le seul arrondissement de Ville-Marie! «En plus d'être très rigide, cette approche complexifie énormément le règlement et le rend pratiquement incompréhensible pour les usagers, souligne un sommaire décisionnel publié hier. Par exemple, le propriétaire d'un bâtiment situé au coin des rues Wellington et Prince doit se référer à six listes différentes uniquement pour identifier les usages permis sur sa propriété.» La cartographie actuelle de Ville-Marie est si compliquée qu'on ne peut la lire à une échelle inférieure à 1: 5000. Il faut consulter la carte sur deux feuillets de 30 po sur 25 po au minimum, et les erreurs d'interprétation sont fréquentes. Bruno Collin et son équipe ont travaillé pendant huit mois à simplifier cette structure d'organisation du territoire. Ils sont partis du principe de la mixité des usages, ce qui leur a permis de réduire de 118 à 27 les types de zones. La nouvelle carte de l'arrondissement est lisible sur une feuille de 11 po sur 17 po, se réjouit-on. Le projet de règlement d'urbanisme sera soumis à une série de consultations et de présentations au cours des prochaines semaines. D'ici à son adoption finale, prévue le 25 mars, un gel partiel de l'attribution des permis de construction et d'occupation a été décrété. L'arrondissement estime que de 10% à 20% des demandes de permis seront touchées par le gel. En plus de simplifier la structure d'attribution des permis, le nouveau règlement d'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie propose une trentaine de nouvelles dispositions. En voici cinq: - Les nouvelles constructions devront inclure davantage de stationnements pour vélos, et ceux-ci devront être facilement accessibles. - Toutes les nouvelles toitures devront être écologiques. Il pourra notamment s'agir de toits «blancs» ou végétaux. - L'implantation de jardins communautaires, de parcs et d'écoles sera permise partout sur le territoire de l'arrondissement. - L'insonorisation des nouvelles constructions résidentielles devra être accrue dans les zones bruyantes. - Des stationnements pour les petites voitures seront créés. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201302/05/01-4618392-construction-dans-ville-marie-menage-des-regles-durbanisme.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  3. 1000$ de moins par ménage en 2011 Publié le 31 décembre 2010 à 05h00 | Mis à jour le 31 décembre 2010 à 05h00 André Dubuc LA PRESSE Préparez-vous à en sortir davantage de vos poches. Une nouvelle année marque bien souvent le signal de nouvelles hausses de taxes et de tarifs, et 2011 ne fera pas exception. Nous avons calculé qu'il en coûtera 1000$ de plus à une famille de quatre personnes. Survol des mauvaises nouvelles qui nous attendent au lendemain du réveillon de la Saint-Sylvestre. Pour estimer l'impact, nous avons considéré un ménage de quatre personnes. Les deux adultes, des salariés gagnant respectivement 60 000$ et 40 000$, ont deux enfants, dont un fréquente l'université à temps plein. La famille habite Montréal et possède deux automobiles. Les enfants voyagent en transport en commun. À noter que l'alourdissement du fardeau financier est moins important pour les ménages de banlieue ou pour les locataires montréalais à faible revenu, qui n'ont ni automobile ni enfant à l'université. La taxe de vente provinciale grimpe d'un point de 7,5 à 8,5% demain. La hausse sera pratiquement imperceptible lors des achats au quotidien, elle déplaira par contre aux acheteurs de véhicules ou de maisons neuves. Facture pour nos contribuables: 400$ pour des dépenses taxables de 40 000$ par année. C'est en fait un peu plus, parce que la TVQ est calculée sur la somme des achats incluant la TPS. Cette estimation repose sur les données de l'enquête annuelle sur les dépenses des ménages de Statistique Canada. Environ 50% des dépenses sont consacrés aux impôts, à l'alimentation et au logement, où la TVQ ne s'applique pas, ou seulement à quelques composantes de la catégorie. Par exemple, un ménage paie de la TVQ sur l'électricité qu'il consomme, mais pas sur son loyer. Le gouvernement du Québec ne se contente pas d'augmenter la TVQ, il introduit également la taxe santé. Pour la première année, c'est 25$ par adulte, payable à la production de la déclaration de revenus. En 2012, ce sera 100$ par personne majeure. Restons dans la santé. La prime 2010 du régime public d'assurance-médicament a augmenté de 15$ par adulte. Elle est payable à la prochaine déclaration de revenu au printemps. 