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  1. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=22557&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques Montréal crée le Bureau de la Ville intelligente et numérique 26 mars 2014 Montréal, le 26 mars 2014 - Afin que la métropole devienne un chef de file mondialement reconnu parmi les villes intelligentes et numériques, le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le vice-président du comité exécutif et responsable des technologies de l'information, de la Ville intelligente, de la réforme administrative et de la jeunesse, M. Harout Chitilian, annoncent la mise en place du Bureau de la Ville intelligente et numérique qui relèvera directement de la Direction générale. Un budget de 400 000 $ a été accordé par les élus du comité exécutif pour assurer le fonctionnement de ce bureau en 2014. « La création de ce nouveau Bureau au service d'une Ville intelligente et numérique était nécessaire afin de réaliser notre objectif de positionner stratégiquement Montréal au même niveau, voire même plus haut, que les villes de New York, Lyon, Barcelone ou Amsterdam en matière de technologies de l'information. Selon le prestigieux Intelligent Community Forum (ICF), la grande région métropolitaine se taille une place parmi les 21 métropoles intelligentes (Smart 21) sur 400 candidatures retenues pour l'édition 2014. C'est un bon début, mais l'équipe du Bureau va travailler avec nous afin que nous puissions faire concurrence le plus rapidement possible aux positions de tête », a déclaré M. Coderre. « La mise sur pied du Bureau de la Ville intelligente et numérique est un pas important pour que Montréal devienne une ville plus innovante, plus efficiente et plus transparente. Cette démarche unique prendra en considération les attentes des citoyens, s'inscrira dans une collaboration pleine et entière avec les partenaires institutionnels et privés, et s'articulera autour des tendances technologiques contemporaines », a ajouté M. Chitilian. Le Bureau de la Ville intelligente et numérique disposera d'une équipe composée de trois personnes sous la responsabilité d'un chef de bureau - Chief Digital Officer (CDO). Ce dernier agira comme référence dans son domaine et exercera une vision et un leadership mobilisateur au sein de l'administration municipale. Le Bureau de la Ville intelligente et numérique définira d'ici la fin de l'année courante la stratégie de « Montréal, ville intelligente et numérique 2014 », qui s'articulera autour des quatre axes suivants : COLLECTER : TRANSPARENCE DE GESTION; GOUVERNEMENT OUVERT: • Libérer massivement les données et développer des outils de visualisation pour mettre en valeur celles-ci ; • Collecter et analyser les données télémétriques pour accroître le contrôle et l'optimisation de l'usage des ressources publiques. COMMUNIQUER: SYSTÈMES D'ACCÈS; DIFFUSION D'INFORMATION: • Développer une plate-forme web et des applications mobiles pour diffuser l'information en temps réel aux citoyens ; • Déployer les infrastructures de réseaux filaires et sans fil (WIFI) à large bande ; • Mettre en place des centres d'apprentissages et de création locaux des nouvelles technologies. COORDONNER: SERVICES PUBLICS NUMÉRIQUES: • Développer des systèmes intelligents de gestion du transport, des infrastructures, de la sécurité, de l'énergie, de l'eau, et de l'environnement ; • Numériser les services publics tout en préservant les moyens traditionnels (311, émission de permis, etc.). COLLABORER : ACCOMPAGNER L'INDUSTRIE; STIMULER L'INNOVATION ET LA CRÉATIVITÉ: • Accompagner les acteurs privés et institutionnels pour mettre en place un réseau d'incubateurs et d'accélérateurs d'entreprises en technologie ; • Soutenir les besoins des « start-ups » technologiques ; • Favoriser l'usage du domaine public comme laboratoire pour tester des solutions novatrices à des enjeux municipaux. Participez au dialogue via Twitter #innMtl (intelligente, numérique, Montréal)
  2. Vers une nouvelle culture de la mobilité urbaine Accroître de 16 % les déplacements collectifs d'ici à 2012 Florence Junca Adenot, Responsable du Forum Urba 2015 et professeure au département d'études urbaines et touristiques de l'UQAM Le Devoir édition du lundi 09 juin 2008 La Commission européenne adoptait en 2007 son livre vert sur les transports urbains. La loi cadre québécoise sur le développement durable remonte à 2006. Le concept de mobilité urbaine durable émerge dans un contexte urbain en changement. Les déplacements des personnes et des biens se multiplient et se diversifient dans l'agglomération montréalaise comme ailleurs, alors que la croissance démographique stagne. La pollution atmosphérique, avec ses effets sur la santé, s'accroît. Les coûts économiques et sociaux de la congestion routière grimpent. La raréfaction prévue de l'offre de pétrole entraîne déjà une escalade des prix de l'essence. La recherche d'une meilleure qualité de vie urbaine guide les choix citoyens. Ces phénomènes remettent en question la planification des transports et les modes de développement des villes au cours des 30 dernières années. Les fonds publics québécois récemment injectés fixent à 8 % l'augmentation de l'achalandage des transports collectifs d'ici 2012. C'est insuffisant; 8 % furent atteints de 1998 à 2003, par l'AMT et les organismes de transport de la région de Montréal. Durant cette période, la part des déplacements en transports collectifs s'est maintenue autour de 20 %, en raison de la forte hausse du nombre d'automobiles. Une hausse de 8 % est donc loin d'être suffisante. Une hausse de 16 à 20 % correspond à la cible à atteindre. Mais comment y parvenir? La mobilité urbaine durable Améliorer la fluidité routière par l'élargissement des voies et la construction de nouvelles est un choix du passé. La mobilité et les modes de transport retenus doivent maintenant intégrer des critères d'efficacité économique, de qualité de vie urbaine et de préservation de