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  1. Louise Harel songe à la mairie Radiocanada.ca Louise Harel a admis pour la première fois qu'elle réfléchit sérieusement à la possibilité de se présenter à la mairie de Montréal. Elle a fait cette déclaration lors de son passage hier à l'émission Bons baisers de France, à la télévision de Radio-Canada. Mme Harel avoué qu'elle s'en faisait énormément parler. « J'y réfléchis en sachant qu'il y a un compte à rebours », a-t-elle déclaré. L'ancienne ministre et députée péquiste a ajouté qu'elle devait se questionner sur la faisabilité de la chose. Dans un sondage Angus Reid publié dans Le Presse le 11 mai dernier, on demandait aux Montréalais pour qui ils voteraient parmi les candidats suivants: Martin Cauchon, Denis Coderre, Jacques Duchesneau, Liza Frulla, Louise Harel, Pierre Marc Johnson, Robert Laramée et Gilbert Rozon. Mme Harel était arrivée en tête, avec 17 % des intentions de vote. Elle était suivie de Pierre Marc Johnson, avec 11 % des suffrages, Liza Frulla (9 %) et Denis Coderre (9 %). Le sondage d'Angus Reid a été mené les 6 et 7 mai auprès de 805 personnes vivant sur l'île de Montréal. La marge d'erreur est de 3,5 points.
  2. Publié le 05 mai 2009 à 00h13 | Mis à jour à 00h17 Québec doit mettre Montréal en tutelle, estime Louise O'Sullivan Catherine Handfield La Presse Louise O'Sullivan, ancienne conseillère municipale et candidate à la mairie de Montréal, a demandé à Québec lundi de mettre en tutelle l'administration du maire Gérald Tremblay jusqu'aux élections du 1er novembre. «Vous n'avez d'autres alternatives que d'imposer la tutelle (...) et de mandater la Commission municipale du Québec pour superviser dorénavant toutes les décisions du comité exécutif et des divers arrondissements», a écrit Mme O'Sullivan dans une lettre adressée à la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau. Louise O'Sullivan, qui a quitté l'équipe du maire Tremblay en 2005 et qui a fondé son propre parti ce printemps, demande également de convoquer Gérald Tremblay et ses lieutenants à une commission parlementaire pour faire la lumière sur les controverses qui ont ébranlé la Ville ces derniers mois. «Devant la tournure de plus en plus malsaine que prend chaque jour la saga des scandales entourant l'administration de la Ville de Montréal, je me vois dans l'obligation de vos réécrire pour vous demander d'agir de façon urgente et sévère pour rétablir le climat de confiance envers les actions de nos élus municipaux», écrit-elle. L'ex-conseillère estime que le chef de l'opposition officielle, Benoît Labonté, et le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, ont failli à leur tâche. «Tous les élus ont voté en faveur de projets douteux de l'administration sortante et ce n'est qu'après le travail d'enquête de certains journalistes, particulièrement du quotidien La Presse, que l'opposition a commencé à poser des questions», poursuit-elle. Au cours des derniers mois, les médias ont mis au jour les séjours de l'ancien président du comité exécutif de Montréal, Frank Zampino, sur le yacht de l'homme d'affaires Tony Accurso, alors que la Ville s'apprêtait à octroyer le contrat des compteurs d'eau. Un autre controverse entoure la gestion du projet Contrecoeur par la SHDM, un dossier qui a incité le vérificateur général à recommander la tenue d'une enquête policière.