2011 est aussi la première année de l'indexation automatique d'une foule de tarifs gelés depuis des années - ça va du permis de pêche au certificat de naissance. Le taux d'indexation a été fixé à 1,27%. Comme d'habitude, les salariés sont mis à contribution. Assurance-parentale, assurance-emploi, régime des rentes coûteront plus cher pour tous les salariés gagnant le salaire maximum assurable ou plus. Les cotisations au régime québécois d'assurance parentale passent de 0,506% à 0,537% du salaire assurable. Le salaire maximum assurable avance de 62 500$ à 64 000$. Pour un salarié gagnant 60 000$ par année, la contribution augmente de 18,60$. Autre hausse annoncée, le taux de cotisation de l'assurance-emploi se déplace de 1,36$ à 1,41$ du 100$ assurable. La cotisation maximum, qui s'applique à tous les salariés gagnant plus de 44 200$, avance de 35,70$, à 623,22$. Le gouvernement a gelé les cotisations au régime des rentes du Québec en 2011, en dépit de la situation financière du régime qui appelle à un redressement. Le taux reste à 9,9%, partagé entre l'employeur et l'employé. Le salaire maximum assurable est toutefois augmenté de 47 200$ à 48 300$. La cotisation maximale du salarié passe de 2163,15$ à 2217,60$, une différence de 54,45$. Notre ménage a un enfant à temps plein à l'université. Il lui en coûtera 50$ de plus à la session d'hiver 2011 et 50$ additionnels à l'automne 2011, pour un total de 150$ par rapport au prix payé à l'automne 2010. Comme bien des ménages avec enfants, notre famille ne peut se passer de l'auto. En fait, elle a deux véhicules pour vaquer à ses multiples occupations. Indexée, l'immatriculation augmente de 2,05$ pour un véhicule de promenade, à 263,05$. Le prix du permis de conduire, pour celui qui n'a pas de point d'inaptitude, grimpe de 1,25$, à 87,25$. Rouler coûte cher? L'essence se vendra 1 cent de plus à compter du 1er avril 2011, date à laquelle la taxe provinciale passera de 16,2 à 17,2 cents le litre. Selon le calculateur éco choix du CAA, un véhicule de taille compacte 2010 roulant un total de 20 000 kilomètres par année consomme entre 1600 et 1700 litres d'essence par année. Les automobilistes insulaires devront payer une surtaxe de 45$ sur les droits d'immatriculation par véhicule situé sur l'île de Montréal. Les adeptes du transport en commun sont tout autant mis à contribution. Les tarifs progressent de 3,9% à la Société de transport de Montréal. Les Lavallois et Longueillois s'en tirent avec des augmentations de 1,3% et de 1,9%, respectivement. Les titres métropolitains, ceux qui permettent de voyager avec plus d'une société de transport, augmentent quant à eux de 1,5%. Les gouvernements municipaux se montrent particulièrement gourmands. Les taxes municipales grimpent de 4,3% en moyenne à Montréal. Pour une résidence type, on parle d'une hausse de 125$ par an. À Longueuil et Laval, les hausses moyennes sont de 4,9% et de 1% respectivement. À Longueuil, la différence à payer est évaluée à une centaine de dollars pour la plupart des contribuables résidentiels. À Laval, on parle d'une trentaine de dollars. Tout ne monte pas heureusement. Les tarifs d'Hydro-Québec ne bronchent pas en 2011. Ce n'est certes pas le cas des aliments et boissons. Par exemple, le litre de lait augmente de 0,04$ le 31 janvier a décrété la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec. Le lait 2% se vendra 1,69$ à Montréal et ses environs.
