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  1. Alors que le maire de Montréal est en mission économique à New York pour attirer les investisseurs étrangers dans la métropole, on apprend que la société américaine de logiciels et technologie de l'information Orion systems integrators a choisi Montréal pour établir un centre de recherche et développement. http://www.journaldemontreal.com/2014/04/14/montreal-attire-une-entreprise-americaine
  2. LINAGORA annonce l’ouverture à l’automne prochain de sa filiale dans le Grand Montréal. Pour Alexandre Zapolsky, président-directeur général de LINAGORA : « La politique québécoise de soutien à l’innovation et aux entreprises ainsi que la proximité du marché américain ont été des facteurs déterminants dans notre décision. De plus, l’intérêt avoué du gouvernement québécois pour le logiciel libre offre des perspectives très prometteuses pour une entreprise comme LINAGORA. » « L’arrivée dans le Grand Montréal d’une entreprise comme LINAGORA, leader français du logiciel libre, qui se spécialise dans un domaine porteur de l’économie du savoir, met de l’avant le dynamisme de toute la région comme centre de haute technologie », a déclaré M. Élie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal de Montréal International. Déjà implantée dans la Silicon Valley depuis plusieurs années, LINAGORA a décidé d’écrire une nouvelle page de son développement international. La première étape passera par le Québec et le Grand Montréal. Cette décision est le fruit d’un dialogue qui s’est noué depuis près de cinq ans avec Montréal International, Investissement Québec et la Délégation du Québec à Paris. « Les filiales de sociétés étrangères représentent un puissant levier pour le développement économique et le rayonnement de la métropole. On y recense quelque 2 000 établissements étrangers, incluant plus de 300 filiales de sociétés françaises, qui comptent pour 9 % des emplois totaux et 20 % du PIB de la région », a ajouté M. Farah. Dans un premier temps, le leader français du logiciel libre installera deux employés à Montréal. Mais l’ambition est tout autre puisque à l’horizon de 3 ans, LINAGORA projette d’investir 10 M$ et de créer 55 nouveaux emplois au Québec et au Canada. À PROPOS DE LINAGORA (http://www.linagora.com) LINAGORA édite ses propres logiciels Open Source et propose une gamme de services professionnels pour réussir les grands projets du Libre. L’activité d’édition Open Source s’articule autour de 4 offres innovantes : OBM.org : Outils de messagerie et de travail collaboratif ; LinShare : Solutions de confiance numérique et de sécurité ; LinID : Applications de gestion et de fédération des identités ; Petals : L'ESB libre qui s'adapte aux infrastructures étendues et grande échelle. L’offre logicielle de LINAGORA s’accompagne de l’OSSA, l’Open Source Software Assurance, qui propose un catalogue complet de plus de 200 logiciels libres, prêts à l’emploi, sur une plateforme unique, le http://www.08000LINUX.com. Ces logiciels bénéficient d’un support et d’une maintenance garantis contractuellement. L’OSSA, c’est l’Open Source sans risque. Ces offres logicielles sont complétées par une gamme de services professionnels et de formations visant à accompagner les grands utilisateurs de logiciels libres dans le projet de transformation de leur SI. http://www.montrealinternational.com/linagora-le-champion-francais-du-logiciel-libre-simplante-dans-le-grand-montreal/
  3. Ingénierie - À la traque des défaillances catastrophiques Le Devoir Claude Lafleur Édition du samedi 02 et du dimanche 03 mai 2009 Mots clés : Acfas, Sofiene Tahar, Ingénierie, Science, Université, Canada (Pays) Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la « Formal Probabilistic Analysis Using Theorem Proving » La fusée Ariane 501 photographiée peu avant d'être installée sur son aire de lancement en juin 1996. Ariane 501 a explosé 40 secondes après son décollage, victime d'une panne de son système de navigation, ce qui a entraîné la perte des quatre satellites Cluster, d'une valeur de 370 millions de dollars. Photo: Agence France-Presse Toute machine complexe, tel un avion ou un réacteur nucléaire, est susceptible de connaître une défaillance catastrophique. Or, malgré toutes les études, analyses, vérifications et simulations, il est impossible de repérer toutes les possibilités de scénarios catastrophiques. C'est pourtant le défi que relève un chercheur de l'Université Concordia, qui imagine diverses méthodes pour y parvenir. «Ce