  3. Publié le 17 février 2009 à 05h00 | Mis à jour le 17 février 2009 à 06h30 «Montréal est complètement désorganisé», affirme Louise Harel Éric Clément La Presse Pour Louise Harel, pas question de regretter les fusions municipales que le gouvernement péquiste a mises en oeuvre en 2001. «Sur 61 fusions, 57 se sont bien déroulées, alors ça demeure un succès», dit-elle. Selon l'ex-députée d'Hochelaga-Maisonneuve, l'échec du processus municipal dans l'île de Montréal n'a pas commencé avec les défusions à la fin de 2005, mais à l'automne de 2003 quand, au cours d'une fin de session parlementaire où l'esprit était « plus aux tourtières qu'à autre chose», le gouvernement de Jean Charest a utilisé le bâillon pour faire passer plusieurs lois, dont une qui a transformé la Charte de la Ville de Montréal. «C'est là qu'a commencé la Grande Désorganisation avec un G et un D majuscules, dit-elle. Personne ne l'a vue venir. La modification de la charte a transformé la ville en une fédération de quasi-villes. Et cette modification s'est faite avec la résignation de Gérald Tremblay.» Le casse-tête des parcomètres Selon Mme Harel, les incohérences que constatent les Montréalais dans la métropole, lors du déneigement, sur la propreté, avec les différentes tarifications de parcomètres, viennent du fait que les arrondissements ont trop de pouvoirs. Et ces pouvoirs ont déstabilisé la Ville qui compte aujourd'hui 20 maires. «Les arrondissements ont été créés sur le modèle des villes de banlieue, dit-elle. On est passé de présidents d'arrondissement à des maires d'arrondissement élus au suffrage universel. Ces maires ont des pouvoirs étendus. Ils ont tous des cabinets, des budgets de relations publiques et font même des relations internationales. Ils ont le pouvoir d'embaucher. Même le directeur général de l'arrondissement n'est plus choisi par la ville centre.» Mme Harel dit voir «tous les jours cette désorganisation». «Au coin de la rue Ontario et du boulevard Pie-IX, je vais dans un café. Si je me gare sur Ontario, le tarif du parcomètre est différent de celui sur Pie-IX. Car sur Ontario, l'arrondissement a juridiction alors que sur Pie-IX, c'est la ville centre. C'est incohérent. Pour le déneigement, la ville centre n'a plus le dispositif qui, avant 2003, permettait de centraliser les actions en cas de besoin.» Louise Harel ne comprend pas que le plan d'urbanisme soit confié aux arrondissements. «Vous vous rendez compte? C'est la porte ouverte à toutes les incohérences, dit-elle. Avant, tout grand projet devait passer nécessairement devant l'Office de consultation publique de Montréal. Comme ministre des Affaires municipales, je l'avais imposé à Pierre Bourque. Et c'était même dans le rapport que Gérald Tremblay avait préparé avec un comité à la demande de M. Bourque. Ça a bien changé par la suite...» Mme Harel dit qu'elle «a rêvé cette ville avec moins d'inégalités et moins d'iniquités entre les arrondissements». Avant 2003, un dispositif, dit-elle, réduisait les écarts financiers entre arrondissements. «Ce n'est plus obligatoire aujourd'hui. Mais la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, c'est la loi 22.» Selon la loi 22, adoptée en juin dernier, les 15 villes reconstituées de l'île n'ont plus à débourser 30 millions par année pour les infrastructures et les équipements de Montréal. La somme est assumée par Montréal, en fait avec l'argent que Québec a donné à Montréal dans le cadre de son nouveau statut juridique de métropole. «Ces 30 millions qui proviennent de tous les Québécois, et notamment de 130 villes dévitalisées, permettent aux villes de banlieue de baisser leurs taxes, dit-elle. Charest a acheté la paix avec les villes défusionnées avec ça. Ces 30 millions auraient mieux servi pour la décontamination des sols des quartiers ouvriers ou pour revitaliser Montréal-Nord et d'autres quartiers.» Un appui nécessaire Toutefois, Mme Harel espère que Québec et Ottawa continueront d'appuyer financièrement la métropole. «Comme on l'a vu à Québec de façon très concluante, l'apport d'investissements publics est nécessaire pour obtenir des investissements privés. Par ailleurs, il faut investir dans les transports en commun. Même sous Bush, les investissements américains en transports en commun étaient supérieurs à ceux du Canada. À Montréal, il faut plus de voies réservées pour les autobus et les taxis.» Elle pense que le plan de transport de Montréal est intéressant, mais constate que les infrastructures routières vont chercher la plus grande partie des investissements publics québécois. D'ailleurs, elle est en faveur du retour des péages sur les autoroutes pour financer les transports en commun. Et elle pense que leur disparition, une décision du Parti québécois, était «une erreur».
  4. La candidate indépendante dans la circonscription de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques propose une stratégie pour contrer les effets de la hausse vertigineuse du prix du carburant. Pour en lire plus...