  4. Les Québécois veulent à tout prix que leur gouvernement fasse du ménage dans sa propre maison avant de fouiller dans leurs poches. C'est ce qui ressort clairement d'un sondage Léger Marketing réalisé au début janvier pour le compte du réseau TVA et du Journal de Montréal. Pas moins de 57 % des Québécois se disent prêts à couper dans les services publics pour ne pas voir leur fardeau fiscal augmenter de nouveau, un taux sans précédent en 20 ans de sondages menés par Léger Marketing. Le message ne peut pas être plus clair alors que s'amorce aujourd'hui le forum économique présidé par le premier ministre Jean Charest, à Lévis «Les gens nous disent : c'est fini, on en a assez. C'est l'heure des choix», résume Jean-Marc Léger. Ce taux serait encore plus élevé, analyse Christian Bourque, vice-président de la recherche chez Léger Marketing, si le sondage n'incluait pas obligatoirement une juste proportion de personnes âgées et d'autres personnes qui ne travaillent pas ou ne paient pas d'impôts. Ces personnes-là, bien évidemment, ne veulent pas couper dans des services qui ne leur coûtent rien de toute façon. Trop de gaspillage Les Québécois estiment que le gouvernement est mal administré, qu'il y a trop de gaspillage (84 %) pour qu'il se permette de venir fouiller impunément dans leurs poches pour régler ses problèmes. Autrement dit, les Québécois pensent que le gouvernement a suffisamment d'argent, mais qu'il est caché un peu partout dans son fouillis et que, pour le retrouver, les politiciens doivent faire du ménage. Les gens sont inquiets Les Québécois ne connaissent peut-être pas les chiffres par coeur, comme notre quiz publié hier a pu le démontrer (à peine 12 % des gens sondés ont obtenu la note de passage à ce test de 10 questions sur les finances publiques), mais cela ne veut pas dire qu'ils n'ont pas le portrait d'en-semble. Selon 54 % des personnes sondées, les finances publiques sont dans un état précaire et de plus, 20 % pensent que nous courons à la catastrophe. C'est donc 74 % des Québécois qui sont inquiets. Des coupures intelligentes Les Québécois ne veulent pas pour autant couper partout et n'importe comment. Ils veulent que le gouver nement se concentre sur ses vraies fonctions de base : l'éducation et la santé, par exemple. Ils souhaitent plutôt qu'il se retire des secteurs où il s'est lentement immiscé, qu'il laisse tomber des structures qu'ils jugent inutiles. Dans la même veine, ils veulent qu'on valorise les employés de l'État qui jouent un rôle concret. En fait, 76 % des Québécois estiment que le gouvernement est trouvé trop gros et qu'il faut réduire significativement la taille de l'État. DEMAIN : 10 SOLUTIONS - Si le gouvernement cherche des milliards pour équilibrer son budget, ce n'est pas parce que les Québécois ne sont pas d'accord pour remettre en question les pseudo vaches sacrées. Demain, les Québécois proposent au moins dix solutions à leurs élus. * * * Personnellement, êtes-vous prêt(e) à faire des sacrifices financiers afin d'aider à améliorer l'état des finances publiques du Québec? En vous basant sur vos propres perceptions, comment qualifieriezvous l'état des finances publiques du Québec ? 11 % : Ne sait pas / Refus 47 % : Non, ce n'est pas à moi de payer pour ça 43 % : Oui, nous devons tous faire des efforts et se serrer la ceinture 54 %: Elles sont dans un état précaire 20 %: Nous courons à la catastrophe 1%: Elles sont excellentes 21%: Elles sont bonnes malgré quelques difficultés passagères liées à la crise Les experts prévoient qu'il sera impossible de maintenir les services publics avec les revenus actuels de l'État. En conséquence, préférez-vous : 28 %: PAYER DAVANTAGE pour les services publics et CONSERVER le niveau de service actuel 42 % : PAYER LE MÊME MONTANT, mais subir une DIMINUTION des services publics 15 % : PAYER MOINS que maintenant et subir une DIMINUTION MAJEURE des services publics 15 % : Ne sait pas / Refus
  5. Grand ménage à la Caisse de dépôt Publié le 30 avril 2009 à 11h16 | Mis à jour à 11h36 Francis Vailles La Presse (Montréal) La Caisse de dépôt et placement vient de procéder à un grand ménage. Quelque 55 personnes quittent l'organisation, dont trois premiers vice-présidents, a appris La Presse Affaires. Michel Malo (fonds de couverture), Christian Pestre (stratège en chef) et François Grenier (marchés boursiers) ont été remerciés par le nouveau PDG, Michael Sabia, nous indique-t-on de bonne source. Un communiqué de presse sera publié très prochainement et une conférence téléphonique est prévue à 13h00. Selon nos renseignements, non confirmés, c'est Jean-Luc Gravel qui remplacera François Grenier aux marchés boursiers. On nous indique également que la grande responsable des risques à la Caisse, Suzanne Kudzman, garde son poste. Il n'a été possible de savoir si elle conserve.