que nous faisons dans notre laboratoire, c'est essayer de repérer tous les scénarios possibles pour ne pas en échapper un qui soit catastrophique», indique Sofiene Tahar, ingénieur en électronique et en informatique, qui dirige l'équipe de 25 chercheurs du Hardware Verification Group de l'Université Concordia. Son domaine de recherche touche tous les systèmes présents dans notre vie, des réseaux de communication sans fil aux avions, en passant par les logiciels et les puces électroniques. «Je me passionne pour le fonctionnement des systèmes, qu'il s'agisse de logiciels ou de matériels», dit-il avec enthousiasme. D'origine tunisienne, Sofiene Tahar a entrepris ses études universitaires en Allemagne avant de venir les compléter ici. «J'ai passé dix ans en Allemagne et je voulais acquérir une expérience nord-américaine, dit-il. En 1995, je suis donc venu réaliser un postdoc à l'Université de Montréal puis, l'année suivante, j'ai décroché un poste de professeur à l'Université Concordia. Je suis donc demeuré à Montréal..., ce que je ne regrette surtout pas!» Pour sauver Ariane Aurait-on pu sauver Ariane 501? M. Tahar s'émerveille devant la complexité des systèmes que l'industrie développe de nos jours. «Prenez par exemple le microprocesseur Pentium d'Intel, dit-il. Celui-ci contient plus d'un milliard de transistors! On a donc la technologie pour fabriquer ce genre de "monstres", mais comment s'assurer qu'il fonctionne correctement?» Or, justement, l'industrie de la microélectronique et du logiciel consacre environ 70 % de ses ressources à vérifier la fiabilité de ses produits (et 30 % à leur conception). «Pour l'essentiel, on a recours à des techniques de simulation, remarque-t-il. On essaie de simuler les principaux scénarios de fonctionnement, mais il est impossible de reproduire tous les cas imaginables, puisque cela prendrait des milliards d'années.» Son équipe cherche par conséquent à concevoir diverses autres techniques de repérage systématique des failles en recourant notamment à des méthodes de raisonnement mathématiques. Elle conçoit entre autres des logiciels qui appliquent systématiquement cette démarche de raisonnement mathématique. «On obtient de la sorte une couverture exhaustive de tout ce qui est possible», indique le chercheur. Pour illustrer son approche, il évoque le grave accident survenu lors du premier tir d'une fusée Ariane V, en juin 1996. Cette Ariane 501 a explosé 40 secondes après son décollage, victime d'une panne de son système de navigation, ce qui a entraîné la perte des quatre satellites Cluster, d'une valeur de 370 millions de dollars. Les enquêteurs ont par la suite découvert que, parmi les milliers de lignes de code des logiciels contrôlant les ordinateurs de bord, une petite série avait été mal conçue. Selon un rapport de la NASA, le genre de méthode préconisée par Sofiene Tahar aurait probablement pu détecter la faille avant le tir de la fusée. Collaborations De fait, les travaux de l'équipe Tahar intéressent tellement les entreprises que, «chaque fois que nous obtenons des résultats intéressants, cela donne lieu à des collaborations avec des firmes à travers le monde», rapporte M. Tahar. C'est ainsi que son groupe travaille actuellement dans le cadre de trois partenariats, l'un avec la firme Erikson, de Montréal, un autre avec STMicroelectronics (le plus grand fabricant microélectronique en Europe) et un troisième avec Huway (le numéro un chinois des systèmes électroniques). «On essaie d'appliquer diverses techniques pour aider les industriels à vérifier leurs systèmes.» C'est ainsi que, il y a quelques années, l'équipe a scruté une composante électronique fabriquée par la société PMC-Sierra, l'un des grands fournisseurs de semi-conducteurs utilisés dans une foule d'équipements de communication. «Grâce à l'une de nos nouvelles techniques, basée sur des méthodes formelles, nous avons découvert une défaillance dans l'un des modes de fonctionnement du circuit électronique, raconte M. Tahar. Sur le coup, l'entreprise ne nous a pas crus, elle a donc refusé nos conclusions... mais elle a par la suite compris que nous avions raison.» De la probabilité à la certitude Prévoir les aléas de l'environnement? À l'occasion de sa présentation au congrès de l'ACFAS (lundi midi), M. Tahar traitera de l'application de la théorie des probabilités à l'identification des failles dans les systèmes. «C'est un domaine de recherche que nous avons commencé à explorer il y a quatre ans, précise-t-il. On a fait l'observation