l'environnement. L'accessibilité sécuritaire et équitable, à un coût raisonnable, aux emplois, aux services, à l'éducation aux loisirs, ainsi que la mobilité durable deviennent deux exigences. Les nouveaux défis du transport des personnes conjuguent dynamisme économique, diminution des émissions polluantes, consommation réduite des ressources non renouvelables et des espaces, et recyclage de ses composants. La localisation des activités des villes est remise en question, afin de parvenir à générer moins de déplacements et à modifier leurs routes, facilitant ainsi les moyens collectifs et actifs. De l'auto aux transports collectifs et actifs Réconcilier la flexibilité offerte par la voiture et les principes de mobilité urbaine durable passe par un changement de culture, tant chez les usagers, les transporteurs et les entreprises que chez les décideurs. Multiplier les transports par bus, train, métro, tramway, les voies réservées sur tous les axes, favoriser la multimodalité et l'intermodalité entre les modes et les services, faciliter l'usage du vélo et de la marche, tout cela offre des alternatives intéressantes et contribue à diminuer les solutions motorisés responsables de 40 % des GES et de la majorité des accidents. L'espace routier libéré aide ceux qui en ont besoin et limite les pertes en heures travaillées, qui atteignent un million annuellement à Montréal. Une offre de transport, meilleure qualitativement et quantitativement, plus souple, intégrée, mieux adaptée aux différents espaces du Montréal métropolitain, passe par une approche imaginative et moins segmentée entre les organismes de transport. Utiliser l'auto autrement Soixante-dix pour cent des citoyens urbains des pays industrialisés voient l'auto comme le meilleur moyen de transport. L'utiliser autrement permet de l'intégrer à la chaîne de transport. Les stationnements incitatifs combinent l'auto et un transport collectif. Le covoiturage, organisé par les programmes employeurs, accroît le taux d'occupation des véhicules (1,2 personne aux heures de pointe), diminue d'autant ceux en circulation, et génère des économies. L'usage des flottes d'autos concilie flexibilité et transports collectifs. Les taxis offrent un transport individuel optimisant l'usage de la voiture. Ces choix requièrent des politiques cohérentes sur tous les plans. Par exemple, ne pas élargir une route pour favoriser la fluidité mais plutôt y insérer des voies réservées aux transports collectifs; ou encore encourager les entreprises, dont 56 % des places de stationnement sont gratuites à Montréal, à les rendre payantes et à assumer les frais de transports collectifs de leurs employés. La mobilité urbaine durable signifie aussi des véhicules moins polluants, utilisant moins de ressources non renouvelables, plus petits en ville. Et à quand l'électrification des trains de banlieue et l'usage de bus et de véhicules électriques ou bimodes dans les parcs d'entreprises et des organismes publics? À quand des stimulants à produire et à acheter des véhicules moins polluants et moins gourmands? Le Québec est un bassin naturel pour ces expériences. Concevoir la ville autrement Trente ans d'aménagement distribuant les fonctions urbaines sur un territoire de plus en plus vaste desservi en auto, a des effets pervers et coûteux sur la métropole, et ce, d'autant plus que les déplacements domicile-travail font plus de place aux déplacements variés, toute la journée. Or, la mobilité urbaine durable appelle à limiter la longueur des déplacements auto et à les éliminer si possible. Un moyen efficace consiste à intégrer les choix d'aménagement, de transports et l'environnement en localisant les activités résidentielles plus denses, les commerces, bureaux, services, parcs autour des pôles de transports collectifs, selon les principes du TOD (Transit Oriented Development) ou du nouvel urbanisme. Cette approche conduit à repenser les quartiers urbains et le modèle de développement des banlieues pour créer des milieux de vie priorisant l'usage des transports collectifs et actifs. Ces nouveaux lieux urbains rendent accessibles, à pied, la plupart des services de proximité. Un chantier collectif stimulant La mobilité urbaine durable est un fantastique chantier collectif et il y a urgence d'agir. Beaucoup de mesures sont peu coûteuses. Les citoyens s'impatientent devant la flambée des prix de l'essence et réclament des interventions. Les médias ont un rôle fondamental de sensibilisation et de vigie à jouer. Les entreprises ont la responsabilité économique et sociale d'aider leurs employés à se déplacer autrement et de changer leurs propres pratiques. Les constructeurs cherchent à rendre moins énergivores et polluants leurs véhicules. Les organismes de transport et leurs consultants sont au coeur du défi de modifier et d'augmenter leurs offres et leurs pratiques. Les planificateurs urbains et ministériels cherchent la voie pour aménager la ville autrement. Le système éducatif forme en ces matières et fait évoluer les connaissances. Enfin, les élus, à tous les niveaux, et au premier rang les élus municipaux, ont la lourde responsabilité de piloter les changements, de décider, et de financer adéquatement ce chantier qui représente un investissement pour l'avenir. La complexité des interventions, la difficulté des choix et la multitude des lieux de décision ne doivent pas servir de prétextes pour retarder ces choix de société incontournables. Lien
  3. Dans l'ouvrage publié sous sa codirection, L'Usage de l'argent dans le couple: pratiques et perceptions des comptes amoureux, Hélène Belleau, professeure à INRS-Urbanisation, Culture et Société, a dressé le portrait des quatre modes de gestion des couples québécois. Pour en lire plus...
  4. Ottawa annoncerait dans les prochains jours ce qu'il entend faire des milliards de dollars empochés dans la vente de nouvelles fréquences réservées à la téléphonie sans fil. Pour en lire plus...
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