  6. Le nombre de procédures légales pour non-paiement d'un prêt hypothécaire a explosé aux États-Unis, l'an dernier, avec une augmentation de 81% sur un an et de 225% par rapport à 2006. Pour en lire plus...
  7. Quelque 3,1 millions de procédures de saisies immobilières ont été engagées ou ont abouti en 2008 aux États-Unis, ce qui a concerné un ménage américain sur 54. Pour en lire plus...
  8. La banque américaine vient de commencer la suppression d'environ 10% de ses effectifs dans son activité de banque d'investissement, affirme vendredi le Financial Times (FT). Pour en lire plus...
  9. L'accès au crédit en ces temps de ménage dans les mauvaises créances frappe de plein fouet les petites entreprises qui doivent renoncer à des projets, voire fermer. Pour en lire plus...
  10. Le conglomérat industriel allemand fait encore le ménage dans ses activités de télécoms, cédant 80% de sa division SHC. Pour en lire plus...
  11. Le ménage moyen de la région de Montréal a dépensé 18,6% de ses revenus pour les coûts d'habitation et de logement en 2006. Pour en lire plus...
  12. Montréal: une plus grande part du budget pour se loger 4 juin 2008 - 11h09 Presse Canadienne Le ménage moyen de la région de Montréal a dépensé 18,6% de ses revenus pour les coûts d'habitation et de logement en 2006. Les Canadiens payent davantage pour l'épicerie et l'essence ces jours-ci, et dans la région de Montréal il y a d'autres mauvaises nouvelles pour le compte en banque. En fait, les paiements de loyer ou d'hypothèque des Montréalais accaparent une plus large part du budget familial qu'au début de la décennie, révèle une nouvelle analyse des données du recensement sur les coûts d'habitation. Le coût médian d'habitation la région de Montréal était de 8 208 $ par année - ou 683 $ par mois - en 2006, a rapporté mercredi Statistique Canada dans un nouveau rapport sur les coûts de logement à travers le pays. Ces données indiquent aussi que le ménage moyen la région de Montréal a dépensé 18,6% de ses revenus pour les coûts d'habitation et de logement en 2006. Pour les propriétaires, ceci inclut les paiements hypothécaires, les taxes foncières, les frais de condo et les services publics; pour les locataires, les coûts tiennent compte des paiements de loyer et les services publics. Les données du précédent sondage de 2001 indiquaient que les ménages dans la région métropolitaine de Montréal avaient dépensé 18,1% de leur revenu pour les coûts d'habitation. Les locataires dans la région de Montréal en général dépensent proportionnellement plus de leurs revenus pour les coûts d'habitation que les propriétaires qui paient encore une hypothèque. Le locataire moyen doit engager 7 360 $ par année - ou 23,8% du revenu du ménage - pour les coûts d'habitation. Les propriétaires avec une hypothèque dans la région de Montréal ont dépensé un médian de 13 969 $ par année ou 18,9 pour cent de leur revenu pour l'habitation. Pour les propriétaires sans hypothèque, la proportion était beaucoup moindre - 8,5% pour un coût annuel de 5 198 $. Un total de 53,3% des ménages dans la région de Montréal sont propriétaires. Ceci est une augmentation par rapport à il y a cinq ans, alors qu'il était de 50,3%. Les propriétaires sans hypothèque représentent 20,3% des ménages dans la communauté. À travers le Canada, le coût médian de logement pour les propriétaires en 2006 était de 10 056 $ par année et pour les locataires, il était de 8 057 $. Au Québec, les propriétaires ont dépensé 8 619 $ et les locataires ont payé 6 788 $. Le ménage canadien moyen a dépensé 18,1% de son revenu annuel en habitation - ce qui signifie que les gens dans la région de Montréal ont environ les mêmes coûts de logement que le reste du pays. L'analyse publiée mercredi par Statistique Canada est basée sur les données du recensement recueillies il y a plus de deux ans. Le prochain resencement aura lieu en 2011. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080604/LAINFORMER/80604120/5891/LAINFORMER01
  13. Les CMA lancent une campagne publicitaire pour réhabiliter la «créativité» dans leur profession. Pour en lire plus...
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