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  1. Peut être que la demande n'est pas assez forte pour un quotidien.J'espere que au moins cette ligne sera maintenu l'été.
  2. Air Canada pérennise son Lyon – Montréal. Les voyageurs d'affaires français pourront compter 2 vols quotidiens au départ de Paris mais également sur le maintien de la liaison Lyon – Montréal lors du programme d'hiver d'Air Canada. La compagnie canadienne a en effet décidé d'assurer à l'année cette route lancée le 17 juin dernier. Au départ de Paris-Roissy, Air Canada propose à l’année 2 vols quotidiens sans escale, l’un à destination de Montréal-Trudeau, l’autre de Toronto-Pearson. La liaison quotidienne sans escale AC871 Paris-Montréal quitte Roissy à 13h05 pour se poser au Québec à 14h40. Le vol sans escale Paris-Toronto AC881 décolle de CDG à 11h30 pour se poser dans l'Ontario à 13h55. Par ailleurs la compagnie a décidé d'assurer à l'année le vol sans escale Lyon-Montréal A/R lancé le 17 juin 2016. Le Rhone-Alpes sera ainsi reliée à Québec jusqu’à 4 fois par semaine : les mardi, jeudi, samedi et dimanche à l’aller et les lundi, mercredi, vendredi et samedi au retour. La nouvelle route est opérée par Air Canada sur B767-300 bi-classe avec 24 sièges en Classe Affaires internationale et 187 sièges dans la cabine principale. Air Canada perennise son Lyon – Montreal
  3. acpnc

    Lyon en lumières

    http://www.lapresse.ca/arts/arts-visuels/201412/08/01-4826165-lyon-en-lumieres.php
  4. Pour se faire connaître à l'étranger comme un endroit propice pour investir, travailler et vivre agréablement, les 82 municipalités du Grand Montréal se sont dotées d'une nouvelle image de marque qui va faire le tour du monde. «Le Grand Montréal : l'espace pour se réaliser». Tel est le slogan choisi, surmonté d'un M multicolore. La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) a payé pour cela près d'un demi-million. «Ça correspond à 10 sous par habitant de la CMM», précise le directeur général de l'organisme, Massimo Iezzoni. La CMM voulait trouver un fil conducteur pour ses 82 villes et leurs organismes, comme les chambres de commerce, les centres locaux de développement ou les sociétés de développement commercial. Les villes ont mis du temps à s'entendre sur le fait que, sur la scène internationale, il faut être uni. «C'est la première fois que je vois nos membres fiers de vouloir parler d'une seule voix», dit M. Iezzoni. Toutes les grandes communautés urbaines du monde ont ou sont en train de se créer une signature pour «exister» sur les marchés extérieurs, dans le but d'attirer de la richesse, que ce soit des talents, des investisseurs ou des touristes. «À Amsterdam, ils ont 'I am sterdam', dit M. Iezzoni. Depuis quelques mois, la région de Berlin a 'Be Berlin' et en 2007, la communauté urbaine de Lyon a créé 'ONLY LYON' en inversant le nom de la ville.» National, Léger Marketing et des entreprises de graphisme ont travaillé deux ans pour aboutir à la signature choisie, résultat d'un consensus, de nombreuses rencontres et d'un sondage. «Ce logo, c'est Montréal le 'nouveau' nouveau monde, dit M. Iezzoni. On peut tout y faire. On y trouve une ouverture d'esprit et... l'espace pour se réaliser.» Pour Frédéric Metz, professeur de design graphique à l'UQAM, le graphisme «pur» de ce logo «est très beau» mais il trouve que «cinq couleurs pour un logo, c'est très difficile à reproduire». Par ailleurs, il pense que cette nouvelle image ne sera «jamais assez connue mondialement» par rapport au logo déjà connu de Montréal. Mais la CMM veut le faire connaître partout. «Alain Dubuc disait l'an dernier que Montréal est un secret bien gardé et que ce n'est pas une bonne nouvelle, dit-il. Nous allons donc travailler durant la prochaine année à faire en sorte que les villes et les organismes de la CMM s'approprient cette signature et qu'elle voyage. Nous allons engager une firme pour trouver des marchés. Aujourd'hui, les villes du monde font de la pub sur CNN pour attirer des gens.» M. Iezzoni dit que lorsqu'une nouvelle ligne aérienne New-York-Lyon a été créée, le logo 'ONLY LYON' flottait au-dessus de l'aéroport newyorkais et non les armoiries lyonnaises. Il ajoute que le Grand Montréal devait créer une image pour améliorer son potentiel attractif, tant décrié l'an dernier par le gourou de l'image Simon Anholt qui avait comparé la 20, entre l'aéroport et le centre-ville, aux routes du Kazakhstan... Mais Frédéric Metz a des réserves sur l'adoption du logo par les villes de la région. «Est-ce que Laval est prêt à laisser tomber son petit L pour ce M?, demande-t-il. Si l'on ne voit que ce M, je n'ai aucun problème mais j'ai des doutes. Pour beaucoup de gens, leur logo local est comme un drapeau national. Si le bureau qui contrôle le logo du Grand Montréal réussit à faire fonctionner ce logo seul, alors bravo!» Pour Isabelle Hudon, présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et bientôt présidente de la boîte de pub Marketel, le geste de la CMM est exemplaire. «Un exercice de branding, c'est une réflexion, ce n'est pas seulement un logo, dit-elle. C'est la définition d'une mission, de ce qu'on est, et d'une vision, soit ce qu'on veut devenir. Quand l'exercice est bien fait, cela peut être très mobilisant. Créer un consensus sur un slogan et un logo, ce n'est pas rien. La CMM a compris que pour avoir de l'influence, il faut se rassembler. Je leur tire mon chapeau.» lien
