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  1. Bon article sur cyberpresse faisant la situation du taux d’occupation des principales artères commerciales. La multiplication des pancartes «À louer» http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201312/18/01-4722014-la-multiplication-des-pancartes-a-louer.php Sur Sainte Catherine , le taux d'inoccupation n'a jamais été aussi élevé en 15 ans. Et qu'il augmentera encore. Les loyers ont pourtant baissé de «10 à 20% depuis un an».
  2. Maxime Bergeron La Presse (Montréal) Moins de deux étages de la Place Ville-Marie. C'est l'équivalent de tous les bureaux en construction au centre-ville de Montréal, une quantité 26 fois plus faible qu'à Calgary et 13 fois moins élevée qu'à Toronto. Selon un rapport publié hier par la firme CB Richard Ellis, les chantiers d'immeubles commerciaux ont totalisé à peine 65 500 pieds carrés au premier trimestre de 2011 dans le coeur de la métropole. Pendant la même période, 1,7 million de pieds carrés étaient en construction au centre-ville de Calgary, presque 2 fois la superficie du 1000, De la Gauchetière! Le marché locatif s'est pourtant amélioré à Montréal depuis un an. Le taux d'inoccupation des immeubles de bureaux a reculé de 1% au centre-ville, à 8%, indiquent les données de CBRE. Mais l'ingrédient essentiel à l'érection de nouveaux gratte-ciels - une hausse substantielle des loyers - fait toujours défaut. «Il faut deux choses pour démarrer un projet: assez de locaux préloués, pour atténuer les risques, et des loyers qui offrent un rendement sur la construction, souligne John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE. Or, les loyers à Montréal demeurent plus bas que la moyenne au pays.» Le loyer net moyen des immeubles de catégorie A a atteint 20,85$ le pied carré au centre-ville de Montréal au premier trimestre, en hausse de 21 cents sur 1 an. Cela se compare à 31,17$ au centre-ville de Vancouver, 29,61$ à Calgary, 24,08$ à Toronto et 23,83$ en moyenne dans le coeur des grandes villes du pays. De nombreux projets d'immeubles de bureaux sont sur les planches à dessin à Montréal, parfois depuis plusieurs années. C'est le cas du 900, boulevard De Maisonneuve Ouest, une tour de 27 étages mise de l'avant par la SITQ, bras immobilier de la Caisse de dépôt. Même si rien ne se passe sur le terrain du futur gratte-ciel, en plein coeur du quartier des affaires, le projet est loin d'être abandonné, assure Guy Brault, vice-président, location, à la SITQ. «On attend les conditions gagnantes avant de lancer la construction. C'est une question d'arrimer nos attentes de rendement avec le marché.» Sans spéculer sur l'avenir du 900, De Maisonneuve Ouest, M. Brault dit avoir bon espoir qu'une nouvelle construction sera annoncée au centre-ville de Montréal cette année. Le marché est dans l'ensemble «très positif», selon lui, comme en témoigne le taux d'inoccupation de 7% du parc immobilier de la SITQ, qui possède 7 immeubles au centre-ville, dont le 1000, de la Gauchetière et la Place Ville-Marie. Parmi les projets potentiels, Canderel souhaite ériger un immeuble de bureaux au square Phillips, tandis que la Magil Laurentienne planifie un vaste complexe mixte comprenant 2 tours de 15 à 20 étages à l'angle des rues University et Saint-Jacques. Les grands immeubles les plus susceptibles de voir le jour à court terme au centre-ville comprendront toutefois peu ou pas de bureaux. Il s'agit de la tour Altoria, au square Victoria (qui inclura 25 étages de condos et 10 étages commerciaux), de l'hôtel Marriott Courtyard, qui s'élèvera sur 40 étages à l'angle De Bleury et René-Lévesque, ainsi que de l'Altitude, un complexe résidentiel de luxe de 33 étages. Dans l'ensemble de la région métropolitaine, le taux d'inoccupation des immeubles de bureaux s'est élevé à 9,6% au premier trimestre, en baisse de 1%. En incluant les banlieues, les chantiers ont totalisé 588 000 pieds carrés pendant les 3 premiers mois de 2011. John O'Bryan, de CBRE, se dit très enthousiaste par rapport à l'ensemble du marché commercial canadien, y compris Montréal. «Nous sommes habitués de voir une partie du pays s'améliorer pendant qu'une autre s'enfonce. Cette fois, la reprise s'observe d'un océan à l'autre.» La vigueur fulgurante de Calgary constitue une exception dans ce contexte de reprise graduelle, selon M. O'Bryan. Il qualifie la ville de «Cendrillon», qui s'est vite relevée de la récession grâce au rebond marqué des ressources naturelles. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201103/29/01-4384119-immeubles-de-bureaux-26-fois-plus-de-projets-a-calgary-qua-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  3. La rue Sainte-Catherine n'échappe pas au ralentissement Publié le 27 janvier 2009 à 08h30 | Mis à jour à 08h31 Rue Sainte-Catherine aussi, des détaillants renégocient à la baisse leurs loyers dans la foulée du ralentissement des ventes. La rue Sainte-Catherine, qui est pourtant l'artère commerciale la plus recherchée de Montréal, surtout depuis qu'elle s'est refait une beauté durant les années 90, n'échappe pas à la tempête économique. Quand des chaînes sabrent leurs projets d'ouverture et que d'autres préparent des fermetures de magasin et renégocient leurs loyers, des courtiers commerciaux voient leur marché se rétrécir, reconnaît Bruce Munro, vice-président d'Avison&Young au Québec. «Presque toutes les grandes bannières ont déjà pignon sur rue au centre-ville de Montréal», (ce qui limite le bassin de la clientèle), et les autres prennent leur temps. Bruce Munro a ainsi aidé récemment deux chaînes à conclure des ententes, rue Sainte-Catherine, mais elles «n'ont pas encore signé leurs baux et veulent déjà les renégocier à la baisse». André Poulin, président de la société de développement commercial Destination centre-ville, confirme que des loyers se renégocient. «Certains propriétaires font des offres pour ne pas perdre leurs locataires. Plusieurs tentent leur chance. Même Destination centre-ville a renégocié son loyer», dit-il. «Les locaux de la rue Sainte-Catherine continuent toutefois d'être recherchés. Les détaillants ne veulent pas sortir du centre-ville. La rue Sainte-Catherine ne sera pas placardée demain matin», assure André Poulin. Des magasins vont cependant fermer, selon Bruce Munro. Par contre, des chaînes vont sabrer des magasins de mégacentres de la banlieue avant ceux de la rue Sainte-Catherine, ajoute-t-il. Archambault Musique vient de quitter le Complexe des Ailes de la mode, après une entente mutuelle, mais la chaîne californienne Forever 21, concurrente de H&M, va prendre les locaux avant l'été prochain, confirme Jean Laramée, vice-président principal pour l'est du Canada chez Ivanhoé Cambridge. «De grandes bannières comme Guess, American Eagle, H&M et Apple sont arrivées récemment rue Sainte-Catherine. Cela en attire d'autres, souligne André Poulin. Là, on renégocie des loyers, mais sans provoquer des départs.» «Des loyers de 200$ le pied carré pourraient baisser à 150$, rue Sainte-Catherine, estime Bruce Munro. Le prix était de 50$ ou 60$ le pied carré en 1992. Rue Bloor, à Toronto, les loyers de 325$ le pied carré sont trop élevés aussi.» Les détaillants s'en tirent mieux dans le marché des jeunes que dans celui des hommes, dit-il. «Il n'y a pas de vague de réouvertures de baux, mais quelques négociations», assure Jean Laramée. Chez Ivanhoé Cambridge, un des grands propriétaires de centres commerciaux en Amérique du Nord, «on n'est pas fou, on sait que ça brasse un peu partout, c'est une période de tests pour plusieurs. Au Canada, par contre, on ne sent pas trop la tempête. Notre affluence a été correcte en 2008». Jean Laramée reconnaît toutefois qu'il préfère gérer dans l'est du Canada qu'aux États-Unis ces jours ci. David Jubb, chef de la direction de Pyxis Real Estate Equities, de Toronto, a acheté une dizaine de locaux à proximité de la Maison Ogilvy de la rue Sainte-Catherine, qui lui appartient, pour bâtir un «Carré de la mode». Nespresso Café, de New York, y ouvrira un magasin, le mois prochain, et David Jubb déclare travailler avec «quatre ou cinq autres détaillants. L'économie ralentit et certains repensent à leurs affaires, mais on doit se reparler au printemps. Chez Ogilvy, ce sera plus lent en 2009, mais Nespresso va attirer de la clientèle», croit-il.