que beaucoup de systèmes ont un comportement probabiliste... Pensons simplement à la variation des conditions météorologiques; lorsqu'on place un système quelconque dans un environnement physique, il y a beaucoup de comportements qui dépendent de probabilités. Nous nous intéressons à la vérification des systèmes probabilistes, c'est-à-dire que ce n'est pas seulement le fonctionnement du système qu'il faut vérifier, mais son comportement probabiliste.» Cette démarche intéresse au plus haut point plusieurs autres chercheurs autant que des industriels. C'est ainsi que deux professeurs émérites de l'Université de Cambridge, en Grande-Bretagne, ont l'intention d'appliquer les méthodes mises au point par l'équipe de Concordia à un ensemble de domaines, notamment les télécommunications, la conception de logiciels, l'aviation et l'automobile. Par ailleurs, un gestionnaire de Rockwell Collins (un géant de l'avionique) a été si impressionné, lors de sa visite des laboratoires de M. Tahar l'été dernier, qu'il désire absolument collaborer avec lui. «Les choses vont vraiment très vite pour nous!», remarque Sofiene Tahar avec enthousiasme. *** Collaborateur du Devoir *** - «Formal Probabilistic Analysis Using Theorem Proving», le lundi 11 mai à 15 heures. http://www.ledevoir.com/2009/05/02/248474.html (2/5/2009 9H07)
  4. La multinationale des logiciels 3D Autodesk supprime ainsi une trentaine de postes à Montréal, siège de sa division Média et divertissement. Pour en lire plus...
  5. Le groupe internet a achevé le processus de sélection de son nouveau patron et le poste devrait revenir à Carol Bartz, l'ancienne PDG de l'éditeur de logiciels Autodesk. Pour en lire plus...
  6. Source: Les Affaires L'éditeur de logiciels Avanquest ouvre à Montréal L'éditeur français de logiciels Avanquest Software annonce l'ouverture d'une filiale canadienne à Montréal, ce qui devrait créer une centaine de postes d'ingénieurs au cours des trois prochaines années. Le nouveau centre de recherche et développement s'ajoutera aux installations d'Avanquest situées en France, aux Etats-Unis et en Chine. Dans un communiqué, Avanquest présente le Canada comme un "véritable vivier de jeunes informaticiens à la pointe des technologies de nouvelle génération", notamment dans les domaines du multimédia et du web. La filiale montréalaise prendra en charge une partie des projets qui constitueront "la pierre angulaire de la stratégie 2008-09 du groupe", a indiqué le président-directeur général et cofondateur d'Avanquest, Bruno Vanryb. Les employés montréalais travailleront à mettre au point des composants logiciels dans les domaines de la mobilité, des utilitaires et de la sécurité, à créer des sites et des contenus web pour soutenir et accroître les ventes en ligne, de même qu'au développement d'un projet internet destiné à renforcer la relation d'Avanquest avec les utilisateurs de ses logiciels. La filiale montréalaise envisage d'embaucher 15 ingénieurs d'ici la fin de l'année. Elle vise un total de 50 employés d'ici la fin 2009 et de 100 à la fin de sa troisième année d'existence.
  7. L'éditeur Avanquest ouvre une filiale à Montréal 21 octobre 2008 - 15h58 Presse Canadienne L'éditeur français de logiciels Avanquest Software annonce l'ouverture d'une filiale canadienne à Montréal, ce qui devrait créer une centaine de postes d'ingénieurs au cours des trois prochaines années. Le nouveau centre de recherche et développement s'ajoutera aux installations d'Avanquest situées en France, aux États-Unis et en Chine. Dans un communiqué, Avanquest présente le Canada comme un «véritable vivier de jeunes informaticiens à la pointe des technologies de nouvelle génération», notamment dans les domaines du multimédia et du web. La filiale montréalaise prendra en charge une partie des projets qui constitueront «la pierre angulaire de la stratégie 2008-09 du groupe», a indiqué le président-directeur général et cofondateur d'Avanquest, Bruno Vanryb. Les employés montréalais travailleront à mettre au point des composants logiciels dans les domaines de la mobilité, des utilitaires et de la sécurité, à créer des sites et des contenus web pour soutenir et accroître les ventes en ligne, de même qu'au développement d'un projet internet destiné à renforcer la relation d'Avanquest avec les utilisateurs de ses logiciels. La filiale montréalaise envisage d'embaucher 15 ingénieurs d'ici la fin de l'année. Elle vise un total de 50 employés d'ici la fin 2009 et de 100 à la fin de sa troisième année d'existence.