  5. L'engouement des Français pour le Québec se confirme › Le ministère du tourisme du Québec intensifie ses actions sur le marché français. Ainsi pour l’année 2008, le budget consacré à la publicité, à la promotion commerciale et au workshop Destination Québec 2008 s’élève à plus de 1,6 million d'euros. Résultat, depuis l’année 2004, le nombre de touristes français, entrés directement au Québec via les aéroports de Montréal et de Québec, a connu une progression de 8,3 %. Pour la période de janvier à août 2008, la destination enregistre avec 221.846 visiteurs une hausse de 15,3 % par rapport à 2007. A lui seul, le mois d’août, réputé pour la plus forte fréquentation annuelle, a fait un bond de 31 %. Pour continuer sur cette lancée, le Québec se tourne vers de nouveaux objectifs de développement comme le marché des croisières, le Grand Nord ou le développement durable. Le Québec organise aussi ses rencontres professionnelles se tiendront à Paris, le 18 novembre et, pour la première fois à Lyon, le 19 novembre. À Paris, le workshop réunira environ 50 professionnels du tourisme québécois, à la Maison de la Mutualité. A Lyon, une quarantaine d’exposants accueilleront les acheteurs sur un bateau (La Plateforme).
  6. Builders face financing squeeze 'We can expect a solid demand for condominiums well into the future' TERRENCE BELFORD From Friday's Globe and Mail September 5, 2008 at 12:00 AM EDT Remember how A Tale of Two Cities starts? Charles Dickens writes, "It was the best of times, it was the worst of times." Stretch that theme a bit and you might be describing what is about to happen in the Toronto-area condominium market. First, the best of times. According to Urbanation Inc., which tracks condos from the Burlington border to Ajax and Whitby, there were a record 295 projects for sale at the end of June. Of these, 147 were under construction and another 38 new ones were ready to break ground. Behind those projects stood 151 different developers, and for many of them it was their first shot at building a condo. Those first-timers were mainly house builders who could no longer find building lots. Their choice was either to move into condos or fold their tents. So on the plus side, prospective buyers have never had greater choice. Now on to the worst of times. That impressive number of projects may prove to be the Greater Toronto Area's version of a Potemkin Village by the end of the year. Veteran market watchers say that up to a third of them are likely to be pulled from the market. Along with them, up to 50 developers may bite the dust. The reason? They are unlikely to find financing, says Barry Lyon. He is a 40-year veteran of the Toronto area real estate market. His company, N. Barry Lyon Consulting Ltd., provides research, marketing and project management to the condo and commercial sectors. "The U.S. credit crunch means the money to build just is not there," he says. "The tap has run dry." So, what determines who gets the money to build? In large part, GTA condo buyers. Developers need to presell about 60 per cent of the units in any project before lenders will take a look at providing the money to build. Equally important, they have to do it within reasonable time frames. As their marketing and sales teams scurry to sell suites, construction and carrying costs for high-priced land are ticking upwards. Mr. Lyon says he would not be surprised to see some developers pulling projects out of the market because those costs have risen to such an extent that they simply can't make a buck going ahead. "In some cases, even with 60 per cent sold, some developers are still going to have a hard time finding financing," he says. It is not that there is any lack of demand. It remains strong, says Jane Renwick, executive vice-president of Urbanation. But it is nowhere near the levels seen in 2007, which was a banner year for the industry. Thanks to record sales in 2007, 76 per cent of the 66,310 suites on the market at the end of June had already been snapped up. "I think a lot of last year's sales went to first-time buyers," she says. "I also think that most of them have now been absorbed so we are looking at a return to a more stable market — less of a gold-rush mentality." Again on the plus side of demand is the lure the GTA holds for immigrants. Ms. Renwick points out that of the 150,000 people who immigrate to Ontario in any given year, 100,000 of them make their way to the Toronto area. "If that trend continues, if we continue with high employment and if the economy continues to expand, we can expect a solid demand for condominiums well into the future," she says. That demand will continue to be strongest within the old city of Toronto. That is where 70 per cent of today's projects sit, says Mr. Lyon. It is also where prices are highest — an average $461 a square foot, versus $418 a year ago, according to Urbanation. Compare that with $294 in Scarborough, $254 in Pickering, $287 in Ajax and $313 in Aurora. Much of the difference is simply the cost of land to build on. But in that area Mr. Lyon suggests the coming shakeout may bring positive benefits to buyers. He says the loss of about a third of the developers today jockeying for land and bidding against each other to arrange construction crews likely means less competition for available resources. Less competition means lower demand and lower demand usually leads to, if not lower prices, then at least a much slower rise in prices. "It is going to be an interesting year," Mr. Lyon says. "By the end of 2008, the GTA's condo market may be a quite different place." Terrence Belford is a veteran journalist covering the Toronto real estate market.