  5. Éric Clément La députée péquiste d'Hochelaga-Maisonneuve, Louise Harel, et le député du Bloc québécois dans Hochelaga, Réal Ménard, ont proposé, ce mardi matin, à Montréal, la mise en place d'une ligne de tramway sur la rue Ontario, entre le marché Maisonneuve et la Place des Arts. Les deux politiciens, qui ont dit s'exprimer plus au nom de leurs concitoyens qu'en celui de leur parti respectif, ont présenté un mémoire conjoint lors de la dernière journée de consultation publique de la commission municipale qui se penche sur le Plan de transport dévoilé ce printemps. Tous deux ont estimé que le Plan de transport a occulté une desserte de tramway sur la rue Ontario alors que les Montréalais font aussi des déplacements est-ouest et pas seulement nord-sud. Mme Harel a rappelé que jusqu'en 1959, la population du sud-est de Montréal était desservie par un tramway dont l'emprise se trouvait sur la rue Ontario. La ligne proposée, ont fait valoir les deux politiciens, permettrait de relier de grandes institutions culturelles, religieuses, commerciales et touristiques telles que la Maison de la culture Maisonneuve, la Maison de la culture Frontenac, le cégep du Vieux-Montréal, la grande bibliothèque, l'UQAM, l'Ilot Voyageur, la Place des Arts, etc. «La rue Ontario qui se termine présentement en cul-de-sac à l'est de l'ancienne biscuiterie Viau, où se réalise un important projet de développement résidentiel, pourrait se déployer incluant son tramway jusqu'au boulevard de l'Assomption et servir d'appui à la revitalisation de ce secteur urbain», a dit Mme Harel. Pour Louise Harel et Réal Ménard, ce projet de tramway permettra de rendre ce quartier majoritairement francophone plus attrayant pour l'installation de nouvelles familles immigrantes. Plus d'informations demain dans La Presse
  6. Les 30 ans de la loi 101 Louise Leduc La Presse «It's a crock of shit.» Don Donderi, professeur associé à l'Université McGill, a laissé tomber cette phrase pour toute réponse à une demande d'entrevue sur la Loi 101, avant de raccrocher sans saluer. Traduction libre: la Loi 101, c'est un tas de merde. Combien sont-ils à le penser aujourd'hui? Alliance Québec n'est plus. Le Parti égalité non plus. La paix linguistique semble s'être installée. Brent Tyler, qui s'est présenté trois fois devant la Cour suprême pour contester certaines clauses de la Loi 101, explique (en français) qu'à son avis, il ne reste plus que «quelques irritants» à combattre. Et quand la Loi 101 coulera finalement des jours paisibles, elle finira par disparaître, croit-il fermement. «La "grosse bonne femme" de chez Eaton's n'existe plus; le magasin non plus d'ailleurs, fait observer Me Tyler. Dans la vraie vie, la grande majorité des anglos d'aujourd'hui parle français, et ils en sont fiers. Plus encore, un anglo sur trois a une francophone pour conjointe. Les deux solitudes, c'est fini. Je vous le dis: finalement, c'est l'amour qui va régler le problème!» Marie McAndrew, chercheuse en éducation, s'est longtemps consacrée à l'étude de la francisation des immigrants, à l'école. Aujourd'hui? Il n'y a à peu près plus rien à dire sur le sujet: la question est à peu près réglée, croit-elle, si ce n'est de quelques ultimes soubresauts devant les tribunaux, comme cela a été le cas cette semaine. Signe des temps, Mme McAndrew travaille maintenant sur les accommodements raisonnables, notamment. «Par nos politiques d'immigration, 60% des nouveaux arrivants parlent déjà français. Le tiers des immigrants des cinq dernières années est musulman. Il est normal, dans ces conditions, que la religion fasse aujourd'hui davantage l'objet de débats que la langue.» . D'ailleurs, selon le mathématicien Charles Castonguay, qui étudie depuis plus de 30 ans les questions d'assimilation, «on exagère l'efficacité de la Loi 101 à franciser les allophones, dit-il. Ce que l'on oublie, c'est que tous ces immigrants - d'Afrique du Nord, d'Haïti ou d'Amérique latine, dont la langue est proche de la nôtre - parlent déjà français à l'arrivée. Nos politiques de sélection des immigrants ont joué pour beaucoup.» Cela dit, M. Castonguay croit que «l'anglais comme langue d'assimilation à Montréal est beaucoup plus fort que ce que nous porte à croire un regard