  8. L'éditeur de logiciels informatiques a rapporté des profits de 1,6 M$ US grâce à une hausse des revenus dans tous les secteurs. Pour en lire plus...
  9. Logiciels libres : le gouvernement québécois poursuivi Marie-Eve Morasse, Technaute.ca 28 août 2008 | 10 h 13 Un organisme québécois qui fait la promotion des logiciels libres intente une poursuite contre le gouvernement provincial, qu'il accuse de privilégier les logiciels de Microsoft au détriment d'autres solutions. La poursuite a été déposée en Cour supérieure le 15 juillet et a été rendue publique hier. L'organisme Facil (FACIL, pour l'appropriation collective de l'informatique libre) reproche au gouvernement québécois de ne pas respecter le processus d'appel d'offres quand il s'agit d'acheter des logiciels. Le gouvernement québécois utilise une disposition qui lui permet d'acheter sans appel d'offres quand il veut se procurer des logiciels couverts par des droits exclusifs. Facil accuse Québec d'abuser de cette disposition. Le groupe estime que le gouvernement dépense annuellement 80 millions $ pour des licences d'exploitation du système d'exploitation Windows. Selon la poursuite, entre les mois de février et juin 2008, le gouvernement québécois aurait attribué pour plus de 10 millions de dollars de contrats à Microsoft, sans appel d'offres. «Trop souvent l'administration québécoise refuse d'envisager et même d'évaluer l'option du logiciel libre», déplore le groupe dans un communiqué. Facil estime qu'une «politique rigoureuse et déterminée d'utilisation de logiciels libres permettrait la création de très nombreux emplois durables, ainsi que des économies substantielles en licences de logiciels et inutiles mises à jour». Dans sa poursuite, Facil donne l'exemple de pays comme la France où depuis deux ans, une partie de l'administration française, dont les députés, est passée à Linux. La France avait alors estimé que les logiciels libres allaient lui permettre de réaliser de «substantielles économies».
  10. Jerry Yang accause l'éditeur de logiciels de vouloir déstabiliser l'entreprise et ses dirigeants. Pour en lire plus...
  11. jeudi, 08 novembre 2007 Le fournisseur de logiciels d'affichage numérique BroadSign International investira 4,5 millions$ dans ses installations de Montréal. Cette firme du Minnesota compte faire passer son effectif montréalais de 30 à 60 employés au cours de la prochaine année. Richard Boudreault, un Québécois qui a notamment travaillé pour Sofinov, division de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Oerlikon Aérospatiale et le Centre de technologie aérospatiale, vient par ailleurs d'être nommé président de son conseil d'administration. "Montréal nous offre la possibilité de recruter et de conserver des gens de talent, explique ce dernier. C'est aussi un environnement très prisé par les Européens et les Américains, les coûts d'apprentissage sont bas et nous bénéficions de crédits d'impôts." BroadSign conçoit et développe des logiciels destinés au fonctionnement de réseaux de panneaux d'affiche numérique. L'entreprise utilise une technologie inventée à Montréal au début des années 90 par LPS, devenue entre temps BroadSign Canada. Au Canada, elle compte parmi ses clients Zoom Média, Blast Media et Neo Advertising. Sa technologie est présente dans les centres commerciaux de Fairview Cadillac, la chaîne Tim Hortons et l'aéroport Montréal-Trudeau. "Nous sommes surtout aux États-Unis et en Europe, mais nous voulons étendre notre marché au Canada et en Asie", dit Richard Boudreault. Aux États-Unis, BroadSign fournit notamment des logiciels pour les réseaux CBS et pour Ascent Media, qui équipe en écrans numériques les cliniques médicales. L'investissement de l'entreprise s'explique en grande partie par l'essor que connaît l'affichage numérique, selon Richard Boudreault. Une étude réalisée par Rocsearch, un institut de recherche privé, révèle que le marché nord-américain, qui représentera 7 milliards$ en 2008, pourrait atteindre 15 milliards$ en 2011. "Google et Microsoft commencent à s'y intéresser, dit-il. Tout comme Publicis, en Europe."
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