  7. La semaine dernière j'étais avec ma femme pour cinq jours à Paris, voiçi une impression de nos balades en ville: 1.Arc de Triomphe 2. Champs Elysées 3. Sacré Coeur 4. Grand Palais 5. Place de la Concorde 6. Orangerie 7. Hotel de Ville 8. Bazar de l'Hotel de Ville 9. Ile de la Cité 10. Ponts de Seine 11. Tour Eiffel 12. Canal Saint-Martin 13. Gare de Lyon 14. Front de Seine 15. Assemblée Nationale 16. Ministère des Affaires Etrangères 17. Centre Beaubourg & towers near La Place d'Italie Nous avons eu un beau temps , j'éspère vous aussi
  8. Grumpy

    Lyon

    Pas assez connu mais cette ville mérite un voyage: Fourvière: Ruins of Roman aqueducts: Roman amphitheatre: Views from amphitheatre: Basilique Notre Dame de Fourviere: Views from the basilica: On the pathway down from the basilica into Vieux Lyon: Long stairway into Vieux Lyon: Looking back up: VIEUX LYON Cathedrale St-Jean: PRESQU'ILE Views from the Saone: Looking towards Croix Rousse: Looking back at Fourviere: Outdoor market: ...
  9. La Ville se joint à un réseau international de villes gourmandes - Montréal renforce son statut de destination touristique d'avant-garde MONTREAL, le 13 sept. /CNW Telbec/ - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, a annoncé ce soir que Montréal allait joindre les rangs du tout nouveau Réseau des villes gourmandes du monde. Montréal fera partie du groupe sélect d'une quinzaine de grandes villes dont Lyon, Barcelone, Milan, Bruxelles, Lausanne, Turin et Osaka. Cette annonce a été faite devant les 300 principaux acteurs de l'industrie hôtelière de la métropole réunis à l'occasion de la Grande soirée de l'hospitalité et de la gastronomie québécoise organisée par la Fondation de l'Institut du tourisme et de l'hôtellerie du Québec (ITHQ) et l'Association des diplômés de l'ITHQ. "La création de cette alliance internationale de la gastronomie va grandement contribuer à renforcer le positionnement de Montréal comme destination de tourisme urbain d'avant-garde. Elle confirme également l'importance grandissante des chefs montréalais dans le monde. Cette nouvelle reconnaissance internationale de la créativité montréalaise vient s'ajouter à d'autres désignations comme celle de Montréal au titre de Ville UNESCO de design depuis 2006", a fait valoir le maire Tremblay. Proposé par le maire de Lyon, monsieur Gérard Collomb, ce projet d'alliance internationale a vite suscité un vif intérêt. L'appartenance à ce réseau de la gastronomie sera à la fois un élément distinctif par rapport aux autres villes et un puissant outil de promotion d'un futur circuit de villes gourmandes. Le Réseau vise également à promouvoir le label "Délice" et à développer une "culture" culinaire. Il veut animer l'esprit "cuisine" dans les villes gastronomiques par le moyen d'échanges entre chefs, entre formateurs et entre apprentis. Cet objectif de formation est très prometteur pour l'ITHQ et pour les restaurateurs. Tourisme Montréal a accepté de représenter la Ville au sein des comités de travail du Réseau des villes gourmandes du monde. Par ailleurs, la Ville souhaite associer un grand nombre de partenaires montréalais à l'essor de la métropole dans ce domaine, notamment l'ITHQ, le Festival MONTREAL EN LUMIERE et la Société des alcools du Québec, tous déjà intéressés par l'initiative. Tourisme Montréal se chargera également de coordonner les efforts des différents acteurs montréalais appelés à contribuer à l'implantation de ce prestigieux réseau à Montréal.
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