  4. Rue Sainte-Catherine aussi, des détaillants renégocient à la baisse leurs loyers dans la foulée du ralentissement des ventes. Pour en lire plus...
  5. Plus de propriétaires que de locataires à Montréal Le 30 juillet 2008 - 07:28 | Geneviève Allard -------------------------------------------------------------------------------- La tendance semble s'inverser. Le nombre d'appartements libres à Montréal a grimpé depuis le 1er juillet, ce qui pourrait ravir les locataires et inquiéter les propriétaires. Comme l'expose La Presse, l'Opération relogement de l'Office municipal d'habitation de Montréal (OMHM) a eu trois fois moins d'appels que l'an dernier de familles en quête de logis. Plutôt, l'Office a reçu une quarantaine de coups de fils de propriétaires à la recherche de locataires. Le taux d'innocupation actuel est d'environ 3%, un point d'équilibre, maintient le quotidien. D'ici trois ou quatre ans, cela pourrait passer à 5$ si la tendance se maintient. Les propriétaires pourraient alors devoir baisser le prix des loyers ou même donner des mois gratuits, ce que la Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ) refuse de faire, les prix étant déjà les plus bas en Amérique du Nord. La CORPIQ explique cette tendance notamment par le fait que bien des Québécois s'achètent de maisons en banlieue et la construction trop importante de logements sociaux par le gouvernement québécois.
  6. Le Journal de Montréal 27/11/2007 Déçus du manque de services offerts à Montréal et découragés par le prix des propriétés, deux tiers des jeunes adultes de la métropole la quitteraient ou songeraient à le faire pour s'installer en banlieue. Ces données, tirées d'un avis du Conseil jeunesse de Montréal (CjM), démontrent que la ville est loin d'avoir conquis le coeur des jeunes adultes de moins de 30 ans Parmi les 800 répondants, 26% ont affirmé vouloir déménager pour une meilleure offre de services sportifs et culturels en banlieue. Un peu plus de 30% ont mentionné vouloir malgré tout rester en ville et 40% ont dit qu'ils évalueraient les deux options. Les familles et les jeunes Si la problématique des familles qui désertent Montréal pour les banlieues est connue, les intentions des jeunes qui sont nombreux à vouloir partir le sont moins. «C'est la première fois qu'on les questionne directement, dit Mylène Robert, coordonnatrice du CjM. Ça nous permet de voir qu'ils ne trouvent pas assez de services en ville, notamment. «Un jeune artiste qui veut pratiquer la batterie dans son appartement peut difficilement le faire à Montréal, poursuit-elle. Il pourrait alors être attiré vers la banlieue.» Maisons et loyers trop chers Les prix des loyers et des maisons, beaucoup trop élevés, poussent aussi les jeunes adultes à s'établir hors de Montréal, qui devient de plus en plus une «ville de passage», selon le CjM. Hier, en point de presse, l'organisme a exhorté Marcel Tremblay, du conseil exécutif, d'agir dans ce dossier pour freiner l'exode de la jeunesse. «Nous entendons relever le défi du sentiment d'appartenance à notre ville et cet avis permettra à notre administration d'orienter certaines de ses interventions», a dit celui qui s'occupe notamment des services aux citoyens et de la jeunesse à la Ville.
  7. Vendredi 16 Novembre 2007 Des résidents et des représentants d'organismes de Côte-des-Neiges ont remis une pétition de 3845 noms aux instances de la Ville de Montréal hier matin. Les signataires demandent l'achat par la Ville du terrain de l'hippodrome et du même souffle le développement d'un projet résidentiel incluant 2500 logements sociaux. " Si nous mettons l'accent sur le logement social, c'est parce que les gens du quartier sont confrontés quotidiennement à l'insalubrité, aux loyers trop élevés et au manque d'espace. Dire qu'il n'y a pas assez de logements sociaux à Côte-des-Neiges, c'est comme dire qu'il fait froid en hiver ", explique Denyse Lacelle, coordonnatrice du Conseil communautaire de Côte-des-Neiges/ Snowdon.
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