naïf sur les données de recensement». Dans une étude soumise à l'Office de la langue française, M. Castonguay a calculé qu'entre 1971 et 2001, le pouvoir d'attraction de l'anglais a été deux fois plus fort que celui du français sur les allophones. Marie McAndrew croit au contraire que la Loi 101 a atteint à peu près tous ses buts explicites. «Oui, quand deux Jamaïcains discutent, ça se passe souvent en anglais; mais la Loi 101 n'a jamais prétendu se mêler de pratiques linguistiques à l'intérieur de groupes donnés. Certains se disent: "C'est terrible, les enfants italiens continuent de parler anglais entre eux!" Peut-être, mais ces jeunes issus d'une immigration plus ancienne étudient en anglais en toute légitimité au Québec, parce que leurs parents ont fréquenté l'école dans cette langue.» Des avancées et des reculs Louise Beaudoin, qui a entre autres été ministre de l'Éducation et ministre responsable de la Charte de la langue française, note que «si 82% des Québécois ont aujourd'hui le français pour langue d'usage, c'est sûrement parce qu'on a gagné un minimum de terrain». Seulement, elle croit qu'il faut maintenant s'assurer que «le français ne soit pas seulement la langue de l'école». «Quand j'étais ministre de l'Éducation, j'ai dit non au cégep obligatoire en français, poursuit Louise Beaudoin. Je me disais qu'il y avait une amélioration et que ce n'était pas nécessaire. Aujourd'hui, alors que de plus en plus en plus d'allophones scolarisés en français jusque-là optent pour le cégep en anglais, c'est une vraie question.» De la même façon, en ce qui a trait à la langue de travail, les choses pourraient être resserrées, estime Mme Beaudoin. «Est-il normal d'exiger d'un employé qu'il soit bilingue, s'il n'arrive qu'une fois de temps en temps qu'il doive parler à un Américain au téléphone?» Nombreux ont été ceux, à l'instar de Louise Beaudoin, à relever qu'«on est passé de la domination d'une bourgeoisie anglophone à une mondialisation» tout aussi menaçante. Ainsi, à la FTQ, Lola Le Brasseur, directrice de service de francisation des entreprises, relève combien les outils de travail - logiciels ou directives, notamment - sont de plus en plus en anglais. Au surplus, dénonce-t-elle, certaines entreprises se moquent des obligations de la Loi 101 et sont en processus de francisation depuis plus de 25 ans! C'est le fait d'une infime minorité d'entreprises, surtout dans l'aérospatiale, dit pour sa part Gérald Paquette, porte-parole de l'Office de la langue française, selon lequel le respect de l'affichage à prédominance en français est par ailleurs presque totalement assuré. Une langue commune Charles Castonguay n'en pense pas moins qu'on perd de vue les grandes questions. L'idée initiale, dit-il, était de faire du français la langue commune au Québec. Or, dit-il, «si tous les ministres qui se sont succédé ont parlé dans leur discours de cette langue commune comme d'une évidence, on n'en sait trop rien. Quand un anglophone parle à un francophone à Montréal, dans quelle langue échangent-ils? Quand un allophone parle à un francophone? Ça, on aurait dû le mesurer de cinq ans en cinq ans, mais on ne l'a jamais fait. L'Office de la langue française ronronne, parle la langue de bois: les organismes et ministères chargés de veiller à l'application de la Loi 101 manquent de courage.» Fait à noter, vérification faite, le ministère de l'Éducation ne collige pas le nombre d'allophones qui, ayant étudié en français jusque-là, optent ensuite pour le cégep en anglais. De façon générale, il reste cependant, selon Claude Morin - ministre des Affaires intergouvernementales sous René Lévesque - que la Loi 101 «est celle qui définit le mieux l'identité québécoise. C'était une loi que ni le reste du Canada, ni Ottawa ne pouvait accepter. Pour eux, nous formions une minorité ethnique, et les minorités ethniques n'adoptent pas de Loi 101. Elles n'adoptent pas de loi de nation.» Le danger, dit Louise Beaudoin, c'est aujourd'hui de laisser libre cours à «une espèce de démobilisation ambiante. Certains trouvent ça passéiste de protéger la langue française, pas très post-moderne. Eh bien! moi, je dis qu'on est en plein dans la modernité.»
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